“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
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Sam 22 Jan - 21:56
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Il n’aura fallu que d’un sous-entendu pour qu’Elijah se retrouve à se confier sur sa vie sexuelle, et les péripéties qui s’y attachaient. Le retour de Madison avait quelque peu compliqué sa relation avec sa petite-amie, ce qui semblait étonner cette dernière. Alors le quadragénaire confirma « Oui, enfin en partie, mais oui. Parce que nous deux, cette nuit, ça avait été exceptionnel, et que ça ne l’est pas avec Brittany » et ajouta aussitôt « Je n’ai pas dit que c’était nul non plus. C’est bon, vraiment bon quand on le veut… Ce qui n’a pas lieu régulièrement, mais ce n’est pas exceptionnel ». Ce qu’il avait trouvé en Brittany, c’était une relation sans attaches, juste du sexe, et qui était toujours disponible pour s’envoyer en l’air et lui faire prendre son pied, parfois plusieurs fois dans la même journée. Enfin, c’était au début de leur relation. Avec le temps, leur relation avait changé, et tout particulièrement ces dernières semaines. Elle lui avait fait comprendre qu’elle tenait à lui d’une toute autre manière, se laissait même à être jalouse et soupçonneuse à l’encontre de Madison. Ce qui n’arrangeait pas vraiment leur vie sexuelle, en plus de désirer avoir la belle brune dans son lit plutôt que la femme qui partageait actuellement sa vie… Il se mit à rire face à la préoccupation de la jeune femme qui se limitait qu’à lui seul « J’arrive quand même à prend mon pied, je te rassure » et fronça soudainement les sourcils quand Madison évoqua les photos d’elle, et la raison pour laquelle il les voulait pour lui, ce qui eut pour effet de le faire réagir aussitôt « Quoi ?! Non ! Ça ne va pas ! ». Il n’avait jamais envisagé cela de cette manière « Je plaisantais quand je disais les vouloir pour chez moi ». Et puis s’il avait envie de s’envoyer en l’air avec elle, il n’aurait qu’à lui proposer, mais cette pensée, il la garda pour lui.
Elijah tapa sa tempe tout en fermant un œil « Il y en a là-dedans » et continua de manger ses sushis tout en poursuivant leur conversation « Vaut mieux étant donné qu’ils sont mariés » rétorqua-t-il sur un ton qui ne laissait aucun doute sur le fait qu’il se foutait de sa gueule. Ce fut au tour de Madison de lui montrer ses propres photos, et la complimenta, mais comme à chaque fois qu’il lui faisait un compliment, elle le rejetait « Quoi ?! Tu es superbe ! Accepte le compliment et tais-toi » tout en pointant ses baguettes vers elle et les fit claquer entre elles avant de rire et de se reconcentrer sur le portable de Maddy « Tu dis ça, mais tu adores m’entendre dire que je te trouve canon » en souriant. Malheureusement, il ne pouvait pas lui montrer des photos de lui étant donné qu’il n’en avait pas. Au moins, ça eut pour effet de la faire rire et c’était le principal. Il prit un sushi avant de lui demander si c’étaient les photos de nues, et il avala presque de travers quand elle lui répondit négativement « Non parce que tu n’es pas vraiment vêtue sur ces photos-là ! » en désignant le portable avec ses baguettes et ce fut à son tour de répondre négativement « Oh que non ! Je veux les voir ! » en détachant les quatre derniers mots. Ce n’était pas négociable.
Ils furent brièvement dérangés par son portable, Elijah répondit alors rapidement à leur perturbatrice, et reprit la conversation avec Madison et se mit à rire en entendant la réplique de cette dernière. Il pencha la tête de droite à gauche, pesant le pour et le contre, et rétorqua « Tu n’as pas tort. Je pensais ouvrir ma braguette en fait » et il le pensait toujours, mais il se martelait mentalement qu’il ne devait pas jouer avec le feu. Pas davantage en tout cas. Il se mit à sourire de nouveau tout en prenant sa gorgée de vin et reposa son verre de vin « Tu n’as pas tort. Ça aurait été malvenu », surtout au vu de ses pannes ce dernier mois. « Tu as raison » tout en la regardant fixement « Je regrette parfois. Tu sais. De ne pas avoir accepté ». Et saisit un sushi avec ses baguettes et le tendit à Madison « Une bouchée pour le patron » avant de rire « Pardon. Je crois que c’est le vin » et ajouta « Tu entends ? Il manque de la musique » et se leva du canapé pour rejoindre son ordinateur et mit de la musique en fonds sonore, avant de rejoindre Madison « Ça m’a manqué tu sais. Je veux dire nos conversations. J’avais eu l’impression de revenir deux mois auparavant ». Il préférait de loin leurs échanges de maintenant. Il posa machinalement sa main sur la cuisse de la belle brune en lui demandant « Tu as déjà une idée du sujet de ton prochain article ? ».
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Charly
Dim 23 Jan - 15:07
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Maddy avait un peu de mal à assimiler qu’Elijah n’avait pas trouvé d’autre partenaire capable de lui faire passer une folle nuit comme celle qu’ils avaient vécu cinq ans plus tôt. « -que veux tu, elle n’est pas moi. » avait répondu Madison en tout décontraction comme si elle s’envoyait des roses. « -et le contexte est totalement différent. » ils ne se connaissaient pas lorsqu’ils avaient couché ensemble. Ils avaient seulement savouré cette nuit sans lendemain, avec pour objectif de prendre leur pieds. Avec Brittany, il était en train de s’enliser dans une relation étrange. Enfin, ça n’était pas faute de lui avoir déjà dit une fois que la jolie – oui parce qu’elle était jolie, seulement jolie, pas belle – blonde n’était pas faite pour lui. Déjà elle était clairement trop jeune. Mais bon elle n’allait pas revenir là dessus. Simplement parce qu’elle ne souhaitait pas qu’il pense qu’elle le poussait à rompre avec Brittany. Ça n’était pas le cas. Il n’y avait aucune promesse de quoi que se soit si jamais cela se produisait.
