Love isn't soft, like those poets say. ... (avec Gina)
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Gina
Dim 9 Juin - 0:16
< > Rafaela Dos Santos
J'ai 31 ans et je vis à New York, aux États-Unis. Dans la vie, je suis tueuse à gages et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis très bien. -> Brésilienne, a grandi à Rio -> Parle couramment russe, anglais et portugais
Pas sa faute ? Sérieusement ? C’était à elle de tirer pour les protéger de son ex- “frère”, point. Malgré tout, Rafaela ne dit rien, se lovant même dans les bras de l’inspecteur lorsqu'il l’enlace. Cela la tuerait de l’avouer, et elle ne comprend pas vraiment pourquoi, mais elle a vraiment eu peur de le perdre. C’est sûrement ridicule,
Alors, elle l’écoute attentivement lorsqu’il parle de Dimitri, mais cette fois, elle ne peut s’empêcher de répondre : - Inspetor, je comprends que vous vous inquiétiez, mais… s’il vous plaît, n’oubliez pas que ce combat, c’est entre lui et moi. Je sais que vous aussi, vous avez compris que même si c’est vous qu’il a blessé, c’est moi qu’il déteste. On a déjà eu cette discussion, mais je ne veux pas que vous me sous-estimiez ; ne prenez pas trop de risques pour moi.
Elle fronce les sourcils, se rendant compte qu’elle vient plus ou moins d’abdiquer sur ce dernier point, passant de “ne le faites pas” à “ne le faites pas trop”.
Quoiqu’il en soit, lorsque l’inspecteur lui suggère de prendre une douche, elle est soulagée, car ses pensées commencent à s'embrouiller. - Le sang n’est pas un problème pour moi, mais en effet, je devrais me laver.
Arrivée dans la salle de bains, elle se déshabille rapidement, et lance un jet d’eau fraîche, la plus froide possible. Pourtant, ses idées ne sont pas en ordre, et même le savon qu’elle applique avec vigueur sur sa peau n’y change rien. Finalement, c’est en enfilant un jogging et un débardeur que la jeune femme revient sur terre, trouvant ainsi la solution à une partie de ses tracas.
Ainsi, de retour au salon, elle annonce qu’elle va commander de quoi préparer une salade, et conseille à l’inspecteur de s’aliter, avant de lui proposer : - Je devine que l’incident d’aujourd’hui a été difficile pour vous, mais sachez que si vous voulez vous confier, je suis là.
Parce que s’il s’ouvre ne serait-ce qu’un peu à elle, elle se sentira peut-être un peu moins coupable.
-- HRP - Je suis pas très convaincue, ça te va ?
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Clionestra
Ven 14 Juin - 0:37
Hunter Walace
J'ai 35 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et ça évite bien des emmerdes. → Orphelin depuis une dizaine d'années. Agent de police depuis 15 ans. Il a commencé au SWAT. Workaholic
- Ce combat à cessé d’être entre vous et lui quand il m’a mit au milieu. Il n’a même pas essayé de parler avant de m’attaquer. Il voulait me tuer. Je crois qu’il pense que cela aurait pu vous faire souffrir et l’utiliser contre vous.
Il ne pensait pas être assez important dans la vie de la jeune femme pour ça, mais Dimitri avait pu se tromper et croire à plus. Après tout, elle l’avait embrassé, ce jour là dans le bar… et il l’avait embrassé, tout à l’heure… Bref. Il avait peut-être cru que ça la déconcentré que d’avoir sa mort sur la conscience. Mais ça n’arrivera pas, tout simplement parce qu’elle ne l’aimait pas, ne l’avait-elle pas dit, et qu’elle n’était pas le genre à laisser ses émotions prendre le pas sur sa mission.
- Je ne te sous-estime pas, continua-t-il en la tutoyant, mais je veux tout de même te protéger. Est-ce si mal ?
