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LE TEMPS D'UN RP

(+18) (titekaori) i think i need you tonight.

Anonymous
Invité
Dim 10 Fév - 3:08

Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal puisque cette rupture, ayant fait suite à ma soudaine cécité, m'a fait perdre toute confiance en moi et aux femmes.

Informations supplémentaires ici.


jamie dornan ©️ SHIYA
Je n’en doutais pas un instant que Siloë ne me laisserait pas tourner en rond dans sa chambre, surtout à la vaine recherche de son lit, qui n’aurait pas été pas dans son intérêt. Par conséquent, Il était naturel qu’elle vienne me soulager d’une pénible mésaventure. Cependant, je m’amusais à l’accentuer volontairement de plusieurs heures, dans l’optique de la faire rire un peu. Ce qui fut une réussite : la jeune femme souriait, et je l’entendis très distinctement à l’intonation qu’elle avait prise pour me « rassurer ». C’était plutôt bon signe, il me semblait. Cela voulait dire que je n’étais pas si incompétent que je ne le pensais auprès d’elle. Et je me satisfaisais de cette petite victoire tout en m’étendant sur le matelas. C’est que c’était plus compliqué que je ne l’avais imaginé, finalement. La jeune femme se montrait particulièrement réfractaire à se saisir de cette main que je lui tendais désespérément, et jusque là toutes mes tentatives avaient péniblement échoués. A présent je savais qu’il me suffisait d’être patient avec elle, et qu’elle était une sorte de petit animal craintif qu’il fallait apprivoiser avant d’espérer parvenir à passer au delà de son bouclier de protection. En parlant de son bouclier, celui-ci venait littéralement de voler en éclat à présent qu’elle était étroitement blottie dans le creux de mes bras. Et c’était… très singulier, je dois l’avouer. Je sentais qu’on dépassait des limites que des amis ne devraient pas franchir mais… je ne parvenais pas à me convaincre d’y mettre un terme pour autant. Y compris dès que je sentis mon pénis se dressait sous mon bas de pyjama, au plaisir que j’éprouvais de la sentir tout contre moi. Le mieux restait que je m’excuse auprès d’elle, que je la quitte pour la nuitée – sachant que je pourrais vite perdre le contrôle de mes actions, mais là encore je préférais me taire pour me positionner de manière à ce qu’elle ne le remarque pas. Je n’osais imaginer la façon dont elle me traiterait si elle découvrait que je bandais pour elle, d’ailleurs. Il fallait impérativement que je pense à tout autre chose que la douceur de sa peau à même la mienne, à la chaleur de son corps enveloppant le mien, et je sautais sur l’occasion qu’elle me tendait spontanément pour ce faire : celle de lui raconter une belle histoire au dénouement heureux. Après un bref moment de réflexion, j’optais de lui narrer celle d’un ami boxeur que j’avais perdu de vu. Je lui détaillais comment il avait fait la rencontre de sa femme, dans une salle de sport de Wellington, et comment ils avaient été amenés à ce marier ensemble deux mois plus tard. C’était sans nulle doute l’une de ses belles histoires qu’on rêvait tous de vivre un jour, et Siloë le confirma. Elle ajouta même qu’ils avaient eu beaucoup de chance. Je ne pensais pas, non. La chance se provoquait. En proposant à Lexie de l’entraîner se soir-là, Liam avait provoquée la sienne en rencontrant son âme sœur.

_ C’est rare parce que l’on oublie trop souvent que nous sommes maitres de notre destinée, Siloë. Je lui soufflais en caressant doucement son dos, tendrement. _ Il ne tient qu’à toi de saisir la chance là où elle se trouve.

Et elle n’était peut-être pas si loin qu’elle serait tentée de le croire. La preuve : j’étais là, moi. J’étais disposé à la rendre bien plus heureuse que son petit-ami si elle le voulait. J’étais disposé à faire de ses jours des éclats de rires et de ses nuits des cries de plaisirs. Il suffisait simplement qu’elle me le demande. Et j’avais si envie d’elle depuis que j’avais découvert son visage sous mes doigts, qu’il ne me fallut pas plus que ses caresses sur mon torse pour sentir ma virilité se gorger à nouveau de sang pour elle. Et c’était pénible. C’était pénible de garder les idées claires, de ne pas soupirer d’envie, uniquement pour qu’elle ne prenne pas peur de moi. Cela me demandait un tel effort presque surhumain, que c’était à peine si j’arrivais encore à comprendre ce qu’elle me disait. Elle parlait de Liam. Elle me demandait si j’avais encore des contacts avec lui.

_ Non. Soupirais-je en tentant de ne pas trahir mon trouble. _ Mais je pourrais toujours le recontacter si je le voulais.

