I can see it happening again, yet I can't stop it |Pyramid Rouge
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Pyramid Rouge
Mar 23 Mai - 11:15
Anibàl
Gallinger
J'ai 56 ans et je vis à Lake Country dans le ColoradoDans la vie, je suis Directeur de l’état affecté à l’institut psychiatrique pénitentiaire Blackview, et je m’en sors paisiblement. Sinon, grâce à ma chance , je suis père.
base : Sara Biddle reprise : 417 Pyramid rouge
TW: VIOLENCE / TORTURE Les tambours gronde dans le corps du borgne, mari, père, et oncle à la fois lorsque son unique œil se pose sur le maître de tous ses maux. Satisfait de l’efficacité de la toile de ses relations en voyant cette ordure humaine devant lui il ne peut que sourire du haut de son mètre quatre-vingt de force. L’ échine de sa nuque tremble d’un frisson semblable à l’extase de retrouver sa place dans le monde. Fermant les yeux un instant il sembla s’échauffer en faisant rouler sa tête autour de sa nuque qui craqua d’impatience. Oui c’était là sa seule place, celle de l’ arracheur de vérité du décideur. Si il devait être une arcane du tarot il serait sans nulle doute l’empereur qui fait régner sa loi par la force. La chaise était au milieu d’un vieux hangar à la chair de pierre et aux ossements de métal rouillé. Des gouttes d’une pluies passagère s’infiltrait goutte à goutte dans certains coin et le sol gris de béton avait été balayé à l’emplacement de la chaise. Une vieille ampoule autour de laquelle se disputait quelques insectes de la nuit éclairait la vieille chaise sur lequel l’homme était solidement attaché il ne pourrais pas même bouger un doigts. Le reste du hangar restait mal visible à ses yeux et ampli de ténèbres. Ainsi assis là qu’il était il restait à la merci de tout ce qui pourrait se cacher dans le noir… Seuls plusieurs petites tablette médicale de métal était disposé soigneusement autour de lui. Assis qu’il demeurerait il ne pourrait jamais voir ce qui reposait sur ses tables…
Un sourire carnassier habillant ses dents Anibàl s’approcha doucement pour entrer dans le cercle de lumière, silencieux. Fixant son nouveau contrat de travail il observa sa posture un peu tandis que lui souriait jaune de s’être fait bêtement avoir le premier. Le grand homme puissant dans sa posture de despote tira du bout de son pied un petit tabouret rouillé qui enivra la pièce d’une musique funeste. Le plaçant devant lui il s’assit et lui souriait encore en silence. Attaché sur une chaise de métal avec d’étranges accoudoir il y avait là deux tablette soudé avec de léger rebords. Scintillant de propreté s’écrasa bientôt la main du torturé par un lourd marteau. Le coup avait été précis, bref et mesuré en puissance. Tout le métal de la chaise raisonna du coup porté. Celui-ci avait fait les dégâts escompté : un émiettée des phalanges de son auriculaire, annulaire et majeur gauche. Le coup ayant été assez puissant pour briser mais pas écraser totalement le sang ne coulait pas. Au contraire il s’amoncelait, entre l’irrigation qui avait été réduite à néants et la muqueuse osseuse explosée le sang coulait mais ne pouvait pas s’échapper de la cage de chaire qu’était devenues ses doigts. Posant le marteau à ses pieds il sortit de sa veste de costard une pince de métal rouillé qu’il avait théâtralement préparé là. Maintenant que ses doigts étaient pété le choc de la blessure congestionnerait sa main dans une tétanie empêchant les mouvements d’évitement. Il ne s’arrêta pas là et ne le laissant qu’a peine respirer une seconde avant de continuer. Attrapant de sa pince l’ongle de son majeur il tira d’un coup sec. La chaise remua un peu mais heureusement, elle était visé au sol. Son bras retenue fermement par les cordages brûlerais surement d’un inconfort certains tandis que l’un de ses doigts n’était plus que chaire rougeoyante de douleur. Le tempérament calme il plaça le premier ongle dans un petit sachet. Ses gestes était si précis qu’il n’y avait même pas encore de sang partout. Il toussa un peu s’apprêtant à parler en le regardant.
- Ca, c’est pour mon œil. Il arracha l’ongle de son annulaire cette fois pour le rajouter à son sachet. Ca c’est pour avoir tué Scarlet Il n’avait pas besoin de savoir qu’il ne s’agissait pas de l’entière vérité. Raclant sa gorge il arracha enfin l’ongle de son auriculaire pour finir le contenus de son sachet. Et ça c’est pour t’en être pris à mon bébé.
Observant un instant ses nouveaux petits trophée : le majeur plus grand des doigts représentait idéalement Anibàl et l’injure qu’il avait subit, l’annulaire gauche directement relié au cœur et plus petit représentait bien Scarlet dans sa place d’épouse et enfin l’auriculaire plus petit des doigts était parfait pour illustrer Pénélope : petite et dans l’ombre des deux doigts précédent. Reprenant délicatement le marteau au sol il se releva pour retourner aux petites tablettes de métal qui était jusqu’à lors derrière lui. Il y en avait quatre. Sur la première celle de gauche il y avait des IRM cérébraux, sur la seconde rien d’autre que le sachet d’ongles qu’Anibàl venait de poser. Sur la troisième siégeait des effets personnels de Blaire comme son téléphone dans un sac plastique, ses clés et tout ce qui constituait ses poches. Enfin, sur la dernière, la plus grande se trouvait gants en nitrile bleu et tutti quanti de l’attirai de torture d’Anibal un temps soi peu vintage sur les bords... Ne se retournant pas et préparant le prochain supplice il s’exprima.
- Tu veux savoir ce qu’il y a de bien avec toi, Jérémy ? Laissant une seconde de silence dans un petit sourire a ses occupations. Sa questions n’a pas besoin de réponse que celle qu’il va apporter C’est que tu mérite tout ce qui va t’arriver contrairement à certaines personnes qui se sont retrouvés à ta place… Un autre petit silence sévit puis il poursuit encore tout en élégance. Les pauvres. Pour certains leurs hurlements hantent encore mon esprit quand je m’endors là nuit. Mais toi, Il se tourne face à lui a moitié dans la lumière. Ce n’est qu’une exquise mélodie frugale …
Dans ses mains se dévoile alors le deuxième round de cette joute asymétrique : dans l’une, l’homme tiens une sorte de batterie et dans l’autre, d’épais pique de métal semblable à ceux que l’on utilisait pour des lobotomies auxquels étaient rattaché un câble rouge et un autre noir. S’asseyant à nouveau en face de lui son regard était d’une froideur absolument totale. Il n’y avait aucune place à l’hésitation dans ses gestes, ils étaient précis mais surtout méthodique… Il observa un peu l’homme qui était empreint d’une expression de désarroi mais aussi d’un froncement de sourcil insolent comparable à une défiance qu’un serpent pourrait malgré tout tenté même contre un lion… Sans hésiter c’est dans ses cuisses qu’il plante les deux pique de métal, vu la force l’outil était rentré comme dans du beurre alors même qu’il n’y avait peu de chaire autour de l’os. Ses jambes étant elles aussi attaché à la chaise il n’aurait même pas pu mettre un coup de pieds à Anibàl.
-Plus sérieusement Blaire, qu’est-ce que j’ai fait pour que tu me prenne pour un con ? Que tu envois tes petits fouineur troubler ma femme à son travail … et ensuite que tu te permette de faire administrer à ma petite fille déjà handicapée un puissant épileptique parce que tu dois écarter Scarlet ou que sais-je… ? Il se relève devant la respiration encore haletante de sa victime. Même si il souffre il est encore loin d’être brisé. Anibàl reviens en une seconde et restant debout lui scande les IRM cérébraux sur lesquelles il n’est pas difficile de constater plusieurs saignement.
