La situation Julian possède un hôtel à Chicago, hôtel où il manque de personnel pour le moment et qui ne va pas très bien. De ce fait, il a besoin de recruter du nouveau personnel. C'est ainsi qu'il va faire connaissance de la jeune Sally, une rencontre qui pourrait bien être explosive..
Contexte provenant de nos têtes.
Invité
Mer 13 Fév - 23:44
Julian Warren
J'ai 40 ans et je vis à Chicago, Etats Unis. Dans la vie, je suis gérant d'un hôtel et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.. Informations supplémentaires ici.
Longue journée à venir, tu le savais. Tu te trouvais dans ton hôtel que tu gérais. Seulement voilà, les choses n’allaient pas très bien en ce moment pour toi. Pour ton hôtel surtout. Tu manquais de personnel ces temps-ci et surtout, celui-ci manquait aussi de clients. En ce moment, les affaires ne marchaient pas forcément pour le moment. Ton hôtel se trouvait implanté à Chicago mais tu n’arrivais pas à attirer des personnes en ce moment. Il y avait eu de mauvais évènements en ville ces temps-ci et tu supposes que les personnes n’osaient pas trop y venir. Pourtant, tu avais de bons avis sur ton hôtel en général et il était assez connu. Bon, tu venais d’une famille riche et connue alors tu étais connu médiatiquement également. Tu faisais parfois la une dans quelques journaux alors, tu espérais bien que cela allait revenir mais bon, tu ne pouvais le savoir.
Tu t’étais installé dans une suite à l’hôtel, histoire de pouvoir gérer plus facilement ce qui se passait. Tu souhaitais être au plus près de ton boulot pour pouvoir gérer les affaires et tenter de les améliorer. Tu devais également faire passer quelques entretiens pour les postes qu’il te manquait. Tu avais besoin d’une personne à la réception puis de personnes pour l’entretien et le ménage Tu recevais d’ailleurs quelques personnes aujourd’hui alors, autant dire que ta journée serait chargée. Tu pouvais les recevoir dans la suite que tu avais prise. Tu en avais eu quelques uns mais, tu n’avais pas trouvé pour le moment chaussure à ton pied. C’était difficile et tu savais que tu l’étais d’ailleurs. En même temps, tu voulais trouver la bonne personne pour toi. De ce fait, tu continuais tes recherches. Une autre personne t’attendait d’ailleurs. « Mademoiselle River-Johns c’est ça ? » Tu lui demandais alors que tu restais distant, froid comme à ton habitude. « Veuillez prendre place. » Tu lui indiquais alors la chaise en face de toi tandis que tu t’installais de nouveau. Tu buvais une gorgée de ton café avant de prendre son CV. « Bien, redîtes moi pour quel poste vous venez ? » Tu l’avais noté mais bon, tu préférais quand même demander confirmation. « Bien, je vais vous laisser vous présenter et, je vous présenterai ensuite le poste ainsi que ce que je recherche. J’attends de cet entretien un échange, alors je vous laisse d’abords la parole. » Tu lui demandais, un stylo en main histoire de prendre des notes sur ce qu’elle voudrait bien te dire. Tu tapais donc avec ton stylo sur ton bloc, histoire de sûrement déconcerter la jeune femme en face de toi. Tu n’avais pas décidé d’être tendre avec les personnes que tu allais recevoir. Loin de là.
Invité
Jeu 14 Fév - 3:22
Sally River-Johns
J'ai 22 ans ans et je vis à Chicago, Amérique. Dans la vie, je suis réceptionniste à temps plein dans l'hôtel du groupe Warren et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma dévotion totale pour ma famille, je suis célibataire depuis toujours et je le vis plutôt normalement, je pense. Informations supplémentaires ici.
Papa ne voulait pas. Il disait en permanence que j’allais gâcher ma vie si je m’obstinais à lâcher mes études pour entrer dans la vie active. Mais je tenais ferme mes résolutions. A partir de ce jour, j’allais officiellement entrée dans la vie active, notamment en décrochant mon premier véritable travail. Rien de bien excitant, du reste : un poste de réceptionniste dans un hôtel de luxe presque en faillite, à ce que le voisinage disait. Mais j’estimais que cela était déjà bien suffisant pour un tout premier emploi. J’avais vingt-deux ans. J’étais encore naïve quant au monde du travail et ces dirigeants, mais je me consolais en me répétant que – pour une fois – je n’étais pas très différente des gens de mon âge. Et c’était bien le seul domaine où je ne l’étais pas, d’ailleurs. Pour le reste, j’essayais de me convaincre que les choses s’amélioreraient, avant de radicalement changer. Pour commencer : mes espoirs se portait sur les bénéfices d’avoir une véritable entrée d’argent mensuel, par le biais d’un second salaire, qui nous permettrait de pouvoir nous nourrir convenablement jusqu’au trentième jour du mois ; et par la suite : sur ceux de pouvoir acheter une maison un peu plus accueillante autant que confortable pour toute la famille, grâce au crédit sur vingt années que m’accorderait une banque. Tirant sur ma veste de tailleur que l’une des voisines avait reprisée, pour qu’elle soit à mes dimensions et non plus à celles de ma mère absente, j’entrais dans la suite que la réception m’avait indiquée. Je trouvais étrange que mon futur patron exerce ces entretiens dans un tel endroit. Cependant, je ne m’en formalisais pas. Je pensais que les gens riches étaient toujours plus extravagants que la norme. Le cherchant aussitôt dans celle-ci, confiante, je le trouvais presque instantanément alors qu’il se renseignait immédiatement sur mon identité.
