"Il n'y a qu'une personne qui me donne l'impression d'avoir des ailes et de planer, et c'est toi." - Ft Charly
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Mer 26 Oct - 18:02
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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Les derniers jours avaient été difficiles pour Judy avec le diagnostic de sa mère, alors le beau brun avait voulu que pour le temps d’une soirée et d’une nuit, elle oublie tout cela et se concentre uniquement sur eux deux. Il avait installé un petit nid d’amour sur son balcon. Ce dernier n’était pas particulièrement grand, mais leur suffisait amplement. Assez pour y passer le restant de la nuit. Elle trouvait ça magnifique et c’était tout ce que voulait entendre le beau brun qui déposa bien vite ses lèvres sur les siennes. Il n’aurait jamais pensé aimer, et surtout aimer aussi fort. Un sourire contre les lèvres de cette dernière en l’intendant lui répondre. Bien vite, ils se retrouvèrent enlacés, entièrement nus, faisant l’amour à tendresse, et ce, jusqu’à l’orgasme qu’ils firent taire l’un et l’autre dans un baiser. Allongés au sol, sur le lit de fortune, Caleb serra la jeune femme tout contre lui, ses doigts dansant sur sa peau et resta un long moment silencieux, laissant seulement les bruits de la ville leur parvenir. Il profitait seulement de sa présence à ses côtés et rien de plus. Il embrassa sa peau et vint nicher son visage dans son cou, humant sa peau et sourit de bien-être. Il était tout simplement heureux.
Un sentiment qu’il n’était pas certain d’éprouver encore une fois quand il se retrouva sur cette terrasse en présence de l'ex-petit-ami de Judy… Il était parti soudainement et brutalement après avoir eu une aventure avec Amelia. Cette même Amelia grâce à qui il avait rencontré la jolie rousse… Pourquoi ? Fut sûrement le mot qu’il prononça le plus. Il n’était plus heureux avec la jeune femme, au quotidien et sexuellement, alors il était parti… Ce fut la douche froide pour ce dernier qui ne comprenait pas comment il était parvenu à tromper une femme telle que Judy. Peut-être n'était-il pas objectif en pensant cela, il l'aimait à en crever... Caleb le remercia pour son temps, un remerciement de convenance, et rentra chez lui. Judy devait passer le soir-même. Il annula, prétextant la visite d’un client sur le tard. Il n’était pas en état de la voir et elle saurait tout de suite que quelque chose clochait… Ce n’était pas peu dire. Il annula également le lendemain, puis l’après-lendemain tout en continuant de trouver telle ou telle excuse. Finalement, il prit conscience qu’il ne pouvait pas la fuir continuellement. Il lui demandait donc de passer ce soir, qu’il se ferait pardonner pour son absence. Il prépara le dîner, déposa des bougies sur la table du balcon et l’attendit patiemment jusqu’à son arrivée, l’embrassant à peine fut-elle arrivée chez lui « J’ai eu énormément de travail ces derniers jours, je suis désolé… Donc, pour me faire pardonner, poulet au caramel et ses petits légumes ». Mensonge…et l’embrassa une nouvelle fois « Comment tu vas ? et tes parents ? » Demanda-t-il tout en retournant dans la cuisine pour dresser les assiettes, non sans quelques regards pour Judy qui lui répondait. L’avantage quand on est thérapeute, c’est qu’on devient très talentueux quand il s’agit de garder des informations et de mentir… Seulement, il n’aurait jamais pensé devoir le faire avec Judy …
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Mer 26 Oct - 21:00
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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Après son anniversaire , Judy eut la sensation que sa vie reprenait peu à peu son court normal. Et ça lui fit du bien. Retrouver Caleb avait été une bouffée d'air frais. Elle avait commis une erreur en mettant de la distance entre eux. Mais cela lui avait permis de prendre conscience de l’importance de ses sentiments et de son attachement pour cet homme. Quand il annula ou reporta plusieurs fois de suite une soirée qu'ils devaient passer ensemble, elle ne se posa pas de questions. Elle savait parfaitement qu'il avait des clients, plus qu’avant… il aimait également parfois être seul chez lui… mais malgré tout elle fut heureuse de voir l’invitation à diner. Alors elle avait mis du temps à se préparer pour être belle pour lui. Tout sourire elle l’embrassa avec envie lorsqu’il ouvrit la porte. « -hey… c’est rien.. ne t’en fais pas je comprends parfaitement. » elle n’allait pas lui faire une scène alors que de son côté elle lui avait imposé une distance de plus de deux semaines. Et puis elle avait été pas mal prise aussi. Donc au final il n’y avait rien de grave.
