La situation Ils ont dit qu'ils partiraient avec le strict minimum, sans prévisions, sur un coup de tête. Et ils l'ont fait. Lily et Abel sont partis de Californie il y a quelques jours maintenant, destination "Aotearoa", dit la Terre du long nuage blanc : La Nouvelle Zélande. Un sac à dos, une voiture louée, et les deux tourtereaux font le tour des plus beaux lieux de l'île, sans rien ni personne pour entraver leur amour.
J'ai 22 ans et je vis à San Francisco, Californie. Dans la vie, je suis étudiante et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureuse et en couple avec Abel Silverstein. Informations supplémentaires ici.
Parc National d'Abel Tasman, Nouvelle Zélande, île du Sud, novembre. Voilà une semaine déjà qu'Abel et Lily découvrent sagement la Nouvelle Zélande, arrivés à Queenstown depuis San Francisco après avoir quitté leur vie, leurs amis, leurs études, laissant tout derrière eux pour ne vivre plus que l'un pour l'autre. Et Lily, elle vit comme jamais. Elle découvre des paysages magnifiques, prend des photos somptueuses, découvre chaque ville avec délice. Ce week end, ils ont décidé de camper dans le Parc National d'Abel Tasman, avant d'aller prendre le Ferry pour rejoindre l'île du nord. Arrivés depuis quelques heures déjà, ils ont marché un moment pour trouver l'endroit idéal où déplier leur tente et s'installer pour le week end. A deux pas de la plage, de l'eau claire, de la verdure et du soleil, Lily est encore en train de s'assurer de la stabilité de leur tente - bien qu'il n'y ait que peu de vent, et que le temps soit au beau fixe - par simple précaution. Toujours un peu trop ordonnée, et pourtant, pourtant Lily elle est bien plus éparpillée qu'avant. Elle est là, vêtue d'un simple short en jean sacrément court et d'une chemise, sans se demander ce que les autres penseraient d'elle en voyant ses jambes ainsi mises à nu. Il n'y a plus qu'Abel qui compte. Et Abel, chaque fois qu'il la regarde, elle se sent si belle. Pourtant, quand elle se redresse, son petit ami est déjà parti en vadrouille à travers les arbres. Lâchant son sac, Lily le réprimande, court dans sa direction en riant « Abel ! A... attends, j'ai pas mis mon maillot encore ! » Elle parvient à son niveau, et dans son élan, dans sa bonne humeur, Lily elle lui saute sur le dos. Attache ses jambes autour de lui fermement, pour lui mordre l'épaule. « Je t'ai dit de m'atteeeendre. » qu'elle râle en appuyant sa tête dans le creux de son cou, se fichant bien de mettre tout son poids sur lui. Elle est heureuse, Lily. « Tu allais où comme ça ? »
J'ai 22 ans et je vis à San Fransisco, Californie. Dans la vie, je suis étudiant et je m'en sors relativement bien. Sinon,je suis en couple avec la femme la plus merveilleuse du monde, et nos péripéties nous ont un peu épuisés.
Abel aurait pu mourir en l’instant, c’était en homme heureux qu’il serait parti. Il y a de ça une semaine, ils étaient arrivés sur le territoire néo-zélandais en choisissant totalement aléatoirement leur destination. Et d’hôtels en hôtels, de tente en tente, ils avaient passé leur temps à se balader, Lily accroché à son appareil photo, et Abel qui avait troqué le cure-dent et la clope pour des bâtons de réglisse en bois qu’il mâchait pour se passer l’envie de fumer. Chaque endroit était plus impressionnant les uns que les autres, et il avait beaucoup apprécié les grottes de Waitomo, avec des vers luisants collés aux parois de pierre qui rendait l’endroit surréaliste. Mais aujourd’hui, ils avaient posé leur gros sac à dos sur une plage du Parc National d’Abel Tasman. Coïncidence ou non, c’était un espace plein de vie et de paix, en harmonie avec le son cristallin des oiseaux qui volaient autour d’eux.