_ Oui c’est exact, monsieur Warren. J’affirmais poliment, autant que souriante, en tendant ma main en sa direction, dans l’attende qu’il ne serre la mienne. _ Je suis mademoiselle Sally River-Johns, nous avions rendez-vous pour un entretien d’embauche.
L’homme ne me serra pas la main, contrairement à ce que prévoyais. il me demanda plutôt de prendre sans aucune forme de convivialité à mon égard, avant de boire une gorgée de son café. Parfait. Je pensais avec une légère pointe d’ironie. Pour mon premier entretien, j’avais affaire au connard type dont les voisins riaient au cours de nos conversations. J’avais beaucoup de chance. Je ne me démontais pas pour autant, toutefois. Docile, je vins prendre place à la chaise qu’il m’avait indiqué, pendant qu’il lisait le C.V que je lui avais fais parvenir quelques jours auparavant. Ensuite, il s’enquerra du poste que je pourvoyais.
_ Celui de réceptionniste, monsieur.
Je lui annonçais souriante, consciente que l’agréabilité était la qualité première de l’emploi. Et pour cause : le réceptionniste était toujours le premier visage que la clientèle voyait à son entrée dans l’hôtel. Il était par conséquent primordial que je sois en mesure de lui démontrer que j’étais une personne charmante, physiquement de prime abord, y compris avec des personnes parfaitement désagréable. Pour le reste, je misais essentiellement sur les questions qu’il allait être amener à me poser, et auxquelles je m’attendais. Or, ce ne fut pas ce qu’il me proposa. Loin de là. Il voulait que je me présente, avant qu’il ne me parle du poste ainsi que sa recherche vis-à-vis de celui-ci. J’étais parfaitement décontenancée. Je sentais d’ailleurs mes joues s’empourprait, tandis que je me mordais la lèvre inférieure d’anxiété. Il attendait de cet entretien un échange, et je me devais de prendre la parole en premier lieu. Je me lançais donc, toujours souriante, bien que plus qu’incertaine, après avoir profondément inspirée.
_ Comme je vous le disais, je m’appelle Sally River-Johns. J’ai vingt-deux ans, et jusqu’ici je tenais un poste de vendeuse dans l’épicerie familiale (dont les affaires n’étaient pas florissantes, hélas). Bien que l’emploi n’avait absolument rien de similaire avec le poste que je pourvois, je possède de nombreuses qualités d’accueil et d’écoute, que j’estime nécessaire à cet emploi. Polyvalente, je serais parfaitement en mesure d’assumer les tâches qui me seront confiés, autant que m’adapter au besoin et à la demande de la clientèle de cet hôtel. De nature curieuse, je serai enchanté d’apprendre le métier au sein de votre entreprise, et je contribuerai à ce que notre collaboration professionnelle ce passe dans d’excellentes conditions.
Mon sourire était presque figé, tant j’étais sujette au stress. Je devais être parfaitement ridicule. Toutefois, un sentiment de fierté s’emparait de moi. Je venais de citer les qualités que les sites internet vantaient d’être celles que recherchaient les recruteurs, et j’espérais qu’elles aient convaincu monsieur Warren de me confier ce poste. Il ne restait plus qu’à attendre son verdict, dans les minutes à venir.
J'ai 40 ans et je vis à Chicago, Etats Unis. Dans la vie, je suis gérant d'un hôtel et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.. Informations supplémentaires ici.
Tu devais absolument trouver du personnel. Oui tu le devais car, tu savais qu’avec ceci, tu pourrais déjà avancer. Tu pourrais avoir tout ton personnel et ainsi, ils pourraient t’aider à faire tourner l’hôtel. Il fallait être clair, sans eux, tu ne pouvais pas avoir de chambres prêtes, des personnes répondant au téléphone pour prendre les réservations et tout ceci. Tu voulais donc arranger cela. Tu voulais que ton hôtel continue de tourner puisque tu l’avais depuis quelques années et qu’il s’était fait un nom. Ou plutôt, ta popularité avait fait qu’il était connu des autres.
