J'ai 22 ans et je vis à San Fransisco, Californie. Dans la vie, je suis étudiant et je m'en sors relativement bien. Sinon,je suis en couple avec la femme la plus merveilleuse du monde, et nos péripéties nous ont un peu épuisés.
Abel avait envie de faire découvrir de nouvelles choses à Lily, mais il irait progressivement pour ne pas la brusquer. Elle était bien trop novice pour qu’il s’aventure dans d’autres contrées sans son accord. Car il demanderait toujours son accord. Mais pour accélérer la cadence contre son intimité, ça, il le ferait tout seul. Elle se collait un peu plus à lui, et mon dieu Abel il avait mal à son membre, bien trop gorgé de sang. Il glissait ensuite légèrement vers le bas, son shorty se tâchant d’humidité. Le corps trempé d’Abel gouttait sur le corps de sa petite-amie et elle avait des frissons qui perlaient le dessus de sa peau. Il vint enfoncer la tête dans son cou et la marquer pour quelques jours d’une tâche violette et rouge. Il reculait sa tête pour voir son œuvre et un sourire diabolique s’étira sur son visage. Ses doigts à l’intérieur de Lily, il se mit à jouer pour provoquer multiples réactions. Et il adorait voir qu’elle le surprenait à chaque fois. « Je me fous complètement de ces personnes, qu’elles nous regardent, ça leur fera du spectacle. » Mais cette fois-ci, il avait envie d’autre chose, il avait envie de la voir réagir autrement.» Il vint passer sa langue le long de son cou légèrement.
En attendant sa réponse saccadée d’une respiration défaillante, il prenait appui de son coude pour se soutenir et il allait bien plus rapidement qu’il y a quelques secondes. Son pouce sur son petit bout de chair pour que le mouvement suive et lui donne des décharges électriques, Abel finissait ses doigts un peu plus rapidement pour que Lily puisse perdre pied, sur ce rocher. Il retira ses doigts doucement de sa culotte, pour venir passer sa langue le long de ses doigts. « Est-ce que je peux te montrer quelque chose d’autre ? » et il passait ses doigts dans sa bouche pour se les nettoyer, imageant potentiellement ce qu’il avait prévu de faire.
J'ai 22 ans et je vis à San Francisco, Californie. Dans la vie, je suis étudiante et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureuse et en couple avec Abel Silverstein. Informations supplémentaires ici.
Plus le temps passait, plus Abel la caressait, et plus Lily elle cherchait des excuses pour s'alléger la conscience : après tout, ils sont dans un coin reculé des sentiers de randonnée, il y a peu de chance pour que quelqu'un débarque ici pile quand ils y sont. Ses pensées se font de moins en moins rationnelles à mesure que les lèvres et la main de son petit ami se jouent de son corps, et ses ongles se plantent très légèrement dans le dos du brun sous l'impulsion du désir qu'il anime en elle. « Pervers. » Parvient-elle néanmoins à murmurer quand il parle de spectateurs, la brune plaquant une de ses propres mains sur ses lèvres pour étouffer un potentiel gémissement au contact de la langue d'Abel sur la peau de son cou. Malgré ses efforts, un hoquet lui échappe, son corps s'agite, elle était pantin, Abel marionettiste. Dans ce genre de moments, il pouvait faire ce qu'il voulait d'elle, elle était entièrement à sa merci.
