Qui aura la rose ? - Bachelor, version Suna (Charlissa)
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HATAKE
Dim 10 Sep - 17:18
Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien. - 1m73 - ancien hôte d'ichibi - cinquième kazekage de Suna - secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus - doit se trouver une femme pour des raisons politiques
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GAARA La blanche ne répond pas. C'est la bleue qui s'en charge. Mais Gaara ne la regarde pas, même s'il l'écoute. Il reste attentif aux réactions de Fureki, dont il connaît à peine la mère mais … assez pour voir la différence entre elles. Il y a sans doute quelques points communs, si elle n'était pas en train de trembler de peur, il y aurait certainement la même douce élégance dans ses gestes. Mais. Elle a peur. La petite sœur de la bleue aussi ? Pas étonnant, il a sa réputation. Enfin ses réputations. Ça dépend des gens et des morceaux de son histoire qui les intéresse le plus. Enfin peu importe.
"Vous êtes une protectrice."
C'est un constat. Le iris bleues du kazekage se figent dans les iris jaunes de la princesse de Yu. Il sourit. A peine, mais ça reste visible. De toute façon, le moindre changement est visible sur son visage en quasi porcelaine. Mais oui, il constate. Elle a une aura très étrange autour d'elle, une qu'il ne connaît pas. Mais c'est une protectrice. Comme lui.
Après de longues secondes, Gaara finit par décoller son regard d'Eula pour se tourner vers la pauvre fille terrorisée qui se met à bouger et à parler. A essayer de parler, tout du moins. Il attend, sans s'impatienter, qu'elle arrive à formuler ce qu'elle a à dire. Son arcade sourcilière se soulève à peine. Surpris par ce qu'elle vient de dire. Et puis son mince sourire réapparaît une seconde à peine, un tout petit peu amusé de la situation dans laquelle elle vient de se mettre toute seule. Il regarde Eula brièvement, elle qui rassure à nouveau la petite blanche, et revient à elle pour lui parler d'une voix un peu plus douce que la normale. "Ce serait une bonne idée, en effet. Enfin savoir pourquoi je vous fais peur ne m'intéresse pas. Je suis plutôt curieux de savoir comment vous libérer de cette situation, puisque vous n'avez visiblement pas le choix d'être là."
La voix de Gaara se baisse avant même la fin de la phrase. Ses divaguent vers la petite fenêtre de la pièce. il pense à la mère de Fureki, et se demande pourquoi une femme si douce aurait contrainte sa fille à venir ici. Alors qu'elle est très clairement terrorisée. Yukia aurait-il des problèmes dont il n'aurait pas entendu parler. Mh. Il verra plus tard. Il demandera à Baki de vérifier entre deux entrevues.
Eula explique sa technique pour déstresser et le kazekage hoche doucement la tête pour signifier qu'il retient. Il ne voit pas bien pour qui il pourrait faire cela, mais il retient. L'irruption d'une fiole dans la scène relève soudain son niveau d'attention. Avant de comprendre ce que c'est et de se détendre. Quand on a été le cible de plus d'une trentaine de tentatives d'assassinat, on se méfie des gens qui ajoute des trucs dans les tasses de thé.
Gaara attrape la fiole tendu par "politesse" avant de la renifler. Il la referme et la repose sur la table.
"C'est de l'alcool."
Qu'il informe Fureki. On ne sait jamais. Il se fiche pas mal qu'Eula en boive. C'est mal poli et inélégant sur pas mal de points, d'après ce qu'on lui a dit. Mais. Lui s'en moque. Elle fait ce qu'elle veut. Il fait ce qu'elle veut. Et pour que Fureki puisse faire ce qu'elle veut, il faut qu'elle sache alors il l'en informe simplement. Avant de répondre à sa question.
"Mh. Du jardinage. Et du piano. Quand j'ai le temps. Sinon je lis. Et vous deux ? En dehors de boire un verre."
Bien sûr que la dernière phrase s'adresse à Eula. Gaara attrape sa propre tasse avant de reculer contre le dossier de son siège et boire une gorgée. "Des choses que vous voudriez voir ou faire à Suna ? C'est l'occasion puisque vous êtes ici, bon gré, mal gré."
Cette fois, la dernière phrase s'adresse plus particulièrement à Fureki. Dont la seule activité qui doit la tenter à Suna est … la fuite.
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Clionestra
Dim 17 Sep - 18:04
Eula Yu
J'ai 18 ans et je vis à Yu, le village de la rivière. Dans la vie, je suis princesse mais tout ça je m'en tape copieusement (d'où le fait que personne ne me demande rien d'ailleurs). Je ne compte pas me marier au kazekage ... mais j'ai pris la place de ma soeur qui avait peur en plus d'être mineure
→ Elle n'a aucune envie d'être princesse → N'aime pas du tout avoir des responsabilités → Adore s'amuser et boire → Peut utiliser la vision des oiseaux → Adore danser → Perverse → Ses deux parents sont en vie et règne sur Yu. → Elle a une petite soeur Iona, de 15 ans.
Fiche Technique:
Fureki Yukia
J'ai presque 19 ans et je vis à Yukia, le village de la neige. Dans la vie, je suis l'unique princesse et je le vis très bien. Je ne veux me SURTOUT PAS marier avec le kazekage car il me fait peur → Fille unique avec ses deux parents dirigeants de village → Adore faire la cuisine, et la partager → Ne sait pas se battre → Peureuse. Pas courageuse. Well, Gaara il fait peur hein ! → Peut contrôler la glace → Aimerait être plus courageuse et plus forte
Fiche Technique:
Eula avait voulu aider. Parce qu’elle était comme ça, malgré toutes les mauvaises choses qu’elle était aussi. Elle avait été le genre de princesse incapable de comprendre la politique, qui trouve les lois, la plupart du temps, stupides … mais elle n’aimait pas voir les autres souffrir… ça c’était sûr. Cependant, personne n’avait jamais essayé de l’appeler « Une protectrice ». Elle papillonne des yeux, émue sans pouvoir l’avouer devant le kazekage. Elle était quoi ? Non. Elle ne pourrait pas être ça. Elle se fichait de tout le monde. Elle détourne les yeux et rougit. Elle ne s’attendait pas à un compliment … et clairement, elle le prenait ainsi. Et le sourire ? Eula, ne réagit pas, ce qui ne fut pas le cas de Fureki qui se figea un peu plus. Il pouvait sourire ? Elle pensait qu’il ne pouvait pas sourire.