« -ho heu.. et bien ça va. On va dire que c’est une bonne période. Ma mère est heureuse, mon père aux petits soins. Ça va… » ils étaient presque mignons tous les deux. « -et moi… ba ça va… j’ai deux entretiens pour changer de lycée. La semaine prochaine… on verra bien. » Tyler avait chercher avec elle où il y avait de la place. Maintenant à voir si elle pouvait correspondre. Elle avait mis de côté dans son esprit le tour du monde, se focalisant sur le besoin de rester ici, proche de ses parents. Elle n’en avait toujours pas parlé à Caleb… elle savait qu’il allait la pousser à partir. Tout comme sa mère. Sauf que pour l’instant, c’était impensable pour la belle rousse. Elle se glissa derrière Caleb qui était aux fourneaux. « -ça sent super bon… et je meurs de faim… » elle embrassa son cou en lui confiant qu’il lui avait manqué. « -et toi ? Ça va ? » Demanda Judy en prenant place pour manger.
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Mer 26 Oct - 21:37
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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L’entrevue avec Jeffrey avait quelque peu perturbé l’entremetteur qui venait de voir toute sa théorie s’envolait. Il ne l’avait pas quitté parce qu’elle était trop bien pour lui, mais parce qu’il considérait mériter mieux, en particulier concernant leur vie sexuelle dont il s’était lassé avec les années. Au lieu de communiquer comme il avait pu le faire avec Judy dès le début, ce dernier avait préféré la tromper avec nulle autre qu’Amélia, l’une des amies de la jolie rousse. Il savait que ces révélations allaient détruire la femme qu’il aimait, et ce fut pour cela qu’il s’autorisa quelques jours seul avec ses propres pensées, s’interrogeant sur la meilleure décision à prendre. Devait-il lui mentir comme il avait pu le faire concernant le père de cette dernière et les excuses qu’il n’avait jamais formulé à voix haute ? Ou encore ces trois derniers jours en prétextant une surcharge de travail ? Devait-il continuer de lui mentir en gardant le silence sur ce rendez-vous avec son ex-petit-ami qui lui avait brisé le cœur ? Sans parler de la trahison d’Amélia … Il avait cogité encore et encore, puis à l’issue du troisième jour, Caleb avait pris sa décision. Ne souhaitant pas maintenir cette distance davantage au risque d’inquiéter la jolie rousse, il lui demanda de passer chez lui pour la soirée et la nuit. Il avait préparé une ambiance tamisée sur la terrasse et avait passé un peu plus d’une heure derrière les fourneaux juste pour elle, pour se faire pardonner de son absence de ces derniers jours. Il avait également fait un effort sur la tenue vestimentaire en arborant un pantalon de costume et une chemise blanche qui ressortait parfaitement avec sa peau mate. Il se hâta jusqu’à la porte en l’entendant frapper et lui rendit son baiser avec tout d’envie qu’elle. Il s’excusa aussitôt de son absence et sourit avec douceur à sa réponse « Tu es belle » précisa-t-il en remarquant qu’il n’était pas le seul à s’être fait beau pour ce soir. Il lui vola un dernier baiser avant de retourner en cuisine.
Un regard pour Judy tout en souriant « Ça permet de raviver la flamme et de profiter de chaque instant comme si c’était le dernier. La vie a une toute autre saveur quand on comprend qu’elle est courte » et sourit davantage en apprenant la nouvelle que lui annonça Judy « Eh ! C’est génial ! » avant d’ajouter, tout en baissant son regard sur sa préparation pour dresser correctement les assiettes « Tu as eu des nouvelles de ton audition ? Je veux dire, tu as des entretiens, mais si tu es prise, tu auras un choix à faire » demanda-t-il avant de pencher légèrement la tête en arrière en sentant Judy venir se blottir tout contre lui « Ça tombe bien, c’est prêt » et savoura ce baiser et ces mots qu’elle prononça. Elle lui avait manqué aussi. Il saisit les assiettes et les déposa sur la table extérieure « Oui, je suis content d’avoir enfin du temps pour nous deux » précisa-t-il avant de porter sa première bouchée à ses lèvres. Il l’observa ensuite, se demandant comment Jeffrey avait-il pu faire pour la tromper, puis la quitter ainsi… Il avait envie de tout lui avouer, de tout lui dire, mais se retint. Elle apprenait à revivre, à reprendre confiance en elle, à aimer la vie, à être heureuse à nouveau, et il savait aussi que tout cela restait encore fragile. Puis il avait eu le diagnostic de sa mère… Il prit une bouchée et ajouta « Je pense refuser de nouveaux clients. Je n’ai pas envie de passer ma vie au travail et à devoir annuler nos soirées ». Il prit une gorgée de vin avant de se contorsionner pour fouiller dans sa poche de costume et déposa une clef sur la table « C’est celle de mon appartement. Tu n’auras plus à frapper avant d’entrer. Tu as les clefs » et se justifia ensuite « Je ne sais pas si c’est une étape normale dans la vie d’un couple, mais ça me fait bizarre quand tu frappes ou viens sonner… Je ne peux pas vraiment l’expliquer », puis l’observa un instant « Ça ne te fait pas flipper au moins ?! ».
