Love isn't soft, like those poets say. ... (avec Gina)
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Gina
Dim 6 Oct - 16:56
< > Rafaela Dos Santos
J'ai 31 ans et je vis à New York, aux États-Unis. Dans la vie, je suis tueuse à gages et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis très bien. -> Brésilienne, a grandi à Rio -> Parle couramment russe, anglais et portugais
Lorsque Hunter essaie de parler portugais, Rafaela éclate d’un rire sonore.
Malgré le contexte, leurs vies en danger, et la nécessité de mettre Poem hors d’état de nuire, ce rire, cristallin et chaleureux qu'elle ne se connaissait pas, emplit l’habitacle du véhicule, et la renvoie aux rares souvenirs joyeux de son passé, ceux du carnaval de Rio, auquel Mikhaïl ne manquait jamais de l’amener. La jeune femme se dit qu’il y a quelque chose d’insolite dans le fait que ce vieil homme russe soit celui qui l’a initiée à cette célébration.
Elle se promet d’y amener Hunter dès que possible, puis reprend la conversation. - Tu sais, je ne pense pas me lasser de toi avant un petit bout de temps. Alors, si toi aussi tu en as envie, oui, j’ai hâte qu’on refasse l’amour, sans penser à quoique ce soit… et sans être des coéquipiers (parce que coucher avec son collègue, ça me fait un peu bizarre).
Afin de parachever cette déclaration coquine, la Brésilienne dépose un baiser sur les lèvres de l’inspecteur Wallace, puis reprend leur conversation comme si de rien n’était : - Blague à part, je souscris à ton plan. J’entrerai l’adresse de la planque dans le GPS pendant que tu appelleras MacBest.
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Clionestra
Jeu 10 Oct - 21:10
Hunter Walace
J'ai 35 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et ça évite bien des emmerdes. → Orphelin depuis une dizaine d'années. Agent de police depuis 15 ans. Il a commencé au SWAT. Workaholic
Hunter se demande s’il est possible qu’elle se lasse un jour, réellement. Après tout, il n’a jamais eu de relation sérieuse. Il n’a aucune idée de ce qu’il doit faire, ou non, pour réussir à « garder » l’attention de la jeune femme sur lui. Il ne lui en voudra pas, de toute manière, si elle décide de le laisser. Il ne lui dit simplement pas pour garder son égo à flot.
- Depuis notre nuit ensemble, je ne te considère plus comme ma coéquipière. Je te l’ai dis, je ne couche pas que si c’est sérieux. J’ai hâte moi aussi, de toutes les choses que tu accepteras de m’offrir.
Pas seulement son corps et des relations charnelles. Il veut bien qu’elle comprenne. Il est ravi aussi de la confiance qu’elle lui porte, de ses mains enlacées avec les siennes, de son sourire. Il est content de savoir que la jeune femme le porte dans son cœur et c’est ça dont il a hâte. De chaque fois qu’elle lui montrera la preuve qu’elle ne joue pas un jeu. Elle ne l’a pas séduit pour le manipuler. Elle ne l’a pas séduit. Leurs sentiments sont bien plus purs que ça. Il sourit à la jeune femme. Il prend son téléphone et appelle MacBest.
- Mon pote, est-ce que tu aurais une planque pour nous… Je note. C’est noté. Le code ?... Je ne connais pas l’anniversaire de ta femme par cœur. Pourquoi est-ce que je connaitrais ça ? Bon. Ok. Le numéro du dossier de Walter C. Perkins ? Oui, je connais. C’est les mêmes chiffres ? Ok. Parfait. On se rejoint là bas quand tu peux. Et Willy, c’est devenu personnel.
Il raccroche. Cela suffit. Il conduit jusqu’à la planque, sans lui donner l’adresse exacte au cas où la ligne serait surveiller. La maison était petite, dans un quartier dit chaud… mais elle a toutes les protections adéquates. Il lui ouvre la porte et reçoit un message.
- MacBest arrive dans la soirée, et on pourra tout prévoir dans la nuit. Cela te convient ?
D’ordinaire, il ne ferait pas trop attention à ce que la jeune femme désire pour la mission… mais comme il l’a dit un peu avant, elle n’est plus une simple coéquipière. Alors, il veut être sur de ne pas être trop « dirigeur » de vie pour le bien de leur… couple. Ce mot percute son esprit et il sourit. Ouais. Pour le bien de son couple.
