J'ai 19 ans et je vis à Los Angeles, Etats-Unis. Dans la vie, je suis Etudiante en marketing et je m'en sors mal. Je fais l'école buissonnière régulièrement et depuis que ma mère est morte je ne vais plus du tout en cours. Je préfère faire la fiesta avec mes potes pour oublier. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. J'ai pas envie de m'attacher à qui que ce soit.. -Sa mère est morte dans un accident de voiture -Elle ne connait pas son père et sa mère ne lui à jamais vraiment parlé de lui.
-Elle a été placé sous contrôle judiciaire après avoir frappé un policier lors d'une manifestation pour la protection de l'environnement.
-Elle picole et fume beaucoup trop car elle adore faire la fête.
-C'est une très bonne surfeuse, elle adore passer ses journées dans la flotte à chasser les meilleures vagues.
- Elle est comme l'était sa mère, très bohème et c'est une amoureuse de la nature. D'ailleurs elle est végétarienne.
- Mohana est à moitié Hawaïenne de par sa mère.
- Elle ne supporte pas l'autorité.
Aller faire les courses? C'était un bon début, une manière de découvrir en terrain neutre les goûts de chacun. L'agent Reeves ne pouvait qu'approuver cette tactique d'approche.
"Oui c'est une bonne idée. Comme ça vous serez en terrain neutre, ce sera bien pour commencer à découvrir vos goûts mutuels. Bon, sur ce, je dois m'en aller, le devoir m'appelle comme on dit dans notre branche. Si vous avez besoin de me contacter, n'hésitez surtout pas. A bientôt monsieur O'Neill."
L'agent Reeves quitta finalement les lieux en espérant que père et fille passeront une bonne première journée. Ce ne serait facile ni pour l'une ni pur l'autre mais ils n'avaient pas le choix. Mohana regarda Nadia Reeves remonter dans sa berline noire puis s'éloigner de sa nouvelle maison...encore un visage familier qui s'en allait. Oh pas pour toujours puisse qu'a la fin du mois elle devra retourner la voir pour faire le point concernant sa mise à l'épreuve et le travail d'intérêt général auquel elle devait se rendre.
Mais tout de même...Mohana avait prit l'habitude de voir cette femme, lui offrant un peu de stabilité. là, il fallait tout recommencer depuis le début et elle en avait sacrément marre. La jolie métisse s'éloigna de la fenêtre et retourna s'assoir sur son nouveau lit en entendant des pas monter dans les escaliers pour se diriger vers sa chambre. Mohana avait soudainement mal au ventre, comme si elle avait le trac. Relevant les yeux lorsque son...père entra, elle ne répondit pas dans un premier temps. Elle avait du mal avec l'idée qu'il était son père...ouaip...ça avait du mal à rentrer dans sa petite tête.
"Et..t'étais où avant de revenir là?"
On lui avait dit qu'il était démineur dans l'armée mais pas un n'avait été fichu de lui dire où est-ce qu'il était basé. l'Histoire de l'armée était forte dans ses origines. Si elle n'avait pas grandit sur l'Archipel, elle y retournait souvent pour les vacances. Et Hawaï avait été marqué par la présence de l'armée américaine là-bas, tout comme l'attaque de Pearl Harbor par les japonais en 1941. Cela avait traumatisé des générations entières dont la grand-mère de Mohana. Un soupire d'agacement s'échappa de sa gorge lorsque Jack proposa de discuter. Hum...parler avec lui? Hors de question pour le moment. Elle n'en n'avait aucune envie.
"Je préfèrerai aller faire des courses. J'ai pas vraiment envie de parler de maman avec toi. C'est juste une inconnue pour toi, qui t'as fait une gamine dans le dos. Alors j'crois pas que t'ai vraiment envie de savoir qui c'était...ça changerait rien au merdier dans lequel on est alors...laisse tomber."
Mohana se leva, prit son sac à main avant de se descendre les escaliers. Attendant son paternel dehors, elle en profita pour s'allumer une cigarette et fumer tranquillement.
Messages : 4168
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : Moi
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Dim 14 Mai - 18:01
Jack O'Neill
J'ai 43 ans et je vis à Los Angeles, aux USA. Dans la vie, je suis chef démineur et je viens à peine de commencer. Sinon, grâce à ma malchance, je suis père célibataire et je le vis plutôt mal. > Chef démineur > N'a jamais eu de relation amoureuse stable > A perdu ses parents et possède encore la maison. > A un frère plus jeune, avec qui il ne parle plus, puisqu'il lui en veut de ne pas avoir pu venir pour l'enterrement. (Le frère a eu le chalet) > Parle anglais, russe et arabe. > Possède un amour presque pas caché pour les voitures, un petit plaisir qu'il cache bien.