Tu accueillais donc cette jeune femme, Mademoiselle River-Johns. A son CV, tu avais vu qu’elle avait vingt-deux ans donc tu supposes qu’elle n’était pas mariée. Quoique, cela ne voulait rien dire et ce n’était que des préjugés. Une jeune femme de cet âge pouvait très bien être mariée bien sûr. Tu te demandais d’ailleurs si elle n’était pas trop jeune mais, encore une fois, l’âge ne voulait rien dire. Il y avait parfois des personnes plus âgées et immatures. « Très bien. » Tu ne lui serrais pas la main, lui indiquant simplement la place devant toi afin de s’y installer. Tu récupérais son CV dans le tas que tu avais avant de le parcourir de nouveau rapidement. Tu ne l’avais plus en tête.
Tu écoutais alors la jeune femme se présenter et te parler de son parcours, de sa vie. Tu prenais quelques notes au passage histoire de te souvenir lorsque tu relirais les candidatures. Il y en avait tellement que c’était difficile de savoir où donner de la tête. « Très bien. En effet, je recherche une réceptionniste en plus de la personne que j’ai déjà. Il y a des horaires de jour comme de nuit, puisqu’un hôtel ne ferme pas alors ça ne doit pas vous poser problème. » Oui car, le planning changeait et cela risquait de poser un soucis le cas contraire. « Je recherche quelqu’un d’accueillant, qui sache gérer les réservations et le planning. Quelqu’un qui sait être proche du client aussi, c’est un grand hôtel et parfois certains clients ont des demandes particulières. Vous pensez pouvoir gérer ? » Oui, il fallait réellement tout mettre en œuvre pour que les personnes se sentent bien, avec tout ce qu’elles désirent et surtout, qu’elles aient envie de revenir. « Vous êtes jeune et vous n’avez pas encore beaucoup d’expérience, ce que je conçois. Vous vous sentez capable d’être dans un milieu dans lequel vous n’avez jamais travaillé ? » Oui, elle avait travaillé en tant que vendeuse mais c’était l’épicerie de sa famille, c’était donc différent. L’hôtellerie, c’était un autre domaine et quelque chose de différent. Tu te demandais donc si elle serait apte à ce poste, et tu désirais l’entendre davantage.
Invité
Sam 16 Fév - 0:00
Sally River-Johns
J'ai 22 ans ans et je vis à Chicago, Amérique. Dans la vie, je suis réceptionniste à temps plein dans l'hôtel du groupe Warren et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma dévotion totale pour ma famille, je suis célibataire depuis toujours et je le vis plutôt normalement, je pense. Informations supplémentaires ici.
Mon discours de présentation semble lui plaire. Il ne fait aucune remarque désobligeante quant aux qualités que j’ai mise en avant, confirmant ainsi que les sites internet que j’ai fouillée au préalable disaient vrai : un entretien d’embauche ne tient qu’à cinq qualités subtilement positionner dans les questions du recruteur. Il n’y a pas eu de questions, du reste, c’est un fait. Cependant, cela reste un détail que j’ai surmonté avec brio. Je suis fière de moi, d’ailleurs. Tellement que je retrouve cette confiance qu’il avait ébranlé, précédemment. Mon sourire se détend aussitôt. Je l’écoute à nouveau avec assurance. Il m’annonce comme convenu ces attentes pour le poste de réceptionniste. J’apprends qu’il cherche une personne en plus de celle occupant déjà ce poste, au sein de cet hôtel, et qu’il y a des horaires de jour comme de nuit, puisque l’hôtel ne ferme jamais. Cela va s’en dire. J’imaginais bien avant de postuler que je devrais être ambivalente dans mon emploi du temps, d’où l’abandon de mes études universitaire.
_ Cela ne m’en posera pas, Monsieur Warren. Je serais totalement disponible pour mon travail, de jour comme de nuit.
L’inconvénient sera de reléguer mon rôle de maman auprès de mes cadets, à mon père déjà dépassé par les évènements. Or, il n’y a pas de miracle sans sacrifice. Pour que les économies en fin de mois soient acceptables, il faut que je ramène un deuxième salaire à la maison. Monsieur Warren poursuit son discours en m’indiquant les qualités qu’il recherche chez son futur réceptionniste : une personne accueillante, en mesure de gérer le planning de réservation, capable d’être proche de la clientèle, y compris celle aux demandes singulières.
_ Je serais entièrement apte de gérer autant le planning que la clientèle de l’hôtel. J’affirme convaincue autant que convaincante, toujours charmante, comme précédemment. _ Je me ferais d’ailleurs une joie d’être à l’écoute de celle-ci, et de répondre à ses attentes et besoins.