Il suffisait juste que je lui envoi un mail, ne serait-ce que pour lui signaler que je suivais toujours sa carrière de loin. Seulement, je n’en faisais rien. Et c’était délicat de me rappeler la raison tandis que mon esprit sombrait de plus en plus dans l’envie de succomber à la tentation. Je ne pouvais pas craquer. Je ne pouvais pas l’embrasser, ni même lui faire l’amour. Je n’étais que son ami et, sans véritablement m’en apercevoir, je glissais ma main sous son haut, de sorte de découvrir la peau nue de son dos dans de délicates caresses. Je courais à ma perte, toujours plus. Je dansais au milieu des flammes de son délicieux enfer, n’attendant plus qu’elle me consume entièrement.

_ Non. Pas à ma connaissance. Répondis-je à sa nouvelle question sur mon ami. _ Et même s’il le faisait, je doute que tu aies le temps et les moyens d’aller le voir aux États-Unis.

Je m’en fichais de tout ça. Je ne voulais plus analyser le pourquoi elle voulait apprendre la boxe, même si cela était révélateur de sa situation préoccupante. Je voulais déposer mes lèvres sur cette peau si parfumée que je prenais plaisir à sentir sous mes doigts. Et surtout, je voulais qu’elle m’en laisse l’occasion. Ne parvenant plus à contenir mes pulsions à son encontre, je nous basculais de sorte de la coucher sur son lit, avant de la surplomber légèrement sur le côté.

_ Parce que tu me rends dingue de toi, Siloë. Lui déclarais-je la voix rendue rauque par l’excitation. _ Parce que je ne supporte pas de te sentir malheureuse. Et parce que j’ai aussi tellement envie de te faire l’amour, à présent. Je marquais une pause. _ Laisse-moi goûter à ta peau, Siloë. Laisse-moi goûter à ton paradis.

Je lui murmurais, plein de douceur. Je ne voulais pas la forcer. Si elle me disait non, je quitterais immédiatement sa chambre pour me plonger sous une douche glacée. Mais si elle me disait oui, je me promettais de la faire hurler d’extase dans tout l’appartement, quitte à déranger le voisinage. Dis-moi oui, Siloë. Dis-moi oui.


@PRINCESS
Anonymous
Invité
Dim 10 Fév - 13:12

Siloë Reynolds
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple depuis deux ans et je le vis plutôt pas bien depuis quelques semaines..

(+18) (titekaori) i think i need you tonight. - Page 2 4yL2
née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.


avatar ©️ SHIYA


Tu avais écouté l’histoire du jeune homme. Il t’avait raconté l’histoire de son ami boxeur et de la femme de celui-ci. Tu avais aimé l’entendre t’en parler et puis, tu étais heureuse également que cela ait marché pour le jeune homme. Tu pensais que, c’était compliqué désormais d’être heureux en couple. Tu en savais quelque chose puisque tu n’étais pas heureuse dans ton couple. Ton petit ami et toi, c’était compliqué mais, tu ne pouvais pas te confier à ce sujet. Même à ta meilleure amie, tu ne le pouvais pas. Tu savais qu’elle voudrait que tu portes plainte ou que tu le quittes. Sauf que.. tu étais amoureuse de James. Tu ne savais pas comment l’aider à aller mieux. Il devait y avoir une raison pour expliquer pourquoi il était ainsi.

« Oui c’est vrai mais.. je crois que les histoires d’amours qui durent longtemps et où les personnes sont heureuses ça n’existe plus beaucoup. » Et tu le pensais. Tu te rappelais de tes grands parents qui étaient fous amoureux alors que ça faisait plus d’une cinquantaine d’années qu’ils étaient ensemble. Tu avais du mal à te projeter avec James dans cinquante ans. Peut-être que tu pensais cela car tu étais encore jeune et tu avais le temps. Tu ne sais même pas pourquoi tu parlais de cela avec Nolan.

Tu te demandais pourquoi le jeune homme n’avait plus contact avec son ami puisqu’il avait dit ne plus avoir de contact depuis quelques temps. Tu gardais ta main sur le torse de Nolan tout en le questionnant et cherchant à comprendre. « Oh d’accord.. tu vois, tu n’es pas tout seul tu peux avoir des amis. » Tu lui disais avec un sourire. Tu le pensais oui, il pouvait avoir des amis et ne pas être seul. En tout cas, tu n’aimais pas le savoir seul. Tu sentais sa main sur ta peau et tu frissonnais encore une fois. Tu appréciais ce geste et, après ce qui s’était passé, cela te faisait le plus grand bien.