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Jeu 27 Oct - 12:24
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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Un sourire tendre et elle avait répondu : « -merci… » en rougissant quelque peu, avant d’ajouter : « -toi aussi… très classe… » amusant de voir qu’elle n’était pas la seule à avoir fait un effort côté vestimentaire. Il lui avait manqué, et elle était heureuse de pouvoir passer la soirée avec lui. Judy se montra compréhensive alors qu’il s’excusait. Les rôles s’inversaient. « -c’est vrai… tu as raison… On avait parlé aussi d’espace personnel et de temps pour soit. On est pas obligé de passer tous notre temps libre ensemble. Et même si visiblement ça n’était pas du temps libre pour toi, il n’y a aucun problème. » elle comprenait. Elle ne lui en voulait pas. Et elle était même d’accord avec lui sur le fait que ça donnait encore envie de se retrouver, cette petite, grande sensation de manque.
Elle lui expliqua avoir deux entretiens pour changer de lycée et évita sa question suivante en venant se blottir contre lui pour parler petits plats. Elle avait faim de lui, mais l’amour ça ne nourrissait pas le corps. Et il avait prit le temps de cuisiner alors elle s’installa à table et de commencer à manger : « -j’adore ! » articula la jeune femme en portant sa main devant sa bouche parce qu’elle n’avait pas encore avalée. « -c’est délicieux. » ajouta t elle avec un sourire. « -c’est gentil ça… » le taquina Judy. « -tu ne peux pas te dédoubler de tout façon… même sans parler de nous. Au bout d’un moment ça fait beaucoup à gérer. Tu arrives à t’y retrouver entre les histoires de cœurs de tous les mondes ? » Puis elle fronça les sourcils en se demandant ce qu’il était en train de faire. L’espace de quelques instants elle prit peur. Et si c’était une bague qu’il lui sortait sous le nez ? Qu’est ce qu’elle allait dire ?! Ils n’avaient jamais parlé de ça d’ailleurs. Heureusement, ça n’était qu’une clé. Enfin… pas n’importe laquelle mais c’était un peu moins flippant qu’une bague et une demande. Elle l’écouta se justifier sur ce présent, et lui sourit avant de se moquer gentiment : « -terriblement ! Tu vas trop vite pour moi monsieur j’y connais rien en amour ! » en riant, elle se leva pour venir prendre place sur ses genoux. Le diner allait attendre. Elle passa ses bras autour de son cou et souffla : « -j’apprécie beaucoup ce cadeau… et ça peut être une étape logique dans une vie de couple oui. » elle l’embrassa et reprit en caressant ses cheveux : « -j’aime beaucoup que tu prennes ce genre de décision… ça m’évite de les prendre moi et que ça soit toi qui flippe. » c’était la stricte vérité. Elle le regarda avec amour durant quelques instants, et puis elle se décida enfin à lui en parler : « -je te l’ai pas dis l’autre jour mais… puisqu’on est dans l’avancer du couple… j’ai eu la réponse du casting. Et je suis retenue. » il n’y avait pas le moindre sourire joyeux sur son visage. C’était seulement une annonce. Un constat. Un truc qui ne collait plus vraiment à ce qu’ils vivaient maintenant. Et qui en vérité lui pesait un peu sur le moral.
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Jeu 27 Oct - 14:48
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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Cela ne faisait que quelques jours qu'ils ne s’étaient pas vus, mais c’était amplement suffisant pour que le manque se fasse ressentir. Elle avait terriblement manqué, et pourtant, ça avait été lui qui était à l’initiative de cette distance. Donc, pour se faire pardonner, il s’était fait beau et avait préparé le dîner pour la jolie rousse qui, elle aussi, avait décidé de se faire belle pour lui. Un sourire à son compliment « J’avais envie de me faire beau pour toi" avoua-t-il et s’excusa de ce temps qu’il n’était pas parvenu à lui accorder ces derniers jours, un sourire en l'entendant « Je parlais de tes parents ma puce » et précisa « En ce qui nous concerne, je n’ai pas envie de passer mon temps libre autrement qu’avec toi » déjà qu’au vu de leurs emplois du temps respectifs et de leurs loisirs, c’était difficile de s’accorder, alors non, Caleb ne souhaitait pas passer son temps libre à faire autre chose que d’être avec Judy.