Abel avait jeté son sac dans le sable comme un vieil objet et était déjà parti dans la forêt de la réserve, trouver n’importe quoi qui sortait de l’ordinaire. Il se prenait un peu pour un aventurier, et il avait une sorte de machette locale qu’il avait acheté sur un marché d’une ville voisine, avec laquelle il fendait l’air, tel Indiana Jones. Il était torse nu, avec un pantacourt beige, des chaussures assez épaisses pour marcher longtemps, une ceinture avec une gourde accrochée. Il avait même accroché un bandana autour de son bras. Il se croyait réellement dans un film quand un petit singe vint s’accrocher à son dos. Il passa ses bras sous les cuisses de Lily pour la soulever et la garder contre lui. « Je... » Il poussait une branche avec sa machette qui n’était même pas taillé. « Je crois qu’il y a un court d’eau par là-bas. » Il avançait toujours, l’air sérieux. « Et puis, ton maillot est inutile, Lara Croft. Là où l’on va, les requins et les pieuvres ne veulent pas manger des tissus aussi couvrants. » Et en tournant derrière un immense buisson, il vit un trou dans la forêt où un petit lac à l’eau transparente se cachait, un léger éclat de lumière pour le faire briller. « Nous sommes arrivés à destination. » Il pointa sa machette en direction de l’eau. « Je pense que le talisman est au fond du lac, nous devrions aller vérifier. » Et il reposa Lily sur le sol, retira ses pompes, sa ceinture, son bandana, son pantacourt et… son boxer. Il se mit à courir comme un dératé. « BANZAAAAAAÏ. » Et il se jeta dans l’eau dans une bombe aquatique pas du tout gracieuse mais bruyante.
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Le bonheur lui va si bien. Abel aimait plus la nature que les villes, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure, et elle savait dès lors que des locaux de Queenstown lui avaient parlé du parc, qu'il l'aimerait, et pas seulement parce qu'il portait son prénom. Agrippée à son dos, les bras fermement noués autour de son torse, Lily elle couine en riant quand Abel attrape ses cuisses pour correctement la hisser sur son dos, et elle regarde devant eux en quête du cours d'eau qu'il mentionne. « Je vois que des arbres. » qu'elle dit d'un air perplexe, priant intérieurement pour que personne ne leur vole leurs affaires. Stop, Lily, arrête de réfléchir. Elle roule des yeux vers le ciel, le menton appuyé dans le creux de l'épaule du brun. « Y a pas de pieuvres ici. Tout au plus on trouvera des phoques. » Et elle doutait qu'un phoque tente de la dévorer toute crue. Et comme par miracle, en poussant une ultime branche, Abel trouva ce qu'il cherchait, devant une Lily la bouche ouverte. L'eau était si claire qu'on voyait clairement le fond, les arbres si verts qu'elle en avait presque mal aux yeux. Tout était parfait, ici. Et l'endroit était assez illuminé, sans être couvert à outrance. La perfection. « Woah. » Elle ne trouvait rien à dire de plus, Lily. Elle aurait du prendre son appareil photo.
Abel désigna le lac, s'improvisant aventurier. On aurait pu croire à un enfant s'inventant des histoires pour pimenter sa journée. Et Lily, elle rit en retombant jusqu'au sol. « Tu sais même pas la température de l'eau, vas y douce... Hey.. hey Abel non ! » Trop tard, voilà que son homme est à poil. Et elle a beau lui crier que c'est un parc public, Lily, ça rentre par une oreille et ça ressort par l'autre, car déjà il saute dans l'eau de la façon la plus... Abel qui soit. De son côté, Lily ronchonne. « Je maintiens que j'aurais du mettre mon maillot. » Parce que c'est pas tout, mais sous sa chemise, la brune elle ne porte rien. Alors elle retire simplement son short en jean, qui mettrait des lustres à sécher si elle le mouillait, se retrouvant simplement en chemise et shorty, et elle s'avança jusqu'au bord de l'eau, pour s'asseoir sur un rocher, les jambes dans l'eau jusqu'aux genoux. Abel sortit la tête de l'eau, et elle l'interpelle en riant : « Alors Indiana Jones, tu l'as trouvé ton talisman ? » Bon sang, qu'est-ce qu'il est beau comme ça.
