Le Temps d'un RP
le seul rpg où tu joues qui tu veux, quand tu veux
Retrouve les animations du forum pour t'amuser,
découvrir de nouvelles plumes et vivre de folles aventures !
» Un frère éloigné vaut moins qu'un voisin (avec Lexis)
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 EmptyHier à 22:33 par Clionestra

» (padmachou) Amitiés et confidences
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 EmptyHier à 20:06 par Padmachou

» Aux corps et cœurs grands remèdes [ft. DarkStar]
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 EmptyHier à 18:32 par DarkStar

» Hei ! Päivää!
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 EmptyHier à 17:37 par Mr. Sandman

» Ça déménage par ici !
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 EmptyHier à 12:57 par Lexis

» TOPS-SITES ¬ votez pour ltdr
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 EmptyHier à 11:19 par Gäa

» La Folie du Prince
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 EmptyLun 16 Sep - 23:04 par Ezvana

» Cor ignis et venis rubicundus
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 EmptyLun 16 Sep - 17:57 par Basalte

» Le dernier espoir [ft. Telanie]
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 EmptyLun 16 Sep - 16:22 par Frida K.

-35%
Le deal à ne pas rater :
Pack Smartphone Samsung Galaxy A25 6,5″ 5G + Casque Bluetooth JBL
241 € 371 €
Voir le deal

LE TEMPS D'UN RP

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly

Manhattan Redlish
Messages : 4059
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart

Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Etoiles
Manhattan Redlish
Mar 10 Sep - 21:42

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_pmayxmx0bG1r09d6po9_540
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_og9jkm6lcC1v90xb8o1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_pndptfZBQa1rp6kkp_400

Avatar : Fassylovergallery/ Gif : Tumblr


En ouvrant les yeux ce matin-même, Edward ignorait quelle approche adopter avec la jeune femme. Il n’avait qu’en mémoire sa réaction énigmatique qui aurait pu, sans nul doute, déclencher une dispute s’il n’avait pas trouvé refuge à son bureau pour la nuit restante. Seulement, la colère éprouvée s’était dissipée et ne ressentait qu’un amalgame de ressentiments tout aussi désagréable les uns que les autres. Il avait la sensation que chaque instant de bonheur avait un coût incommensurable par la suite. Une quiétude éphémère dont ils risquaient se lasser tôt ou tard, éreinté de constamment amortir ce bonheur précaire parce que la Vie s’évertuait à les rappeler à la douloureuse réalité de leur quotidien. Ce qui en résultait, c’était qu’Edward était incapable de prononcer le moindre mot en présence de l’influenceuse, et que si elle n’avait eu l’initiative de prendre la parole, il serait sûrement resté muré dans son mutisme jusqu’au lendemain… Néanmoins, sa démarche bien que pertinente, était quelque peu provocatrice également. « Qu’aurais-tu préféré Angelica ? Que l’on se dispute ? ». Billevesée ! Même si Angelica semblait œuvrer en ce sens. « Oui. Ta réaction d’hier m’a mis en colère, mais parce qu’elle a éveillé des craintes en moi que je n’aurais pas pensé éprouver en rentrant hier soir » déclara-t-il toujours de ce ton empreint de froideur, et qui s’était diminué de quelques décibels, comme bien souvent lorsqu’il réprimait tant bien que mal la colère qui l’accablait. Crier empêchait d’être écouté. Il poursuivit donc sur une voix bien qu’en apparence monotone, vacillait de temps à autre selon ses dires, trahissant le moindre de ses ressentiments qu’il luttait pour réprimer au mieux. Maintenant qu’il était parvenu à disposer des mots sur ses propres appréhensions, il convia Angelica à se confier à lui sur les raisons qui l’avait poussé à réagir ainsi.

