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LE TEMPS D'UN RP

"La vengeance ne répare pas un tort, mais elle en prévient cent autres."

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Sam 16 Avr - 20:38
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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David ne put s’empêcher de baisser la tête tout en riant, relevant ensuite son regard sur McKenzie qui tentait de retourner ses propres paroles contre lui. Elle se détendait peu à peu à son contact, ce qui contrastait avec son comportement de ces derniers jours. Ce qui permettait à l’avocat de se montrait, lui aussi, moins désagréable, comme elle le souligna « Sachez, Mac, que je n’ai pas besoin d’être vexé pour être méchant ou désagréable ». Depuis quelques années, David avait une capacité à le devenir à tout moment, dès lors que son adversaire le méritait. « Et ensuite, vous venez de le préciser : les gens qui se dressent sur ma route. Ce soir, vous étiez plutôt sur le rebord de la route. Vous voyez la différence ? Je n’ai aucune raison d’écraser les gens qui sont au sol. C’est lâche et pathétique ». Avec le temps, elle finirait bien par comprendre la nuance qui était bien établie dans l’esprit de l’avocat. Il était devenu de plus en plus dur ces dernières années, parce que tout simplement, il n’avait rien à perdre à part sa carrière. Ce qui a vu de son altercation dernière avec Nigel, ne semblait plus être au sommet de ses priorités non plus. Après tout, le procès Foster n’avait pas fait de mal qu’à son invitée de ce soir. Lui aussi en avait payé le prix. Un sourire en l’entendant rire « Vous vous y ferez à force », puis la convia à le rejoindre sur le toit.

Appuyé contre le rebord de la terrasse, David acquiesça « Vous avez réussi » précisa-t-il parce que oui, elle était parvenue à l’emmerder au plus haut point, à le sortir de ses gongs et à le faire courir jusqu’à la banque pour faire opposition à sa carte avant qu’elle ne se rende compte que sa carte disposait d’un plafond important. Mais pour autant, lorsqu’elle lui proposa de lui rembourser un jour, David déclina l’offre. Après tout, sa situation lui permettait de voir disparaître quelques centaines de dollars sans en être inquiété « C’était juste par convenance que vous m’avez dit cela » en souriant tout contre sa tasse de café. Il posa son regard sur elle, et après un bref silence, l’interrogea sur ses pensées. Elle et lui buvant un café dans un autre endroit. Il souffla un « Le premier jour de l’audience » tout en continuant de fixer la serveuse et se mit à sourire « Vous vous attendiez à quoi d’un avocat ? ». Après tout, c’était un peu la base même de sa profession. Un nouveau sourire se dessina sur les lèvres du beau brun alors qu’il posa sa tasse vide à ses côtés « On devrait. Mais pas ce soir » et se tourna vers la ville, inspirant à plein poumon l’air frais qu’offrait la nuit et apprécia la vue sur les buildings, puis se retourna vers McKenzie « Ce soir, vous allez prendre une douche chaude, et dormir dans des draps propres. On parlera de tout cela demain, ça vous convient ? » et récupéra sa tasse de café pour rejoindre la porte « Vous venez ? » et retourna à son appartement.

Il déposa sa tasse de café vide dans l’évier, puis se dirigea ensuite dans sa chambre pour récupérer un vieux t-shirt d’Harvard et un bas de jogging, et déposa le tout dans la salle de bain adjacente à la chambre d’ami « Normalement, ça devrait vous aller » et désigna le savon « Vous avez le shampoing et le gel douche ici. Sous le lavabo, vous trouverez une brosse à dent neuve et du dentifrice, ainsi que les serviettes de bains. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis dans la chambre voisine », puis ferma la porte derrière lui, se dirigeant dans sa propre salle de bain pour prendre une douche, à son tour, troquant son costume sur mesure pour un bas de jogging et un haut à col turque, et se laissa glisser sous les draps, prenant le temps de lire quelques pages de son roman, comme chaque soir avant d’aller dormir.


Charly
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Charly
Sam 16 Avr - 21:20
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Sans blague… Elle avait bien remarqué que c’était des traits de son caractère. Déplaisant ça c’était certain. Mais après tout, il avait peut être de bonnes raisons à cela. Mac bloqua sur sa propre pensée. Depuis quand elle lui laissait le bénéfice du doute ? Elle n’allait pas se mettre à lui trouver des excuses quand même ?! « -oui, dans le faussé même ! » ironisa la jeune femme avec un sourire en coin, comprenant qu’il avait été sympa ce soir avec elle. Ou plutôt qu’elle lui avait fait pitié. Même s’il lui avait confié qu’il ne savait pas ce qu’était ce sentiment. Clairement pour elle, il ne s’agissait de rien d’autre que ça. Et elle n’aimait pas vraiment ça. Mais bon, un lit avec des draps propres, au chaux, sans compter un repas et une bonne douche. Elle aurait été complètement folle de refuser. Même si tout cela venait de la part de David Mcathur.