Jack regardait sa fille. Il ne s’attendait pas à une question de cet ordre. Il ne s’attendait réellement pas à une question qu’il rappelle qu’il n’était pas … Disposé, à être un bon père. Il n’avait eu aucune idée de l’existence de sa fille, mais il connaissait des zones de déminage par cœur.
- J’étais basé à Chaman. Une ville entre l’Afghanistan et le Pakistan. Mais on me déployait dans tout le pays pour les terrains de mines qui étaient placés par les terroristes.
Il y avait bien plus que des terroristes. Ils plaçaient des champs de mines dans des villes qui aider les armés américaines, ou simplement qui acceptait des choses intolérable pour eux… Comme l’instruction pour les petites filles. Jack O’Neill avait clairement conscience que leur pays n’était pas le plus incroyable … mais malgré tous les défauts de l’Amérique, il y avait des choses mieux. On pouvait avoir l’éducation dans ce pays. On n’était pas lapidé pour être tombé amoureux d’une autre origine que soit. Il pensa à une femme afghanes qu’il avait apprécié, de loin, sans jamais tomber dans le romantique … et qui avait été frappé parce qu’elle lui avait sourit un peu trop fort. Il n’oublierait jamais ce bleu sur son visage. Mais il ne pouvait rien faire pour elle. Aurait-il dû lui proposer de venir avec lui ? Il pensait avoir encore le temps pour trouver une solution pour elle. Il chassa cette idée.
- D’accord, ne parlons pas, accepta-t-il en relevant les épaules pour donner l’impression qu’il s’en fichait, mais ne pense pas que je dénigre ta mère pour ses actions. Qu’importe la raison, elle a dû le faire pour ton bien. Sinon, elle n’aurait pas fait en sorte que je puisse t’aider par la suite. Cela ne changerait peut-être rien, mais ça fait toujours du bien de parler des personnes qui nous manque.
Il approcha du bureau et caressa le dossier doucement. Ses parents lui avaient manqué le jour même où il était parti de la maison. Et quand leur mort avait été annoncé, il en avait été dévasté. Il avait refusé la permission qu’on lui avait donnée pour aller à l’enterrement. Il avait refusé parce que, tant qu’il ne pouvait rien voir, alors ce n’était pas vrai. Son frère lui en voulait encore pour ça. Il la laissa partir et ouvrit à peine le dossier pour voir une photo de sa mère et son père, dansant à un mariage ou à une fête dont Jack ne se souvenait plus. Heureux. Il repartit et prit les clés de sa jeep pour rejoindre la jeune femme. Il adorait les voitures. Passion caché et inconnue de tous. La Jeep était simplement utile mais elle n’avait rien de la beauté de certaines cylindrés.
- Ton … ton agent m’a dit que tu étais pour la cause animale. Cela signifie que tu es végétarienne ?
Tout comme la religion était quelque chose qu’O’Neill acceptait, tant qu’on ne lui imposait pas, les régimes alimentaires étaient tous égaux dans son esprit. Il n’y avait donc pas de jugement dans sa question, juste une question. Lui, il ne buvait pas d’alcool, il n’y en aura pas dans sa maison, mais on pouvait en boire ailleurs. Lui, il aimait la viande, mais n’en imposerait pas à la jeune femme s’il doit cuisiner. Il aurait le temps de manger de la viande au boulot. Les règles. Voilà pourquoi ils avaient besoin de règles. Sinon, il allait exploser.
J'ai 19 ans et je vis à Los Angeles, Etats-Unis. Dans la vie, je suis Etudiante en marketing et je m'en sors mal. Je fais l'école buissonnière régulièrement et depuis que ma mère est morte je ne vais plus du tout en cours. Je préfère faire la fiesta avec mes potes pour oublier. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. J'ai pas envie de m'attacher à qui que ce soit.. -Sa mère est morte dans un accident de voiture -Elle ne connait pas son père et sa mère ne lui à jamais vraiment parlé de lui.
-Elle a été placé sous contrôle judiciaire après avoir frappé un policier lors d'une manifestation pour la protection de l'environnement.
-Elle picole et fume beaucoup trop car elle adore faire la fête.
-C'est une très bonne surfeuse, elle adore passer ses journées dans la flotte à chasser les meilleures vagues.
- Elle est comme l'était sa mère, très bohème et c'est une amoureuse de la nature. D'ailleurs elle est végétarienne.
- Mohana est à moitié Hawaïenne de par sa mère.
- Elle ne supporte pas l'autorité.
C'était une manière comme une autre d'engager la discussion avec son "père". Ne devait-elle pas faire un effort de communication? S'intégrer à sa seule famille qui lui restait? L'agent Reeves l'avait prévenu que si elle ne se sentait pas bien ici, Mohana avait la possibilité de retourner au foyer d'accueil. Non...plutôt la rue que retourner là-bas. C'était ce qui se rapprochait le plus du milieu carcéral selon elle. Fermeture des lumière à 22h00, on n'était pas certain non plus de retrouver ses affaires à cause des vols répétitifs des uns et des autres.