« -quoi ?! Fais pas l’offusqué ! Comme si ça t’étais jamais arrivé de très fortement penser à moi durant ses cinq ans ! » En soit Maddy s’en foutait et elle n’avait rien du tout contre les pratiques sexuelles en solitaire. Mais elle préféra s’asseoir et parler du vin plutôt que de poursuivre sur ce sujet. La vie sexuelle d’Elijah, si elle n’y participait pas, elle s’en tapait. « -oui ba j’en sais rien, des fois le mariage ça fait ouvrir les yeux. Parfois Peter peut être très con. Et Kim une vrai garce. » alors elle avait le droit de se réjouir de leur bonheur. Ensuite elle montra ses propres photos. « -quoi comment ça tais toi ?! » répliqua Maddy du tac ou tac avant de rire. « -en même temps, tu le dis à chaque fois qu’on se croise. » commenta t elle en levant les yeux comme si du coup, elle trouvait ça pas forcement sincère à la longue. « -ouais… je sais. » répondit Madison en soulignant l’évidence. Bien sur qu’elle était consciente qu’elle n’était pas en combinaison de ski sur ce qu’elle venait de lui montrer. « -on verra si tu es sages. » ajouta la jeune femme en se foutant de lui.
Un regard et elle prit son verre pour en boire une gorgée tout en se disant : ne pas relancer, ne pas relancer !« -oh que oui, surtout qu’elle nous a à l’oeil. » et que c’était à la limite du stressant. Pourtant, en soit, Elijah avait raison, ils ne faisaient rien de mal. Il n’avait pas demandé la blonde en mariage ! Alors la jalousie de Brittany n’avait pas lieu d’être. « -non, tu as eu raison. » répondit Maddy en tournant les yeux vers lui. « -si on l’avait fait, aujourd’hui tu aurai du mal à te regarder dans le glace. Et ça aurait tout foutu en l’air. Donc c’est bon… j’ai digéré ton refus, on passe à autre chose. » elle se mis à rire en reculant le visage : « -j’en connais un qui à vraiment besoin de quelques jours de vacances ! » avant de hocher la tête. « -c’est vrai ! » oui un peu de fond sonore serait sympa. « -j’avais seulement besoin d’un peu de temps. C’est pas facile d’essuyer un refus pareil. Surtout que je ne suis pas vraiment une grande habituée. » une légère grimace en disant cela, appréciant qu’il parle d’autre chose. Enfin… elle se tourna vers lui, un bras sur le dos du canapé, une jambe repliée sous elle, son verre de vin en main : « -alors j’ai deux idées. J’aimerais rester dans cette optique d’acceptation du corps et de sa féminité, et pour ça, j’aimerais soit : tester l’effeuillage burlesque. Soit : prendre des cours de Pole dance. » elle savait très bien ce qu’il allait s’imaginer. En vérité, les deux sujets la motivait vraiment.
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Dim 23 Jan - 16:08
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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En entendant le constat de la jeune femme, Elijah tendit les deux mains en sa direction comme pour lui donner raison « Et c’est là que se pose tout le problème ». Brittany n’était pas Madison. Ce qui l’avait arrangé durant des mois, et tout particulièrement au retour de la belle brune dans sa vie, devenait, dorénavant, un problème qui affectait sa relation avec la jolie blonde. « Tu penses que ça serait moins bon maintenant qu’on se connaît ? » demanda-t-il plus par curiosité que par invitation à réitérer la nuit qu’ils avaient passé ensemble cinq ans auparavant. Est-ce que ça changerait réellement quelque chose ? Puis Elijah se baffa mentalement en se disant que ce n’était pas vraiment le genre de questions qu’il devait se poser s’il souhaitait rester sage, et surtout fidèle à l’égard de Brittany. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’il ne quitte sa petite-amie, pour les raisons qu’il avait déjà évoqué avec Madison par le passé. Du temps. Mais plus l’échéance se rapprochait, plus il était dur de résister à Madison. Toutefois, ce n’était pas pour cela qu’il désirait avoir ses photos pour lui seul. Il plaisantait, même si la jeune femme semblait en avoir douté quelques instants. Il se mit à rire, presque gêné par ce qu’elle venait de sous-entendre, et se passa une main dans la nuque, évitant son regard brièvement, puis la regarda à nouveau pour lui répondre « Je n’ai pas dit ça. Évidemment que ça m’ait déjà arrivé en cinq ans. Mais je parlais des photos. Je ne les veux pas pour ça ». Ça ne lui avait même pas traversé l’esprit à dire vrai.
En prenant place dans le canapé, ils changeaient aussi de sujet de conversation. Ils n’avaient pas besoin de parler davantage de sa vie sexuelle, préférant évoquer leurs amis en commun « Je vois que tu as une haute opinion de nos amis » en riant presque devant le franc-parler de la belle brune. Il ne fut pas en reste non plus quand il lui demanda de se taire, rétorquant avec amusement « Oui. Tais-toi. Á chaque fois, tu as quelque chose à redire à mes compliments. Savoure plutôt ». Il haussa les épaules, ses lèvres contre son verre, répondant qu’après avoir avalé sa gorgée, la regardant fixement pour qu’elle comprenne qu’il était sincère « Peut-être parce que je le pense sincèrement ». Oui, il la trouvait superbe. Il ne s’en était jamais caché. Et le photographe avait su mettre cela en évidence, même si à son grand étonnement, ce n’étaient pas les photos dénudées qu’elle était en train de lui présenter « Donc tu dois être sacrément dénudées sur les autres » tout en fixant un point sur elle, se mettant à imaginer ce que cela pouvait donner, puis se mit à sourire en appréciant le talent de son subconscient. Il cligna ensuite des yeux, se reconnectant avec la réalité et se mit à sourire davantage « Je suis toujours sage ».