Tu avais pensé à quelque chose, tu avais pensé à la boxe, cela pouvait en effet t’être utile. Puis, cela pouvait également te faire du bien de te défouler un peu sur quelque chose et évacuer tout ce que tu avais en toi. Tu ne savais jamais te défendre face aux coups de ton petit ami. Cela pouvait aussi te servir si on te faisait du mal, autre que James. Seulement, tu te mordillais l’intérieur de la joue à ses mots. En effet, les Etats Unis, c’était plutôt loin de Wellington. C’était à l’opposé et tu n’avais ni le temps ni l’argent pour des cours de boxe. Tu n’avais pas besoin d’aller si loin également. « Tu as raison oui, c’était une mauvaise idée. » Tu ne savais pas pourquoi tu avais pensé à cela.

Surprise, tu te retrouvais contre ton matelas alors que Nolan se trouvait au dessus de toi. Ses yeux te regardaient sans te voir mais, tu pouvais y lire du désir. Ce même désir qui s’emparait de ton corps tout entier. Encore plus à ses mots. « Mais.. je.. » Tu soufflais alors que tu avais soudainement très chaud. Tu ne savais quoi dire et tu ne savais surtout que penser. « Nolan.. » Tu soufflais alors que les battements de ton cœur s’affolaient. Tu glissais une main dans ses cheveux que tu caressais, tout en le regardant. Tu ne pensais plus à rien, si ce n’est au moment présent et à ton désir. Tu ne pensais qu’à vous deux et à éteindre le feu qui brûlait en toi. Finalement, tu posais ta main sur ta nuque pour approcher son visage du tien pour l’embrasser. Tes lèvres se posaient délicatement et doucement contre les siennes, d’abords timidement puis, tu l’embrassais plus passionnément. Tu approchais son corps contre le tien, te pressant contre lui et son corps chaud. Ton bas ventre contre le sien, tu pouvais ressentir son désir pour toi. Tu ne savais depuis combien de temps il te désirait mais peu importe. Tu lâchais ses lèvres un moment. « S’il te plait.. » Tu lui soufflais, lui demandant silencieusement ce qu’il désirait visiblement tout autant que toi. Tu embrassais ses lèvres une nouvelle fois. « Attends.. » Tu ne voulais pas t’arrêter, non mais tu trouvais important de lui dire avant quoique ce soit. « Je ne suis pas.. vierge mais.. je n’ai pas eu.. beaucoup d’hommes. » Tu lui avouais timidement, enfouissant ta tête dans son cou, bien qu’il ne pouvait te voir de toute façon. Tu ne voulais pas qu’il soit déçu.



Anonymous
Invité
Dim 10 Fév - 22:34

Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal puisque cette rupture, ayant fait suite à ma soudaine cécité, m'a fait perdre toute confiance en moi et aux femmes.