"Je vois...tu fais parti de ces gens qui rendait les routes plus sûre pour la population ou bien juste pour pour vos troupes? Pour qu'elles puissent continuer de coloniser et piller les sols des pays occupés?"
Parce qu'elle n'était pas idiote. Mohana savait que les américains aimaient envahir les autres sous de nombreux prétextes fallacieux, afin d'ensuite s'implanter quelque part, jouer les héros et mettre la main sur de la matière première comme le pétrole, les minerais bref, tout ce qui pourrait servir leur pays. Les autochtones? Bien souvent pauvres, ils ne réalisaient pas qu'en réalité ils étaient juste pillés.
C'était une piètre vision que la jeune femme avait des soldats américains et de la guerre en général. Et...elle n'avait pu s'empêcher d'aller provoquer son "papounet". La jeune femme était plutôt du genre "faites l'amour pas la guerre" alors...
Concernant sa mère, Mohana avait clos le sujet. Elle n'aimait pas vraiment s'épancher sur quoi que ce soit, considérant qu'il y avait toujours pire ailleurs. De plus...elle savait que les gens n'en n'avait pas forcément grand chose à foutre du malheur des autres. Ils vous demandaient souvent si tout allait bien en espérant que vous ne répondiez pas que tout allait mal et que vous souffrez. Alors Mohana ne disait rien et mettait bien sa tristesse dans sa poche.
"Mon bien? Pff ouai c'est ça...on va dire ça. Quoi qu'il en soit, j'ai pas envie de parler d'elle alors fait mi plaisir "papa" parlons d'autre chose."
Mohana était septique quant au fait que sa mère avait fait ça pour son bien. Mais qu'importe, de toute manière, pour l'instant la jeune femme ne souhaitait pas parler de tout ça, de sa mère avec un inconnu. Certes ils avaient les mêmes gênes mais Jack n'était pas son père pour autant. En attendant, la jeune métisse avait quitté la maison, souhaitant prendre l'air, attendant devant la Jeep. Finalement cette "pudeur" concernant ses sentiments, serait peut-être le premier point commun qu'elle partagerait avec son père.
Montant dans le véhicule lorsque Jack la rejoignit, ce dernier lui posa une question à laquelle elle ne s'attendait pas: Etait-elle végétarienne. Cela la crispa un peu. Elle avait peur de se manger des reproches de vieux réac' sur le végétarisme et le militantisme. Respirant un bon coup, Mohana se contenta dans un premier temps de hocher la tête et de parler un peu plus de ce point avec lui. Elle espérait sincèrement qu'il ne la forcera pas à aller contre ses principes ou bien qu'il ne lui serve pas un discours rébarbatif.
"Hum ouai je mange pas de viande...ni de poisson mais je mange des oeufs, des produits laitiers et tout ce qui est dérivé des animaux comme le miel etc. Et y'a pas que pour les animaux que je lutte mais pour l'environnement aussi. Mais t'inquiètes, si tu manges de la viande devant moi je vais pas t'en vouloir. Ce qui me fout en rogne c'est la façon dont ils sont élevés et abattus...sans aucun respect. Toutes es pauvres bêtes qui vivent empilées les unes sur les autres, nourris à la farine animales, voyant jamais la lumière du jour et bourrées de médicaments...ça me débecte!"
Cependant, elle ne faisait pas la même erreurs que tous les extrémistes que l'on pouvait entendre partout. Si O'Neill achetait sa bouffe dans des fermes ou le bien-être animal était respecté ça ne posait pas de soucis. Après tout, elle ne reniait pas l'importance des protéines animales dans le processus de développement des humains au fil des millénaires.
"Ma grand-mère m'a apprit que l'animal qui donnait sa vie pour toi tu puisses vivres, devait être consommé avec respect."
On était proche de la terre à Hawaï comme on était proche de la mer également. L'animisme était présent dans les croyances de sa famille.
Messages : 4168
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : Moi
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Jeu 18 Mai - 12:37
Jack O'Neill
J'ai 43 ans et je vis à Los Angeles, aux USA. Dans la vie, je suis chef démineur et je viens à peine de commencer. Sinon, grâce à ma malchance, je suis père célibataire et je le vis plutôt mal. > Chef démineur > N'a jamais eu de relation amoureuse stable > A perdu ses parents et possède encore la maison. > A un frère plus jeune, avec qui il ne parle plus, puisqu'il lui en veut de ne pas avoir pu venir pour l'enterrement. (Le frère a eu le chalet) > Parle anglais, russe et arabe. > Possède un amour presque pas caché pour les voitures, un petit plaisir qu'il cache bien.