La terrasse était magnifique et allait parfaitement avec l’appartement. Mac tenta de ne pas laisser dévier ses pensées, et pourtant c’était difficile. Les riches, les pauvres, les inégalités folles qu’il y avait entre les gens… Elle lui proposa de le rembourser lorsqu’elle aurait de quoi, mais la jolie brune fut quelque peu soulagé qu’il décline cela. « -j’essaie d’être polie et de retrouver mes bonnes manières de temps à autre. Mais clairement je doute pouvoir vous rendre votre argent. Donc oui, ça m’arrange que vous ne soyez pas trop serré niveau budget. » puis son regard se perdit dans son café et cela intrigua David. Mac lui répondit qu’elle pensait au passé. « -oui... » souffla t elle pour confirmer. « -je ne pensais pas que vous le seriez avec moi. » ajouta Mac en le dévisageant, parlant avec franchise. Avocat ou pas, vu leur passé commun et ce qui venait de d’opéré depuis quelques jours, elle ne pensait pas qu’il se montrerait curieux. Pourtant c’était le cas. Et cela depuis qu’elle avait mis les pieds chez lui.

Changement de sujet et David mis fin à la conversation. Pas ce soir. Très bien. Elle n’avait pas envie de parler de ça maintenant. La fatigue était bien présente et elle rêvait de prendre une douche chaude depuis qu’elle avait jeté un œil à la salle de bain de sa chambre. « -ça me va. Mais pas directement au petit déj’ vous voulez bien. Je suis pas vraiment du matin. » elle se leva après avoir bu la dernière gorgée de son café afin de le suivre. La soirée touchait à sa fin.

Elle se sentit mal à l’aise en le voyant poser des affaires à lui dans la salle de bain. Un hochement de tête pour les instructions avant de souffler un : « -merci. » de baisser les yeux quelques secondes avant de le regarder à nouveau avec un demi sourire. Ça n’était pas seulement un merci pour la salle de bain. Mais pour tout le reste. S’il s’attendait à plus, il se trompait. Ça coutait déjà à la jeune femme de dire ce mot. Mac verrouilla la porte, et se dirigea bien vite vers la salle de bain. Elle prit une douche interminable. Puis elle savoura la douceur du tapis, l’odeur de la serviette et son moelleux. Enfiler les vêtements de David fut bien plus compliqué. Une fois dedans, elle avait la sensation qu’il la serrait dans ses bras ! Et c’était déstabilisant. Alors elle se glissa rapidement dans les draps et s’endormit tout aussi vite, épuisée par cette soirée étrange.


Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Dim 17 Avr - 12:31
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Leur échange ce soir, sur la terrasse de son immeuble, contrastait avec leurs précédentes conversations de ces derniers jours. McKenzie avait su saisir l’aide qui venait de lui offrir, et quant à David, il avait mis de côté son animosité de ces dernières heures afin de lui donner un coup de pouce. Il savait ce que ça faisait que d’être mis à genoux par la vie, alors parfois, ça faisait du bien de recevoir de l’aide. Même s’il savait que la jeune femme aurait préféré que cette aide provienne d’un autre homme que lui. Mais ce soir, ils enterraient la hache de guerre. Ce soir, David lui offrait une pause dans sa vie compliquée. Un petit sourire tout en la regardant fixement avant de répondre « Je devrais m’en sortir sans trop de mal ». Ce qui n’était sûrement pas le cas de McKenzie, alors il n’allait pas lui prendre le peu d’argent qu’elle détenait ou pouvait détenir, alors que cette dernière en avait sûrement bien plus besoin que lui. Lorsqu’elle resta silencieuse devant son café, son sourire disparaissant soudainement, David se montra soudainement curieux. En entendant sa réponse, l’avocat fit un bond de plusieurs années en arrière, lors du premier jour de l’audience. Il lui avait offert un café pour lui changer les idées, pour se montrer bienveillant à son encontre, et cela, avant de détruire sa vie quelques heures plus tard. Enfin… C’étaient ses parents eux-mêmes qui, par leurs actes, avaient détruit la vie de leur fille. Lui, il n’avait qu’aider à rendre justice aux victimes. Peu importe. Ce soir, ce n’était pas le sujet. « Pourquoi ça ? » demanda-t-il intrigué.

