“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Manhattan Redlish
Dim 13 Fév - 16:41
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Quand Brittany était venue dans son bureau avec pour objectif de lui partager une bonne nouvelle, évidemment, Elijah avait eu l’impression de soudainement étouffer, craignant le pire. Il ne souhaitait pas être parent, et encore moins avec la jolie blonde. Elle mit rapidement fin à ses angoisses pour lui annoncer qu’elle partait travailler de l’autre côté des États-Unis. Malgré l’issue dramatique de leur relation, il n’en restait pas moins heureux pour elle, et lorsque cette dernière s’était éclipsée de son bureau pour le laisser travailler, le journaliste s’était directement rendu dans le bureau de la belle brune. « Les grands esprits se rencontrent » rétorqua-t-il en souriant alors qu’il s’avançait dans son bureau. Il venait sûrement pour un tout autre sujet que celui que souhaitait aborder Madison, et au vu de sa réaction, il se rapprocha davantage de la belle brune, soucieux de son changement d’humeur. C’était une tout autre angoisse qui l’accabla soudainement. Les femmes ne lui laissaient vraiment aucun répit lorsqu’elles s’y mettaient… Est-ce que Madison regrettait ce qui s’était passé cette nuit ? Est-ce que les peurs avaient ressurgis et souhaitait tout arrêter ? « Est-ce que tu te regrettes ce qui se passe entre nous ? Est-ce que tu veux tout arrêter ? ». demanda-t-il alors que soudainement, il n’était plus vraiment certain de vouloir connaître la réponse.
Toujours appuyé contre le bureau de la jeune femme, il la laissa s’éloigner, le cœur serré dans un étau, et la suivit du regard quand elle revint vers lui. Il haussa les épaules à sa question « Je sais que tu as peur de beaucoup de choses et… Avec le recul, tu te dis peut-être que ce n’est pas une bonne idée tout ça » en se désignant tour à tour d’un signe de main qu’il reposa ensuite sur le rebord du bureau. Il espérait de tout cœur que ça ne soit pas le cas, parce que ça faisait longtemps qu’il n’avait pas éprouvé cela. Il était tout simplement bien avec elle. Il baissa la tête tout en riant doucement avant de relever les yeux sur elle « Je peux faire ça plus souvent si tu veux, mais hors de question que je te donne mon bureau ». Elijah regarda fixement la jeune femme devant lui. Son ton avait changé et elle évoqua Brittany et le fait que cette dernière avait joué avec Madison en restant secrète sur ladite bonne nouvelle qu’elle devait lui annoncer. Apparemment, la jeune femme n’avait pas digéré qu’ils avaient eu une aventure cinq ans plus tôt et qu’il y avait toujours un lien particulier entre eux deux… Mais ce qui l’intriguait davantage, c’était la réaction de Madison « Juste curieuse ? Parce qu’entendant, tu as peur que la nouvelle soit une bombe » rétorqua-t-il en penchant légèrement la tête sur le côté, un petit sourire en coin, et ajouta « Elle n’est pas enceinte. Je dis ça parce que c’est la première pensée qui m’a traversé quand elle m’en a parlé. Elle part pour New York. Enfin elle déménage à New York dans trois semaines ». Et au vu du comportement que venait d’avoir la jolie blonde à l’encontre de Madison, il se dit que ce n’était pas plus mal qu’elle s’en aille de l’autre côté du pays. Elijah lui sourit avec douceur « Soulagée ? » et ajouta « Tu m’as dit que tu voulais m’appeler… Soit dit en passant, tu as conscience que mon bureau est juste là » en le désignant du doigt « Assez prêt pour te voir sucer tes sucettes à longueur de journée » en souriant avec amusement et ajouta « C’était pour quoi ? ».
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Charly
Dim 13 Fév - 17:40
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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La porte fermée, Madison écouta la précision que donna Elijah tout en revenant à sa place. « -non…. Et non... » répondit la jolie brune avant de plisser les yeux en se demandant toujours pourquoi cette idée lui avait traversé l’esprit. Mais il précisa les choses et elle sourit avec douceur avant de répondre en se foutant de sa gueule, à voix basse : « -donc quand je t’ai dis que j’allais adopté ta façon de voir les choses, c’est à dire de voir au jour le jour et advienne que pourra… tu ne m’écoutais pas. » elle tourna légèrement dans son siège en remettant sa sucette dans sa bouche, un tic plus qu’une habitude à force. « -en même temps je comprends… » elle montra son corps, bougeant sa main de haut en bas, avec un petit sourire assuré. « -non, j’ai pas changé d’avis. » ajouta t elle en posant ses coudes sur le bureau avant de lui confier qu’elle avait l’impression de l’avoir convoquer dans son bureau comme si c’était elle le chef. « -crois moi, c’est pas ton bureau qui me donne envie. » quelques mots lâchés avec assurance en lui souriant. A la base, ils ne cessaient de se dire ce genre de chose. Alors autant revenir à la normal non ?