Il ne fallut pas longtemps avant qu’Elijah ne joue de nouveau avec le feu, au risque de se brûler. Il acquiesça en baissant les yeux sur son verre de vin « Oui, et ça me fatigue ». C’était sincère. Il avait voulu une relation sans prise de tête, seulement pour s’envoyer en l’air sans devoir écumer les bars ou les boites de nuit, et voilà qu’il se retrouvait à partager sa vie avec une jeune femme jalouse et qui avait une certaine tendance à le surveiller lorsqu’il était en compagnie de Madison. Peut-être qu’elle avait raison de douter de lui, parce que, comme il l’avoua à Madison, il regrettait parfois son choix de ne pas avoir accepté la proposition de cette dernière à passer la nuit avec elle. Elijah baissa les yeux en entendant les paroles résonnées de Madison, acquiesçant lentement de la tête avant de relever les yeux sur elle « Tu as sûrement raison. Encore une fois » en esquissant un sourire en coin, et changea radicalement de sujet en lui tendant un sushi, ce qui les fit rire en chœur « Sûrement ! » puis se leva pour mettre de la musique en fonds sonore.
« Je me doute bien que n’importe quel homme hétérosexuel normalement constitué aurait sauté sur l’occasion », et c’était pour cela qu’il avait eu des regrets. Elle était sexy, intelligente, drôle et leur nuit lui avait laissé un souvenir impérissable. Normal qu’il ait des regrets. Il retira sa main de sa cuisse lorsqu’elle se tourna en sa direction, l’imitant en posant son bras au côté du sien sur le dossier du canapé, une jambe sous l’autre. Il ouvrit légèrement la bouche en entendant les idées de Madison et se racla la gorge pour reprendre contenance, termina son fond de verre d’une gorgée et le posa ensuite sur la table basse, et reporta son attention sur la belle brune « Si tu essaies de me faire fantasmer, tu y arrives ! » en riant presque et ajouta « Seule ou je pourrais t’accompagner cette fois-ci ? J’ai très envie de voir ce que ça donne en vrai. Et quand je parle de « ça », je parle bien évidemment de ton corps dans une petite tenue autour d’une bar en métal » tout en ancrant son regard dans le sien « Je peux aussi jouer le rôle de la barre si tu souhaites t’entraîner en amont ».
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Dim 23 Jan - 21:01
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -heu… je… » Maddy avait commencé à réfléchir tout haut, ne sachant pas trop quelle réponse donner à ça. Elle ne s’était jamais posée la question avant. « -j’en sais rien. » poursuivit elle avant d’enchaîner : « -peut être. Peut être pas. Enfin nous n’avons pas la même relation que celle que tu entretiens avec Brittany. » cela faisait déjà un moment que la jeune blonde réchauffait le lit d’Elijah. Ils bossaient ensemble, se connaissaient certainement un peu plus que Madison et lui. Quoi que… il lui avait bien dit qu’il n’avait jamais parlé de sa famille ou encore de son père avec personne d’autre. La conversation dériva sur les photos qu’il désirait voir et cela amusa Madison. « -d’accord... » avait elle conclue avec un sourire en coin, amusée et ravie à la fois qu’il ait pensé à elle de cette façon certaine fois pendant ces cinq années. C’était flatteur… Pour elle. Alors que de son côté, elle n’avait fait qu’entretenir de la colère et de la haine à son encontre.
« -oh arrête, tu sais très bien que l’un comme l’autre ils ont des défauts ! Ça n’est pas de la critique mais du réalisme. Et je suis contente pour eux s’ils arrivent à conjuguer tout ça avec leur amour. » oui, c’était presque un bel exemple. « -désolée... » lâcha enfin Madison en levant les deux mains, comme si c’était presque impossible pour elle de faire ce qu’il venait de lui demander. Elle n’était pas du genre à rougir ou à remercier dans ces cas là. Elle affichait une assurance comme ça, mais depuis cinq ans, sa confiance en elle avait été mise à rude épreuve. Et pas seulement à cause d’Eli. La grossesse surprise et le raz de marée qu’avait été les deux premières années de la vie de sa fille, y était pour beaucoup. En le voyant s’imaginer des choses, elle leva les yeux au ciel, une fois encore et souffla un : « -t’es con. » ça aussi ça allait finir par devenir une habitude. « -permets moi d’en douter. » ajouta la jeune femme devant l’assurance d’Elijah.
« -et moi ça me stress ! » ajouta la jeune femme qui détestait devoir mesurer tous ses faits et gestes. Alors que techniquement, ils n’étaient fautif qu’en pensées. « -j’ai raison. » elle avait dit ça avec aplomb. Par pour prouver quoi que se soit mais pour éviter à Eli de se prendre la tête et justement d’avoir des remords. Il avait fait le bon choix. Après ce qu’il lui avait expliqué dans l’ascenseur, les choses auraient été compliqué. Encore plus compliqué.
« -oui mais tu n’es pas n’importe quel homme. Tu as beau clamer haut et fort que tu assumes d’être un connard, tu n’apprécies pas vraiment en être un. » il avait ses principes et c’était tout à son honneur. Ce qu’elle ne comprenait pas, c’était pourquoi il n’avait pas encore largué Brittany. Mais ça aussi en soit c’était sans doute une bonne chose. Ça laissait à Madison le temps de s’adapter à son nouveau poste, d’éviter de tout mélanger.
Elle aimait le voir bloquer quelques secondes sur les futures idées qu’elle avait pour ses tests. Un joli rire et elle répondit : « -non ça n’est pas le but. » même si en soit, elle serait heureuse de faire naitre cette lueur de désir dans le regard des époux, conjoint ou petits amis de leur lectrices qui tenteraient l’expérience grâce à la lecture de ses articles. « -seule. » coupa Madison non sans sourire à ce qu’il ajoutait. « -clairement je pense qu’au départ, ça va pas être facile facile ! Le burlesque est bien plus simple. Enfin, ça ne sont que des idées, on va déjà voir ce que donne les retombées de cet article là. J’espère seulement ne pas me retrouver ensevelie sous une tonne de courrier ! » ou se faire virer parce que c’était trop osé. « -et pour le sujet couple sexo, j’avais envie de parler de la tromperie justement. Où elle commence ? Par quoi ? Est ce qu’un baiser c’est trompé ? Est ce que penser à quelqu’un d’autre c’est déjà tromper ? » un haussement d’épaule en reposant son verre sur la table basse. « -enfin faut encore que je vois avec mon boss si le sujet lui semble approprié. » un petit sourire, en espérant qu’il ne prendrait pas mal tout cela. En vérité il n’y avait rien de réfléchit, elle venait de balancer ça comme ça venait. Après tout, ils étaient au centre du sujet !