Sa respiration est totalement chaotique, alors que son corps n'est plus qu'une masse qui se soulève et s'abaisse en quête désespérée du contact d'Abel. Ses paroles sont incohérentes. Tantôt, elle commence des phrases qui n'aboutissent jamais, puis, elle murmure inlassablement son prénom, jusqu'à ce que ses jambes l'abandonnent, que son corps s'agite de tremblements, puis s'agrippe, doucement, presque tendrement malgré la situation, à celui de son petit ami. Elle lève les yeux pour le regarder, retirer sa main de son bas, et de manière indécente, elle ne quitte pas des yeux le geste qu'il effectue lorsqu'il porte ses doigts humides à ses lèvres, faisant rougir instantanément Lily. Bon sang, il y avait une telle désinvolture dans chacun de ses gestes, comme si c'était la chose la plus naturelle au monde. A sa question, Lily se fige, plonge son regard dans le sien, à la fois anxieuse et terrassée par l'envie, la curiosité. Elle passe sa langue entre ses lèvres sèches, puis, doucement, elle hoche la tête de haut en bas, dans un geste imperceptible. « O...oui.. D'accord. » Une part d'elle s'inquiétait à chaque fois. Mais l'autre, elle, désirait en découvrir plus, toujours plus avec lui.
Invité
Jeu 27 Sep - 14:01
Abel Silverstein
J'ai 22 ans et je vis à San Fransisco, Californie. Dans la vie, je suis étudiant et je m'en sors relativement bien. Sinon,je suis en couple avec la femme la plus merveilleuse du monde, et nos péripéties nous ont un peu épuisés.
C’était bien que l’alcool, mieux qu’une défonce, mieux que tout ce qu’il avait vécu auparavant. Il pourrait s’enivrer des bruits et gémissements de Lily jusqu’à la fin de l’éternité, c’était un son qui lui faisait du bien. Elle se tordait, complètement folle, elle était dans un état second et mon dieu que c’était bon. Abel se léchait les doigts, avidement, salement, goûtant le corps de Lily et ce qu’elle dégageait de plaisir. Il était pervers, Abel, et Lily le lui rappelait. Il avait un sexualité animal et il se découvrait d’autres envies avec son amante, il avait envie de prendre son temps, de la regarder découvrir, de la regarder prendre du plaisir, il voulait qu’elle se voit prendre du plaisir à travers les yeux d’Abel parce que c’était la vision la plus érotique qu’il n’ait jamais eu à voir.
Et Lily accepta sa demande. Peut-être était-elle effrayée, et ça se ressentait tant Abel la sentait nerveuse, mais son corps parlait pour elle, et elle en avait tout autant envie que sa peur. Elle était dans beaucoup de contradiction, mais Abel était là pour veiller à ce qu’elle soit le plus à l’aise possible. Il finit par l’embrasser à nouveau sur les lèvres, et il murmura. « Fais-moi confiance. » Et ses lèvres glissèrent dans son cou, lentement. Puis sur son torse, encore plus doucement. Et il se dirigea vers un endroit encore inconnu de la bouche d’Abel, ses seins. Ce n’était pas la destination finale mais il pouvait bien faire un crochet dans son décolleté, et sa main gauche remonta de sa hanche vers la courbure de sa poitrine. Il vérifiait d’un regard que Lily était toujours présente et d’accord, puis il vint baiser son sein qui se tendit aussitôt. Les dents d’Abel s’amusèrent aussi à la rendre encore plus fébrile, la bouche sur un sein, la main sur l’autre. Il sentait son corps devenir chaud, et Lily était aussi bouillante que lui. Puis, lâchant sa poitrine, il fit une longue ligne de baiser vers son ventre, vers son bas-ventre… Et il vint attraper l’une de ses cuisses dans son bras droit pour la tenir légèrement. Abel releva légèrement la tête, pour être sûr que Lily acceptait.
