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LE TEMPS D'UN RP

Renaissance [David/Mackenzie]

Charly
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Charly
Sam 16 Juil - 21:02
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Hé merde ! « -ok ok ! Je vais pas le nier, la soirée qu’on a passé ensemble m’a laisser de bons souvenirs. » C’était le seul type avec qui elle avait couché, chez qui elle avait passé toute la nuit. Et en plus de ça, elle n’était pas partie comme une voleuse ou une gros mal polie, enfilant son jeans après un c’était pas mal, salut. Mais maintenant qu’elle savait qui il était… La belle brune répondit ensuite en levant les épaules : « -c’est purement de l’amitié. Il m’a filé un coup de main à un moment compliqué de ma vie et depuis… on est devenu amis. De très bons amis. Rien de plus. » mais pourquoi est-ce qu’elle avait besoin d’insister autant ?! C’était comme si elle se sentait obligé de le faire, pour que Henri comprenne bien le message. « -grâce à lui j’ai pu devenir cheffe d’un restaurant, et hum… en échange et bien je… je lui tape sur le système et j’essaye de le faire sortir un peu plus, d’éviter de passer à côté de sa vie. » elle était certaine qu’Henri avait la même opinion. « -ouais voilà naturel. » comme si c’était ce mot qu’elle cherchait. D’autant plus parce que ce soir-là, elle n’avait pas bu une goutte d’alcool. « -c’était différent. » conclue Mac avant que David ne passe la porte avec leur chien.

« -oh non, je parlais de cette fois où tu es venue avec des amis. Tu aurais pu venir te présenter. Mais laisse tomber. » autant ne pas en rajouter. Le sujet dévia sur Donna alors que David prenait l’appel de son assistante. « -oui. Quelqu’un de très bien. Mais ton frère a quelques difficultés à l’apprécier. » plus que ça même ! « -je sais. J’ai eu bien du mal à le convaincre d’accepter de garder Gus. Mais malgré ce qu’il en dit, je suis certaine qu’il ne peut déjà plus se passer de lui. » en tout cas petit à petit c’était ce qui semblait arriver. Elle regarda l’avocat quitter l’appartement. Cette fois-ci ce n’était pas pour les laisser discuter. Le sourire joyeux avait disparu. « -quand je ne bosse pas. On essai de se voir une petite heure ou deux le soir, David n’est pas un couche tôt donc ça colle. » Mac se dirigea rapidement vers la cuisine et lorsqu’Henri la rattrapa, elle colla quelques secondes sa langue entre ses dents du fond. « -non, ça va… je vais pas… » pourquoi mentir ? « -ok… de toute façon on va passer à table, il faut bien que quelqu’un aille le chercher. » elle recula d’un pas et revint pour passer le tablier de cuisine autour du cou d’Henri. « -voilà ! Très sexy. » puis elle se dirigea vers la porte d’entrer d’un pas rapide et cria : « -ne massacre pas mon curry ! » avant de lui adresser un sourire et de grimper jusqu’à la terrasse.

Elle avança silencieusement vers David et souffla un : « -Hey… » avant que son épaule de vienne bousculer quelque peu la sienne. « -je peux recoucher avec votre frère si y’a que ça pour vous redonner le sourire… » elle le regarda avec douceur, laissant passer quelques secondes de silences avant de demander : « -vous avez encore des doutes ? » parce que pour elle c’était plus qu’une évidence à force.

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Sam 16 Juil - 21:29
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Henri S. McArthur
J'ai 33 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis propriétaire d'une galerie d'art et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.



à venir...


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« Tu vois ! Ce n’était pas si difficile ! » rétorqua aussitôt Henri avec son sourire satisfait sur les lèvres, parce que oui, c’était bel et bien ce qu’il était : Satisfait. Il était ravi d’entendre Mac se résigner à lui avouer enfin la vérité. Elle avait tout autant apprécié la soirée et la nuit passée en sa compagnie que lui. Pourquoi le nier ?! Ils n’avaient rien fait de mal. Enfin, cela fut confirmé par Mac alors qu’il avait émis des doutes sur ce lien si particulier qui semblait unir les deux colocataires. Il se mit à sourire alors que la jeune femme insistait sur le réel lien qui l’unissait à son frère « J’avais compris au moment où tu m’as dit que vous n’étiez qu’amis, tu sais », mais la laissa tout de même poursuivre parce qu’il était intéressé. De ce qu’il comprit de leur relation, il y avait une contrepartie à ce restaurant que David lui avait offert. Elle aidait son frère à reprendre goût à la vie. Un geste qui comptait sincèrement pour Henri qui avait vu son grand-frère au fond du gouffre, complètement anéanti, n’ayant plus goût à rien, pas même à son travail… Le sourire qu’arborait Henri depuis le début de la soirée venait de disparaître en repensant à cette période sombre dans la vie de David et releva son regard sur Mac « Merci… Merci de lui réapprendre à aimer la vie. Je ne suis pas parvenu à le faire, alors j’espère sincèrement que tu y parviendras… » et se mit à sourire avec douceur. Le reste de la conversation fut plus léger pour le petit-frère qui acquiesça concernant le déroulé de leur tête-à-tête quelques semaines auparavant. Tout s’était déroulé naturellement, sans s’interroger sur l’issue de la soirée, sur si elle allait disparaître au petit matin. Un sourire pour cette dernière avant que David ne revienne à l’appartement.