- Tu vois enfoiré, ça c’est le cerveau de ma petite fille… et il baigne dans des hémorragie causé par ton ordre … A cause de ça elle arrivera peut-être jamais à parler ou à évoluer. Rien que d’y pensé tout son corps se raidit de violence et se crispe sur le papier médicale. Franchement quoi… une petite fille… déjà handicapée en plus…
Il sent son cœur se serrer, il l’entend encore pleurer quand à chaque fois qu’il lui fait ses injections de médicaments le matin elle souffre… Quand à chaque fois qu’elle doit faire quelque chose et qu’elle n’y arrive pas parce que le moindre effort lui est difficile, quand le kiné la manipule pour espérer développer ses petits muscles mais que ça lui fait mal… Quand elle pleure quand il part comme ce matin. Les larmes lui monte à lui et ses dents se serre il balance les IRM au sol derrière lui tandis qu’il sourit à moitié de la situations dans laquelle il se trouve. Ni une ni deux Anibàl prend la mouche. Cette enfoiré en rigole ? Il ne se retient pas il lui pète surement le nez avec un crochet du droit.
-Sale raclure… ça te fais rire ? Ca te fais vraiment rire ? Hum je vais te dire une chose qui va moins te faire rire…Tu es une petite ordure qui se complait dans le luxe et tu crois qu’aujourd’hui tu vas mourir, alors tu me ris au nez en te disant que tu ne quittera pas cette terre en t’étant laissé faire… Mais tu sais les ordures comme toi qui sème la folie et la peine dans leur sillage vous ne méritez pas la mort... Vous ne méritez qu’une seule chose…
D’un mouvement il relie les deux cordons à la batterie et abaisse un petit interrupteur. Là de l’électricité se libère et viens tétaniser son corps dans une danse hiératique. La spectacle dure environ une seconde et il se délecte de voir son corps trembler de la sorte comme si ses veine allait exploser dans ses tempes. Après ces quelques secondes surement aussi longue qu’une minute pour lui il espérait qu’il se soit fait dessus. Refermant l’interrupteur Anibàl se baisse un peu vers lui.
- Subir ce que vous faites subir…
Le supplice ne fais que commencer et alors qu’il reprend sa posture droite une petite musique se fais entendre forte, entêtante et abrutissante. Il est là attaché au milieu du hangar impuissant tandis qu’Anibàl avance jusqu’à dépassé le siège après avoir récupéré tous les effets personnel de Jérémy. Une porte derrière se referme et la musique inonde la pièce. Si elle avait l’air joyeuse, elle serait la toile de fond de son supplice.
- Je compte sur vous pour me le garder en vie. Faites lui bouffer de la pâté pour chien et faites lui tout ce que vous voulez, il faut qu’il voit ce que ça fait d’être fou de douleur. Je veux qu’il se croit en enfer.
Deux hommes sont là à coté d’Anibàl, les deux sont plus jeunes pas forcément de beaucoup mais ils le sont. Costumes, grosse carrure et lunettes noir ils n’ont vraiment rien de sympathiques…
- Le transfert démarre dans 24 heures. Je ne tolèrerais aucun retard alors au travail. Et ne le laissait pas dormir faites lui boire du café.
Les deux hommes acquiesce, ce sont des professionnels en qui Anibàl à toute confiance. Le téléphone de Blaire sonne et c’est un message de Fin qui apparait dans le rideau des notifications : « Bien, je serais là. ». Le sourire satisfait il continuait à avancer dans le couloir pour rentrer auprès de sa petite.
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Mer 7 Juin - 0:29
Paulina
Gallinger ID 197-PG
J'ai 30 ans et je vis à l’asile Brookhaven dans le Colorado... Dans la vie, j’étais assistante dans un bureau et sur le point de toucher l’intégralité de l’héritage de mon dernier parent -au détriment de mon frère - selon son souhait… décédé il y a longtemps maintenant, et je m’en sort mal. Sinon, à cause de mon innocence et mon inexpérience , je suis sénile et enfermée à mon triste sort dans ma tête. ???[
superschool48 -Deviant Art
Les réveils. Innommable mélodie de l’enfer des rituels de ceux dont la vision n’est pas brouillé par la folie. Chaque matin ils sonnent et réveille leur possesseur. Ceux-là ouvrent les yeux, se redressent, ouvre leur couche pour s’en défaire et le repos qui leur a été si agréable l’aide à voir que la journée d’aujourd’hui ne sera pas l’échec d’hier et ils avancent. La tête lourde le réveil du violent coup qu’elle avait pris dans le nez faisait frémir son crâne comme des cymbales prête à s’écraser avec force sur son pauvre cerveau torturé. Le réveil pour elle n’avait rien d’agréable ni le sommeil. Ils ne la reposait pas. Le cerveau était toujours là, lourd come une éponge imbibé d’eau mais impossible de la tordre pour en extraire l’eau. Cette impression était aussi infâme que l’idée qui poussait en la jeune femme tant elle souffrait. Effectivement celle-ci rêvait de s’ouvrir le crâne, sur la tempe peut-être, un petit coup de perceuse et on n’en parlerais plus. Le trou serait là et l’eau pour s’échapper, couler, laisser son cerveau au sec. En entendant l’infirmier ouvrir un robinet pour se laver les mains la vision brumeuse de la jeune femme se déformait dans un rire qui devenait des larmes. Un robinet. Elle voulait un robinet sur la tempe pour laisser s’extraire de son crâne l’eau que le moteur morphogénique d’il y a 4 ans à mis dans son crâne.
Attachée à son lit elle n’avait rien dit de plus qu’elle ne défendrait que son chevalier des cendres. Elle voyait des mouches dans la pièces et par milliers à moins qu’elles ne soient dans sa tête ? Oh était-ce cela les coups de marteau qui lui torturait le crâne ? Elle voulait partir, respirer, mourir peut-être mais il fallait que ça s’arrête. A peine éveillé de sa capture elle avait été en état de psychose intense. A un tel point que si elle continuait de s’agiter dans ses contentions elle se serait réouvert sa plaie au bas de son dos. Le coma artificiel avait été la seule issues pour Feng tellement la jeune femme avait été agitée. Il avait réussi sans même qu’elle ne s’en rende compte a recueillir des informations importantes pour sa propre survie. Les infirmiers veillait au monitoring de chaque petite impulsion électrique qui circulait dans le cerveau de la patiente d’or. C’était la première fois qu’elle dormait vraiment depuis des mois, des années maintenant. Malgré tous les calmants qu’on avait pu lui faire avaler sa version ‘astrale’ comme elle disait quand elle pouvait penser, se baladait comme un fantôme dans les nuits de tout le monde. Son corps se reposait mal tandis que son esprit ne se reposait pas. Et cela depuis des jours. Le coma induit lui fut une réel réussite.
Le monitoring des électrodes fixé sur sa tête démontrait qu’elle se reposait. Enfin, elle se reposait. Cela n’avait rien a voir en comparaison de ses dossiers médicaux volés informatiquement. Tout heureux, l’infirmier alla voir Feng qui était seul dans le bureau de recherche principal.
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Mer 7 Juin - 0:30
Feng
Huang
J'ai 36 ans et je vis au camp d’expérimentations en Arizona... Dans la vie, je suis Ingénieur / chercheur en neurosciences et spécialiste du comportement humain. Et je m’en sort tranquillement. Sinon, à grâce ma chance je suis marié et je le vis plutôt bien si il en est de même pour mon aimé. ???[
Jaeyo / Wattpad
Il avait vu Lan-Meï se relever surement pour aller aux toilettes et il l’avait suivie. En approchant la porte il l’entendit parler brièvement. Cela lui fit froncer les sourcils, elles parlait anglais, pas mandarin. Si elle s’étendait sur le toile de ses pensées pourquoi le ferait elle en anglais ? La question lui était apparut immédiatement si bien que ce fait plus qu’étrange l’interrogea. Que faisait-elle ? Et lui que faisait-il ? C’était pourtant là son rôle de la soutenir en tant que mari puis en tant que collègue et collaborateur primaire. Posant sa main sur la poignet de porte il l’abaissa un peu avant que l’infirmier ne vienne le trouver à la hâte. Surpris et dérangé il retira sa main et la porte resta fermé devant lui.