J’en ferai une affaire personnelle, d’ailleurs. Je n’aurai la satisfaction du travail bien fait, que lorsque je saurai que j’ai accompli convenablement mes tâches auprès de la clientèle, ou auprès de lui-même. Je déplore uniquement qu’il ne soit pas d’avantage chaleureux, ou agréable. Je pensais que c’était une façon de m’intimider, pour déceler directement les meilleurs éléments franchissant son « bureau », et je m’aperçois que c’est sa véritable nature. C’est frustrant. J’aurais aimé travailler auprès d’un homme riche charmant, comme on peut en voir dans certain film, même si cela semble naïf de l’avoir crue un instant. Mais non, moi je vais me tuer à la tâche pour monsieur grimace. Je suis même prête à parier qu’il est aussi du genre à engueuler son personnel comme un poisson pourri. Si j’ai raison, je sais que je serais vite tentée de chercher du travail ailleurs, avant de le remettre à sa place. Mais bon. Nous n’en sommes pas là, encore. Pour l’instant, je ne sais même pas si j’ai la place, bien que cela semble bien parti pour que cela soit le cas. Mon jeune âge vient ensuite le faire s’interroger sur mes capacités d’adaptions. Il se demande si je serais capable de travailler pour lui, avec ma totale incompétence dans l’hôtellerie. Je le comprends. Il craint d’avoir affaire à une parfaite empotée qu’il devra réprimander pour son manque d’efficacité, de sérieux. Or, je sais qu’il ne sera pas confronté à l’image que l’on se fait de la jeunesse actuelle. Je suis bien plus mature que mon apparence, ou mon C.V, le laisse à suggérer.
_ Je comprends que mon âge, ainsi que mon incompétence dans l’hôtellerie, puissent être source d’interrogation pour vous. Néanmoins, je peux vous assurer que je suis la personne toute indiquée pour ce poste. Je suis sérieuse, autodidacte, et curieuse. Je sais que j’apprendrais vite le métier, et que vous ne serez pas déçu de mon travail à votre service. Je marque une pause. _ Et si vous craignez une attitude déplorable de ma part, telle que le mâchage de chewing-gum, ou encore le passage de la lime à ongles sur mes doigts, je vous assure que vos craintes sont infondées. Je suis une jeune femme qui présente bien et qui tient à cœur tout ce qu’elle entreprend. Je ne vous ai pas envoyée ma candidature pour gagner de l’argent de poche en me tournant les pouces. Je vous l’ai fait parvenir parce je désirais sincèrement travailler dans votre hôtel, de jour comme de nuit.
Je ne peux pas vendre mieux mon profil qu’ainsi. Ah moins que… Oui. Une idée me traverse l’esprit, tout d’un coup. Et quelque chose me dit que ma prise d’initiative pourrait lui plaire.
_ Je vous propose même une mise à l’épreuve, si vous le désirer. Soit en situation réelle, soit dans un jeu de rôles.
J'ai 40 ans et je vis à Chicago, Etats Unis. Dans la vie, je suis gérant d'un hôtel et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.. Informations supplémentaires ici.
Tu avais des réserves quant à la jeune femme pour le moment. En même temps, tu ne la connaissais pas tout à fait, ni très bien. Justement, cet entretien était fait pour que vous puissiez vous connaître un minimum, pour le milieu du travail, cela va de soi. Ce n’était pas pour autre chose que vous aviez ce rendez-vous. Tu avais cependant beaucoup de candidature et, de ce fait, tu ne pourrais peut être pas prendre une décision toute suite. Tu préférais de toute manière réfléchir et prendre le temps plutôt que faire un coup de tête. Tu avais certes besoin de personnel mais tu ne voulais pas faire d’erreur. « Très bien, je note alors. » Bien sûr, tu ne pouvais que croire en sa parole puisque, tu ne pouvais pas en avoir la certitude. Il y avait parfois des personnes honnêtes, et, d’autres qui ne l’étaient pas mais, difficile de savoir avant le jour J.
Tu ne pouvais pas non plus avoir la certitude qu’elle serait apte à gérer comme elle le disait, pour cela, il fallait que tu le vois sur le terrain bien entendu. « Très bien, vous savez, ce n’est pas toujours des clients faciles. Du moins, certains ont des demandes assez spéciales et peuvent aussi être agaçants. Comment est-ce que vous géreriez un conflit avec un client ? » Tu lui demandais car, il était aussi important de savoir gérer ce genre de choses. Il y avait souvent des conflits, que ce soit dans un commerce ou autre. Tu préférais également lui dire quel type de clientèle elle pourrait avoir dans l’hôtel car, elle ne serait pas surprise ainsi. Tu n’étais pas non plus là pour la piéger. A quoi est ce que cela servirait ? A rien du tout. Tu étais également là pour la former et lui indiquer les choses du métier. C’était ton devoir. Tu souhaitais que les choses se passent bien pour ton hôtel et tes clients. Tu souhaitais que les clients reviennent et tout ça. Ses mots te plaisaient bien. Elle avait l’air motivée même si tu avais quelques réticences c’est vrai. Chose que tu aurais sûrement avec d’autres personnes. Il était difficile que de léguer et laisser les choses.