« Oh ! » et se mit à rire avant de porter sa bière à ses lèvres « Je ne voulais pas te déranger en plein service. Mais si j’avais su que c’était toi, j’aurais sûrement fait une exception » lui confia-t-il en la regardant fixement. Oui, s’il avait su que c’était elle, il n’aurait pas hésité une seconde à renouer le contact, même en plein service. Un silence suivit au moment où David s’éloigna pour répondre au téléphone. Ce fut ainsi qu’Henri appris pour le nouveau compagnon de Donna qui, aux dires de Mac, ne plaisait pas à son frère « Pourquoi ça ? ». Son frère n’était pas le genre d’homme à se mêler de la vie personnelle de ses employés, alors pourquoi désapprouver ce petit-ami ? Il prit une gorgée de bière et se concentra sur le chien « J’attendrais quand même encore quelques semaines avant de le laisser seul avec le chien. Juste au cas où » précisa-t-il sur un ton plus taquin. Son sourire disparu en voyant son frère quitter l’appartement brusquement et reporta son attention sur Mac « Il n’a jamais été un grand dormeur, et cela, depuis qu’on est gosse ». Et voilà qu’elle semblait tout autant préoccupée que David. Il la suivit donc jusqu’à la cuisine et lui demanda de le rejoindre sur le toit « Si ! » rétorqua-t-il en lui coupant la parole et acquiesça « Oui. Voilà ! » en enfilant la manique, et regarda le four, et plus précisément le poulet lorsque Mac revint vers lui pour lui enfiler le tablier « Je le suis naturellement » et la regarda s’éloigner avant de s’occuper du poulet « Va le voir ! » cria-t-il pour unique réponse, et s’occupa du poulet. Il mit ensuite la table, servi l’eau pour le dîner, et éteignit le four, patientant le retour de Mac et David pour le dîner…

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Sam 16 Juil - 21:57
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Les échanges entre Mac et Henri, la légèreté de leurs conversations, les rires et les sourires… La soirée s’était pourtant annoncée si agréable… Et voilà qu’il se retrouvait debout sur le toit, non loin de la rambarde, les mains dans les poches de son jean, contemplant le paysage urbain qui se dressait face à lui. Il entendait encore la voix d’Edward en fond qui la surnommait « Chérie » comme si c’était devenu naturel entre eux… Et puis il y avait eu Donna qui lui annonçait que, tout fin de compte, elle allongeait ses vacances d’une semaine afin de découvrir le sud de la France. Edward avait un cousin qui vivait près du bord de mer et qui était plus que ravi d’accueillir le couple pour quelques jours. Le ton de sa voix était si enjoué à l’idée de rester encore une semaine dans cette bulle de bonheur que lui offrait son compagnon. Elle semblait si heureuse et si épanouie, pendant que lui… Eh bien, pendant que lui prenait conscience qu’il était sûrement trop tard… Un soupir et il ferma les yeux un instant.

FLASH-BACK

Comme tous les soirs depuis des années, David veillait tard au cabinet. Le nez dans ses dossiers, dans une obscurité presque totale, il sursauta presque en entendant un léger reniflement et la présence d’une autre personne. Il avait relevé aussitôt les yeux vers Donna qui était en larmes, sur le seuil de sa porte. Il avait alors froncé les sourcils, avait posé son stylo sur la pile de contrats qu’il corrigeait et s’était levé de son bureau qu’il contourna pour se rapprocher de la jeune femme « Donna ? Qu’est-ce qui se passe ? » « Il… Il a recommencé David… ». Il l’observa un moment, puis s’était saisi délicatement de son menton afin qu’elle tourne l’autre côté de son visage vers lui. L’hématome commençait à prendre forme sur sa pommette gauche, que même le fond de teint ne parvenait pas à le masquer dans sa totalité. David avait retiré lentement sa main de son visage, et avait attiré la jeune femme dans ses bras, la serrant tout contre lui, la laissant pleurer contre lui « Je suis là Donna… Vous êtes en sécurité maintenant… »