Il voulait la garder dans ses bras, bouclier humain face à ce qui pourrait lui arriver. Il ne voulait pas qu’on la blesse. Il avait compris les choses qu’elle n’avait pas dites depuis leur rencontre. Il y avait trop de personnes qui lui avait fait du mal pour accepter qu’un seul puisse l’atteindre à nouveau. Il la laisse partir dans la douche, se demandant, pour la première fois de sa vie, si ça serait si mal que ça de la rejoindre pour lui faire l’amour. Il rougit fortement et finit par vérifier ce qu’il peut faire comme repas : rien, il n’a toujours que des rations de survie… Et même cette pensée n’éclipsa pas l’idée de la rejoindre sous l’eau pour lui faire l’amour. Il ne voulait pas passer pour un homme soumis à ses pulsions, mais ses désirs étaient de ne pas la lâcher, et de profiter des baisers qu’ils pourraient échanger. Deux, c’était suffisant pour savoir que leur langue adore se rencontrer et danser. Quand elle revient, il lui fait un faible sourire avant de se rapprocher d’elle. Quand il se rapproche d’elle, il sentait la chaleur irradiait.
- Ce n’est pas la première fois que l’on me tire dessus, fit-il doucement avant de prendre sa main et de lui faire pousser le tissu de son-tshirt pour qu’elle touche sa clavicule, là où un impacte de balle resté… puis, il garda cette main et la fit descendre (par-dessus le t-shirt) vers son jean qu’il poussa aussi pour lui en montrer une autre, juste sur l’aine.
Doucement, il caressa la peau de la jeune femme alors qu’il posait sa main là, sur ses marques qui parsèment son corps. Oh, il en avait eu d’autres des bleus ou des marques, mais les deux impacts de balle présents étaient les plus marqués.
- Mon coéquipier m’a trahi pour la mafia japonaise et m’a tiré dessus, deux fois. Je le prenais pour mon frère, je lui faisais confiance. Alors, celle qui doit parler, savoir si elle va réellement bien, ce n’est pas moi. Moi, ce n’est pas une personne que j’aimais qui vient de tenter de me tuer.
Rafaela ne sait pas quoi dire. Est-ce qu’elle doit parler de son ressenti ? Pour dire quoi ? N’a-t-elle pas déjà évoqué tout ce qu’il y avait à évoquer concernant Mikhail, Dimitri, et même les autres protagonistes de sa misérable enfance ? Est-ce que, au final, le faire à nouveau ne serait pas, au mieux imprudent, au pire pathétique ? Elle hésite, mais l’étreinte de Hunter vient peu à peu à bout de ses convictions. - Le fait que tu essaies de me protéger n’est pas un problème. C’est juste que, dans ma vie, rien n’a jamais été gratuit... pas même la sécurité. Alors, excusez-moi d’être un peu méfiante.
Elle ne voulait pas être agressive, mais le ton est sec.
Avant qu’elle ne puisse rectifier le tir, il lui fait découvrir ses blessures. Ce n’est sûrement pas les pires qu’elle ait vues de sa vie, mais cela la touche d’une façon tout à fait inédite.
Autre fait inédit : elle se surprend à bafouiller, hésitant entre tutoiement et vouvoiement. - Je suis désolée de ce qu'il t’es… enfin de ce qu'il vous est arrivé.
À sa propre surprise, la Brésilienne se surprend à réconforter son coéquipier, en passant doucement ses doigts sur sa peau, puis ses cheveux. Par la suite, le sentant réceptif, elle voit ses doutes s’éloigner, ses hésitations disparaître, et surtout, leur corps se rapprocher.
Peu à peu, sa peau incandescente se colle à celle de l’inspecteur, étreinte réconfortante.