Et puis elle relança le sujet sur Brittany et sa super nouvelle secrète qui lui avait clairement pourrie son humeur de la journée. « -curieuse et aussi un petit peu en colère parce que clairement son truc c’était de la manipulation mentale et ça a marché ! Je veux savoir ce que c’est ! » voilà elle avait avoué ! Puis elle posa une main sur sa poitrine en se laissant retomber dans le dossier du siège. « -oh putain quel soulagement ! » oui vraiment à ce point là ! « -hé super nouvelle ! Enfin pour elle ! Oui pour elle bien sur ! » bien d’accord elle n’était pas vraiment crédible… En vérité oui elle était hyper soulagée et savoir que Brittany allait disparaître du paysage était une très bonne nouvelle. Pour elle, mais aussi pour eux.
« -ah heu oui je sais. Mais j’avais pas du tout envie de bouger mes fesses et de respirer l’air qu’elle venait de respirer ! » lâcha Maddy en penchant la tête sur le côté, sourire jusqu’aux oreilles. Elle regarda la sucette qu’elle avait dans la main et ajouta : « -sois pas jaloux. » avec un petit sourire en coin. « -hé bien j’ai vu pour vendredi et finalement, viens voir. » elle lui fit signe pour qu’il vienne voir sur l’écran de son ordi. « -j’ai choisi ça. La gérante propose des trucs de couple un peu décalé. Mais c’est assez original et je suis certaine que ça peu plaire. » elle se tourna alors vers lui et ajouta : « -du coup… c’est plus qu’une simple soirée ou après midi qu’il nous faut. Si ça te tente bien sur. Sinon… je peux toujours demander à Paul... »
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Dim 13 Fév - 18:08
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Un soulagement immense l’accabla quand elle lui répondit par la négative aux deux questions qu’il venait de lui poser, parce qu’Elijah n’avait pas envie que tout s’arrête soudainement. Pas après la nuit qu’ils avaient passée, et le début de journée. Il laissa même échapper un petit sourire de soulagement avant de justifier ses craintes qu’il avait formulé à voix haute. Il pencha légèrement la tête sur le côté alors qu’il sentait bien que Madison était en train de se foutre de lui en cet instant « On ne sait jamais. Tu es une femme et on sait tous que ça change plus rapidement d’idées que Ricco Siffredi de femmes lors d’un tournage ». Á son tour de se foutre de sa gueule un peu, avec ce petit sourire insolent. Il savait qu’elle aimait ça de toute manière. Un regard pour la sucette, puis se concentra plutôt sur les prunelles sombres de la belle brune. Son sourire s’élargit en l’entendant « M’en voilà rassuré, parce que moi non plus » confia-t-il comme un secret, en approchant légèrement son visage, puis se recula, ne souhaitant pas être surpris par leurs collaborateurs. Appuyé contre le bureau de Madison, les rôles s’étaient inversés et ça semblait plaire à Madison. Néanmoins, Elijah ne comptait pas lui donner son bureau. Sa réponse le fit rire légèrement et répondit comme si de rien n’était « J’ai très envie de prendre dessus pourtant ».
Mais le sujet Brittany calma quelque peu leurs ardeurs parce qu’il avait bien vu que ce n’était pas que de la curiosité qu’elle avait éprouvé face à l’annonce de la jolie blonde « Elle a encore du mal à digérer notre passif commun » expliqua-t-il avant de préciser que non, elle n’était pas enceinte. Parce que si ça lui avait traversé l’esprit, il a du en être de même pour Madison. Un sourire devant son exclamation « J’ai eu approximativement la même réaction. Et pour information, elle aurait pu l’être, ça n’aurait rien changé à nous deux, soyons clairs ». Il n’éprouvait rien pour Brittany et enfant ou non, c’était terminé entre eux. Maintenant, il était réconcilié avec la belle brune et il aimait beaucoup leur nouvel arrangement. Il pencha la tête sur le côté avec son petit sourire en coin « Bien sûr, oui » en étant peu convaincu. Mais c’était naturel qu’elle soit soulagée que l’ex-petite-amie s’en aille d’ici. Il l’était aussi.