Lorsque Mac changea de sujet pour évoquer l’affaire en cours, l’avocat ne mit pas longtemps à clore la nouvelle conversation. Pas ce soir. En échange, il lui proposait plutôt de prendre une douche chaude et d’aller dormir dans des draps propres. Un sourire tout en tournant la tête vers elle alors qu’il se dirigeait vers la porte « Non, ne vous en faites pas » et retourna à son appartement, talonnée par la jeune femme. Il lui expliqua où se trouvait le gel douche, les serviettes, et lui confia un survêtement à lui, sourit à son remerciement, et referma la porte derrière lui. Il en fit de même avant de se glisser dans son propre lit, lisant quelques pages d’un roman avant de rejoindre les bras de Morphée. Il ouvrit les yeux à six heures, comme chaque matin, troqua son pyjama pour une tenue de sport et quitta l’appartement pour aller courir dans les rues de Manhattan pendant plus de trois quart d’heures. En rentrant, il se glissa sous la douche, enfila un costume trois pièces sur mesure, quelques notes de parfum, rasage de près, et prépara de quoi déjeuner. Tout en lisant la une du New York Times, tasse de café à la main, il jeta un regard à sa montre. Sept heures passées. Il se rendit dans la chambre d’invitée, ouvrant délicatement la porte. Mac dormait à poing fermé. Il referma alors la porte, récupéra un stylo et un post-it dans sa mallette : Bonjour Mac. Rendez-vous à mon bureau à 11H30. David. Il le déposa sur une tasse vide posée sous le torréfacteur, termina son propre café, plia le New York Times pour le glisser dans la fente arrière de sa mallette, prépara le petit-déjeuner pour son invitée : Bagels, jus d’orange, tartine grillée, puis quitta son appartement pour rejoindre son cabinet.


Charly
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Dim 17 Avr - 14:03
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Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Il était vraiment curieux, et ne semblait pas comprendre pourquoi est ce qu’elle était étonnée de son comportement à son encontre. Alors elle répondit bêtement : « -parce qu’il s’agit de moi. » ça n’était pas d’une grande aide, ni une vraie réponse à proprement parlé. Que dire de plus ? Pourquoi est ce qu’il se posait des questions à son sujet ? Au sujet de ce qu’elle pouvait ressentir alors qu’elle n’était qu’un vulgaire cailloux dans sa chaussure. Elle ne l’imaginait pas se soucier du bien être des gens. Encore moins du sien. Ça ne collait pas avec l’homme qu’elle avait devant les yeux. Enfin en tout cas avec celui qu’il lui avait montré depuis que leur chemins s’étaient recroisés. Amical, attentionné, voir même touchant… David était déstabilisant. A l’instant, c’était difficile de le détester.

Mac profita de ce qui lui était offert, la douche, les serviettes, sans compter les draps propres et un lit pour passer la nuit. Malgré tout ce qui s’était déroulé ce soir, elle s’endormit sans mal. Un sommeil lourd, sans rêve, réparateur. Un sommeil qui lui fit du bien. Dormir en sécurité, au chaud… lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle s’étira avant d’ouvrir grands les yeux, se demandant quelques secondes où elle se trouvait. Quelle heure était il ? Il n’y avait pas un bruit dans l’appartement. Un froncement de sourcils avant de revenir poser la tête dans l’oreiller. Elle n’avait pas la moindre envie de se lever et de quitter ce lit si moelleux. Vraiment, vraiment pas. Et pourtant, elle n’était pas chez elle ici. Loin de là même ! Elle se trouvait chez David Mcarthur et la charité avait sans doute assez durée. Alors Mac prit son courage à deux mains pour s’extirper des draps. La jolie brune inspira profondément avant de se lever et de s’habiller.

Silence total lorsqu’elle sortie de la chambre. Elle souffla un : « -David ? » tout en avançant jusqu’à la cuisine. Il était absent ? Il l’avait laissé seule chez lui ? Wahou… il avait confiance… Mac avisa la machine à café haut de gamme et tomba sur le petit mot. Elle leva ensuite les yeux sur le petit déjeuner qui l’attendait. Et un léger sourire s’afficha au coin de ses lèvres. Ce mec c’était docteur Jekyll et miter Hyde. Deux personnalités totalement différentes dans le même bonhomme ! Elle mangea tranquillement et bu son café en se permettant de faire le tour du salon. Elle regarda les titres dans livres dans la bibliothèque, s’attarda sur les photos. Certaines l’intriguèrent plus que d’autres. Il était encore tôt, elle prit le droit de faire une lessive. Autant profiter un max.