La jeune femme, Sally, te proposait également de faire un essai. Au moins, elle était ouverte à essayer et te montrer ce dont elle était capable. « Ecoutez, j’ai d’autres personnes à voir encore aujourd’hui donc cela risque d’être compliqué. » Tu te passais une main sur la barbe. « Mais, si vous êtes disponible en fin de journée, ce qui me laissera le temps de faire mes entretiens alors je veux bien vous prendre à l’essai. » Tu lui proposais donc ce compromis. Ce n’était pas un oui ni même un non pour le moment. « Cela me laissera ensuite le temps de réfléchir et prendre ma décision. » Oui, tu aurais ainsi l’occasion de réfléchir et être sûre que la jeune femme était apte à faire ce boulot.
Invité
Lun 18 Fév - 21:18
Sally River-Johns
J'ai 22 ans ans et je vis à Chicago, Amérique. Dans la vie, je suis réceptionniste à temps plein dans l'hôtel du groupe Warren et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma dévotion totale pour ma famille, je suis célibataire depuis toujours et je le vis plutôt normalement, je pense. Informations supplémentaires ici.
L’entretien se passe bien. Les réponses que je fournis à Monsieur Warren semblent le satisfaire, encourageant mon instinct à me laisser entendre que je pourrais signer mon contrat incessamment sous peu, et je sens ma confiance en moi être gonflée à son maximum. Alors certes, il émet quelques réserve quant à ma jeunesse, mon manque d’expérience dans l’hôtellerie, mais je sens qu’elles ne sont pas totalement rédhibitoires. Et j’en veux pour preuve se souhait de connaître ma réaction en cas de confrontation avec un client.
_ Hé bien très calmement. Je lui déclare en amont, assurant ma confiance en moi. _ Je conserverai mon sourire, ma bonne humeur, et je ferai en sorte que la raison de son mécontentement soit réglée. Le client est « roi ». Je précise alors, satisfaite de m’être rappeler cette adage dans le commerce. _ Il est donc primordial qu’il soit satisfait, de n’importe quel façon.
L’exiger poliment serait génial, à mes yeux. Mais pour avoir longuement travailler dans une supérette de quartier, ayant son lot de personnes désagréables dans une journée, je sais que je fais preuve d’utopisme en songeant cela. Pour terminer de le convaincre de me confier ce poste, que je souhaite décrocher plus que tout pour le salaire qu’il offre, je fais preuve d’audace en suggérant une mise à l’épreuve. C’est peut-être une mise à mort immédiate de réussite, j’en ai conscience, mais je ne peux m’empêcher de croire que cela démontre également le sérieux de ma candidature. Quel jeune, ne cherchant qu’un moyen de se faire de l’argent de poche derrière un comptoir d’hôtel, voudrait réellement un essai sous la surveillance d’un homme aussi antipathique que celui-ci ? Aucun. Alors j’apprécie qu’il le reconnaisse indirectement en acceptant de me donner ma chance. Par contre, cela ne sera pas dans l’immédiat, à ce qu’il m’annonce. Il a d’autres candidats à voir présentement, et le temps lui manque pour me mettre à l’essai aujourd’hui-même. C’est ennuyeux, j’avoue, mais je comprends. Je suis même prête à ce que l’on convienne d’un nouveau rendez-vous quand il me suggère de le faire se soir-même. C’est le moment de prouver mes dires quant à mes disponibilités pour son établissement hôtelier.
_ En fin de journée, c’est parfait. J’annonce enthousiaste, me retenant de le serrer dans mes bras, comme je le ferais avec n’importe qui d’autre sous un élan de joie. _ Vous n’avez qu’à m’indiquer l’heure qui vous conviendrait le mieux, et je serai présente dans le hall de l’hôtel, ou ici-même si vous le désirez, pour que vous me donniez les modalités de la période d’essai. Je marque une pause. _ Dois-je porter une tenue en particulier ou l’uniforme est fournit ?
En général, les grands hôtels fournissent une tenue spécifique à leurs employés. C’est ce que l’on voit dans certains téléfilms que mes cadettes regardent à la télé les jours de repos, du moins. J’attends les informations que je lui ai demandée, avant de quitter sa suite, non sans avoir tenté de lui serrer la main en vain.