« Pourtant, ça ne t’a pas dérangé de passer après elle cette nuit… Enfin… et après plusieurs autres… tu sais quoi ?! Je vais me taire, ça sera mieux » en se baffant mentalement devant sa connerie, soufflant un « Désolé, ça semblait plus sympa à dire dans ma tête » en désignant sa tempe « Le principal, c’est que maintenant, il n’y a plus que toi qui me touche» et précisa, tout de même, que son bureau était à côté. Un nouveau regard pour la sucette, et un sourire en coin « Je ne le suis pas. Je suis content de voir que tu sais aussi sucer des petits calibres » et ajouta plus doucement « Il ne faut juste pas trop t’y habituer ». Il avait envie de l’embrasser en cet instant, et de bien plus, mais changea de sujet en lui demandant pourquoi elle voulait l’appeler. Elijah se détacha du bureau pour venir aux côtés de Madison, une main à côté de la sienne, et l’autre sur le fauteuil, se trouvant véritablement dans son espace personnel qu’il pouvait sentir l’odeur de son parfum. Il regarda l’écran tout en écoutant la belle brune et baissa son regard sur elle, et pencha de nouveau la tête « Attention, parce que je vais vraiment finir par envoyer ton copain en Tanzanie Mademoiselle Carter » et se mit à sourire en jetant un nouveau regard à l’écran « J’aime beaucoup l’idée et puis ça nous permettrait de s’éloigner du bureau quelques jours… Des vacances. Wouah ! Va falloir m’apprendre » en se moquant de lui-même et ajouta « Sérieusement, l’idée est séduisante et pourrait plaire à plus d’un couple. Ton jour de départ est le mien ». Un nouveau regard pour les alentours et se pencha pour lui voler un bref baiser avant de s’éloigner du bureau « Je sais, pas au bureau… Mais j’ai très envie de toi là, avec cette sucette… Hum… » puis posa sa main sur la poignée « C’était tout ce que tu voulais me dire ? ».
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Lun 14 Fév - 15:08
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -hé c’est quoi cette généralité et cette pointe de misogynie ! J’avais l’air d’avoir changé d’avis ce matin ? J’avais l’air d’avoir changé d’avis dans ton bureau ? Pff et après c’est moi qui me pose trop de questions. » elle se foutait ouvertement de lui, mais étrangement sa réaction la rassurait. Parce que maintenant qu’il avait eu sa nuit, il pouvait très bien la jeter. l’idée lui avait traversé l’esprit. Qu’elle se soit fait avoir. En beauté. Idée moche certes, mais tout de même, elle lui était passée par la tête. Alors forcement, l’entendre lui dire qu’il ne voulait pas que ça s’arrête, c’était rassurant. Vraiment… Puis un : « -arrêtes de m’allumer... » avec chacun des mots détacher pour lui faire comprendre qu’il fallait vraiment qu’il s’arrête là.
Un soulagement de fou lorsqu’il lui expliqua que Brittany n’était pas enceinte. « -si ça aurait forcement changé quelque chose, mais ça n’est pas le sujet et on s’en fou parce que ça n’est pas le cas ! » oui pas la peine de faire une conversation et un débat là dessus alors qu’ils s’en foutait royalement ! La blonde allait mettre les voiles et c’était une bonne nouvelle pour tout le monde ! Ainsi si jamais leur relation devenait public, elle ne serait pas là pour crier un : je vous l’avais dis ! Et les pointer du doigt comme des gros menteurs. Madison plissa les yeux et répondit : « -oui je pense que c’est mieux pour toi que tu l’as ferme... » elle leva les yeux au ciel avant de le traiter de prétentieux et de lui demander de venir voir le sujet du futur article et également leur lieu de weekend.
Un joli rire avant de lancer en s’auto félicitant : « -exactement ! Trois jours de vacances ! J’y serais parvenu assez rapidement en fait ! » elle apprécia le fait qu’il ramène tout cela au coté professionnel et ajouta : « -vendredi fin d’après midi. » cela les obligerait à quitter le bureau à l’heure ! Madison resta stupéfaite du baiser qu’il lui vola, ouvrant de grands yeux. Puis elle se mis à sourire en l’écoutant et ajouta : « -tu ferais mieux de filer. Ou de trouver un coin tranquille... » un haussement d’épaules comme si ces mots n’étaient pas du tout à double sens. Dans l’idée elle pensait à une salle qui fermait à clé et où personne ne pouvait entendre quoi que se soit. Mais il pouvait tout aussi bien retourner à son bureau. Ce qui était la meilleure des décisions. Bien entendu.