Mac se pointa en retard de dix minutes au rendez vous. Elle arriva décontracté, même si elle avait couru pour éviter d’être vraiment trop à la bourre. Mais elle avait bien reprit son souffle dans l’ascenseur et se fut tout sourire qu’elle s’approcha de Donna. « -oh wahou cette tenue là vous va encore moins ! » commença la jeune femme avec son sourire en coin. « -vous allez bien ? Est ce que vous pourriez dire à David que je suis là. » enfin là ! Donna avait sourit au compliment comme si elles étaient déjà de bonnes copines. « -je ne pensais pas vous revoir si vite. C’est du sérieux alors entre vous et David ? » Mac haussa les sourcils, surprise de cette phrase. Qu’est ce qui lui laissait penser qu’elle venait le voir parce qu’ils avaient une relation ? « -oh heu… je sais pas trop encore... » avait répondu la belle brune, ne perdant pas une occasion de foutre la merde dans la vie de David. Elle fit ensuite quelques pas, les mains dans les poches de sa veste, attendant d’être reçu.


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Dim 17 Avr - 14:33
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
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« Vous l’avez déjà dit ça » rétorqua-t-il avec un sourire amusé, ne lui répondant pas pour autant. Il aurait sûrement fourni des efforts si ça avait été quelqu’un d’autre… Ou pas finalement. Non parce que David n’était pas le genre d’homme à fournir des efforts juste par convenance. Mais avec McKenzie, c’était encore différent. Elle aimait compliquer sa vie, le taquiner à sa manière, alors pourquoi ne pas lui rendre la pareille en faisant semblant de ne pas comprendre ce qu’elle voulait dire par là. Et puis ça l’arrangeait, d’une certaine manière, parce que David n’était pas certain de vouloir répondre à sa question. Comme il n’eut pas envie de parler de l’affaire alors que la nuit était plus qu’avancée. Ils quittèrent donc la terrasse pour les bras de Morphée, et cela, jusqu’au petit matin. David avait laissé son invitée dormir, misant sur une certaine relation de confiance entre client et avocat. De toute manière, il serait mal venu de la part de la serveuse de lui voler quoi que ce soit alors que sans lui, elle passerait sûrement quelques jours en prison à l’issue de sa comparution dans deux jours.

Comparution sur laquelle David avait travaillé toute la matinée. Enfermé dans son bureau avec un grand gobelet de café du Starbucks du coin, de la soul en fond sonore, il avait passé quelques coups de fil à ses amis de la police pour obtenir les différents rapports et commencer à entrevoir un début de défense pour sa nouvelle cliente. Un regard pour l’heure. Nouvelle cliente qui allait être en retard. Il remit le nez dans les dossiers lorsque la porte de son bureau s’ouvrit sur son assistante « Votre rendez-vous de 11h30 est là » « Faites-là entrer, merci » et David se leva à ses mots. Il sourit à la serveuse et désigna le siège en face de lui de la main « Bonjour » et reprit place derrière son bureau. Une gorgée de café avant de refermer les dossiers devant lui et croisa les mains sur son bureau « Bon… Vous avez bien dormi ? J’ai tenté de me montrer discret pour ne pas vous réveiller. Mais vu que vous êtes en retard, je suppose que j’ai réussi à ne pas vous extirper des bras de Morphée » et se leva de son siège pour éteindre le tourne-disque, et retourna à son siège, surprenant un regard de Donna de l’autre côté des murs vitrés de son antre. Il fronça les sourcils, ne comprenant pas pourquoi elle les regardait ainsi, et reprit place à son bureau « Si je vous ai donné rendez-vous ici, c’est pour parler de votre affaire. Même si c’est moins agréable que la terrasse de mon immeuble, ça reste plus professionnel, vous ne trouvez pas ? » rétorqua-t-il avec un petit sourire « J’ai eu la version de la police » tout en posant sa main sur la pile de dossier à ses côtés « Je désire maintenant avoir la vôtre ». Il ajouta ensuite sans rien toucher au téléphone fixe de son bureau « Donna, vous pourriez ramener un café pour mademoiselle Foster je vous prie. Et vous pourriez aussi arrêter de nous regarder de la sorte » précisa-t-il en relevant son regard sur elle « Tout de suite David » et il vit la belle rousse s’éclipser de son bureau. David reporta son attention sur la serveuse « Je vous écoute ».