Parce qu’elle se souvient de ce jour où il avait attaqué les enfants. Il n’avait pas sourit non plus. Il avait juste un visage en colère. Elle l’observe, se demande pourquoi sa mère l’avait fait venir, à nouveau. Etait-ce pour ce sourire ? La mère de Fureki disait que le sourire d’une personne était la vérité de son âme. Et là … Elle pouvait dire que l’âme de Gaara semblait bien trop … pure. Fureki rougit doucement.
- Je … Je crois que c’est pour ça que je suis là, fit-elle tout doucement, apprendre à vous connaître pour ne plus avoir peur.
Eula sourit, doucement, en lâchant la main de la grise. Elle arrivait à respirer mieux, elle n’avait plus besoin d’elle. Gaara semblait aussi gérer la situation. C’était mieux de laisser le grand kazekage s’y faire. L’alcool aide. Elle ne réagit pas mal à la réaction du grand chef de Suna. Elle comprend, mais l’alcool ça fait du bien pour se détendre un peu. Fureki sent l’odeur et essaie pour voir. Elle ne voit pas trop la différence, pour tout avouer. A la question, Eula regarde Fureki qui réfléchit avec une certaine lenteur. Eula sourit et prends la parole en premier.
- J’aime la danse, fit-elle. Plus que boire d’ailleurs. Et voler. Pas littéralement, je n’ai pas cette capacité, mais je peux emprunter la vision des oiseaux, et j’aime méditer en regardant le monde des oiseaux. Je pense que j’aimerais visiter Suna depuis leurs yeux.
Elle disait cela en laissant son regard s’attardait sur un oiseau au loin, qui semble flatter le paysage et s’envoler. Qu’importe les paysages, le monde vu des oiseaux était si beau, si grand, si beau, doublement. Fureki avait prit le temps de se pencher … en tremblant, pour prendre un sac qu’elle avait mit à ses pieds. Elle sort un sachet de biscuits. Elle avait bien vu la réaction du Kazekage face à la fiole d’Eula, alors elle tremble et n’ose pas trop proposé. Elle faisait un effort sur humain pour ne pas partir en courant justement. Elle fermait les yeux et le sourire de Gaara se remplacer sur le visage qu’il avait eu ce jour là. Elle met le sachet sur la table et l’ouvre.
- Je … je … je …. Je cuisine. J’aime … j’aime cuisiner, dit-elle alors qu’elle regarde Eula se pencher.
La bleue prend un cookie qu’elle met directement dans la bouche en le mâchant plusieurs fois… avant de l’avaler et de faire un sourire rassurant à Gaara. Pas de poison ici aussi. Elle en prend un autre en souriant ensuite à Fureki.
- Ils sont très bons. Dis-moi, Kazekage, qu’est-ce que vous aimez dans le jardinage ? Et comment vous pouvez faire pousser quoi que ce soit ici, d’ailleurs ?
Fureki se remarque alors que Eula tutoie le kazekage sans la moindre hésitation, comme si elle le connaissait … et sans la moindre forme de honte dans ses prunelles.
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HATAKE
Dim 17 Sep - 18:58
Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien. - 1m73 - ancien hôte d'ichibi - cinquième kazekage de Suna - secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus - doit se trouver une femme pour des raisons politiques
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Gaara a noté le trouble chez Eula quand il a affirmé qu’elle est une protectrice. Et même s’il n’en a rien montré, son trouble l’a lui-même troublé. Etonné de voir qu’un simple constat (oui, non, c’est pas spécialement un compliment pour lui, enfin c’est une bonne chose certes, mais il ne lui a pas dit pour lui faire plaisir ou quoi) a réussi à perturber une femme qui lui a semblé à première vue nettement plus … du genre 11 sur 10 sur l’échelle de Temari. (Oui, il compare les femmes à sa sœur, c’est son seul repère féminin. Avec Hinata un peu maintenant.)
Mais Fureki rajoute une couche par-dessus son trouble dissimulé avec les conclusions qu’elle tire à mi-voix. Ne plus avoir peur de lui. Ah. Oui. Ca ressemble nettement plus à une idée que pourrait avoir la reine de Yukia. Plutôt que juste traumatiser et torturer sa fille. Bien plus logique tout à coup.
Enfin la discussion dévie sur leurs passe-temps et Gaara écoute la princesse de Yu en sirotant son thé (sans alcool toujours, nope, c’est pas dans ses habitudes) (ok, il en a jamais bu). Il suit son regard vers l’oiseau qui vole devant la fenêtre et sourit doucement.
“Oui, je comprends. C’est un autre point de vue. Vous voyez juste ? Ou vous pouvez ressentir également les sensations de vol de l’oiseau ?”
Parce que voler, ça il peut. Et il pourrait la faire voler, si elle veut. Mais sa façon de voler, se mettre sur du sable qu’il fait léviter, est bien différente de celles des oiseaux dans les sensations. Il suppose en tout cas. Alors il se demande. Et puis là-dessus, Fureki fouille dans son sac, longtemps, et bouge, lentement. Gaara la laisse faire, patiemment. Il attend juste, jusqu’à ce qu’elle déballe des cookies. Elle cuisine donc. Eula se sert avant lui, et le kazekage relève les yeux vers elle. Bon. Il ne s’inquiète pas vraiment d’une potentielle tentative d’empoisonnement, encore moins avec la grise qu’avec la bleue. (Quoique ça serait une bonne idée puisque visiblement il ne se méfie pas vraiment.) Mais l’idée lui traverse forcément l’esprit, et traverse visiblement celui d’Eula aussi, au regard qu’elle lui adresse. Gaara le lui rend avant de revenir à la princesse de Yukia.
“Merci, princesse Fureki.”
Appelle-les par leurs noms. De temps en temps. Je sais que tu trouves que ça ne sert à rien, mais ça fait sentir à l’autre qu’il est considéré. C’est un truc que lui avait dit Kankuro. En effet, Gaara ne voyait pas trop l'intérêt de rajouter le prénom de la personne avec qui on parle dans une phrase. Vu qu’on lui parle, justement. Mais, son aîné étant NETTEMENT plus doué que lui en relations humaines (même pas besoin d’ajouter, “avec des femmes” ou “amoureuses”, nope, juste “humaines” déjà), il lui faisait confiance, et tentait plus ou moins d’appliquer ses conseils. Enfin les conseils qu’il trouvait logique. Jamais de la vie il fait un baise-main à une femme qu’il connait pas. Et il doute franchement que ce soit dans les habitudes de Kankuro. Faut faire le tri entre ses vrais conseils et les pièges qu’il aime lui tendre juste pour le mettre dans des situations à la con. Faux frère. Bref. Gaara énonce le titre et le prénom de la jeune Fureki avant d’attraper un cookie à son tour, tournant à nouveau son attention sur la bleue.