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Lun 14 Fév - 15:39
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Lorsqu’Elijah fit allusion à la capacité des femmes à changer rapidement d’avis, il savait pertinemment que ça ne laisserait pas Madison silencieuse, et se mit donc à rire face à sa réaction. Bon, peut-être que c’était un peu misogyne de lui dire cela, mais est-ce que c’était faux pour autant ?! Il leva les mains en signe d’abdication « Tu sais quoi ? Je n’ai rien dit. Tu as raison, tu n’as pas changé d’avis et j’ai eu tort de penser le contraire » puis baissa les mains pour les poser sur le rebord du bureau, lui confiant qu’il était tout de même rassuré, parce qu’il ne voulait pas qu’elle revienne sur sa décision pour eux deux. Cela leur avait permis de renouer le lien, et même de revenir aux bonnes habitudes. A une exception prête, c’était que lorsqu’ils flirtaient, ils avaient dorénavant le droit de succomber, et ça allait être difficile au bureau, alors il sourit quand Madison lui demanda d’arrêter, et renchérit malgré tout « Tu ne peux vraiment pas me résister, avoue ». Ça tombait bien, parce que lui non plus avait du mal à rester à sa place.
Quand le sujet dévia sur Brittany et le fait que la grande nouvelle aurait pu être une grossesse, Madison ne fut pas convaincue de la réponse du journaliste, et fronça les sourcils avant de sourire doucement « Non, ce n’est pas le cas et c’est tout ce qui compte ». Il n’avait pas envie de briser ce moment de complicité avec une conversation sur Brittany et sa grossesse qui n’existait pas. Un petit rire quand cette dernière lui confirma qu’en effet il devait se taire avant de s’enfoncer dans le trou qu’il creusait tout seul « Je me tais » tout en mimant une fermeture éclair au niveau de ses lèvres qui ne lui fit pas garder le silence bien longtemps, répondant un « Réaliste » à son prétentieux. Elle savait mieux que quiconque que sur ce point, il n’était pas prétentieux, mais bel et bien conscient de ce qui se trouvait entre ses jambes.
Elijah se détacha ensuite du bureau pour venir à ses côtés, entrant dans son espace personnel et se mit à sourire à son rire « Qui aurait cru cela possible ?! ». C’était bel et bien la seule femme qui était parvenue à le faire quitter son bureau pour trois jours de repos, à l’écart du monde, pour être seulement tous les deux. Il reprit tout de même son professionnalisme pour poursuivre et acquiesça « Bien. Je vais noter ça dans mon planning et bloquer le week-end et le lundi » et lui vola rapidement un baiser qui étonna Madison avant de se rendre vers la porte, sa main sur la poignée qu’il retira pour revenir vers la belle brune, prenant sa main dans la sienne qu’il lâcha rapidement pour ne pas être surpris par les collaborateurs « Suis-moi » et sorti son portable « Bon, je bloque vendredi après-midi, et cela, jusqu’à lundi » sur un ton professionnel pour ne pas attirer l’attention « Tu comptes faire une série d’articles sur ce thème de couple ? » et sourit à une des collaboratrice « Il faut que je te vois Eli’, c’est au sujet de la Fashion Week » et répondit tout en continuant de marcher, se retournant pour lui répondre face à face, marchant ainsi à reculons « D’ici une petite demi-heure dans mon bureau ? » « Parfait ! » et se retourna en direction de sa destination « On ne doit pas perdre de temps » en jetant un regard entendu avec Maddy. Il sorti un jeu de clef de sa poche, et après un regard à droite et à gauche, ouvrit la porte et fit entrer Madison en premier. Il alluma la lumière qui était en fin de vie « C’est un ancien débarras que l’ancien directeur a condamné à cause d’une fuite d’eau qu’il n’a jamais voulu réparer. Il n’y a que l’agent d’entretien qui a le double pour venir changer le sceau » qu’il désigna d’un coup de menton et s’approcha ensuite de la belle brune « Pas un cri sinon nous sommes foutus » et commença à l’embrasser avec envie, et retira sa ceinture avec hâte, laissant tomber pantalon et boxer à ses chevilles, puis la souleva du sol, la plaquant dos au mur, et commença les vas-et-viens avec une certaine vigueur, soupirant de plaisir contre les lèvres de la belle brune alors qu’il accélérait les coups de reins et prit possession des lèvres de Maddy pour se faire taire en sentant l’orgasme l’envahir. « Tu as réussi à… » en lui demandant si elle était parvenue à jouir elle aussi « Parce que je peux… » en désignant sa féminité « Mais faudra être sage » alors qu’il la laissa reposer les pieds à terre.
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Lun 14 Fév - 20:52
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -c’est toi qui n’es pas capable de rester sage plus de quelques heures. » répondit Maddy avec un sourire en coin, même s’il y avait du vrai dans ce qu’il venait de dire. Après la nuit qu’ils avaient passé, difficile de résister. Le sujet Brittany fut vite clos, Madison n’ayant pas envie de se prendre la tête sur une histoire qui n’était pas vraie. Au contraire, c’était vraiment une bonne nouvelle que la jolie blonde quitte la rédaction et s’en aille à l’autre bout du pays. Ça n’en était que mieux pour eux deux. « -ouais c’est ça ! » comme s’il allait être capable de la fermer bien longtemps. Chose qu’il ne fit pas pour se venter de ses attribues masculin. Ce qui la fit rire.