Charly
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Dim 17 Avr - 21:31
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Mackenzie Foster
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Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Du sérieux ? Mac ne savait pas vraiment ce que l’assistante se faisait comme film, mais c’était loin de la vérité. D’accord il avait de belles fesses dans son costume mais ça en restait là. Même si il avait du charme, ça Mac n’allait le nier, David n’était pas son type d’homme. Bien trop sérieux et coincé ! Sans compter le passé qu’ils partageaient. Enfin bref, c’était toujours drôle de laisser croire à Donna qu’il se passait quelque chose entre eux. Et puis si ça pouvait faire chier David.

Mac entra dans le bureau après avoir remercié Donna, et elle prit place en face de David cette fois ci. « -bonjour. » répondit elle en coinçant ses mains jointes entre ses cuisses, légèrement penchée en avant. « -heu… oui. Oui. » répondit Mac surprise de la question, avant de rire légèrement et de répondre au petit reproche suite à son minuscule retard : « -je ne pensais pas que votre bureau était si éloigné de chez vous. » elle était venue à pieds, faute d’argent à dépenser dans un taxi, alors oui, même si elle avait finit par courir, elle avait quelques minutes de retard. « -ah mais tout à fait ! Après tout, je suis votre cliente. » répliqua Mac en prenant un ton sérieux à la limite du je me fou de ta gueule. Pourtant elle était d’accord avec lui, ici c’était bien mieux.

« -ok... » ajouta la belle brune avec lenteur. La version de la police. Elle regarda ailleurs quelques secondes. Sa version à elle… Bon… et bien… mais elle fronça les sourcils alors qu’il appelait sa secrétaire et qu’il demandait un café pour elle. Un léger sourire en coin se dessina sur ses lèvres lorsqu’il reprit Donna sur sa façon de les observer. « -vous êtes célibataire depuis longtemps ? Non, je dis ça parce que votre assistante se fait des films… c’est amusant mais en même temps, elle risque d’être très déçu... » oh que oui ! Puis la serveuse se racla la gorge pour reprendre son sérieux et enfin commencer à parler sérieusement : « -mon version… et bien... » elle colla sa langue entre ses dents du font quelques secondes comme si elle avait besoin de se remémorer tout ça avant d’enfin parler : « -j’ai entendu parlé de cette soirée par une connaissance. Et j’avais dans l’idée de trouver un peu de fric pour… et bien pour rembourser un minimum de ce que je dois… » elle pencha la tête en disant cela, avant de poursuivre : « -je suis bonne. Au poker je veux dire. » mentir et bluffer c’était dans ses gênes après tout ! « -et franchement avant que les flics ne débarquent, j’étais en vaine ! J’en avais déjà viré quatre de la table. Ouais, j’avais un bon jeu, je le sentais vraiment bien. » elle réalisa qu’elle souriait de toutes ses dents en posant les yeux sur David alors elle reprit son sérieux et ajouta : « -j’ai rien compris quand ils ont fracassé la porte. Je me suis retrouvée le nez dans les jetons, les deux bras coincés dans le dos. Ils hurlaient dans tout les sens. Eux aussi d’ailleurs ils se croient trop dans un film quand ils font ça ! Je suis restée sage, j’ai fermé ma gueule et j’ai fais la fille docile. » dans temps en temps, elle savait que c’était mieux de ne rien dire. « -surtout quand j’ai compris que ça parlait de drogue. J’étais pas au courant pour ça. » elle recula dans son siège, croisa les jambes entre élégance féminine et décontraction masculine, avant d’ajouter : « -voilà… la suite vous la connaissez. Vous, moi, votre terrasse... » un sourire en coin amusé de sa propre connerie. Et forcement ce fut à ce moment là que Donna entra avec le café. Mac la remercia comme si elle ne venait pas de faire une possible boulette, et porta la café à ses lèvres.