“J’aime voir les plantes évoluer. Partir d’une graine, grandir et prospérer. Même si j’ai du commencer avec les cactus, parce que … je n’étais pas très doué.”
Il avoue. Inclinant la tête comme si quelque chose venait de lui percuter la tempe. Mais ouais, ses débuts avaient été catastrophiques.
“Suna possède d’importantes serres botaniques. Et il existe également une oasis sous-terraine avec une petite jungle. S’il y a un endroit à voir à Suna, c’est là. Mais le nombre d’entrées par jour est limité pour préserver la stabilité de l’écosystème.”
Clairement, un endroit frais, vert, et avec un plan d’eau pour se baigner, … si la zone n’était pas régulée, elle serait sans cesse prise d’assaut. Et tout aurait été vite détruit. Gaara estime que son père a pris un sacré paquet de mauvaises décisions politiques dans son rôle de Kazekage. Mais au moins, il avait réussi à préserver cet endroit. Par contre, il est vrai qu’il est assez compliqué d’y accéder pour des personnes qui n’ont pas réservé leurs accès à l’avance. Le jeune homme s’arrête sur ce point une seconde, avant d’ajouter :
“Je pourrais vous y donner accès de nuit, quand il n 'y a personne, je suppose … à vous toutes. Ca vous donnerait un endroit pour vous ressourcer et oublier la chaleur et les étendues de sable autour de vous.”
Suna. Il aime son village. Et tous les habitants de Suna aiment ce village. (Ou presque.) Mais pour des étrangères, qui vivent dans le froid ou la forêt, l’environnement peut leur paraître hostile et agressif. Ouais. C’est une bonne idée. Il croit. Il en parlera à Baki. Gaara considère le cookie toujours intact entre ses doigts et mord enfin dedans. Il prend le temps de le terminer avant de confirmer ce qu’à déjà dit Eula.
“Mh. Ils sont très bons. Vous cuisinez uniquement de la pâtisserie, ou de tout ?”
Causer bouffe. Il ne s’en serait pas cru capable, tiens. Quoique non. Il ne cause pas bouffe. Il se renseigne sur la jeune femme. Et ça, s’intéresser aux autres, il sait faire. Même s’il le fait de très loin la très grande majorité du temps.
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Clionestra
Dim 17 Sep - 19:37
Eula Yu
J'ai 18 ans et je vis à Yu, le village de la rivière. Dans la vie, je suis princesse mais tout ça je m'en tape copieusement (d'où le fait que personne ne me demande rien d'ailleurs). Je ne compte pas me marier au kazekage ... mais j'ai pris la place de ma soeur qui avait peur en plus d'être mineure
→ Elle n'a aucune envie d'être princesse → N'aime pas du tout avoir des responsabilités → Adore s'amuser et boire → Peut utiliser la vision des oiseaux → Adore danser → Perverse → Ses deux parents sont en vie et règne sur Yu. → Elle a une petite soeur Iona, de 15 ans.
Fiche Technique:
Fureki Yukia
J'ai presque 19 ans et je vis à Yukia, le village de la neige. Dans la vie, je suis l'unique princesse et je le vis très bien. Je ne veux me SURTOUT PAS marier avec le kazekage car il me fait peur → Fille unique avec ses deux parents dirigeants de village → Adore faire la cuisine, et la partager → Ne sait pas se battre → Peureuse. Pas courageuse. Well, Gaara il fait peur hein ! → Peut contrôler la glace → Aimerait être plus courageuse et plus forte
Fiche Technique:
Eula regarde l’oiseau. Il la nargue ce petit vilain. Il pavane ses belles plumes sable vers elle. Elle était avec le Kazekage, elle ne pouvait pas tout planter pour se lever et approcher de l’animal. Mais elle mourrait d’envie. Elle regarde encore un instant l’oiseau qui s’envole et revient à un rythme effréné, comme attirer par les cookies et elle secoue la tête.
- Malheureusement, je ne peux que voir. La vision de l’aigle, c’est comme ça que s’appelle cette capacité, parce qu’à l’origine, ma famille ne pouvait voir qu’à travers les aigles. Maintenant, toutes les adorables animaux volants et à plume peuvent être utilisés.
Elle n’avait jamais essayé sur des « non oiseaux », comme pour les monstres volants, ou bien les animaux à plumes qui n’étaient pas des oiseaux. Il parait que les crocodiles avaient plus de lien avec les oiseaux qu’avec les serpents, cela serait une idée d’essayer …. Mais il fallait beaucoup de concentration et un maintien du chakra selon la distance soutenu pour ne pas simplement pleurer du sang. Elle prend un cookie de la princesse Fureki et fait une moue en réfléchissant à ça.
Cette dernière était pivoine alors que les deux manger ses cookies simplement. Elle était heureuse que ça ne donnait pas l’impression de vouloir leur faire du mal… même si elle se demande bien qui serait assez bête pour pouvoir essayer de tuer le Kazekage (si elle savait ….). Pour elle, Gaara était la personne la plus haute dans l’histoire du monde de la force. Personne ne lui arrive à la cheville. Dans sa tête, il pourrait raser son petit pays en clignant des yeux. Même pas en réalité. Il avait juste besoin de respirer. Elle se fige et penche la tête pour le remercier. Gênée et surprise d’entendre son prénom, cela lui fait pourtant du bien. Eula regarde les deux avec un haussement de sourcil. L’un semblait faire des efforts pour parler –ce qu’elle ne comprenait pas, elle pense qu’elle avait commencé à parler avant de savoir respirer- et l’autre à respirer –et la pensée inverse se fit aussi-. Elle ne dit rien et écoute le roi de Suna. Elle rit un peu derrière son biscuit. Ses parents lui ont interdit d’appeler le Kazekage un « roi » et ça lui donne envie de le faire… très très envie. Elle l’écoute et sourit.
- On commence tous du début. Je suis sûr que notre amie n’a pas fait des cookies parfait du premier coup, et Fureki fit un signe affirmative de la tête, et moi j’étais incapable de coordonné mes bras et mes jambes en danse. Une vraie calamité.
Eula relève un nouveau sourcil interrogatif alors que Fureki se redresse intéressé par la proposition. Un oasis sous terrain ? Eula sourit.