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Dim 23 Jan - 21:42
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Est-ce que ça serait différent maintenant qu’ils se connaissaient ? La question d’Elijah était légitime. Il y a cinq ans de cela, il ignorait tout d’elle, jusqu’à son nom, et maintenant, ils partageaient un repas dans son bureau, se parlant comme deux amis. Aucun d’eux ne parvenait à répondre à cette énigmatique question qui resterait peut-être sans réponse « Tu as raison. Brittany ne connaît que le patron ». Alors que Madison connaissait l’homme qui se cachait derrière sa profession. Elle savait pour son père, pour son enfance à Londres, ce qui l’avait amené jusqu’au journalisme aussi. Elle en savait plus que toutes les personnes qu’il avait pu rencontrer depuis son arrivée aux États-Unis il y a vingt ans. Brittany, quant à elle, ne connaissait que le journaliste et ne le voyait qu’à travers le prisme de sa réussite… Le sujet dévia et ça l’empêcha de réfléchir davantage. Après, comment en était-il arrivé à lui confier qu’il avait pensé à elle plus d’une fois, lors de plaisir solitaire, c’était une autre histoire, mais Madison semblait apprécier la révélation qu’il venait de lui, et ça le fit sourire alors qu’il la suivit jusqu’au canapé.
« Tu aurais pu trouver des adjectifs moins violents » répondit-il en même temps qu’elle parlait, puis ajouta, alors qu’elle avait fini de parler « Mais je suis d’accord avec toi. C’est bien qu’ils arrivent à s’entendre malgré leurs sales caractères. Tu vois, c’est un exemple d’adjectif moins violent » en en profitant pour se foutre de sa gueule. Puis ce fut à son tour de lui rendre la pareille « Arrête, tu ne l’es même pas » en se mettant presque à rire alors qu’il portait son verre à ses lèvres. Il n’en restait pas moins sincère quand il lui disait la trouver superbe. Cela étant, elle faisait ce qu’elle voulait du compliment. Il avait juste envie qu’elle le sache, tout simplement. Il finit par hausser les épaules quand elle le traita de con. C’était devenue une habitude entre eux, et il répondit alors un « Je sais » et ajouta en riant doucement « Tu as raison d’en douter. Je suis un vilain garçon ! » rétorqua-t-il avec aplomb tout en approchant légèrement son visage du sien, et reprit un sushi pour éponger le vin.
Puis, comme souvent lorsqu’ils étaient ensemble, ils en vinrent à parler de Brittany dont l’attitude avait le don de l’épuiser, alors que ça stressait Madison « On ne fait rien de mal. Je ne l’espionne pas quand elle va en boîte de nuit avec ses copines ». Parce qu’il avait confiance, et espérait qu’elle ne le trompe pas. Par principe. Non par sentiment. Il n’en restait pas moins, qu’en le concernant, il s’en regrettait un peu de ne pas avoir accepté l’invitation de la belle brune, mais peut-être qu’elle avait raison. Il aurait eu des remords à l’issue et ça aurait été difficile à vivre… ou pas. En réalité, il n’en savait trop rien, alors il sourit seulement pour seule réponse. Même si, comme il venait de lui confier, n’importe quel homme aurait accepté son invitation. N’importe quel homme sauf lui. Il la regarda fixement, un sourire doux sur les lèvres, et hocha lentement de la tête « En réalité, j’assume complètement d’être un connard, mais ça dépend avec qui. Avec toi… c’est difficile de l’assumer ». C’était pour cela qu’il s’en était voulu lorsqu’elle lui avait confié le bordel qu’il avait mis dans sa vie en lui volant l’article. Il n’avait pas envie d’être un connard avec elle. Peut-être qu’il n’avait pas envie qu’elle le voie en tant que tel aussi.
En tout cas, ça ne le dérangeait pas qu’elle le voit complètement interdit à la simple pensée de voir Madison, en petite tenue, dansant autour d’une barre. Il se mit à sourire quand il l’entendit rire « Je voulais en être sûr » et lui proposa de l’accompagner, mais il n’eut le temps de rétorquer quoi que ce soit qu’elle le coupa dans son élan, et leva les mains en signe d’abdication « Ok ! Ok ! Bien… » puis marmonna pour lui « C’est dommage parce que je sais être très professionnel » et prit une gorgée de vin avant de relever ses yeux clairs sur elle, la laissant expliquer son idée « Je te trouverais quelqu’un pour t’aider si vraiment c’est le cas… » et ajouta avec sérieux « J’ai beau raconter pas mal de conneries, je trouve ça vraiment bien ce que tu fais, pour les femmes, pour leur épanouissement. C’est vraiment important et beaucoup vont se reconnaître au travers de tes articles ». Et c’était le but du magazine. Que les femmes se reconnaissent dedans et trouvent des articles adaptés à leurs besoins.
Elijah se resservi un troisième verre de vin et en fit de même avec le verre de Madison, et lui jeta un regard en coin taquin lorsqu’elle évoqua l’infidélité. Il reprit place dans le canapé de la même manière qu’elle, la regardant fixement « Ton boss trouve le sujet d’actualité » et se rapprocha légèrement d’elle, posant sa main sur son genou, et la refaisant remonter lentement sur sa cuisse « Si penser à quelqu’un d’autre, c’est tromper, alors je suis infidèle depuis longtemps » alors que son regard était posé sur sa main caressant sa cuisse. « Si un baiser c’est trompé, alors je suis infidèle » et releva son regard sur elle, saisit son verre sans la quitter du regard et le posa sur la table basse à leurs côtés, se rapprochant davantage d’elle « Si je suis ton raisonnement, j’ai déjà trompé plusieurs fois Brittany avec toi… » et approcha son visage du sien « J’ai envie de toi » et déposa ses lèvres sur les siennes avec douceur au début, comme craignant la réaction de la belle brune.