Les muscles de sa mâchoire continuant de valser sous sa peau, Edward resta pourtant sans mot dire, tel que promis, aux premiers mots de sa femme qui exigeait de lui de ne plus jamais se considérer comme tel à l’avenir « C’est ainsi que le monde me voit Angie. Tu dois te faire à l’idée ». Il n’avait nullement besoin de se perdre dans la messagerie privée de l’influenceuse pour surprendre quelques messages qui étayaient ses propos. Les dires qui suivirent le laissa soudainement étrangement silencieux. Elle ne doutait pas de leur histoire ou de leur avenir à deux. Dieu savait à quel point cette crainte l’avait taraudé toute la nuit durant. Parce que vivre sans elle lui était impossible. Il jeta un bref regard aux quelques gouttes de thé qui s’étaient échappés de la tasse d’Angelica, et reporta son attention sur cette dernière qui venait de reprendre place sur le sofa extérieur. Au fil des mots de la jeune femme, le puzzle s’assemblait peu à peu devant lui, pièce après pièce. Il percevait dorénavant la réaction d’Angie sous un nouveau prisme. Son cœur se serra en constatant qu’elle croyait, à tort, et sûrement par naïveté, que leur relation ferait l’unanimité tout simplement parce qu’ils étaient heureux et amoureux. Silencieux, Edward se délaissa de sa tasse sur la table, aux côtés du New York Times, puis s’approcha de la jeune femme, disposant ses mains sur le dossier du canapé extérieur, de part et d’autres du corps d’Angelica et déposa ses lèvres sur les siennes dans un délicat baiser. Quand il y mit un terme, il vint blottir son front contre le sien « On ne pourra jamais contenter tout le monde… Tu es tombée amoureuse d’un homme détesté pour certaines de ses idées, parfois ses attitudes, et ils ont probablement peur que je te compromette … Alors que… » et s’accroupit devant elle, sa main sur la joue de l’influenceuse « C’est toi qui change celui que je suis, qui me rend meilleur… Et j’aimerais qu’ils le voient tous… Que tu ne risques rien avec moi… ».

Edward se décida à prendre place sur le rebord de la table basse trônant devant le salon extérieur, ses genoux se blottissant à ceux d’Angelica, et reprit « Je voulais seulement savoir, tu sais. Tu peux éprouver toutes les émotions que tu désires, mais j’aime mieux quand tu m’en expliques les raisons. J’aime te comprendre ». Il finit par lui adresser le premier sourire de la matinée « Je suis un candidat du parti Républicain… Ce qui n’est pas surprenant vu que je suis un riche héritier de la jeunesse dorée de Manhattan. Seulement, je dispose également d’idées plutôt démocrates… Quand je dis que je veux faire la guerre à la corruption et aux trafics de stupéfiants qui sévissent en ville, je prends un risque pour ma vie et je déplais aux pourris. Quand j’explique que je ne veux plus un SDF dans les rues de ma ville, et que tout le monde se doit de travailler afin de participer à l’économie du pays, je me mets à dos les plus enclin à aider… ». Son visage se déforma dans une légère moue « Toujours amoureuse de moi ? ». Parce que ses idées pouvaient déplaire au plus grand nombre, et qu’il était certain de ne jamais les satisfaire. Parfois son discours était mal interprété, à son détriment, et il était alors fustigé dans la presse locale. « Je n’ai jamais prêté attention aux allégations de la presse ou de l’opinion publique… Jusqu’à toi, jusqu’à ce que te touche de près … » et glissa sa main jusqu’à la sienne « Par conséquent, je peux tout démentir si ça peut te protéger. Un appel, et demain, ils t’aimeront tous de nouveau… Et on pourra toujours vivre caché. On a bien réussi jusqu'alors, tu ne trouves pas ? ». Il émit un petit rire attristé à cette pensée, mais c’était un sacrifice qu’il était prêt à faire pour elle.


Charly
Messages : 3937
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor

Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
lune 2
Charly
Mer 11 Sep - 11:15

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_nnkyzq2yan1s8ccbto1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f67776b5742746f64544a496133773d3d2d3330343832343633372e313436663535323535363266363934613232333834353336333832332e676966

Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr

« -que l’on se parle. » avait elle répliqué avec aplomb. Il ne lui en avait pas laissé l’occasion. « -et qu’est ce que tu veux que je te dise ? Que je suis désolée de ne pas avoir été à la hauteur de ce que tu souhaitais ou imaginais ? » qu’est ce qu’il s’imaginait, qu’elle n’aurait pas préféré sautée de joie ? Bien sur que si, mais petit à petit son mentale avait prit le dessus. Et elle n’était pas parvenu à s’en défaire ou à le cacher. Oui, ça ne répondait pas à ce qu’elle lui avait montré avant. Ça ne collait pas à la femme confiante, qui s’en foutait bien du regard des autres au sujet de leur relation. Et pourtant, petit à petit, les craintes de Flynn, les tonnes de messages, cela l’avait doucement fait vaciller. Edward avait éprouvé de la colère, elle de la peur.

Elle décida de prendre la parole et de mettre des mots sur tout cela. Elle le pointa du doigt et répliqua : « -je parle et tu écoutes. » c’était la consigne qu’il lui avait imposé. Il devait également l’appliquer. Petit à petit, elle lui raconta sa journée, ce qu’elle avait éprouvé au début de la journée, et puis la panique de Flynn face à tout cela, qui l’avait peu à peu contaminé. La fait d’être face à la réalité du monde cruel. Surtout celui des réseaux sociaux. Elle recula légèrement lorsqu’il approcha pour poser ses mains de parte et d’autre d’elle, sur le dossier du canapé. Elle avait comme une boule dans la gorge. Ses lèvres répondirent aux siennes, lui faisant fermer les yeux. « -justement… pourquoi est ce qu’ils ne sont pas capable de voir qu’on peut se compléter sur nos idées. » même si elle n’avait pas la moindre idée ce qu’il prônait politiquement parlant. De toute manière, ça serait bientôt terminé… la politique ne serait bientôt qu’un ancien souvenir.