- Je pense que ça serait une bonne idée … mais attendait peut-être de diminuer le nombre de vos prétendantes. Certaines ne méritent pas une aussi grande implication de votre part.
Surtout l’espèce de chat moche là, qui avait essayé de lui faire une croche patte dans les escaliers. Cela mériterait bien qu’elle lui refasse le portrait … Si Eula ne pouvait pas ressentir les vols des oiseaux, elle aimait penser à ses ongles longs et fins comme à des serres. Fureki rougit à nouveau. Oh. Il avait aimé son cookie.
- De tout, avoue-t-elle. Mais j’aime bien plus la pâtisserie. Je peux … Les décorer. Il est plus difficile de faire une jolie assiette de purée que d’une île flottante. - J’adore les îles flottantes. Et la chantilly maison, tu sais en faire, demanda Eula qui eu clairement une nouvelle image perverse mettant en scène les trois protagonistes de leurs petites goûter ensemble …
Eula regarda l’heure. Dommage, ils n’auraient pas le temps, mais … elle aurait bien voulu tester quelque chose d’absolument fabuleux avec ses deux nouveaux amis… Elle eut un sourire pas rassurant. Fureki le remarqua, ce même sourire de quand elle avait attrapé ses doigts dans le couloir, et elle se décale un peu.
- Je peux vous faire vos pâtisseries préférées pour demain si vous le désirez. Une île flottante et … et … vous ? demanda-t-elle à Gaara, incapable de continuer à regarder le sourire pervers d’Eula.
Fureki avait oublié … elle était entre deux psychopathes … C’était si facile d’oublier quand on se croyait en sécurité … haha … haha. Ha.
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HATAKE
Dim 17 Sep - 22:13
Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien. - 1m73 - ancien hôte d'ichibi - cinquième kazekage de Suna - secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus - doit se trouver une femme pour des raisons politiques
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Elle ne ressentait pas le vol des oiseaux. D’accord. Il pourrait l’emmener voler à sa façon, alors. Eula aurait quand même une sensation physique de vol, il suppose, agréable. Gaara se surprend à réfléchir sérieusement à ça. Ça l'étonne un petit peu mais … mais peut-être pas tant que ça en fait. Il fait toujours ce qu’il peut pour aider. Son village dans la globalité parce que c’est son rôle. Mais aussi les villageois dans leur individualité quand des problèmes importants remontent jusqu’à ses oreilles. Ou quand l’un d’eux à la simple chance que son attention, sollicitée de toute part, s’arrête sur lui. Donc. C’est peut-être juste la continuité logique de cette attitude naturelle chez lui. Ouais.
La conversation se poursuit, presque naturellement, et Gaara cesse de s’analyser lui-même pour en revenir aux deux jeunes femmes face à lui. Il n’a pas d'avis sur Fureki. Tout simplement parce qu’elle n’est pas en état de pouvoir montrer qui elle est, à cause de la peur qu’elle ressent à son propos et de sa sensibilité à cette étrange situation. Alors il n’émet pas d’avis et lui laisse le temps. Se laisse le temps aussi. Il faudra juste que sa peur s’amenuise assez vite pour qu’il puisse la connaître avant de devoir l’éjecter par défaut. Enfin. Au pire. Ça arrangera peut-être la jeune feme. Quant à Eula. Il ne comprend pas tout. Il a l’impression que certaines de ses attitudes se contredisent, ce qui la rend plutôt intéressante. (Et compliquée ?). Mais c’est une protectrice. Et c’est un énorme bon point. En tout cas, voilà un bon premier entretien. Ce qui le soulage doublement. Déjà parce qu’elles sont … euh. Bien ? Et que ça ne s’avère pas être tant un calvaire que ça non plus. Bon. Les autres seront peut-être folles, après. Erm. Mais ça se passe plutôt bien. Il s’est pas trop mal débrouillé aussi, ahah. “On commence tous du début.” comme dit la princesse de Yu.
Ce qu’elle dit ensuite fait rire Gaara. Vraiment. Oh, il est loin d’avoir le rire tonitruant de son aîné. Il a un rire grave, discret et rauque. En fond de gorge. Juste quelques secondes, en tournant un regard très amusé vers Eula.
“C’est une idée. Je prends aussi note de votre implication.”
Oui. C’est une boutade. Gaara a fait une boutade. Un truc de ouf. Bon, après dix-huit ans à vivre presque quotidiennement avec Kankuro, il fallait s’y attendre à ce qu’il en sorte quelques unes de temps en temps. Mais la “proposition” d’Eula, en plus d’être d’une grande malice et d’une certaine mesquinerie qui l'amuse beaucoup, pourrait passer pour de la jalousie. Il ne prétend pas une seconde que c’en est. Mais il profite de cette mauvaise lecture pour la charrier un petit peu. Il l’a assez cernée pour savoir qu’il peut se permettre avec elle. Puisqu’elle le tutoie, et aromatise son thé à l’alcool sans le moindre souci. La princesse de Yukia explique pourquoi elle préfère les pâtisseries, et Gaara pense à sa purée dans laquelle il creuse un puit pour le remplir de jus de viande. Comme les gosses. C’est ce que son oncle faisait quand il était petit avant … avant qu’il n’essaye de le tuer. Et donc que Gaara le tue. Erm. Pas le moment de penser à ça. Alors il essaye de se concentrer sur l’échange des deux jeunes femmes qui parlent îles flottantes et crème chantilly.
Et puis Gaara bloque une seconde sur l’étrange sourire d’Eula. Il met quelques secondes à se souvenir de là où il l’a déjà vu. Sur Kankuro. Quand il regarde Mayuko, l’agent des renseignement de Suna avec qui il a des activités sexuelles plutôt … exotiques. Par contre. Le kazekage ne comprend ABSOLUMENT PAS pourquoi il retrouve ce sourire là sur les lèvres d’Eula, là tout de suite. Bah. Il doit se planter va. S’il était balèze pour lire les pensées des gens dans leurs attitudes, ça se saurait. Il bat des paupières pour se décrocher de ce sourire et se tourne vers Fureki.
“Euh. Un dessert … Je ne sais pas.”
Comment prendre le kazekage de court. Lui parler de ce qu’il aime manger. Aucune foutue idée !! Il ne s’occupe presque jamais de sa propre nourriture, et la plupart du temps il ne fait même pas attention à ce qu’il mange. C’est juste un besoin vital. Pas une activité plaisir pour lui. Sauf les céréales du matin. Pour ça que ça le rend ouf quand Kankuro mange tout. Il réfléchit, et décide qu’au lieu d’essayer de broder, il va simplement dire la vérité.