HRP - Désolée pour le temps de réponse
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Clionestra
Jeu 4 Juil - 21:15
Hunter Walace
J'ai 35 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et ça évite bien des emmerdes. → Orphelin depuis une dizaine d'années. Agent de police depuis 15 ans. Il a commencé au SWAT. Workaholic
HRP – Je ne sais pas vers où tu voulais te diriger mais je suis le mouvement, n’hésite pas à lui mettre un stop :’)
Il observe ses iris. Il cherche à lire dans son âme par les fenêtres si pures qu’il pouvait voir. La jeune femme touchait sa peau et l’incendiait tout entier… mais il fallait se calmer. Il devait se calmer. Il n’était pas un rustre. Encore moins un animal. Il était une personne digne de confiance et apte à repousser des pulsions malvenues. Il lui sourit doucement, un sourire rassurant et qui n’était pas habituel sur les lippes de notre beau policier. Il voulait la rassurer. Enlever cette méfiance dans ses prunelles et le remplacer par… parce quelque chose de plus fort encore.
- Alors faisons un échange. Je te donne ma protection, tu me l’échanges contre ton amitié.
Oui. Voilà. L’amitié et pas plus. PAS. PLUS. Sinon, il ne pourrait ne plus répondre de ses actes. Il avait envie de la toucher. Il frisonne, gémit un peu entre ses mains… Il aimait bien la douceur qu’elle met contre son épiderme. Elle se rapproche. Il frisonne encore plus, la chaire de poule remonte encore et alors qu’il hume son odeur il sent quelque chose craquer en lui.
- Et puis merde…
Il recule la jeune femme et passe sa main sur sa joue avant de prendre ses lèvres. Il l’embrasse douceur mais avec une certaine force. Il essaie de ressentir si elle était consentante ou non. Il ne touchait que son visage, de sa main, et la main de la jeune femme de l’autre. Il essaie de voir si elle accepte cette caresse, cette douceur. Il l’embrasse profondément, avec une déférence nouvelle avant de poser son front sur celui de la jeune femme et de prendre une respiration saccadée. Il reprit les lèvres de la jeune femme en soupirant contre elle, en lui transmettant un sentiment de protection, il l’espère, et de douceur. Il respire contre elle.
J'ai 31 ans et je vis à New York, aux États-Unis. Dans la vie, je suis tueuse à gages et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis très bien. -> Brésilienne, a grandi à Rio -> Parle couramment russe, anglais et portugais
HRP - J'ai voulu monter d'un cran, est-ce que ça va trop vite pour toi ?
- Mon amitié ?
Cela fait plusieurs années que Rafaela n’a pas eu d’amis, ni même de véritables proches ou compagnons de galère. Certes, ses copines de Miami étaient de très bonnes camarades de beuverie et de papotage, mais elle n'a jamais trouvé auprès de Mandy, Cindy, Britney, ou même des autres filles de Miami une relation comparable avec ce que certains appellent amitié. À l’époque, cela était impossible car elle vivait en menant une vie de perpétuelle fugitive, en mentant et en jouant constamment un rôle.
… Et aujourd'hui, ce sont les picotements que provoque la peau de Hunter contre la sienne qui semblent s’y opposer, comme si son épiderme enflammé voulait lui crier qu’entre eux, la simple amitié serait une illusion. D’ailleurs, il s’embrase plus encore lorsque l’inspecteur intervient à nouveau, pour rendre les armes, puis la touche, et enfin lui demande de le repousser. Car, à ce moment, pour la première fois depuis son évasion du bordel, un homme peut la toucher de cette façon, sans que ses muscles se raidissent, et sans que les horreurs vécues au bordel n’émettent des abysses de ses souvenirs.
Alors, poussée par ce feu qu’elle sent naître dans ses entrailles, elle répond avec fougue au baiser du bel enquêteur, ignorant sa supplique. Plus téméraire encore, elle se risque à grimper sur lui, pour lui affirmer, les yeux dans les yeux, d’une voix à la fois ferme et sensuelle : - Non. Je ne te repousserai pas.
Par une curieuse forme de méthode Coué, elle est là première convaincue par cette phrase, puisque, cela dit, elle plaque à nouveau ses lèvres contre celles de son coéquipier, guidant les mains de celui-ci sur ses hanches.
