Londres 2014, un soir de pleine lune à la sortie d'une boîte de nuit, une jeune femme se fait attaquer et perd connaissance. Le seul souvenir qu'elle a c'est le visage d'un homme mais elle ne sait pas s'il est témoin ou complice.
RP Peut-être +18 avec sexe et combat.
Contexte inspiré librement de nos connaissances
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S3th
Ven 14 Juil - 21:14
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Clionestra
Dim 16 Juil - 17:54
Benjamin Shaw
J'ai 70 ans et je vis à Londres, dans la meute, où je suis un loup soumis. Dans la vie, je suis informaticien et je m'en sors bien (puisque je vois personne). Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis merveilleusement bien. ► Supporte mal tous les êtres vivants ► Son loup est roux tirant vers le marron avec des yeux jaunes. ► A été maltraité par son père et agressé par sa mère avant d'être transformer à l'âge de 20 ans. Les sévices ont un peu continuer ensuite.
- Benjamin, fit Luis, un loup espagnol qui avait élu domicile dans la meute de Londres depuis deux ans déjà et qui arrivait à faire l’exploit incroyable de rouler les R dans un prénom qui n’en possède aucun, tu es sûr que tu es assez stable ?
Ben releva les yeux vers lui. Assez stable ? Non. Mais on ne lui demandait pas d’être stable, là. On lui demandait d’attraper à la gorge des loups dissidents qui faisaient des transformations illégales sur le territoire de la meute de Londres… On ne lui demandait pas d’être stable donc. Même s’il était un loup soumis sous forme humain, préférant éviter les conflits au maximum, et les contacts, et les gens, et bref, il était bien tranquille lui, il savait que ce n’était pas le cas sous forme loup. Ben avait un certain contrôle sur son loup mais … Il y avait comme une seconde personnalité très prononcé. En humain, soumis et discret, il se faisait oublier de la meute et faisant en sorte d’être détesté par tout le monde. Sous forme loup, il attaquait quiconque ose l’approcher sous forme loup. C’était ce qui arrive quand on avait eu un père dominant et loup et qu’on avait eu le droit à se faire maltraiter sous toutes ses formes. L’humain se tait, le loup rebiffe. Le loup avait toujours été plus fort, plus vilain, plus violent que ce que lui ne l’était réellement. Mais pourquoi l’arrêter ? Ce n’était donc pas un manque de contrôle qui empêche le loup de Ben d’être « stable », c’était lui qui n’en avait rien à secouer de mourir. Si seulement il pouvait mourir. Ses parents étaient encore en vie, pas loin de Londres. Deux loups solitaires qui le sont parce qu’ils sont complètement allumés de la tête. Il a peut-être été transformé il y a soixante ans en arrière, mais il se souvient très bien de comment ses parents traitent ses enfants. Mais ce n’est plus son problème. Il l’a dit, plus rien à secouer. Il pose un regard sur Luis, étire ses lèvres dans un sourire de parfaite folie et hoche la tête. Oh. Il était stable.
Depuis deux mois environ, plusieurs « fête de transformation » ont eu lieu. Des gens se faisaient attaquer par des « bêtes sauvages » (aka des loups mais Ben doute qu’un jour on avoue à l’humanité l’existe de pareil monstres) et des personnes étaient portés disparus. Selon toute vraisemblance, et Ben n’avait jamais eu à douter sur cela, une meute rebelle s’amuse à transformer des gens sans leur consentement … Et s’amuse qui plus est, et récupère ceux dont la transformation semble opéré. Ils ont déjà retrouvé des gens morts des kilomètres plus loin, laissant cela possible. Ils le prennent, la personne meurt, il le jette. Des gens très classe, pensa Ben. Aujourd’hui, cette nuit plutôt mais il n’allait pas chipoter sur l’heure qu’il était, il y en avait encore une. Une fête illégale, à l’abri à l’intérieur d’un entrepôt désinfecté en bordure de zone forestière. Qui était assez con pour y aller sérieux ? Ben, qui n’aimait pas plus sortir que les gens en général, avaient osé dire que c’était bien fait pour leur gueule. Apparemment, ça ne se dit pas.
