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LE TEMPS D'UN RP

"Il n'y a qu'une personne qui me donne l'impression d'avoir des ailes et de planer, et c'est toi." - Ft Charly

Charly
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Charly
Lun 14 Nov - 17:16

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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Judy s’était beaucoup rapprochée de Trish durant l’année écoulée. Elle avait été son seul lien avec Caleb. A mesure des conversations, une réelle amitié était née entre les deux femmes. « -elle se fait du souci pour nous… » ajouta Judy avec un sourire doux. Puis elle précisa bien vite : « -j’ai pas donné de détail hein ! J’ai juste dis qu’on s’était revu et que ça c’était plutôt bien passé… » avant qu’elle ne pense avoir tout gâché avec son besoin d’encadrer les choses. Enfin, ce soir cela semblait être bien loin. Elle se sentait bien, là avec lui. Elle aimait leur conversation, ses sourires et aussi cette façon de communiqué sans filtre. Peu à peu, les choses redevenaient normales entre eux. « -ah oui, tu marques un point… » s’amusa Judy au sujet des courbatures. « -faudra peut être attendre que j’ai terminé les travaux alors… » le taquina la jolie rousse avant de se reprendre : « -je plaisante ! » elle riait de bon cœur avant d’ajouter : « -les prochaines courbatures seront peut être à cause de toi… » bon d’accord, elle devait arrêter. Elle lui demandait de stopper la provocation et elle était pire que lui. « -ouais, c’est super dur je te jure ! » avait elle de nouveau répondu toujours sur ce ton taquin. Puis elle ouvrit la bouche, avant de la refermer pour le fixer en plissant les yeux. « -t’es un petit malin toi… » il marquait de nouveau un point. Mais clairement il pouvait continuer ainsi. Ça lui manquait tellement ces frissons le long du dos lorsqu’il embrassait son cou… Parfait me voilà rassurée. Fais de beaux rêves. Moi aussi je t’embrasse. Elle avait hésité sur les derniers mots. Mais à quoi bon résister.  

Judy s’était languie de retrouver Caleb. Vraiment, elle avait espéré que les jours allaient défilé rapidement pour pouvoir à nouveau passer du temps avec lui. Elle aimait retrouver cette complicité. « -comment ça tu n’as rien mangé de la journée ? T’as pas le droit à une pause déjeuner ? Je croyais que tu bossais à l’hôpital pas au bagne ! » elle avait commencé à sourire comme une gamine en le voyant arriver au loin. Elle n’avait fait que penser à lui à longueur de temps. En voyant le rouleau dont il s’était servi, en écoutant Eminem, en mangeant du pain ! N’importe quand ! « -pas trop mal et la tienne ? Planning chargé ? » il venait de lui dire qu’il n’avait pas eu le temps de manger.


Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mar 15 Nov - 18:06

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Caleb connaissait le lien qui unissait sa sœur jumelle à son ex-petite-amie. Ce qui le surprenait, c’était davantage le fait qu’elle ait parlé de leur retrouvailles avec autant d’aisance « Je sais… » répliqua-t-il avant de sourire avec amusement « Tu aurais pu. Je suis seulement surpris que tu en es parlé. Je me souviens d’une femme qui voulait garder notre relation pour nous quelques temps avant de l’annoncer ». C’était ce qui lui démontrait, une fois encore, que Judy avait évolué dans le bon sens, et qu’elle était plus en accord avec elle-même. Elle osait communiquer, vivre au grand jour sans se cacher. Le sujet dévia rapidement sur le sexe et le fait qu’il y avait des possibilités que la jolie rousse ne soit pleinement en forme le jour où ça déraperait entre eux deux et qu’ils finiraient par succomber, tout simplement parce qu’elle avait des courbatures. Un sourire qui contrastait avec son froncement de sourcils « Je… En fait, en toute sincérité, je pensais que tu voudrais attendre la fin des travaux, voire le lancement de ton école de danse ». En fait, il jouait avec la jolie rousse, mais il était surpris que la jolie rousse envisage un retour à eux deux aussi précoce. Il s’était préparé à ce que Judy se concentre uniquement sur son projet d’école de danse et que leur relation attendrait la rentrée, au minimum. « Mais si tu succombes avant, ça me convient ! » répliqua-t-il pour être clair sur ce point. Elle lui manquait terriblement au quotidien, et de l’avoir à ses côtés sans pouvoir faire un geste tendre vers elle était plus difficile qu’il ne l’aurait pensé. Alors si elle était prête avant ces quelques mois auxquels Caleb s’était préparé, il serait le plus heureux des hommes. Le cas contraire, il patienterait. Un regard ensuite pour son pantalon, puis pour la jeune femme « Comment tu sais ? » lorsqu’elle évoqua le fait que c’était dur de se contrôler. Le thérapeute haussa ensuite plusieurs fois les sourcils avec un sourcil « Tu n’as pas idée ! ». Pour autant, il ne réitéra pas son geste. La jolie rousse lui avait demandé du temps, et il ne voulait pas jouer davantage avec elle. Caleb tenait au fait de respecter le souhait de la jeune femme. Alors il resta sage quand il la déposa devant la maison familiale, ainsi que dans son message de retour.