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jamie dornan ©️ SHIYA
C’était étrange. Sa réaction à l’histoire d’amour de Liam et Lexie n’était pas celle que j’avais escompté, ou encore imaginée. La jeune femme était contente pour eux là n’était pas le problème, y voyait même une lueur de bonheur dans son ciel si sombre, mais elle déplorait que leur histoire soit si rare. N’était-elle pas parmi ces chanceux ayant une belle histoire d’amour à partager avec le reste du monde ? Il me le semblait. Il me le semblait davantage que – le cas échéant – elle n’aurait pas naturellement fait preuve d’autant de tendresse physique envers moi, n’est-ce pas ? Je le supposais. Je le supposais car assez logiquement, si elle-même était parfaitement comblée dans sa relation actuelle, elle n’avait aucune motivation à me caresser dans le creux de son lit ? Je ne savais pas. Je ne savais plus. Mes pensées étaient confuses. Et l’esprit embrumé du désir qu’elle faisait naitre en moi, je savais que je ne parviendrais pas à avoir les idées plus claires. Au contraire, je peinais déjà uniquement à me concentrer sur la discussion qu’elle avait instaurée entre nous, qu’il aurait été du signe du miracle que je parvienne à analyser son comportement. J’en voulais pour preuve également cette incapacité à voir le cœur du problème dans son couple, alors qu’elle l’exprimait pourtant très clairement dans sa volonté d’apprendre la boxe. C’était évident : Siloë ne pouvait pas vouloir jouer du poing uniquement par plaisir. Elle cherchait à se protéger d’une personne violente, peut-être son petit-ami lui-même. En annihilant mon sens de déduction pour que je ne le découvre pas, elle s’était assurée que je n’y réfléchisse pas. Je ne prétendais pas que cela en était son intention pour autant, loin de moi cette pensée. Cependant, je constatais que c’était la meilleure des solutions pour que je ne pose plus de questions à ce propos. Et des questions, je n’en avais plus du tout, du reste. Non, je ne pensais plus qu’à la peau douce de son dos que je sentais sous mes doigts désireux, et mon appendice gonflé m’encourageait toujours plus à céder au chant de cette sirène. Il ne fallait pas, pourtant. Je n’avais pas le droit, ni même la folie de m’en croire autoriser. Je devais rester ce simple ami sur lequel elle pouvait s’appuyer, sachant que je serai toujours totalement dévoué à lui apporter du réconfort. Et je m’y contraignais. Je me focalisais sur les mots qu’elle m’adressait, les conversations qui se poursuivait, jusqu’à ce point de non retour : celui de la basculer sur son matelas pour lui exprimer sincèrement le fond de ma pensée, non sans une petite retenue tant j’aurais pu dire plus. Je m’en fichais éperdument de retrouver cet ami perdu. Je m’en fichais tout autant qu’elle ait pu dire une bêtise en parlant de boxer avec lui en Amérique. Tout ce que je voulais c’était son corps tout entier, et je lui formulais le souhait qu’elle me laisse l’acquérir cette nuit. Elle hésitait, bien que je la sentais brûlante de désir à mon égard. Et cela se comprenait. Ce n’était pas anodin de coucher avec un autre homme que celui qui partageait sa vie. Cependant, après avoir soufflé mon prénom, elle glissa sa main dans ma chevelure pour me caresser brièvement, m’extirpant un courant électrique de plaisir dans tout le corps, avant de m’entraîner par la nuque jusqu’à ces lèvres. Elle m’embrassait. C’était incroyable. Je m’attendais à ce qu’elle me bredouille que ce serait une erreur, qu’elle me demande de partir également, et finalement je sentais sa langue audacieuse se frayait un chemin jusqu’à la mienne. C’était délicieux. Elle mettait radicalement le feu aux poudres, et je m’enivrais de découvrir la saveur fruité de sa langue contre la mienne. Je grognais même, impatient. Je voulais la déshabiller, la goûter. Mais plus que tout je brûlais de me glisser dans son intimité que je savais désormais accueillante. Une chance que mon pantalon était dans une matière ample : ma virilité pouvait non seulement se durcir jusqu’à son paroxysme, sans souffrir une seconde d’être comprimé par celui-ci, mais également sentir avec délice le bassin accueillant de ma partenaire. Je le sentais, Siloë me démontrait ainsi une impatience grandissante quant à me sentir en son sein, et je raffolais totalement de ça. Seulement, il fallait envisager que l’on calme un peu la situation. Je n’avais pas eu de rapports sexuels depuis de longs mois, et le manque menaçait de me faire éjaculer bien trop vite pour qu’elle n’ait le temps d’en profiter pleinement. Je remerciais donc mentalement Siloë d’interrompre notre baiser passionné, même si je ne saisissais pas bien ce qu’elle m’exprimait. S’il te plaît ? Attend ? Avait-elle changée d’avis, finalement. Avait-elle conclu que nous faisions une grossière erreur, au point de nous interrompre avant que nous ayons réellement franchir le cap. Je le craignais tandis qu’elle m’exprimait de ne pas être vierge. Je n’en doutais pas. Et je n’attendais pas non plus de la déflorer, d’ailleurs. Non. Son inquiétude résidait éssentiellement dans le fait qu’elle n’avait pas eu beaucoup de partenaires. Je souriais en soupirant, soulagé.

_ Ce n’est pas grave, Siloë. Lui murmurais-je en libérant son visage de mon cou, où elle se cachait avec timidité. _ L’expérience n’est pas ce que j’attends de toi. Lui avouais-je en parsemant ses lèvres de petits baisers tendres. _ Je n’attends de toi que tu me fasses partager sans gêne le plaisir que je t’offrirais.

Je ne pouvais pas la voir. J’espérais donc qu’elle offrirait à mes oreilles la plus belle musique qu’un homme hétérosexuel puisse entendre : le chant de l’orgasme de sa partenaire. Désormais que j’étais rassuré quand à son désir que nous faisions l’amour ensemble, je me laissais aller à l’envie de combler mon désir de découvrir son corps de mes mains.

_ Reste allongée. Ne bouge pas. Je lui murmurais contre sa bouche, avant de me positionner à côté d’elle, de sorte d’avoir ma main droite de libre. _ Je veux découvrir à quel point tu as un corps magnifique.