Lorsqu'elle évoqua ses entretiens futurs, il ne put que la féliciter, mais sans lui rappeler son audition. Il nota son silence soudain face à sa question, et ne répliqua rien, profitant de son étreinte et de ses lèvres dans son cou. Ils finirent par passer à table et ne put s’empêcher de rire doucement en la voyant le complimenter sans attendre sur son plat « Merci », ravi de voir que le plat était à son goût. « Je trouve aussi « répliqua-t-il sur le ton de la plaisanterie et rétorqua « Ça commence à devenir difficile. C’est pour ça que j’arrête de prendre de nouveaux clients. Je préfère la qualité à la quantité, et pas qu’au travail » en sous-entendant qu’il l'appliquait également à sa vie privée. Ce fut pour cela qu’il sortit le double de sa clef d’appartement et la posa sur la table. Il se mit à rire doucement en comprenant qu'elle se moquait de lui « J’ai fait une recherche Google » plaisanta-t-il à son tour. Il s’essuya les lèvres et déposa la serviette sur la table avant d’accueillir Judy sur ses jambes, ses bras autour d’elle. Il fut soulagé de ce qu’elle répondit face à cette clef qu’il lui avait offert « Je ne suis pas si mauvais finalement » et lui rendit son baiser « Tu plaisantes ?! Je ne vais pas flipper. J’ai envie que tu te sente libre de prendre n’importe quelle initiative. Je ne vais pas fuir Judy. Tu m’entends ? Je reste avec toi » et l’embrassa à son tour avant d’entendre la suite…
Aucun enthousiasme dans l'aveu de Judy en lui apprenant qu’elle était prise pour faire le tour du monde. Il fronça alors légèrement les sourcils « Pourquoi tu n’es pas heureuse ? C’est génial ! », et précisa pour qu’elle ne se fasse pas de fausses idées « J’aimerais te garder auprès de moi, je ne te le cache pas, mais ce genre d’opportunités ne se présentent qu’une fois dans une vie » et reprit en la fixant « Qu’est ce qui se passe Judy ? Parle-moi, je peux tout entendre » tout en sachant pertinemment que l’état de santé de sa mère et leur relation nouvelle pesaient dans la balance …
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Charly
Jeu 27 Oct - 20:20
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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« -ah ! oh ! » capta Judy. « -oui.. mes parents… mais hum… c’est une façon de penser qu’on devrait s’appliquer également non ? » profiter de la vie, du moment présent… Forcement elle se sentit coupable quelques secondes lorsqu’il déclara qu’il voulait passer son temps libre avec elle. « -c’est un peu compliqué avec nos emplois du temps ce moment, c’est tout… » souffla Judy avec un sourire tendre. Il y avait une solution pour qu’ils se voient plus. C’était habiter ensemble. Mais elle ne savait pas si Caleb était prêt pour ça. Cela ne faisait que quelques mois qu’ils étaient couple. Pourtant, ils avaient passé l’un comme l’autre la barre des 35 ans… elle n’osait pas lui en parler. Simplement parce que son futur personnel était totalement flou. Elle voulait changer de boulot, il y avait la maladie de sa mère et puis sa réussite au casting dont elle n’avait encore rien dit.
Elle le félicita pour sa cuisine parce que c’était vraiment délicieux. Les cours avaient vraiment porté leur fruit. Elle trouva adorable le fait qu’il veuille limiter son emploi du temps professionnel afin qu’ils puissent se voir plus souvent. Elle avait des horaires bien plus simple que les siens. Lorsqu’il devait aider pour un rendez-vous, c’était la plus part du temps en soirée… Elle lui adressa un sourire tendre. « -j’apprécie vraiment tu sais… mais tu n’as pas à t’améliorer, la qualité est parfaite… » ce qu’ils vivaient c’était merveilleux aux yeux de Judy. Jamais elle n’avait imaginé retrouver l’amour ainsi. A côté de ça, son histoire avec Jeffrey était bien morne et pâle. Le coup de la clé, elle ne l’avait pas vu venir. Mais elle en fut ravie, même si pour le moment, elle se voyait mal rentrer comme ça chez lui, alors que son bureau était ici. « -je sais… » souffla Judy en le couvant du regard. Elle aimait l’entendre la rassurer là-dessus.