-Monsieur ! C’est à propos de Jane Doe. Il y a de bonnes nouvelles, vous devez venir voir.
Regardant une dernière fois la porte il ajusta sa blouse s’enquérait de son carnet et suivi l’infirmier. Avant de rejoindre la chambre à accès très règlementé de Paulina ici Jane Doe Feng était passé récupérer de gros dossiers de Murkoff -en partie ceux incriminant MURKOFF CORP et eux-mêmes- il devait effacer les preuves concernant Lan-Meï et lui au passage. Son état le préoccupait plus que tout à un tel point qu’il comptait régler cela quitte a ne pas dormir. Sa femme était une de ses préoccupations primordiale et leur discussion précédente lui en avait fait prendre pleinement conscience. Il avait hâte d’en finir avec tout cela. Hâte que Jane Doe se remette pour être l’enveloppe de la bombe comme il avait prévue. Hâte de pouvoir offrir à sa famille richesse et sécurité. Il avait hâte d’être un mari pleinement épanoui et plus encore un père pour un enfant… Feng était déconcentré de toute cette excitation. Les gros dossiers dans les bras il ne les ouvrit pas et les posa sur un meuble de la ‘chambre’ de Jane Doe, il la regardait alors que les infirmiers était heureux de leur découverte.
-Regardez le tracé monsieur, son activité cérébrale n’a jamais été aussi réduite, elle équivaut à une activité normal pour un sommeil réparateur...
Dieu sait qu’elle en avait besoin de ce sommeil réparateur… Feng constata le tracé et les dires de l’infirmier. Les constantes de la jeune femme était bonnes, très bonnes et même encourageante pour la suite des évènements. Le scientifique était presque souriant c’était une belle victoire pour son camp. Il n’y avait plus qu’a obtenir le serre tête de contrôle mental et tout fonctionnerait comme un tombé de domino en chaîne. Le final serait grandiose. Sous cette découverte les méandres de son intellect furent stimulé à la curiosité des détails de la procédure précédemment testée. Il y passerait la nuit, ou plutôt une partie de la nuit car il ne se voyait plus laisser Lan-Meï aller seule au sommeil de leur couche conjugale de fortune… S’enquérant des dossiers il alla s’enfermer dans son bureau privé à accès règlementé pour les potasser. Tout serait parfaitement composé comme la mélodie d’un papier à musique…
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Mer 7 Juin - 0:32
Scarlet
Elkins
J'ai 44 ans et je vis à Lake Country dans le Colorado... Dans la vie, je suis Psychiatre et directrice de l’institut psychiatrique de Mount Massive et je m'en sors, à merveille. Sinon, grâce à mon charme et mon intelligence , je suis irrésistible. ???
Zarnala-Deviant Art
Le voyage en voiture avait volé aux deux protagonistes de cette imposture une bonne partie de la journée. Étant arrivé à environ 18h le soir tombait doucement alors que Scarlet sous ses nouveau traits de Becky Greenfield commençait sans attendre l’opération. La nuit tout le monde dormirait et ce serait spécifiquement le moment idéal pour fouiller et trouver les faille de ce système afin d’extraire Paulina et si possible Brodie. Malgré tout ce qu’il avait dit La psychiatre n’arrivait pas a réellement lui en vouloir. Au fond les séances avec Judith l’avait fait réfléchir sur la situation et même si elle ne l’admettrais jamais a haute voix : elle avait utilisé Brodie d’une certaine façon. Il n’avait pas complètement tord. La route son problème c’est que ça donnait de l’espace à l’esprit pour penser librement, à tout et rien a la fois. Et en général quand elle était au volant, ce n’était pas les pensées les plus agréables qui s’entrechoquait dans sa tête. Pleins de choses se mélangeait pour le moment, Penny, Anibàl leur sécurité. Anibàl aurait-il pu lui mentir ? Elle était presque sur que oui… Elle pensait aussi a Paulina et la très probable options qui la récupère ni vraiment vivante mais ni vraiment morte non plus… Et pour finir elle repensait à Brodie. Cet homme qui lui avait tourné le dos, cet homme qui lui avait fait perdre le contrôle l’espace d’une demi seconde. Une demi seconde de trop. Seulement aujourd’hui les choses s’était arrangées, les choses étaient différentes. Le détestait-elle ? Ou bien détestait-elle la vérité qu’il lui avait étalé au visage ?
Un frisson la parcouru en repensant à cela une fois devant la porte à accès réglementé de Temple Gate. Elle espérait le retrouver en vie et dégonflé de ses problèmes… Alors qu’on la laissa passer grâce a une fausse autorisation tendu fermement vers la la caméra extérieur, ce fut tout autre chose pour dépasser l’accueil du laboratoire… L’agent de sécurité était féroce et semblait alerte, visiblement Jeremy avait appris a mieux choisir ses brutes. Cela mettait en porte à faux Scarlet qui de paroles en mots se compromettait de plus en plus alors que Mattews paniquait déjà. Elle avait l’habitude de travailler seule depuis toujours, personne ne l’avait jamais aidé et visiblement c’était partie pour continuer… Son sang froid étant à tout épreuve elle avait réussi à faire fouiller à l’agent de sécurité la base de donné pour trouver le mail crypté de leur patron concernant sa venu. Sachant pertinemment que la manipulation mettrait du temps cela pourrait laisser du temps à Mattews pour télécharger un faux documents auquel il pourrait croire puisque devant lui son autorisation était remise en cause. Patientent devant le comptoir Scarlet était verte à l’intérieur. Dire qu’autrefois, d’un seul mot toute les barrières s’écroulait… Ce déguisement la répugnait autant que l’idée de se faire jeter comme une malpropre. Comme quoi l’apparence compte. Stupide Becky ne pouvait-elle pas être plus …Chic ? Classe ?
La panique était montée mais heureusement, il finis par trouver le document après maintes questions tortueuses qui avait jusque là placé la psychiatre dans une délicate posture. A peine eut-il le temps de se rendre compte de son erreur-qui n’en était pas vraiment une…- qu’une jeune femme asiatique vint appuyer sa demande d’entrée d’un ton polie. L’agent de sécurité plissa un peu des yeux et laissa passer Scarlet sous les traits de Becky… Une fois derrière la barrière de sécurité elle était comme seule parmi les fauves. La jeune femme l’accompagnant ne lui étant pas inconnue elle fulmina un peu de colère mais resta parfaitement mesuré dans son comportement. Elle lui tendit la main une fois qu’elle l’eu rejoint dans le couloir qui menait au laboratoire.
-Bonjour, vous devez être madame Huang ? Jeremy m’as parlé de vous.
Fit-elle un sourire parfaitement faux sur le visage mais tout a fait indiscernable. Elle pouvait dire merci à la banque de donnés que ses meilleurs contacts avait pu fournir et à Mattews…
-Je suis enchanté je suis Becky Greenfield, on m’as envoyé vous aidé pour la phase finale, on a dû vous parler de moi j’ai travaillé en corrélation avec le docteur Elkins et le docteur Wernicke.
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Jo'
Ven 16 Juin - 0:23
Lan Mei Huang
J'ai 30 ans et je vis au camp d'expérimentation, dans le désert d'Arizona, USA. Dans la vie, je suis ingénieure en nanoparticules et biomécanique et je m'en sors très à l'aise. Sinon, grâce à ma chance, je suis mariée et je le vis plutôt bien.