Se transformant dans le van, et on passe sur la souffrance, la douleur, la peine que cause une transformation dans un lieu aussi exigüe. Une fois arrivé dans l’entrepôt, il n’a pas besoin de demandé à Luis, il sent aussi. Le sang. L’odeur était acre et prenait le nez comme rien auparavant. Ben n’aimait pas l’odeur du sang. Mais il préférait tout de même l’odeur du sang des autres que le sien. Logique, non ? Luis partit d’un côté sous forme humaine pendant que Ben se dirigea vers les arbres. Là, une fille brune était étendue contre un arbre. Vivante, mais pas pour longtemps, la quantité de sang et de boyau dans l’herbe était parlante. Bah, il s’en fiche. Le vent n’était pas à son avantage, et il ne savait pas s’il pourrait trouver une piste. Il se met à sentir, le museau en l’air, trouve l’odeur d’un loup à travers l’odeur de sang, suis la piste. Il se retrouve au milieu d’une petite clairière. Il y avait une fille blonde étendue sur le sol, et au-dessus d’elle, en train de graille sa peau au-dessus de son ventre, un loup. Bouhou. Le vilain. Ni une ni deux, Ben fonce sur le loup, l’envoie balader au loin. Pas pour sauver la fille, il s’en fiche, mais pour le tuer…
Bon. Normalement, il est censé le ramener en vie et blablabla… Non. Flemme. Il n’a aucune envie de le ramener en vie, il voulait juste le tuer, pour venger sa meute. Parce que maintenant sa meute était tourné en ridicule … Quoi que. En vrai, il se fiche de toute la meute. Il n’apprécie que l’alpha, et encore, simplement parce qu’il avait gardé son secret, secret. Ce qu’on doit faire quand on est une bonne personne mais c’est autre chose. Ben se bat, il croque et mord (oui des synonymes) et il attaque à coup de griffe. Il donne un énorme coup de bélier dans la tête du loup. Ben a la tête dur, même pas mal. L’autre loup vascille et alors qu’il allait lui donner le coup de grâce, Luis arriva pour lui enlever des griffes. Il grogna. Mécontent.
- Occupe-toi de la fille, grogna Luis avec toujours un R mystérieux qui traine dans sa voix, je m’occupe de lui.
Ben grogne, explique par des jappements son mécontentement, mais Luis a déjà récupéré le loup pour le pousser vers le van. Non… mais … Non. L’homme lui avait laissé un sac en plastique dans lequel se trouve une tenue. Il boude. Voilà. Le loup s’approche de la fille. Toujours en vie mais inconsciente, il passe sa truffe sur ses cheveux, descends vers son visage, vers son buste, sent l’odeur du sang. Se demande s’il se ferait beaucoup réprimander à prendre un petit bout de ses entrailles … puis, il l’entend bouger et se fige. Il n’avait pas le droit de manger des humains. Il se change rapidement, s’habille et s’approche d’elle pour lui faire des gestes de premiers secours. Voilà. C’est fait. Il n’aurait plus jamais à penser à cette fille une fois qu’elle serait soigné.
Qu’il croit.
Après une semaine dans la chambre du docteur, il était évident que la jeune femme allait survivre…en plus de survivre, elle était la seule témoin de ce qui s’était passé dans la soirée … et elle était une louve… Et donc l’alpha, dans sa grande délicatesse de trou du cul avait chargé Ben de la surveiller et de l’aider … après tout « c’est lui qui la ramené »… Ben lui en foutrait. Il était dans une chambre protégé, la jeune femme dans une cage aménagée qui ne ressemblait à rien à une cage à côté de lui. Il n’avait pas réussi à trouver qui elle était. Aussi n’avait-il pas cherché. Il l’observe, se dit que ça ne lui coûte rien de s’approcher, s’agace, ouvre la cellule, la refaire derrière lui, s’approche encore et …
Il la secoue.
- Oh, réveille toi, pour reprendre des forces après une transformation faut pas une semaine. J’ai autre chose à foutre.
C’était ça, Ben…. Délicat, courtois, poli. Un petit ange avec des crocs.
J'ai 24 ans et je vis à Londres. Je travaille comme vendeuse dans une boutique de vêtements à la mode. J'aime passer mes soirées en boîte de nuit pour m'amuser et oublier mes longues journée de travail. Sinon, grâce à ma malchance j'ai perdu connaissance à une soirée privée et je ne me rappel de rien.