FIN FLASH-BACK

Il sursauta en entendant la porte du toit s’ouvrir. Il se retourna que brièvement vers Mac, puis fixa de nouveau le paysage urbain, comme si de rien n’était. Comme si ce n’était que le vent qui avait émit ce grincement de porte. Un léger sourire quand elle lui donna un coup d’épaule, puis se mit à rire doucement « Ça ne sera pas nécessaire… » et posa son regard sur elle « Mais merci de proposer ». Il baissa ensuite la tête, laissant un bref silence s’installer jusqu’à ce que Mac ne le brise par sa question. Il resta silencieux encore un instant, avant de tourner la tête vers elle, sans pour autant la redresser « Non… ». Non, il n’avait plus de doute. Il fixa à nouveau le sol quelques secondes, puis releva la tête « Malheureusement, je ne m’en suis rendu compte que trop tard. Vous les auriez entendus au téléphone… » et posa son regard sur la jeune femme « Elle est heureuse avec lui Mac… Et même si je suis heureux pour elle… Ça me fait mal ». Il regarda de nouveau New York qui se dressait devant lui et ajouta « Est-ce que je peux avoir un câlin ? Je crois que j’en ai besoin ».

FLASH-BACK

« Qu’est-ce que c’est ? » finit par demander David en posant son regard sur la boite posée sur son bureau « C’est pour vous » « Pour moi ? » « Oui, pour vous. Vous savez, on peut continuer comme ça longtemps. Ouvrez-là ! » tout en prenant place sur la chaise face au bureau de son patron, croisant élégamment les jambes comme à son habitude. L’avocat hésita un instant, observant son assistante de manière suspicieuse « Je ne vais pas vous empoisonner. Si j’avais dû le faire, je l’aurais fait au début de notre collaboration. Maintenant, c’est trop tard. Je dois souffrir d’une forme particulière du syndrome de Stockholm ». David pencha alors la tête sur le côté « Très drôle » « Oh ! Vous allez ouvrir la boite qu’on en finisse ! ». L’avocat s’exécuta et resta interdit en voyant la montre. Il releva son regard sur son assistante « Vous avez pris ma carte ? ». Donna sourit, riant presque et se leva pour aller à sa rencontre alors qu’il venait de se lever, lui aussi. Elle le serra dans ses bras, déposant un baiser sur sa joue en se reculant « Bon anniversaire David » et ajouta en réajustant sa cravate « Et pour votre information, je n’utilise votre carte que pour me faire des cadeaux. Ce qui me rappelle que je dois vous remercier pour cette sublime robe de soirée signée d’un grand créateur français » et quitta le bureau, non sans un dernier regard pour David qui enfila sa montre comme si c’était un précieux présent.

FIN FLASH-BACK.


Charly
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Sam 16 Juil - 22:25
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J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -pourquoi… et bien… » elle hésita à dire la vérité, mais visiblement Henri n’était au courant de rien et ça n’était pas à elle de vendre la mèche. « -il tient beaucoup à Donna, Elle a été présente, tout comme toi après les décès et… et je crois qu’il a un peu peur de la perdre. De perdre un repère. » oui voilà, c’était plutôt pas mal. « -et puis je pense que tu le connais mieux que moi pour ça, mais quand il a décidé de ne pas apprécier quelqu’un… il s’y tient. » c’était tombé sur Edward. C’était bien plus que ça, mais ça ne concernait pas Henri. David ne lui ferait plus jamais confiance si elle en parlait à sa place. Quant à la suite des évènement, Mac apprécia vraiment qu’Henri se mette en retrait afin qu’elle puisse grimper à l’étage pour rejoindre David. Elle avait parfaitement vu son sourire s’envoler, et elle savait que c’était à cause de Donna. Comme si elle avait été obligé d’appeler, un sms c’est bien aussi !