Angie se mordit les lèvres, avant de répondre : « -alors la prochaine fois, laisse moi le temps de t’expliquer… » il y avait une pointe de tristesse dans sa voix. Comme si elle regrettait cette dispute inutile. Elle lui sourit également, toujours avec ce léger voile de tristesse. Elle l’écouta avec attention, et cette fois lui adressa un vrai sourire : « -bien sur… » ce qu’il venait de lui décrire collait avec l’homme qu’elle avait apprit à connaitre. Elle fixa sa main qu’il venait de prendre dans la sienne. « -non. » elle venait de lui couper la parole. « -non, je veux pas de retour en arrière, je veux pas de vivons caché. » elle fit un non de la tête. « -je vais réfléchir à une stratégie de com’ avec Flynn. » elle regarda leur main : « -je n’ai pas envie de nier l’amour que j’ai pour toi. Et si je perds des followers et bien… c’est qu’ils n’étaient pas là pour la bonne raison. » certaine plus pour son cul que pour ce qu’elle prônait.


Manhattan Redlish
Messages : 4059
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart

Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Etoiles
Manhattan Redlish
Mer 11 Sep - 13:43

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_pmayxmx0bG1r09d6po9_540
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_og9jkm6lcC1v90xb8o1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_pndptfZBQa1rp6kkp_400

Avatar : Fassylovergallery/ Gif : Tumblr


La bouche d’Edward s’ouvrit sans qu’aucun mot ne s’y échappe, et se contenta de clore ses lèvres par manque soudain d’argument. Il avait tant appréhender la dispute, qu’il avait omis la possibilité qu’ils puissent seulement converser au sujet des doutes qui accablaient la jeune femme à l’issue de la révélation de leur relation. Néanmoins, le politicien ne manqua pas de réaction par la suite, tandis qu’il fustigeait du regard sa bien-aimée « Ne redit plus jamais cela » clama-t-il avec froideur « Tu m’entends ? Peu importe mes états d’âme ou la colère que je peux éprouver tu es et seras toujours bien au-dessus de mes espérances ». Dès les prémices de leur relation, le politicien avait toujours condamné ce dénigrement qu’elle effectuait de temps à autre, pour des raisons diverses et variées. Aujourd’hui ne faisait pas exception. La colère n’altérait pas sa manière de la percevoir, et elle devait en prendre conscience. Seulement, ça signifiait que la problématique sous-jacente qui l’empêchait de se réjouir de leur situation, était intrinsèquement liée à elle et ce qu’elle éprouvait vis-à-vis de l’officialisation de leur relation. Mais dans un premier temps, il s’autorisa le droit de s’exprimer sans interruption, quelle qu’elle soit, de la part d’Angie. Une clause qu’il peina à respecter par la suite, et dont le rappel lui tira un maigre sourire amusé, qu’il tenta de dissimuler.

Dès lors qu’Angelica eut finit de justifier son comportement de la veille, tout s’avéra soudainement bien limpide aux yeux du politicien qui était las de poursuivre cette dispute qui n’avait aucune raison d’être. Sans mot dire, il combla donc l’espace entre eux, disposant ses mains de part et d’autres de la jolie rousse, pour venir apposer ses lèvres contre les siennes, dans un doux baiser qu’elle lui rendit. Bien qu’il avait craint qu’elle ne le repousse. Son front tout contre le sien, il laissa échapper un soupir, tout en prenant conscience que le monde presque utopique d’Angelica venait de rencontrer le sien, qui ne l’était en rien. Elle se retrouvait par conséquent confronté à un univers où les gens n’aspiraient pas à voir évoluer leur état d’esprit, se confortant dans leurs préjugés, sans se soucier du mal que cela pouvait engendrer… « Parce qu’ils n’en ont pas la moindre envie La Mia Luce ». Pourtant, Edward n’avait en rien compromis la jolie rousse. Elle était et resterait la femme indépendante et pétillante dont il avait fait la rencontre sur le toit de l’Elyisum. C’était lui qui avait été transformé par l’amour qu’ils se portaient, le faisait devenir une meilleure version de lui-même. Seulement, ses détracteurs ne s’en souciaient guère, et restaient figés sur leurs positions, quoi qu’il en coûte.