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Lun 24 Jan - 9:31
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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« -n’importe quoi ! Mes adjectifs sont très bien trouvés et totalement véridique. Ça ne sert à rien de mettre du gentil mielleux partout. Parfois il est très con, parfois c’est une vraie garce. Point à la ligne. C’est pas avoir mauvais caractère ça. » non c’était des traits de caractères bien distinct ! « -on a d’ailleurs des points communs avec eux de ce côté ! » autant en rajouter une couche ! « -et ne dis pas non. Tu peux être un sale con, et je sais très bien jouer les garces. » ça c’était un constat ! Une vérité !
Elle renvoya le compliment d’Elijah, et elle sourit alors qu’il était en train de l’engueuler gentiment, lui demandant d’accepter ça et de la fermer. Le sujet revint encore une fois sur Brittany et Maddy pencha la tête à gauche, puis à droite. Hésitante sur la réponse. Rien de mal… Tout était relatif. Elle souffla alors : « -si, en pensée. » oui parce que oui en pensée c’était bien autre chose. Maddy savait qu’elle n’était pas la seule à s’être imaginer les choses autrement. Dans l’ascenseur… Dans son bureau… Et pourtant, elle affirma qu’il avait fait le bon choix. Parce que c’était en accord avec son passé, avec ce père absent qui avait laissé bien des mauvais souvenirs. Maddy se mis à rire : « -c’est pas du tout le discours que tu tenais il ya deux mois de ça ! » oui à son retour, il lui avait balancé au visage qu’il était un connard et qu’il assumait clairement cela. « -tu l’as été durant cinq années sans même le savoir. Alors tu peux changé un peu, c’est pas gênant pour moi. » elle se foutait de lui bien entendu. Son sourire en témoignait.
Puis Maddy lui confia ses nouvelles idées et un sujet qui devait être professionnel dériva forcement. « -je ne pense pas que les cours soit ouvert au public. » s’amusa la jeune femme avant d’ouvrir les yeux et de le regarder avec léger sourire doux sur les lèvres. « -ok d’accord, celui ci je le prends. Le … le compliment. Je suis beaucoup plus en demande de compliment sur la qualité de mon boulot que sur mon cul. » oui, côté physique elle savait qu’elle était canon. Mais côté job… elle avait besoin de retomber sur ses pieds, de remonter la pente une dernière fois.
Maddy tendit son verre pour qu’il le remplisse tout en évoquant l’autre sujet qu’elle souhaitait abordée. « -et délicat surtout. Parce que les gens n’ont pas du tout la même façon de voir les choses. Suivant si on est le trompeur ou le trompé… » elle s’arrêta de parlé et regarda la main qu’Elijah venait de poser sur son genou. Un frisson en la sentant monter avec lenteur, une bouffé d’envie lorsque son regard croisa la sien et qu’il lui prit son verre des mains. « -non, parce que c’est moi qui t’es embrassé... » commenta Madison sans le quitté des yeux. Elle ne recula pas, ne chercha pas à mettre de la distance entre eux. Au contraire, elle souffla : « -à cause de moi. » les quelques mots qu’il ajouta mire le feu aux poudres. Elle lui rendit son baiser. Forcement.
Un goût d’interdit. Une sorte de torpeur. Une lenteur lorsque leurs lèvres se quittèrent, sans pour autant s’éloigner. A voix basse elle souffla : « -tu ne devrais pas dire des choses comme ça... » oh non parce que techniquement, de son côté elle n’avait rien à perdre. Il lui avait assuré mille fois qu’elle garderait son boulot. Alors… C’était à lui de voix en son âme et conscience. Pourtant elle l’embrassa à nouveau, toujours avec cette même lenteur dans les gestes, comme s’il fallait savourer chaque seconde. « -caresser et toucher c’est tromper ? » souffla t elle de nouveau alors qu’elle glissait une main sur le haut d’Elijah.
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Lun 24 Jan - 17:10
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Confortablement installé dans le canapé de son bureau, son verre de vin dans la main, son regard posé sur elle, Elijah souriait de plus en plus qu’elle lui tenait tête. Madison considérait que d’avoir mauvais caractère, c’était différent que d’être très con et vraie garce, selon les mots employés par cette dernière. Il aimait bien quand elle s’exprimait avec conviction comme en l’instant, et leva sa main libre tout en faisant un signe négatif de la tête « Ok ! Ok ! Il est très con et c’est une vraie garce alors » et reposa sa main sur le canapé, puis se mit à rire. Elle n’avait pas tort sur ce point « Je n’ai rien dit ! » rétorqua-t-il en même temps qu’elle alors que la belle brune devançait ses paroles « Il ne nous manque plus qu’à nous marier alors et à partir à Bora Bora pour notre lune de miel ». Une étrange sensation l’envahi à cette pensée qui n’était pas pour lui déplaire, à son grand étonnement. Il se surpris lui-même à s’imaginer marié, sur une plage de sable fin. Puis se baffa mentalement en se disant que ce n’était n’importe quoi et que l’excès d’alcool n’était pas mauvais que pour la santé physique, mais aussi la santé mentale dans son cas.
De toute manière, il n’y avait rien de mal à imaginer, comme il n’y avait rien de mal à discuter avec Madison. Comme il le lui répéta, ils ne faisaient rien de mal « Les pensées sont à l’abris des gens » répondit-il comme pour la rassurer, et se rassurer aussi. En pensée, tout était possible. Mais les petits mots de Madison lui faisait comprendre qu’il n’était pas le seul à être obnubilé par elle, elle l’était aussi de lui. Et pourtant, ils ne pouvaient pas succomber, parce qu’il y avait Brittany, puis il y avait aussi ses principes qui le distinguaient du vrai salopard. Même s’il assumait d’être un connard. Sauf en présence de Madison, qui ne mit pas longtemps avant de le contredire « Les choses ont changé en deux mois ». Leur relation avait changé. Il avait changé. Il ne voulait plus être le connard d’antan avec elle. Il pencha la tête sur le côté, en la regardant fixement parce qu’il percevait bien dans son ton, qu’elle se foutait encore de sa gueule « Je ne peux pas trop changer. Après tout, je dois savoir rester très con lorsque tu deviens une vraie garce » en faisant référence à leur conversation de début de soirée, avec son petit sourire en coin.