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Elle a toujours confiance en lui. Toujours. Dès l'instant où il l'avait prise dans ses bras sur ce balcon, dès le soir où elle s'était abandonné à ses bras et ses lèvres pour la première fois, Lily, elle avait déposé sa confiance dans le creux des mains d'Abel. Ca ne l'empêche pas pour autant d'avoir peur. Découvrir sa sexualité à 22 ans, surtout avec un homme comme Abel, c'est toute une épreuve. A la fois divin, et effrayant. Lily, elle est sans cesse anxieuse, et pourtant, elle sait déjà comment tout ça va se finir : dans un tourbillon de plaisir. Elle le sait déjà dès que les lèvres d'Abel glissent dans son cou, pour venir doucement rejoindre sa poitrine. Elle n'a jamais particulièrement aimé son corps, Lily. Mais voir le visage d'Abel contre la peau de son buste, regard levé dans sa direction en quête de son aval, rendait la vision tout simplement divine. Lèvres pincées en un sourire timide, la belle hoche doucement la tête, appuyée sur un coude. Coude qu'elle relâche rapidement pour tomber en arrière. Le contact de sa main, de sa langue sur la pointe de ses seins eut un effet immédiat : la peau de Lily se soulevait en de multiples frissons. Ses mains s'accrochaient à son petit ami, crispées autour de ses épaules, l'une d'entre elle venant doucement glisser dans ses boucles brunes, indisciplinées. Elle n'entend plus l'eau qui ruissèle dans le lac, le vent qui passe dans les arbres, les oiseaux autour d'eux. Elle n'entend plus que son souffle qui s'anime, alerte, et son corps qui s'agite sous ses lèvres.
Elle se décide à s'appuyer à nouveau sur ses coudes, haletante, lorsqu'Abel reprend sa course contre sa peau nue, glissant le long de son ventre tendu par le désir. A chacun de ses baisers, elle se contractait, passait sa langue entre ses lèvres sèches, jusqu'à ce qu'il descende bas. Très bas. Trop bas. Elle écarquille les yeux, ses joues deviennent cramoisies. Pour autant, elle se laisse faire quand il relève une de ses jambes, offrant ainsi à Abel une vue pleine sur ses jambes écartées, sur son intimité encore couverte par le sous vêtement. Et encore une fois, il l'observe. S'assure qu'elle ne faisait pas machine arrière. Aucun risque, Lily était paralysée. Rouge, mais bien paralysée. L'inspiration qu'elle prend par la bouche est laborieuse, mais elle hoche à nouveau la tête. « Je te fais confiance. » Répète-t-elle, sans trop savoir si les mots s'adressent à lui, où si elle se les répète à elle-même.
Invité
Jeu 27 Sep - 14:41
Abel Silverstein
J'ai 22 ans et je vis à San Fransisco, Californie. Dans la vie, je suis étudiant et je m'en sors relativement bien. Sinon,je suis en couple avec la femme la plus merveilleuse du monde, et nos péripéties nous ont un peu épuisés.
Il avait l’entière confiance de Lily, et elle faisait de même. Elle donnait tout pour lui, et il donnait tout pour elle, il n’y avait jamais eu que des moments aveugles à s’offrir l’un à l’autre. Parce qu’ils ne savaient pas faire autrement, c’était quelque chose de naturel. Abel regardait Lily toujours avec autant d’amour qu’au début, voire plus. Il savait qu’il l’aimerait toujours plus le lendemain. Il passait alors ses lèvres, sans les embrasser, sur ses cuisses, juste dans une caresse. Il fermait les yeux, s’enivrant de l’odeur de la peau de Lily à chaque passage. Elle était blanche, la peau douce et le parfum le plus envoûtant qu’il soit. Il passait sa langue entre ses lèvres et la main libre qui lui restait vint tirer sur le côté de sa cuisse le tissu qui lui entravait la vue et les actions désirées.