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Me voilà sur la piste de danse entrain de danser en suivant les battements des enceintes, laissant ma robe valser autour de moi à mesure que le rythme de la musique s'accélère. Un crie ce fait entendre dans le brouahaha du hangar puis une explosion au niveau des lumières, s'ensuit des cries et des bousculades alors que la musique s'arrête. J'arrête de danser et essaye de me frayer un chemin entre les autres danseurs mais très vite la peur et le chaos prend place. Je vois des filles tomber au sol et se faire piétiner par des hommes. Sa me rappel l'histoire du Bazar de la charité à Paris, fin 19eme siècle ou début 20 ème, le premier cinéma avait brûler et femmes et enfants étaient mort, piétiné et brûler. Avec ces images en têtes je lutte pour ma survie en sautant par dessus certaines femmes, des chaises et des tables. Puis d'un coup je me sent attrapée, projetée au sol puis une douleur lancinante ce fait sentir dans ma tête et plus rien. Le noir total.
J'entends une voix lointaines me parler puis quelques choses me bouger sans prendre des pincettes. J'ouvre les yeux en papillonnant et la lumière m'aveugle légèrement. Je vois flou et essaie de me relever mais j'entends deux grincement contre du métal de chaque côté de mes oreilles. Je grimace en ayant toujours ce mal de tête insupportable et essaie d'habituer mes yeux à la lumière sombre et pourtant aveuglante.
Il me faut quelques minutes pour retrouver la vue et apercevoir des chaînes à mes poignets et un homme proche de moi. Je recule difficilement en me recrosuevillant sur moi-même. Je dévisage l'homme en me demandant ou je suis et qui il est.
- Qu'est ce que je fais ici et qui t'es toi ? Pourquoi je suis attaché ? Libère moi !!
J'entends mon cœur battre à mes oreilles et la peur mélanger au stress et à la douleur dans ma tête me fait faire un malaise. Une crise de panique qui me fait perdre connaissance quelques secondes. Je reviens à moi et ouvre les yeux avec une meilleures forme mais rien n'a changé.
Je ne suis pas du genre à aimer les livres d'enlèvement et de séduction par la suite. J'espère que je n'ai pas était enlevé par un monomaniaque narcissique qui veut à tout pris m'épouser et faire de moi son objet de désir. Je n'offrirais riens de tout ça a personne. Même pas à mon idole.
Je regarde autour de moi et vois à présent la cage qui m'entoure. Je suis enfermée dans une cage comme un oiseau. Je soupire et bouge mes mains dans les chaînes pour m'assurer que e commence peux les bouger. Je regarde l'homme qui a un air mystérieux.
- Si c'est pour de la drogue je n'en consomme pas. L'argent j'en ai pas, j'ai tour donné pour entrer à la soirée. Le reste ce n'est pas à acheter ni à offrir. Détachez moi et laissez moi partir et j'oublie tout. Je ne sais même pas qui vous êtes et ce que vous me voulez. Je disparaît de votre vie et tout ce passe bien pour nous deux d'accord ? Je dois retourner travailler ma patronne va me passer un savon si j'ai une heure de retard.
Prisonnière comme ça,. Je ne peux rien faire de plus que demander ma libération. Je regarde si l'homme nn a pas un insigne ou une carte que je pourrais reconnaître mais non. Je ne vois rien sur lui qui m'aiderais à connaître son identité. Si seulement j'avais dit non à ma collègue pour la fête je ne serais pas là où je suis.
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Clionestra
Mar 18 Juil - 18:30
Benjamin Shaw
J'ai 70 ans et je vis à Londres, dans la meute, où je suis un loup soumis. Dans la vie, je suis informaticien et je m'en sors bien (puisque je vois personne). Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis merveilleusement bien. ► Supporte mal tous les êtres vivants ► Son loup est roux tirant vers le marron avec des yeux jaunes. ► A été maltraité par son père et agressé par sa mère avant d'être transformer à l'âge de 20 ans. Les sévices ont un peu continuer ensuite.