Jack O’Neill savait la vision que l’on avait des militaires par le monde. Il pensa à la femme qu’il avait laissée là-bas. Cette femme qui méritait plus que la plupart et dont il n’avait pas eu l’autorisation d’aider. Cette femme aux sourires éclatants. Il préférait ne pas trop y penser mais il n’y arrivait pas. Il était un vieux monsieur qui ne connaissait rien à l’amour … Et il se sentait mal. Il écouta la question de sa fille et la prise bien. Il savait. Il n’allait pas faire semblant que l’armée américaine ne pensait pas, souvent, qu’à eux.
- Pour tout le monde. J’étais le démineur en chef de mon escadron. Je déminais les champs autour des villages, et rendait les routes plus sûr pour tout le monde.
De toute façon, désamorcer une bombe, qu’elle soit pour l’armée ou pour les civils, c’était toujours désamorcer une bombe. Il n’y avait aucune différence pour O’Neil. Qu’un soldat américain ou qu’un enfant afghane mette le pied dessus, ça serait la même chose pour lui. L’enfant serait plus facilement protégeable que le soldat, mais c’était parce qu’il était plus léger, il pourrait le jeter plus facilement hors de la déflagration à la différence d’un soldat tout de muscle et de force. Il ne parla pas des pillages et des colonisations. Il avait vu des choses qu’il voudrait oublier. Il avait eu des problèmes, une fois, avec l’armée. Il avait cogné son chef d’escouade. Une fois. Parce que ce salopard avait violé une enfant et que tout le monde le protéger. O’Neil avait été renvoyé ailleurs. Plus exactement, c’était là, la première fois où on l’avait fait sortir du pays pour l’envoyer dans une zone en guerre.
Dans la voiture, il pensa au fait qu’elle l’appelait « papa » de la même manière que lui disait « ma fille » dans son esprit. C’était la même chose. Le même sentiment d’étrangeté. Il n’était pas son père. Biologiquement si. Mais il n’avait jamais été son père. Est-ce qu’il avait envie d’être son père ? C’était la question à un millions de dollars. Il ne savait pas s’il avait l’étoffe pour être un père. Bien sur, il voulait faire son maximum mais … Il n’y avait pas de manuel pour ça, si ? Dans la voiture, il l’écouta et attendit la fin de son explication alors qu’il avançait vers le supermarché le plus proche. La jeep était assez grande pour pouvoir mettre toutes les courses mais elle n’était pas la plus écologique. Il pinça ses lèvres.
- Donc … essaya de réfléchir O’Neill, tu préfères que je chasse ma viande ? Légalement, je le peux. On le doit parfois à l’armée, savoir se nourrir sans aide. Mais si tu penses que c’est plus respectueux, et au moins je mangerais tout. De la viande, je veux dire.
Lui cervelle, langue, tout ça, il pouvait en manger sans soucis. Il n’y avait aucune partie de l’animal qu’il ne pouvait pas manger. Parce qu’à l’armée les rations de survie ne sont clairement pas bonnes et parfois il faut manger ce qu’on trouve. Il avait déjà mangé son lot de vers de terre et de criquet grillé aussi. Il n’avait donc pas peur de tuer un animal dans la forêt, le dépecer et le manger entièrement en congelant ce qu’il pouvait. Si sa fille préférait cela, il pouvait le faire. C’était qu’une petite complication.
- Je dois manger de la viande pour mon métabolisme, mais je n’en abuse pas, je me dis que ça pourrait être la solution. Dans les rations, c’est la seule chose qui manque cruellement. Cela peut définir l’issue d’une mission parce qu’il faut être bien dans son corps, bien nourri pour ne pas faire d’erreur.
Cela pouvait être parce que la personne avait faim, elle était déconcentré … ou autre chose. Bref, il était important de se nourrir, tuer les bêtes nuisibles de la ville où il était déployé été efficace et si la jeune femme pensait cela mieux, il pouvait le faire. Elle devait choisir. Jack n’aimait pas particulièrement la chasse mais il le ferait. Il se gara à côté d’un supermarché et descendit pour rejoindre le coffre et sortir des sacs cabas pour les courses. Il s’approcha aussi d’un caddie pour mettre les sacs dedans après avoir insérer la pièce. Il fit à peine un sourire. Apparemment, certaines choses ne s’oublient pas. Comme faire les courses comme une personne normale.
- Je ne suis pas revenu dans ce magasin depuis au moins vingt ans, mais j’imagine qu’il devra y avoir tout ce que tu cherches pour … ce que tu as besoin. N’hésite pas pour les premières courses, on n’a rien à la maison. Vraiment rien.