Encore une fois, Rafaela est agréablement surprise.
Si elle est peu habituée à entretenir une telle complicité avec un autre être humain (qui plus est un homme), elle l’est encore moins à ce qu’on lui demande sincèrement son avis. D’ailleurs, elle aussi, elle a hâte de voir ce que l’avenir avec Hunter lui réserve… Et ce qu’il lui offrira, au-delà du sexe passionné ; même si la Brésilienne est impatiente de refaire l’amour avec lui, elle espère bien plus de la vie avec lui… comme une oreille attentive.
C’est pourquoi, lorsqu'elle comprend qu’ils ont un laps de temps non négligeable avant l'arrivée de MacBest, elle a une idée. - C’est parfait pour moi, azucar.
Se blottissant contre lui, elle confie : - Tu sais, il y a quelque chose dont j’aimerais te parler, mais… je ne sais pas si c’est le bon moment. À vrai dire, je pense même que les circonstances ne s’y prêtent pas du tout. Mais, dans la tanière de Poèmes, beaucoup de choses peuvent arriver, et… si… si je dois disparaître, j’aimerais que tu saches certaines choses sur moi avant d'aller de l’avant. C’est toi qui vois.
Elle essaie d'appuyer ces mots en plongeant ses prunelles dans celles du beau policier, dont le regard lui paraît désormais insondable.
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Clionestra
Ven 18 Oct - 21:18
Hunter Walace
J'ai 35 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et ça évite bien des emmerdes. → Orphelin depuis une dizaine d'années. Agent de police depuis 15 ans. Il a commencé au SWAT. Workaholic
Il s’étonne, toujours, de revoir la relation qu’il a tissée avec la jeune femme. Peu de temps s’est passé… mais beaucoup aussi, par l’amour qui a commencé à se former entre eux. Hunter pense qu’il a trouvé la seule femme qui peut lui faire vivre ça. Il n’a jamais connu ça. Et il ne compte pas la perdre. Il est comme ça. Il ne peut pas être autrement que passionné. Il n’a jamais connu ça. Et il ne compte pas mal faire… Il prend la main de la jeune femme.
- Nous en parlerons à la plaque mon amour. Je veux tout savoir ce que tu as à dire.
Il caresse cette main et continue de rouler en faisant attention à la route. Il finit par trouver la maison. Il se gare et l’aide à venir à l’intérieur. Il ferme la porte et l’embrasse doucement, il la tient contre lui. La planque est vide de toute familiarité, elle est comme un catalogue ikea. Fonctionnelle mais vide. Il l’amène à un canapé et s’assoit à côté d’elle. Il lui prend la main.
- Ne t’en fais pas, il n’arrivera pas tout de suite, alors qu’est-ce qui te perturbe ? Je suis là pour toi, mi amor, essaie-t-il encore avec cette autre langue qu’il ne maitrise pas.
Rafaela sent son pouls s’affoler, et elle ne sait déjà plus si elle doit être soulagée de l’oreille attentive que lui tend Hunter, ou affolée à l’idée de replonger dans son passé. Néanmoins, elle profite du trajet pour reprendre le dessus, et, domptant le vertige de ses souvenirs, s’installe dans le canapé de cette planque qui, par son vide, ressemble presque à l’appartement de son coéquipier.
Désormais en confiance, elle écoute attentivement les paroles rassurantes de son petit-ami, et entrelace leurs doigts pour lui montrer qu’elle se sent en sécurité.
Après une grande inspiration, elle plonge son regard dans le vide et commence : - Tu sais, la prostitution m’a pris beaucoup de choses ; mon innocence, ma dignité, mon adolescence, mais ce que je regrette le plus d’y avoir perdu… C’est l’espoir de porter la vie un jour.