Ne. Pas. Rire. Ne pas rire. NE…. PAS…., il laissa échapper un rire entre ses lèvres. Il était incapable de s’en empêcher. Il se moquait, très clairement, de cette personne devant lui. Aussi, pourquoi on lui avait refilé à lui ? Il n’aimait pas les gens. Surtout les gens bêtes… et cette femme devait être le haut du panier de la stupidité. Non, en vrai, s’il restait sérieux deux minutes, il pouvait comprendre qu’elle pense stupidement avoir été kidnappé et tout … mais non. Il ne pouvait pas s’empêcher de ricaner comme un sadique. Pas sa faute. La jeune femme avait tous les codes de la panique et aussi soumis que soit Benjamin, la peur faisait toujours plaisir à un loup. Il attrape un tabouret qui était sur le côté et s’assoit à proximité du lit. Il ne la quitte pas des yeux. Essaie de voir sa louve sous la surface.
Son propre loup était là, cherchant, guettant, désireux de la voir encore paniqué. Vilain loup. Mais Ben ne laissait rien paraître maintenant qu’il la regarder. Il n’avait jamais cherché à savoir comment on annonce à une femme qu’elle était devenue une louve. Il n’avait jamais cherché à comprendre comment lui expliquer sa nouvelle vie. Lui, il avait été transformé et il l’avait su. Il soupire.
- La drogue ne te fera jamais plus rien. Ton système est devenu bien trop performant pour ça. Il n’y a qu’une seule chose dont nous sommes tous allergique, et c’est l’argent, c’est pour ça que tes poignets te brulent. On n’a pas besoin de ton argent. Et ta patronne sait déjà que tu es « en vacances ».
Doucement, il prit le journal pour lui lancer. Dessus, il y avait écrit la date du jour… Soit une semaine après sa fête qui avait mal tourné. Une semaine pendant laquelle elle était presque morte, mais pas assez pour mourir… Juste assez pour être changer en louve garou.
- Je pourrais passer milles années a essayé de t’expliquer ce qui t’es arrivé, mais j’ai la flemme, dit-il une voix trainante qui sous entendait exactement ce qu’il disait, alors à la place je vais te montrer. Regarde bien.
Il sortit un couteau suisse de sa poche. Il se lève, s’approche un peu d’elle et avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit, il s’entaille le bras de la main au coude et mets son bras ainsi meurtrie devant la jeune femme. Elle peut voir la plaie se résorber pour ne plus rien laisser que du sang et une peau saine et forte.
- Félicitation, Hannah O’Malley, tu es devenu une louve-garou. Et le temps d’apprendre le contrôle ou comment ne pas ébruiter le secret, tu es sous la protection de la meute de Londres. Des questions ?
Oui … bon… il aimait faire paniquer les gens et les sentir mal. Cela l’amuse. Ce n’est pas sa faute. Aussi, elle l’avait traité limite de violeur avec ses allusions, alors il pouvait se venger, un peu.
- Si tu as besoin d’une preuve de plus, je peux me transformer aussi.
J'ai 24 ans et je vis à Londres. Je travaille comme vendeuse dans une boutique de vêtements à la mode. J'aime passer mes soirées en boîte de nuit pour m'amuser et oublier mes longues journée de travail. Sinon, grâce à ma malchance j'ai perdu connaissance à une soirée privée et je ne me rappel de rien.
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Certaines fois, pour nous protéger de la réalité, notre cerveau bloque des souvenirs qui peuvent changer radicalement notre manière de voir les choses. C'est ce qu'il m'arrive actuellement alors que je sens y'en douleur dans ma tête mais aussi dans mes poignet. La peur et l'angoisse d'être dans une cage attaché devant un homme ne m'aide pas à me calmer.
Je supplie l'homme de me laisser partir, lui proposant même de l'argent. Mais il n'est pas décider à le faire. Pire même, il me dit que j'ai changé. Je l'écoute d'une oreille, cherchant du regard un moyen de sortir d'ici. Mais aucune échappatoire n'est permise.
L'homme reviens avec un tabouret et un long et fin couteau. Je vois ma vie s'arrêter à ce moment là mais non, il me parle d'argent. Pas la monnaie, l'acier. Et selon lui j'ai peur de l'argent à présent. En voyant la lame je ne me sent pas à l'aise mais une peur plus grande en moi née et me préviens que c'est un danger.