« -à votre service. » avait elle répondu alors qu’il baissait déjà la tête. « -j’ai horreur de vous voir ainsi. » râla la jolie brune. Puis elle posa la question. Et la réponse fut précise pour la première fois. Elle le laissa s’exprimer avant de souffler un : « -je comprends… » bien sur qu’elle comprenait. C’était forcement douloureux. Surtout pour lui qui se pensait incapable d’aimer à nouveau. « -venez là… » souffla t elle en passant ses bras autour de son torse, incapable d’atteindre ses épaules. Après quelques minutes, elle se détacha lentement de lui, et lui sourit : « -vous devriez tout de même lui parler. Pour que les choses soient claires. Et peut être qu’il n’est pas trop tard. Vous êtes avocat, pas devin. » elle caressa sa joue et ajouta : « -c’est seulement un conseil d’une amie à un ami. Vous en faites ce que vous voulez. » loin d’elle l’idée de le pousser à faire quoi que se soit. Il avait déjà prit conscience de ses sentiments, c’était déjà énorme ! « -ne broyez pas du noir ce soir. » et elle ajouta en tordant la bouche : « -merci de comprendre : ne me laissez pas seule avec votre frangin. » puis avec plus de douceur : « -ça ne changera pas les choses de vous faires du mal ainsi. Venez plutôt profitez de la présence de votre frère et manger un peu. » Elle glissa sa main dans celle de l’avocat : « -aller, venez. » avec un mouvement de tête afin qu’il la suive. De retour à l’appartement, elle lâcha la main de David avant de passer la porte. Un regard et un sourire tendre pour son colocataire et elle déclara : « -c’est bon je l’ai trouvé ! » en s’adressant à Henri. « -je meurs de fin alors s’il vous plais à table ! » il commençait à se faire tard avec tout ça.


Manhattan Redlish
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Henri S. McArthur
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En écoutant l’explication de Mac concernant l’aversion de son frère pour le nouveau compagnon de son assistante, Henri prit alors conscience qu’il ne connaissait peut-être pas l’avocat aussi bien qu’il ne l’aurait pensé. Ou alors la distance qui s’était imposée à eux en raison de leurs emplois du temps respectifs avait eu raison d’eux. Soudainement, le petit-frère s’en voulu de ne pas être plus présent pour David… À tel point qu’il ne savait même pas que Donna avait rencontré quelqu’un. Un regard pour son frère qui était toujours au téléphone, puis reporta ensuite son attention sur Mac « David n’a plus vraiment de repère à part son travail et nous deux » en souriant avec douceur. Parce qu’apparemment, la jeune femme était devenue importante aux yeux de son frère. Elle était devenue une constante de son quotidien, un point d’ancrage pour l’avocat, ce fut pour cela qu’il la laissa se rendre sur le toit après son petit rire qui lui échappa avant d’acquiescer « Il est pire qu’un charognard avec sa proie quand c’est comme ça ». Pendant l’absence de Mac et David, le galériste s’occupa du poulet et de dresser la table. Il se perdit ensuite dans les méandres des réseaux sociaux jusqu’à ce que la porte ne s’ouvre. Il rangea aussitôt le petit appareil dans sa poche, se redressant de l’établi en posant un regard inquiet sur son frère. Il s’approcha de ce dernier, posant sa main sur son bras « Ça va ? ». La réponse de ce dernier ne fut pas convaincante, mais ils parvinrent tous les deux à sourire au moment où Mac trouva de bon ton d’exprimer son grand appétit « Il ne reste plus qu’à servir. Allez vous asseoir, je m’en occupe » et retourna en cuisine pour découper le poulet qu’il apporta jusqu’à la table. Il servit les assiettes tour à tour et prit ensuite place à table « David t’a raconté le jour où j’ai embrassé un homme ? Pour excuse, il était vachement bien maquillé ! » et se mit à rire avec son frère. Une manière comme une autre pour changer les idées de son grand-frère.

Avec l’aide de la jeune femme, et la participation de David, ils parvinrent à clôturer la soirée sur une note positive. Un café, puis Henri aida à débarrasser la table. Il se saisit ensuite de sa veste « Bon… Eh bien je vais rentrer. Il se fait tard » et s’approcha de David, le serrant dans ses bras « Ça m’a fait plaisir de te voir frangin. On évite d’attendre plusieurs semaines avant de se revoir, d’accord ? » et s’approcha ensuite de Mac « Tu m’accompagnes jusqu’à la porte ? » et passa le seuil de l’appartement à reculons. Un regard pour l’intérieur de l’appartement, David s’était éloigné. Il avait toujours su disparaître au bon moment. Henri glissa les mains dans les poches de son pantalon de costume, posant son épaule contre l’encadrement de la porte « Ça m’a vraiment fait plaisir de te revoir Mac… Et je ne baisse pas les bras. Je compte bien réussir à t’inviter à dîner un de ces soirs ». Un sourire et il se pencha pour embrasser sa joue « Bonne nuit Mac », puis tourna les talons. Il s’autorisa un dernier regard pour cette dernière avant de descendre les marches.