Petit sourire en coin qui ne quitta pas ses lèvres quand elle évoqua le prochain sujet de son article. Elle ne l’aidait pas à apaiser la tension entre eux « Je vais m’inscrire si ce n’est que ça » parce qu’il n’était vraiment pas contre l’idée de la voir danser autour d’une barre. Loin de là même. Elijah reprit tout de même son sérieux pour complimenter son travail, parce qu’il appréciait ce qu’elle faisait pour le magazine, pour les femmes en règle générale. Apparemment, ce genre de compliment toucha la belle brune et lui rendit son sourire avec tout autant de douceur qu’elle, avant de rire de bon cœur en entendant la fin de sa phrase « Parce que tu as conscience que tu as un beau cul… Mais si ce n’est que ça, alors je peux t’en faire plus régulièrement des compliments » et précisa en tendant la main vers elle « Sur ton travail hein, pas sur ton cul ». Parce que Maddy connaissait déjà son opinion sur son corps. Quand elle évoqua l’autre idée d’article, Elijah se senti tout particulièrement visé parce qu’ils étaient au centre même dudit article : L’infidélité. Il posa sa main sur son genou tout en l’écoutant parler « Ça pourrait être intéressant » souffla-t-il tout en faisant remonter lentement sa main sur sa jambe, son regard ancré dans celui de Madison. Il en avait marre de jouer avec le feu. Il avait envie de plus. De toute manière, il avait déjà trompé Brittany en fantasmant sur la belle brune, et en lui rendant son baiser devant le bar quelques jours plus tôt.
Le quadragénaire lui prit alors son verre pour le poser sur la table basse sans détourner le regard « Je t’ai rendu ton baiser avec tout autant d’envie ». Elle n’était pas la seule coupable dans cette histoire. Il avait sa part de responsabilité aussi. Il fit un signe négatif, n’étant pas d’accord avec la précision de la jeune femme et déposa ses lèvres sur les siennes avec tendresse, sans excès. Il savoura le goût de ses lèvres sur les siennes. Ses lèvres auxquelles il n’avait cessé de penser depuis la fois dernière « J’ai envie de toi » répéta-t-il pour lui faire comprendre qu’il s’en fichait de ce qu’il avait à perdre en cet instant. Il lui rendit son baiser, posant sa main sur sa joue alors que l’autre remonter un plus sur sa cuisse. Ils prenaient leur temps. Pas de précipitation. Ils savouraient, profitaient de l’instant. Il lui sourit et fit un signe négatif de la tête « Non » et reprit possession de ses lèvres, cherchant sa langue de la sienne, et glissa sa main posée sur sa cuisse, jusqu’à sous le haut de la belle brune, caressant sa peau qui était aussi douce que dans son souvenir. Elijah la fit s’allonger sur le canapé sans détacher ses lèvres des siennes, se plaçant entre ses cuisses, son bassin contre le sien, son corps pesant sur le sien « Tant qu’on a encore nos vêtements, ce n’est pas tromper » murmura-t-il tout en la regardant droit dans les yeux. Il reposa ses lèvres sur les siennes, et glissa son autre main sous son haut, caressant lentement sa peau. Puis délaissa ses lèvres pour son cou, toujours avec douceur, jouant de sa langue contre sa peau, puis murmura à son oreille « Si tu es la seule à avoir un orgasme, ce n’est pas tromper ? » alors qu’il fit descendre sa main jusqu’à sous sa jupe de tailleur, caressant l’intérieur de sa cuisse du bout des doigts « Arrête-moi… si tu peux » lui murmura-t-il avant d’embrasser de nouveau son cou. Une première sonnerie le fit sursauter, et se mit à rire, son visage niché dans le cou de la belle brune, et ajouta « On s’en fout » et continua où il en était. Une deuxième sonnerie. Une troisième. Il poussa un soupir et se redressa « Je n’en ai pas fini avec toi, j’arrive » en l’embrassant une dernière fois avant de se saisir de son portable. L’appareil à son oreille, il reposa son corps sur le sien et continua de poser ses lèvres contre celles de Maddy, répondant un « Hum hum » aux premières questions, puis s’arrêta soudainement, « Oui… Je… D’accord » et raccrocha le portable, posa son regard la belle brune « Mon père vient de mourir… ».
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Lun 24 Jan - 21:28
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Leurs amis avaient des défauts, mais ils n’étaient pas en reste non plus. Maddy trouva ça agréable de rire avec Elijah. « -c’est une idée, mais eux, ils arrivent à se supporter. » ajouta Maddy qui avait bien du mal à s’imaginer en robe blanche en face d’un Elijah lui passant la bague au doigt. Bien moins de souci pour voir la plage, les cocktails et les vacances.
Le sujet dériva sur Brittany et sa surveillance de leur faits et gestes. Cela ne leur convenait pas, à l’un comme à l’autre. Pourtant Maddy avoua qu’en pensée elle était bien moins sage qu’elle ne laissait paraître. « -surtout des curieux. » elle pensait également à Jeffrey en disant cela, qui avait toujours pour objectif de trouver ce qui reliait Madison et son patron par le passé. « -je sais. » oui, les choses avaient bien changé entre eux. Si on lui avait dit qu’ils seraient capable de passer d’agréable soirée ensemble, elle aurait rit ! Mais rit ! Comme quoi… Elle avait bien raison, il avait gâché bien des choses en partant avec son article cinq ans plus tôt. « -c’est pas encore pour tout de suite. Pour le moment, je reste sage et tente d’être sympathique avec mes collègues. » elle grimaça en disant cela, parce que ça n’était pas vraiment le cas et que parfois ça lui demandait de gros efforts.