Elle savait comment j’étais physiquement, dans mon entièreté. J’estimais que mon tour était à présent arrivé. Déposant ma main sur elle, au niveau de son cou que je trouvais en frôlant sa mâchoire, je glissais jusqu’au haut de son buste où je découvrais le haut de son pyjama. Continuant mon exploration tactile, je sentis un premier bouton sous mes doigts. Enchanté de faire sa connaissance, je souriais en pensant que j’allais pouvoir l’effeuiller sans la contraindre à bouger, avant de m’en saisir pour le défaire avec tendresse. Ensuite, je recommençais l’action avec ces autres camarades, sans me précipiter. Quand ma tâche fut terminée, j’écartais les pans du tissu pour caresser son ventre plat, sa poitrine menue mais joliment galbée, ainsi que le haut de son torse où je sentais son cœur vibrer. Il battait à une allure folle. Il battait aussi intensément que le mien. Ne résistant pas à l’appelle de ses mamelons, je déposais ma bouche sur celui qui était le plus proche de moi, pour l’agacer de ma langue, avant d’aller m’occuper de son jumeau sous les soupirs invitant de ma partenaire. Encouragé par ceux-ci, je laissais ma main descendre plus au sud, jusqu’à me frayer un passage entre l’élastique de son bas ainsi que sa peau. Je savais exactement ce que je cherchais : son mont de vénus. Je voulais découvrir sous mes doigts à quel point je la rendais humide, pour moi. Et c’était avec plaisir que je le constatais, tandis que je m’invitais dans sa culotte. Ses lèvres étaient gonflées, inondées. Je gémissais d’envie contre sa poitrine que je cajolais de ma bouche vorace. Titillant son bouton de rose de mes doigts, j’écoutais le plaisir de ma belle pour me repérer quant au mouvement à donner, au rythme à apporter. Je voulais lui offrir un premier orgasme au cas où je ne pourrais pas lui en offrir un autre lors que notre coït. Car j’étais lucide, je savais qu’elle m’excitait trop pour que je puisse tenir sur la longueur. Je craignais déjà tant d’éjaculer à chaque seconde, d’ailleurs. Je refusais qu’elle soit déçue par moi. M’interrompant aux portes de son orgasme, volontairement, je vins me mettre à genoux entre ses cuisses après lui avoir ôter son pantalon et sa culotte. Son plaisir, je voulais le goûter. Et je le fis. Je déposais ma bouche contre ses lèvres intimes où je tournoyais ma langue sur son clitoris ô combien sensible. Elle gémissait fort, elle gémissait vite. J’avais tellement envie de m’unir à elle immédiatement, mais je tenais bon. Je tenais bon en activant ma langue contre son intimité ruisselant, son bouton de plaisir envoûtant. Son orgasme était proche. Et bientôt il serait mien.


@PRINCESS
Anonymous
Invité
Lun 11 Fév - 0:03

Siloë Reynolds
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple depuis deux ans et je le vis plutôt pas bien depuis quelques semaines..

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née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.


avatar ©️ SHIYA


Une petite voix au fond de toi te disait que c’était une très mauvaise idée. Tu avais un petit ami que tu aimais même si les choses n’étaient pas simples entre vous deux pour le moment. Tu ne sais pas si cela finirait par s’arranger à un moment donné car cela faisait un moment que c’était comme ça et tu ne savais pas quoi faire. Tu n’osais pas parler à James de son côté violent. Tu ne savais comment il allait réagir, s’il te frapperait de nouveau ou quoi. Tu savais qu’il avait conscience de ce côté, puisque, il s’excusait toujours après mais bon. Parfois, tu n’avais plus envie qu’il y ait des excuses mais autre chose que cela. Tu voulais que ça s’arrête, et pourtant, ça n’était pas le cas.

Finalement, l’ambiance et l’atmosphère avait changée entre tous les deux. Il t’avait plaqué contre le matelas alors que tu étais dans ses bras et que tu caressais son torse. Tu ne t’attendais pas à cette révélation de sa part lorsqu’il te disait que tu le rendais dingue. Il te désirait et, désormais, ton corps tout entier le quémandait également. Ta main se glissait dans ses cheveux puis à sa nuque alors que tu l’attirais contre toi pour l’embrasser. Tu n’osais pas vraiment au départ puis, finalement, ta langue cherchait la sienne dans un baiser plus passionné qu’au départ. Tu pressais ton corps contre le sien alors que tu souhaitais sentir son corps nu et chaud contre le tien. « Alors.. je peux le faire. » Tu lui soufflais finalement, rassurée de ses mots.