“Je fais assez peu attention à ce que je mange. Alors je n’en ai aucune idée.”
Il adresse un petit sourire désolé à Fureki alors que Baki frappe à la porte et vient les interrompre. En s'excusant bien sûr. Gaara s’excuse à son tour. Mais bon, s’il ne veut pas passer la semaine à les rencontrer toutes, il n’a pas trop le choix que d’avoir de brefs entretiens.
“Merci pour cette discussion. Et d’être venues. A Suna. J’espère que vous vous y plairez.”
Nope. Il ne cause pas de lui. Il a du mal à imaginer qu’une seule d’entre elles soit venue pour lui. Impossible. Donc. Voilà. Le kazekage les raccompagne jusqu’à la porte pendant que Baki change les tasses pour les deux prétendantes suivantes. Qui arrivent dans une minute. Juste le temps qu’il ait le temps de demander à son conseiller de vérifier si le village de Yukia n’a vraiment aucun problème. Et de lui parler de l’idée de l’oasis. Baki dissimule comme il peut son étonnement. Lui qui était persuadé de le retrouver encore plus grognon que pendant la réunion “d’ouverture”. Bah c’est que ça ne se passe pas si mal que ça, hein. Bon. Le conseiller accueille les deux princesses suivantes, et les introduit auprès du kazekage avant de s’effacer à nouveau.
Gaara a à peine le temps de souffler un coup et de se masser la nuque que deux nouvelles jeunes femmes entrent dans la pièce. Les deux-là … Elles ont l’air vachement coriaces dans le genre. Clairement pas là pour trouver un prince charmant, ahahah. Erm. C’est ce qu’il se dit pendant les trois secondes de blanc pendant lesquelles il ne dit rien et se contente de les fixer. Puis il se remet en marche.
“Princesse Beidou. Princesse Dehya. je vous en prie, asseyez-vous.”
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Dim 17 Sep - 22:53
Eula Yu
J'ai 18 ans et je vis à Yu, le village de la rivière. Dans la vie, je suis princesse mais tout ça je m'en tape copieusement (d'où le fait que personne ne me demande rien d'ailleurs). Je ne compte pas me marier au kazekage ... mais j'ai pris la place de ma soeur qui avait peur en plus d'être mineure
→ Elle n'a aucune envie d'être princesse → N'aime pas du tout avoir des responsabilités → Adore s'amuser et boire → Peut utiliser la vision des oiseaux → Adore danser → Perverse → Ses deux parents sont en vie et règne sur Yu. → Elle a une petite soeur Iona, de 15 ans.
Fiche Technique:
Fureki Yukia
J'ai presque 19 ans et je vis à Yukia, le village de la neige. Dans la vie, je suis l'unique princesse et je le vis très bien. Je ne veux me SURTOUT PAS marier avec le kazekage car il me fait peur → Fille unique avec ses deux parents dirigeants de village → Adore faire la cuisine, et la partager → Ne sait pas se battre → Peureuse. Pas courageuse. Well, Gaara il fait peur hein ! → Peut contrôler la glace → Aimerait être plus courageuse et plus forte
Fiche Technique:
Alors qu’elle énonçait un fait simple, quinze princesses dans un oasis ça faisait beaucoup et pas tout le monde avait envie de se mettre en bikini devant la princesse ennemie, elle se stoppa dans sa réflexion et posa les yeux sur lui. Etonné, bloqué. Il rit. La kazekage qui ne savait pas sourire, ou si peu, avait ris. Elle n’avait pas besoin de regarder dans la direction de la grise pour sentir sa rougeur et son choc à elle aussi. Ouais. Parlons bouffe. Non. Parlons pas bouffe. Eula sent une bouffer de chaleur clairement touuuuuut dirigé vers le kazekage. Elle le regarde. Elle le mangerait bien… Avec de la chantilly, là tout de suite… Surtout si ça fait naître un autre rire aussi rauque et … Sexy. Le rire était sexy. Elle murmure le mot.
Fureki l’entend, et elle rougit. Elle, elle n’avait pas su mettre de mot sur le son qui était sorti des lèvres du chef de Suna … pourtant, quand elle avait entendu Eula le souffler, elle s’était dit que … oui. Clairement. C’était ça. Ce mot qu’elle ne comprenait pas. Et elle regarde ailleurs à contrario d’Eula qui le regarde comme si … Elle ne veut même pas savoir ce qu’il se passe dans la tête de cette femme et préfère revenir, réellement, à la nourriture.
Des idées érotiques plein la tête, Eula se repousse dans son siège. Elle avait chaud. Elle imaginait ce rire emplir un moment silencieux pendant une baise sauvage. Dans la forêt, tiens. Quand le son des animaux se répercute … Oh. En haut d’un arbre. Elle n’arrive même pas à répondre à la grise qui … Eula tourne les yeux vers la grise qui papillonne des yeux. Elle avait disjoncté ? C’était bon ? Fureki respirait doucement, un peu… elle inspirait. On toqua à la porte pour que le kazekage aille voir… La grise continuait sa tête de poisson… Avant d’ouvrir la bouche pour sortir une phrase qui n’avait rien d’incroyable mais était dit avec la froideur d’une tempête arctique.
- Comment ça « Peu attention » ? Ce n’est pas normal ! Je vais rester ici, et il va goûter absolument touuuutes les patisseries que je sais faire ! Il faut connaître sa pâtisserie préféré ! Qui est ce chef cuisinier ? Je vais aller le …
Eula était choqué. Autant par le fait que Gaara semblait se foutre totalement de ne pas avoir de dessert préféré que la pulsion absolument vengeresse qui semblait naître dans le cœur de la grise. On les interrompt avant ce qu’il semblait être une menace de petit bébé caneton … mais ça restait tout mignon. Pour dire qu’il fallait changer. Gaara voyait-il l’espèce de furie qu’il avait enclenchée. Il allait se retrouver à devoir bouffer une sucrerie par jour jusqu’à la fin des temps. Elles le salurent alors que Fureki essaya de réitéré sa menace vers Gaara. Mais Eula l’attrapa pour la faire sortir.
Dans les couloirs, elle se montre d’un doigt coquin.
- Et moi, j’aurais le droit à tes pâtisseries ? - Oui, il faut bien que quelqu’un montre que ce n’est pas empoisonné pour que le kazekage puisse y goûter, répondit la grise en rejoignant une personne qui l’attendait très clairement.
Eula la laissa partir avant de faire un grand rire qui se répercuté dans le couloir. La petite grise avait clairement tout compris de l’échange mais se faisait passer pour une idiote ? Oh. Bon Dieu. Elle allait réellement mourir. Il y avait trop de jolie petite victime autour d’elle. Et l’un d’elle avait décidé d’engraisser la deuxième. C’était si drôle.
- Hé, Gaara, dit-elle assez fort avec la porte ouverte, si elle te nourrit, même si elle a peur, laisse-toi faire. Et choisi bien. On peut avoir qu’une pâtisserie favorite, tout comme on peut avoir qu'une femme, hahahah.
Elle se marre en marchant. Elle marche droit devant elle. Elle tombe sur deux autres filles dans le couloir que venait de traverser une Fureki sur les nerfs. Une avec des oreilles de chats, l’autre avec un bandeau sur les yeux. Elle ne sait pas pourquoi, mais une pulsion lui fait tirer la langue et elle part en se marrant d’autant plus. Putain. Il faut qu’elle aille loin pour continuer de se moquer de toutes ses petites pucelles, ou pas tant pucelles, qui se trouve à proximité.
J'ai 20 ans et je vis à l'île de Poto, depuis 3 ans. Avant j'étais sur la mer mais mon équipage pirate a été pendu. Dans la vie, je suis princesse depuis que mon grand-père m'a retrouvé et je m'en sors mal (ou disons plutôt que je ne fais pas d'effort). Je ne compte pas me marier au kazekage ... mais je joue le jeu pour mon grand-père et pour retrouver le trésor
Fiche technique:
Dehya
J'ai presque 23 ans et je vis à Kakutasu une ville peuplé de chats. Dans la vie, je suis princesse des chats et je le vis très bien, les humains, c'est moche. Je veux marier ma meilleure amie avec le kazekage parce que c'est la meilleure et que tout ce qu'elle veut, elle doit l'obtenir.
Fiche Technique:
Dehya crache. Clairement. Elle était en train de feuler tel un chat. Ouais. Le Kazekage allait avoir UNE femme, et celle femme allait être sa meilleure amie de déesse. Elle lance un regard clairement courroucé et vengeur, elle aussi tient, vers la seconde femme qui attendait. Contre un mur, le pied contre, Beidou frappe par nerf contre le mur. Un œil extérieur pourrait croire qu’elle était simplement stressée à l’idée de rencontrer le chef de Suna. Mais non. Elle n’en a rien à foutre. Elle, elle voulait aller explorer les lieux pour chercher un indice pour sa carte. Le mieux, en mer, était de se mettre en hauteur pour pouvoir définir la topographie des îles et la comparer à sa carte. Elle comptait faire pareil, monter pour voir la topographie des dunes de Suna. Après tout, sa carte ne portait pas de rosace, et elle sait d’expérience que ce n’était pas parce qu’une carte était écrit d’un sens, que la carte l’était dans le même. Ces putains de pirates. Elle laissa échapper un rire avant de voir apparaître à quelques centimètres de son visage une femme chat en colère. Elle ne l’avait clairement pas écouté.
- Tu disais ? - Tu es sérieuse, mocheté ?
Mais pour Dehya, si tu n’étais pas Tamaki, tu n’étais pas belle. C’était assez simple dans son esprit. Il n’y avait littéralement qu’une femme qui était belle, parfaite, et c’était Tamaki. Il y avait qu’une femme qui mérite … NON. L’inverse. Non. Si. Elle ne sait pas comment le dire … mais en gros, Tamaki veut Gaara, alors elle l’aura. Ce que veux Gaara, ou les autres, pour Dehya, c’était aussi importante qu’une crotte au cul d’un chien. Ça existe mais elle n’irait pas chercher à lui enlever. De toute façon, les chiens c’était débile. Beidou ne bouge pas et Dehya répète.
- Le kazekage se mariera avec Tamaki, capiche ? - Oh, ça, fit Beidou, ouais ouais … tant que je tiens jusqu’à la sélection finale je m’en tartine le cul au beurre de cacahuète.
Dehya bugue. Autant de l’image, qu’elle ne comprend pas -Pourquoi irait-elle se mettre du beurre de cacahuète sur son cul ?- que de la vérité qui coule. Alors Dehya change du tout au tout, elle passe un bras autour de Beidou qui la regarde d’un œil critique.
- Toi et moi, on va se faire un groupe. Je dois aussi tenir le maximum, murmura-t-elle. Mais je m’en fou de me marier.
Mais elle ne voyait pas comment elle pourrait être choisi par un kazekage… et faire semblant de s’intéressé à être la princesse d’un pays qui manque cruellement de chat. Sa queue fouette sur ses fesses, une vraie queue, comme des vraies oreilles.
- Un conseil, murmure à son tour Beidou, intéresse toi à lui. Tu resteras dans la course, mais s’il voit que tu te fiches de son peuple, il ne cherchera pas.
Dehya eu un rire alors qu’on leur dit de venir pour leur propre rendez-vous. Dehya avait sa queue flottant derrière son postérieur, elle s’était fait une alliée. Tamaki lui disait de se faire des alliés, et des amis, et c’était chose fait. Beidou la regardait partir, elle elle avait juste pris le porte ouverte pour un peu plus de soutien… Le pauvre kazekage. Deux filles en un rendez-vous qui n’en avait en réalité rien à faire de lui, et de son pays.
En rentrant, Beidou sent tout de suite l’odeur de l’alcool, pourtant pas franchement fort dans la pièce, elle s’approche du canapé devant la chaise unique et elle s’approche sans autre forme de procés. Dehya, elle, qui n’avait pas l’habitude de se faire appeler princesse s’approche très clairement de Gaara. Elle s’approche et le renifle avant que sa queue ne batte à nouveau. Elle se rapproche encore plus. Il sentait bon. Il sentait trop bon. Et comme un chat, elle avait trèèèès envie de se frotter à lui pour avoir son odeur sur elle. C’était bizarre. Tamaki avait dit ne pas faire trop le chat. Ce qui était chiant. Elle se préférait chat qu’humaine, Dehya. Elle cherche où s’assoir, à côté de Dehya ou … Elle s’assoit à la place de Gaara lors du précédent rendez-vous, et elle se met à ronronner malgré elle. C’était bon. L’odeur de Gaara avait été englobée dans celle de toutes les autres personnes mais il sent bon. Et Dehya, elle aime ceux qui sentent bon. Comme Tamaki. Beidou la regarde interloquée mais la queue du chat s’arrête et s’enroule alors que le ronronnement s’intensifie. Elle se pousse pour laisser plus de place à Gaara, s’il le veut pour s’assoir. Dehya se souvient des autres conseils de sa déesse.
- Je m’appelle Dehya. Princesse, personne ne m’appelle comme ça. Mon pays n’est pas comme le votre, énonça-t-elle en approchant son nez du thé pour clairement le foutre par terre comme un chat. Heureusement, c’était la tasse de Gaara et elle était vide. Et toi, tu sens bon.
Et elle regardait clairement Gaara avant que son ronron ne reprenne simplement. Pas plus gêné d’avoir dit quelque chose comme ça. Si Gaara sentait bon, et que Tamaki devenait sa femme, elle aurait peut-être le droit de dormir sur Gaara ? Cela serait une question à poser.
Univers fétiche : réel, hp, cyber, anime, dark et fluffy
Préférence de jeu : Les deux
HATAKE
Lun 18 Sep - 21:11
Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien. - 1m73 - ancien hôte d'ichibi - cinquième kazekage de Suna - secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus - doit se trouver une femme pour des raisons politiques
Faceclaim : gaara (naruto)
Le kazekage à beau être … le kazekage (logique, erm), il y a des choses qui lui échappe. Dont la réaction des deux jeunes femmes à son rire. Le mot glissé entre les lèvres d'Eula. Et la raison de la vague quasi assissine qui s'est brièvement émise de Fureki. Ça, il l'a senti. Mais il s'est dit qu'il avait rêvé. Ou confondu avec autre chose. Enfin bref. Tant pis. Les deux jeunes femmes s'en vont et Gaara se dit que ça va quand même être compliqué d'enchaîner les huit entrevues. God.
Il laisse Baki s'occuper de remettre des tasses propres pendant qu'il réfléchit à ce qu'il vient de vivre. Et tout à coup le rire puis la voix d'Eula résonnent dans les couloirs. Les deux hommes s'immobilisent. Et le kazekage réfléchit une seconde à ce qu'elle vient de dire. Et puis … "Treize sur l'échelle de Temari. Treize."
Qu'il se corrige dans un murmure. Alors que Bali crache littéralement à côté de lui, sous ses efforts finalement infructueux de ne pas rire. Il avait été le sensei des trois enfants de Suna, alors il voyait parfaitement ce que Gaara voulait dire. Finalement il s'éclipse à nouveau non sans bien entendu avoir présenté les deux nouvelles venues. Il aimerait vraiment bien voir comment ça se passe. Par pure curiosité de voir Gaara dans cette situation totalement inconnue pour lui et délicate d'une façon dont il n'a absolument pas l'habitude. A la fois inquiet pour son ancien "élève" et amusé. Comme chaque grand-frère ou sensei aime voir son cadet galérer dans des situations inconfortables, hehe. Même s'il ne le reconnaîtra jamais à voix haute.
Bref. Gaara se retrouve de nouveau seul face à deux femmes inconnues. Et pas n'importe lesquelles. La fille pirate et la reine des chats. Tu parles de princesses. Enfin il s'en fout qu'elles soient princesses, c'est pas franchement un critère auquel lui prête de l'importance. Mais elles sont toutes les deux vachement particulières dans le genre.
Quoiqu’il est encore bien en-dessous de la vérité dans sa définition de “particulière”.
Il tourne un regard presque blasé, mais avec une très légèrement dose de “what the fuck is going on ?” que sa fraterie arriverait très bien à reconnaître; vers la princesse pirate alors que l'autre, après l'avoir reniflé, avec INSISTANCE (sécuritééé !!!) se met à ronronner une fois assise. Clairement pas à sa place. M’enfin c'est franchement anodin par rapport à tout le reste … Beidou à l'air aussi interloquée que lui, et ça a quelque chose de … rassurant. En quelque sorte. Elle aurait agit comme si c'était normal … il se serait très certainement cassé. Erm.
Le kazekage regarde la tasse tomber. Remonte le nez vers Dehya qui lui faut une étrange déclaration. Il regarde à nouveau Beidou et revient vers la femme chat. Ok. Il avait été plus ou moins prévenu. Mais il ne s'attendait pas à ça. Mais. A la réflexion faite, pourquoi on l'avait invitée/acceptée ?? Il n'était pas de le trip furry (malgré Shukaku). Très certainement une mauvaise blague de la part de Kankuro ça. Mh. Gaara finit par desserrer les lèvres et lâche un :
"Merci ?"
Franchement pas certain de ce qu'il peut répondre à ça. Le jeune homme soupire légèrement. Bon bah une en moins, hein. Erm. Bon ok, ok, laissons lui le bénéfice du doute.
"Dehya, donc très bien. En effet, Suna est bien différent de Kakutasu."
Ce qu'il est poli ce Gaara quand il veut. Parce que bon, c'est clairement Kakutasu qui est différent de tout le reste, hein. "Votre village doit vous manquer."
Est-ce que c'est une invitation pour lui dire d'y retourner ??? Mais non, voyons ! (Un peu. Si.) Le kazekage réprime un autre soupire et s'asseoir plutôt sur le canapé à côté de Beidou. Qui lui semble chouïa moins "dangereuse" que Dehya. Et il s'adresse à la princesse pirate.
"Et le votre doit vous manquer aussi. Ou plutôt ses bateaux. Et l'eau."
L'eau. La mer. L'océan. C'est clairement ce qui manque le plus à Suna. Dur, dur comme changement d'environnement pour elle-aussi non ?
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Clionestra
Lun 18 Sep - 21:29
Beidou de l'île de Poto
J'ai 20 ans et je vis à l'île de Poto, depuis 3 ans. Avant j'étais sur la mer mais mon équipage pirate a été pendu. Dans la vie, je suis princesse depuis que mon grand-père m'a retrouvé et je m'en sors mal (ou disons plutôt que je ne fais pas d'effort). Je ne compte pas me marier au kazekage ... mais je joue le jeu pour mon grand-père et pour retrouver le trésor
Fiche technique:
Dehya
J'ai presque 23 ans et je vis à Kakutasu une ville peuplé de chats. Dans la vie, je suis princesse des chats et je le vis très bien, les humains, c'est moche. Je veux marier ma meilleure amie avec le kazekage parce que c'est la meilleure et que tout ce qu'elle veut, elle doit l'obtenir.
Fiche Technique:
- De rien. Je ne dis jamais ce que je ne pense pas, énonça Dehya en laissant sa queue se caler contre elle comme une protection de plus.