"Je sais exactement qui vous êtes, dit-elle tout bas en s'assurant que personne ne pouvait les entendre. Nous nous sommes déjà rencontrées." Puis souriant doucement. "Vous êtes méconnaissable sous votre déguisement je dois l'avouer, mais j'ai été en contact avec Matthews qui m'a dit qui vous étiez, Madame Elkins." Et lui tendant la main, l'expression embarrassée collée au visage pour les subterfuges qu'elle avait nourris afin d'en obtenir tout ce qu'il était possible d'arracher à la psychiatre. "La dernière fois que vous m'avez vue, je répondais au nom Mia Keane, et me faisais passer pour journaliste." Aujourd'hui, c'est Scarlet qui se couvre d'une fausse identité. L'ironie la frappe de plein fouet.
D'un signe galant, elle l'invite à la suivre dans le couloir. Si sur les caméras de surveillance leur dialogue venait à s'éterniser, là, au milieu de rien, nul doute qu'elles pourraient lever des soupçon. L'ingénieure poursuit néanmoins son exposé, appliquée à estomper la méfiance de sa nouvelle - et inédite - acolyte. "J'ai fais du mal par le passé, mais je suis déterminée à limiter les dégâts. Il n'y a plus de pardon pour moi ..." Son visage s'assombrit, soucieux. Elle trahit son mari. Elle se, ou les condamne. Et voilà peut-être toute la différence entre elle et Feng : elle peut sacrifier l'homme qu'elle aime, elle peut sacrifier l'accomplissement de la science, là où lui ne recule devant rien. Elle a moins de détermination - car il ne s'agit pas d'idéal, sinon elle ne se serait pas embourbée aussi loin. Feng est un homme de raison qui agit avec le sens des priorités. Lan Mei est une femme vulnérable pour qui l'horreur est un travail parmi d'autres et qui ne fait marche arrière que par faiblesse des sentiments. Ce n'est pas une héroïne, et pourtant, elle est une pièce décisive du démantèlement des monstruosités dont elle a été l'autrice autant que le pion. Lan Mei est détestablement, et peut-être somptueusement, comme vous et moi. "... mais je ne peux plus continuer dans cette voie."
Si une femme en ce monde est capable de la comprendre, malgré leur différence cardinale de personnalité, c'est bien Scarlet. N'a-t-elle pas elle aussi été à l'origine d'un enfer sur Terre, et a fortiori le même enfer que celui que Lan Mei a participé à construire ? Dans le même but elles ont défiguré et ravagé des individus qui n'avaient rien demandé. Mais elles ont toutes deux été touchées par les mêmes victimes - Brodie et Paulina, leur tragique et honteuse souffrance - et ont rebroussé chemin. Désormais, sur le point d'orgue des notes de fin, elles font équipe. Lan Mei aborde le tempérament de Matthews dans le parcours d'Elkins, il était logique qu'il ne manque qu'elle à ce triptyque rebelle.
"Je veux vous aider à sauver vos patients et à recueillir tout ce dont vous avez besoin pour faire tomber Blaire. Il faut que nous fassions suffisamment impression pour nous assurer que jamais plus on ne cherche à créer le Walrider." Elles entrent ce disant dans le labo de l'ingénieure. Cet endroit ne laisse aucun doute quant à la nature de ses agissements.
Un panneau cathodique diffuse les images de surveillance de Temple Gate - une femme vraisemblablement choisie par Papa Knoth pour porter un enfant fuit à travers les champs de maïs, elle est rattrapée par quelques fermiers, ils la traînent par les cheveux tandis qu'elle se débat. Heureusement, il y a l'image sans le son. Dans la chapelle, une messe se tient où des fidèles pleurent, se jettent à genou, prient fervemment tandis qu'un orateur entonne la Bible païenne inventée sur place au fil des délires. Devant la mine des déchiquetés au mercure s'élancent dans une orgie répugnante. Les lépreux se grattent et répandent leurs déjections sur les plaies parce qu'ils ne trouvent plus rien pour apaiser la démangeaison. C'est le résultat du traitement de Wernicke. Ce n'est jamais beau.
Devant ces écrans il y a des cahiers qui sont noircis de son écriture à elle ou de celle de son mari. Devant les symboles, des occidentaux ne verraient pas la différence, mais elle les voit. La calligraphie de son époux a quelque chose de rassurant tandis que les observations qui sont consignées donnent la nausée, et le dialogue qui se chevauche ainsi prend des allures de bête bicéphale. Sur l'autre pan de mur il y a son espace de travail, des ustensiles, de quoi procéder à l'artisanat d'orfèvre qui caractérise sa spécialisation. Ses engins de torture sont là et parmi eux le manipulateur mental qu'elle n'a toujours pas réussi à achever - mais à quoi bon désormais puisqu'elle est destinée à tout faire rater ? Dans l'oreillette de Scarlet, Matthews prend le relai.
"Je vois où vous êtes toutes les deux, si elle pouvait me connecter à un ordinateur, je pense que je pourrais récupérer les fichiers à distance, indique-t-il à l'intention de son binôme infiltrée."
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Dim 9 Juil - 15:27
Scarlet
Elkins
J'ai 44 ans et je vis à Lake Country dans le Colorado... Dans la vie, je suis Psychiatre et directrice de l’institut psychiatrique de Mount Massive et je m'en sors, à merveille. Sinon, grâce à mon charme et mon intelligence , je suis irrésistible. ???
Zarnala-Deviant Art
L’étau se resserre doucement comme une vague qui se retire avant le massacre que promet un tsunami. A peine arrivée, Scarlet est « découverte » et en cela une goutte de sueur perle le long de son dos qu’elle redresse alors mécaniquement en ravalant sa salive. Un sourire jaune se tire sur ses lèvres autrefois écarlate. Le contact de Matthews, il fallait que ce soit elle. Pourquoi pas une autre ? Peut-être que c’était un signe, que c’était le moment. Alors que la jeune femme rappelait ce qu’elle avait fait, et d’où elles se connaissaient, un magma acerbe se confectionnait dans les tripes de l’écarlate. Elle la regardait dans les yeux avec ce regard de glace, un petit sourire en coin, totalement jaune. Néanmoins Lan Meï continuait ses explications en se déplaçant le long d’un couloir éclairé artificiellement avec abus. Scarlet avait le magma dans l’estomac et devant elle il y avait là, servit sur un plateau cette femme ayant participer à sa dernière déchéance.
Elle parle, elle parle mais Scarlet ne dit rien, absolument rien . Elle ne fait que regarder sa petite tête brune aux cheveux noires, raide comme des baguettes. La mission devient l’espace d’un instant secondaire dans les violons de son âme prête à vomir la vengeance de ses maux. Pourquoi l’aiderait-elle ? Pourquoi il fallait que le contact ce soit elle. Fichu Blaire, fichu Mattews, fichu Lan Meï. Une petite voix, maternelle en tout point lui répéta dans sa tête qu’elle était et serait toujours seule dans ce monde. Personne ne serait assez digne de confiance non personne. Un loup parmi les agneaux, c’est ce qu’elle voulait pour toi et c’est ce que tu es devenue Scarlet. Loup au milieu de cette bergerie la faim insatiable du loup des contes de sa fille devenait en elle haine. Une haine houleuse qui prenait son crâne dans une mélodie à donner envie de vomir. Penny. Penny c’est tout ce qui compte et elle aurait pu mourir. A l’heure d’aujourd’hui compte tenu de ce qu’ils ont fait sera-t-elle -petit symbole de l’innocence qu’elle est pour sa mère- à même capable de marcher ou formuler une phrase grammaticalement correct un jour dans sa vie ?
Cette question la rendait malade et les violons de haine crissait. La main dans la poche posé sur un couteau de chasse elle l’étrangle de ses doigts prête à faire l’irréparable. Prête à laisser sa haine envenimé son cerveau comme la Rage du loup. Elle s’approche d’elle doucement dans son dos, elle aurait pu le faire Un coup et la dette aurait été payé en sang. Œil pour Œil, dent pour dent. Ce serait cela la maxime de la famille.