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Mer 26 Sep - 22:55
Abel Silverstein
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L’eau était fraîche, mais il avait connu pire. Tout ce qu’il sentait, c’était la passion que le lac avait de couler sur sa peau. Personne aux alentours, il se sentait vivant. C’était une sensation indescriptible, et il respirait bien, dormait bien, mangeait bien. Il avait du prendre un ou deux kilos, Lily aussi, mais ça leur allait bien. Il allait vers le fond, les yeux ouverts. L’eau était claire. Ce n’était pas de l’eau de mer, et il chercha des cailloux, des herbes, des poissons, n’importe quoi. Il sortit enfin la tête de l’eau en prenant une grande inspiration, et quand il rentra à nouveau dans l’eau, il n’y laissa dépasser que le haut de sa tête, et ses yeux. Et il la voyait. Si seulement il était bon photographe, il aurait pu faire le cliché de l’année. Sa femme, assise sur un rocher, avec une chemise entrouverte, et en sous-vêtements. Cette vision mon dieu… il devenait de plus en plus difficile pour Abel de se contrôler en sa présence, surtout quand elle avait l’indécence de le provoquer en mettant des tenues qui la mettait bien trop en valeur. Il s’approcha d’elle doucement, en l’appelant par son nom d’aventurier. Il sortit légèrement la tête de l’eau pour répondre à Lily. « Non, malheureusement je n’ai rien trouvé Lara, j’aurais bien besoin d’aide. » Il baissa sa tête, mais son regard ne cessait de regarder Lily de la tête aux pieds, un sourire qui en disait long sur le visage. « Le message codé disait qu’il fallait que tu ouvres ta chemise. Parce que ben… c’était le message caché dans le coffre. » Il haussait les épaules pour donner du caractère à son explication. Dieu qu’elle était belle. Chaque fois qu’il la regardait, il retombait amoureux d’elle, un peu plus encore. Il avançait encore tout doucement vers elle, tout doucement, tout doucement, tout doucement… Lily était en hauteur comparé à lui, alors il aurait été bien difficile pour lui de la tirer dans l’eau avec lui.
Il se demandait quand est-ce que la chance avait tourné, quand est-ce que le karma l’avait prit sous son aile pour lui donner les plus beaux instants de sa vie. Parce qu’être heureux comme il l’était, ce n’était pas de l’ordre de la réalité. « Et puis… Indiana Jones s’ennuie sans sa Tomb Raider... » Et il regardait Lily défaire sa chemise lentement. Bon dieu ! Mais elle faisait vraiment tout pour le rendre dingue. Le palpitant d’Abel s’accéléra et toutes ses forces se concentraient pour trouver le moyen de lutter contre les perversions de Lily. « Tu es indécente, Lily Abernathy. Vraiment. Je ne sais pas qui t’as appris à être aussi bonne, mais en tout cas, c’est pêché tout ça. » Et il fronça son nez avec un sourire à pleines dents.