« -ah oui mais non. Si tu t’inscris c’est pour participer. Je t’imagine assez mal en petit tenue sexy danser ou te dénuder. » elle était à deux doigts d’en rire. Les images qui s’imposaient à son esprit étaient vraiment amusante. « -j’avais compris. » s’amusa la jeune femme sur la précision qu’il trouva bon de donner. Elle ne s’était pas doutée que le sujet suivant, l’idée qu’elle avait pour l’autre article, allait les entraîner dans une toute autre dimension. « -c’est vrai, tu en mourrais d’envie. » ajouta Madison joueuse et quelque peu aguicheuse. Il voulait jouer, elle pouvait le faire. Si les choses dérapait, il ne s’en prendrait qu’à lui. Alors lorsqu’il l’embrassa, elle ne résista pas. Elle ne le repoussa pas non plus. Bien au contraire. Il avait envi d’elle, c’était grisant de le savoir. Ça n’avait jamais eut cette effet sur elle avec d’autres hommes…
Sans résister, elle s’allongea sur le canapé, écartant les cuisses pour qu’il vienne y coller ses hanches. Ses lèvres jouèrent avec les siennes, et ses mains partirent également en exploration. « -exactement... » souffla la jeune femme en embrassant son menton, Un nouveau frisson lorsqu’il embrassa son cou. Un sourire et elle répondit : « -non… mais c’est dommage... » oh que oui ! Surtout qu’ils avaient conscience de la jouissance qu’ils étaient capable de se donner. « -je ne peux pas... » souffla t elle à nouveau, féline et sensuelle, n’ayant qu’une envie, qu’il aille encore plus loin.
Madison sursauta également en entendant le téléphone. Un petit rire. « -on s’en fou... » souffla t elle en cherchant ses lèvres, pourtant consciente qu’ils faisaient n’importe quoi et que ce coup de fil était sans doute un signe du destin. Un gros stop ! Alerte ! Alerte ! Un soupire alors qu’elle sentait ses doigts effleurer son entre jambe. Il jouait avec elle et Maddy adorait ça. Puis un long soupire lorsqu’il se leva pour décrocher. Elle ferma les paupières quelques secondes. Elle devait se redresser, oui, c’était la meilleure des choses à faire. Et pourtant, elle en était incapable, se contentant de suivre Elijah des yeux, cette lueur d’envie dans le regard. Un baiser, puis elle se redressa sur les coudes en plissant les yeux. Il y avait un problème. Mais lequel ? Il ne tarda pas à lui annoncer : « -oh merde... » répondit la jeune femme en ne s’attendant pas à cette annonce. « -enfin je veux dire… je… je sais pas ce que je dois dire ne faite... » non parce qu’elle ne savait pas du tout si c’était une mauvaise ou une bonne nouvelle. Elle réalisa soudainement ne pas connaître assez l’homme qui se tenait tout contre elle, pour pouvoir anticiper sa réaction et adapter la sienne. Elle resta quelques secondes silencieuse et demanda enfin : « -ça va ? » hésitant à enchaîner avec un : je devrais y aller, qu’elle ne dit pas.
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Lun 24 Jan - 22:03
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
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Elijah avait conscience des efforts qu’elle fournissait pour s’entendre avec ses collègues au sein du magazine. Il avait notamment conscience que ce n’était pas tous les jours un exercice facile pour la belle brune, parce que, malgré lui, il avait mis dans une situation complexe. Jeffrey lui en voulait toujours un peu d’occuper le même poste que lui alors qu’elle n’avait pas encore fait ses preuves, sans parler de sa jalousie maladive à vouloir savoir à tout prix ce qui les liait tous les deux. Et comme si cela ne suffisait pas, Brittany la soupçonnait d’avoir une aventure avec leur patron. Pour autant, malgré ses petits éclats de voix le lendemain de leur soirée en tête-à-tête, le journaliste devant bien avouer qu’elle parvenait à rester cordiale avec les collaborateurs. Ce fut pour cela qu’il acquiesça et lui donnait raison « Je sais que ce n’est pas simple, mais tu t’en sors bien ». Et puis, il veillait au grain pour s’assurer que l’équipe l’accepte en tant que membre à part entière, comme elle avait su le faire lors de son précédent passage au sein du magazine. Après tout, ils allaient tous rapidement comprendre qu’elle était un atout pour le magazine, par le biais de ses idées et de ses articles, même si, dans le cas du quadragénaire, ça ne faisait que croître son désir pour elle. Entre les photos dénudées et son envie de jouer autour d’une barre, Elijah était comblé pour ce qui était de la réalisation de ses fantasmes « Je serais très sexy en tenue moulante. J’ai de beaux restes ! » rétorqua-t-il fièrement alors qu’elle se moquait de lui comme à son habitude.
Toutefois, le prochain sujet qu’elle envisagea, venait de réduire à néant les principes d’Elijah. Comme si les paroles qu’elle avait prononcées avaient eu l’effet d’un électrochoc chez le journaliste qui lui confia avoir aimé l’embrasser « Comme maintenant » et déposa ses lèvres contre les siennes. Il avait craint qu’elle ne le repousse. Après tout, ça aurait été de bonne guerre. Il l’avait fait précédemment. Mais au contraire, elle l’embrassa à son tour et le laissa prendre place entre ses cuisses quand il la poussa, silencieusement, à s’allonger sur le canapé. Leurs mains caressaient mutuellement leurs peaux alors que leurs lèvres peinaient à se détacher les unes des autres. Les seuls moments où il ne goûtait pas sa peau, c’était pour parler, pour lui dire ce qui n’était pas tromper, et ce qui l’était. Un sourire contre sa peau quand il lui confia ne pas considérer comme infidélité, le fait de lui donner du plaisir à elle seule, il souffla alors « On se rattrapera la fois prochaine ». Il descendit ses doigts jusqu’à sa féminité, bien décidé à lui faire du bien « Tu es tout à moi » et décida de jouer avec elle.