Elle fut ravie de voir que l’idée d’un week end ensemble lui plaise et qu’il assimile cela à des vacances plutôt qu’à une corvée. En soit ils s’y rendaient pour bosser, pour pouvoir faire son article mais autant ailler l’utile à l’agréable. « -le lundi ? Pourquoi le lundi ? » en soit ils seraient de retour le dimanche dans l’après midi. Pas besoin de la journée du lundi en plus ? Puis ils se taquinèrent encore quelques minutes avant que la jeune femme ne fronce les sourcils en le voyant revenir vers elle. Ses lèvres s’étirèrent dans un sourire alors qu’elle se levait, comprenant qu’il avait visiblement une idée derrière la tête. « -ok très bien. » répondit la jeune femme non sans un regard et un sourire, marchant à ses côtés de manière décontracté. « -oui exactement. » ajouta t elle avant de ralentir sa marche et de sourire à leur collègue. Puis elle reprit sa marche en se demandant où Elijah comptait l’emmener. Un haussement de sourcils en écoutant ses explications. Sympa… pas hyper glamour comme endroit. Mais en soit ça ferait l’affaire. Et puis il venait de l’embrasser avec envie et cela l’aidait à oublier le lieu où ils se trouvaient. Dos au mur, les cuisses autour des hanches de son patron, Maddy se retenait autant qu’elle le pouvait pour éviter de gémir à chaque va et viens. « -non... » souffla la jeune femme alors qu’il venait de finir sans elle. « -non... » répéta t elle non sans un sourire avant d’ajouter un : « -non… tu te rattrapera ce soir. » voilà comme ça le rendez vous était prit. Chez lui ou chez elle, peut importait au final. Elle ajouta sa robe, remis ses cheveux en ordre et sortie de la pièce comme si de rien n’était. Mais la fin d’après midi fut longue… Et lorsqu’elle quitta le bureau, elle envoya un sms à Eli qui disait : 20 h chez moi. Malgré cela, elle ne fit pas d’effort particulier pour le repas ou sa tenue. C’était tout à fait secondaire.
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Lun 14 Fév - 21:26
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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La regardant fixement en affichant le même sourire en coin que la jeune femme, il lui répondit comme s’il était accusé d’un méfait « Désolé de te désirer », parce que c’était bel et bien le cas. Il la désirait, et peu importe l’endroit où ils se trouvaient. Si ça ne tenait qu’à lui, le journaliste la prendrait maintenant et tout de suite sur son bureau. Mais voilà, ils étaient dans les locaux du magazine et ils s’étaient promis de se montrer discret sur leur… relation ?! Alors Elijah se retenait d’agir de répondre à son instinct primaire. Il se mit à rire alors que cette dernière le croyait incapable de la fermer, et elle avait raison parce que quelques secondes après, il se vantait de sa masculinité. Toutefois, Elijah savait aussi se montrer professionnel et il le devint rapidement lorsqu’elle lui soumit l’idée du week-end de trois jours. Il tourna la tête vers elle en entendant sa question « Parce que je pensais qu’on rentrerait que lundi, pour vraiment profiter du week-end en entier et voir tout ce qui avait à voir durant ces deux jours » puis fronça les sourcils « Pas toi ? ». Ils ne s’étaient pas compris apparemment sur les trois jours. Toutefois, ils se comprirent quand Madison lui proposa soit de retourner dans son bureau pour travailler, soit de s’envoyer en l’air à l’abri des regards.
Le quadragénaire l’emmena donc avec lui dans une pièce vide en raison de la fuite d’eau qu’il y avait depuis des années et que personne n’avait fait réparer, pas même lui. Bon, il aurait pu trouver plus romantique comme endroit, mais à l’instant T, aucune autre pièce lui semblait appropriée, et puis de toute manière, ils ne venaient pas ici pour dîner mais pour s’envoyer en l’air. Pour la première fois, le journaliste avait eu l’impression qu’elle n’avait pas jouit et c’était bel et bien le cas « J’ai voulu me dépêcher et … désolé » tout en faisant une légère moue, et lui proposa donc de l’aider à finir comme il se le doit, mais refusa avec un sourire, ce qui intrigua Elijah qui se mit à sourire, le regard suspicieux « Hum… J’ai déjà hâte » et l’embrassa avec envie avant de la laisser quitter la pièce avant lui, retournant chacun à leur travail comme si de rien n’était.