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Elle ne se gênait pas pour l'observer. Diablement beau, dans l'eau, elle détaillait du regard chaque muscle de ses bras, de son torse, de son dos. Il avait repris du poids, mais aussi du muscle, depuis qu'ils habitaient ensemble. Les seules cernes qui les habitaient étaient provoquées l'un par l'autre, à se coucher à l'aube pour se lever en fin de matinée. Et Lily, elle était heureuse comme ça. Elle rit en balançant la tête, tandis qu'Abel semblait lui demander son aide dans sa quête d'explorateur des eaux. « Je ne vais pas me baigner toute habillée, monsieur Jones. » Et pour illustrer ses mots, elle désigne sa tenue du bout des doigts, mais de toute évidence, ça n'arrêtait pas Abel, dont le regard qu'il posait sur elle valait mille mots. Qu'elle ouvre sa chemise ? « Ben voyons ! » Bras croisés, elle le regardait s'approcher, s'approcher, encore s'approcher... Bon sang, qu'est-ce qu'il lui faisait ? Il y a un an, Lily Abernathy n'aurait pas même osé s'exposer en short. Or, voilà qu'elle fixait son petit ami, les jambes dans l'eau, et haussait simplement les épaules. « Que j'ouvre ma chemise, donc. Je ne voudrais pas interrompre ta quête dans ce cas. »
Sur ces mots, la brune porte ses doigts aux premiers boutons de sa chemise, pour en oter un premier. « Je suis juste là, mais tu comprends, pas envie de me faire manger par un requin. » Ah ça non, pas par un requin. Lily elle sait qu'elle a réussi à captiver son attention, à Abel. Car au lieu de regarder l'eau, le paysage, ou tout ce qui les entoure, il a désormais le regard rivé sur ce second bouton que Lily fait sauter, dévoilant sa peau claire. Elle hausse une épaule, et porte ses deux mains au troisième bouton, situé sous sa poitrine. « Je ne sais pas. Tu as raison, peut-être devrais-je aller me repentir dans la tente. » Et pourtant, elle défait bien ce troisième bouton, dévoilant ainsi qu'elle ne porte rien, absolument rien sous sa chemise, d'autre qu'une fine chaine qui pend autour de son cou. « Ouvrir ma chemise, disait donc le message, hm ? Comme ça ? » Et sur ces mots, elle détache le dernier bouton, dévoile son ventre tendu, son nombril, sa peau pâle qui s'est très légèrement hâlée grâce à l'été néo-zélandais. Elle balance ses jambes dans l'eau, et malgré son apparente assurance, elle rougit, Lily. « Et maintenant ? » qu'elle demande, sans quitter du regard le bleu de ses yeux.
Invité
Mer 26 Sep - 23:23
Abel Silverstein
J'ai 22 ans et je vis à San Fransisco, Californie. Dans la vie, je suis étudiant et je m'en sors relativement bien. Sinon,je suis en couple avec la femme la plus merveilleuse du monde, et nos péripéties nous ont un peu épuisés.
Et elle déboutonne un premier bouton Lily. Elle se joue effrayé par un requin, tout en se déshabillant langoureusement, et Abel secoue la tête tout doucement, en ne la lâchant pas du regard. Mais ses mains se portent sur le deuxième bouton et Abel, malgré cette eau froide a terriblement chaud. Il prend sur lui, tout ce qu’il peut, comme il peut. C’est dur (évidemment) mais il tente de garder un minimum de contrôle. Elle songe à voix haute finalement de retourner à la tente pour se repentir. Abel sait très bien qu’elle joue autant que lui, mais mon dieu, qu’il ne souhaite pas qu’elle fasse demi-tour, tant la scène qu’elle expose devant lui est bandante. Bon. C’était trop tard. Quand elle ôta son troisième bouton et que son corps affirmait être dénué de sous vêtement en haut, Abel avait perdu le contrôle total. Il était bien trop excité, et Lily était d’un sexy… jamais, jamais il ne l’avait vu si provocatrice, si sensuel, si excitante. Elle cherchait la petite bête mais mon dieu, Lily elle était là, et elle jouait avec les nerfs de son petit-ami. Ce petit collier qui tombe à la naissance de ses seins fait perdre la tête à Abel. Et ce dernier ne cesse de regarder son ventre, la courbure de sa poitrine qui se dessine légèrement sur les bords de la chemise. Il regarde ensuite le bas de son ventre avec ce petit shorty. C’en est trop. Et Abel l’animal se réveille.