En arrivant sur le bord de la rive de Seattle, un hot-dog en main parce qu’il avait plus que faim, il se hâta pour rejoindre la jolie rousse « J’avais une pause déjeuner, mais j’ai eu un imprévu. Un enfant a fait une crise de nerf dans une salle voisine, et j’ai dû intervenir. Au revoir le déjeuner » et mordit avec appétit dans le hot-dog et lui en tendit un « J’ai pensé à toi » et sourit « Planning chargé, en effet » répliqua-t-il et il pencha la tête en arrière en poussant un soupir en entendant son bipeur « Cinq minutes… » et regarda le message sur ce dernier. C’était le service des urgences. Un regard pour Judy « Tu m’accompagnes à l’hôpital ? Je ne pense pas en avoir pour longtemps et ensuite, on pourrait aller manger un morceau à la cafétaria ? Tu verras ainsi où je travaille et mon bureau » et ajouta « Je n’ai pas envie de te quitter au bout de cinq minutes. Je n’ai pas eu assez de toi », puis précisa « Je comprendrais que tu refuses et que tu préfères rentrer » alors qu’il se dirigeait vers la route pour trouver un taxi.

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Charly
Mar 15 Nov - 21:15

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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« -il n’y a pas de secret à faire. Et je… je voulais seulement la rassurer. » répondit Judy soudainement mal à l’aise. Est-ce que c’était un faux pas ? Caleb avait beau dire que cela ne le gênait pas, est ce que c’était vraiment vrai ? Judy aurait peut être mieux fait de tenir sa langue. Elle avait seulement voulu rassurer Trish. Peut-être aussi éviter qu’elle ne pose trop de questions alors qu’il n’y avait pas grand-chose à dire. Ils prenaient du temps pour se redécouvrir. Ce qu’ils faisaient à leur rythme à mesure qu’ils étalaient de la peinture sur les murs du studio. Le ton léger, les plaisanteries… Parler ouvertement de sexe alors qu’avant de connaitre Caleb, Judy était réfractaire à cela. Elle sourit face au mur avant de pencher la tête sur le côté et de regarder le beau brun. « -j’ai pas fixé de date précise… parce que c’est super compliqué d’être au régime alors que ce qu’on préfère est juste là, sous nos yeux… » elle plaisantait un peu bien entendu, surtout sur la façon de dire tout ça. « -on a dit qu’on laissait faire les choses alors… » elle haussa les épaules. D’accord ce soir, elle se contrôlait. Genre vraiment. Alors oui, elle savait qu’elle ne tiendrait pas longtemps. A un moment ou à un autre, l’envie serait plus forte. Il suffirait d’un regard ou d’un geste…

« -et tu ne pouvais pas prendre trois minutes pour manger un truc rapidement ? »
demanda Judy « -ok d’accord, on dirait ta mère… » elle venait d’en faire le constat toute seule. « -mais c’est important de manger convenablement. » elle n’avait pas envie de le voir dépérir. Il fallait parfois savoir poser des limites. Surtout au travail, même si elle avait clairement compris que Caleb aimait ce nouveau job. « -merci beaucoup. » le remercia la jeune femme en récupérant ce qu’il lui tendait. « -sérieusement ? Cinq minutes, oui, c’est exactement le temps qu’on vient de passer ensemble. » ironisa Judy avec un sourire en coin, le laissant consulter le message. Un petit rire : « -t’es au courant que tu me vends du rêve là ? La cafétéria de l’hôpital ? Certain c’est du cinq étoiles ça ! » elle se foutait de lui bien sûr. « -j’avoue que c’était un peu trop court à mon gout aussi… » elle avait attendu avec une certaine impatience de le revoir, et voilà qu’il devait déjà s’en aller. « -quoi ?! Non tu plaisantes ! » répliqua Judy en passant devant lui pour monter la première dans le taxi : « -je viens ! » clama t elle avant de grimper dans la voiture.