Mais pas d’alcool. De toute façon, la jeune femme le comprendra vite quand il reposera l’alcool qu’elle mettra, peut-être dans le caddie. Il espérait qu’elle ne le ferait pas. Il ne savait pas comment elle le prendra et il n’avait pas envie de conflit pour le moment. Il n’était pas son père, mais il devait réagir comme tel… Il espérait juste qu’il serait le genre de père cool. Comme son propre père. Il grimaça. Ou pas. Son père était un peu trop laxiste. Jack O’Neil ne pourrait pas être comme son père. Il allait essayer d’être mieux … oui, essayer.
J'ai 19 ans et je vis à Los Angeles, Etats-Unis. Dans la vie, je suis Etudiante en marketing et je m'en sors mal. Je fais l'école buissonnière régulièrement et depuis que ma mère est morte je ne vais plus du tout en cours. Je préfère faire la fiesta avec mes potes pour oublier. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. J'ai pas envie de m'attacher à qui que ce soit.. -Sa mère est morte dans un accident de voiture -Elle ne connait pas son père et sa mère ne lui à jamais vraiment parlé de lui.
-Elle a été placé sous contrôle judiciaire après avoir frappé un policier lors d'une manifestation pour la protection de l'environnement.
-Elle picole et fume beaucoup trop car elle adore faire la fête.
-C'est une très bonne surfeuse, elle adore passer ses journées dans la flotte à chasser les meilleures vagues.
- Elle est comme l'était sa mère, très bohème et c'est une amoureuse de la nature. D'ailleurs elle est végétarienne.
- Mohana est à moitié Hawaïenne de par sa mère.
- Elle ne supporte pas l'autorité.
Ainsi son père déminait pour l'intérêt de tous et pas seulement celui des soldats américains. C'était louable, Mohana appréciait. Par son intervention, il évitait à de nombreuses femme, de nombreux hommes et enfants de finir mutilés voir même tués. C'était classe, elle devait bien lui reconnaître cela. Mais leur configuration personnelle l'empêchait pour l'instant de pouvoir lui dire haut et fort qu'elle était fière de lui. Pff même pas en rêve. Louable serait le seul adjectif que la jeune femme utiliserait pour qualifier les actions de son paternel. Elle ne lui demanda pas non plus s'il avait été médaillé ou quoi que ce soit de ce genre car ce sujet ne l'intéressait pas pour l'instant. Et au fur et à mesure qu'ils s'approchaient du Walmart son esprit fut accaparé par une liste mentale de ce qu'elle voulait prendre.
"Hum? Chasse si tu veux mais tu peux aussi moins te prendre la tête en allant dans des boutiques qui certifient que leurs animaux ont été élevé et tué avec dignité. Il doit bien avoir ça dans notre patelin...des boutiques bios ce genre de chose."
Elle avait conscience que partir chasser était tout de même assez contraignant et qui plus est, il n'y avait aucune garantie de faire tomber un gibier. Et puis est-ce qu'il n'y avait pas de restrictions? On n'était pas dans le Montana ou dans l'arrière pays ici. Enfin bref, son père pouvait bien gérer les choses comme il le voulait mais qu'il ne l'implique pas là-dedans. Mohana nota cependant l'envie de bien faire de l'ancien militaire. Et comprenait que son corps ait besoin de consommer des produits animalier. Loin d'elle l'envie d'imposer sa façon de vivre tant qu'on ne lui imposait rien en contrepartie.
"Je comprends. J'irai pas incendier ta baraque parce que tu manges de la viande devant moi. Tant que le respect est réciproque ça me pose pas de soucis."
Mohana ne voulait pas encore aborder son autre combat qui était celui de l'environnement. Cela l'avait conduit à des poursuites judiciaire alors pour l'instant, elle préférait faire profil bas. Arrivant devant l'immense magasin, la jeune femme y entra avec son nouveau "papa" et sur ses instructions, commença à remplir le caddie de courses. Serviettes de bain, produits de toilette divers et variés, produits pour le petit déjeuné et de première nécessité, atterrirent dans ce dernier.
Légumes, pâtes, riz, sauces, oeufs, boites de conserves, sodas, bonbons café, tout cela atterrit dans le caddie également. C'était plutôt sympa de faire comme dans les films en fourrant presque l'entièreté du magasin dedans. Puis ils arrivèrent au rayon alcool. A tous les coups, O'Neill allait gueuler qu'il ne voulait pas d'alcool à la "maison". Vieux rabat-joie. Cependant, elle était bien trop épuisée pour se prendre la tête avec lui alors l'hawaïenne laissa tomber.
"Oh fait t'as de la famille ici? Je veux dire...des frères, des soeurs ou bien tes parents? On m'a pas franchement parlé de tout ça quand on m'a dit que j'avais un père."
Enfin...tout le monde avait un père mais il comprenait bien ce à quoi elle faisait allusion.