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Sam 16 Juil - 23:04
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Un regard pour Mac qui tentait de le faire sourire alors qu’elle venait à peine de le rejoindre. Elle n’aimait pas le voir ainsi. Il esquissa un maigre sourire à cette révélation qui n’en était pas réellement une. Ce n’était pas la première fois qu’elle lui confiait cela. Alors pour la rassurer un tant soit peu, il souffla un « Ça va aller ». Jusqu’à ces derniers mois, David n’avait pas été le genre d’homme à vivre les montagnes russes au sens émotionnel du terme. Il avait été un homme brisé, désemparé, détruit de l’intérieur à la disparition de sa famille, puis cet homme-là avait laissé place au David actuel. Celui qui passait de l’homme agréable au pire des salopards en l’espace d’une fraction de seconde. Néanmoins, il n’éprouvait plus ni bonheur, ni malheur. Sur ce point-là, David était comme un encéphalogramme plat. Mais voilà… Edward était arrivé dans la vie de Donna, et sa venue avait quelque peu bousculé l’avocat. À tel point que ce soir, dans l’obscurité qu’offrait cette nuit de printemps, debout sur la terrasse du toit, aux côtés de Mac, il venait d’avouer à la jeune femme qu’il n’éprouvait plus de doutes sur ce qu’il pouvait éprouver pour Donna. Il était encore incapable de dire clairement qu’il l’aimait. C’était une étape bien trop importante encore à ce jour, mais ce dont il était sûr, c’était qu’elle n’était pas uniquement une amie pour lui, ou une assistante… Et ça le terrifiait au plus haut point, comme ça le rendait tout autant malheureux. Mac le comprenait. Un simple regard pour réponse et il lui demanda si elle pouvait le serrer dans ses bras. Une demande inhabituelle. Mais il semblerait que cette soirée ne soit pas une soirée habituelle pour tous les trois. Il s’approcha alors de la jeune femme et passa ses bras autour de son corps, comme elle le fit, elle aussi.

Ils restèrent étreints ainsi durant quelques minutes, puis ils se reculèrent lentement l’un et l’autre. Sa colocataire parvint à lui tirer un sourire quand elle lui rappela qu’il n’était qu’avocat « Elle est heureuse avec lui Mac. Je n’ai pas le droit de briser cela parce que je… parce que je… parce que je tiens à elle ». Oui, il n’était pas encore prêt pour dire clairement ce qu’il éprouvait pour elle. Comme il était incapable de le dire à la personne concernée. Il n’avait pas le droit de briser son histoire parce que lui, tenait à elle. Il ne voulait pas prendre le risque de briser leur relation, leur amitié. Un hochement de tête suivit d’un petit rire « Promis. Je ne vous quitte plus » et acquiesça lentement de la tête sans répondre. Il baissa ses yeux sur la main qu’elle venait de lui saisir et se laissa conduire jusqu’à leur appartement sans un mot. Avant qu’ils n’entrent dans l’appartement, David la retint une seconde « Merci Mac. Merci d’être là pour moi ». Un sourire doux et malheureux, et ils entrèrent dans l’appartement. Son frère l’approcha aussitôt et il ne répondit que d’un hochement de tête à sa question. Ils prirent place à table et voilà qu’Henri décida de lui changer les idées avec une de ces anecdotes qui le fit rire doucement, le laissant raconter son expérience maladroite avec un homme déguisé en femme. Le reste de la soirée se déroula dans les sourires et les rires, en toute légèreté.
Ils débarrassèrent la table ensemble, puis ce fut le moment des aurevoirs. Il serra son petit-frère dans les bras « Je sais où tu vis de toute manière » et laissa Henri échanger quelques mots avec Mac en toute intimité. Il s’éloigna donc dans la salle de bain pour prendre une douche et enfila un jogging et un débardeur avant de revenir dans le salon. Henri était parti. Il ne restait plus que Mac et lui « Il vous plaît, n’est-ce pas ? ».