"Je veux vous aider à sauver vos patients et à recueillir tout ce dont vous avez besoin pour faire tomber Blaire. Il faut que nous fassions suffisamment impression pour nous assurer que jamais plus on ne cherche à créer le Walrider." Fait-elle en se tournant vers elle l’air repentie sur la figure. La porte du laboratoire s’ouvre et l’antichambre de l’enfer se pave de nuances de blancs. S’avançant doucement dans la pièce, ses mains ne sont plus dans ses poches et elle ne dit rien. Les veines de ses tempes frappant son crâne de tension, la réalité de la mission rappelle à l’ordre concernant le chaos que la réussite de l’expérience annonce… Observant les écran avec tristesse il n’y a rien de beau. Sur les écrans Scarlet cherche Brodie, elle espère qu’il n’est pas parmi ses sauvages à se faire massacrer. Cela l’ébranle car elle le déteste quand elle se rappelle un pique au cœur ce qu’il s’est passé, ce qu’il lui a fait mais surtout ce qu’elle lui à fait à lui. La pluie, les lèvres et leur langues qui danse le tango. Elle ne veut pas qu’il meurt. Toujours pas mais elle a du mal à y croire… Pour l’instant il faut d’abord trouver Paulina. Se tournant finalement vers Lan Meï elle lui répond enfin.
-Je vais être honnête il m’est difficile de vous faire confiance compte tenu de ce que vous avez fait a ma fille… Mais devant cet enfer qui s’annonce pour le monde… quelque part par ma faute, nous devrons travailler ensemble, effectivement…
Froide mais correcte, droite mais pas rigide elle s’érigeait sous ses haillons comme la seule et unique Scarlet Elkins. Écoutant alors Matthews elle s’empressa de vouloir le répéter à Lan Meï mais Feng arriva avant qu’elle ne puisse articuler la demande…
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Pyramid Rouge
Lun 31 Juil - 16:05
Feng
Huang
J'ai 36 ans et je vis au camp d’expérimentations en Arizona... Dans la vie, je suis Ingénieur / chercheur en neurosciences et spécialiste du comportement humain. Et je m’en sort tranquillement. Sinon, à grâce ma chance je suis marié et je le vis plutôt bien si il en est de même pour mon aimé. ???[
Jaeyo / Wattpad
Observant, feuilletant les dossiers, la procédure précédemment testée semblait si réussi, si empreinte d’une chance de tout contrôler d’une autre façon... C’était terrifiant, une menace même. Mais Feng dans sa résolution a tout vouloir détruire par sécurité s’obstina à la curiosité. Cette homme : « le chevalier des cendres », Brodie Moore. Il voulait devenir un Walrider. Un instant à la lumière artificielle de son bureau il réfléchis et en réfléchissant il observa ses notes, seuls mise en garde de se laisser aller à la folie de lui donner son souhait, Feng voulait les ignorer. S’affalant sur son fauteuil de cuir, dessinant dans le vide et un silence mortuaire la toile de ses pensés pour en extorquer le plan parfait. Passsant quelques coups de fil le temps s’écoula un peu. Puis regardant l’heure qui avait avancé tranquillement il laissa ses papiers, et dossiers remplis de preuves pour retrouver Lan-Meï et peut-être voir une avancée. Quand bien même il n’y en aurait pas il était content.
En arrivant dans la pièce principale du laboratoire il fut surpris de voir une autre femme ce qui le contraint a un léger sursaut semblant partagé par l’étrangère. Feng souriait il avait bien entendue deux fois et il n’y prêtais attention que maintenant. Le sourire tissé sur les lèvres se conjectura avec un froncement de sourcil léger qu’il voudra faire passé pour de la bonne surprise. S’avançant entre les deux femmes il adressa un regard à l’étrangère et se plaça devant elle, exactement entre elle et Lan-Meï pour lui tendre une main polie.
-Bonjour, ou plutôt bonsoir. Nous n’avons pas été présenté, que nous vaut votre visite si tard Madame … ?
-Bonsoir Répliqua-elle un sourire poli tandis qu’elle agrippait sa main dans un geste aussi pieux que son sourire. Je suis Becky Greenfield, enchanté, Monsieur Blaire m’as envoyé pour vous aider avec la phase finale de l’expérimentation Walrider. J’ai travaillé avec Scarlet Elkins au Mount Massive.
Sous son sourire poli le nom qu’elle lui donna lui revint immédiatement en tête, il en avait déjà entendu parlé ou bien il l’avait lu quelque part et pas plus tard qu’il y a quelques grosses minutes… Il faudrait qu’il vérifie cela. Cela lui disait quelque chose, suffisamment pour que ça en affecte son jugement. Son plan. Il fallait qu’il prenne forme et il se refusait a ce que cette bonne femme remplace l’épine Scarlet de son pied.
-Oh je vois. Je suis navrée que vous ayez fait le déplacement, mais ce sera manifestement pour rien. Avec ma femme nous avons trouver la solution, j’ai prévenue Blaire d’un SMS il n’y a pas moins d’une heure…
Il sourit, Becky bien moins et ne semble pas savoir quoi dire.
- Je vais prévenir nos services de vous raccompagner dès ce soir, je ne voudrait pas a nouveau que vous soyez mise en danger. Vous avez dû conserver d’horribles séquelles de l’incendie du Mount Massive je ne voudrait pas les raviver.
Feng ne se laisserait pas impressionné ni contraint par aucune forme de discours.
-Le temps que je préviennes nos services, ce serait un plaisir que vous notiez sur quelques pages les observations tant importantes que Blaire voulait que vous nous transmettiez, vous savez… pour la postérité en attendant qu’on me donne réponse.
Il souriait et lui tendait un calepins en la raccompagnant vers l’entrée. Pendant qu’il l’observait écrire il appela pour donner l’ordre qu’il avait précisé. La plaçant dans une pièce pour la faire patienter , la pièce était surveillé et qui plus est fermée elle pouvait le constater rien qu’au bruit qu’avez fait la porte mécanique. Une fois l’étrangère enfermée il se pressa a retrouver Lan-Meï qu’il enlaça dans ses bras.
- Meï… J’ai pris des dispositions. Pour toi. Viens avec moi.
Lui prenant délicatement la main, il sent qu’elle tremble et il s’en veux aussitôt. Rejoignant leurs « appartements » privés il la fait s’asseoir sur leur lit et en même temps qu’il parle commence a rassembler les vêtements de sa femme pour les mettre dans une petite valise.
- Écoute mon amour… J’ai peur. J’ai peur de ce qui va arriver demain, de Blaire… Je ne saurais me pardonner de t’avoir mêler a tout ça et donc mise en danger en tant que chef de famille. Mais je ne peux pas continuer plus longtemps. Il se rapproche et lui saisi les joues avec délicatesse en posant son front contre le sien, amoureux. Je ne veux pas qu’il t’arrive quoi que ce soit. Je ne veux plus que tu subisse du stress comme tu en a subis. Je veux que tu soit heureuse, chez nous et que notre travail puisse nous offrir nos plus beaux rêves et la réussite de notre descendance si tu en souhaite. J’ai mis du temps, trop a m’en rendre compte j’espère que tu me le pardonnera. Il la regardait dans les yeux tout proche d’elle, sincère.
- J’ai acheté une maison en campagne chinoise pour nous. Pour toi…Son ton témoigne dans un discours indirecte qu’il a peur de ne pas s’en sortir. - Demain matin a 7h une voiture viendras te prendre. Elle t’emmènera jusqu’à Phoenix et la bas tu prendra un bus pour l’aéroport de Los Angeles.
Il pris alors une pochette noire dans sa blouse et la lui tendit pour qu’elle en découvre le contenue : des papiers, des fausses identités.