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Dim 17 Avr - 22:11
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Au fur et à mesure de sa lecture du rapport de la police, David s’était questionné, plus d’une fois, sur les raisons qui avaient bien pu pousser la serveuse à se rendre à cet endroit. Était-elle impliquée dans le trafic de drogue de grande envergure qu’alimentait ce dépôt ? Était-elle présente seulement pour les jeux clandestins ? Il voyait déjà les titres des journaux : McKenzie Foster : La digne fille de ses parents. David ne souhaitait pas revivre cette effervescence médiatique, et ne désirait pas cela non plus pour la jeune femme. Elle avait traversé assez d’épreuves comme ça. Donna l’extirpa de ses pensées pour lui faire part de l’arrivée de l’intéressée. Il se leva donc de son siège, salua la serveuse tout en désignant le siège devant son bureau et sourit légèrement quand elle lui répondit à sa question. Il reprit ensuite place dans son fauteuil en cuir et se mit à hocher de la tête « Oh ! Oui… Et j’ai omis de vous le préciser. J’en suis désolé » rétorqua-t-il tout en baissant brièvement son regard sur l’écran de son ordinateur. Le David plus décontracté et souriant de la veille avait laissé place à l’avocat sérieux et froid. Ce n’était pas l’affaire ou la jeune femme qui voulait ça. C’était l’environnement. Enfin, elle parvint tout de même à le faire sourire un peu « Oui. Vous êtes ma cliente ». Et parce qu’elle était sa cliente, et qu’il mettait un point d’honneur à bien traiter sa clientèle, il demanda à Donna de lui apporter un café.

La question de McKenzie surpris quelque peu David qui resta interdit l’espace d’une fraction de seconde, puis répondit, tout en prenant un stylo et une feuille de papier « Je le suis depuis cinq ans », ce qui coïncidé avec la fin de l’affaire Foster pour la jeune femme « En ce qui concerne Donna, je ne me fais aucun souci pour elle, elle s’en remettra » tout en relevant son regard sur Mac avec un sourire de convenance qui disparu aussi vite. « Je vous écoute » rappela-t-il tout en attendant que la serveuse se lance sur sa propre version de l’histoire. David prit quelques notes, puis s’arrêta d’écrire en voyant que cette dernière semblait assez fière d’elle concernant sa petite partie de poker clandestin « Je vous conseille de ne pas arborer un tel sourire au tribunal ». Parce que sa défense risquerait bien d’en prendre un coup, et la liberté de McKenzie aussi. Il reprit sa prise de note avant de poser son stylo sur la feuille de papier. Lorsque la serveuse conclut, Donna, qui venait d’entrer, se mit à sourire en coin, véritablement satisfaite de l’information qu’elle venait d’avoir. David pencha alors légèrement la tête « Donna » « Oui ? » « Vous n’avez pas du travail ? » « Moins que vous apparemment. Vous faites des heures supplémentaires hors du bureau maintenant ? » en sous-entendant sa petite soirée en tête-à-tête avec la cliente « Donna ! ». Cette dernière sourit de plus belle en sortant du bureau de son supérieur qui enfouit son visage entre ses mains une brève seconde, et posa ses yeux clairs sur la serveuse « Ne l’encouragez pas dans ses travers vous, compris ?! ». L’avocat reprit rapidement ses notes et ajouta « L’endroit où vous vous trouviez était un dépôt qui alimentait tout le sud de Manhattan en stupéfiants. Vous êtes l’exemple même du : Au mauvais endroit, au mauvais moment. Toutefois, je doute que ça tienne devant un juge… Mais ça, ce n’est pas votre travail, mais le mien » en relevant son regard sur elle « En parlant travail, vous ne travaillez pas aujourd’hui ? ».

Charly
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Mac adressa à David un petit sourire ironique comme elle savait si bien le faire. Oui, il n’avait pas préciser et il ne se rendait pas compte du temps que cela prenait de venir à pieds. Simplement parce qu’il n’avait jamais dû le faire. Mais comme toute personne pleine de fric, il ne savait pas non plus ce que c’était d’éviter de prendre un taxi ou même le bus, simplement parce qu’on a pas de quoi payer. Elle détourna les yeux pour éviter de s’énerver toute de suite pour si peu. Mackenzie était en accord avec l’avocat sur l’idée de ce voir ici. Simplement parce qu’elle n’avait pas envie de revivre une soirée comme celle qu’elle avait passé chez lui. Parce que c’était trop déstabilisant et trop étrange également. Mettre une frontière professionnel entre eux, c’était bien mieux. Et puis ça l’aidait à continuer de le détester. La veille il lui avait montrer des aspects de sa personnalité dont elle ignorait tout. Alors oui, se voir ici, dans ce bureau qu’elle trouvait austère et sans âme, c’était un super idée.

« -ah heu je d’accord... » elle ne s’attendait pas une seule seconde à ce qu’il réponde avec autant de franchise à cette question. Surtout qu’à la base, elle ne voulait pas forcement la réponse. Mac esquissa un semblant de sourire avant de se mettre à parler.