Une fois nue, seule chemise pour lui cacher le corps, il avait enfin Lily à sa merci. Et après le petit mot de Lily qui lui donnait accès à tout ce qu’il voulait, il leva les yeux vers elle, la tête entre ses cuisses. Un sourire s’étira sur le côté, qui ne présageait rien de bon. « Laisse-toi aller. Jusqu’au bout. » Et il commença à lui faire l’amour dans le centre de son intimité avec sa bouche. Il l’embrassait, la lécher, goûtant chaque partie de son excitation, tenant Lily pour éviter qu’elle ne bouge trop. Il adorait faire ça. Il adorait la voir se tordre et se retenir. Il sentait ses cheveux se tirer vers le haut par la main houleuse et féroce de Lily qui devait sûrement lui arracher quelques mèches de cheveux. Il s’amusait avec sa chambre personnelle, parfois une main vint accompagner sa langue et ses lèvres, parfois ses dents attraper un bout de clitoris pour le faire rouler entre et rendre fou Lily. Il voulait juste la voir atteindre le nirvana. Et toutes les conditions s’y prêtaient.
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Se laisser aller. Plus facile à dire qu'à faire quand on s'appelle Lily Abernathy, et que votre copain a actuellement le regard posé sur votre entrejambe mis à nu. Et ce sourire qu'il lui faisait... Comment pouvait-il avoir l'air à la fois si amoureux et si diabolique ? Lily, elle avait la réponse : il était les deux à la fois. Diaboliquement amoureux. Passionné. Audacieux. Son visage disparaissant entre les cuisses tremblantes de désir de sa petite amie, laquelle se courbe en arrière sous l'effet de la surprise. Probablement ses jambes se seraient-elles affaissées si elle avait été debout. Et malgré elle, les mots lui échappent. « Oh mon dieu Abel. » Mais son corps parlait pour elle. Elle avait chaud, Lily, et ça n'avait rien à voir avec la température néo-zélandaise. Abel était là pour faire monter sa température en flèche, sans lui laisser le moindre répit. Elle se tordait, s'agitait, maintenue fermement par son petit ami qui explorait le moindre recoin de sa sensibilité, pour mieux lui faire perdre la raison. Elle soufflait, gémissait, parfois trop fort. Parfois si fort qu'elle en regardait derrière elle, comme si elle redoutait l'arrivée d'étrangers. Puis bien vite, elle s'abandonnait de nouveau à ses lèvres, à sa langue à ses dents traitresses qui s'accrochaient à sa peau pour lui arracher un cri. Ses doigts dans la tignasse brune d'Abel tremblaient, s'accrochaient, faisaient des gestes qu'elle n'avait même plus l'impression de contrôler. Il la contrôlait pleinement, jusqu'à l'orgasme inévitable, jusqu'à ce qu'elle plaque une main sur ses lèvres pour étouffer son cri, que son corps l'abandonne, pour retomber contre ce rocher sur lequel elle s'était perché de manière si innocente, si sage. Rien n'est jamais sage avec Abel.
Renversée en arrière, son buste se soulève et s'abaisse bien trop vite, à Lily, alors que son regard est tourné vers le ciel. Doucement, elle tend une main encore tremblante vers Abel pour le forcer à remonter jusqu'à elle, s'allonger à ses côtés, alors qu'elle cherche toujours son souffle. Difficilement, elle articule : « Qu'est-ce que... tu es en train... de faire de moi... » La question est rhétorique. Elle n'a pas besoin de réponse. Elle sait très bien. Doucement, le corps de Lily tourne sur le côté pour aller jusque dans les bras d'Abel. Elle embrasse son cou, effleure sa peau moite du bout des lèvres, avant de glisser sa main vers le membre toujours tendu, probablement douloureux de son petit ami. Ces dernières semaines, Lily est devenue moins hésitante quant à oser toucher Abel. Mais c'est toujours les joues rougies, qu'elle demande dans un souffle : « Tu.. est-ce que tu veux que je.. fasse la même chose ..? » Et elle redresse son visage pour capter son regard, comme une enfant craignant de faire une bêtise.
Invité
Jeu 27 Sep - 15:30
Abel Silverstein
J'ai 22 ans et je vis à San Fransisco, Californie. Dans la vie, je suis étudiant et je m'en sors relativement bien. Sinon,je suis en couple avec la femme la plus merveilleuse du monde, et nos péripéties nous ont un peu épuisés.