Prenant place sur la table basse, il esquissa un sourire tout aussi triste que le ton de sa voix, et posa sa main sur la sienne « J’ai commis une erreur, je me suis laissé aveugler par mes appréhensions… Je… Je suis désolé, mi amore ». Il l’était. Sincèrement. S’il avait prit la peine de discuter avec cette dernière sur les raisons qui l’avait poussé à réagir ainsi, ils n’auraient pas eu cette dispute ce matin, et auraient pu partager un petit-déjeuner ensemble, dans la bonne humeur. Toutefois, cela lui permis également de se confier sur les raisons qui faisaient qu’il n’obtenait pas l’unanimité auprès de l’opinion publique. Contre toute attente, Angelica ne semblait aucunement surprise par la politique qu’il avait souhaité mener en tant que Sénateur. Elle l’aimait encore. Un sourire étira timidement ses lèvres, avant qu’il ne se dissipe dès qu’il évoqua l’alternative à laquelle il songeait depuis bien des heures maintenant. Un démenti était toujours possible. Les sourcils au milieu du front, Edward la laissa l’interrompre « Je ne veux pas être un obstacle à ta carrière Angie… ». Il porta la main de cette dernière à ses lèvres, embrassant la paume de sa main avec douceur, puis la blottit contre sa joue mal rasée « Je t’aime si fort… » et se pencha pour venir l’embrasser de nouveau, et humecta ses lèvres quand le baiser prit fin, comme pour garder en mémoire la saveur de ses lèvres « Va te préparer, on va prendre le petit-déjeuner en extérieur, et ensuite que dirais-tu de seulement profiter du soleil à Central Park ? ».


Charly
Messages : 3937
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor

Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
lune 2
Charly
Jeu 12 Sep - 18:07

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_nnkyzq2yan1s8ccbto1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f67776b5742746f64544a496133773d3d2d3330343832343633372e313436663535323535363266363934613232333834353336333832332e676966

Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr

Angie devait se rendre à l’évidence, elle était bien trop naïve. Malgré tout ce que la vie lui avait déjà fait subir, elle voulait toujours croire en un monde meilleur. Seulement Edward avait raison. Les gens n’étaient pas tous bienveillants. Et elle allait devoir conjuguer avec cela. Même si c’était douloureux. Ce qui comptait, c’était eux. C’était le couple qu’ils formaient et l’amour qu’ils se portaient. Cela ne plairait jamais au monde entier. « -moi aussi j’ai commis une erreur. » ajouta Angie. « -celle de croire que cela aurait réjouirait tout le monde. Et de me laisser miner le moral à cause de la réalité » elle soupira et ajouta : « -on fera mieux la prochaine fois que quelque chose nous tombe dessus. » ils allaient apprendre de leur erreur. Ils n’étaient pas restés en froid pendant une semaine, ils ne s’étaient pas non plus hurlé dessus, c’était déjà un bon début. Quant à cette idée de démentir ce qui avait été annoncé, Angie s’y opposa fermement. « -je trouverais des solutions. » Flynn serait également là pour l’aider. Et comme elle l’avait mentionné, cela ferait du tri parmi ses followers. Elle n’allait pas mourir si elle en perdait. Au contraire, cela pouvait même lui donner des axes de communication. Les respects des autres, le non jugement, l’avis des autres… cette conversation avec Edward lui permettait de se recentrer. Un sourire, puis elle lui rendit son baiser avant de hocher la tête : « -d’accord… faisons ça. »

Le vendredi suivant, ils avaient décidé d’enfin inviter Flynn à diner. Edward tenait à ce diner depuis déjà quelques semaines. Son meilleur ami tenait également à faire correctement la rencontre et d’apprendre à connaitre l’homme dont elle était tombée amoureuse. Surtout depuis que leur relation avait été rendu publique. Elle était parvenue à calmer les craintes de son meilleur ami, mais Angie comprenait son besoin de vraiment rencontrer Edward. Pas dans un cadre de travail, mais dans un cadre privé. Edward était en cuisine lorsqu’elle rentra légèrement en retard sur ce qu’elle avait prévu. « -bonsoir mon amour ! » chantonna la jeune femme en débarquant dans la cuisine. « -ça sent tellement bon ! Qu’est-ce que tu prépares ? » elle lui vola un baiser rapide et annonça : « -je vais me changer rapidement et je viens t’aider. » même si elle n’était pas certaine qu’il ait besoin d’aide. « -enfin…mettre la table. » oui, ça serait bien plus dans ses cordes. Elle n’était pas encore ressortie de la salle de bain lorsque Flynn sonna.