Elle se décida ensuite à lui révéler enfin, qu’elle avait été prise au casting. « -oui, je sais que c’est génial… » souffla Judy en aimant son enthousiasme. Son sourire s’élargit lorsqu’il se justifia : « -je n’ai jamais pensé cela. » elle savait parfaitement que depuis le début, il ne cessait de la pousser à vivre sa vie plus intensément. Il connaissait son amour de la danse. Un léger haussement d’épaules : « -et bien il se passe que si c’était arrivé il y a un an, je disais oui sans hésiter. Mais aujourd’hui… il y a ma mère… » il savait très bien l’impact que ça avait sur elle. « -et toi… et je… » elle se mordit les lèvres en baissant les yeux : « -je n’ai pas la moindre envie de m’éloigner de toi ou de mettre notre histoire en suspens durant une année. Les couples à distance la plus part du temps ça ne marche pas. Et même si je sais que tu as dis que tu viendrais me voir… il y a le décalage horaires, le prix des vols… » elle soupira : « -je n’arrive pas à prendre cette décision parce que je ne veux pas te perde. Nous perdre. Ce qu’on a là est ce que ça n’est pas plus précieux que ce rêve de danse ? Si je change de lycée, je pourrais très bien m’épanouir à nouveau d’un point de vu professionnel. Le tour du monde, on le fera ensemble. Plus tard. Mais tous les deux. » elle savait d’avance qu’il allait pousser à ce qu’elle accepte.
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Jeu 27 Oct - 20:49
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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Caleb lança un regard amusé à la jeune femme qui n’avait pas compris que les mots qu’il venait de prononcer étaient destinés à ses parents. En apprenant la maladie dégénérative de Christy, le père de la jolie rousse rendait leur quotidien plus doux. Les moments présents avaient une toute autre saveur. Les liens se resserraient et chaque instant prenait une certaine importance à leurs yeux. « Je vis chaque instant comme si c’était le dernier et chaque journée, comme si elle avait été écrite pour moi » répliqua le beau brun en citant, par ailleurs, Will Smith dans le film Hitch. C’était pour cela qu’il prenait soin de cuisiner pour la jolie rousse, de se faire beau, de mettre des bougies sur la table extérieure, ou qu’il souhaitait passer son temps libre à ses côtés « On arrivera bien à trouver un rythme de croisière. Ce n’est qu’une question de temps » répliqua Caleb avec assurance. Il ne craignait pas que tôt ou tard, ils parviendraient à s’accorder et à trouver une certaine routine dans l’organisation des moments passés l’un avec l’autre. Tout ce qui important à l’entremetteur, c’était de parvenir à trouver du temps pour elle, comme ce soir. Pour cela, Caleb était prêt à réduire sa clientèle pour octroyer davantage du temps à la jolie rousse, à leur relation, et sourit en entendant le compliment de l’intéressée « Merci… Je te retourne le compliment » répliqua-t-il en la regardant tout en portant sa fourchette à ses lèvres. Leur relation était au-delà de ses espérances. Lui qui avait toujours vu d’un mauvais œil la vie à deux, Judy lui faisait radicalement changer d’avis. Elle lui apportait tellement au quotidien qu’il ne voyait pas sa vie autrement qu’avec elle. Alors il fit un pas en avant pour lui montrer son engagement en lui confiant le double de la clef de son appartement. Ce n’était pas grand-chose, mais c’était un grand pas pour un homme qui ne connaissait pas grand-chose aux relations de couple. Un geste qu’elle aurait souhaité faire, elle aussi, mais elle nourrissait toujours cette crainte qu’il prenne peur et prenne ses jambes à son cou, alors il la rassura. Il allait nulle part. Sa place était là, avec elle.