Ils sursautèrent quand la sonnerie du portable du quadragénaire se fit entendre, mais ils étaient d’accord sur un point. Ils s’en foutaient. Elijah lui rendit son baiser tout en décidant de jouer de ses doigts avec la féminité de la belle brune, mais son interlocuteur les empêchait d’aller plus loin. Il décida donc de répondre tout en faisant comprendre à Madison qu’il n’en avait pas fini avec elle. Téléphone à l’oreille, il revint vers elle, l’embrassant de nouveau. Puis il s’arrêta. La nouvelle tomba soudainement, brusquement. Il raccrocha et prononça les quelques mots à voix haute : Son père venait de décéder… Légèrement allongé sur le côté, il posa son regard sur Madison « Je ne sais pas non plus… » et reprit place sur le canapé, reposant ses pieds au sol. Il prit son verre entre ses mains, avala une gorgée et tourna la tête vers la belle brune « Je ne sais pas… ». Après tout, il avait détesté son père durant des années, mais ça restait son père. « Je crois que j’ai besoin d’être seul » puis se leva, et accompagna la belle brune jusqu’à l’ascenseur après qu’elle eut récupéré ses affaires. Les mains dans les poches de son jean, le journaliste avait gardé le silence et la tête baissée tout du long, et ne releva les yeux sur elle qu’au moment où les portes de l’ascenseur s’ouvrirent « Rentre bien… » et la laissa entrer dans la cage d’ascenseur, la saluant d’un simple signe de main, et retourna à son bureau.
Un bureau qu’il laissa vide au petit matin. Il avait pris un vol de nuit en direction de Londres pour être présent lors de l’enterrement auprès de sa famille. Il ignorait que son absence avait été remarquée et que tous s’interrogeaient sur son absence soudaine. Personne n’avait été mis au courant, pas même Brittany ou Jeffrey. La seule qui savait où il était parti, c’était Madison à qui il avait laissé un mot sur son bureau :
Madison, je suis parti à Londres pour l’enterrement de mon père. J’ai eu beau le détester toute ma vie, il n’en reste pas moins mon père. Je ne souhaite pas que les autres soient mis au courant. J’ai besoin que cela reste entre nous alors je compte sur tes talents d’actrice pour jouer le rôle de la femme épleuré par mon départ, et qui ignore où je suis. Je serais de retour d’ici quelques jours. En attendant, tu as carte blanche pour tes articles. J’ai confiance en ton travail.
PS : Je ne regrette pas un seul instant de ce qui s’est passé hier. Ça aussi, j’avais besoin que tu le saches. J’aurais aimé que ça se termine différemment que par cet appel.
PSS : Tu as mon numéro.
PSSS : Je sais que je te manque déjà.
Elijah R.
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Mar 25 Jan - 21:18
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
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Cette attirance… C’était presque incontrôlable. Le petit jeu qui avait vu le jour entre eux, était pour quelque chose. Mais il y avait plus que ça. Les souvenirs aussi. Madison se rappelait à la perfection des heures passées sous les draps avec Elijah. De ses mains sur son corps, de son souffle sur sa peau, de ses coups de reins et du plaisir fou qu’il avait été capable de lui donner. Une nuit… Une nuit partagée et voilà qu’en quelques mots, Elijah décidait de l’embrasser. C’était lui qui avait allumé la mèche. Elle n’allait pas souffler pour l’éteindre. Simplement parce qu’elle avait envie de lui. A cet instant, alors qu’il prenait place entre ses cuisses, plus rien d’autre n’avait d’importance. Au diable Jeffrey et son enquête. Au diable Brittany et sa jalousie. Au diable les belles paroles qu’Elijah avait lui même prononcé quelques jours plus tôt. En sentant ses doigts s’aventurer sous sa jupe, elle soupira de plaisir. Offerte et consentante, mais néanmoins frustrée de ne pouvoir en faire de même.
Karma ou destin, le téléphone sonna. Et les ramena sur terre. Même s’ils avaient tenté de s’en foutre. Ça n’était pas le lieu, ça n’était pas le moment, ça ne devait pas arriver ce soir. L’appel était sérieux. Et lorsqu’Eli annonça la nouvelle, Madison ne su pas vraiment comment réagir, n’étant pas capable de savoir comment lui, il allait réagir. Elle reposa également les pieds au sol, voyant bien qu’il était totalement déstabilisé par l’annonce du décès de son père. Il ne le portait pas dans son coeur, elle l’avait compris. Mais cet homme restait son père. « -d’accord... » souffla la jeune femme en hochant la tête. La fête était finit. Maddy prit ses affaires et avança jusqu’à la porte du bureau. Elle lui rendit son signe de la main, avant que les portes de l’ascenseur ne se referme sur elle. Un long soupire. Hé merde…
En rentrant chez elle, la jolie brune hésita à envoyer un message, mais se ravisa. Après tout elle était qui pour lui dire qu’elle était présente s’il en avait besoin ou lui demander comment il allait ? Et puis il avait voulu être seul. Alors elle respecta cela, tournant et tournant malgré tout dans son lit en essayant de trouver le sommeil.
En arrivant le lendemain au bureau, elle fronça les sourcils en voyant un mot sur le clavier de son ordinateur. Elle parcouru rapidement le message, avant de sourire avec douceur aux différents ps. Elle lui envoya un sms : je serais muette comme une tombe. Et puis elle ouvrit de grands yeux ! Super approprié comme mots ! Quelle conne ! Alors elle pianota rapidement : je suis désolée, j’ai pas réalisée. Excuses moi. C’était de mauvais goût. Puis elle posa son front contre ses mains qui tenaient toujours en portable, coudes sur le bureau. Puis elle tenta de la jouée un peu plus professionnelle : prends le temps qu’il te faut, je vais gérer avec Jeffrey. Enfin une fois qu’il aura capté que tu n’es pas là. Ouais c’était un peu mieux.
En fin de matinée, Jeffrey débarqua dans son bureau en lui demandant si elle pouvait tenté d'appeler Elijah, car il ne répondait pas à ses appels, à ceux de Brittany non plus. Ils commençaient à s'inquiéter. Elle hocha la tête et composa le numéro en priant pour qu'il ne répondre pas. Impossible de laisser un message, la boite vocale était pleine. "-il ne réponds pas. Mais il avait probablement un rendez vous ou je sais pas prit quelques jours de congés. ça fait plusieurs fois que je lui dis qu'il a besoin de repos il m'a peut être écouté!" Forcement Jeffrey imaginait déjà des scénarios catastrophes. Sympa Eli! Merci de la laisser gérer tout ça!
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