- Cela fais maintenant plusieurs semaine que j’avais prévu des faux papiers au cas ou… Il ne prenne sens que maintenant… A l’aéroport je t’ai réservé un vol pour Pékin. Je t’ai tout marqué sur un plan. Les billets des bus sont déjà réservé et cette carte bleus rattachée a ta fausse identité contient assez d’argent pour que tu t’en sorte bien en Chine pendant 5 ans.
Ferme dans ses mots on sent qu’il ne tolèrerais le refus dans son simple pur et honnête désir de faire bien. Il continue de faire la valise pressé de mettre en sécurité sa femme comme le ferait un vrai chef de famille digne de ce nom… Feng affiche là un autre visage.
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Jo'
Dim 6 Aoû - 17:29
Lan Mei Huang
J'ai 30 ans et je vis au camp d'expérimentation, dans le désert d'Arizona, USA. Dans la vie, je suis ingénieure en nanoparticules et biomécanique et je m'en sors très à l'aise. Sinon, grâce à ma chance, je suis mariée et je le vis plutôt bien.
En couleur, dialogue en mandarin
Feng. Que fait-il ici ? Lan Mei se laisse surprendre par son irruption, pensant tour à tour qu'elle ne s'était pas tant épanchée en plaidoyers auprès de Scarlet, ou bien que Paulina le mobiliserait suffisamment longtemps. Merde ! Elle n'est plus si sûre de la réussite de son plan dorénavant, et là où elle a trouvé le réconfort de n'être plus seule dans son sabotage plus impulsif que motivé, forte de nul autre que l'appui de Scarlet par ailleurs, elle panique de se retrouver seule face au monde et surtout face à Feng. Son époux n'est pas stupide et se méfie à raison de cette fameuse - et fumeuse - Becky Greenfield, le connaissant bien, Lan Meï sait qu'il s'apprête à s'en débarrasser. Mais il est hors de question de s'assoir sur la réussite alors qu'elles sont si proches du but.
Directif, froid et d'une autorité naturelle toute en calme, le chercheur déroule l'argumentaire qui justifie - affable au demeurant - de mettre Becky à la porte.
"Oh je vois. Je suis navré que vous ayez fait le déplacement, mais ce sera manifestement pour rien. Avec ma femme nous avons trouvé la solution, j’ai prévenu Blaire d’un SMS il n’y a pas moins d’une heure…"
Lan Meï se sclérose - alors, il l'a la solution ? Ou est-ce du bluff ? L'ingénieure connaît-elle encore tout à fait son mari, malgré la distance qui s'est insinuée entre eux ?
"Le temps que je prévienne nos services, ce serait un plaisir que vous notiez sur quelques pages les observations tant importantes que Blaire voulait que vous nous transmettiez, vous savez… pour la postérité en attendant qu’on me donne réponse."
Tous deux se dirigent alors vers la sortie et Scarlet et Lan Meï échangent un regard partagé entre la panique et la complicité. Les informations sur Murkoff, tout ce qui servira à incriminer Jérémy, son entreprise, les commanditaires hauts placés et chaque maillon de cette chaîne infernale doivent sortir ! Et qu'importe ce que ça signifie. L'urgence donne des ailes à l'ingénieure qui s'empresse d'empaler l'ordinateur d'une clef d'USB pour démarrer la copie de tous les documents confidentiels ayant vu le jour au court de l'expérimentation Temple Gate. Elle empoigne son téléphone pour expédier un texto à l'intention de Matthews, qui doit s'inquiéter de voir Elkins dirigée vers la sortie sans preuve ni Paulina.
Lan Mei a écrit:
USB fenêtre Nord ds 15min Attention sécu
La poignée de la porte s'enclenche, et Lan Mei se retourne prestement, allant à la rencontre de son mari pour qu'il ne s'aperçoive pas du transfert dont la barre s'emplit progressivement à l'écran.
"Meï… J’ai pris des dispositions. Pour toi. Viens avec moi."
Elle tremble qu'il la découvre, et elle n'oublie pas le malaise qui a accompagné leur dernier échange, où elle n'était pas sûre de comprendre s'il était prêt à la sacrifier pour la réussite de l'expérience, ou l'inverse. Il l'emmène dans leur chambre et elle est prête à toute éventualité : s'il sait, va-t-il la tuer ? Après tout, il aurait été capable de mettre à mort une enfant pour le bien de leur entreprise macabre. Va-t-il l'entretenir de ses découvertes sur Jane Doe ? Pourquoi dans leur espace, si tel est le cas ? Peut-être va-t-il lui faire l'amour, comme ce n'était pas arrivé depuis des années, depuis en fait le début des horreurs sur les images de surveillance ?
Rien de tout cela. Et quelque chose qui va la désemparer plus encore peut-être.
"Écoute mon amour… J’ai peur. J’ai peur de ce qui va arriver demain, de Blaire… Je ne saurais me pardonner de t’avoir mêlée à tout ça et donc mise en danger, en tant que chef de famille. Mais je ne peux pas continuer plus longtemps."
Lan Mei se décontenance, elle comprend que son mari est en train de s'ouvrir à elle comme jamais auparavant, mais elle ne parvient pas à entrer dans le moment - son esprit se focalise sur l'ordinateur et les fichiers fuités laissés sans surveillance dans le bureau de recherche. Il lui expose son plan et elle ne répond pas, habituée à l'autorité naturelle de l'homme de la famille, ainsi qu'on l'a éduquée. Elle emmagasine ce qu'il a prévu pour elle, la réalité de ce qu'il est en train de lui expliquer - il souhaite la mettre à l'abri, il veut qu'elle parte sans lui, il a même anticipé cinq ans où elle devrait vivre seule ... mais pourquoi ? Est-il si à l'aise avec l'idée de finir ses jours en prison ou mourir ? Il a donc tout fait pour sa sécurité, mais elle est en ce moment même en train de conspirer contre lui et son entreprise scientifique. Est-il temps de parler ?
Elle se lève et l'arrête dans le remplissage de la large valise. La même avec laquelle elle est arrivée, des années plus tôt. Ils étaient à mille lieues de se douter de ce qu'il se tramerait ici. Ils avaient lu les protocoles sur les documents oui, ils avaient reçu les observations de Mount Massive, mais le constater de ses yeux, voilà quelque chose qui vous change un être.
"Feng ..."
Ses yeux arrondis d'angoisse interrogent le dénommé.
"... Feng, répète-t-elle harponnant son regard, je ne vais pas partir sans toi !"
Elle s'exclame dans un trémolo soucieux. S'il s'était arrêté pour lui répondre, pour plonger son regard dans le sien, s'il n'avait pas été si obstiné par la fuite de son épouse, alors elle aurait parlé. Mais il ne souffre pas l'opposition et reprend l'organisation de la valise de Lan Mei, la dépossédant tout à fait de cette décision. Face à cette, amoureuse certes, néanmoins despote autorité, l'ingénieure ne pipe mot. Quelque part peut-être, ils savent l'un et l'autre que le seuil de la chambre ne sera pas leur adieu immédiat, car aucun des deux ne s'étreint lorsque Feng retourne à son ouvrage. Lan Mei n'en n'est pas à se soucier de son échappée. La fenêtre Nord doit recracher la clef USB. C'est l'absolue priorité.
A l'exact moment où Feng, retourné à son bureau pour supprimer tous les documents incriminant le couple, efface les preuves, Lan Mei en conserve donc une copie intacte qu'elle récupère dans le labo. Elle passe par le couloir Nord, jette la clef USB en profitant d'un angle mort de la caméra de surveillance, et pour la première fois depuis longtemps, prie pour que les choses fonctionnent.
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Jo'
Dim 6 Aoû - 22:29
Matthews Herald
J'ai 28 ans et je vis dans le Colorado, USA. Dans la vie, je suis sans emploi depuis le "licenciement technique" du Mount Massive Asylum et je m'en sors mal. Sinon, à cause de ma situation délicate, je suis célibataire.