Manhattan Redlish
Messages : 4059
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart

Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Etoiles
Manhattan Redlish
Jeu 12 Sep - 20:12

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_pmayxmx0bG1r09d6po9_540
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_og9jkm6lcC1v90xb8o1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_pndptfZBQa1rp6kkp_400

Avatar : Fassylovergallery/ Gif : Tumblr


Cette officialisation inopinée de leur relation avait fait surgir des craintes dont aucun d’eux ne se doutaient d’éprouver un jour. L’incompréhension s’était emparée d’eux, jetant un froid sur leur relation, jusqu’au petit matin. Toutefois, malgré les mots qu’ils avaient pu échangé au cours de leur dispute apaisée, la réalité était toujours semblable. Angelica allait devoir appréhender un monde dans lequel elle serait soumis au regard de ses détracteurs, mettant ainsi en péril cette carrière qu’elle s’était évertuée à construire au cours de ces dernières années, et cela, tout simplement par amour pour lui. Un prix dont Edward n’était toujours pas certain d’être enclin à lui faire payer, et ce, malgré tout l’amour qu’il pouvait lui porter, et Dieu sait qu’il était incommensurable. Il continuait néanmoins à espérer que ça ne serait qu’une passade, et que tout finirait par se rétablir par la suite. Alors en attendant, le politicien continua de prêter une oreille attentive à sa moitié, tout en s’évertuant à trouver les mots pertinents pour apaiser sa peine « Ça ne doit pas te faire perdre ta foi en l’humanité et ton altruisme ». Parce que c’étaient des qualités qui avaient su le charmer avec le temps, bien qu’il en soit pleinement dénué. « Pourquoi ? » et sourit avec douceur tout en resserrant son emprise sur ses doigts « Je trouve que l’on s’en ait bien sortis tous les deux ». Il n’y avait pas eu le moindre éclats de voix et ils étaient parvenus à exprimer leurs ressentis respectifs tout en compréhension et respect mutuel. « J’ai toute confiance en toi ». Bien qu’intérieurement, Edward appréhendait la laborieuse réalité à laquelle risquait d’être confronté tout autant Angelica que son meilleur ami. Leur entreprise était mise en péril parce qu’elle était tombée amoureuse de lui …

La semaine qui s’était écoulée n’avait pas le moins du monde dissipé les craintes d’Edward. Il s’était seulement contenté de les réprimer davantage, alors qu’il était à l’aube de l’annonce de sa démission. Lundi matin, il ne serait plus candidat au Sénat, et moins encore l’actuel adjoint au maire. Pas un instant il n’aurait pensé mener une telle introspection dès la nuit tombée, songeant constamment aux raisons qui l’avait encouragé dans une telle voix, et les vingt dernières années passées à ambitionner un poste qu’il ne désirait que pour répondre aux exigences de son entourage… La voix d’Angelica l’interrompit dans le fil de ses songes et lui adressa un sourire aux premiers mots prononcés « Bonsoir La Mia Luce » et marqua une pause le temps qu’elle se rapproche jusqu’à lui, la contemplant avec toujours ce même regard épris « Des pâtes fraiches au foie gras aux magrets et aux truffes » et désigna l’autre bout du comptoir « Pour le dessert, ça sera une tarte pommes caramélisées, sudachi ». Pour trouver l’inspiration du menu, il s’était inspirée des grandes tables de restaurant français, et avait voué les quelques heures de son après-midi à procéder aux emplettes pour le repas, et à cuisiner afin que tout soit fin prêt pour la venue de Flynn. Les toasts apéritifs patientaient, quant à eux, dans le réfrigérateur. « Je veux bien, oui » précisa-t-il tout en souriant, continuant de l’envelopper de ses prunelles azurées, tandis qu’elle s’éloignait. Il terminait les dernières préparations qui n’auraient qu’à être réchauffée le moment venu lorsque leur invitée signala sa venue. Il se nettoya promptement les mains dans l’évier, et ce fut le torchon dans les mains qu’il se rendit jusqu’à la porte.

Pour la soirée, Edward avait opté pour un costume simple, sans gilet et cravate, mais pas pour autant dépourvu de boutons de manchettes. Il savait d’ores et déjà que la jolie rousse s’apprêterait tout aussi élégamment, et avait souhaité être à la hauteur de sa distinction. Quand la porte s’ouvrit, Flynn esquissa aussitôt un sourire tout en lui tendant la main qu’il serra sans attendre « Bonsoir Flynn. Entrez.» et reprit « Angie ne devrait pas tarder. Elle s’apprête ». Il revint aussitôt en cuisine pour terminer les prémices de ses préparations, talonné par l’Indien. Il lui adressa quelques brefs regards et osa « Je voulais m’excuser pour le jour de notre rencontre. J’ai été désobligeant avec vous … Je n’aurais pas dû… ». Flynn sourit « Ce n’est rien. C’est du passé ». Edward l’observa quelques secondes tout en acquiesçant, tandis qu’intérieurement, il priait pour qu’Angie ne se hâte de les rejoindre. Elle était la seule avec laquelle il parvenait à être agréable et loquace. Ses congénères ne bénéficiaient pas habituellement d’une telle faveur.