Il s’approche vivement de Lily et prend appui sur le rebord en bas du rocher. Il se met à grimper à une vitesse folle pour atteindre Lily et la plaquer sur le rocher, une main derrière sa tête pour éviter qu’elle se fasse mal. Il se met au dessus d’elle, et son regard est bestial. « Tu me cherches. » Il n’avait qu’en contact cette main sur sa nuque et cette cuisse sur celle de Lily. Ils ne se touchaient pas, mais la tension était palpable. Son corps était tendu, excité, il sentait qu’il frôlait l’explosion. Il pencha sa tête un peu plus en avant, surplombant de son corps immense le corps tout menu de Lily, puis, il approcha ses lèvres des siennes, toujours sans les toucher, et souffla contre sa bouche. « Lily, Lily, Lily… qu’est ce que je vais bien pouvoir faire de toi… ? » Et il vint doucement vers son oreille, sans contact, mais juste un petit frôlement légèrement. « Tu es incroyablement sexy. » Et il vint lui mordre légèrement la peau.
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Bien sûr qu'elle le provoque. Mais n'était-ce pas ce qu'il cherchait depuis le début ? A la regarder de la tête aux pieds, à lui intimer d'ouvrir sa chemise. Elle le fixe comme si elle menait la partie, Lily, mais au fond, qui a lancé les hostilités ? Qui contrôle la situation ? Peut-être un peu des deux, sur l'instant. Mais dès lors qu'Abel se hisse hors de l'eau, la brune perd le contrôle et se retrouve penchée en arrière, plaquée contre son perchoir, la seule paume d'Abel protégeant l'arrière de son crâne. Le désir qui brûle dans ses yeux est si intense qu'il brûlerait presque Lily au fer rouge. « Tu m'as dit d'ouvrir ma chemise. » Articule-t-elle dans un souffle, sans le quitter des yeux. Elle avait envie de se courber, d'arquer le buste pour pouvoir le toucher. Il était bien trop près, et en même temps beaucoup trop loin d'elle. Elle en soufflait de frustration quand il se pencha au dessus de ses lèvres. Et chaque fois qu'il murmurait son prénom, c'était plus beau que toutes les symphonies au monde. Elle lève très légèrement son visage, mais Abel est malin, il recule, lui échappe. Il sait comment lui faire perdre la tête. « T'as pas mal d'options... » Qu'elle murmure en pinçant les lèvres, lèvres soudain bien trop sèches alors qu'Abel effleurait cette fois son oreille. Malgré elle, la brune deserre les lèvres pour laisser échapper une longue expiration. Souffle qui se transforme en gémissement quand il la mord. C'est dingue ce que son corps réagit instinctivement au contact d'Abel. Il se l'est approprié. Entièrement. Ou presque.
« Je peux aller me rabiller si ça t'embête tant que ça. » Elle pousse la provocation comme elle peu, la brune. Relève une de ses jambes de façon à se que son genou passe sur le côté du bassin de son petit ami, dans un frôlement. Puis elle tourne la tête pour accrocher son regard. « A moins que.. tu aies... autre chose en tête ? » C'est toujours difficile, pour elle. De poser des mots sur ses envies. D'en parler aussi explicitement qu'Abel. A vraie dire, elle doute de pouvoir un jour être capable de parler comme lui. Mais au moins, maintenant, elle savait employer son corps. Savait suggérer les choses... même à demi mot.