***
18h. Comme convenu plus tôt dans la journée avec Monsieur Warren, je suis de retour dans l’enceinte de son immense hôtel, après une fin d’après-midi houleuse. Et pour cause : j’ai passé des heures à entendre mon père me répéter inlassablement que je m’offrais à une sorte d’exploitation malhonnête. Selon celui-ci : mon « futur patron » a accepté de me prendre à l’essai uniquement pour avoir une main d’œuvre gratuite pendant qu’il trouve « sa » perle rare. J’ai tentée de lui expliquer vainement que c’était justement l’occasion pour moi de lui assurer que j’étais celle-ci mais, têtue comme une mule, il a refusé d’entendre les choses de cette oreille, jusqu’à me mettre le doute à moi-même. Ce peut-il qu’il ait raison ? Qu’en me proposant de travailler en période d’essai durant ses divers entretiens, monsieur Warren cherchait uniquement une main d’œuvre gratuite avec le concours consentant d’une petite idiote ? Je le crains, oui, malheureusement. Mon père a réussit à me souffler cette probabilité dans le creux de l’esprit, et impossible de m’en défaire, d’autant plus à présent que je suis de retour sur les lieux. Peut-être devrais-je établir quelques conditions, moi également ? Peut-être devrais-je lui stipuler que cette période d’essai doit impérativement aboutir sur un contrat, si la qualité de mon service le satisfait pleinement ? Hm… Je doute du bien fondé d’une telle attitude, exigeante. Il risquerait de croire que je suis le genre de personne à débarquer dans sa suite dès que quelque chose ne convient pas, pour mieux ensuite jouer les petits chefs. Mais paradoxalement, si je n’impose pas de limite à ces attentes envers cet essai, il est probable que je me fasse « exploiter », comme papa n’arrêtait pas de le souligner. Rhâââ. Je soupire, contrarié. Le mieux reste encore que j’avise le moment venu, comme je le fais depuis que j’ai des responsabilités d’adultes. Les choses ne seront pas forcément mauvaises pour moi. Derrière sa façade d’homme de glace, monsieur grimace peut être quelqu’un d’honnête autant que loyal. Oui. Je veux le croire. Je veux Y croire. En l’attendant patiemment dans le hall de l’hôtel, non loin de la réception, je garde essentiellement espoir que tout va très bien se passer pour moi. Le monde n’est pas rempli que de « pourrie » y faisant leur place, n’est-ce pas ?
J'ai 40 ans et je vis à Chicago, Etats Unis. Dans la vie, je suis gérant d'un hôtel et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.. Informations supplémentaires ici.
Tu voulais savoir comment est-ce que la jeune femme s’en sortirait si jamais elle venait à affronter le genre de clientèle parfois agaçante. Le genre de clientèle qui te prendrait sûrement la tête pour un rien. Tu savais pour travailler ici qu’il y avait parfois des demandes un peu spéciales. Elle marquait un point en disant que le client était roi. C’est vrai oui, il l’est. Du moins, il fallait toujours faire en sorte que les choses se passent bien. Il fallait faire en sorte que le client soit satisfait et puis, qu’il veuille revenir surtout. « Vous avez raison oui, le client est roi. » Et si elle le savait, c’était déjà un bon point. Tu notais également ses réponses concernant le fait qu’elle resterait calme et tout ça. Tu ne savais pas si c’était vrai mais, tu ne pourrais le savoir qu’en voyant la situation. Il fallait cependant que celle-ci se présente à toi.
Tu avais des réticences mais la jeune femme te plaisait bien, du moins ce qu’elle te disait même si tu devais avouer qu’elle n’était pas mal aussi. Elle était jeune aussi mais soit, ce n’était pas la question pour le moment. Elle te proposait ensuite de faire un essai. Non pas que tu étais contre mais, tu avais aussi d’autres personnes à voir pour le moment. Tu voulais malgré tout les rencontrer et voir ce qu’elles avaient à vendre plutôt que te précipiter. Tu n’étais pas de ce genre là, te précipiter et prendre une décision rapide. Cela ne servait à rien. « Pour dix huit heures ce sera bon et oui, on peut se donner rendez-vous dans le hall, j’y serais. » Tu lui disais en notant le rendez-vous que tu avais même si tu ne risquais pas d’oublier mais tout de même. « Pour la tenue non, je n’en impose pas à mes employés, si ce n’est de bien s’habiller, être classe avec une veste et ça ira. »
(…)
Les heures avaient filé à grande vitesse et tu avais reçu les autres candidates de ton côté. Seulement voilà, le soucis c’est que tu n’avais pas vu d’autres personnes qui t’intéressaient davantage. De plus, tu n’avais proposé un essai uniquement à Sally et personne d’autre. D’ailleurs, tu devais retrouver la jeune femme dans le hall. Tu récupérais ton portable avant de descendre dans le hall et la retrouver. « Mademoiselle River-Johns. » Tu lui disais avant d’observer sa tenue. « Votre tenue est très bien comme cela, merci à vous d’être venue. » Tu lui disais car il est vrai que certaines personnes ne vont pas toujours aux entretiens ni quoi que ce soit et parfois, sans prévenir d’ailleurs. « Vous avez des affaires que vous souhaitez déposer ? » Des effets personnels qu’elle souhaiterait peut être laisser pour mieux travailler ou quelque chose du genre. « Je vous propose de faire un tour des liens si vous le voulez bien, ainsi vous pourrez connaître un minimum l’hôtel déjà. » C’était toujours mieux afin qu’elle puisse travailler correctement.
Invité
Mer 20 Fév - 3:36
Sally River-Johns
J'ai 22 ans ans et je vis à Chicago, Amérique. Dans la vie, je suis réceptionniste à temps plein dans l'hôtel du groupe Warren et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma dévotion totale pour ma famille, je suis célibataire depuis toujours et je le vis plutôt normalement, je pense. Informations supplémentaires ici.