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C'est la panique. Que faire, que faire ? Depuis le micro de Scarlet, il entend tout ce qui est en train de se dérouler. Un homme arrive, dont il ne connaît rien par ailleurs, et entame de faire sortir l'infiltrée du complexe avant que celle-ci n'ai le temps de se connecter à l'ordinateur. Il l'entend coopérer - que faire d'autre sans griller sa couverture ? - puis devine qu'elle est abandonnée quelque part mais pas seule. Dans le van, le jeune homme passe au crible les plans connus de la structure afin de mettre le doigt sur la cachette potentielle de Brodie ou Paulina, en vain. Sans la documentation interne, il est impossible de guider Scarlet dans cet endroit, sans parler de la faire sortir de sa salle d'attente.
"Scarlet, je sais que vous ne pouvez pas parler, lui glisse-t-il dans son oreillette. N-ne vous en faites pas, on va trouver un moyen !"
Il le dit davantage pour se rassurer mais l'inquiétude qui transpire de son bégaiement ne trompe personne. C'est alors que son téléphone vibre, lui arrachant un sursaut. Il voit un message :
Lan Mei a écrit:
USB fenêtre Nord ds 15min Attention sécu
Il est prit d'une torsion dans l'estomac, à la fois réjouit de voir un horizon de solution, et rongé de s'imaginer aller chercher ladite clef. S'il parvient à la récupérer et à la brancher sur son ordinateur, nul doute qu'il aurait les informations nécessaires pour, non seulement faire tomber la pyramide à moyen et long terme, mais surtout guider Elkins dans l'immédiat. Il a le souffle court. Quinze minutes. Ca veut dire que Scarlet devra tâcher d'être sur les lieux durant au moins quinze minutes.
"Scarlet !" Il s'exclame. "Je ne sais pas comment vous vous y êtes prises toutes les deux, mais je vais pouvoir récupérer toutes les infos. Félicitations !" Son enthousiasme n'oublie pas que tout reste à faire. "Je ne vais pas pouvoir vous indiquer où se trouvent Paulina et Brodie avant, je dirais, une bonne vingtaine de minutes. Vous pensez tenir jusque là ?"
Idiot. Il sait très bien qu'elle ne peut pas lui répondre, et le réalise alors qu'il a déjà posé sa question. Il s'agace de lui-même et poursuit.
"Pardon, j'oubliais. Tenez bon, tout n'est pas perdu !"
Il lui reste encore à récupérer cette maudite clef. Il observe longuement les images satellites du labo et ses plans extérieurs, divertissant son angoisse sur une marche à suivre pour s'éviter une rixe (qu'il ne gagnerait pas, du reste) avec la sécurité. Dans l'habitacle, une arme à feu lui fait du gringue. "Juste au cas où" se dit-il alors qu'il la fourre dans sa ceinture.
*
Après sept minutes, il décide de sortir muni d'une pince coupante. Les grilles sont ornées de barbelés qui le lacéreraient s'il tentait de grimper de l'autre côté, et si ce n'était pas l'ennui, la chute le serait. A cause de la hauteur d'une part, et du bruit qu'il ferait d'une autre, si bien qu'il rameuterait toute la surveillance. Non, il faut être plus sournois. Il quitte le véhicule tapis dans l'ombre, se rappelant avec amertume son approche peu fructueuse de Temple Gate, et les semaines qui s'en étaient suivies.
La façade Nord est le meilleur endroit où passer un tel bijou de contrebande, et Lan Mei ne l'a décidément pas choisie au hasard : un épais bosquet de ronces longe le grillage d'enceinte et donne presque directement sous le seuil de l'ouverture habillée de barreaux. Matthews n'aura que trois mètres à parcourir à découvert, mais il remarque en approchant la caméra fixée au mur, cyclope globuleux qui lorgne le ciment. Il déglutit. Si cet oeil le voit, est-ce qu'une alarme tonnera ? Le jeune homme transpire à grosses gouttes qui lui saignent la tempe, et il n'a même pas encore entamé la grille. Si l'alerte est donnée, ils tomberont en premier sur Scarlet, puis sur lui. Et peut-être que non seulement ils ne parviendraient pas à interrompre la catastrophe qui s'annonce, mais ils perdraient tout ce qui leur servirait à faire justice ... s'ils ne perdent pas tout simplement la vie. Le vigile hésite épaissement lorsque de l'animation depuis la pièce où se tient Scarlet, grésillant dans son oreillette, lui parvient.
"Mademoiselle Grenfield, si vous voulez bien m'accompagner."
Ca urge. Heureusement, Lan Mei a un peu d'avance, et Matthews voit en direct le petit dispositif voler d'entre les barreaux. A peu de choses près, il aurait enfin pu voir le visage de celle qui leur a permis de retrouver cet endroit. Mais peut-être ne le verra-t-il jamais. Et peut-être est-ce préférable qu'il ne croise pas les yeux de cette femme qui, certes s'est repentie, mais a aussi semé la mort comme Scarlet et Anibàl avant elle. La ferraille cède rapidement sous la tenaille et il se jette à corps perdu dans les portes de l'enfer.
Il se saisit de la clef USB mais il jurerait que la caméra pose à cet instant un regard humain sur lui. Braquée dans sa direction, il lève les yeux vers elle, et il ignore qui est en train de l'épier de l'autre côté de l'écran de surveillance. Il se souvient Mount Massive, coincé avec son ancien directeur alors qu'au dehors tout foutait le camp. Il se souvient du regard de Trager perçant une caméra de l'hôpital de son regard dément avant de couper l'alimentation électrique. Il est en lieu et place de cet homme à présent. Peut-il être certain de n'être pas fou ? De n'être pas du mauvais côté ?
Nul temps. Le flottement le chasse soudain comme un chat qui repart d'où il est venu et dans la salle de surveillance, c'est un étrange allié qui l'a observé, le doigt flottant par-dessus le bouton d'alerte, mais se refusant à l'actionner ...
"Je vais bientôt avoir les plans !" Il s'époumone et Scarlet peut entendre qu'il se hâte, sprintant vers la voiture. "Gagnez du temps je vous en prie !"
Il ouvre et claque la porte coulissante du van avec force. Tout son corps lui brûle de peur mêlée à l'effort, il ouvre les fichiers et les survole mû d'un vent de panique, puis tombe sur les blueprint des niveaux à confidentialité élevée. Oui, ça ne peut être que là que sont enfermés les patients prodiges, et pourquoi pas, le moteur morphogénique. Matthews a des réminiscences de sa course-poursuite à Mount Massive, dans les laboratoires souterrains. De sa rencontre avec Wernicke. Une nausée l'assaille et il vomit tout son saoul mais le courage ne l'abandonne pas et le voilà qui épluche les passages avec l'attention d'un architecte. Encore cinq longues minutes se délient.
"C'est bon ! Je sais où ils sont !!"
Il tend l'oreille pour deviner ce qu'il se trame pour Scarlet.
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Pyramid Rouge
Ven 8 Sep - 12:49
Scarlet
Elkins
J'ai 44 ans et je vis à Lake Country dans le Colorado... Dans la vie, je suis Psychiatre et directrice de l’institut psychiatrique de Mount Massive et je m'en sors, à merveille. Sinon, grâce à mon charme et mon intelligence , je suis irrésistible. ???
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-Le temps que je préviennes nos services, ce serait un plaisir que vous notiez sur quelques pages les observations tant importantes que Blaire voulait que vous nous transmettiez, vous savez… pour la postérité en attendant qu’on me donne réponse.