Elle devait lui raconter sa version des faits. Elle hésita pas mais très longtemps. De toute façon il avait déjà une bien piètre opinion d’elle alors un peu plus un peu moins. Elle parla de la somme qu’elle devait à son ancien proprio, du poker, de sa chance ce soir là. Qui n’avait pas durée d’ailleurs ! « -ouais désolée... » souffla Mac en ayant bien conscience que ça trahissait son amour du jeu et de l’illégale. « -vous seriez surpris de savoir qui peut jouer dans ce genre de soirée. » ajouta la jeune femme en regardant ailleurs. Et puis elle conclue tout cela avec une trait d’humour qui sembla échapper à l’assistante de David. Soit comment alimenter un peu plus ses films. Bon, d’accord, Mac avait sourit en voyant l’agacement de David. « -oh hé ça va, je n’ai rien fais ! » coupa Mac en levant une main avant de regarder à nouveau ailleurs puis de prendre son café en écoutant l’avocat.

« -sérieusement ? » demanda t elle en plissant les yeux. « -merde... » si elle avait su… « -heu et du coup si ça tient pas, vous allez blablater quoi ? » oui ba c’était de sa vie dont ils parlaient là ! « -ah heu… ça ne fait pas encore une heure que je suis ici ? Je commence mon service à 13h30. » elle s’était penchée pour tourner l’écran du pc de David et regarder l’heure. « -j’ai pas droit une dispense vu que je suis dans la merde jusqu’au cou et une vilaine fille qui a passé sa soirée en prison ? » elle plaisantait mais elle cherchait surtout un moyen de ne pas aller bosser.

Manhattan Redlish
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Lun 18 Avr - 15:56
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Apparemment la serveuse fut surprise de l’entendre lui répondre sur cette question relative à sa vie privée. Après tout, il aurait pu rester muet ou tout simplement lui rétorquer que ce n’étaient pas ses affaires. Pour autant, David avait répondu avec détachement, gardant cet aspect professionnel qui lui collait à la peau lorsqu’il était entre ses murs. Son célibat n’était pas un secret d’État de toute manière. McKenzie avait passé la nuit dans son appartement. Elle n’avait pas besoin de son entremetteuse d’assistante pour se rendre compte qu’il n’avait aucune femme dans sa vie. Toutefois, David ne souhaitait pas s’attarder sur ce sujet, il ne releva donc pas les yeux sur elle immédiatement alors qu’elle bafouilla légèrement. Il la laissa reprendre la parole, prenant des notes des faits qu’elle lui rapporta. Il s’autorisa à l’interrompre pour lui demander de ne pas sourire au tribunal, comme elle le faisait en cet instant. Il répondit un « Merci » tout en baissant son regard sur ses notes, continuant de noter quelques informations par-ci, par-là. Il releva la tête vers elle, fronçant légèrement les sourcils « J’en ai conscience. Il m’arrive de temps à autre d’y faire un tour. Mais contrairement à vous, j’évite de me retrouver dans un tel trou à rats » rétorqua-t-il en souriant avec espièglerie. Il aimait le poker, n’aimait pas l’ambiance bruyante des casinos, et surtout, ça lui permettait d’étoffer son carnet d’adresses de probables futurs clients. Certains se plaisaient à jouer avec la légalité la nuit, alors qu’ils détenaient des entreprises cotées à plusieurs millions la journée. Ainsi, David se prêtait au jeu, tout en veillant à être sûr de ne pas tomber dans le genre de traquenard dans lequel était tombé sa cliente la veille au soir.