Consciemment ou non, papa est parvenu à son but : me mettre en tête cette idée ridicule d’exploitation malhonnête, bénévole de surcroît, sous couvert d’une période d’essai imprécise. Je ne sais même plus comment il est raisonnable d’agir ou non à ce sujet. Mon bon sens me dit de me fier à mon instinct, comme j’ai coutume de le faire depuis que je joue le rôle de maman pour mes cadets ; mais ma nervosité, elle, m’encourage au contraire de ficher le camp avant que le directeur de l’hôtel n’ait le temps de me rejoindre. C’est encore envisageable, du reste. Seulement je doute qu’une telle réaction soit favorable à mes objectifs d’avenir concret. Je ne peux pas me prétendre apte à trouver un emploi si je passe à côté de celui qui me tend les bras, à cause de papa. Non. Il faut que je mène cet essai jusqu’à son terme, contrat d’embauche ou non à la clef. Et j’entends bien le faire. J’attends donc le directeur de l’établissement, jusqu’à ce qu’il vienne à ma rencontre à l’heure convenu. Si je lui offre un sourire charmant comme au cours de notre précédent entretien, en guise d’accueil, lui il ne me fait l’honneur de m’en gratifier d’un en retour. Ce n’est pas grave. Je ne suis pas à la recherche d’un ami de tout façon, même si cela aurait pu rendre nos rapports à venir agréables. Je recherche uniquement un travail au sein de son établissement, et je décide de ne pas m’en formaliser plus que ça. Je préfère au contraire lui rendre la politesse, le saluant à mon tour.
_ Monsieur Warren.
J’hésite brièvement à lui tendre la main à nouveau, d’ailleurs. Il a ignoré par deux fois mon geste ce matin, me mettant ainsi deux vents phénoménaux. Je ne sais pas s’il est judicieux de lui offrir une troisième opportunité, par conséquent. Cependant, je m’y risque quand même, confiante en sa politesse. Je m’y risque surtout parce que j’ai besoin de savoir s’il est un véritable connard méprisable, où si c’est une image qu’il se donnait dans sa suite ce matin même. Je pense que je serais fixée s’il ne s’y plie pas davantage. Je pense que je saurais qu’il ne me considère pas assez pour toucher ma main de la sienne. Je pense également que saurais qu’il appartient à ces riches qui n’aiment pas se « salir » avec ceux n’appartenant pas à leur milieu, très sélectif. Et je pense surtout que je saurais comment le surnommer mentalement à l’avenir : monsieur grimace. En attendant, je me concentre sur les paroles qu’il m’adresse. Il apprécie ma tenue, qui est totalement similaire à celle que je portais à notre rendez-vous de la matinée, avant de me remercier de ma venue.
_ C’est tout à fait naturel, monsieur Warren. Je lui réponds aussitôt, charmante. _ Je tiens impérativement à obtenir ce poste. Je tiens donc également à faire cet essai.
Je tais volontiers l’instant de doute qui a faillit m’encourager à lui faire faux bond un peu plus tôt, soit-dit-en passant. J’estime qu’il n’a pas besoin de savoir que mon jeune âge me rend facilement impressionnable, pour ne pas dire manipulable paternellement parlant. Non. Tout ce qui l’intéresse est de savoir si j’ai des affaires à déposer, et cela me convient pleinement.
_ Oui, mon sac à main.
Je l’informe en montrant la lanière de celui-ci, sur mon épaule droite. Il ne contient rien d’extravagants, du reste : mes papiers d’identité, mon portable pour les urgences familiales, ainsi que les clefs de la maison. Bref, le strict nécessaire pour une jeune femme qui, normalement, devrait également avoir du maquillage à foison, des préservatifs en pagaille, ou que sais-je encore quelle autre fantaisie. Mais pardon, je digresse. Il me propose ensuite de me faire visiter les lieux, pour mieux connaître l’hôtel. Je trouve l’idée excellente, ainsi j’éviterai de me perdre dès les premières minutes à m’y aventurer toute seule.
_ Je vous suis.
Je l’informe en lui laissant la priorité, comme tout bon guide. Je profite qu’il m’entraîne en direction des endroits qui me concernent pour entamer une série de questions que j’estime importante à mon début de service, dans son entreprise, toujours charmante à son égard.