Messages : 4168
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : Moi
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Lun 22 Mai - 21:52
Jack O'Neill
J'ai 43 ans et je vis à Los Angeles, aux USA. Dans la vie, je suis chef démineur et je viens à peine de commencer. Sinon, grâce à ma malchance, je suis père célibataire et je le vis plutôt mal. > Chef démineur > N'a jamais eu de relation amoureuse stable > A perdu ses parents et possède encore la maison. > A un frère plus jeune, avec qui il ne parle plus, puisqu'il lui en veut de ne pas avoir pu venir pour l'enterrement. (Le frère a eu le chalet) > Parle anglais, russe et arabe. > Possède un amour presque pas caché pour les voitures, un petit plaisir qu'il cache bien.
O’Neill haussa les épaules doucement. Il pouvait chasser un peu plus loin … mais il pouvait aussi trouver des boutiques … Cependant, la seconde solution l’obligeait à chercher un lieu et ça… Il n’avait aucune idée d’où trouver une boutique qui élève et tue dignement. En tant que militaire, il dirait qu’il n’y a jamais de meurtre, humain ou animal, qui peut se faire dignement. Il y a toujours la mort à l’arrivé. Donc. Il ne savait pas ce qu’il serait le mieux. Il pouvait chercher. La ville était assez grande pour avoir ça, quelque part. Sa fille avait raison. Il ne savait juste pas où parce qu’il n’avait jamais cherché. Il fit une grimace. Il allait devoir faire des recherches internet. Il regarda sa sœur.
- D’accord. Le respect sera réciproque.
Il était content d’entendre cela. Même s’il ne connaissait pas sa fille avant … Maintenant, au moins elle avait cela. Elle aimait le respect si on lui donnait. Et lui, il ne comptait pas être irrespectueux. Il ne l’avait jamais été, ne commencerait pas avec Mohana. Il pouvait donc montrer du respect, et elle ne lui demandait même pas de ne plus manger avec elle. C’était plus que ce que certaines personnes ne lui avaient demandé. Beaucoup plus même. Alors qu’ils continuaient les courses, il se figea à sa question avant de sourire doucement.
- Je t’ai mis un dossier avec des photos sur ton bureau. Je me suis dis que ça pourrait … t’aider.
Il se racla la gorge. Il avait espéré que les photos suffiront pour ne pas avoir à parler de sa famille. Comme pour beaucoup de choses, il ne se sentait pas tout à fait à l’aise avec ça. Il savait ne pas être le meilleur de la famille. Il sourit tristement et réfléchit.
- Richard O’Neill et Mirabelle O’Neill sont les noms de mes parents. Ils sont décédés tous les deux pendant que j’étais en mission. Il y a Daniel, mon petit frère. Il a été longtemps archéologue, perdu en Egypte, et maintenant il est professeur d’Histoire dans une université dans cette ville. On ne se parle plus trop … mais je pense qu’il serait ravi de te rencontrer.
Daniel n’était pas stupide. Il ne ferait pas vivre la rancœur contre son frère à sa fille pour le plaisir. L’héritage de la colère est une idée stupide et Jack le savait. Il n’avait pas réellement envie d’expliquer pourquoi son frère ne lui parler plus. Il prit des allumettes sur une étagère. Puis, il pencha la tête vers la jeune femme avant d’avouer.
- On ne m’a même pas dit si j’avais une fille ou un garçon, ou ton âge, avant que tu n’arrives, alors je comprends que tu ignores tout de moi. N’hésite pas à demander.
Pour apprendre à connaître sa fille, il devait tout lui dire. Sans secret, sans faux-semblant. Il essayait … Mais c’était contraire à tous ses principes de silence. Normalement, il ne devrait pas parler. On ne devait pas se montrer faible, ou même avoir de la famille, pour ne pas avoir des points de pression. Il regarda sa fille à nouveau. Il ne savait même pas à quelle point il devait parler de sa famille, ou non. Est-ce que ça l’intéresse ? Il n’en savait rien. Il s’approcha de l’étagère pour les outils et trouva une trousse à outils qu’il prit avant de se stopper devant un magazine de voiture. Il aimait les voitures. Il le feuilleta à peine avant de le remettre sur le socle.
J'ai 19 ans et je vis à Los Angeles, Etats-Unis. Dans la vie, je suis Etudiante en marketing et je m'en sors mal. Je fais l'école buissonnière régulièrement et depuis que ma mère est morte je ne vais plus du tout en cours. Je préfère faire la fiesta avec mes potes pour oublier. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. J'ai pas envie de m'attacher à qui que ce soit.. -Sa mère est morte dans un accident de voiture -Elle ne connait pas son père et sa mère ne lui à jamais vraiment parlé de lui.