Sa langue était exploratrice, aventurière. Il découvrait Lily dans les moindres recoins et il la sentait tremblante. Elle était à lui, entièrement et dans cette position, comme ça, à se laisser aller, Abel toujours en train de l’embrasser au plus bas de son intimité. Il sentait qu’elle resserrait ses cuisses sur son visage, mais il les maintenait ouverte par une main ferme et sèche, pour toujours avoir accès au jardin d’Eden. Il accélérait ses mouvements, accentuait sa langue, mordant un peu plus fort, presque dans une pointe de douleur qu’Abel savait excitante parce qu’il avait envie de la voir se tordre en deux pour l’orgasme qui la prenait. Et quand son corps se souleva, il savait qu’il avait gagné. Mais il ne put s’empêcher de regarder Lily avoir un orgasme aussi puissant que passionné. Il voulait la voir hurler de plaisir, et trembler d’épuisement, il voulait voir son visage se déformer sous le paroxysme orgasmique, il ne loupait pas une miette du plus beau spectacle de sa vie. C’était bien trop beau à voir. Puis, son corps retomba aussi sec sur le froid de la roche, en tirant Abel pour qu’il vienne à ses côtés. Il passa son propre bras sur sa bouche, et sa langue pour se nettoyer rapidement. Pas pour lui, ça ne le dérangeait pas. Mais il avait toujours envie d’embrasser Lily, donc dans le doute, il préférait faire ce geste.
Il passa un bras derrière sa tête en le repliant, et il embrassa Lily sur le dessus de la tête. Elle transpirait légèrement et il sourit dans ses cheveux. « Je veux que tu deviennes actrice porno, on va pouvoir tourner dans combien de temps ? » Il se mit à rire, naturellement. Puis, la main de Lily descendit vers son sexe et ses doigts de fée s’enroulèrent autour de son membre. Abel roula légèrement des yeux, ne sachant pas si ce contact avait apaisé la tension sanguine qui y résidait ou s’il l’avait amplifié. Abel s’éclaircit la gorge, en contractant sa virilité dans la main de Lily, pour qu’elle le sente. Ce qui le fit marrer à nouveau. « Que si tu en as envie, bébé. » Il lui caressa le visage du dos de sa main et vint lui déposer un baiser sur les lèvres. « Tu fais ce que tu veux, mon corps est à toi. » Puis il s’étala sur la pierre. Qu’elle joue avec ses lèvres ou sa main, elle avait le choix. Jamais il ne la forcerait à faire quoique ce soit, il en était hors de question. Mais si c’est pas elle qui le faisait, il devrait alors se branler quelque part pour libérer la raideur qu’il avait depuis un moment déjà.
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Lily, actrice porno ? Les chances qu'elle en vienne un jour à un tel niveau de...prouesses était mineures. Pour ne pas dire ridicules. Et puis elle était bien, avec sa petite expertise et ses découvertes progressives. Elle adorait découvrir les affres du plaisir avec Abel, même si elle se gardait bien de le dire à voix haute. Elle rit avec lui, le visage plongé dans son cou, un sourire béat placardé sur ses lèvres. « Je pense que tu vas devoir encore attendre un sacré moment. » Mais dire qu'elle manquait d'expérience ne voulait pas dire qu'elle pouvait se montrer entreprenante. Abel passait son temps à attiser le désir de Lily, bien plus qu'elle ne le faisait en retour. Combien de fois avait-il profité d'un instant d'inattention de la brune pour venir la toucher avec audace, ou lui glisser un mot salace ? Les lèvres plongées dans le cou de son petit ami, sa main autour de son membre qui réagit immédiatement à ses caresses, elle demande, Lily. Demande s'il veut qu'elle essaie de lui rendre ce qu'il vient de lui faire. Et bien sûr qu'elle en a envie. Malgré ses hésitations et ses gestes maladroits, la brune elle aimait voir Abel perdre pied sous ses mains. Sentir ses muscles se crisper, quand il approchait de l'extase. Et pourtant, chaque fois, il lui rappelait qu'elle n'était obligée à rien. Elle ferma les yeux au contact de sa main sur son visage, se rappelant mentalement qu'elle pourrait ne vivre que de ça jusque la fin de ses jours. Ses étreintes, ses baisers, ses caresses même les plus légères. Et alors, Abel s'étend sur le dos, laissant libre cours à Lily d'agir comme bon lui semble.