Tu étais toujours allongée alors qu’il te demandait de ne pas bouger. Tu ne comptais pas fuir de toute manière. Tu te demandais encore comment il pouvait se dire que ton corps était magnifique avant de te souvenir ce qu’il avait dit concernant la vue. Il ne le pouvait qu’en te touchant. Tu gémissais lorsque ses mains parcouraient ton corps et sa bouche se trouvait sur ta poitrine. Tu sentais tes pointes se durcir d’envie pour lui. Tu sentais en même temps ton cœur s’emballer alors que ton bas ventre s’enflammait. Tu ressentais ton envie jusqu’à tes cuisses et tu te tortillais, ne demandant qu’à ce qu’il éteigne ce feu. « Nolan.. » Tu gémissais plus fort en sentant ses lèvres sur ton intimité. Tu glissais une fois encore tes mains dans ses cheveux, alors que tu te cambrais à ses coups de langue. Tu sentais ton corps trembler et l’orgasme prendre possession de celui-ci. « Oh Nolan ! » Tu gémissais encore une fois plus fortement alors que tu jouissais. Ton cœur allait finir par s’en aller si ça continuait comme cela.

Tu désirais qu’il revienne vers toi, désormais. « Viens.. » Tu lui soufflais avant de l’attirer pour l’embrasser. Tu embrassais ses lèvres, descendant à son cou. « Laisse moi te déshabiller. » Tu lui soufflais, bien qu’il ne portait pas grand-chose. Tu embrassais cette fois son torse, ainsi que les poils que tu caressais peu de temps avant. Tu descendais en embrassant cette lignée de poils avant d’arriver à son pantalon. Tu lui retirais celui-ci, laissant découvrir son érection. Il ne portait pas de boxer. Tu rougissais malgré tout à la vue de celle-ci. Tu remarquais son désir pour toi et, tu ne l’avais pas vu depuis le départ. Pas avant qu’il ne t’en fasse part. Tu ne savais pas s’il avait touché une autre femme depuis son ex petite amie, et, tu ne désirais pas le savoir d’ailleurs. En tout cas, pas à cet instant. Tu posais une main sur son membre alors que tu le caressais entre tes doigts. Il t’avait offert un orgasme et tu comptais bien lui en offrir un également, alors que tu avais envie de le sentir en toi.

Tu continuais tes mouvements, plus rapidement alors que tu le sentais toujours gonflé entre tes doigts. Tu continuais jusqu’à ce qu’il se lâche enfin et que ton objectif soit atteint. Tu voulais lui offrir autant de plaisir qu’il t’en avait offert. Tu remontais finalement vers son visage, ton corps nu cette fois contre le sien alors que tu ne tenais plus. « Fais moi l’amour, s’il te plait. » Tu le suppliais alors que tu étais prête, offerte entièrement à lui ce soir.

Anonymous
Invité
Lun 11 Fév - 3:02

Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal puisque cette rupture, ayant fait suite à ma soudaine cécité, m'a fait perdre toute confiance en moi et aux femmes.

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jamie dornan ©️ SHIYA
Elle était une femme de parole, à défaut d’honneur. Elle s’était engagée à me laisser entendre sans pudeur le plaisir que je pouvais lui offrir, et c’était ce qu’elle faisait admirablement. Elle gémissait mon prénom de sa mélodieuse voix, pendant que de ces mains sur mon crâne elle m’encourageait à lui offrir cet orgasme que je visais. Sois sans crainte, ma beauté. Je m'y active avec ferveur Je songeais en roulant toujours plus ma langue, sur son clitoris gonflée d’envie. Elle voulait jouir, elle allait jouir. C’était une mission à laquelle je m’engageais sans l’ombre d’un déplaisir à l’horizon, et ce jusqu’à son entière réussite qui vint dans un ultime gémissement de mon prénom, qui sonnait là l’alerte de sa chute dans les méandres du plaisir. Je ne me privais pas de la délicieuse récolte de mes efforts, d’ailleurs : je me délectais aussitôt à la source de son mont de vénus, qui tressaillait encore de la vague orgasmique qui roulait en elle. Tout son corps n’était que tressautement, du reste : je le sentais très exactement par à-coup contre mes lèvres assoiffés. Et Dieu sait que j’aimais ça. J’aimais cette idée que j’étais parvenu à l’envoyer au nirvana sans même avoir encore véritablement offert tout ce que je pouvais lui offrir. Elle m'appelait pour que je la rejoigne à la suite. Je quittais mon festin sans me faire prier, non sans une légère pointe de regret tout de même, pour remonter à tâtons jusqu’à ces lèvres. Dès que je fus arrivé près de ces dernières, elle se saisissait des miennes dans un baiser langoureux qui, je peux vous l’assurer, ne me fit absolument pas regretter mon audace de lui partager mon émoi pour elle. Elle était si parfaite. Seul un fou aurait put rester de marbre face à elle, j'en étais convaincu. Et fou, je ne l'étais pas. Loin de là. J'étais enfiévré d'elle et désormais, je le sentais : il le fallait. Il fallait que je la pénètre si je ne voulais pas me vider lamentablement contre cette peau qui m’était privé de sentir par mon bas de pyjama. Il fallait que je goûte au moins à la chaleur accueillante de son paradis interdit avant qu'il ne me soit définitivement fermé. Et si je pensais devoir me résoudre à me dévêtir seul pour mieux se faire, Siloë me fit la belle surprise de se dévouer à cette tâche. Acquiesçant à bout de souffle contre sa bouche, je me laissais tomber sur le matelas à côté de son corps, lui laissant à son tour le libre accès à mon corps. Aussitôt, je serrais les draps du lit en grognant de plaisir. La sensation de sa bouche parsemant mon torse de baisers était tellement divine que, je le craignais férocement, à tout instant je pouvais venir. Une réalité qui l'était détestable. Elle m'était détestable parce que je ne voulais pas jouir à mon tour en dehors de son corps dont je me languissais. Mais je ne m'en plaignis pas. Non, je relevais mon bassin pour qu’elle puisse faire glisser plus facilement mon bas de pyjama. Ensuite, j’attendis qu’elle vienne se coulisser contre ma verge fièrement dressée pour elle. Si il était possible qu’elle puisse remettre en question l’effet qu’elle pouvait avoir sur ma personne, désormais que j’étais entièrement nu face à elle, le doute n’était plus de mise. J’étais durcit à mon paroxysme, plus que je ne l’avais jamais été pour aucune autre de mes partenaires passées, et je me mordais la lèvre inférieure d’impatience de la posséder tel que j’en crevais de convoitise.