Bon… Durant une année, sa place serait seulement émotionnellement à ses côtés car la jolie rousse avait réussi son audition. Pourtant, il avait l’impression d’être le seule enthousiaste face à la nouvelle et le lui fit remarquer. Un sourire quand elle le rassura sur le fait qu’elle n’avait jamais douté de son envie de la garder à ses côtés. C’était important pour lui qu’elle le sache. Cela ne l’empêcha pas pour autant de vouloir savoir la raison qui poussait Judy à hésiter. Sa mère… C’était compréhensible. Lui… C’était prévisible. Caleb la couva du regard avec tendresse, avec amour, au fur et à mesure qu’elle parlait. Elle l’aimait bien plus fort qu’il aurait pu penser. Oh ! Il savait qu’elle l’aimait, mais à ce point… ça ne le rendait que plus amoureux encore que d’entendre ces mots-là. Il posa sa main sur son visage et l’attira à lui pour l’embrasser avec amour et se recula avec lenteur « Et si on n’était resté que des amis ? Est-ce que tu aurais accepté malgré l’état de santé de ta mère ? » et ajouta « Je ne veux pas être celui pour lequel tu sacrifies ton rêve de danser durant toute une année. Tu es faites pour danser et je ne veux pas me dresser entre toi et ton rêve. Je veux que tu partes faire ce tour du monde et on t’attendra patiemment avec ta maman durant cette année. Et si je dois me ruinais en billets d’avion, je le ferais. Je m’en moque. Si jamais ça devait s’arrêter entre nous, tu pourrais regretter d’être resté pour moi. Je t’imagine tellement penser quelque chose comme… hum… Tu te rends compte Frankie ?! Je ne suis pas partie faire le tour du monde pour rester avec ce connard ! » tout en prenant une voix qu’il voulait féminine à l’excès pour l’imiter et reprit sur le même ton « Je regrette tellement ! Tu n’as pas quelle idée à quel point ?! Et Frankie répondrait quelque chose du genre : Oui, mais il était canon ! Si je jouais dans ton équipe ma chérie, j’aurais fait le même sacrifice. Ce à quoi tu répondrais : Oui, mais les danseurs aussi sont sexy à souhait ! », puis fronça les sourcils, jouant les faussement jaloux « Attends ! Il y a des danseurs avec toi ?! ». Il reprit avec sérieux « Accepte cette expérience Judy. Tu en as envie, non ? Je veux dire, si tu me mets dans un coin. Je ne fais plus partie de ta vie cinq secondes. Est-ce que tu accepterais ? ».
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Charly
Jeu 27 Oct - 21:39
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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« -bon d’accord, je dois l’appliquer à moi aussi ! » railla Judy avec un sourire de plus en plus amusé. Ils étaient cependant d’accord sur le fait qu’ils allaient parvenir à mieux accorder leur emploi du temps afin de se voir un peu plus souvent. « -c’était plus simple lorsque j’étais en vacances… » soupira cependant Judy. « -à Nöel… ça sera plus simple à Noël… enfin quoi que non, parce que ma mère va vouloir qu’on mange avec eux et j’imagine que dans ta famille c’est une fête importante alors… on partira en vacances ! Voilà ! Problème résolu ! » chantonna la jeune femme. Voir Caleb jouait sur son moral. Dans le bon sens. Comme ça avait toujours été le cas.
Enfin ça… c’était sans compter la décision qu’elle était censée prendre. Elle décida alors d’annoncer la nouvelle à Caleb. Il devait le savoir et puis il pourrait peut être l’aider. Même si elle redoutait déjà qui ne la pousse à accepter. Judy ouvrit la bouche au premier argument qu’il donna. « -je sais pas… j’en sais rien. » comment savoir ? « -si on était resté que des amis, et bien il y a aussi une probabilité pour que ma mère ne soit pas tombée malade ! » d’accord elle se faisait l’avocat du diable. « -mais je peux danser ici ! » le coupa Judy avant qu’il ne formule vraiment sa phrase. Il voulait qu’elle saisisse sa chance. « -quoi ?! » lança t elle en n’osant pas une seule seconde envisager qu’entre eux ça ne colle plus. Puis elle se mis à rire. « -je suis certaine que je ne te traiterais pas de connard si ça devait arriver. » commenta Judy en se prenant à son petit jeu. « -hum… ça elle l’a déjà dit. » qu’il était canon. Un joli rire sortie de sa gorge et elle répondit : « -oui il y a des danseurs. Mais ils n’ont pas du tout ton sens du rythme… » elle bougea les épaules en se moquant gentiment de lui. Elle appréciait vraiment cet échange. Cette douceur et cette décontraction. Cela l’aidait à déculpabiliser.