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Dim 17 Juil - 11:59
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J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -ouais… j’ai eu un peu de mal à comprendre au départ, mais je commence à bien cerner le personnage. Je ne sais pas si je suis devenue une constante dans son quotidien, mais il est important pour mon équilibre personnelle. » oui, Mac avait toujours un peu de mal à croire que David avait besoin d’elle dans sa vie. De son point de vu, la balance n’était pas vraiment équilibrée. Ce dont elle était certaine, c’était qu’il comptait pour elle, plus qu’elle ne le laissait entendre. Peut-être qu’elle voulait également qu’Henri prenne pleinement conscience de l’importance qu’avait son frère pour elle, et que si vraiment il voulait plus qu’une simple nuit de sexe avec elle, il fallait qu’il accepte ça. Parce que ça ne changerait pas. Elle réalisa alors qu’elle était sérieusement en train de s’imaginer une sorte d’avenir possible entre elle et Henri. Et ce fut pour cela également qu’elle prit la fuite dans la cuisine.

Rapidement elle grimpa sur la terrasse et trouva un David des plus triste. Elle détestait cela. Et à chaque fois qu’elle lui tirait un sourire, il disparaissait trop rapidement. L’amour c’était vraiment de la merde… ça faisait souffrir bêtement. Voilà ce qu’elle se dit en serrant David dans ses bras à sa demande. Elle n’était pas du genre à faire des câlins, mais avec lui, maintenant, ça n’était plus vraiment un problème. « -et si c’était un choix par dépit ? Si elle n’attendait que ça que vous ouvriez les yeux ? Vous avez pensé à ça ? Et si vous étiez capable de le rendre mille fois plus heureuse ? » elle savait parfaitement qu’il doutait de ça. « -moi je pense que c’est possible. » insista la jeune femme. Mais encore une fois, ils n’avaient pas vraiment le temps de parler de tout cela en profondeur Henri attendait en bas, il était probablement en train de ruiner le diner. Elle entraina David avec elle pour diner, histoire qu’il pense à autre chose, qu’il retrouve le sourire. « -vous n’avez pas à me remercier. Vous avez un crédit illimité pour ce genre de chose vous savez. » elle ne le faisait pas par devoir, elle le faisait parce qu’elle tenait à lui.

Le diner se déroula dans la bonne humeur, et lorsqu’Henri décida de partir, elle n’osa pas dire non à sa demande. Elle croisa ses bras sous sa poitrine et se colla contre la porte exactement de la même façon que lui, en même temps que lui. Cela la fit sourire bêtement tout en redressant. Elle détailla Henri du regard durant quelques secondes après son petit blabla. « -bonne nuit Henri. » souffla t elle alors qu’il s’était déjà éloigné de quelques pas. Elle ferma la porte avec lenteur et d’un pas trainant vint s’installer près de son chien, juste devant le canapé. Tout en caressant avec douceur l’animal, elle releva le regard sur David. « -si je vous dis oui, vous allez sourire et me faire une danse de la joie parce que vous aviez raison ? » elle lui sourit et ajouta : « -il est charmant. Mais ça s’arrête là. » avec un léger haussement d’épaules. « -je vous l’ai dit, je ne veux pas de relation sérieuse, et vous l’avez dit vous-même : votre frère ne fait pas dans la relation pas sérieuse. Donc c’est tout. Ça s’arrête là. » elle se redressa et partie en direction du frigo pour récupérer un pot de glace et une grosse cuillère. « -vous venez ? » oui, la fin de soirée méritait glace et terrasse.
Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Dim 17 Juil - 12:33
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Pourquoi fallait-il que ça tombe sur lui ? N’avait-il pas assez souffert dans son existence ? Était-il en train de payer une dette d’une vie antérieure ? La mort de sa famille ne suffisait pas ? Il fallait qu’il éprouve maintenant des sentiments forts pour Donna, et ne s’en rende compte qu’au moment où elle trouvait le bonheur dans les bras d’un autre homme… Il n’avait rien demandé. Il vivait une vie organisée et paisible avec Mac depuis quelques mois, et ça lui convenait parfaitement. Mais non. Ça aurait été trop simple. Et voilà qu’il était malheureux, debout sur la terrasse du toit, en compagnie d’une Mac qui tentait, tant bien que mal, de le faire sourire et de le rassurer. Elle avait même accepté de le serrer dans ses bras à sa demande. Il devait paraître bien misérable vu de l’extérieur… Son regard rivé sur elle, il fronça les sourcils en voyant que la jeune femme tentait de lui faire entendre raison. Il pouvait la rendre heureuse. Il devait faire le premier pas, même si elle était avec un autre homme « Un choix par dépit ? » puis secoua la tête comme si ça allait remettre ses pensées en ordre « Mac, est-ce que vous savez quelque chose que j’ignore ? ». Parce que ce n’était pas la première fois que la jeune femme faisait ce genre d’allusion, et ajouta « La rendre heureuse comme j’ai rendu Cheryl heureuse, de telle sorte qu’elle envisageait de demander le divorce le soir de son décès ? ». Il n’était pas certain de rendre Donna heureuse. Il ne parvenait même pas à se rendre lui-même heureux.