Gaara sent bon. Elle allait peut-être demander de dormir avec ses anciens draps. Oui oui. Tamaki ne lui en voudra pas de prendre pour elle l’odeur de son futur esclave. Euh. Mari. Mari. Tamaki le voulait pour mari. Bien que Dehya ne pouvait pas comprendre ça, du tout. Elle ne pouvait pas comprendre pourquoi on voudrait se marier un jour. Ou se mélanger avec des humains. Elle ignore tout ça et regarde sa nouvelle alliée dans un geste pour la faire être utilie. Beidou la regarde, sans comprendre tout à fait. Elle était un chat ? Pour de vrai ? Parce qu’elle avait pensé, un peu bêtement elle l’avoue, que c’était quelque chose de sexuelle enfoncé dans le fondement qui faisait cette queue… pas …et bien, ça avait tout l’air d’être naturel en réalité. Dehya sourit, de toutes ses dents, un sourire de ravi heureuse.
- Oui, très très très. Et tout le temps. Mais mon village il est plus facilement déplaçable que le votre, aussi. Ce qui le rend encore plus différent.
Non, parce que clairement, eux, elle et ses chats, s’il y a une tornade de sable, ils prennent tous leurs jambes à leur cou et retourne voir Tamaki pour leur donner une nouvelle place plus sur pour vivre. Elle adore son village. Elle l’adore tellement qu’elle pourrait en parler pendant des heures. Et elle connaissait tous les noms de toutes les « personnes » qui habitent dans son village. Beidou réfléchit alors que la jeune femme chat semblait vouloir comprendre comment elle allait répondre pour en faire de même. Elle ne comprend pas Beidou, mais elle avait dit qu’il fallait s’intéressé à Gaara pour rester dans la course … en commençant par rebondir sur ses paroles. Elle réfléchit.
- Pas tant que ça. Pour mon village. La mer me manque, mais c’est surtout … La découverte de ce que je ne connais pas, qui me manque le plus. En ça, le village de Suna est tout indiqué…
Et elle sourit en pensant à sa carte bien au chaud qui ne demande qu’à être utilisé pour partir à l’aventure ! Elle avait hâte et se reconcentra pour revenir à la situation présente. Elle regarde le Kazekage, elle connait un peu son histoire. Son grand-père lui en a parlé quand il lui avait demandé d’aller se faire voir par l’homme. Il lui avait parlé de son père qui était un fils de p. Pour être poli, et de tout ce qu’il a été. Elle se questionne alors.
- Vous avez déjà vue la mer ? Demanda-t-elle en hésitant à être plus directe comme l’avait été la bleue dans le couloir. - Vous avez déjà vue des chats ? répéta presque mot pour mot Dehya qui avait compris, alors comment s’intéressé à Gaara.
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HATAKE
Ven 27 Oct - 20:13
Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien. - 1m73 - ancien hôte d'ichibi - cinquième kazekage de Suna - secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus - doit se trouver une femme pour des raisons politiques
Faceclaim : gaara (naruto)
C'est… presque mignon, la façon qu'a Dehya de répondre à sa question. Son village qui lui manque beaucoup, beaucoup, beaucoup. Ça pourrait être mignon si elle n'était pas aussi étrange et si Gaara savait quoi penser de sa queue qui s'agite sous ses fesses. (Et non il mate pas ses fesses. C'est juste que la queue est à côté. C'est tout.) Enfin. Bref. C'est presque mignon. Et un petit peu inquiétant de l'entendre dire qu'elle peut le déplacer facilement. Pourquoi ? Pourquoi le déplacer ? Elle veut déjà venir ici ? Ah nan, hein. Quitte à avoir une nana motivée à devenir sa femme, Gaara préfèrerait encore que ce soit la bleue lubrique. Ou la blanche terrifiée, même si ce serait fort paradoxal.
Bon. La pirate. Sinon il y a la pirate, aussi. Non ? Le kazekage se reconcentre sur elle qui répond à son tour. Il comprend un peu, il croit. Ce n'est pas tant qu'elle soit une pirate, c'est plutôt qu'elle soit une aventurière.
"Il y a beaucoup de choses enfouies sous les sables du pays. Il y a sans doute pas mal de choses à découvrir."
Oui. Il y a encore des choses à découvrir dans le sol du pays. Lui le sait. A chaque fois qu'il pose ses pieds nous dans le sable, il voit, tout, ce qu'il y a dans le sable. Des aimerait fouisseurs, des cadavres, des ruines. Mais il n'a ni le temps, ni l'envie, d'aller découvrir tout cela. C'est à ça qu'il songe quand la question de Beidou capte son attention, avant que celui de Dehya achève de la faire revenir.
"J'ai… déjà vu des chats, oui. Il y en a plutôt pas mal à Suna."
Voilà. Il lui a répondu, calmement et plutôt précisément. Gaara tourne ensuite son regard vers Beidou, regard traduisant un léger "au secours" à l'attention de la pirate. Ou au moins un "continue de me faire la conversation parce que avec elle, c'est pas de la tarte". Au moins. Par pitié. S'il avait le sens de l'humour, Gaara pourrait s'amuser de cette situation. Mais son sens de l'humour est limité, alors il ne rit pas et préfère se concentrer sur celle des deux jeunes femmes qui a l'air la plus saine d'esprit.
"J'ai déjà vu la mer. Le pays du vent possède un littoral au sud-est. C'est… un endroit où le désert de sable se jette dans l'immensité de l'eau."
C'est un endroit assez étrange. Presque austère. On pourrait croire que cette eau aurait pu être une opportunité pour les habitants du sable, mais non. La mer et les vents marins y étaient peu hospitalier, alors il y avait un port qui servait pour le commerce. Et c'est tout. Gaara hausse doucement les épaules. "Ce n'est pas très beau. Mais je n'ai jamais vu la mer autre part qu'à cet endroit-là."
Gaara n'avait jamais quitté Suna que pour ses missions. Alors hormis la seule fois où le travail l'avait mené proche de l'eau, c'était en cet endroit-ci. Sinon, il n'avait jamais eu l'occasion d'aller se promener en bord de mer. Même les fois où il n'en avait pas été été éloigné que ça … ce n'était pas une chose pour laquelle il avait pris du temps. Il ne prenait jamais de temps pour faire quoique ce soit de … d'inutile. Et il avait tendance à trouver que toute cette mascarade avec les princesses était une vaste perte de temps. Surtout là tout de suite avec l'espèce de femme chat vers qui le jeune homme coule un nouveau drôle de regard. Ne. Pas. Soupirer.
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