Elle n’avait pas une réelle envie de visiter l’hôpital. Ça n’était pas un lieu qu’elle affectionnait beaucoup. Mais si cela lui permettait de continuer la soirée... En arrivant aux urgences, elle dit : « -je t’attends ici d’accord ? Genre là-bas vers le distributeur. » qu’elle pointa du doigt. Elle le laissa filer et se dirigea vers la machine. Judy fouilla son sac à la recherche de quelques pièce pour prendre un café en attendant, et elle bloqua sur un homme en blouse blanche un peu plus loin qui arrivait droit sur elle. Enfin, il voulait surtout un café. Il la regarda, fronça les sourcils et dit : « -on se connait non ? » la jeune femme ne savait plus vraiment où se mettre. L’homme en face d’elle, c’était Paul… le type avec qui elle avait tenté un coup d’un soir, deux ans plus tôt. Celui a qui elle avait finit par dire stop parce qu’elle était incapable de ça.

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mar 15 Nov - 21:50

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Sans vraiment savoir pourquoi, Caleb sentit la jolie rousse être soudainement mal à l’aise lorsqu’ils évoquèrent Trish. Avait-elle mal interprété sa réaction ? Il rétorqua alors aussitôt « Tu as bien fait. Je suis sincère » et lui adresse un sourire doux pour qu’elle comprenne qu’il ne lui en voulait pas. Le thérapeute était seulement surpris. Rien de plus. Mais au fur et à mesure de la conversation, la jolie rousse se détendit de nouveau, et tout particulièrement lorsqu’ils parlèrent de sexe ouvertement. Un petit rire résonna dans le studio « Et c’est buffet à volonté ». Oui, il n’aidait pas Judy à rester sage, mais c’était la vérité. Lui aussi avait envie d’elle, de sentir ses mains, de l’entendre gémir sous ses coups de reins, sans parler de ses lèvres… Il avait envie de se réveiller à ses côtés le matin après lui avoir fait l’amour, et lui voler un baiser avant de se rendre au travail. Il fut toutefois assez surpris d’apprendre qu’elle n’avait pas de date précise à l’esprit. Laisser faire les choses. Caleb sourit « Tu as raison ». Ils se laissaient du temps, et ils savaient qu’il ferait bien les choses en ce qui les concerne. Tout ce qui importait au beau brun, c’était de construire un avenir avec elle. Peu importe comment ça se déroulerait entre eux. Il savait seulement qu’elle lui était destinée.

Lorsqu’ils se retrouvèrent dans le courant de la semaine pour une promenade, Caleb arriva la bouche pleine de hot-dog. Il n’avait rien mangé de la journée. Planning chargé. Il termina sa bouche en souriant alors que Judy le réprimandait « Un peu, oui » et avala sa bouchée « C’est exceptionnel. Promis. D’habitude, je parviens à prendre le temps de manger » et c’était la vérité. Mais son nouveau quotidien n’était pas rangé cette fois-ci. Il ne gérait pas son planning comme il le souhaitait. Parfois il avait des urgences, des imprévus, des crises à gérer. C’était aussi ce qui faisait le charme de son métier. Il avait tout de même pensé à lui apporter un hot-dog, mais son bipper considéra que la soirée touchait déjà à son terme. Il venait d’être appelé, à son grand désarroi, et à celui de Judy « Je suis sincèrement désolé » et il l’était. Lui aussi, il aurait préféré ne pas entendre la sonnerie. Il regarda rapidement le message qui s’affichait et lui proposa de l’accompagner avec dîner à la cafétaria à la clef « Je sais ! Je suis ce genre de type ! » rétorqua-t-il en plaisantant « Bien trop court… » souffla-t-il tout en posant son regard sur elle. Caleb s’était langui de cette soirée et ne l’avait pas imaginé ainsi. Un sourire amusé et un soulagement quand Judy se glissa dans le taxi.

En arrivant à l’hôpital, l’infirmière arriva rapidement vers lui, mais la stoppa un instant pour se concentrer sur Judy « Tu es sûre que ça va aller ? » et lui sourit avant de déposer un baiser sur sa joue, sa main frôlant la sienne « J’essaie de faire vite » et se concentra sur sa collaboratrice « Je vous écoute Cindy » « Madame semble souffrir de délire paranoïaque… J’avais pensé à de la schizophrénie et ne se laisse approcher par personne, mais elle est grièvement blessée ». En effet, sa patiente avait été percutée par une voiture et hurlait à chaque fois qu’un médecin tentait de l’approcher. « Madame… Madame Jones. Vous m’entendez ? Je suis le Dr. Hamilton. Je suis psychothérapeute. Je suis ici pour vous » et posa sa main sur son bras, mais elle se débattit aussitôt, en hurlant. Il retira donc sa main et demanda à l’infirmière de lui injecter un calmant pour que les médecins puissent procéder aux soins. Un soupir « Appelez-moi quand elle reviendra à elle » et se tourna vers Judy en pleine discussion avec un confrère. Il la laissa discuter quelques minutes, signant quelques papiers et s’approcha « Bonsoir Paul » « Bonsoir Caleb. D’astreinte ? » « Oui. Une patiente souffrant de schizophrénie apparemment » « Tu n’en es pas sûr ? » « Non, faut que je demande à effectuer des analyses » et regarda Judy « Vous vous connaissez ? ».