-Elle a été placé sous contrôle judiciaire après avoir frappé un policier lors d'une manifestation pour la protection de l'environnement.
-Elle picole et fume beaucoup trop car elle adore faire la fête.
-C'est une très bonne surfeuse, elle adore passer ses journées dans la flotte à chasser les meilleures vagues.
- Elle est comme l'était sa mère, très bohème et c'est une amoureuse de la nature. D'ailleurs elle est végétarienne.
- Mohana est à moitié Hawaïenne de par sa mère.
- Elle ne supporte pas l'autorité.
Effectivement, si l'on montrait du respect à Mohana, celle-ci en ferait autant. Enfin...dans les grandes lignes seulement. Car il ne fallait pas oublier qu'elle était une ado à problèmes et que malheureusement, parfois, elle avait tendance à oublier ce "pacte" et se défausse de ses propres valeurs. Après tout, elle n'était pas un soldat. Alors...il arrivait que parfois le respect n'aille que dans un sens...le sien. Et que elle en retour, ne se montre pas digne du respect qu'on lui donnait. C'était fâcheux. En revanche, là, présentement, le soldat venait d'augmenter d'un poil dans son estime.
"Un...dossier? Bah dis-donc ça se voit que t'es militaire. C'est carrément...enfin on dirait que c'est comme dans les films ou un assassin reçoit des renseignements sur ses cibles." plaisanta la jeune femme.
Qui parlait de sa famille en présentant un dossier? C'était froid, impersonnel...un peu comme les maisons témoins que les agents immobiliers présentaient aux futurs acheteurs. Heureusement, le militaire se rattrapa en se montrant un peu plus prolixe concernant la description de sa famille, apportant une touche d'humanité à tout ce tableau familiale. Un dossier...non mais franchement.
"Oh...désolée pour tes parents enfin...grand-père et grand-mère. Moi il me reste mama...c'est comme ça que j'appelle la mère de ma mère. Elle est au pays avec le restant de ma famille. On est nooooommmmbreux alors j'vais t'épargner tout ça. En fait, les seules de la famille à pas être à Hawaï c'est moi et maman."
Puisqu'on était dans les présentations familiales, autant en profiter. Mohana eut la décence de ne pas demander de quoi étaient morts les parents de son père. Elle, elle n'en pouvait plus de parler de l'accident de sa mère alors elle comprenait que ça pouvait être dur. Même pour un adulte. En revanche, la gamine montra un intérêt certain pour ce Daniel O'Neill. Aimant l'Art, l'Egypte ne pouvait que l'intéresser.
"Il a été en Egypte? Wouaw, c'est génial, il a dû en voir de sacrées choses! Apparemment les dernières théories concernant Toutankhamon disent que ce pharaon aurait en réalité usurpé le trône de sa soeur aînée. Qu'il l'aurait fait disparaître pour prendre sa place sur le trône et donc toutes ses richesses."
Mouai...enfin elle parlait et parlait, mais peut-être que son père ne s'intéressait pas du tout à l'Egypte? Alors elle se calma et décida plutôt de mettre les pieds dans le plat.
"Pourquoi est-ce que vous vous parlez plus vraiment? Si c'est plus vraiment cool entre vous, j'vois pas pourquoi j'irai le voir. Y'a rien de mieux pour mettre les gens mal à l'aise alors bon..."
Puis, elle ne pu s'empêcher de ricaner en entendant Jack lui dire qu'on ne l'avait même pas présenté au militaire.
"Quelle bande de nuls. Franchement, là, un dossier comme t'as fait aurait été vachement utile. L'administration c'est vraiment n'importe quoi. Ou alors c'est pas plus mal? Tu sais c'est comme à l'adoption, les familles aiment prendre avec eux des nourrissons. Si ça se trouve, t'aurais pas du tout voulut me rencontrer si on t'avait dit que j'étais presque une adulte?"
C'est alors qu'en passant au rayon loisirs, étaient exposés des ukulélés. En attenant que Jack lui réponde, la belle pris un de ces instruments pour commencer à pincer quelques cordes. Puis, elle accorda un peu mieux l'instrument et commença à jouer doucement "Somewhere over the rainbow" de Iz. Un instrument très utilisé à Hawaï.
Messages : 4168
Date d'inscription : 29/12/2020
Crédits : Moi
Univers fétiche : Fantastique
Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Mer 31 Mai - 1:01
Jack O'Neill
J'ai 43 ans et je vis à Los Angeles, aux USA. Dans la vie, je suis chef démineur et je viens à peine de commencer. Sinon, grâce à ma malchance, je suis père célibataire et je le vis plutôt mal. > Chef démineur > N'a jamais eu de relation amoureuse stable > A perdu ses parents et possède encore la maison. > A un frère plus jeune, avec qui il ne parle plus, puisqu'il lui en veut de ne pas avoir pu venir pour l'enterrement. (Le frère a eu le chalet) > Parle anglais, russe et arabe. > Possède un amour presque pas caché pour les voitures, un petit plaisir qu'il cache bien.