_ Siloë…

Je grognais pour qu’elle me soulage de son bas ventre. Mais ce ne fut pas lui que j’obtins en réponse. Bien au contraire. Ce fut ces frêles doigts chauds que je sentis s'installer tout autour de mon appendice impatient, dans une décharge électrique de plaisir. Hummmmm Je gémissais au va et vient qu’imposait sa paume autour de celui-ci, à un rythme soutenu. C’était bon. C'était tellement, oui, que je serrais davantage mes poings sur les couvertures, tout en gémissant de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle accélérait le mouvement à ces signaux que je lui partageais, méthodiquement. Et je me surprenais à l’encourager en l’appelant entre deux soupirs brefs. Puis, en quelques secondes, je vins dans le creux de sa main d’un râle bestiale, me cambrant légèrement sous la violence de ma jouissance. C'était si intense, si bouleversant. De ma vie je crois que je ne avais ressentie quelque chose d'aussi extraordinaire.Béat, je souriais d'ailleurs à ma maitresse, que je remerciais sans un mot. J’étais comblé, véritablement. Cependant, ma virilité ne perdit en rien de sa superbe. Elle était encore prête pour les choses sérieuse, et j’appréciais que Siloë vienne se coller entièrement nue à moi pour me faire la demande de la posséder.

_ Tes désirs sont des ordres, Siloë.

Je lui soufflais, me redressant déjà pour la surplomber de tout mon long, tandis que je me positionnais correctement entre ces cuisses brûlantes pour la combler dans les plus brefs délais. Je n'allais pas nous faire languir d'avantage, non. Nous avions suffisamment attendu ce grand instant : celui où nous ne serions plus qu'un. Convenablement positionné, je me soutenais d’une main posée à côté de sa tête, pendant que de l’autre je me saisissais de mon membre turgescent pour le mener à l’antre de sa caverne aux merveilles ruisselantes. Lorsqu'il y fut, je caressais de prime abord mon gland à ses lèvres intimes, ne manquant pas de nous procurer de délicieuses décharges électriques de plaisir, avant de m’inviter en son sein dans une poussée lente autant que sensuelle. Elle était si chaude, si étroite. Elle me promettait déjà un moment de pur délice, je peux vous le garantir. Je la pénétrais ainsi jusqu’à la garde, laissant un instant le loisir à mon sexe de se complaire dans son intimité étroite. Ensuite, j'entamais un va et viens langoureux pour démarrer profondément notre ébat interdit. La sensation d'être en elle était enchanteresse. En appuie sur mes mains de chaque part de son visage, je sentais que je pourrais tenir de longues minutes ainsi, tant j’aimais les sensations extatiques qu’elle me procurait. Et par je savais qu'elle magie, je dois avouer qu'elle parvenait à affoler le moindre de mes sens en activité. Le toucher, par les frottements divins de nos chairs intimes. L’ouïe, par le son mélodieux de sa voix qui se mêlait à le mienne. Et l’odorat, par son parfum sucrée qui maintenait toujours plus vivace mon envie d’elle. Très vite, sans que je ne m’en rende compte véritablement moi-même, j’en vins à entamer un rythme graduellement toujours plus vif. Tellement vif que j’en arrivais malgré moi à la marteler de mes coups de bassins vigoureux, entrecoupés de mes bourses claquant contre sa peau. Je grognais d’impatience, désormais. Je voulais venir pour elle encore une fois, mais dans son sein. Je voulais l’entendre hurler mon nom d’extase, mais pendant que je la possédais. Je mis tout mon corps à l’œuvre pour exaucer mes souhaits. Viens pour moi Siloë. Viens pour moi.