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Mer 16 Nov - 19:23

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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« -je veux prendre soin de toi à distance, c’est tout… » avait répliqué Judy pour se justifier, employant un ton plein d’humour, un joli sourire aux lèvres. « -je te crois ! Sinon tu aurais les joues creusées et… » elle se pencha pour regarder ses fesses : « -et là ça serait moins sympa à regarder. » elle était en pleine forme et de très bonne humeur. Passer la soirée avec Caleb la réjouissait et ça avait été son but de la journée ! Limite les heures n’avaient pas défilé assez rapidement. Sauf que… sauf que le biper venait déjà d’interrompre leur soirée. La jeune femme posa une main sur l’avant-bras de Caleb et dit : « -hé… c’est rien. C’est pas de ta faute si quand on se te connait on peut plus se passer de toi. » il l’avait prévenu qu’il pouvait être appelé à tout moment. « -heureusement qu’on avait pas dit ciné ! » s’amusa Judy une fois dans le taxi.

La soirée  prenait une autre tournure. Elle se retrouverait aux urgences, dans un cadre qu’elle n’affectionnait pas particulièrement. Mais bon, elle pouvait bien faire un petit effort pour passer du temps avec Caleb. Et puis, elle pouvait se faire une meilleure idée de son travail. « -oui ! Oui, oui t’en fais pas. Je vais prendre un café, manger un ou deux paquets de ces petits trucs aux chocolats qui croustille, essayer de t’en laisser un ou deux et puis tu seras revenu. » un frisson lorsque ses doigts sentirent ceux de Caleb, avant de le laisser partir. Comme convenu, elle se dirigea vers le distributeur. Et elle se retrouva face à face avec Paul. Avec le Paul ! Un sourire gêné et elle avait répondu sans trop se démonter : « -se connaitre c’est peut être un grand mot… on s’est… on s’est croisé, en soirée… il y a deux ans… » elle pria pour que ça lui revienne, parce qu’elle n’avait pas vraiment envie de dire à voix haute, qu’elle était la fille qui avait dit non.

Paul plissa les yeux et puis d’un coup… « -Judy ? Judy c’est ça ? » la jeune femme hocha la tête en grimaçant, mal à l’aise. « -c’est assez fou de se retrouver ici. Tu… tu es avec quelqu’un ? » il montra la salle des urgences, essayant de savoir si elle accompagnait quelqu’un. « -hum… je suis avec lui là-bas… » en pointa du doigt Caleb. « -tu connais Caleb ? » « -longue histoire… on a été ensemble, puis séparé et aujourd’hui… on prend notre temps pour mieux se retrouver. » mais pourquoi elle lui racontait ça ?! « -je sais pas pourquoi je te dis ça… » souffla Judy en rougissait presque, plongeant le nez dans son café pas terrible. « -vous prenez votre temps ? Dans quel but ? » Judy ne sut pas quoi répondre. Et lorsque Caleb s’approcha, elle ne sut pas vraiment quoi répondre à nouveau à sa question. « -on s’est déjà rencontré. Une fois. Il y a quelques années déjà. » précisa Paul à sa place. « -le temps passe trop vite Judy… » ajouta Paul en la fixant des yeux avant de leur souhaiter une belle soirée. Judy le regarda partir, avant de lever les yeux vers Caleb. « -c’était… Paul… » avec une légère grimace.


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Mer 16 Nov - 20:20

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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En voyant Judy sourire de la sorte, le thérapeute l’imita presque aussitôt tout en rétorquant « Je vois… Continue alors, parce que je crois que j’y prends goût ». Il aimait quand la jolie rousse se préoccupait ainsi de lui. Des petites attentions qui lui réchauffaient le cœur. Toutefois, il trouva utile de la rassurer sur le fait qu’il ne sautait pas ses repas quotidiennement. Cela relevait de l’exceptionnel, et il se mit à rire lorsqu’il la vit baisser ses prunelles claires jusqu’à ses fesses « Tu crois que c’est pour quoi que je m’enfile ce hot-dog en quatrième vitesse ? ». Il avait une soudaine envie de ponctuer sa phrase d’un baiser avant de glisser sa main dans la sienne et de marcher sur le bord de l’eau, mais le travail en avait décidé autrement en l’interrompant au bout de quelques minutes. Lui qui s’était langui de la retrouver et qui n’avait pensé qu’à Judy depuis leur dernière soirée… Il aima le contact de sa main sur son avant-bras et lui sourit avec douceur avant de rire doucement « J’avais espéré qu’ils parviendraient à m’oublier au moins le temps d’une soirée ». Il ne demandait pas grand-chose. Une unique soirée qu’il passait avec la jolie rousse, en tête-à-tête, à parler de tout et de rien « Oui, tu as eu raison de refuser ».