Charly
Messages : 3937
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor

Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
lune 2
Charly
Jeu 12 Sep - 21:14

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_nnkyzq2yan1s8ccbto1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f67776b5742746f64544a496133773d3d2d3330343832343633372e313436663535323535363266363934613232333834353336333832332e676966

Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr

Elle était en retard. Elle le savait. Mais elle avait fait au plus vite. Même si elle apparaissait en jogging, Angie savait parfaitement que son meilleur ami s’en foutait. Mais elle voulait faire les choses bien. Elle présentait officiellement l’homme qu’elle aimait à son meilleur ami. A l’homme qui jusqu’à présent était le seul qu’elle aimait ! Ce n’était pas rien. Elle voulait que ça se passe bien. Elle voulait qu’ils s’entendent bien. La jolie rousse savait qu’ils feraient des efforts l’un comme l’autre. La preuve, Edward était en cuisine, et à l’odeur, il avait mit les petits plats dans les grands. Ils allaient se régaler ! « -wahou rien que ça ! » s’amusa la jeune femme alors qu’il lui annonça le plat. Elle se dépêcha de quitter la pièce, parce qu’elle le trouvait extrêmement sexy en train de cuisiner. Et qu’ils n’avaient clairement pas le temps de faire des folies sur le plan de travail. Elle précisa cependant qu’elle allait l’aider, et dresser la table. Ce qu’elle n’eut pas le temps de faire avant que Flynn ne sonne à la porte.

Lorsqu’elle débarqua de nouveau dans la cuisine, élégante et chic, elle grimaça cependant : « -hé mince… t’es déjà là… » « -quel accueil je te remercie ! » s’amusa son meilleur ami. « -j’ai fais super vite, mais pas assez au vu de ta ponctualité. » elle l’avait vu dans la matinée, mais cela ne l’empêcha pas de déposa un baiser sur sa joue. Elle l’invita à passer au salon, souriant au passage à Edward. Elle revint en cuisine et lui souffla : « -je suis désolée, promis je mets la table après. » elle s’occupa des verres, et laissa Edward servit l’apéro. Flynn était comme elle, amateur de whisky. Alors le choix fut rapidement fait. La conversation s’amorça gentiment. Flynn était bien moins stressé qu’Edward. Mais c’était dans sa nature. Il était toujours zen. Un peu moins malgré tout depuis l’annonce du couple qu’elle formait avec Edward. Ils faisaient face à une légère crise, qu’Angie refusait de voir comme grave. Elle se bornait à dire que ça allait passer, que les gens allaient en avoir marre. Que finalement ce n’était qu’un potin. Elle gardait sa ligne de conduite, ses réseaux actifs, honoraient les contrats, même si certains avaient été annulé. La raison, était lié à sa relation avec Edward. Elle n’en avait pas parlé au politicien, parce qu’elle était convaincue que ce n’était rien. Que finalement, c’était sans doute mieux ainsi. Que ça ne devait pas se faire. Elle n’était pas résignée. Mais pour Flynn, elle n’était pas non plus lucide. La conversation portait principalement sur Angie, sur la femme qu’elle avait été durant l’adolescence, leurs années de galère ensemble. Ainsi Edward pouvait en apprendre encore plus à son sujet.


Manhattan Redlish
Messages : 4059
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart

Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Etoiles
Manhattan Redlish
Jeu 12 Sep - 21:36

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_pmayxmx0bG1r09d6po9_540
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_og9jkm6lcC1v90xb8o1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_pndptfZBQa1rp6kkp_400

Avatar : Fassylovergallery/ Gif : Tumblr


Parce qu’elle aimait être surprise, et qu’il aimait la surprendre, Edward s’était donc inspiré de la cuisine française pour le dîner, qui se déroulerait en compagnie de la seule famille qu’elle n’ait jamais eu, son meilleur ami. Et parce que leur première rencontre avait été pour le moins ardue, le politicien avait à cœur de remédier à cela dès à compter de ce soir. Un doux sourire étira les lèvres de ce dernier quand elle ne dissimula pas sa surprise à la suite de l’énoncé des différents plats qui seraient servis au repas, et la laissa s’éclipser aussitôt, afin qu’elle puisse s’apprêter pour la venue de Flynn qui se déroula en son absence. Edward échangea quelques banalités, principalement des excuses, avec ce dernier, tout en priant pour que la jolie rousse leur fasse rapidement la primeur de sa présence. Ce qu’elle fit. Sans surprise, elle fut tout aussi élégante qu’il l’avait espéré, et l’enveloppa d’un regard pleinement épris, tandis qu’elle saluait son meilleur ami. Il termina de préparer le dîner, quand Angie arriva à sa hauteur afin de s’excuser « Occupe-toi de Flynn, je m’occupe de la table » rétorqua-t-il tout en se penchant pour embrasser son cou, et souffla « Oh, et au fait, tu es magnifique ». Il aimait le lui rappeler constamment, pour qu’elle n’en doute jamais. Il s’évertuait chaque jour à réduire à néant son sentiment d’infériorité qui s’exprimait de temps à autre, et qui lui déplaisait grandement.