« Si, vous l’encouragez dans ses travers. Arrêtez ! » tout en pointant son index sur elle, la tête légèrement baissée, puis reprit en main son stylo, survolant ses notes et expliqua les raisons de la descente de la police. Il posa son stylo, et posa son dos contre le dossier de son siège « J’ai deux jours pour vous trouver une défense en béton. En attendant, je n’ai que de vagues idées. Rien de bien concret », puis rétorqua un « Eh ! » quand elle tourna son ordinateur pour voir l’heure. Il le replaça correctement tout en répondant à la jeune femme « Non. Aucune dispense pour les vilaines filles qui font des bêtises. Au contraire. Vous rendre à votre travail prouvera votre bonne foi au juge » et reposa son dos contre le dossier de son fauteuil « Si vous voulez, je vous emmène déjeuner avant de vous rendre à votre travail ? » et se leva de son fauteuil, prit son portefeuille et ses clefs, et ouvrit la porte de son bureau « Passez devant » et referma ledit bureau derrière lui. « On déjeune en extérieur… » « Je prends vos appels. Profitez-bien tous les deux », précisa Donna tout en leur faisant un signe de la main. David ouvrit la bouche, prêt à répondre quoi que ce soit, puis s’abstint. Ça ne servait à rien de toute manière. Ils firent quelques pas quand l’avocat vit son supérieur arriver jusqu’à lui. David posa sa main sur la hanche de McKenzie et l’attira à lui « Pas lui » et se hâta dans un couloir en perpendiculaire « On va faire un détour » précisa-t-il en retirant sa main de la hanche de la jeune femme. En arrivant à l’ascenseur, il s’autorisa un regard aux alentours et fut soulagé de ne pas voir Nigel les suivre. Lorsque les portes de la cage en métal s’ouvrirent, David poussa délicatement la serveuse à l’intérieur, avant d’appuyer sur le bouton avec hâte pour que les portes se referment « Vous préférez un déjeuner français ? Japonais ? Italien ? Chinois ? Mexicain ? ».

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Lun 18 Avr - 20:49
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Et bien voilà. En quelques mots et avec son comportement David avait été capable de l’énerver à nouveau. Et se fut pour cela qu’elle répondit : « -oh ça va monsieur je fais mieux que tout le monde ! On a compris que vous étiez supérieur à la moyenne. » comme s’il n’avait jamais fait une seule erreur dans toute sa petite vie en or massif. Ensuite Mac continua ses explications, jusqu’à l’intervention de Donna et à la fausse accusation. « -je rêve... » marmonna la jolie brune en levant les yeux au plafond. Ça n’était quand même pas sa faute si l’assistante se faisait des films ! Il n’avait qu’à la recadrer et la faire redescendre sur terre. C’était lui le patron non ?!

La suite de la conversation n’était pas vraiment rassurante pour la serveuse. Il ne savait pas ce qu’il allait dire pour sa défense ! Elle était sauvée avec un avocat en pacotille comme lui ! Une idée germa dans la tête de Mackenzie. Et si il avait décidé de prendre en charge son dossier pour mieux la faire tomber ? S’il faisait en sorte de royalement foirer pour qu’elle finisse en prison ou avec des travaux d’intérêts générales ? Rah non hors de question qu’elle ramasse les déchets dans les rues ! Elle préférait la prison ! Pour la simple raison que cela lui rendrait la vie plus facile. « -et bien me voilà entièrement rassurée ! » ironisa Mac avant qu’il ne lui rappelle qu’elle devait aller travailler. « -ma bonne foi ? Comme s’il était capable de comprendre ma situation. » non vraiment elle avait bien du mal à croire que le juge plein au as allait comprendre qu’elle soit à la rue, qu’elle ait des gros gros soucis d’argents et que cette soirée elle l’avait fait pour tenter d’en obtenir un peu plus et d’enfin pouvoir rembourser ses dettes.

Il la surpris en lui proposant de manger ensemble et elle ne répondit rien, se contentant de se lever à son tour et de sortir du bureau. Mac fit un signe de la main à Donna, comme pour lui dire à la prochaine, avant de suivre David sans vraiment en avoir envie. Les mains dans les poches de sa veste, comme souvent, elle ouvrit de grands yeux lorsque David passa un bas autour de sa taille pour l’entraîner plus loin. « -hé bas les pattes ! » râla la jeune femme en comprenant pourtant bien qu’il ne souhaitait pas être vu en sa compagnie. En tout cas, ne pas être vu par le type en costume qui arrivaient vers eux. Un léger soupire en levant les yeux de nouveau vers le plafond. Elle se sentait vexée. Même si clairement elle n’était pas stupide et savait parfaitement qu’elle faisait tâche, là à se balade à côté de lui. Le regard de David ne lui échappa pas. Voilà qu’il surveillait les environs. Subtile et discret. Comment ne pas prendre mal tout cela ? Un froncement de sourcils lorsqu’il la pousse en dehors de l’ascenseur et elle le regarda de haut en bas avant de répondre en bougeant doucement la tête de gauche à droite : « -c’était quoi ça ? » demanda la jeune femme mi vexée mi je me fou te gueule et de ce comportement suspect. « -je n’ai pas faim. Donc ne perdez pas plus de temps avec moi. J’y vais. » s’il avait pu la pousser dans un placard à balais pour éviter qu’on l’a vois, il l’aurait fait. Alors manger en extérieur ensemble ? Non, elle n’en avait pas envie.

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