- Je n’ai pas eu d’autre idée, fit-il simplement pour expliquer pourquoi il avait fait un dossier, je ne suis pas le plus loquace. Je n’aurais pas su comment commencer.
Il avoua cela tout simplement. C’était la vérité. Il n’avait pas trouvé une meilleure idée. Essayer de parler de sa famille, c’était compliqué. Devait-il expliquer la bienveillance de sa mère, les étrangetés de son petit frère, les choses qui sont dites parfois, les expressions, leurs odeurs ? Il ne savait pas. Il ne pourrait pas savoir. Il n’avait pas envie d’essayer. Alors il essaya pour sa fille, et ça restait un exercice dont il n’avait pas l’habitude. Il fit un signe de tête quand elle s’excusa pour ses grands parents qu’elle ne connaissait pas. Se demanda un instant pourquoi ce n’était pas sa grand-mère maternelle qui avait eu le droit à sa garde. Pas qu’il ne la voulait pas, mais il se le demandait simplement.
- Si tu as envie de parler de ta famille, tu peux, rajouta-t-il en haussant les épaules.
Ce n’était pas comme s’il les connaissait … et puis, si sa fille acceptait de rester avec lui… Il pourrait l’amener à Hawaï ? On ne lui refuserait pas sa mutation s’il la demandait après la mise en examen. Un an, peut-être. Moins s’il le faisait tôt. Pas que l’archipel avait besoin de démineur …. S’il se formait en autre chose ? Tant qu’à être rendu à la vie civile, il pourrait voir pour changer ? Il n’avait pas réellement d’attache dans cette ville, ou dans ce pays… Dans le sens de la terre. Pour lui, tout le monde était à sauvé. Donc dans un pays ou dans un autre, pour servir le bien du plus grand nombre, c’était la même chose.
- Il y a été, répondit-il pour les interrogations sur son frère, je pense d’ailleurs qu’il fait parti des personnes qui soutiennent cette théorie. Je pourrais te passer ce que je sais de son travail, si tu le souhaites.
Parce que même si son petit frère ne lui adressait plus la parole… Jack avait quelques publications qu’il trouvait comme il pouvait. Il avait même acheté un livre qu’il avait écrit … mais il n’était pas un intellectuelle, lui. Il n’avait pas compris une bille à ce qu’il avait lu. Mais il l’avait lu. Parce que c’était le livre publié par son petit frère et la seule méthode qu’il avait trouvé pour être « proche » de lui.
- Daniel n’est pas le genre de personne qui refuserait de te rencontrer simplement pour notre mésentente. Il sera heureux, au contraire. Surtout si tu aimes l’Egypte. J’étais en mission dans un pays africain quand mes parents sont morts. Et je n’ai pas eu envie de revenir pour leur enterrement.
Tant qu’ils n’étaient pas enterrés, pour lui, alors ils n’étaient pas morts. C’était pourtant si simple comme penser. Il savait que son frère avait sa femme pour le soutenir. Il n’avait aucune envie d’arriver et de pleurer, de souffrir, de voir la mort de ses parents avec la preuve de cette mortalité. Il préféra sourire de sa réflexion sur l’armée. Ouais. Bande de nuls.
- Un dossier, ou même une explication orale. J’ai eu le droit à un « vous avez un enfant ». Tu étais toujours décrite ainsi, sans que personne ne m’en dise plus. Mais j’aurais voulu te rencontrer, qu’importe ton âge ou ton sexe.
Pas par « instinct paternel »… Son instinct familial semblait être de moindre mesure pour tout dire … mais plus par responsabilité. Jack O’Neill était très clairement le genre de personne à faire attention à ses actes, à ses actions, et à accepter les conséquences. Bien qu’il ne se souvienne pas avoir couché sans protection, c’était arrivé. Et même s’il avait fallu autant d’année pour apprendre la vérité, il ne comptait pas tout laisser tomber sous des excuses débiles. Même si c’était dur, même si c’était complexe ou étrange, il n’aurait pas refusé de prendre Mohana sous son aile et de la rencontrer.
- Mais j’aurais voulu en savoir plus pour te préparer une chambre mieux, ou simplement pour chercher des ouvrages de référence plus adapté. Me préparer un peu mieux, aussi.
Psychologiquement, même si c’était peut-être étrange de le dire, cela avait été compliqué pour le militaire. Il la regarda avec son étrange instrument et en regarda le prix. Cela venait d’Hawaï.
- Je te le prends, si tu en as envie. Comme cadeau de bienvenu. En quelque sorte.