Comme prévu, le journaliste fut devant sa porte à vingt-heure et avec le dîner enfermé dans un sac kraft. Lorsque la porte d’entrée s’ouvrit, il lui sourit tout en levant le sac à hauteur d’yeux « J’ai pensé au repas. J’ai pris hamburger. J’espère que ça te va » et entra chez elle, s’avança pour poser le sac sur le comptoir et s’approcha de Madison « Mais avant de dîner, j’ai un orgasme à te donner » et l’embrassa avec envie avant de la soulever du sol pour la faire prendre place sur l’établi de la cuisine. Ne quittant pas ses lèvres, il détacha sa ceinture quand son portable sonna. Il détacha à peine ses lèvres pour souffler « On s’en fout » et reprit possession de sa bouche, cherchant sa langue, tout en faisant tomber son pantalon au sol et son boxer. Une nouvelle sonnerie. Un soupir et remonta rapidement ses vêtements et attrapa son portable sans regarder l’interlocuteur « Quoi ?! ». Oui, il était frustré « Qu’est-ce que j’en ai à foutre Jeffrey ? » « Oui, je suis avec quelqu’un » « Non, ce n’est pas Madison, c’est ta mère et on aimerait baiser tranquille » puis raccrocha, jeta son portable sur le comptoir et se retourna vers Madison « On en était où ? » en souriant et fit redescendre ses vêtements à ses chevilles et reprit possession des lèvres de la belle brune, puis entra en elle et plus rien. Un soupir et posa sa tête contre l’épaule de la jeune femme « Ce n’est pas possible… C’est que je suis en train de penser à ce que me disait Jeffrey… Laisse-moi une seconde » et la regarda fixement en esquissant un sourire « Magique » et sans la quitter du regard, commença les vas-et-viens avec lenteur « Je l’échauffe » avant de se mettre à rire à sa connerie, et commença les coups de reins avec plus de vigueur, et se retira, l’aida à descendre « Retourne-toi » et entra de nouveau en elle, posant sa main dans son dos pour qu’elle se penche sur l’établi, et recommença les coups de reins avec plus de fougue, joignant sa main à sa féminité pour accentuer son plaisir.
Cette fois-ci, il laissa exprimer son plaisir à voix haute et posa son front contre le dos de Madison « C’est bien mieux que dans un débarras qui sent l’eau croupi » et se retira pour se rhabiller « Tu me veux pour toute la nuit ou seulement pour que je me rattrape ? » en récupérant deux assiettes pour y déposer les burgers et les faire réchauffer. Il s’appuya contre l’établi et croisa les bras « ça m’a fait du bien de reparler avec toi aujourd’hui, au bureau ».
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Charly
Mar 15 Fév - 21:29
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -heu… ba… heu… si pourquoi pas. Ça me va. Le lundi aussi. » bafouilla Madison quelque peu prise au dépourvu, alors qu’ils avaient eut du mal à se comprendre sur quelque chose de relativement simple. Mais finalement ils s’étaient mis d’accord pour trois jours de weekend, des mini vacances en quelque sorte, rien que tout les deux. Ils s’y rendaient surtout pour cette article qu’elle avait envie de faire. Si on replaçait ça au niveau de leur relation, ça faisait relativement tôt, mais c’était pour le boulot. Leur relation permettrait de paraître plus crédible. Et ça pouvait être drôle. Tout comme de voir la tête déconfite d’Elijah alors qu’il comprenait qu’elle n’était pas parvenue à prendre son pieds comme d’ordinaire avec lui. « -hey, c’est pas grave. Ça arrive. » oui ça arrivait à la plus part des femmes. Tout le temps. Et généralement leur partenaire n’en tenait même pas compte. Alors elle lui donna rendez vous chez elle, le soir même, histoire qu’il se rattrape. Parce là tout de suite, ils n’avaient pas de temps pour ça.
Pieds nus, elle alla ouvrir la porte, et se fendit d’un sourire en le voyant. « -oh non mais qui ait passé des heures en cuisine ! » s’exclama la jeune femme sur un ton qui la trahissait bien évidement. « -va s’y rentre. » ajouta Maddy en fermant la porte derrière lui. Puis elle le dévora des yeux en entendant sa proposition. « -quelle belle idée... » avant de rire en l’embrassant, sentant déjà l’envie grimper en elle. « -on s’en fou... » souffla t elle en retour. La dernière fois qu’il avait répondu au téléphone, il s’était envolé le soir même pour Londres. Elle n’avait pas du tout envie de voir le schéma se reproduire. Elle posa ses deux mains derrière elle en levant le visage vers le plafond lorsqu’il répondit tout de même.