@PRINCESS
Anonymous
Invité
Lun 11 Fév - 13:00

Siloë Reynolds
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple depuis deux ans et je le vis plutôt pas bien depuis quelques semaines..

(+18) (titekaori) i think i need you tonight. - Page 2 4yL2
née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.


avatar ©️ SHIYA


Tu te trouvais allongée sur le lit, les draps chauds et le corps chaud de Nolan sur le tien. Il t’avait embrassé, à t’en faire gémir. Il avait caressé ton corps et embrasser celui-ci d’une manière délicieuse. Nolan était doux, dans ses gestes et ses paroles envers toi. Tu appréciais cela et il pouvait l’entendre, à défaut de le voir, par tes gémissements. Ses lèvres sur ton bas ventre, il n’avait fait que monter le désir que tu contenais en toi, jusqu’à ce que tu ne puisses plus le contenir. Tu te laissais aller à ton orgasme alors que ton corps était encore parcouru de tremblement, suite à cet orgasme. Tu eus envie de lui rendre la pareil, non pas pour le lui rendre mais parce que tu le désirais. Tu t’étais donc occupée de lui retirer son seul vêtement, pouvant ainsi voir ô combien son désir était présent pour toi. Tu eus un sourire en le voyant gémir ton prénom et tu eus envie de faire durer le plaisir un peu plus longtemps.

Tu avais envie de le sentir en toi, et qu’il te fasse l’amour comme il te l’avait promis. Seulement, ça allait attendre encore un peu puisque tu glissais son membre dressé entre tes doigts. Tu ne savais pas si tu étais douée pour cela mais, ses gémissements t’incitaient à continuer tes gestes. Tu continuais donc de le faire coulisser entre tes doigts jusqu’à ce qu’il ne finisse par jouir, comme il t’avait fait jouir également. Tu relâchais ensuite son membre pour te rapprocher de nouveau du jeune homme. Cette fois, tu désirais qu’il prenne possession de toi, de ton corps.

Tu te retrouvais une nouvelle fois, dos sur le matelas alors que Nolan se positionnait entre tes cuisses. Ton corps se cambrait une nouvelle fois à la recherche du sien alors que tu savais qu’il n’était qu’à quelques centimètres. « S’il te plait.. » Tu lui quémandais une dernière fois, avant qu’il ne vienne à se glisser en toi doucement. Tu gémissais lorsque tu le sentis en toi, appréciant et t’habituant au fait de ne former qu’un avec lui. Tu embrassais ses lèvres une nouvelle fois alors que tes mains glissaient dans le dos de ton amant, désirant toujours être au plus proche de lui. Ses mouvements de va et viens étaient d’abords lents avant d’accélérer la cadence, tandis que tu gémissais toujours. « Nolan.. » Tu mordillais sa lèvre alors que tu sentais une nouvelle fois ton corps se tendre. Tu sentais le plaisir monter une fois encore à ton bas ventre et plus encore. Tu savais que tu allais venir, que tu allais jouir une nouvelle fois pour lui. « Je t’en prie, viens.. » Tu venais à lui souffler une autre fois, voulaitt qu’il vienne atteindre ce moment de plaisir ultime avec toi. Ton corps tremblant, tu finissais par jouir avec lui, ton orgasme et le sien te vrillant. C’était bon, délicieux, parfait. Tu ne pus t’empêcher de crier son nom à plusieurs reprises, exprimant ce qu’il te faisait vivre.

Tu sentais encore une fois les battements de ton cœur affolé alors que ton corps était encore chaud et endolori par ce que vous veniez de faire. Tu transpirais le sexe alors que tes lèvres étaient encore gonflées de ses baisers. Tu ne t’étais plus sentie aussi bien depuis quelques temps et ce fut naturellement que tu le laissais se retirer de toi et de ton corps. Tu grimaçais cependant à la sensation de manque qui s’emparait désormais de toi, et, tu venais poser ta tête contre son torse encore chaud, enroulant un bras autour de son corps. Tu désirais encore le garder près de toi et, tu étais désormais fatiguée et vidée d’énergie pour ce soir. Tu embrassais tendrement son torse et posais une main dessus avant de fermer les yeux et te laisser emporter par Morphée dans un sommeil apaisé et heureux. Du moins, jusqu’au petit matin.


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