_ Vous ne m’avez pas précisé si la période d’essai aboutira sur un contrat à durée indéterminé. Je suppose que c’est le cas ? Cela me semble évident, personnellement, mais peut-être ai-je totalement faux. _ D’ailleurs, en ce qui concerne ma période d’essai, combien de temps durera-t-elle ? Quelques jours ? Une semaine ? Est-ce que j’aurais un planning m’indiquant mes horaires d’avances ? Cela serait pratique, de mon point de vue : ainsi je pourrais ainsi gérer mes cadets à la maison de sorte que papa n’ait pas à s’occuper de tâche auquel il n’a pas d’expérience réelle. Mais si monsieur grimace ne m’en donne pas, je m’en accommoderais. _ Vous avez également parlé d’un ou d’une autre réceptionniste, me semble-t-il, sera-t-elle de service ce soir ? Je m’interromps en songeant que je l’ensevelis de questions. Si je continue ainsi, je vais le convaincre directement de ne pas m’embaucher. _ Excusez-moi. Je lui déclare sincèrement confuse, toujours à sa suite. _ Je suis tellement contente à l’idée de « travailler » pour vous, enfin pour votre établissement hôtelier je voulais dire, que je ne contrôle pas mon flot de questions.
Je lui ai dis être de nature curieuse, tout à l’heure. Je ne lui ai donc pas menti.
J'ai 40 ans et je vis à Chicago, Etats Unis. Dans la vie, je suis gérant d'un hôtel et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.. Informations supplémentaires ici.
Tu avais donc ton rendez-vous avec mademoiselle River-Johns. La jeune femme t’avait proposé de faire un essai pour te montrer ce dont elle était capable de faire. Tu y avais réfléchi avant d’accepter. En revanche, tu avais eu d’autres candidates et tu avais souhaité les voir. Tu n’avais pas voulu prendre une décision toute suite. Tu avais besoin de personnel, certes, mais tu n’avais pas pour autant envie de te précipiter et de choisir quelqu’un comme ça, loin de là. Tu voulais tout de même prendre le temps mais cela ne t’avait pas empêcher d’accepter de voir l’essai de la jeune femme. Tu la rejoignais dans le hall avant de la saluer.
« Très bien, donnez le moi, je vais le mettre avec les affaires du personnel. » Tu lui disais. Ainsi son sac serait donc en sécurité et il n’y aurait pas de soucis. Elle n’aurait pas non plus à se trimballer avec. C’était donc plus agréable. Tu récupérais son sac pour le ranger, avant de refermer la porte avec ton pass. Vous alliez ainsi pouvoir passer aux choses sérieuses. Tu avais déjà recruté mais pas forcément fait passer de jour d’essai alors, tu allais sûrement devoir improviser les choses. Tu décidais tout d’abords de lui faire visiter les lieux. C’était tout de même important.
La jeune femme t’assena finalement de multiples questions que tu ne sus par où commencer. Tu ne sus pas vraiment quoi lui répondre pour le coup. Tu devais d’abords reprendre question par question ce qu’elle te demandait. « Pour le contrat, oui c’est cela j’aimerai quelqu’un de stable et de ce fait, un contrat indéterminé. Je ne vous ai pas demandé mais, quel type de contrat vous recherchez ? » Oui car si elle recherchait uniquement un mois ou autre alors cela allait te poser problème. Tu avais besoin de quelqu’un qui resterait et non l’inverse « Je n’ai pas encore décidé pour la période d’essai, je pense que je vais déjà voir comment ça se passe aujourd’hui et je vous dirai cela ensuite. » Après tout, autant tu pouvais être fixé ce soir ou bien il te faudrait plus de temps pour cela. Tu ne pouvais pas le savoir toute suite. Bien sûr, tu la tiendrais au courant des avancées des choses.
« En effet, vous posez beaucoup de questions. » Tu ne pus t’empêcher de lui dire mais après tout, tu préférais quelqu’un qui t’en pose plutôt qu’une personne qui ne te dise rien, c’était toujours mieux d’avoir une personne de curieuse de nature. Cela te laissait entendre qu’elle poserait des questions et s’intéresserait à l’emploi. « On va faire le tour de l’hôtel et je vous présenterai à la réceptionniste, elle vous expliquera les choses à savoir et vous formera aussi si vous venez à intégrer notre hôtel. Elle est ici depuis quelques années alors elle connait bien, vous pouvez lui poser vos questions. » Tu connaissais ta collègue pour savoir qu’elle serait présente pour aider et pour former en cas de besoin. C’était une personne de confiance et tu le savais. « Allons faire le tour pour commencer. » Tu lui disais alors que tu décidais de faire le tour avec la jeune femme, lui présentant les pièces dont elle devait avoir connaissance et tout ça. Tu terminais ce tour par la réception.
« Madame Whelan, je vous présente Mademoiselle River-Johns, elle va rester quelques heures avec nous pour faire un essai. Elle vient pour le poste de réceptionniste. » Tu présentais la jeune femme à ta collègue. Tu te tournais ensuite vers Sally. « Je vais vous laisser en sa compagnie, elle me fera également un retour et vous expliquera mieux que moi son métier. » Tu adressais un regard à la réceptionniste, désirant savoir si tu pouvais les laisser toutes les deux. « N’hésitez pas elle a de l’expérience, j’ai quelques trucs à faire, je reviendrais après. » Tu leur disais alors.