Elle était là, robe retroussée, prête à passer à la casserole, et lui il répondait à Jeffrey. Enfin, ça fut du rapide. « -un truc comme ça oui... » souffla Madison en lui rendant son baiser avant de baisser les yeux sur leurs entre jambes. Sérieux ? « -tu penses à Jeffrey ? » demanda Madison prête à descendre du comptoir et remettre cela à plus tard. Puis elle ouvrit la bouche, avant de la refermer et de retirer sa robe. Histoire de l’aider un peu. « -c’est mieux comme ça ? » demanda t elle en approchant ses lèvres des siennes sans pour autant l’embrasser, cherchant à faire monter l’envie et surtout à faire fuir Jeffrey de son esprit. Un petit rire : « -je vois ça... » répondit Madison d’une voix sensuelle, appréciant le va et viens. Un regard et elle descendit de son perchoir pour venir se pencher en avant, ravi de le sentir un peu plus vigoureux. A mesure qu’il allait et venait, la jeune femme laissait son plaisir monter et s’exprimer, jusqu’à le crier. Un léger rire et elle se redressa : « -je suis assez d’accord. » elle ignorait s’il avait été un habitué des lieux avec Brittany mais elle, ça ne lui correspondait pas vraiment. Autant se rendre au parking dans sa voiture ou dans les toilettes.
Madison remis sa robe et répondit taquine : « -à la base je m’étais simplement dit pour un coup vite fait. Mais le souci c’est que tu es un peu comme du chocolat. Un carré et puis on en veut un autre, et encore un autre… » ce qui voulait dire qu’il pouvait rester cette nuit. Mais elle le précisa pourtant : « -tu peux rester. » sans lui imposer. « -à moi aussi. » puis elle prit des verres dans le placard et ajouta : « -la prochaine fois, portable en silencieux. » et c’était non négociable. « -il voulait quoi l’autre ? Et pourquoi forcement il a cru que c’était moi que tu baisais ? C'est lui que tu devrais envoyé en Tanzanie! »
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Mar 15 Fév - 21:54
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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« Oui, mais je préfère quand c’est le cas » répondit-il en souriant tout en approchant son visage près du sien pour l’embrasser une dernière fois avant de quitter la petite réserve sordide dans laquelle il l’avait emmené « Je me rattraperais ». Et c’était bel et bien dans cette optique-là qu’Elijah était arrivé à l’appartement de la belle brune le soir-même, dîner en prime. Il pencha légèrement sa tête sur le côté quand elle évoqua le fait qu’elle avait cuisiné durant des heures « Mais bien sûr ». Il se doutait bien qu’elle lui mentait. La femme qui craignait l’engagement, de tomber amoureuse de lui, n’aurait pas passé des heures derrière les fourneaux juste pour ses beaux yeux. Il entra chez elle, déposa le sac, et se retourna vers la jeune femme, bien décidé de tenir sa promesse qu’il avait formulé quelques heures plus tôt. Ses lèvres contre les siennes, prêt à la faire sienne, il entendit son portable sonner. Il se disait que ce n’était pas important, mais la seconde lui rappela des souvenirs et se décidé à répondre. Jeffrey. Il tombait bien mal celui-ci et il le comprit bien vite. Il raccrocha rapidement avant de jeter légèrement le portable sur le comptoir, bien décidé à s’occuper uniquement de Madison qui l’attendait sur le comptoir de sa cuisine. Il reprit possession de ses lèvres tout en entrant en elle, et voilà que plus rien… Il se recula légèrement « Oui, je pensais à Jeffrey parce qu’il m’emmerde ».
La jeune femme lui donna un coup de main en retirant sa robe et Elijah laissa son regard glisser sur le corps de la belle brune, et comme par magie, sa virilité se durcit à nouveau « Bien mieux » souffla-t-il alors que leurs lèvres se frôlaient sans se toucher. Un sourire alors qu’il commença le vas-et-viens, puis l’aida à descendre de son perchoir, la faisant sienne de nouveau, mais la tenant à lui. Il se montra plus vigoureux et apprécia de l’entendre crier son plaisir cette fois-ci « La prochaine fois, on pourra essayer l’ascenseur » rétorqua-t-il en se rhabillant et s’éloigna pour faire chauffer le repas. Un regard pour Madison alors qu’il mettait la nourriture dans des assiettes, un sourire sur les lèvres « Tu ne peux pas me résister » et hocha lentement de la tête tout en se concentrant sur ce qu’il faisait, mit le tout dans le micro-onde et se retourna vers la belle brune « Je veux bien rester », et changea radicalement de sujet. Un sourire plus tendre se dessina sur le visage du quadragénaire qui sorti les assiettes du micro-onde pendant que la jeune femme s’occupait des verres.
