J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés. Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…
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David aurait pu se montrer plus insistant, mais il ne souhaitait pas mettre Mac dans une situation inconfortable, alors il hocha simplement de la tête, rétorquant comme si de rien n’était « C’était seulement un exemple parmi tant d’autres ». Si elle souhaitait lui en parler, il espérait qu’elle prendrait le temps pour le faire. Comme il était en train de le faire à son tour lorsqu’il confia éprouver des sentiments plus qu’amicaux pour Donna « Je ne sais pas… La venue d’Edward me fait comprendre que c’est sûrement trop tard ». En ce qui concernait les autres signes qui pourraient le pousser à lui avouer ses sentiments, il avait l’impression qu’ils étaient tout simplement inexistant… « Vous les voyez comment ? » demanda-t-il par pure curiosité, tout en appréciant sa retenue et son constat pour conclusion. Il se mit à sourire « Un grand pas ?! ». Il n’était pas certain qu’on pouvait définir cela ainsi, mais soit. Malgré le sérieux du sujet, ou plutôt son aspect délicat, Mac parvint à le faire sourire en lui faisant remarquer qu’il devenait vraiment trop hypothétique soudainement « Pardon » avant de sourire avec plus de douceur lorsqu’elle évoqua ses deux anges, avant de rire de bon cœur en évoquant sa présence à ses côtés et le jeune chien « Je ne l’aurais pas désigné ainsi » tout en relevant son regard sur Mac après un coup d’œil au chiot « Je n’ai pas envie de briser le couple qu’elle forme avec Edward… Tout ça parce que je pense tenir à elle ». Ça serait égoïste de sa part.
Les jours qui suivirent, ils n’évoquèrent plus Donna qui était toujours à Paris et qui, au vu des réseaux sociaux, semblait vivre les plus beaux moments de son existence en compagnie de Edward. Un signe de plus pour lui faire comprendre de l’oublier. Il n’aurait pas pensé qu’il trouverait une distraction en s’intéressant à la vie sentimentale de Mac. Parce qu’au vu de leurs regards, de la manière de répondre de Mac quand il lui demanda s’ils se connaissaient, il y avait anguille sous roche « Je vais croire Henri cette fois-ci » en souriant en coin tout en posant son regard sur la jeune femme. Un haussement de sourcils « Vous vous êtes croisés… Hum… » et son regard se dirigea vers son jeune frère « Depuis quand tu séduits les femmes en soirée ? », et cela, sans le moindre reproche. Il était seulement surpris de voir que son frère pouvait avoir des aventures sans lendemain. Et voilà que ce dernier s’interrogeait sur le lien qui les unissait, et n’eut le temps de répondre quoi que ce soit que Mac le devança avec un certain agacement « Elle s’appelle Mackenzie, ou Mac pour les intimes » alors que l’intéressée s’éloigner en toute hâte jusqu’au four pour sauver le dîner. David s’approcha de son frère « Tu m’expliques ? », puis posa son regard sur le chien qui reniflait son frère avec un intérêt certain, et releva ses yeux vers Mac, et se saisit de la laisse « Je vais sortir Gus’. Je vous laisse faire connaissance » tout en souriant à l’attention de sa colocataire, et quitta l’appartement.
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Manhattan Redlish
Ven 15 Juil - 15:30
Henri S. McArthur
J'ai 33 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis propriétaire d'une galerie d'art et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.
à venir...
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De temps à autre, Henri s’était imaginé revoir la jeune femme au détour d’une ruelle, dans un bar ou en allant prendre son café le matin au Starbucks près de la galerie. Plusieurs fois, il s’était demandé comme il réagirait en retombant sur elle. Est-ce qu’il oserait l’inviter à dîner ? À boire un café ? À prendre un déjeuner sur la terrasse d’un petit restaurant de quartier ? Ou se limiterait seulement à lui sourire et reprendrait le cours de sa vie comme si de rien n’était ? Finalement, la question ne se posait plus maintenant qu’il se retrouvait face à elle… dans l’appartement de son frère. Quelles étaient les probabilités que la seule femme qu’il ramène chez lui pour une aventure d’un soir soit une amie à son frère… Ou peut-être plus que ça ?! Ce qui était certain, en tout cas, c’était que son inconnue semblait bien plus mal à l’aise que lui en cet instant, et se mit à sourire quand elle répondit par la négative à la question où il avait répondu par la positive. Bien sûr qu’ils se connaissaient et si ses souvenirs étaient bons, la nuit avait été plus qu’agréable « On va devoir accorder nos violons si tu ne veux pas te faire disputer par papa » en désignant son frère du pouce. Quand elle répondit à la question suivante, Henri ne put s’empêcher de sourire. Il ne fallut pas bien longtemps pour que son frère devine quel genre de lien les unissait « C’est tout nouveau pour moi » en regardant son inconnue avec son sourire charmant et charmeur. Et lorsqu’il demanda le prénom de cette dernière, elle resta silencieuse, se défilant pour se rendre en cuisine.