Une première larme roule sur sa joue droite, charriant bien trop de douleurs pour ne pas en entraîner une autre. La Brésilienne doit les essuyer avant de reprendre son récit : - J’avais 17 ans, et je faisais le trottoir depuis 2 ans. Un client m’a filé une saloperie de chlamydia. Je l’avais déjà eue, et je m’étais faite soigner dans un petit dispensaire humanitaire, mais cette fois, c’était différent. Le traitement habituel n’a pas marché, et j’aurais dû aller à l’hôpital, mais mes maques n’en avaient rien à foutre ; pour eux, je devais continuer à bosser avant de “mériter” cette hospitalisation. J’avais pas le choix, alors, j’ai continué. Ça faisait tellement mal…
Les larmes roulent encore, tandis que les images et sensations de ces jours terribles reviennent à sa mémoire. Cependant, encore une fois, puisant une force qu’elle ne se connaissait pas, elle parvient à poursuivre : - Finalement, je me suis évanouie après une passe, et une autre fille a réussi à les convaincre de m’amener à l’hosto. Je me suis réveillée quelques heures plus tard, et le gynéco m’a dit en me toisant qu'à quelques heures près, je serais probablement morte. Après ça, il m’a annoncé que la chlamydia avait eu le temps de remonter dans mon utérus et d’y faire des dégâts, donc qu’il avait dû me faire une hystérectomie.
Elle l’a fait. Elle lui a tout dit, du moins dans les grandes lignes, de cet événement qui lui a ôté le sentiment d’être tout à fait une femme. Il lui reste seulement à ajouter : C’est peut-être étrange ou égoïste, mais depuis mon plus jeune âge j’ai toujours su que je voulais être maman un jour, pour faire mieux que mes géniteurs. - Aujourd'hui, j’ai 31 ans, je sais que ce ne sera peut-être jamais possible… et je ne peux pas m’empêcher de trouver ça profondément injuste.
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Clionestra
Jeu 24 Oct - 20:26
Hunter Walace
J'ai 35 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et ça évite bien des emmerdes. → Orphelin depuis une dizaine d'années. Agent de police depuis 15 ans. Il a commencé au SWAT. Workaholic
Hunter garde la main de la jeune femme dans la sienne. Il la regarde doucement, avec une lueur rassurante au fond de ses prunelles. Il ne veut pas qu’elle se sente mal de lui parler. Il veut qu’elle se sente apte à tout lui avouer. Il caresse doucement la main du pouce. Toujours. Qu’elle n’oublie pas sa présence auprès d’elle. Il ne la lâchera jamais. Il l’écoute tranquillement. Il sait tout ce qu’elle a pu perdre. Il ne parle pas. Il a compris qu’elle voulait donner la vie avec la discussion de la dernière fois, mais il ne savait pas que c’était son rêve. Il tenait encore sa main. Doucement, il approche ses doigts de son visage et il rejette les larmes. Il tient son visage. Il l’aime. Il embrasse doucement ses lèvres, comme les pattes d’un papillon qui se pose sur les pétales d’une fleur fragile. Il colle son front au sien.
- Si ton désir, c’est d’être mère… Il y a d’autres méthodes que d’être enceinte. Rafaela…, je te propose que tu me laisses le temps de faire passer mes mains sur ton corps, pour te faire oublier tous les autres. Me laisser embrasser ton épiderme pour te faire oublier les bouches de ceux qui t’ont fait du mal… et quand ton corps et ton âme seront apaisés par ma présence, alors nous pourrons penser à des solutions. L’adoption d’enfant qui ont en besoin, une mère porteuse, une opération dont on ne connait encore rien.
Il l’attrape pour la tenir contre son corps, il la soutient et il continue de lui faire de tendre caresse sur sa peau. Il ne sait pas quand son animosité pour elle s’est transformé en amour, mais c’est ce qu’il est devenu. Un amour transcendant. Il continue de lui tenir le visage.
- Tu es la femme la plus incroyable que j’ai eu le plaisir de voir. Non pas pour tes talents de tueuses, dont je me serais bien passé sur ton C.V., ni sur ceux d’avant, non… mais pour le cœur que tu as. Mi Corazon, tu es la femme que j’aime et ne croit pas que ton passé me dégoute. Enfin, il me dégoûte, mais parce que j’ai envie d’émasculé avec un couteau rouillé les hommes qui t’ont blessés, pas à cause de toi.
J'ai 31 ans et je vis à New York, aux États-Unis. Dans la vie, je suis (étonnamment)collaboratrice de la police et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien, même si je n'ai pas l'habitude d'être aimée. -> Brésilienne, a grandi à Rio -> Parle couramment russe, anglais et portugais
D’autres méthodes… C’est vrai qu’elle y a déjà pensé, les a explorées, soupesées, ou même comparées, mais entendre Hunter en parler, c’est tout autre chose, comme si, d’une certaine façon, les hypothèses désormais portées par la voix suave du beau brun devenaient plus réelles, plus crédibles.