Dorénavant, tout est clair ; elle souhaite le sentir contre elle, en elle, et avec elle.
Elle le veut.
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Clionestra
Mar 9 Juil - 17:50
Hunter Walace
J'ai 35 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et ça évite bien des emmerdes. → Orphelin depuis une dizaine d'années. Agent de police depuis 15 ans. Il a commencé au SWAT. Workaholic
Il voulait de son amitié… mais la douceur que la jeune femme mettait dans leur contact avait de quoi le stoppait. Il voulait son amitié, mais il voulait plus. C’était pour ça qu’il avait finit par l’embrasser avec fièvre. Il y avait eu un instant où Rafaela n’était qu’une femme collègue pour une mission, et un autre instant où elle était devenue la plus belle femme du monde. Il l’embrassait et il sentait son cœur fondre dans leur danse. Il lui demande qu’elle le repousse. Elle refuse en sautant sur lui. Alors, il la soutient et continue leur baiser. Il la désire. Marchant simplement dans sa chambre, il la posa sur le lit.
Personne n’était jamais venu dans sa chambre. Sa chambre était la zone de protection, son bouclier contre la vérité du monde. Sa chambre était l’endroit où il se sentait le mieux, où il pouvait dormir. Il regarda un instant la jeune femme, ses cheveux entourant son visage d’ange, et il se pencha. Elle était à sa place auprès de lui.
Alors, il lui fit l’amour. Il vérifiait toujours dans ses réactions si elle était consentante. Rien ne lui fit plus peur que d’être comparé avec les hommes qui lui avaient fait du mal. Mais Hunter n’était pas un homme violent, ni dans les actes, ni dans les paroles et encore moins dans l’intimité. Il honora sa parole de ne pas lui faire de mal. Après l’amour, il s’endormit en la tenant dans ses bras, nu et heureux d’avoir pu partager avec elle un moment de pur bonheur.
Le lendemain, il ouvrit les yeux alors que la jeune femme était toujours endormit dans ses bras. Ils n’avaient pas bougé dans leur sommeil, de peur certainement que le charme ne se rompt. Mais non. Alors même qu’il venait de faire passer leur relation à une toute autre dimension, il ne regrettait rien. Hunter n’était pas le genre à faire une action pour l’arrêter par la suite. Il déplaça sa main pour se lever sans bruit. La laissant dormir dans son lit. Il rejoint le salon et la colère s’empara de lui d’un coup. Dimitri allait mourir. Il attrapa son téléphone.
- J’en fais une affaire personnelle, énonça-t-il à son collègue de travail au bout du fil.
Ce dernier ne demanda pas pourquoi. Sa blessure était encore douloureuse, bien qu’il l’ait totalement oublié en s’abandonnant dans les bras de la jeune femme. Il entendit un son sur son téléphone et regarda les deux photos d’un numéro anonyme qu’il venait de recevoir. C’était leur baiser dans la boîte de nuit, et leur autre baiser après la fête des mafieux. Il grogna. Un simple message. « Elle m’appartient ». Hunter eut un rire mauvais. Il ferma son téléphone juste avant que la jeune femme ne sorte. Il ne sait pas comment réagir, en réalité, avec elle. Alors, il laissa la table entre eux pour poser un café fumant. Est-ce qu’elle allait considérer que… comme le baiser qu’elle lui avait donné, elle avait oublié ? Il l’observe et réfléchit à quoi dire.
- Aujourd’hui, nous allons rendre visite à deux hommes en prison qui aurait connu Dimitri. Je n’ai pas envie de te mettre en danger, mais je n’ai pas non plus envie que tu quittes ma protection, alors dit-moi si tu as une meilleure idée.
J'ai 31 ans et je vis à New York, aux États-Unis. Dans la vie, je suis tueuse à gages et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis très bien. -> Brésilienne, a grandi à Rio -> Parle couramment russe, anglais et portugais
En se réveillant le lendemain matin, Rafaela met un petit temps à réaliser ce qu'il s'est passé la veille ; pour la première fois de sa vie, elle a fait l'amour avec un homme, pour de vrai. Elle ne s'est pas laissée baiser pour séduire, en échange d'argent, ou parce qu'elle était trop faible pour refuser. Non, cette fois, elle a vraiment participé, et donné autant qu'elle a reçu.
Et maintenant, à peine sortie des bras de Morphée, la Brésilienne se pose mille et une questions sur sa relation avec le beau policier ; Est-ce qu'il va lui rendre la monnaie de sa pièce, et faire comme si de rien n'était ? Est-ce qu'il va dire que c'était juste une erreur, un errement d'un soir ? Est-ce que... ça pourrait être le début d'autre chose, plus grand ?
Son cœur s’emballe, mais elle réussit à garder la tête froide, rejoignant rapidement sa chambre pour enfiler une nuisette qui, au final, ne montre rien de plus que ce qu’elle a déjà exposé cette nuit. Lorsqu'elle s’installe face à Hunter au salon, elle retient son souffle, laissant ses pensées intensives refaire surface.
Finalement, lorsqu'il aborde les avancées de l’enquête, elle est à la fois déçue de l’aspect formel de la discussion et soulagée de ne pas faire face à ces questions dès le matin.
Retrouvant son habituelle assurance, elle lance, presque instinctivement : - Je viendrai avec toi, et c'est moi qui veillerai sur toi.
Un quart d'heure plus tard, elle a enfilé un ensemble tailleur-pantalon noir, et grimpe dans la voiture de son coéquipier, prête à clarifier la situation. Ainsi, ils se sont tout juste élancés sur le bitume, qu’elle lance : - Si tu as envie de parler d'hier soir, je veux juste que tu saches que ce n’est pas grave qu’on ne se soit pas protégés ; mes derniers tests de MST étaient négatifs, et.. il n’y a aucun risque que je sois enceinte, aucun.
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Clionestra
Mer 10 Juil - 10:25
Hunter Walace
J'ai 35 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et ça évite bien des emmerdes. → Orphelin depuis une dizaine d'années. Agent de police depuis 15 ans. Il a commencé au SWAT. Workaholic
Hunter observait et essayait de trouver quoi dire à la jeune femme. Quand elle décida, elle aussi, qu’il valait mieux attendre pour en parler, il accepta. Il lui sourit quand elle dit veiller sur lui. Cela lui va aussi. Dans la voiture, il ne mit pas la musique et profita du calme et de la respiration de la jeune femme. Quand elle parla, il analysa ses paroles… mais avant toute chose, un sourire naquit sur ses lèvres… puis, doucement, un petit rire.
- J’ai tellement pensé à toi que j’ai complètement oublié la protection. J’en suis navré, continua-t-il de sourire.
Il aurait pu faire un effort et y penser, mais non. C’était mal. Il le sait. Mais il n’avait pensé qu’à lui faire l’amour, et à rien d’autre. Il avait pensé à lui faire du bien, lui montrer qu’elle pouvait avoir confiance… et il n’avait pas du tout pensé à tout le reste.
- Je n’ai pas peur. Et, on a plusieurs solutions pour avoir un enfant, si ce n’est pas possible naturellement.
Mettre les chevaux avant les …, il sait plus le mot à la fin… mais vendre la peau de l’ours avant de la tuer allait bien dans la situation. Il rit. Il se gare sur le côté, à une place qui ne dérange pas, et se tourne pour la regarder. Doucement, il tourna son menton vers elle et il l’embrassa doucement, avec tendresse. Il lui sourit encore. - Je ne fais pas l’amour avec n’importe qui. Je ne suis pas le genre à regretter mes choix. Et je suis le genre très sérieux dans une relation. Donc sache que si tu ne fais pas attention à toi, je risque de devenir le genre de petit ami autoritaire qui séquestre la femme qu’il veut pour ne la partager à personne.