Elle se redresse sur ses genoux, et appuie une main de chaque côté de lui pour revenir l'embrasser. Puis finalement, elle l'enjambe, prenant appui sur ses mains pour le surplomber. Plonger son regard dans le sien, une lueur douce dans le regard. Un instant d'accalmie. Le calme avant la tempête. Elle effleure ses lèvres du bout des siennes, sans les embrasser. Caresse son nez avec le sien. « Je t'aime tellement. » La constatation la plus évidente au monde. Elle l'aimait plus qu'elle n'aurait jamais cru être capable d'aimer. Quand elle fait glisser ses lèvres dans le cou du brun, son corps glisse un peu plus bas, progressivement. Pose ses lèvres contre son torse, dans un sillon de baisers. Et quand elle descend encore un peu, l'érection d'Abel vient naturellement effleurer son intimité encore mise à nu. Prise au dépourvu, Lily tremble un peu, sa bouche s'immobilise sur les pectoraux de son petit ami, et c'est plus fort qu'elle, elle réitère le geste, tandis qu'elle continue de descendre ses lèvres jusque son abdomen.
« Je suis sûr que tu nous a perdus ! » Puis là, le drame. Une voix de femme fait se redresser la jeune fille, si vite qu'elle manque de perdre l'équilibre. Le regard paniqué, elle observe Abel, avant d'agir à l'instinct. Tirant sur la main du brun pour qu'il descende plus bas sur les rochers, Lily elle glisse directement jusqu'à ce que son corps soit immergé dans l'eau jusque la poitrine. Elle serre sa chemise autour d'elle, Abel assit juste devant elle sur un des rochers à moitié imergés dans l'eau, et dos à lui, un couple apparaît à travers les arbres. D'ici, ils ne voient probablement que le dos d'Abel, jusque ses reins. Lily masquée par les rochers, elle ne bouge pas, et fait de grands gestes à Abel : traduction, fais les dégager d'ici.
Lily, elle est frustrée. Frustrée comme jamais encore elle ne l'a été, stoppée en plein élan dans ses caresses, dans sa décision d'aller plus loin dans ce qu'elle se sentait capable de faire avec lui. Puis sa virilité était toujours là, devant elle, tendue de désir. Est-ce qu'elle va oser ? Abel a la tête tournée vers le couple, qui justement semble venir de le remarquer. Des anglais, à en juger leur accent. « Oh, bonjour ! Vous faites trempette ! Dites, vous ne sauriez pas où se trouve la baie de Waiharakeke ? On doit camper là bas ce soir, mais on est totalement perdus. » Et alors que le couple chahute pour savoir "à cause de qui on est perdus", Lily s'approche doucement pour venir enrouler à nouveau sa main autour du membre d'Abel. Sa seconde main s'appuie sur son genou pour se stabiliser, et sans prévenir, sans attendre, la jeune femme vint poser ses lèvres sur le bout de son intimité, les entrouvrant pour venir le prendre en bouche avec précaution. Jamais Lily n'a fait ça. Jamais. Et cette fois, elle n'a pas Abel pour la guider et lui dire comment faire. Alors elle tente. S'enfonce un peu plus, sans trop savoir jusqu'où elle peut le prendre entre ses lèvres. Puis elle recule, et recommence, s'attardant un peu plus sur le bout, comme elle peut le faire avec ses mains. Ca ne peut pas être très différent, n'est-ce pas ?