Invité
Jeu 27 Sep - 8:44
Abel Silverstein
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Lily avait ce don de faire découvrir à Abel des sensations qu’il n’avait jamais connu auparavant. Pas qu’il n’avait jamais joui ou prit du plaisir pendant l’acte, mais il n’y avait pas de notion d’amour, et ça c’était nouveau. Et il se rendait compte qu’être amoureux le rendait plus performant, plus optimiste et bien plus excité qu’auparavant. Et puis… Lily y était pour beaucoup. Elle commençait à connaitre les points sensibles sur lesquels titiller Abel pour qu’il réagisse. Elle était très forte, et elle s’améliorait de jour en jour. Quand elle relève sa jambe sur le côté de la taille d’Abel, ce dernier se rend compte qu’il est complètement nu, proche d’elle, avec une érection presque douloureuse. Il serrait sa mâchoire, et Lily devait bien voir qu’il était contracté, tendu. Il recula son visage pour la regarder droit dans les yeux et des flammes devaient briller au fond. Trop provocante. « J’ai des milliers de chose en tête. » Et il vint plaquer ses lèvres à celle de Lily dans un geste féroce. Et il glissa sa main sous la cuisse relevée de Lily pour venir la remonter encore plus, mais le corps d’Abel se plaqua légèrement contre celui de sa belle, qui devait bien sentir l’effet qu’elle lui faisait.
De sa main libre qu’il vint glisser sous le chemisier de Lily, sur sa taille, il se maintenait à elle, tout en l’embrassant avec passion. Il était difficile d’être maître de soi-même quand une femme aussi érotique vous regardez avec ces yeux-là, et bougez son corps avec autant d’harmonie que le sien. La main sur la taille de Lily s’approchait dangereusement de son shorty, et Abel ne se gênait plus pour y passer sa main, sentant ainsi l’excitation de sa femme sous ses doigts qui devenaient humides. « Je vais t’épuiser, Lara Croft, tu vas me supplier d’arrêter. » Il glissa un doigt contre la partie la plus intime de son corps, exerçant une pression et un mouvement fait pour la faire réagir bien trop rapidement.
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Est-ce qu'Abel Silverstein était étendu au dessus d'elle, absolument nu, et elle à demi déshabillée ? Absolument. Et la poupée brune, elle ne pouvait s'empêcher de jeter quelques regards anxieux autour d'eux, soucieuse que des passants puissent débarquer et tomber sur le couple qui, de toute évidence, ne jouait pas aux cartes. L'érection d'Abel touchait la jambe de Lily, et malgré elle, elle sentit ses appréhensions se ranger dans un coin, et son bas ventre se tordre d'envie. D'autant plus lorsque son regard croise celui, embrasé, clair comme l'eau qu'il vient de quitter, de son petit ami dont l'esprit semble fourmiller de milles idées. « J'ai.. tout mon temps. » Les mots peinent à franchir ses lèvres, et meurent contre la bouche d'Abel qui vient capturer la sienne avec autorité. Lily elle enroule une main derrière sa nuque, et sa respiration saute au contact de la main d'Abel sur sa jambe qu'il remonte, et de son corps rafraichi par l'eau contre le sien. Bon sang, l'effet qu'il lui fait en quelques secondes... c'est inhumain.
Son dos s'arque par réflexe lorsqu'il vient porter sa main à sa taille, et Lily, elle attrape la lèvre inférieure d'Abel entre ses dents, la mordillant doucement. Elle sentait la main de son petit ami, qui s'aventurait déjà au niveau de son shorty, glissait à l'intérieur dans un geste devenu habituel, et pourtant, Lily s'étonnait toujours de la rapidité à laquelle il pouvait la rendre humide dans cette zone si sensible de son corps. Il. Vient. De. La. Toucher. Son dos s'arqueboute à nouveau, ses mains viennent s'accrocher à son dos et elle serre les lèvres pour contenir le moindre son. « Abel... » La supplique quitte ses lèvres pour s'abattre contre celles du brun, et elle plonge son visage dans son cou où elle dépose ses lèvres, ses dents, sa langue, délicatement. « Et si... et si quelqu'un débarque... » La conscience de Lily, toujours sa conscience.