Il jette vers moj un journal dater d'une semaine plus tard que le soir de la fête. Je le regarde pour vérifier qu'il est bien vrai mais je garde un doute sérieux sur cette histoire. C'est trop gros pour être vrai. N'importe qui peut imprimer un faux journal.
Je n'ai pas le temps de demander ce qu'il fait, qu'il s'entaille le bras et me montre sa plaie qui se referme d'elle même. J'ai le souffle coupé et je respire mal.
- Qu'est ce que c'est que ce bordel, t'es taré ! Laisse moi sortir je connais une flic qui va pas me laisser disparue pendant une semaine sans rien dire. Tu vas avoir tout les flics de Londres au cul. Laisse moi sortir abrutis !!
Malgré mon discours il ne perd pas son objectif et me préviens qu'à présent je suihdq une louve garous et que j'appartiens à la meutes de Londres sous leur protection et surveillance. Je ne crois pas ce qu'il me dit mais lorsque je l'entends me dire qu'il peut se transformer pour le le prouver, mon instinct se déclenche et je panique. J'ai un pressentiment plus prononcé sur le danger qui va suivre.
Sans comprendre, je fais un malaise et une douleur dans mes poignet me réveille. J'ouvre les yeux et essaie de déterminer où je suis mais rien n'a changé. Je vois mieux et sent beaucoup d'odeur que je ne distingué pas avant. Je l'ignore mais je suis désormais transformer en louve blanche dans la cage. La louve s'installe confroztbelment dans la cage sans être bloquer par les bracelet d'argent, à presnetrop petit pour elle. Elle dégage une odeur de sérénité malgré qu'elle soit enfermé ici et reste calme.
C'est le début d'une autre vie qui commence. Encore faut il se rappeler et l'accepter.
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Clionestra
Sam 22 Juil - 12:51
Benjamin Shaw
J'ai 70 ans et je vis à Londres, dans la meute, où je suis un loup soumis. Dans la vie, je suis informaticien et je m'en sors bien (puisque je vois personne). Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis merveilleusement bien. ► Supporte mal tous les êtres vivants ► Son loup est roux tirant vers le marron avec des yeux jaunes. ► A été maltraité par son père et agressé par sa mère avant d'être transformer à l'âge de 20 ans. Les sévices ont un peu continuer ensuite.
- Ton flic, il doit certainement avoir été prévenu selon son niveau d’accréditation. Il y a plusieurs loups qui sont dans le gouvernement et la police londonienne. Je suis là pour t’aider.
Sur ça, la meute de Londres n’avait rien à envier à celle des Amérique. Leurs loups étaient à l’intérieur du gouvernement, si bien implanté qu’ils pouvaient gérer tous les soucis. Bien sûr, il y avait Arthur, l’autre alpha de Londres, qui avait ses loups dans le gouvernement mais … Ce n’était qu’un détail. Arthur était le genre de loup pas fou mais un peu, qui pensait sérieusement être la réincarnation du roi Arthur. Moyen donc. Bref. Il était là pour l’aider, mais si elle ne voulait pas de son aide, il ne voyait aucune raison de rester. Il pouvait bien la laisser mariner. Quand elle se transforme, il se pousse. Il la laisse se transformer, il la voit avoir mal… mais elle doit y passer par là. Il se met au sol le temps qu’elle finisse la transformation. Son loup s’amuse à se promener à la lisière de son esprit. Il regarde. Un loup, c’était plus compliqué à faire flipper qu’une petite humaine. Limite, il trouve ça triste. Il la regarde. Observe cette louve blanche et immaculée. Loin de lui. - Bonjour vous, dit-il avec douceur alors qu’il rapproche son bras, maintenant refermé mais toujours tâché de sang vers elle. Je suis ton allié.