Ils finirent par retourner jusqu’à leur appartement, mais David la retint un instant à lui, le temps de la remercier d’être présente pour lui. Il se mit à sourire à sa réponse « Merci quand même » finit-il par rétorquer avant d’entrer à l’appartement. Etonnamment, le reste de la soirée se déroula en toute légèreté, et cela, jusqu’au départ d’Henri. Lorsque la porte se referma et qu’il la rejoignit dans le salon, il ne put s’empêcher d’aborder le sujet. David se mit à rire doucement « Presque. Alors ? ». Oui, il était curieux, mais elle était habituée à cela depuis le temps. Charmant… Mais elle ne désirait pas plus. Un hochement de tête, signifiant qu’il prenait en compte son argument, puis se leva pour la suivre dans la cuisine « Mon frère ne fait pas dans les relations d’une nuit, et pourtant, il l’a fait avec vous » et ajouta « Ce matin-là, vous êtes restée ou vous êtes partie ? », puis baissa son regard sur le pot de glace, puis à nouveau sur Mac qui s’approchait de la porte d’entrée. Un léger sourire « Oui » et la suivit jusqu’à la terrasse, pieds nus et en débardeur. Par chance, la nuit était douce. Ils prirent donc place sur l’un des canapés installés, épaule contre épaule « Henri vous aime bien, si jamais ça vous intéressait » en lui lançant un regard en coin taquin, tout en prenant la cuillère pour la porter à ses lèvres et la lui rendit « J’ai comme une impression de déjà-vu » en faisant référence à la première fois où ils s’étaient rendus sur cette terrasse, avec un pot de glace. Elle l’entendait encore s’offusquer légèrement pour la cuillère qu’ils partageaient à deux. Les choses avaient bien changées entre-temps « J’aime vraiment beaucoup cet endroit » tout en observant la ville qui les entourait.


Charly
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Charly
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -oui, qui vous dit qu’elle n’en avait pas marre d’attendre ? » elle leva une main devant elle et se reprit : « -non, c’est pas ce que je voulais dire. Peut être qu’elle se pose des questions aussi de son côté. Est-ce qu’elle a le droit d’avoir des sentiments pour vous ? Est-ce qu’il y a une place pour elle dans votre vie de cette façon ? Vous m’avez dit que Donna était présente à chaque étape de votre deuil, elle connaissait votre femme, le couple que vous formiez. Elle vous a vu changer, et pourtant elle est encore là. » encore une fois il posa cette question. Elle décida une nouvelle fois de ne pas révélé ce que Donna avait dit. Simplement parce qu’elle avait ajouté derrière que c’était en toute amitié. Et que cela serait une raison suffisante pour David, de balayer ses sentiments d’un revers de main. « -posez vous les bonnes questions et parlez-lui. Inventez une rencontre si vous voulez, juste pour voir sa réaction ! » Pas la peine d’approfondir plus pour le moment, sur ce sujet là, elle avait parfaitement compris qu’elle devait avancer à petit pas. Et puis Henri était en bas à les attendre. « -arrêtez avec ça. Vous avez changé depuis. Donna le sais. Vous avez beaucoup à donner David. Si moi j’ai droit à une seconde chance dans la vie, alors pourquoi vous n’auriez pas droit à une seconde histoire d’amour ? » elle le regarda avec douceur et insistance, avant de lui demander de descendre avec lui et de penser à autre chose pour le reste de la soirée.

Forcement David se montra curieux. Et Mac n’eut pas envie de clos le sujet tout de suite, simplement pour le voir sourire encore un peu. De plus, cela faisait longtemps qu’ils n’avaient pas passer une soirée entière à discuter. Et ce soir, il y avait des sujets importants à traiter ! « -oui et donc il a déjà eu sa nuit. » répondit Mac en refermant la frigo, regardant David en ouvrant grand les yeux pour signifier la logique de son argument. « -qu’est ce que ça peut faire ? » demanda-t-elle ensuite en fronçant un sourcil. Mais elle n’avait pas envie de poursuivre la discussion ici. Glace et cuillère en main, elle monta jusqu’à la terrasse après avoir invité David à l’accompagner. Elle s’installa exactement comme la première fois qu’ils avaient fait ça. Le premier soir. Epaule contre épaule, elle regarda David : « -j’avais remarqué merci. » elle reprit la cuillère et ajouta la bouche à moitié pleine : « -je n’ai pas dis que je ne l’appréciais pas. » Mac sourit au commentaire de David par rapport à la terrasse, et posa sa tête sur son épaule : « -moi aussi. » Puis elle se redressa et elle demanda : « -attendez, il vous a dit quoi pour que vous me disiez ça ? » en pointant la cuillère sur son colocataire.
 