Mais son sourire s’estompa. « -fais pas ça… » souffla-t-elle. « -j’ai pas envie d’imaginer ça. Je n’ai pas envie de devoir faire comme si tu n’existais pas pour prendre cette décision. » elle le regarda quelques secondes avant d’ajouter : « -si tu n’étais pas rentrée dans ma vie, je n’aurai pas passé ce casting. Parce que j’aurais douté, encore et encore et je me serais dégonflée en me disant que de toute manière, je n’avais pas le niveau ou pas une seule chance d’être sélectionnée. » comment pouvait elle le mettre de côté ? « -j’ai envie de dire oui. Forcement j’en ai envie. Mais ce n’est pas pour danser à New York. Il s’agit d’une tournée mondiale d’un an ! C’est long un an. Et le monde c’est… loin… ou vaste… comme tu veux choisi. » un sourire tendre en penchant la tête sur le côté. « -et petit précision, si jamais toi et moi ça devait finir, je n’aurais pas de regret te concernant. Tu m’as tellement apporté et tu m’apportes tellement encore. Regarde rien que là ! La plus part des petits amis commun serait heureux que je dise que je reste. Toi tu me pousses à aller de l’avant. Tu prends ça avec le sourire, tu me félicites… » ça comptait tellement pour elle. « -et si dans un an quand je reviens on est plus les mêmes ? Je veux pas prendre le risque de te perdre. Et je sais je me répète. »
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Jeu 27 Oct - 22:09
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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Depuis que Judy avait repris le travail, ce n’était pas leurs emplois du temps qui les avaient empêchés de se voir. Le premier éloignement résultait de la nécessité, pour la jolie rousse, de s’isoler suite au diagnostic de sa mère. Quant à ces derniers jours, c’était davantage un souci de conscience chez Caleb qu’un souci d’emploi du temps… Mais il s’abstint de lui confier cela. Ça reviendrait à lui dire qu’il avait menti…. Une fois encore… Et qu’il avait retrouvé Jeffrey et qu’il s’était trompé sur les raisons du départ de ce dernier… Il ne le souhaitait pas. Il avait envie de profiter de cette soirée avec la jolie rousse, d’être avec elle, de rire avec elle, ou encore d’envisager Noël. Un Noël qu’elle voyait déjà partagé, chacun de leur côté, avec leurs familles respectives, ce qui n’était pas au goût de Caleb qui proposa une alternative « Et si on le fêtait tous ensemble. Nos deux familles rassemblées. Ils devront bien se rencontrer tôt ou tard et je pense que ton père appréciera de voir que mon père est chocolat blanc » en riant doucement « Je plaisante. Enfin quoique… Je n’ai pas envie de fêter les fêtes de fin d’année sans toi ». Il savait d’ores et déjà que Christy ferait l’unanimité auprès de sa famille, quant à Richard, il se lierait sûrement rapidement d’amitié avec son père. Un match à la télévision et ça réunissait les hommes, peu importe leurs croyances ou leur couleur de peau. Mais peut-être que Judy ne serait pas présente pour les fêtes de fin d’année. Cette dernière venait d’être acceptée pour l’audition et elle n’avait pas envie de le quitter pour faire le tour du monde durant un an. Évidemment, Caleb ne partageait pas son choix. Il ne voulait pas qu’elle sacrifie son rêve de danser juste pour lui, par peur de le perdre.
Il se mit à rire légèrement « Surtout que la probabilité que je tombe amoureux est aussi grande que celle de ta mère de tomber malade… En y repensant, je crois que j’ai craqué pour toi dès notre rencontre ». C’était sûrement pour cela qu’il s’était confié aussi facilement à cette dernière. Comme si son cœur avait eu avant lui. Elle le coupa. Il entendit son argument, mais poursuivit tout de même. « Je plaisante Judy » précisa-t-il en voyant que l’hypothèse d’une séparation la fit réagir aussitôt. Il s’amusa à imiter cette dernière qui le rassura sur le fait qu’elle ne le désignerait pas ainsi « C’est parce que tu es amoureuse de moi » et poursuivit dans son élan avant de hausser les sourcils « Oh ! Je ne le savais pas ». Il aima ce rire. Il lui faisait du bien « Vas-y ! Moque-toi ! » répliqua-t-il sans se départir de son sourire amusé tout en hochant de la tête « Pourtant quand on fait l’amour, tu aimes mon sens du rythme ». Il avait envie de la faire rire, de la détendre à sa manière. Cependant, ça ne dura qu’un temps parce qu’il reprit son sérieux et qu’elle aussi. Caleb l’écouta lui répondre, portant toujours ce même regard épris sur elle « Tu l’aurais peut-être passée pour fuir ce quotidien qui te déplaisait » tenta-t-il. Une hypothèse comme une autre « Après tout, tu n’as pas eu besoin de moi pour t’inscrire ». Elle l’avait fait seule, parce qu’au fond d’elle, elle savait que c’était le bon choix. Il entendit enfin ces mots ! Elle en avait envie « C’est loin et vaste ». Il caressa sa joue avec douceur en entendant les mots « Parce que je t’aime et que j’ai envie que tu sois heureuse, épanouie, que tu savoures la vie, que tu la croques à pleine dent, que tu sois égoïste, que tu penses à ton bonheur et surtout, que tu n’éprouves aucun regret ». Elle avait bien trop souffert ces six dernières années à cause d’un homme. Il ne voulait pas qu’elle se prive de vivre un rêve éveillé à cause de lui. Il croisa ses mains dans le bas du dos de Judy toujours assise sur ses genoux « Nous ne sommes plus les mêmes Judy. Tu es souriante, épanouie, tu es amoureuse, tu as des projets plein la tête, tu entreprends. Tu es différente de celle que j’ai rencontré quelques mois auparavant. Tu m’as changé aussi. Tu m’as aidé à trouver une définition personnelle de l’amour et c’est toi. Alors je t’attendrais ». Il la regarda, hésitant à lui parler de Jeffrey, mais s’abstint. Ce moment-là leur appartenait à tous les deux. Il ne souhaitait pas l’obscurcir avec cet individu. « Tu as le temps d’y réfléchir, alors prends-le. Je respecterais ton choix, quel qu’il soit » et déposa ses lèvres sur les siennes avec douceur.