Et avec cette douceur, que dans ses mots, ses gestes, ou ses caresses, la Brésilienne ne peut pas s’empêcher de se dire que quelque soit la manière d’y parvenir, son petit-ami sera un bon père… Si c’est ce qu’il veut vraiment. - Tu sais, on aura encore beaucoup de temps pour en parler, mais, même si c’est important pour moi, je ne t’obligerai jamais à avoir un enfant si ce n’est pas ce que tu désires… J’en connais trop bien les dégâts.
Peau contre peau, elle se sent presque fondre dans ses bras, et contient difficilement les larmes qui lui montent lorsqu’il la rassure à propos de son passé. Non, il ne la trouve pas sale ou d’une moindre valeur à cause de ses anciennes activités. Oui, il voit en elle une femme au coeur en or, digne d’amour et de tendresse. Oui, il l’aime.
- Je crois que je n’ai pas besoin que tu me venges, mais plutôt que tu prennes soin de moi… et tu le fais merveilleusement bien. Et si toi aussi, tu as besoin de te confier, sache que je suis là pour ça. Je t’aime, inspetor Wallace.
Ainsi, malgré ses dernières larmes, lorsqu’elle dépose un nouveau baiser sur les lèvres du beau brun, Rafaela retrouve à la fois son équilibre, et sa détermination.
- Et maintenant, allons arrêter le pire meurtrier de la décennie.
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Clionestra
Dim 27 Oct - 21:30
Hunter Walace
J'ai 35 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et ça évite bien des emmerdes. → Orphelin depuis une dizaine d'années. Agent de police depuis 15 ans. Il a commencé au SWAT. Workaholic
Hunter ne s’est jamais imaginé père. Pour dire la vérité, son esprit s’arrête souvent au lendemain. Il n’a jamais pensé à faire de plan pour son avenir, juste le présent et l’insouciante poursuite du temps. Il ne s’est jamais imaginé père, mais il ne s’est jamais non plus imaginé ne jamais être père. C’est juste qu’il n’ait jamais pris le temps de se poser la question. Il rigole un instant en caressant la peau de la jeune femme de sa main, contournant sa mâchoire et continuant en remonter sur ses pommettes, ses sourcils et redescend sur l’arrêt de son nez.
- Il n’y aura aucun dégât au fait que nous soyons parent, Rafaela. Oublie tout ce que tu penses savoir sur les hommes, parce que je suis le seul qui compte.
Il ne faut pas toujours partir du principe que la vie finira ensemble… ils peuvent se faire tuer demain, ou elle peut arrêter de l’aimer, ou ne plus vouloir de lui… mais à quoi bon avoir une relation avec une personne, si ce n’est pas pour faire son maximum et voir sa vie avec elle ? Pourquoi ne pas tout faire pour que ça fonctionne, du premier coup, sans attendre les longueurs scénaristiques qu’il faut. Il sourit en la prenant contre lui, rassurant cette femme qui a besoin de ce moment de parfaite harmonie entre eux pour savoir « la vérité ».
- Princesa, alors. Je te traiterais comme la reine de mon royaume, le cœur de mes organes, la lune de mes nuits et le soleil de mes jours, fait-il avec un doux sourire sur les lèvres. Je t’aime aussi, malgré que je ne comprenne pas comment j’ai pu tomber ainsi amoureux, moi qui penser avoir un cœur de pierre.
Il rigole. La jeune femme fait souvent des réactions comme ça. Elle parle, elle essaie de découper son cœur et le montrer à lui, mais au lieu d’y aller en profondeur, elle parle de leur mission. Il caresse son visage. Ils ont le temps pour parler de la mission. Il l’embrasse doucement, calmement. Il se penche et l’embrasse en souriant. Il finit par la faire se lever et la faire tourner contre elle, comme s’ils dansaient. Puis, on sonne à la porte.
- Merde, le voilà.
HRP – Je te propose que tu joues McBest, pour dire les choses diverses dessus, et ensuite qu’elle lui répond à lui sur les choses à faire comme ça on fait directement la mission.