Manhattan Redlish
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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En l’espace d’une fraction de seconde, David eut l’impression de recevoir un uppercut du droit bien placé en entendant la question de Mac… Il détourna aussitôt le regard tout en serrant machinalement la mâchoire. La jeune femme comprit bien vite le mal qu’elle venait de lui faire en l’espace de quelques mots. Il tourna de nouveau la tête en sa direction, et se mit à réfléchir au fur et à mesure des questions successives de sa colocataire « Et peut-être qu’elle était fatiguée de m’attendre après tout ça » rétorqua-t-il avec un certain aplomb, avant de se rendre compte que ces mots pouvaient être mal interprétés. Il poussa un soupir et se pinça l’arête du nez un instant avant de rétorquer « Pardon. Vous essayez juste de m’aider. Ce n’était pas gentil de ma part » tout en affichant une légère moue et reprit « Vous savez, je n’aurais jamais pensé qu’elle resterait après le décès de Cheryl… J’avais tant changé… Et pourtant, elle est toujours là et m’accepte tel que je suis aujourd’hui ». Plusieurs fois, après ces crises de colère, il avait toujours eu cette crainte qu’elle parte précipitamment du cabinet, lassé de ses sautes d’humeur, de son regard noir et de ses mots parfois blessants. Pourtant, à chaque fois, il la retrouvait à son poste, sourire aux lèvres comme si de rien ne s’était passé. Il n’avait pas envie de perdre cela. Il n’avait pas envie de lui dire ce qu’il éprouvait pour elle, pour finalement la perdre définitivement parce qu’elle ne tenait pas à lui de cette manière, ou qu’elle en aimait dorénavant un autre… Même si au vu du sous-entendu de Mac, l’avocat eut l’impression qu’une information primordiale lui échappait. Elle ne lui répondit pas. Une question sans réponse. Comme à chaque fois. « Une rencontre ? Vous voulez que je l’invite à dîner ? ». Wouah ! Il n’était pas sûr d’être capable de faire ça. Il n’était même pas capable de la rendre heureuse. Il regarda fixement Mac qui tentait de lui faire entendre raison sur ce point, et parla en même temps qu’elle « Je suis pire qu’avant », puis se mit à la regarder fixement, comme à chaque fois qu’il réfléchissait « On en reparle plus tard ? ». Ils devaient rejoindre son frère de toute manière.

Petit-frère qui fut l’objet de la conversation du soir, alors qu’il avait franchit la porte de leur appartement pour rentrer chez lui. Sourire aux lèvres, installé dans le canapé, il posa la question qui lui trottait en tête depuis le début de soirée. « Je pense que maintenant qu’il a eu sa nuit, comme vous dites, il aimerait davantage ». Ce n’était pas un secret d’État, elle devait bien s’en douter. Et en parlant de cette nuit, il souhaitait savoir si elle était restée. Un sourire se fit plus grand en entendant la réponse de Mac « Ça veut dire que vous êtes restée ». Et cela signifiait qu’elle avait apprécié cette soirée et cette nuit avec Henri. Et comme il le lui fit remarquer, son jeune frère n’était pas insensible aux charmes de sa colocataire « Je préférais être sûr » et sourit quand cette dernière lui confia ne pas être insensible aux charmes d’Henri, elle aussi « Mais ? ». Parce que oui, il y avait un « mais » quelque part dans sa phrase. Un sourire quand elle lui confia avoir la même impression de déjà-vu concernant la terrasse et la laissa poser sa tête contre son épaule, pendant qu’il prenait une cuillère de glace. Il le lui rendit la cuillère qui se retrouva bien vite pointée en sa direction, ce qui fit rire David « Il m’a dit que ce soir-là, il n’avait pas souhaité vous voir partir. Ce fut pour cela qu’il avait accepté de passer la nuit avec vous. Pourquoi ne pas tenter l’expérience ? Il ne vous fera pas de mal, je peux vous l’en assurer. C’est un gentil garçon ». Il n’était pas marié avec des enfants « À moins que votre cœur bat pour un autre homme dont j’ignore l’existence ? Eh non, Gus’ ne marche pas » en devançant la réponse de la jeune femme.


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