Et il l’embrasse à nouveau avec son sourire sur ses lèvres. Bon. Il ne kidnappe pas les gens et il ne sait pas être violent MAIS, elle le sait, il n’a pas besoin de le dire.
J'ai 31 ans et je vis à New York, aux États-Unis. Dans la vie, je suis tueuse à gages et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis très bien. -> Brésilienne, a grandi à Rio -> Parle couramment russe, anglais et portugais
Elle aussi, elle rit maintenant. Au final, il a peut-être raison, peut-être que le fait qu’il ait pensé à elle au point d’en oublier de se protéger est, en quelque sorte, assez romantique. Une chose est sûre, elle ne lui en veut absolument pas, se contentant de laisser un sourire, peut-être un peu niais, se peindre sur son visage, mais aussi de laisser son cœur adopter un faux-rythme.
D’ailleurs, ce faux-rythme s’accentue quand il lui parle d’enfants. Elle comprend bien que c’est juste une idée qu’ils devront approfondir, mais se trouver face à un homme qui semble concevoir l’adoption comme autre chose qu’une simple voie de garage lui met du baume au cœur. En effet, si elle est assez ferme vis-à-vis de son projet d'être mère d’accueil ou éducatrice, elle doute bien plus de ses capacités à être une maman “définitive”. Maintenant, c'est elle qui met la charrue avant les boeufs, mais c’est peut-être pour le mieux.
Cerise sur le gâteau, la déclaration de son copain-coéquipier vient allumer dans son cœur le feu qui est né, la veille, dans ses reins. C’est pourquoi, elle acquiesce : - Je suis à moitié d’accord ; oui au sérieux, non au petit-ami autoritaire : je ne veux pas avoir à te montrer mes capacités d’évasion.
Elle dépose un baiser chaste sur les lèvres du beau brun, avant de lancer : - Il faudra qu’on parle de certaines choses ce soir, mais avant, on doit surtout aller cuisiner ces deux taulards.
Le moment où ses talons frappent à nouveau le sol semble être celui du retour sur Terre, mais, au lieu de ses doutes, c'est sa détermination à coffrer Dimitri qu'elle retrouve.
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Clionestra
Mar 23 Juil - 18:04
Hunter Walace
J'ai 35 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et ça évite bien des emmerdes. → Orphelin depuis une dizaine d'années. Agent de police depuis 15 ans. Il a commencé au SWAT. Workaholic
Il lui fit un sourire. C’était si rare sur son visage. Il avait presque l’impression de ne jamais avoir autant souris depuis qu’il l’avait rencontré. Il voyait le monde autrement, avec une petite pensée pour la jeune femme. Elle était liée à lui, désormais… et même si elle ne voulait pas d’un homme autoritaire, il comptait bien être un homme terriblement têtu si elle se met en danger. Elle avait prit un petit ami protecteur. Et il l’était devenu. Il ne pouvait pas être autrement que le copain protecteur, voulant empêcher la femme qu’il apprécie de se faire du mal. Il le ferait. Parce que Rafaela avait changé de statut. Elle était devenue bien plus importante que n’importe qui dans le monde. Hunter n’avait jamais vécu ça, mais il l’acceptait. Il ne pouvait qu’accepter.
- Je pense que j’aimerais te voir essayer de m’échapper. Seras-tu vraiment au sommet de ton art alors que tu ne désireras pas réellement partir ? Je me le demande.
Il fit un sourire taquin avant de répondre à son chaste baiser par un autre. Il acceptait d’en parler demain. Il finit par s’arrêter plus loin, devant la prison. Il sortit et il vit un vieil ami qui lui donna un high five. Hunter répondu rapidement mais sans grande conviction. Quand son ami essaya de flirter avec Rafaela, il lui donna un coup dans le genou. Son ami écarquilla les yeux, complètement étonné que Hunter protège ainsi une femme. Hunter montre les dents. Ils finirent dans une salle, tous les deux, alors que deux hommes plein de tatouage arrivèrent en face d’eux.