Comme annoncé, le politicien s’affaira à dresser la table avec simplicité et élégance, disposant les petits plats dans les grands, les verres d’eaux aux côtés des verres de vins, et disposa par la suite l’argenterie. Quand tout fut en place, Edward décida de rejoindre la jeune femme et le meilleur ami de cette dernière. Renfermé dans son habituel mutisme, il esquissa de temps à autre des sourires et des regards à l’attention d’Angelica dont il découvrit tout un pan de sa vie qu’il avait ignoré jusqu’alors, jonchant l’histoire de quelques anecdote sur son passé qui ne faisait que l’aimer plus encore. Son verre de bourbon japonais dans une main, il vint glisser l’autre jusqu’à l’intérieur de sa cuisse, plus proche de son genou que de son entre-jambe, par simple décence. Il ne voulait pas flirter. Il éprouvait comme un besoin de vital de constamment la toucher, de la savoir à proximité. « Il aura fallu que vous veniez dîner pour que j’en découvre davantage sur Angie » et finit par jeter un coup d’œil espiègle à sa moitié « Tu es si … différente maintenant », et resserra son emprise sur sa cuisse, tout en venant déposer ses lèvres sur sa tempe chaude « Je vais aller réchauffer le dîner, si ça vous convient à tous les deux ». Edward disparu dans la cuisine quelques instants, non sans jeter quelques regards à l’attention des deux amis dans le salon, et les appela à venir à table le moment venu, prenant place aux côtés d’Angie, une fois encore « Bon appétit ».



Charly
Messages : 3937
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor

Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
lune 2
Charly
Ven 13 Sep - 12:17

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_nnkyzq2yan1s8ccbto1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f67776b5742746f64544a496133773d3d2d3330343832343633372e313436663535323535363266363934613232333834353336333832332e676966

Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr

Flynn était égal à lui-même. Poli, souriant. Il était surtout heureux de pouvoir rencontré Edward. Le rencontrer vraiment. Celui qui était stressé, c’était Edward. Il avait mit les petits plats dans les grands. Clairement. Angie savait parfaitement ce qu’il pouvait ressentir. Elle avait été face à Iris… même si cette rencontre n’était en rien comparable. « -d’accord. » obtempéra la jolie rousse avec un sourire qui voulait lui faire comprendre qu’il n’avait pas besoin de se mettre la pression. « -toi aussi. » répondit la jeune femme avant de retourner au salon vers son meilleur ami. Flynn décida de lancer des dossiers d’adolescence, révélant un peu plus qui était Angie lorsqu’elle était plus jeune. Elle rit de bon cœur à certain souvenir. « -quoi ? n’importe quoi. Je t’ai raconté certaines choses. Mon passé n’est pas classé secret défense. » Flynn était le pro pour faire remonter ces souvenirs doux et drôles qu’elle oubliait souvent à cause des douloureux. « -j’ai pris de l’âge que veux-tu ! » s’amusa Angie en lui souriant malicieusement. Elle le regarda se lever pour aller s’occuper du diner. Un regard pour Flynn qui lui adressa un sourire en retard. Une fois à table, Flynn demanda : « -au fait, tu ne m’as pas parlé de votre visite de maison. Comment ça s’est passé ? » avant d’ouvrir de grands yeux : « -wahou Edward, c’est délicieux. » « -je te l’avais dit. » sourit la jolie rousse, avant de regard Eddy et de répondre à la question : « -personnellement, j’ai beaucoup aimé. Même si on a encore quelques réserves. »

Flash Back :

« -sérieusement ? » avait elle demandé alors qu’il venait de lui demandé si elle était disponible en fin de journée pour une visite de maison. « -il a réussit à trouvé quelque chose qui colle à tout ce qu’on voulait ? » avait demandé la jeune femme au téléphone. Ils s’étaient donnés rendez-vous et quelques heures plus tard, ils se retrouvaient à l’appartement afin de se rendre ensemble à ce rendez-vous. Angie avait encore un peu de mal à croire qu’ils allaient faire ça, vraiment s’engager de la sorte. Un peu comme si elle redoutait toujours que quelque chose leur tombe dessus. Cependant, c’était avec une joie certaine qu’elle se préparait mentalement pour cette visite, espérant que le bien serait digne de leurs attentes. Elle avait serré la main de l’agent immobilier, un homme du même calibre qu’Edward, qu’elle apprécia rapidement.