L’ambiance fut tout autre lorsqu’ils arrivèrent à l’hôpital. Le calme de la berge avait laissé place au brouhaha incessant des urgences, et il savait d’ores et déjà que Judy ne se sentirait pas à sa place dans cet environnement. Un sourire tendre se dessina sur les lèvres du beau brun en entendant la jeune femme se montrait compréhensive et patiente pour lui, pour son métier « Je vais essayer de faire vite et bien » et caressa ses doigts avant de la laisser partir et rejoignit sa patiente. Cette dernière se montra bien moins compréhensive et il n’eut d’autres choix que de lui injecter un calmant afin que ses confrères puissent faire leur métier correctement, sans crainte de prendre un coup. En attendant que cette dernière soit soignée et reprenne ses esprits, le thérapeute rejoignit la jolie rousse en pleine discussion avec un confrère, médecin également. Un hochement de tête lorsque Paul lui répondit qu’ils se connaissaient « Le monde est petit » répliqua-t-il en souriant à Judy et fronça les sourcils en entendant les mots de ce dernier. Il lui donna une tape à l’épaule « On se voit plus tard Paul » et prit place aux côtés de la jeune femme « Paul… » et ajouta un « Oh ! Ce Paul-là ! » et regarda l’intéressé « Tu étais tombé sur un bon parti en plus. Il est urgentiste ici depuis six ans environ. Il a quitté la Nouvelle-Orléans après son divorce » et regarda Judy « Pourquoi il t’a dit que le temps passait trop vite ? C’était par rapport au fait que ça faisait déjà deux ans que vous vous n’étiez pas revu ? ». Judy était bien tombé avec cet homme. Il avait accepté son retour en arrière sans broncher. Il s’était montré compréhensif vis-à-vis de son choix et Caleb le remerciait intérieurement d’avoir agit de la sorte avec elle.

« Je vais rester encore ici quelques heures. Ma patiente semble souffrir de schizophrénie, mais j’aimerais lui faire passer des examens… ça veut dire passer encore quelques heures à l’hôpital. Je suis vraiment désolé d’avoir gâché notre soirée… » et ajouta « On peut au moins aller dîner à la cafétaria. Je t’invite » et se leva, tendant la main à la jeune femme pour l’aider à se relever « Et le café y est bien meilleur ». Ils arrivèrent au petit restaurant d’hôpital pratiquement vide de toute présence « On peut prendre des frites ? » et passa commande et s’installèrent sur la terrasse pour respirer l’air frais de ce début de soirée « Je l’ai recherché pendant des mois Paul après que tu m’en ait parlé. Impossible de le retrouver. Et voilà que ce soir, tu tombes dessus par hasard » et prit une frite « C’est fou parfois comment se déroule les choses » et posa son regard sur elle « Ça va toi ? ».

Charly
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Mer 16 Nov - 21:04

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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Judy fit une petite moue du bout des lèvres et ajouta avec aplomb : « -j’avais pas prévu d’arrêter. » non, ça n’était pas au programme. Bon, elle trouverait peut être une autre façon de le faire, histoire que ça ne sonne pas comme si c’était sa mère qui lui faisait une remarque. Elle s’autorisa même à regarder les fesses de Caleb et à plaisanter. « -ils sont supers bons cela dit en passant ! » répondit Judy la bouche à moitié pleine. Mais la soirée fut bien vite écourté par le bipper de Caleb. Déjà ?! Judy était déçue, vraiment déçue que ce tête à tête n’ait durée que si peu de temps. « -c’est impossible de t’oublier. » avait elle répondu avec un double sens dans sa phrase. Elle comprenait parfaitement que le travail passe avant tout. Il l’avait prévenu et elle avait accepté la soirée en conséquence. Elle n’hésita pas une seule seconde à grimper dans le taxi, dans le seul but de passer du temps avec lui. Même si cela se résumait à être à l’hôpital.

Quelques mots échangés avec Paul et Caleb les avait rejoint. Judy adressa un petit signe de la main à Paul lorsqu’il décida de les laisser. Elle avait compris le message. Et cela lui fit remonter en mémoire une des dernières conversations qu’elle avait eut avec sa mère. La vie était trop court pour perdre son temps. Cela la fit sourire pour elle-même puis elle leva les yeux sur Caleb qui venait de capter. « -oui… ce Paul là… » elle écouta Caleb et ajouta : « -et bien tu en sais bien plus que moi sur son compte… on avait pas vraiment prit le temps de s’échanger ces genres d’infos à l’époque. » même si elle était convaincue que cela n’aurait rien changé à sa réaction. Bon parti ou pas, à la base cette rencontre était basé sur une histoire d’un soir. Qui n’avait pas eut lieu du coup… Elle regarda le fond du couloir où Paul avait disparu et répondit : « -non, ce n’est pas pour ça. » sans donner plus de détail.

« -hé non… t’as rien gâché du tout. » souffla Judy. « -tu m’avais prévenu que cela pouvait arriver. Je connaissais les risques ! » ajouta la jolie rousse avec un sourire complice. « -c’est pas grave, ne t’en fais pas. » elle n’était pas certaine de rester toute la soirée, surtout s’il était occupé. Mais ils pouvaient au moins aller manger ensemble, comme il venait de le proposer. « -ça me va. » elle saisit sa main et se leva à son tour, avant de jeter le café dans la poubelle la plus proche. Judy s’installa à côté de Caleb, et fronça les sourcils une frite entre les dents. « -pourquoi tu l’as cherché ? Tu pensais que j’avais loupé l’homme de ma vie ? » un léger rire. « -même si tu l’avais retrouvé, ça n’aurait rien changé. » c’était une véritable affirmation. D’une elle serait morte de honte de le revoir, de deux à l’époque, elle avait certainement déjà des sentiments pour Caleb, même si elle ne s’en doutait pas. Un soupire en hochant la tête : « -ça va oui… enfin je vais pas te dire que je suis super à l’aise d’être ici. L’hôpital c’est de mauvais souvenirs. » la maladie de sa mère surtout. « -mais ! » elle insista la dessus en levant son index : « -j’ai accepté de te suivre donc ne t’excuses pas à nouveau. C’est bon. Ça va. » elle ne voulait pas qu’il s’en veuille. « -tu penses qu’on a combien de temps devant nous avant qu’on ne te bip à nouveau parce qu’elle est réveillée ? » intérieurement elle priait pour qu’il dise au moins une heure. Une petite heure à passer ensemble, c’était déjà mieux que rien. « -ensuite si tu en as pour plusieurs heures, je rentrerais. » s’il était occupé, elle voulait qu’il puisse faire son travail convenablement sans avoir à s’inquiété pour elle.


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Mer 16 Nov - 21:39

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Le début de soirée s’était annoncé prometteur, mais de courte durée car le travail venait de l’appeler au service des urgences pour une consultation auprès d’une patiente nouvellement admise. C’était le métier qui voulait ça. Néanmoins, ça ne l’empêchait pas d’être déçu de voir leur soirée ainsi raccourcie. Enfin, c’était ce qu’il avait pensé jusqu’au moment où Judy décida de le suivre jusqu’à l’hôpital après qu’il lui ait adressé un sourire « Je ne suis pas le seul dans ce cas ». Elle aussi était difficile à oublier et la preuve en était que même après deux ans, le fameux Paul rencontré dans un bar lors d’une soirée, se souvenait toujours de la jolie rousse. Caleb n’en était pas jaloux. Au contraire, il trouvait presque amusant de voir comment la vie l’avait dressé à nouveau sur le chemin de Judy deux ans après et dans le couloir de l’hôpital « Quand c’est pour une nuit, on évite d’échanger ce genre d’information » rétorqua le beau brun en fin connaisseur de ce genre d’aventure. Il n’en restait pas moins que Paul était un bon parti et qu’il ne laissait pas insensible le personnel médical, féminin ou masculin. Il resta un moment silencieux en regard Judy avant de rétorquer avec amusement « Tu arrêtes ta phrase là ? ». Un nouveau silence avant que Caleb ne s’excuse à nouveau. Il n’avait pas imaginé que la soirée tournerait ainsi, surtout aussi rapidement « Entre connaître les risques et le subir, il y a un fossé tu sais… » et acquiesça en soufflant un « Ok ». Alors ils passeraient cette soirée entre les murs de l’hôpital.

Caleb lui proposa donc un dîner à la cafétéria. Du grand luxe qui se limitait à une assiette de frites. Un petit rire résonna dans le lieu presque vide alors qu’il prit une frite « Oui. Je me suis dit que c’était l’homme qu’il te convenait peut-être. Assez joli garçon pour que tu veuilles coucher avec lui et respectueux de surcroît » et fronça quelque peu les sourcils face à son affirmation « Pourquoi ça ? ». Oui, il était curieux de savoir pourquoi Judy venait de mettre autant d’aplomb dans sa réponse. Il porta sa main jusqu’à celle de la jolie rousse « Je sais… » et s’apprêtait à s’excuser, mais elle l’interrompit presque aussitôt, ce qui le fit sourire « Je n’ai rien dit ! » en mentant ouvertement à la jolie rousse plus pour plaisanter qu’autre chose et reprit quelques frites avant de regarder sa montre. Il avala sa bouche, puis répondit « Environ trois bonnes heures » et acquiesça « Je pense avoir le temps de te raccompagner jusqu’à chez toi » et reprit quelques frites « Je me rattraperais vendredi. Je vais vous faire un plat digne d’un cinq étoiles. Enfin, si ton père est toujours d’accord ». Il posa ensuite son menton dans la paume de sa main « Je n’ai fait que de penser à toi depuis lundi ». Elle lui manquait terriblement. Il porta la main de la jeune femme à ses lèvres, et se leva « Tu viens ? Je vais te montrer mon étage et mon bureau » tout en prenant l’assiette vide qu’il confia à la femme en charge de la cafétaria. Il posa sa main dans le dos de Judy et la conduisit jusqu’à l’ascenseur « Là, c’est l’ascenseur » et le beau brun se mit à rire. En arrivant à son étage, ce dernier était étonnamment calme « D’habitude, tu entends chahuter, crier aussi, parfois pleurer. On garde des enfants qui ont subi des attouchements, qui ont été trimbalés de famille en famille également et maltraités bien souvent, d’autres qui sont complètement perdus » et ouvrit une porte « C’est mon bureau ». Il y avait des dessins aux murs, un bureau à droite en bois quelque peu abimé trahissant le peu de moyen de l’hôpital public et donnant sur le reste de la pièce composée de quelques jouets dans un coin, d’un canapé pour ses patients et d’un fauteuil où il prenait place lors des séances. Sur le bureau, il avait déposé une photo de Judy « Comme ça, tu es toujours un peu avec moi » se justifia-t-il « Ce n’est pas une photo de toi nue dans une piscine, mais c’est agréable quand même » renchérit-il avec taquinerie.


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Jeu 17 Nov - 11:06

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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« -oui c’est sur… » ajouta Judy qui se rappelait parfaitement de ce que Caleb lui avait décrit de ses aventures d’un soir. C’était presque dans une autre vie. Etrange tout de même qu’elle soit tombée sur Paul ce soir. Amusant qu’il soit un collègue de Caleb. Elle retenait par contre la phrase qu’avait ajouté Paul en partant. La vie passait trop vite… Est-ce qu’elle était en train de perdre du temps avec Caleb ? A vouloir éviter de souffrir à nouveau, ils passaient à côté de jours ensemble… « -oui… » répondit Judy avec un sourire malicieux. « -je t’expliquerais… plus tard… » pas tout de suite, elle avait besoin de réfléchir à ça. Même si cela faisait écho à ce que lui avait également dit sa mère. Profiter de la vie… La douleur et les peines en faisaient également partie.

Finalement la soirée en tête à tête au bord de l’eau se transformait en repas rapide à l’hôpital. Elle l’acceptait. Caleb l’avait prévenu qu’il risquait d’être appelé. Pas de chance. Tant qu’ils parvenaient à passer quelques heures ensemble. C’était déjà ça. Assis autour d’une assiette de frites, Judy demanda pourquoi il avait cherché Paul à l’époque. « -parce que je n’aurais pas accepté de le revoir… et parce qu’à l’époque, je pense que j’avais déjà des sentiments pour toi, même si je ne voulais pas me l’avouer. Peut être que ce soir-là, je voulais te prouver que je pouvais être une des femmes avec qui tu passais du bon temps. Quoi moi aussi tu pouvais me voir ainsi… enfin j’en sais rien… » c’était loin maintenant. Elle était seulement heureuse de ne pas être tombé sur un con à cette soirée, que Paul se soit montré compréhensif. Elle avait peut être eu de la chance.

« -oui mais tu allais le faire. » bien sur qu’il allait lui présenter de nouvelles excuses. Hors il n’y avait rien de grave. « -trois heures ! » s’exclama Judy ravi d’entendre ça. « -c’est pas grave si tu ne le fais pas. Je prendrais un taxi et tout ira bien, ne t’en fais pas. » s’il devait rester ici, elle l’acceptait aussi. « -oui bien sûr ! Il est ravi que tu viennes. » elle avait hâte d’être à cette soirée. Judy posa ses mains exactement comme lui et ajouta : « -seulement depuis lundi ? » avec un sourire taquin. C’était son cas aussi. Il était dans ses pensées en continue. « -je te suis. » répondit Judy en se levant avant de ranger sa chaise. « -wahou… tu as un ascenseur à toi tout seul ! » elle se foutait de lui, avant de regarder les chiffres qui défilaient, évitant de laisser ses pensées divaguer… Elle avait tellement envie de l’embrasser, de se blottir contre lui…

Le ton changea légèrement lorsque Caleb évoqua le genre de personne qu’ils pouvaient trouver à cet étage. Elle ne savait pas comment il faisait. Elle serait incapable de rester debout face à tout ça. « -sympa… » souffla Judy en regardant les lieux. « -t’as pas de photos de moi nue dans une piscine. » précisa la jolie rousse en observant la photo quelques instant. Elle prit place sur le canapé et après un léger silence elle dit : « -la phrase de Paul tout à l’heure… c’était… il m’a demandé si on était ensemble. Alors je lui rapidement expliquer qu’on l’avait été et qu’on prenait de le temps de se rapprocher de nouveau. Il a trouvé ça… absurde je pense. » elle leva les yeux sur Caleb. « -et il a sans doute raison… »

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Jeu 17 Nov - 18:14

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Ce soir, ça serait rendez-vous en tête-à-tête au service des urgences de l’hôpital de Seattle. Ce n’était pas ce qu’ils avaient initialement prévu, mais le plus important était de passer du temps ensemble, rien que tous les deux. Cela permis également au Destin de faire intervenir Paul, le fameux Paul qu’elle avait rencontré presque deux ans auparavant et avec lequel elle avait bien failli passer la nuit, sans y parvenir. Parfois la vie était étrange, comme les paroles prononcées par son confrère avant de partir et qui avait aussitôt intrigué Caleb qui se mit à sourire avec amusement lorsque la jolie rousse décida qu’il allait patienter encore un peu « Tu joues les femmes mystérieuses ? ». Il ne lui en voulait pas. Judy lui en parlerait lorsqu’elle l’aurait décidé. En attendant, ils partagèrent une assiette de frites à la cafétaria et revinrent sur le sujet de Paul, et sur le fait que le thérapeute avait passé des semaines à tenter de le retrouver en vain. Caleb fut surpris de la réponse que lui apporta Judy et il éprouva une sensation étrange par la suite. Un mélange entre culpabilité de ne pas avoir su voir qu’elle éprouvait des sentiments pour lui et touché par le fait qu’elle avait tenté d’attirer son attention « Mais je n’ai jamais voulu que tu sois ce genre de femmes. Ces femmes ont été de passage dans ma vie, et toi, tu es la femme d’une vie, pas d’une nuit » répliqua-t-il avec sincérité « Tu me plaisais aussi… Je crois qu’à spéculer sur le regard de l’autre, on n’a perdu du temps tous les deux ». Ils avaient passés plus de temps séparés qu’ensemble ces deux dernières années, et le cœur de Caleb se serra à cette pensée.

Un petit rire suivit « Oui, j’allais le faire ! » mais il n’en fit rien. Il ne s’excusa pas à la demande de la jolie rousse et lui précisa qu’il avait sûrement trois bonnes heures avant de retrouver sa patiente « Je vais quand même essayer de me débrouiller pour te ramener. Ils peuvent bien se passer de moi une demi-heure » et évoqua le dîner avec le père de Judy. Ce dernier semblait ravi de le voir et Caleb baissa les yeux timidement face à cette révélation, touché par le fait que le père qui l’avait détesté au premier regard l’appréciait aujourd’hui « Bientôt ». Caleb se mit à rire doucement de nouveau « Je n’ai pas précisé le lundi de quel mois ou encore de quelle année. Tu occupes mes pensées jours et nuits depuis notre rencontre Judy Freeman » répliqua-t-il avec un petit sourire en coin, et avec cette envie de l’embrasser à nouveau. Il se leva et l’invita à poursuivre le rendez-vous à son bureau « Qu’est-ce que tu crois ?! Ils ont mis le budget pour me charmer ». Alors qu’en réalité, c’était déjà bien que l’ascenseur fonctionne encore. L’hôpital public souffrait d’un manque de financement, mais Caleb s’adaptait. Il lui présenta les lieux étrangement silencieux en cette heure de la nuit, ainsi que son bureau « Il va falloir y remédier » répliqua-t-il au sujet de la photo de Judy nue dans une piscine. Il laissa Judy prendre place dans le canapé et prit appui, quant à lui, contre le bureau, face à elle, ses mains s’accrochant au rebord du meuble. Caleb exprima un « Oh… » et fronça ensuite légèrement les sourcils « Que dois-je comprendre ? Tu ne veux plus de temps pour être sûre de toi, de nous deux ? » et ajouta « Tu sais Judy, on se moque de ce que peuvent dire les gens. Si toi, tu as besoin de ce temps, alors on le prend. Tant que je suis avec toi comme ce soir, c’est tout ce qui m’importe ».

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