Il la regarde droit dans les yeux. Il n’est pas en train de la défier. Il est simplement en train de lui montrer sa sincérité à travers son regard déterminé. Elle n’avait pas encore appris à comprendre le langage corporel, elle ne pouvait pas définir par l’odeur ou les battements de son corps ce qu’il disait ou non… mais les loups avaient un instinct. Le regard qu’il posait sur elle, à peine jaunit pour montrer son loup sous son apparence humaine, voulait lui rappeler qu’elle était en sécurité ici. Il trouvait cela étrange que la louve soit si calme, si posée, sereine. Les premières transformations étaient douloureuse, tant mentalement que physiquement… Elles faisaient perdre le contrôle aux loups avant même d’être complètement transformé… pourtant … pas elle. Pourquoi ? Il avait déjà entendu parler de loups qui ne ressentent pas la douleur des transformations, ou qui la supporte si bien qu’ils arrivent à calmer les autres loups pendant des moments peu agréables… Il s’approche et la laisse le sentir.
- Il y a toujours une période d’un an, entre la première transformation et le moment où tu peux choisir une meute, ailleurs, que celle qui t’a recueillit. Pendant un an, je serais en charge de t’apprendre à cacher ton secret et à protéger la meute. Et nous allons devoir aussi parler de ta transformation qui n’a pas été fait dans les règles du tout.
Il se penche, met une main hors de la cage et lui tends une grosse assiette pleine de steaks hachés cuit.
J'ai 24 ans et je vis à Londres. Je travaille comme vendeuse dans une boutique de vêtements à la mode. J'aime passer mes soirées en boîte de nuit pour m'amuser et oublier mes longues journée de travail. Sinon, grâce à ma malchance j'ai perdu connaissance à une soirée privée et je ne me rappel de rien.
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Les derniers mots que j'entends sont Ils sont là pour t'aider avant de sombrer dans une vague d'inconscience mentale.
La louve s'allonge sans concessions et regarde la silhouette derrière la cage tout en restant calme.lorsuq l'assiette esg déposé proche d'elle, elle m'a renifle, regarde l'homme mais ne fait rien de plus. Elle baille puis son dos bouge et elle se recroqueville sur elle même.
Mon corps est endoloris lorsque je reprend conscience et une forte odeur de viande cru me réveille. Je suis enrouler sur moi même, comme un fœtus et le froid du sol me saisit. Je suis nue. Je passe ma main sur mon visage et m'asseoit en tremblant de froid, ne comprenant pas ce qu'il se passe. Je ne suis plus attachée à la cage mais j'ai les bracelet autour des poignet tout de même. Je ne sais pas ce qu'il c'est passé et la terreur me saisit.
Je pleure en respirant avec des sanglots et regarde l'homme qui est toujours là devant moi. Je ne sais pas quoi dire n'y faire mais je reste sur la défensive et toute mon attention et porter sur l'homme alors que je pousse du pied l'assiette de viande.
- Donnez moi des vêtements et un repas chaud... Qu'est ce qu'il se passe ? Vraiment c'est pas drôle cette histoire de loup... Laissez moi sortir je ne dirais rien et promet de rester calme...
Je dis cela en tremblotant et montrant mes mains en l'air, cachant ma poitrine avec mes genoux contre mon ventre. Il est claire que si je sort d'ici vivante je ne vais pas en rester là. Mais pour le moment je dosi faire profil bas et rester calme. De toute manière la peur et trop grande pour me faire faire des bêtises.
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Lun 14 Aoû - 14:50
Benjamin Shaw
J'ai 70 ans et je vis à Londres, dans la meute, où je suis un loup soumis. Dans la vie, je suis informaticien et je m'en sors bien (puisque je vois personne). Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis merveilleusement bien. ► Supporte mal tous les êtres vivants ► Son loup est roux tirant vers le marron avec des yeux jaunes. ► A été maltraité par son père et agressé par sa mère avant d'être transformer à l'âge de 20 ans. Les sévices ont un peu continuer ensuite.
Il pensait que le fait qu’elle se soit changer suffirait. Il le pensait vraiment. Mais non. Elle était casse-couille jusqu’au bout. Les femmes étaient souvent comme ça, avait-il remarqué. Il n’aimait pas les autres, les femmes encore moins. C’était souvent de perside petite sa…, il sourit à la peur qu’il sent encore et finit par prendre un bout de la viande pour le mettre à ses lèvres. Il a toujours aimé le tartare, cette viande ne faisait pas exception. Il soupire et se met en tailleur.
- Tu n’écoutes vraiment rien, pas vrai ?