Désemparée, l’image du présent reflète le passé. Elle est là devant cet homme asiatique qui se plait dans son pouvoir à ruiner cette tentative de sauvetage qui va rater. Immobile et silencieuse les pleurs de Penny l’envahissent, ses crises d’épilepsie l’agressent, Anibàl qui la rejette, le sang dans la baignoire. Devant lui l’instinct hurle que c’est lui le responsable de tout ses maux. Elle reconnaitrait entre milles celui et celle qu’elle a vu se faufiler grossièrement chez elle. Ceux qui l’on mené a cet échec cuisant dans la baignoire. Feng Huang. Non, Feng Huang ça ne pourrait pas recommencer. Jamais. L’ego ou la fierté peut-être même les deux formèrent un amer mélange de courage et d’audace. La perruques lui chauffant le crâne, ses méninges s’active pour s’en sortir car même si Matthews est a l’extérieur pour l’aider rien ne semble y faire. Dans ce trou à rat assise devant cette putain de feuille blanche un crayon à la main Scarlet est seul au milieu des loups. Faisant mine de réfléchir un instant, elle doit réfléchir et les mots de Matthews impuissants lui rappelle qu’elle n’a rien fait pour récupérer cette putain de clé USB. Au final que fait elle vraiment ici ? Est-elle vraiment là pour Brodie et Paulina ? Ou bien pour Penny et elle-même ?
Un sourire s’esquisse sur ses lèvres quand elle comprend que plus rien ne compte à part ce bébé sortie de ses entrailles. Elle pourrait mourir pour elle. Rien ne compte plus que cette petite fille a l’odeur de pâte a crêpe. Une larme à l’œil elle griffonne toutes les informations scientifiques qu’elle connait, tout est n’importe quoi fait l’affaire pour gagner juste un peu de temps, le gardien n’y comprendrez rien. Puis lorsque le gardien l’interpelle pour la raccompagner elle replie le papiers pleins d’informations plus idiotes et incompréhensible les une que les autres, mais au milieu de toutes ses idiotie, le vrai processus était dissimulé.
"Mademoiselle Grenfield, si vous voulez bien m'accompagner."
Se relevant elle donne le papier au gardien les yeux dans les yeux tandis qu’elle lui esquisse un petit sourire avant de prétexter un lacet défait. Celui-ci désireux d’en finir avec cette extraction autorisa l’action sans y réfléchir une seconde, plus agacé qu’on lui demande quelque chose. Puis, sa conscience lui fait froncer les sourcils, en fait il ne se souvient pas de l’avoir vu avec des chaussures à lacets. Sur ce doute lorsque le cliquetis de la porte raisonne son corps se raidit tout entier en une multitude de spasmes et de convulsions. Se bavant dessus au sol, l’homme convulse tandis que Scarlet sous sa couverture joue la surprise et dissimule l’aiguille et la seringue dans le pantalon du gardien. Effectivement la caméra étant dans son dos, personne ne la verra cacher la seringue vide et son aiguilles dans son pantalon. Non on y verra une jeune femme surprise tentant d’aider un pauvre homme qui convulse au sol. Pour que le jeu soit parfait Scarlet fait un geste à la caméra derrière elle pour qu’on vienne l’aider à relever le gardien la mine désespéré. Le jeu fonctionne à merveille et rien qu’a l’attente de l’aide elle peu déterminer que Blaire est un enfoiré de radin avec son personnel de protection. Scarlet connait cela par cœur et elle comprend comment fonctionne ce bâtiment : peu de gardiens, beaucoup de surveillance et en cas d’incidents des compagnies mercenaire en renforts payable que si intervention il y a. En entendant l’outil de communication du gardien indiqué un nombre de cinq gardien dont deux hors du laboratoire à faire des rondes, il ne reste donc que deux gardiens à soumettre sans compter celui qui devait bouffer ses crottes de nez d’ennui à l’entré du complexe…
Scarlet à de l’avance. A l’arrivé du gardien d’aide, l’autre convulsait encore au sol. Son cerveau serait certainement de la bouillie vu combien de temps il avait passé a baver sur le sol. Lorsque le gardien entre il pointe son arme sur Scarlet qui lève les bras en l’air et se met contre le mur adjacent. Il lui somme de ne pas bouger.
-Bordel qu’est-ce qui s’est passé ?! Pourquoi il est comme ça ?
- Il allait me raccompagner à la sortie du complexe, je venais de lui confier toutes les notes que j’ai constitué pour le laboratoire et il s’est écroulé. C’est une crise d’épilepsie, là ou je travaillais avant pour des expérimentations similaires c’est arrivé à du personnel entourant le projet… Disons que c’est un dommage collatéral.
Perplexe le gardien fut rapidement pris de panique et c’est exactement ce que Scarlet voulait. Il ne savait pas quoi faire et finalement il demanda une exfiltration de son camarade.
-Exfiltration d’Atkins demandé, je répète exfiltration urgente d’Atkins demandé.
-Pitier… Les hôpitaux les plus proches sont a des heures de routes… Le temps qu’il arrive son cerveau aura eu le temps de faire un jacuzzi dans son sang et cet homme sera au mieux mort ou au pire un légume a vie. Il faut diminuer la pression intracrânienne.
Devant son discours le gardien se rapprocha menaçant et frappa son poing à coté du visage de Scarlet. Celle-ci ne sursauta pas et resta a fixer le mur l’air confiante.
-Tu ferais mieux de fermer ta gueule toi… Je sais pas pourquoi mais j’ai l’impression que tu te fous de ma gueule.
-Oh vous savez, je suis venue ici parce qu’on me l’a demandé et je repartait parce qu’on me l’a demandé aussi. Moi, j’en ai rien a foutre que votre collègue deviennent un légume alors appelez le SAMU. Quand ils arriveront il sera mort.
La gardien mis son pistolet sur la tempe de Scarlet et il rapproche sa bouche de son oreilles, inquisiteur et menaçant.
-Ok, alors si je te demande de faire ce qu’il faut pour qu’il vivent tu vas savoir le faire ou c’est du vent ?
Il sourit l’air carnassier à penser avoir trouver un point faible. Il n’est pas idiot son entrainement lui a appris a se méfier des incidents et il a raison, mais a cet instant il se trompe en croyant que Becky Greenfield est une terroriste. Pas effrayé par ce comportement Scarlet reste calme les mains contre le mur, son sang froid est tout bonnement effroyable et sans le regarder elle lui donne ses instructions.
-J’ai besoin d’une chambre de soin privé équipée et d’un équipement médical complet pour une décompression. Demandez-cela à Lan-Meï Huang responsable d’opération. Elle saura ou trouver ce matériel.
Le visage dur, l’homme retire le pistolet de la tempe de Scarlet sous couverture. Calme elle attend qu’il demande à son personnel d’aller chercher Lan-Meï. Comme les choses trainent, Scarlet met de la pression en expliquant ce qui pourra arriver si on laisse l’hémorragie survivre trop longtemps dans le crâne de leur compagnon. Le gardien s’énerve et frappe le mur tel l’animal sauvage qu’il est. Au même moment Matthews suggère un numéro de chambre. Celui-là même voisin de la chambre de Paulina.
-Pourquoi pas la chambre 004 il n’y a personne dedans !Dépêchez vous bon sang c’est ridicule de maintenir ma sortie il fait nuit et ce gardien est en train de mourir sur le sol ! Loin de moi l’envie de rester mais bon sang qu’est-ce que ça peut vous foutre que je reste ici une nuit de plus qui plus est pour sauver le cul de votre ami ?!
Sur ses mots Scarlet joua l’effronté et se mis au sol pour s’occuper du gardien. Le soldat bien malgré lui l’aida a l’emmener dans la dites chambre. Scarlet fit comme chez elle et installa l’homme en le délestant de ses armes. Mais avant cela elle regarda le gardien.
-Trouvez-moi Lan-Meï Huang, vite !
D’un geste elle réussi enfin à chasser le rustre et même si la chambre était sous vidéo surveillance elle la laissa dans la pénombre en mettant en avant l’idée de créer une ambiance reposante pour le patient. Prenant l’arme du gardien discrètement dans un angle mort elle se sentit prête a passer à l’action prochainement. Tout se bouscule et l’étau se resserre.
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