Invité
Jeu 27 Sep - 21:00
Abel Silverstein
J'ai 22 ans et je vis à San Fransisco, Californie. Dans la vie, je suis étudiant et je m'en sors relativement bien. Sinon,je suis en couple avec la femme la plus merveilleuse du monde, et nos péripéties nous ont un peu épuisés.
Lily se mit à bouger sa main, lentement tout d’abord, hésitante. La situation était étrangement excitante, à la vue de tous si des touristes venaient à débarquer. Abel pencha sa tête en arrière en laissant échapper un gémissement de plaisir et il se laissait manipuler, le corps parfois prit de sursaut léger qui donnait le visuel de son plaisir. Il passait un bras derrière Lily pour lui tenir le dos, et presque s’agripper à elle tellement elle avait fini par connaître le moindre geste qui ferait vibrer Abel. Mais Lily ne s’arrête pas là. Finalement, elle prend la décision qu’elle a envie de prendre, et Abel sent son coeur battre autant dans ses tempes que dans son membre. Il perd un peu pied mais reste maître de lui-même pour l’instant. Elle lui dit à quel point elle l’aime. « Je t’aime mon amour. » Et il l’embrasse sur le bout des lèvres quand elle décide de prendre une sortie vers son cou, Abel rejetant sa tête derrière. Puis, insoupçonnée Lily, elle se balade sur son torse en l’embrassant à plusieurs reprises, mais le sexe d’Abel en érection vient effleurer l’entre-jambe de Lily et Abel la regarde réagir. Elle découvrait autre chose, une nouvelle sensation au plaisir. Elle était en train de découvrir tout un univers et Abel en était l’objet sexuel direct. Il passait une main sur sa joue, puis dans ses cheveux, mais Lily continuait de bouger, pour réitérer l’expérience et mon dieu qu’il souffrait de son érection.
« Je suis sûr que tu nous as perdu ! » Abel écarquille les yeux en étouffant un rire, mais Lily se jette dans l’eau, en emportant Abel qui atterri le cul sur le bord de l’eau, le rocher cachant ce qu’il se passait devant lui, mais le dos visible aux touristes. Abel regarde Lily, un sourire silencieux sur le visage en essayant de faire comprendre à Lily qu’ils viennent vers lui et qu’il ne sait pas quoi faire dans l’instant. « Oui, oui, bonjour. Euh… non désolé, je ne sais pas où... » Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’il sent les mains de Lily s’appuyer sur lui. Une petite lumière s’allume au fond de son crâne et il comprend les intentions de Lily. Il ne se tourne pas vers elle pour la regarder, car il n’avait pas envie de cramer sa couverture, mais mon dieu. Elle était ban-dante. « Je suis désolé, je ne sais pas... » Et elle le prend en bouche. Abel manque un battement de son coeur, s’agrippe de sa main invisible du couple à l’épaule de Lily qui entreprend de le sucer un peu plus fort, plus profondément. Il respire un peu plus difficilement Abel. « Vous êtes en vacance tout seul ? Vous avez l’air d’être américain ! » Abel tente de leur sourire, mais il devait faire une grimace car l’homme fronça les sourcils d’incrédulité. « Oui… oui… américain… c’est ça... » Tant bien que mal, il essaie de faire la conversation avec ces vieux qui se disputent encore un peu. « Par contre, vous devriez visiter les grottes avec les vers luisants, c’est magnifique vous savez ! » Abel hoche la tête, en déglutissant, Lily devenant de plus en plus entreprenante. Mon dieu! Elle allait le tuer. « Merci mais… j’y suis… déjà allé... » Il a du mal à prendre sur lui, mais étrangement, d’être presque vu, presque attrapé, c’est cent fois plus excitant. Pas qu’Abel veuille que le couple reste, mais la prise de décision de Lily avec sa peur qui finalement se concrétise, c’est le combat parfait. Il sent la pression augmenter dans son membre et le couple commence à s’éloigner. « Bon, et bien l’américain, profitez bien de vos vacances, elles vous feront du bien, vous avez l’air… tendu ! A la prochaine ! » Abel se contracta légèrement sous une décharge électrique de plaisir. « Oui… c’est ça, à la proch...aine... » Et le couple s’éloigna rapidement en jetant des coups d’oeil en arrière pour tenter de comprendre ce qui arrivait à ce jeune américain. Et quand ils furent hors de vue, Abel jeta sa tête en arrière pour lâcher un râle de plaisir qui aurait pu faire écho dans la forêt. Il chercha les cheveux de Lily et s’y agrippa en les remontant comme une demi-queue. « Lily, mais putain... » Il sentait ses yeux rouler, la pression redescendant à mesure que Lily lui donnait le plaisir dont il avait eu besoin cette dernière demi-heure. Il respirait fort, haletait même. Abel était presque au bout de son orgasme.