Il lui lance un drap pour qu’elle s’emmitoufle dedans si ça lui chante. Il était un loup depuis si longtemps que la nudité ne lui faisait même pas relevée un sourcil. Pour lui, la femme habillé ou nue, n’était qu’une personne en train de lui taper sur le système. Il soupire, la regarde alors que ses yeux changent de couleur pour lui montrer son loup. Il essaie d’appeler la louve en elle, qu’elle lui répond. Il avait besoin de que la jeune femme se concentre sur ses paroles, sur ses gestes et qu’elle accepte l’inévitable.
- Je vais te le prouver mais je ne pourrais plus communiquer avec toi pendant un petit moment, tant pis pour toi. Tu resteras avec tes questions le temps que je récupère.
Au bout d’une petite seconde, parce qu’il n’avait aucune patience, il se lève et se déshabille pour entamer la transformation. C’était douloureux, cela faisait naître toujours des couinements de douleur et des os qui craquent pour se ressouder différemment. Il ne pourrait pas faire la transformation inverse pendant deux à trois heures … mais ça suffira. Il approche la patte de l’assiette et la renvoie vers la nouvelle louve avec un seul ordre « Mange ». Et il se couche devant la cage pour lui faire comprendre qu’elle ne pourra pas sortir d’ici, qu’il veille, jusqu’à ce qu’elle accepte la vérité. Elle était une louve, enfermée pour la protection des autres autant que pour la sienne… et elle ne contrôlait rien. Alors il se mit à dormir à proximité pour garder un œil sur elle … et trois heures plus tard, il s’étira pour se changer à nouveau en humain. Il reprit sa position, en tailleur devant elle, nu parce que lui il s’en fiche, et la regarde.
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Ma peur ce lis sur mon visage comme on peut deviner mes pensées à ce moment précis. Ce mec est fou. Je suis dans une cage et maintenant nue, je ne me rappel pas m'être déshabiller et en plus il me dit que je suis une louve et que je n'écoute rien.
Il prend tout de même la peine de se lever et de revenir vers moi pour me jeter, à travers les barreaux de la cage, un plaid qui recouvre mon corps.
Il attrapé un morceau de viande et le mange crue et je grimace ne comprenant pas comment on peut manger ainsi de la viande sans qu'elle soit cuite et saucé. Mon père fait le meilleur bourguignon que j'ai jamais mangé. C'est une de ses spécialité, étant d'origine français et je le suis toujours régaler avec ça sauce si particulière.
Il m'informe ensuite qu'il va me prouver quelques choses mais qu'il ne pourra pas me parler pendant un moment. Sans pudeur, il se déshabille devant moi et je soupir en cachant ma tête dans la couette.
J'entends des craquements et des couinements et je relève la tête pour voir apparaître un loup roux à la place de l'homme. Je suis encore plus effrayée de voir un tel animal mais j'admire aussi son pelage et sa taille différente des loups ordinaire Plus gand et plus prestant avec un air docile malgré la dangerosité qu'il représente.
Il fait un geste qui me surprend en poussant l'assiette de viande crue vers moi et son regard accroche le miens. Je sens en moi une forme venir et prendre le contrôle de mes gestes et j'attrape la viande pour la apnger ainsi sans difficulté et sans répugnance.
Le loup s'allonge devant la cage et s'endors pendant que je mange la viande et regarde autour de moi cherchant une possible échappatoire. Mais rien n'a était laissé au hasard et tout est bien sous contrôle. Je m'allonge à mon tour au bout d'une heure à contempler le pelage du loup en face de moi et m'endors.
La voix de l'homme me réveille de mon sommeil et je plisse les yeux pour regarder cet homme me parler. Alors qu'il y avait un loup juste avant j'en suis certaine. Sa question sonne comme un ordre et je me frotte les yeux et m'assoit devant lui en hochant la tête, pas certaine de ce qu'il viens de se passer.
- Si je part du principe que je suis une louve et que toi tu es le loup d'il y a quelques instant. Qu'est ce qu'on est ? Et qu'est ce qu'on fait ici ? Comment je suis devenue ça...?
Les questions fusent dans mon esprit et j'essaie de mettre de l'ordre dans mes idées avant de poser d'autres questions à l'homme. Ça va être long pour moi d'accepter et comprendre ce qu'il se passe. Pourquoi moi et dans quel but ? Dans quel monde vis-t-on ?