Henri se retrouva donc avec son frère qui lui indiqua le prénom de cette dernière. Mac. Il fronça les sourcils « C’est la cheffe de ton restaurant ? ». David acquiesça et le jeune frère posa son regard sur celle qui n’était plus vraiment une inconnue soudainement, souriant en la voyant en tenue dès plus décontractée. « Hum… Oh ! Oui » en écoutant à moitié la question de l’avocat « J’étais partie boire un verre avec des amis, et en allant commander une tournée de bière, je suis tombée sur elle. On a discuté, on a presque refait le monde, puis je me suis dit « pourquoi pas ». Ce n’est pas vraiment mon genre de ramener une fille pour un soir, mais je ne sais pas… J’en avais envie ce soir-là. Je n’avais pas envie de la laisser partir si vite » et reporta son attention sur l’intéressée au loin, puis se mit à sourire en voyant David quitter son appartement pour leur laisser un peu d’intimité. Il sourit à David et s’avança dans la cuisine, posant ses mains sur l’établi « Tu m’en veux ? » et ajouta « Tu es très jolie au naturel… J’aime beaucoup ta tenue » en se penchant pour regarder ses longues jambes nues. Un bref silence et ajouta « En tout cas, pour ce que ça vaut, je suis content de te revoir » en la regardant fixement, souriant avec douceur « J’ai souvent pensé à toi depuis notre nuit ensemble. Je me suis même demandé si j’oserais t’inviter à diner… Et tu sais quoi ?! Eh bien, je me dis que le destin ne fait pas les choses de manière innocente. Donc… » puis se mit à sourire, charmeur, comme ce fameux soir « Est-ce que tu accepterais de dîner avec moi ? Et quand je te parles de dîner, je te parle de rendez-vous galant, d’une jolie tenue, de chandelles », puis se pencha légèrement vers elle « Je sais que tu as très envie de dire « oui » ».
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Charly
Ven 15 Juil - 16:34
Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.
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« -pas sous le même angle que vous. » avait répondu Mac qui savait parfaitement que le sujet était sensible et aussi très important aux yeux de David. Il avait peur, et elle le comprenait. Elle était également la seule personne à qui il pouvait se confier sur tout ça. « -la peur ça paralyse… » avait elle soufflé toujours avec douceur. « -vous ne voyez que vos hypothèses de façon négatives. Essayer autrement. Et si… et si elle éprouve les même sentiments que vous ? Et si Edward était là seulement pour ne pas penser à vous ? Et si c’était relation c’était votre signe, celui que vous attendez ? Pour vous faire un déclic ? » Elle tenta de ne pas émettre plus d’idées encore, risquant de le noyer sous trop d’infos ou de le faire vraiment flipper. Ça n’était pas le but. « -oui c’est un grand pas. Jusqu’à présent c’était moi la cinglée qui pensait mal. Si vous vous posez des questions, ça n’est pas pour rien. » Mac soupira : « -prenez votre temps pour méditer tout ça. Pas la peine de prendre un vol pour Paris ce soir. » rien ne pressait. Il n’était pas dans l’obligation d’avoir ses réponses à la vitesse de la lumière.
Mal à l’aise devant les deux frères, Mac se sentait mal de mentir à David. De mentir si mal d’ailleurs. Mais elle n’allait pas lui dire droit dans les yeux que son frère avait été un coup d’un soir ?! Il n’était pas forcement le dernier en date. « -ah d’accord je vois le genre, complot de frères. » marmonna Mac faisant ressortir son côté adolescent immature. David ne croyait pas un mot de ce qui sortait de la bouche de Mac, mais il ne semblait pas être en colère ou contrarié. « -papa j’en fais mon affaire. » lâcha la jeune femme comme si elle ne trouvait pas cela drôle du tout. « -qui dit que c’est lui qui m’a séduite et pas l’inverse ? » puis elle ferma les yeux en se passant une main sur le front. Quelle conne. Et forcement elle souriait en même temps. Simplement parce que cela semblait amuser David. La panique du départ s’estompa quelque peu. Elle jeta un regard à Henri. Nouveau pour lui ? Il n’allait pas respecter les règles. Elle était coincée. Mais la cuisine la repela à elle, lui permettant d’éviter l’interrogatoire. « -hé depuis quand vous sortez mon chien ?! » cria la jolie brune alors que l’avocat était déjà en train de passer la porte.
« -de quoi ? » demanda Mac en s’affairant en cuisine, évitant parfaitement de croiser le regard d’Henri. Le diner était foutu, elle devait trouver une solution de replis. Et elle se doutait que du coup ils allaient être trois. Elle stoppa ses gestes et soupira en le regardant enfin. « -épargnes moi ta drague tu veux. » elle n’avait pas envie d’entendre ça. « -tiens, rends toi utile et coupes les oignons. » comme ça c’était lui qui allait pleurer, pas elle. Mac le regarda quelques secondes. Elle aussi elle était contente de le voir. Elle devait bien se l’avouer. Mais de là à le dire à voix haute. Nope ! De son côté aussi elle avait pensé à lui. Ça aussi elle ne risquait pas de l’avouer. Pourquoi d’ailleurs ?! Pour éviter de voir David jubiler en lui donnant raison ? Elle posa son couteau et dit alors en relevant le regard sur Henri, réalisant qu’il était bien proche d’elle. Un léger mouvement de recule : « -écoute… » elle sourit : « -Henri, puis que c’est ton petit nom. Enchantée d’ailleurs. » un léger rire. « -je vais pas dire oui à ça. Pas parce que c’est toi ou parce que tu es… enfin si le fait que tu sois le frère de David ça va jouer. Mais je… diner aux chandelles et bien… » elle fit un sourire en montrant toutes ses dents bien serrées, grimaçant légèrement ensuite : « -ça me fait pas rêver. Ça n’a jamais été le cas. De plus… » elle ouvrit la bouche et se ravisa. Non, elle ne pouvait pas lui dire qu’il n’avait pas eut besoin de toute cette drague et de chandelles pour la charmer l’autre soir. « -tu restes diner je suppose ? »
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Manhattan Redlish
Ven 15 Juil - 20:23
David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés. Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…
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Du temps avait été nécessaire à David pour qu’il prenne conscience que les sentiments qu’il éprouvait pour Donna étaient peut-être plus profond que ceux qu’il pensait éprouver pour elle en tant que simple amie. La voir faire sa vie de son côté, s’investir dans cette relation avec Edward… Tout cela lui ouvrait peu à peu les yeux. Il comprenait que ce qu’il souhaitait réellement, c’était être à la place d’Edward, tout simplement. Un aveu difficile à formuler pour lui qui avait vécu, et vivait encore aujourd’hui, avec cette peur viscérale d’oublier sa femme et son enfant si jamais il redécouvrait l’amour avec une autre femme que Cheryl… Un sujet si délicat que même Mac n’osait pas exprimer sa manière de voir la situation actuelle de David. Un sourire face à sa délicatesse qui le touchait sincèrement et lui adresse un doux sourire quand elle lui fit comprendre qu’il y avait une autre manière de percevoir ce signe, cette venue d’Edward dans la vie de Donna. Il la regarda fixement, se rendant compte qu’il n’avait jamais envisagé toute cette situation sous cet angle « Vous connaissez Donna maintenant. Ce n’est pas une femme qui a sa langue dans sa poche. Alors pourquoi cacherait-elle ses sentiments à mon égard si elle en éprouvait sincèrement ? ». Encore des questions et des questions. Et tout ça, Mac le considérait comme un grand pas en avant. Un sourire, presque un rire quand cette dernière lui précisa qu’il n’était pas utile de la rejoindre à Paris ce soir « Cette soirée vous ai réservée de toute manière », et il n’était pas certain qu’elle l’accueille les bras grand ouverts si jamais il venait à débarquer à Paris ce soir.
La jeune femme fit preuve de bien moins d’assurance lorsqu’elle se retrouva face à Henri et lui-même. Les deux frères échangèrent un regard complice « Je parlerais plus de solidarité fraternelle » rétorqua David, non sans un sourire en coin. Il prenait cela avec le sourire et en toute décontraction. En fait, il était presque amusé par l’ironie de la situation. Lui qui avait tant insisté pour qu’elle rencontre enfin son jeune frère. Finalement, c’était le destin qui s’en était chargé, comme s’il était lui-même lassé de patienter. Un froncement de sourcils quand Henri le désigna comme leur père et rétorqua « Eh ! Je suis bien trop jeune pour être votre père ! », puis pencha la tête sur le côté quand Mac considéra faire de ce père, son affaire « Vous savez que je suis présent dans la pièce ? », puis leva les yeux au ciel. Un nouveau sourire en coin se glissa sur les lèvres de l’avocat « Hum… Pour une femme qui n’était pas enthousiaste à l’idée de rencontrer mon jeune frère, vous êtes finalement allée plus loin que je ne l’aurais imaginé après une première rencontre ». Oui, il était fier de lui en cet instant. Il était convaincu que ce dernier ne la laisserait pas insensible. Il profita que Mac se rende dans la cuisine pour en savoir davantage, et lorsqu’il eut ses réponses à ses questions, se saisit de la laisse et du chien, bien décidé à leur laisser du temps en tête-à-tête « Notre chien ! » la reprit-elle juste pour la taquiner un peu, et referma la porte. David prit le temps de faire le tour du parc près de son appartement, jetant de temps à autre des coups d’œil à sa montre, puis revint chez eux qu’au bout d’une bonne demi-heure et fronça les sourcils en entrant « Le repas n’a pas survécu ? ».
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Ven 15 Juil - 20:44
Henri S. McArthur
J'ai 33 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis propriétaire d'une galerie d'art et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.
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Mac n’avait pas encore conscience du lien qui unissait les deux frères alors qu’elle voyait en leur manigance, un complot, mais David eut les mots juste. C’était de la solidarité fraternelle. Complice depuis leur plus jeune âge, ce lien n’avait fait que croître avec les années pour devenir indestructible. Ils étaient comme les deux doigts de la main, et cela se percevait rien qu’à leur manière de sourire face à la situation. L’avocat avait pleinement confiance en son jeune frère dans la manière de gérer sa vie personnelle, et le considérait comme un bon parti pour Mac. Un avis qui ne semblait pas partagé par cette dernière qui était mal à l’aise au milieu des deux fils McArthur. Un sourire sur les lèvres « Bon courage ! C’est le moins docile de nous deux » avant de jeter un regard à l’attention de l’intéressé qui n’appréciait pas que l’on parle de lui comme s’il n’était pas présent dans la pièce « Oui, tu es encore jeune David » le rassura-t-il avec un sourire en coin, puis reporta son attention sur Mac « Tu ne voulais pas me rencontrer ?! Pourtant, ce soir-là, tu étais plutôt du genre entreprenante si mes souvenirs sont bons ». Oui, il s’amusait sincèrement de cette retrouvaille. Tout simplement parce qu’Henri avait réellement apprécié cette fameuse soirée, et davantage la nuit qui avait suivi, et qu’il avait régulièrement pensé à elle les jours qui avaient suivi. Il apprécia l’idée de David de s’éclipser quelques instants pour qu’il puisse passer du temps avec Mac qu’il rejoignit dans la cuisine.
« Est-ce que tu m’en veux ? » répéta-t-il alors que la jeune femme semblait plus préoccupée par l’état du dîner que par sa personne. Dans d’autres circonstances, il aurait pu s’en vexé, mais pas ce soir parce qu’elle se mit à réagir à son compliment « Je ne te drague pas. Je te fais un compliment » et se saisit de l’oignon et du couteau à la demande de son amante d’un soir « Tu vois, on commence déjà à préparer le dîner ensemble » en souriant, la tête légèrement baissé en direction des oignons qu’il commençait à éplucher. Il souhaitait la revoir, alors il lui proposa un dîner aux chandelles. Sourire aux lèvres, il nota son petit mouvement de recul avant de rétorquer « Enchanté aussi », appréciant son rire. « De plus ?! Tu n’as pas fini ta phrase » avant d’ajouter, alors qu’il découpait les oignons « Je… », mais n’eut pas le temps de répondre qu’elle lui demanda s’il restait pour le dîner « Deux fois plutôt qu’une ». Généralement, il dînait après sa visite surprise à son frère, mais avec la présence de Mac, il avait décidé de changer ses plans et de rester pour le dîner « Pourquoi le fait que je sois le frère de David te dérange ? Tu es amoureuse de lui ? ». Oui, il préférait demander, juste au cas où avant de préciser « Pour le dîner, tu n’as dit « non » qu’aux chandelles. Je te propose alors un dîner chez moi. J’ai un jardin. On pourrait faire un barbecue. Qu’en penses-tu ? » et releva les yeux sur elle lorsqu’il eut fini de couper les oignons « Mac, j’ai vraiment envie de te revoir » et se rapprocha d’elle « Et je sais que toi aussi », puis se pencha, prêt à l’embrasser, mais la porte d’entrée s’ouvrit et Henri revint à sa place initiale, tournant la tête vers son frère comme si de rien n’était « Le plat a brûlé. On cuisine autre chose » et se tourna vers la jeune femme « On cuisine quoi au fait ? ».
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Ven 15 Juil - 21:31
Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.
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« -oui, ça serait moins gênant si vous le n’étiez pas d’ailleurs. » appuya la jeune femme qui percevait peu à peu une sorte de jouissance personnelle chez l’avocat. Il était ravi de pouvoir assister à ça ! Ravi de voir que Mac avait déjà fait la connaissance de son frère et qu’il avait raison depuis le début : elle l’appréciait ! Et c’était sans doute ce constat qui énervait la jeune femme intérieurement. Elle qui avait lutté pour lui faire comprendre qu’il se trompait et qu’elle ne pourrait pas éprouver d’attirance pour son frère. Voilà qu’il avait la preuve sous les yeux ! Il lui avait plu et en plus de ça, ils avaient fait bien plus que discuter. Oh merde que cette soirée avait été agréable. Si seulement elle avait su… C’est elle qui avait tenu à ce qu’ils ne fassent pas de présentation officielle ! Ignorer son nom, ne pas lui donner le sien, histoire que l’histoire ne soit que pour une nuit. « -et vous semblez en être plus que content à ce que je vois. » elle regarda Henri : « -oui, ba je ne savais pas qui tu étais. Les choses auraient surement été différentes sinon. » elle serait probablement parti en courant. Raz ils avaient le don de l’agacer. Et de lui faire brûler le diner en plus de ça ! « -notre chien ? Depuis quand c’est notre chien ? » railla Mac en souriant malgré tout en voyant le sourire de David au loin.
« -j’avais compris la question. Je ne suis pas sourde. T’en vouloir de quoi ? De débarquer ainsi ? Tu ne savais pas que… enfin bref, non j’ai aucun raison de t’en vouloir pour quoi que soit. » mise à part que sa gêne semblait le faire marrer. « -non, c’est de la drague. » claqua Mac en restant sur la défensive sans vraiment parvenir à savoir pourquoi. Simplement parce qu’elle s’était trompée de type ? Parce que le seul qui lui avait plu parmi tout ces coups d’un soir, s’avérait être celui dont David ne cessait de lui parler depuis qu’ils se connaissaient. Non, le souci c’était que David ait eut raison sur ce coup. « -c’est un truc de famille d’être si curieux ? » oui elle n’avait pas finit sa phrase, et il y avait une raison ! Donc pas la peine de demander ! « -génial… » marmonna t elle en se tourna pour aller prendre quelque chose dans le frigo.
« -pourquoi il faut toujours que les gens posent ce genre de question ? Parce que je vis chez lui ? Non, je ne suis pas amoureuse de David. C’est un… » elle ralentit la cadence de ses mots et souffla enfin : « -un ami très cher… il compte beaucoup pour moi. » voilà autant poser les bases. « -ce qui me dérange c’est de lui donner raison. Parce que depuis que je le connais il me parle de toi et prédit qu’on serait compatible toi et moi. Et je déteste voir ce petit sourire supérieur sur ses lèvres et lire dans ses yeux : je vous l’avais dit ! De plus… enfin je sais pas tu es son frère. » comme si ça résumait tout ! Elle sourit en écoutant la seconde proposition de diner : « -non. » ça ne lui convenait pas non plus. Puis son sourire s’élargit en l’écoutant lui dire qu’il tenait à le revoir, les yeux humides à cause de oignons. « -pas la peine de pleurer et de me supplier. » s’amusa la jolie brune alors qu’il s’approchait de nouveau : « -arrête de penser savoir ce que je veux ou non. » Le sentir aussi proche d’elle lui fit remonter en mémoire la nuit qu’ils avaient passé ensemble. Enfin pas que la nuit, la soirée aussi. Leur discussion, leur échange. Elle avait vraiment passé une excellente soirée ce jour-là…
La porte s’ouvrit sur David et Gus et Mac détourna les yeux sur le poulet qu’elle tranchait. Enfin qu’elle tentait de trancher, parce que pour le moment, elle n’avait pas fait grand-chose. « -du poulet au curry. » répondit la jolie brune tout en évitant de regarder David. Du temps que celui-ci retire son manteau elle demanda à Henri : « -on en reparlera mais s’il te plais, est ce qu’on… est ce qu’on peut faire comme si rien ne s’était passé ? Je veux dire… profiter de la soirée. » elle n’avait pas envie de passer le reste de la soirée à marcher sur des œufs. Loin de là ! Surtout qu’elle était nulle pour ça. Elle était plus du genre à mettre les pieds dans le plat. « -vous voulez boire quelque chose ? J’en ai encore pour un petit moment alors… » elle indiqua le salon à Henri afin qu’il débarrasse le plancher, et se tourna vers le frigo pour servir trois bières. Jusqu’à présent, elle s’en sortait bien avec sa sans alcool. David n’avait même pas remarqué que les bouteilles étaient différentes. Elle se débrouillait toujours pour que ça soit elle qui serve à boire. Après avoir servit les trois verres et mis à mijoter la viande, elle vint vers le salon et s’installa au sol, comme d’habitude. Gus vint chercher des caresses et elle s’adressa à lui : « -alors est ce que David a été sage ? Il s’est bien promené ? » un regard pour son colocataire accompagné d’un sourire en coin. « -notre chien… je risque pas de l’oublier celle-ci. »
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Ven 15 Juil - 21:56
David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés. Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…
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L’ironie de la situation ne pouvait faire que sourire David. Depuis leur rencontre, l’avocat était convaincu que son jeune frère saurait charmer la jeune femme, et la vie elle-même venait de lui donner raison « Oh ! Vous n’en avez pas idée ! » rétorqua ce dernier sans se départir de son sourire, et davantage en voyant l’échange entre son frère et sa colocataire. Il décida de voir en le chien, une excuse toute trouvée pour s’éclipser de l’appartement afin de leur laisser un peu d’intimité, et sourit seulement à la question de Mac alors qu’il refermait la porte sur lui. Il resta une longue demi-heure dehors, profitant de ce début de printemps en compagnie de Gus’, puis retourna à l’appartement, soulignant l’odeur de brûlé en suspens dans l’air. Il posa la laisse dans l’entrée, retira son manteau et rétorqua « J’en ai déjà l’eau à la bouche », puis s’approcha de la cuisine tout en acquiesçant « Oui, avec plaisir » et s’éloigna ensuite dans le salon en compagnie de son frère, prenant place sur le canapé après avoir mis un fond sonore pour la soirée. Rien de bien original. Du jazz, comme bien souvent. Il en profita pour échanger quelques mots avec son frère « Vous avez pu parler ? » et jeta un coup d’œil à Mac à la réponse de ce dernier, puis remercia cette dernière pour le verre de bière.
Comme à chaque fois, elle s’était installée à même le sol. Il ne le souligna pas contrairement à Henri, à qui il rétorqua aussitôt « Laisse faire. C’est sa manière de s’installer » et porta sa bière à ses lèvres avant de pencher la tête sur le côté alors que Mac s’adressait au chien « Vous savez qu’il ne vous répondra pas ? » et se mit à sourire en coin « Comme je ne risque pas d’oublier que vous avez couché avec mon frère. Un point partout. Balle au centre ». Il se tourna ensuite vers Henri « Tu rencontres comme ça la cheffe du restaurant » en la désignant de la main, et reprit une gorgée de bière « Tu as des nouvelles de papa et maman ? », puis se leva en entendant son portable sonner. Il s’éloigna, fronça les sourcils en voyant le nom affiché et sourit aussitôt en portant le petit appareil à ses oreilles « Bonsoir Donna » « … » « Oui, je vais bien et vous-même ? » « … » « Non, je n’ai pas assassiné l’intérimaire, mais il me tarde que vous rentriez. Il a classé les dossiers par couleur » « … », puis s’éloigna un peu plus pour faire part de ses observations sur les habitudes de l’intérimaire qui lui avait irrité le poil. « Comme ça, vous restez quelques jours de plus ? » « … » « Je… Oh… Non, je comprends. Je veillerais seulement à ne pas tuer Bryan » « … » « Bien sûr que non, je ne vous en veux pas Donna. Profitez-en bien, et saluer Edward pour moi » « … » « Oui, oui. Ne vous en faites pas. Mac est là pour me rappeler à l’ordre » « … » « Je le lui dirais. Bonne soirée » « … » « Bonne journée alors et on se voit dans une semaine ». David raccrocha et resta un moment à fixer son portable, puis retourna auprès de son frère et de Mac « C’était Donna. Elle vous embrasse ». Il prit une gorgée de bière avant de préciser « Elle reste une semaine de plus en France. Edward a décidé de lui faire découvrir le sud du pays. La Provence » et se leva à nouveau « Vous m’excusez, j’ai un coup de fil à passer. Je monte sur le toit. C’est… C’est professionnel », et quitta l’appartement sans remarquer qu’il avait oublié son portable sur la table basse du salon.
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Manhattan Redlish
Ven 15 Juil - 22:18
Henri S. McArthur
J'ai 33 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis propriétaire d'une galerie d'art et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.
à venir...
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« Elles ne l’auraient pas été. On a passé une excellente soirée Mac, et tu le sais » précisa Henri tout en souriant avec douceur. Tous les deux savaient que la soirée et la nuit avaient été plus qu’agréable. La preuve en était, il avait souvent pensé à elle et était heureux de voir que la vie avait décidé de la dresser, une nouvelle fois, sur sa route. Il profita donc de l’absence de son frère pour se rapprocher de la jeune femme « Tu m’as demandé de répéter ! » rétorqua-t-il avant de se rendre compte qu’il avait peut-être simplement mal compris sa question « Tu as raison. Tu ne peux pas m’en vouloir » et se mit à sourire, satisfait de ce constat. Il s’autorisa même un compliment que Mac jugea comme étant de la drague « Bon, peut-être un peu ». Il devait avouer que son compliment était une manière à lui de tenter de la séduire à nouveau. Puis voilà qu’il se mettait à rire doucement « J’ai grandi dans une famille d’avocat. La pomme ne tombe jamais bien loin de l’arbre ». La curiosité coulait dans ses veines, au même titre que David ou encore leurs parents. « Cache ta joie ! » précisa ce dernier sans se départir de son sourire amusé « Tu étais bien plus enthousiaste à l’idée de me voir rester la fois dernière » en faisant référence à leur nuit passée tous les deux sous les draps. Toutefois, sa réaction vis-à-vis de son statut de frère souleva une question primordiale chez Henri qui fit réagir Mac aussitôt. Cette dernière accéléra son débit de parole avant de s’en rendre compte par elle-même et de ralentir pour lui expliquer la relation réelle qu’elle entretenait avec son frère « C’est toi qui étais sceptique à l’idée de sortir avec moi parce que je suis le frère de David. Ma question était légitime. Et tu sais que peu importe l’issue de notre relation, il aura toujours son sourire à la con sur les lèvres ?! Il aurait fallu éviter de me sauter dessus la fois dernière pour éviter qu’il soit ainsi, très chère ! » rétorqua un Henri taquin qui ne pouvait pas s’empêcher de sourire charmeur.
D’autant plus qu’Henri ne souhaitait pas tirer un trait sur la jeune femme, l’invitant à dîner. Elle refusa la première idée, ainsi que la deuxième. Il aurait pu se sentir vexé ou tout simplement accepté qu’elle refuse d’aller plus loin, mais Henri n’était pas ce genre d’homme et rétorqua « Je suis du genre téméraire. Il va en falloir plus pour me décourager de t’inviter à dîner parce que tu me plais beaucoup Mac » et lui confia qu’il voulait réellement la revoir tout en s’approchant d’elle « Désolé. Je suis un homme sensible » en s’essuyant les yeux du dos de la main « Alors parle-moi » rétorqua ce dernier, curieux de savoir ce qu’elle désirait. Il s’approcha de nouveau de cette dernière, s’apprêtant à l’embrasser, mais David choisi son moment pour rentrer, et l’obligea à s’éloigner. Après un regard pour son frère, il termina d’exécuter sa tâche et releva son regard sur Mac « Bien sûr ». Cette fois-ci, son sourire se fit plus doux et accepta la bière de cette dernière, suivant son frère jusqu’au salon. À la question de son frère, il acquiesça « Oui. Un peu » et leva un sourcil en voyant la jeune femme s’installer au sol « Tu sais qu’il y a un canapé ? », mais David répondit à la place de la jeune femme à ce sujet « Je vois ». Il observa ensuite l’échange entre les deux colocataires, jusqu’au moment où il la présenta officiellement comme la cheffe du restaurant « J’avais fait le rapprochement » en désignant sa propre tête et se tourna vers Mac « Tu es douée, tu sais. Vraiment. Je suis revenu au restaurant après avec des amis » lui confia-t-il avant que son frère n’évoque leurs parents « Non et je ne cherche pas vraiment à en avoir ». Un regard pour le téléphone de David qui venait de sonner, puis quelques regards vers ce dernier qui se mit à sourire comme un idiot au moment de prononcer le nom de son assistante. Sourire qui disparu bien vite au fur et à mesure de la conversation. Henri se concentra alors sur la jeune femme « Donna a rencontré quelqu’un ? », puis changea de sujet « Depuis quand vous avez ce chien ? ». Le retour de David fut bref car ce dernier s’éclipsa à nouveau et lorsque la porte se referma, Henri posa ses yeux sur le petit appareil « Il a oublié son portable… » un soupir et ajouta « Mon frère n’est pas trop difficile à vivre au quotidien ? ».
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Charly
Sam 16 Juil - 11:02
Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.
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« -oh si elle aurait été différente. » répliqua Mac en riant nerveusement. Clairement, ils n’auraient pas fini au lit. D’accord, elle serait passée à côté d’une super nuit de sexe, mais… mais si elle avait su… non, c’était certain, ça aurait imposé une barrière directement. Une barrière mentale, peut être très conne, mais tout de même. David leur faussa compagnie, pour les laisser discuter visiblement. Solidarité masculine… pff ! « -nous n’avons pas les mêmes souvenirs visiblement. On est allé chez toi. Ce n’est pas toi qui est resté. Mais moi. » elle réalisa ce qu’elle venait de dire et ajouta : « -c’est toi qui a voulu poursuivre le soirée chez toi. » comment noyer le poisson. Parce que oui, elle n’avait pas vraiment fait preuve de résistance. Et c’était la première fois qu’elle ne partait pas juste après la partie de jambe en l’air. Non, elle était restée. Toute la nuit. Ils avaient même prit un café ensemble au matin. « -non elle ne l’est pas. S’il avait rencontré quelqu’un je pense que tu en aurai été le premier informé non ? » elle leva les yeux au ciel et soupira : « -tu marques un point. » ouais, ils avaient déjà couché ensemble donc forcement David allait sourire comme un con prétentieux pendant un bon moment. Ça l’agaçait d’avance ! Elle plissa les yeux : « -je t’ai pas sauté dessus. Ça a été comme… » elle grimaça tout en cherchant les mots qui collaient le mieux, faisant des moulinets avec ses mains : « -la suite logique des choses… » oui ça c’était fait tout seul. Ça n’avait pas été une soirée de drague ou de rentre dedans. Seulement une rencontre, une longue discussion et puis… et puis c’était arrivé. Voilà !
Lorsqu’il insista elle ouvrit la bouche pour répliquer mais elle ne put s’empêcher de sourire, avant de regarder ailleurs. Chier… David avait vraiment raison ! Sauf que là… c’était pas du tout le bon timing. Non, elle n’avait pas le temps pour ça. « -c’est pas trop mon truc ça, parler. » ajouta Mac en penchant la tête d’un côté puis de l’autre. Il allait devoir se débrouiller pour trouver. Enfin, il avait le meilleur informateur qui soit… Et qui venait de rentrer en plus ! Alors elle souffla à Henri qu’ils reparleraient de tout ça, mais que ce soir, elle voulait seulement passer une bonne soirée. Après tout, c’était sympa de le connaitre. Officiellement. « -merci… » lui avait elle soufflé avec le même genre de sourire que celui d’Henri. Tris bière plus tard, elle s’installait près des deux frères, souriant à David qui avait maintenant l’habitude de la voir au sol. « -non sérieux ? » ironisa la jolie brune avant de lever le visage vers le plafond en se passant une main sur la nuque, riant légèrement. « -ok… j’ai compris. Et je suis ravie de faire de vous le plus heureux des hommes pour la soirée ! » même si ça l’agaçait, elle était heureuse de le voir sourire autant. « -c’est moi ! » s’amusa Mac en adressant à Henri un grand sourire, entourant son visage de ses deux mains comme si elle prenait la pause. « -ah bon ? Tu avais peur de me rencontrer sans David à tes côtés ? » demanda la jeune femme qui savait parfaitement qu’il était venu au restaurant. Elle l’avait vu de loin. Elle ignorait que c’était lui. Enfin qu’il était Henri, le frère de David. Elle avait surtout fait en sorte de ne pas le croiser. Mais elle ne risquait pas d’avouer tout ça aux deux hommes en face d’elle.
Mac porta son verre à ses lèvres avant de suivre David du regard, levant le visage, allant jusqu’à se tourner légèrement pour l’observer. Il venait de perdre son sourire. « -hum… oh oui, ça fait quelques mois déjà. Ils sont à Paris… » elle baissa les yeux sur le chien : « -quelques semaines. Je l’ai trouvé derrière le restaurant. Il était tout seul. Ils apprennent encore à s’apprivoiser avec David. » elle sourit à Henri tout en caressant le chien. Puis elle reporta son attention sur l’avocat qui venait de raccrocher. « -oh… d’accord… » elle voyait bien que la nouvelle le contrariait. L’attristait même. Malgré tout elle hocha la tête et le laissa sortir de l’appartement. Un regard pour son téléphone et elle baissa les yeux. Merde… « -hum… » elle n’avait pas vraiment écouter. « -pardon… heu… non, ça va. On a trouvé notre équilibre. Et puis avec l’ouverture du restaurant, on passe de moins en moins de temps ensemble. On se croise plus qu’autre chose. » elle regarda la porte d’entrer, avant de reprendre sa bière. Il avait besoin d’être un peu seul. Elle adressa un petit sourire presque gêné à Henri. Maintenant qu'elle savait qui il était, c'était comme si elle ne trouvait plus rien à lui dire. "-je vais... je vais regarder le diner." confia t elle en se levant soudain, direction la cuisine.
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Manhattan Redlish
Sam 16 Juil - 15:13
Henri S. McArthur
J'ai 33 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis propriétaire d'une galerie d'art et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.
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« Tu dis ça maintenant », mais durant cette soirée, il s’était passé quelque chose entre eux, et il ne pensait pas au sexe. Ils avaient discuté, ils avaient ris ensemble, ils s’étaient souri. Aucun d’eux n’était pas dans une optique de séduction, mais ils s’étaient plu immédiatement. Tout du moins, Mac lui avait plu immédiatement. Alors peu importe de savoir qu’elle était l’amie de son frère, sa colocataire ou encore son associée. Elle continuait de lui plaire encore aujourd’hui, et au vu de ce qu’avoua Mac, il n’était pas le seul à avoir apprécié la compagnie de l’autre ce fameux soir. Sourire charmeur aux lèvres « Ne te rattrapes pas Mac, c’est inutile. Tu as voulu passer plus de temps avec moi ce soir-là. Tu viens de l’avouer à voix haute » et se pencha comme si c’était un secret « Et je suis ravi que tu es eu cette envie ». Parce que le sexe avait été plus que satisfaisant, parce qu’il avait apprécié la voir rester la nuit avec lui et partager le café en tête-à-tête avec elle. Et il n’était pas le seul, sinon elle ne serait pas restée. Néanmoins, ce soir, la jeune femme semblait rencontrer quelques difficultés à se l’avouer. Peu importe. Henri avait tout son temps. « David est pour le moins secret sur sa vie privée, même avec moi, et depuis le décès de Cheryl, on va dire qu’il n’a plus trop le cœur à aimer », mais vu le sourire qu’il arborait depuis ce soir, en compagnie de Mac, sa question était d’autant plus légitime. Toutefois, il éprouva un certain soulagement en apprenant que c’était nullement le cas. Il était ainsi libre de pouvoir l’inviter à dîner, de la séduire à nouveau. De toute manière, peu importe l’issue de leur relation, son frère continuerait d’arborer son sourire supérieur. Il posa son regard sur elle et se mit à sourire avec une certaine douceur alors qu’elle cherchait ses mots « Ça a été naturel ». Rien de calculé. Ils s’étaient laissé conduire par l’instant présent. Et c’était pour cela qu’il se montrait téméraire pour son invitation à dîner. En voyant son sourire, il comprit alors qu’elle n’était pas insensible à ses avances et ajouta « Pourtant la nuit dernière, tu m’as parlé ». Mais pour ce soir, le sujet était clos.
Installé dans le canapé aux côtés de son frère et face à Mac qui préférait la rudesse du sol plutôt que le confort du cuir, il prit alors conscience que la jeune femme était la cheffe du restaurant de son frère « J’étais convié en fin de soirée. Je ne pouvais pas changer mon planning à la dernière minute, même pour toi ». Même si, tout fin de compte, il aurait pu décaler sa venue pour Mac. Leurs regards se tournèrent en direction de David lorsqu’il s’éloigna pour répondre, et Henri reporta son attention sur la jeune femme pour l’interroger sur Donna. Elle avait rencontré quelqu’un. « La ville de l’amour. Tu as rencontré son ami ? » et posa son regard sur le chien, changeant ainsi radicalement de conversation, et se mit à rire doucement « David n’aime pas vraiment les chiens ». Il releva son regard sur son frère qui reprit place auprès d’eux que de manière momentanée, car il décida de s’éclipser, en oubliant même son portable. En l’absence de ce dernier, Henri tenta de faire la conversation, mais il sentait bien que Mac était plus préoccupée par son frère qu’autre chose « Vous ne vous voyez que les week-ends ? », puis se mit à sourire avec douceur tout en se levant pour la rejoindre en cuisine « Va le voir. Son état te préoccupe, alors va le voir. Je m’occupe du poulet. Mon frère est peut-être un profane en cuisine, mais personnellement, je me débrouille pas trop mal en la matière. Allez, va le voir ». Il lui prit la manique et la cuillère pour la sauce et ajouta « Qu’est-ce que tu fais encore là ?! » et désigna la porte d’entrée d’un signe de tête.