J'ai 22 ans et je vis à San Francisco, Californie. Dans la vie, je suis étudiante et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureuse et en couple avec Abel Silverstein. Informations supplémentaires ici.
La main qu'Abel crispe sur l'épaule de Lily parle à sa place. Elle sait qu'il ne peut pas la regarder sous peine qu'elle soit découverte par le couple d'anglais, et elle qui jusque maintenant était terrifiée à l'idée que quelqu'un débarque... elle se sentait maintenant en position de force. Et voir Abel se mettre à balbutier de la sorte, tandis qu'elle venait délicatement prendre son membre entre ses lèvres, puis un peu plus fort, c'était si drôle. Si drôle qu'il devait probablement sentir ses lèvres sourire autour de lui, la brune décidant de se montrer plus aventurière. De sa main, voilà que Lily caresse la base de son sexe, pour accompagner sa bouche. Bon sang, ce qu'ils sont bavards. Elle n'écoute pratiquement pas ce que le couple raconte, trop occupée à venir sucoter le bout de la virilité de son homme, bien décidée à lui rendre ce qu'il lui a fait quelques minutes plus tôt. Quand le couple semble enfin vouloir continuer ses aventures et abandonner Abel - et Lily, toujours cachée - elle roule presque des yeux jusqu'au ciel, soulagée malgré tout qu'ils s'en aillent enfin. Elle aurait moins fait la maline s'ils avaient décidé de se baigner et l'avaient vue cul nu dans l'eau. Surtout qu'elle est plus que transparente.
Et voilà que d'un coup, la main d'Abel s'accroche à ses cheveux tandis qu'un long râle de plaisir lui échappe. Elle recule ses lèvres, Lily, le temps de quelques mots, laissant sa main prendre le relai. « J'ai cru... qu'ils allaient jamais partir... » Et sur ces mots, elle revient se pencher en avant, prendre Abel aussi loin qu'elle le peut - c'est à dire hélas pas bien loin, car la poupée manque d'expérience et que monsieur est au garde à vous du garde à vous - pour reprendre des allées et venues plus rapides, plus brusques. Elle sait qu'il approche, elle le sent, elle l'entend. Mais elle recule pas, Lily. Elle lève les yeux vers son petit ami, serre ses lèvres autour de son sexe, sa main jusque maintenant sur son genou remonte jusque sa hanche pour s'y tenir. Et elle ne s'arrête pas, jusqu'à ce qu'il atteigne le bord du précipice, et jouisse directement dans sa bouche. C'est loin d'être ce qu'il y a de plus agréable, et elle fronce légèrement les sourcils, mais elle va jusqu'au bout. Recule le nez froncé, pour venir timidement passer une main sur son visage, sur ses lèvres où elle sent encore le goût d'Abel. Et quand enfin, elle lève les yeux vers lui, c'est automatique. Elle sourit en coin, presque comme lui l'aurait fait.