Elijah se mit à rire tout en refermant la porte de l’appareil « Promis » et la talonna pour poser les assiettes sur la table basse du salon « Je pense que c’est nous deux qu’on va envoyer en Tanzanie pour plus de tranquillité » et posa les assiettes sur la table tout en répondant « Un article n’a pas été communiqué pour l’impression de demain. Comme si j’étais sa mère. Il peut très bien appeler celui qui est responsable de la page et me laissait tranquille » et piqua une frite à Madison tout en prenant place dans le canapé, aux côtés de sa belle brune « Je pense qu’il prêchait le faux pour avoir le vrai… Enfin en quelque sorte, parce qu’en réalité, il a raison. C’est toi que je sautais » en riant presque et se pencha pour embrasser son cou tout en humant l’odeur de sa peau « Et j’ai prévu de recommencer… Mais pas toute la nuit » précisa-t-il en se reculant pour commencer à manger « Tu as besoin de dormir aussi ». Il mordit dans son burger et ajouta « Pour le week-end, si tu souhaites rentrer dimanche, on peut aussi, tu sais. Je n’ai pas envie que tu flippes parce que je te propose de rester une nuit supplémentaire… » en tournant la tête vers elle, souriant avec douceur « C’est juste que je crois que j’ai besoin de repos et qu’une nuit de plus n’aurait pas été négligeable… Mais je peux aussi la passer chez moi, devant la télévision avec une bière ».
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Charly
Sam 19 Fév - 14:08
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Elle avait sourit simplement avant de dire : « -ça marche. » Finalement ça c’était fait naturellement. Il ne s’était pas sentit obligé d’apporter le dîner ou de rester après qu’ils se soient envoyé en l’air. Même si au fond d’elle même, Maddy savait qu’elle aurait vraiment mal prit le fait qu’il s’en aille rapidement après l’avoir baiser dans la cuisine à peine arrivée. « -tu as interet par ce que si ça arrive à nouveau, je me rhabille et je me tire. » avant de rire : « -oui enfin là ça collait pas parce qu’on était chez moi. Mais enfin tu as compris l’idée. » tout cela en le pointant du doigt comme une vraie menace même si elle était consciente que ça ne devait pas lui faire peur trois secondes. Puis son doigt fit un gauche droite et elle reprit Eli : « -Bora Bora, Fidji... » puis elle fit faire un petit tour à son doigt près de sa tempe pour qu’Elijah imprègne le fait qu’il devait y réfléchir. Hors de question d’elle en Tanzanie. Elle ne savait même pas le placer sur la carte.
« -oui mais bon techniquement c’est toi son boss. » répondit Maddy tout en prenant une frite chez Eli par pur vengeance, étant donné qu’il venait de faire de même. « -il a rien d’autre à faire dans sa vie que de spéculer sur tes histoires de cul ? Je sais pas il a personne dans sa vie ? » elle avait parlé en même temps que lui et elle rit en même temps que lui. « -ok la prochaine fois c’est moi qui décroche ça va lui faire fermer sa gueule ! » elle disait cela pour rire bien évidement. Parce qu’il était exclus que Jeffrey soit au courant pour eux. « -exactement ! » répondit elle alors qu’il précisait qu’elle avait besoin de repos. En soit tenir toute la nuit pour baiser, ça avait été top la première nuit. Cinq ans plus tôt. Parce qu’ils s’étaient dit tout simplement qu’ils ne se reverraient jamais. Mais là, les choses étaient différentes.
Madison prit une frite qu’elle garda quelques secondes entre ses dents avant de mordre vraiment dedans, écoutant Elijah. D’accord il souriait avec douceur, d’accord elle comprenait mais elle précisa : « -ok… » comme si elle voyait bien qu’il y avait un souci quelque part, et qu’il fallait en parler. Les coudes sur les genoux, elle ne chercha pas ses mots bien longtemps. « -alors je pense qu’on s’est seulement mal compris de base et si j’ai demandé pourquoi tu voulais le lundi aussi c’est justement parce qu’on s’était pas compris. Pas parce que ça me fait flipper ou que ça devrait me faire flipper visiblement dans ton esprit. On en a discuter. C’est bon. Tout roule. Ça me va. » elle n’avait pas envie qu’il lui balance ça toutes les trois minutes. Elle n’allait pas partir en courant. « -et puis une nuit en plus ça ne peut être qu’avantageux pour l’article. Même si ça a l’air un peu perché comme truc et qu’on va peut être s’enfuir tout les deux ! » ouais surtout qu’ils y allaient techniquement comme s’ils étaient un couple. Et qu’ils n’en étaient pas un.
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