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Charly
Ven 28 Oct - 10:33
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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« -nos deux familles réunis ? » s’étonna Judy en ouvrant de grands yeux devant l’idée de Caleb. « -ne te méprends pas j’adore l’idée. J’ai un peu de mal à l’imaginer c’est tout. » il savait très bien pourquoi. Ou plutôt à cause de qui. « -je suis certaines que nos mères deviendront grandes amies ! » ça c’était une certitude. « -mon père a fait des efforts pour mon anniversaire… et avec toi… alors… » elle roula des yeux. « -on peut toujours leurs proposer. » elle sourit : « -moi non plus… » bien sur qu'elle ne voulait pas faire les fêtes de fin d’année sans être avec lui… pourtant… si elle acceptait la tournée, ça serait sûrement le cas.
En parler à Caleb la soulagea d’un poids. Mais forcément il la poussa à voir l’opportunité qui se présentait à elle au lieu de prendre en compte les paramètres extérieurs. Lui et la maladie de sa mère. « -n’importe quoi ! Dans le genre emportée, coincée, pathétique je devais bien me poser là ! » Railla de nouveau Judy en levant les yeux au plafond. Elle bloqua ensuite sur l’idée douloureuse d’une probable fin de leur histoire. « -Jeffrey était un connard. Toi.. tu es tellement différent… parfois je me demande comment j’ai fais pour penser être amoureuse de lui. Ce que j’ai vécu avec lui c’était… c’était hors jeu. Ce n’est même pas comparable avec notre histoire en faite. Mais bon s’il n’avait pas existé, toi et moi on en serait pas là aujourd’hui. » Ou comment voir du positif partout. Elle tentait d’appliquer celui depuis quelques jours même si ce n’était pas facile.
Elle se mis à rire de plus bel : « -j’adore ton sens du rythme… et pas que au lit. » c’était la vérité, elle aimait qu’il se lance dans des chorégraphies rien que pour elle ou pour la faire rire. Tout comme elle avait aimé à leur rencontre qu’il souhaite apprendre. « -c’est Franky qui m’a inscrit ! Arguments rejeté ! » S’amusa la jeune femme en posant un doigt sur le nez de Caleb. Et puis finalement, ils mirent le doigt sur ce qui la retenait dans son choix. Ça n’était pas le manque d’envie mais la peur. La peur de le perdre. Que leur amour ne survive pas à la distance. Son cœur se gonfla d’amour en l’écoutant. « -je peux peut être que te mettre dans ma valise… » proposa la jolie rousse avec un sourire. « -d’accord… finis t elle par souffler. « -je dois aussi en parler à mes parents. » et là elle s’attendait à deux discours bien différents l’un de l’autre.
Ce qui fut le cas. Son père évoqua forcément la maladie et sans doute les dernières années de Christy. Mais sa mère… elle la pria presque d’accepter après avoir danser dans le salon suite à la nouvelle, tellement heureuse et fière de sa fille. « -je vais accepter… » souffla Judy alors qu’elle s’était lové dans les bras de Caleb juste après l’amour. « -ma mère me le demande presque comme une dernière volonté. » elle leva les yeux sur lui : « -sauf si tu as changé d’avis. »
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