J'ai 31 ans et je vis à New York, aux États-Unis. Dans la vie, je suis (étonnamment)collaboratrice de la police et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt bien, même si je n'ai pas l'habitude d'être aimée. -> Brésilienne, a grandi à Rio -> Parle couramment russe, anglais et portugais
"Sauvée par le gong…” se surprend à penser Rafaela, sans vraiment comprendre ce à quoi elle voulait échapper… Du moins sans oser se l’avouer. Quoiqu'il en soit, elle se focalise sur son petit-ami qui s’avance vers la porte pour accueillir McBest. Lorsqu’elle voit les deux hommes échanger une poignée de moins et quelques mots, elle comprend que les deux hommes sont probablement plus que des collègues, que ce qu’elle lit dans leur regard est peut-être ce que les gens appellent l’amitié.
- Bonjour, Madame Dos Santos, lance-t-il en s’avançant vers elle. Enchanté de vous rencontrer. - Bonjour, Monsieur MacBest. Pareillement.
Sans qu’elle ait à en dire plus, le nouvel arrivé s'installe, et, tout en étalant de nouveaux documents sur la table, leur explique : - Je vous ai amené tout ce que j’ai sur Dimitri, au cas où ce serait utile… Même si je suis surtout venu écouter ce que vous, vous avez à dire. J’ai cru comprendre que vous auriez une idée de la localisation d’Ochnikov ainsi que de son havre de paix. - À vrai dire, j’ai un endroit assez précis en tête ; il s’agit d’une petite maison autonome située en lisière de la forêt humide de hoh. J’y ai vécu… avec Dimitri, pendant 2 ans. Donc, je pense pouvoir vous y conduire sans trop de soucis. Ceci dit, le connaissant, il passera probablement la nuit éveillé pour aller se coucher au petit matin. C’est pourquoi, si on veut le cueillir, on devrait partir d’ici une heure maximum.
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Clionestra
Dim 3 Nov - 14:29
Hunter Walace
J'ai 35 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et ça évite bien des emmerdes. → Orphelin depuis une dizaine d'années. Agent de police depuis 15 ans. Il a commencé au SWAT. Workaholic
Hunter a maudit McBest pendant des jours. Durant les premières heures où il a du prendre la place de son amie dans la collaboration avec cette tueuse en série, il l’a maudit. Maintenant ? Il ne peut que le remercier d’avoir eu trop peur pour prendre la place. Parce qu’il a trouvé un cœur à aimer, une personne à protéger, et un avenir à créer. Hunter fronce le nez.
- Elle est une Mademoiselle, et ma petite amie, qu’il annonce sans la moindre gêne alors que McBest fait comme si l’annonce ne le choqué pas.
Il se place et parle. Il ne fait pas de commentaire sur le fait qu’Hunter reste proche de Rafaela. En soi, il est heureux pour son amie, même s’il se demande ce qu’il a bien pu se passer entre eux, et comment pour en arriver là. Hunter hausse un sourcil quand il apprend qu’elle a vécu avec lui pendant deux ans. Pourquoi ? McBest laisse la question en arrière et prend une carte pour qu’elle puisse lui montrer les lieux. Ils commencent tous à discuter d’un plan. Le ceuillir quand il pense être vulnérable, l’arrêter, lui faire cracher sa confession pour les meurtres et ensuite tout le monde va dormir. C’est une idée cohérente. McBest remonte sa main.
- Je vais préparer une équipe du swat, un hélicoptère et des démineurs pour la peine, mais ils ne seront pas prêt avant un moment. Vous pensez que vous pouvez attendre pour faire du repérage SANS, et il insiste sur le mot vers la jeune femme, partir dans la gueule du loup ? Ou je dois vous attacher ?
Hunter regarde sa petite amie, maintenant, et il sait qu’elle ne pourra pas attendre. Elle doit faire quelque chose. Il sourit et prend sa main. Même s’il faire l’amour serait une activité plus agréable, arrêter un tueur est mieux. Après, ils auront de quoi passer du temps ensemble.
- On peut faire du repérage sans s’approcher.
McBest leur dit alors d’y aller mais de faire profil bas, que le reste de l’équipe arrive dans moins d’une heure après leur arrivé. McBest s'en va.