Fin du Flash

Manhattan Redlish
Messages : 4059
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart

Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Etoiles
Manhattan Redlish
Ven 13 Sep - 19:26

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_pmayxmx0bG1r09d6po9_540
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_og9jkm6lcC1v90xb8o1_500
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly - Page 18 Tumblr_pndptfZBQa1rp6kkp_400

Avatar : Fassylovergallery/ Gif : Tumblr


Sans mal, Edward affrontait une horde de journaliste contestataire et hostile, mais dès lors que cela concernait la sphère plus privée, il en venait presque à perdre ses moyens. Cela résultait également de leur première rencontre au cours de laquelle le politicien ne s’était pas montré l’homme le plus chaleureux qui soit… Il avait dû par la suite fournir les efforts nécessaires pour qu’Angelica croit suffisamment à sa sincérité pour convier de nouveau Flynn à leur appartement. Toutefois, maintenant qu’il était devant le fait accompli, il peinait à prononcer le moindre mot, se contenant d’adresser tour à tour sourire et regard complice à la jolie rousse assise à ses côtés. « Tu m’as fait part des mauvais aspects de ton passé. Ce soir, j’en découvre de nouveaux ». Leur adolescence était différente, selon le point de vue de l’un ou l’autre. La couvant tendrement du regard, il acquiesça avant de confirmer « Pour te rendre plus parfaite que jamais ». Parce qu’elle était bel et bien à ses yeux. Sur ces mots, Edward prit congés afin de réchauffer le dîner comme il se le doit, et de dresser les assiettes qu’il apporta à table. Dès qu’ils prirent en bouche la première becquée, les compliments furent formulés à voix haute, le faisant quelque peu rougir et trouva un soutien implicite chez Angelica, déposant de nouveau sa main sur sa cuisse « Merci… Je voulais faire une bonne seconde impression », à défaut d’avoir su faire la première.

Quant en ce qui concernait la maison qu’ils avaient visité quelques jours auparavant, Edward fut agréablement surprit qu’Angie se soit confié à ce sujet à son meilleur ami, et la laissa répondre en première à la question posée, puis vint préciser « On ne souhaite pas se précipiter. On ne veut pas non plus faire de concessions sur nos exigences ». La cheminée, le parquet vieillissant, la cuisine américaine, les quatre chambres afin qu’ils disposent chacun de leur espace, le jardin constructible. Tout était primordial, et ils étaient prêt à payer le prix nécessaire pour que leur future maison réponde à chacun d’entre elles.

FLASH-BACK

« Tu es disponible cette après-midi, aux alentours de 17 heures ? On a une maison à visiter » finit-il par lui avouer de l’autre côté du combiner et sourit à son enthousiasme « Il ne m’a rien dit à ce sujet. Il souhaite juste que l’on vienne ». Ce qui laissait à penser que la résidence ne cochait pas toutes les cases de leurs attentes, et qu’elle disposait d’un charme suffisamment certain pour qu’ils puissent accepter un compromis. Darell était d’ores et déjà présent à leur arrivée. Il disposait d’une carrure semblable à celle du politicien, bien que son visage était plus juvénile, témoignant des presque dix années qui séparait les deux hommes. « Ravi de faire votre connaissance. Edward m’a beaucoup parlé de vous. Enfin… » et leva les yeux vers ce dernier « Autant dans la limite des mots disponible », faisant référence à son habituel mutisme. « Sur ce, suivez-moi ». La maison était située dans un quartier de banlieue chic et familial, disposant d’un parterre d’herbe devant la maison, et qui laissait à penser qu’elle disposait également d’un imposant jardin. Les quelques marches menant jusqu’à l’entrée, tout autant que le petit porche ne laissèrent pas insensible le politicien qui glissa sa main dans le dos d’Angie, la conviant à entrer dans la demeure.

FIN FLASH-BACK



Contenu sponsorisé
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
Page 18 sur 18
Aller à la page : Précédent  1 ... 10 ... 16, 17, 18
Sujets similaires
-
» "Il n'y a pas de hasards, que des rendez-vous" [ft Charly]
» "Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
» Tomber amoureux est un véritable parcours du combattant [ft Charly]
» “Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
» "Il n'y a qu'une personne qui me donne l'impression d'avoir des ailes et de planer, et c'est toi." - Ft Charly

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
LE TEMPS D'UN RP :: Les Univers :: Univers réel :: Amérique du Nord-
Sauter vers: