Qui aura la rose ? - Bachelor, version Suna (Charlissa)
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HATAKE
Mar 31 Oct - 19:38
Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien. - 1m73 - ancien hôte d'ichibi - cinquième kazekage de Suna - secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus - doit se trouver une femme pour des raisons politiques
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Le lézard semble presque vouloir se présenter de lui-même avant que sa princesse n’ait dit quoique ce soit. Il a l’air espiègle, actif, … amusant ? Sans doute ce dont la jeune femme avait besoin, visiblement … enfermée dans sa chambre ?? Ok, ok, il est définitivement énervé quelque part au fond de son calme apparent. Y a un roi à qui il risque d’arriver des bricoles, erm. Faut juste qu’il voit comment faire. Il ne peut pas aller l’affronter de front, en temps que Kazekage de Suna, pour libérer les frères et sœurs de Miorine qui doivent être à peu près dans le même état qu’elle. Il faut trouver comment faire autrement … et tout à coup ça le frappe. Pourquoi un roi qui séquestre et brise ses enfants lui enverrait sa fille à marier ??? Il faudra qu’il se renseigne là-dessus. Ou déjà, qu’il le demande à la princesse. Enfin, plus tard. Pas en présence de la princesse de Kudamo. Bref.
Gaara lit la feuille de Kokomi avec un mélange de reconnaissance pour le lézard espiègle et de tristesse pour la princesse solitaire. Il ne peut pas s’empêcher de se voir en elle. Sauf qu’au lieu d’un lézard pour jouer avec lui, lui avait écopé d’un démon sanguinaire qui avait pris la mauvaise habitude de réduire en miettes les gens qui s’en prenaient à lui. Mh. Mais d’un autre côté, lui s’était sorti de sa situation, et pas elle. Lui avait eu de l’aide, et pas elle. Alors il deviendrait cet aide. Personne ne mérite d’être enfermé à l'écart du monde, des contacts humains, et de l’amour. Surtout par son propre père. Mh. Il aime bof les papas, Gaara. Il aurait froncé son absence de sourcil à cette pensée si son regard n’avait pas été accroché par le doux sourire de Miorine. Sur le “merci” qu’il lit sur ses lèvres plus qu’il ne l’entend réellement. Alors il lui adresse un sourire en retour, un peu maladroit parce que sourire volontairement, il ne sait pas trop faire. Mais il hoche la tête aussi, pour être bien sûr qu’elle comprenne son “de rien”, ou “c’est normal”.
“C’est bien que Mia vous ait trouvée alors. Un lézard et une souris … Vous êtes toutes les deux protégées par des animaux. C’est intéressant.”
Certes, le fameux Yuki était un homme se transformant en souris, mais il y avait quand même de ça. Certaines personnes n’étaient liées à aucune bête. Comme eux. Ni lui (en dehors de son Tanuki de démon), ni Temari (malgré son furet assassin là), si Kankuro n’était particulièrement liés aux animaux. Même s’ils les aimaient, et les respectaient, c’était de loin, essentiellement.
“Vous devez avoir la même sensibilité pour vous occuper des autres.”
C’est la conclusion qu’il tire de ça. Kokomi doit être un grand soutien pour son ami, et les autres qu’elle doit avoir. Une fille aussi douce, gentille, et perspicace sur l’état émotionnel des autres, même d’une parfaite inconnue, doit avoir plus d’un ami. Ou en tout cas, plus d’une personne qui apprécie la jeune femme. Pour Miorine … on ne lui en avait tout simplement pas donné l’occasion. Quand il avait évoqué son frère, elle en avait fait de même, avec une sorte de regret dans la voix. Alors Gaara ne doutait pas que si on laissait la jeune femme faire ses choix, vivre se vie, elle pourrait avoir cette attention qu’avait Kokomi pour les autres. Sinon, le petit lézard ne lui aurait pas fait confiance. En tout cas ça leur fait … une sorte de point commun. Oui.
Là-dessus, Baki intervient pour signaler que le temps est écoulé, et qu’il faut passer à l'entretien suivant. Le kazekage s’en étonne. Le temps lui ayant semblé bien moins long qu’avec les deux précédentes, ahah. Mais il hoche la tête et se lève pour les laisser partir. Il interpelle tout de même la princesse Kokomi avant qu’elle ne quitte la pièce après Miorine.
“Merci beaucoup pour votre aide. Vous aurez la priorité pour le … la prochaine fois où l'on se verra. Et toute mon attention. Merci.”
Deux “merci” ouais. Parce qu’elle mérite bien ça pour avoir fait abstraction d’elle-même pour aider une femme sensée être sa rivale. Il la laisse partir en se disant qu’il n’a pas remercier Eula pour l’avoir aidé avec Fureki. Mh. Sauf que Eula, elle fout un peu la trouille … Nan, mais … une sacrée ribambelle de princesses à qui il a eu à faire. Et ce n’est pas fini !! Encore quelques entretiens tout à fait, étranges, ou ennuyeux (ou juste que son cerveau ne suit plus) et arrive le dernier. Et pas avec une princesse, nope. Pharaonne et prétendue déesse de Sabaku. Le kazekage ne doute pas un instant qu’une discussion avec cette feme saura d’une toute autre nature que celles avec les autres princesses. Même si elles ont chacunes leurs raisons d’être là, chacune leur passé et leurs obligation, il reste qu’elles n’ont pas grand chose à voir avec cette femme que l’on dit immortelle. Alors bien entendu, il a souhaité la voir en dernière. (Quoiqu’il aurait peut-être dû la mettre en première histoire d’avoir le cerveau sur les rails.) Mais après une pause pipi (quand même faut pas déconner !!) et du café à la place du thé, Gaara est prêt à faire ce dernier entretien.
Puis à courir se mettre au lit. Pour dormir une ou deux journées entières …
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Clionestra
Mar 31 Oct - 20:15
Miorine de Komuri
J'ai presque 18 ans et je vis à Komuri, le village de la brume au milieu des montagnes. Dans la vie, je suis princesse oublié et je le vis très mal dans ma solitude. Je veux me marier avec le kazekage pour rendre fier mon père mais j'ignore qu'il fait ça pour se débarrasser de moi
→ Fille du roi et d'une membre d'un clan Huyga pas consentante → Ne connais pas la famille de sa mère → Oublié depuis des années. → Sait qu'elle doit pouvoir "éveiller" ses yeux. → Peut commander la brume → 17em princesse, mais il ne reste que 4 héritiers en vie (dont elle)
Fiche technique:
Kokomi Kudamo
J'ai presque 24 ans et je vis à Kudamo, le village de la malédiction. Dans la vie, je suis princesse illégitime et je le vis très bien, parce que je suis aimé par mon peuple. Je protège les Soma, surtout Yuki dont je suis amoureuse. Je veux me marier avec le kazekage pour protéger mon village → Première princesse. fille de la princesse héritière → Fille d'une princesse et d'un samouraï → Son grand-père ne l'aime pas, préférant son fils à sa fille, et ses cousins à elle-même. → Elle est fille unique → Sait se battre à l'épée → Muette depuis son enfance. → Douce, influençable et manipulable, discrète → Peut contrôler l'eau
Fiche Technique:
Miorine était fière de Mia. Elle était la seule chose heureuse dans sa vie. Même son sourire, qu’elle essaie de faire pleinement vers le lézard se faisait triste. Sa bouche n’allait jamais jusqu’au bout de son sourire, ses yeux ne se plissaient jamais comme un sourire. C’était un sourire de circonstance. Pas trop grand pour ne pas déranger, pas trop petit pour ne pas être remarqué … Sauf quand elle regarde sa petite amie, qui était littéralement petite, en train de revenir vers elle. Ouais. Là, en revanche, elle laissait une partie d’elle sourire comme elle en avait envie. C’était son cœur qui se réchauffait de la présence de l’animal. Sans cette petite chose à ses côtés, et bien qu’elle pompe un peu de son chakra, elle aurait déjà sauté du haut de la tour dans l’espoir de mourir sur le sol. Kokomi baisse son carnet et sourit, ouais …bercé par les animaux, s’il savait héhé. Mais ça l’amuse de l’entendre dire. Elle aimait s’occuper des autres et fit un hochement de tête, non pour se vanter mais pour aller en son sens. Il avait raison. Alors qu’elle allait écrire autre chose, on les arrête et Kokomi barre la phrase. Plus tard. Cela ne la dérange pas de remettre à plus tard. Elle pouvait attendre, cela faisait parti de sa douceur et son mental. Elle se lève, fait une révérence, imité par Miorine qui rougit encore en sortant. Elle évita de regarder Baki dans les yeux et disparu. Miorine allait faire de même mais le kazekage l’arrêta. Elle l’écoute et écrit :
« Merci à vous d’avoir essayer de l’aider. J’aurais été mal à l’aise que vous ne déceliez rien et la laisse dans sa tristesse ».
Quelque part, elle avait l’impression de voir la même lueur dans les prunelles de Miorine et celle de Gaara. Il y avait quelque chose de profondément triste et cassé. L’un était recollé comme il peut pendant que l’autre on l’empêchait de le faire. Elle laisse son regard remonter sur le mot « amour » … Et elle se dit que le mot était bien trouvé. Gaara semblait être gentil. Pas un amour, elle ne pourrait oser dire ce genre de chose … mais il mettait de l’importance dans les liens, qu’importe le niveau, dans les autres. En soit … Si, il était un amour. Elle le laisse pour repartir dans sa propre chambre froide. Elle s’ennuie rapidement, se demande ce que fait Yuki, se demande s’il pourra lui pardonner un jour. Elle se dit qu’elle aimerait trouver un moyen de sauver le monde. La main tendue devant un bac d’eau, elle en sort des formes pour se faire un film à elle toute seule.
Miorine, elle, se retrouve prostré dans sa chambre, les bras entourant ses jambes alors qu’elle tremblait. Elle se demandait quand on allait venir la battre pour ses paroles. Elle en avait trop dit. Un bruit de pas la fit sursauter et elle prit le drap pour s’en cacher comme l’aurait fait un enfant contre le noir. Et elle pleure avec Mia dans ses mains.
- J’aimerais qu’on m’aime, souffla-t-elle pour Mia seule.
Juste un peu. Juste une fois. Juste quelques secondes. Elle aimerait être la femme qui compte pour quelqu’un. La sœur meilleure amie comme Kankuro l’était pour son frère, la souris meilleure amie, le soldat fier qui les excorté. Elle voudrait être quelqu’un… mais elle n’était rien et elle posa sa tête contre ses rotules, les paupières closes avec l’envie de se découper les yeux pour ne plus avoir cette source de médiocrité à chaque fois qu’elle se regarder, ou que quelqu’un d’autre la regardait.
J'ai presque 57 ans et je vis à Sabaku dans ma pyramide qui empêche mon vieillissement. Dans la vie, je suis pharaonne et déesse et je le vis très bien. Je veux me marier avec le kazekage car ainsi je récupèrerais Suna comme ma Terre promise → Vue comme une déesse → A la triple vue. Peut voir les intentions, les âmes, les esprits, les mensonges. → Vie dans une pyramide qui arrête son vieillissement → Pacifiste, elle veut récupérer Suna par le mariage → Considère Dehya comme sa seule amie
Fiche technique:
Tamaki attend. Son regard se pose délicatement sur sa meilleure amie. Sa seule amie. Dehya dort sous forme de chat dans la chambre de Temari depuis qu’elle avait trouvé une place pour rentrer par la fenêtre. Tamaki vérifie qu’elle va bien, et continue son errance. En réalité, son corps est trop, comme momifié sur une chaise à la fin du long couloir qui emmène la discussion vers les princesses. Son esprit, lui, glisse à travers le temps et l’espace, rejoint le Kazekage, qui avait bien mérité une petite pause après tout ça, et revient vers les différentes personnes. Elle les espionne, mais pas par malveillance, non. Elle n’était pas le genre de personne à être malveillante. Elle observe pour essayer de débloquer l’avenir. Quand elle était dans des bonnes conditions, avec toutes les informations nécessaires, alors elle pouvait voir l’avenir. Il serait bien plus simple pour elle de savoir si elle avait une chance d’être la future femme du Kazekage. Pourquoi essayer si l’avenir était déjà tracé ? Cependant, Gaara n’était pas un homme de tête, comme pourrais le laisser entre bon nombre de personne, il était un homme de cœur. Si la tête était simple à piraté et à comprendre, le cœur avait parfois des raisons étranges. L’avenir était incertain. Elle ne le voyait pas aimé quiconque, elle ne le voyait que dans le flou. Ce même flou qui devait habiter le chef de Suna, très certainement. Un flou de faire le bien, de devoir faire le bien, pour son pays, son peuple, et ce qu’il y autour. Voilà pourquoi elle voulait se marier avec lui. Son peuple n’accepte pas Suna comme étant la « capitale » du désert. Bien qu’eux n’essaie en rien de se faire remarquer et garde leur niveau de ninja au strict nécéssaire, ils considèrent le désert comme Terre sacré.
Ce qui était le cas. Cependant, Tamaki, elle, savait. Les habitants de Suna étaient comme les habitants de Subaku … Des personnes que le désert accepte. Suna avait autant le droit de vivre que tous les autres peuples. Suna avait le droit à son terrain. Ils avaient aussi le droit à leur croyance, bien qu’erroné. Elle n’était pas là pour obliger une religion. Son propre peuple ne comprenait pas ça. Son propre peuple voulait prendre les armes pour obliger Suna à se soumettre à la puissance de la déesse. Elle se le refuse. L’avenir d’une telle guerre serait désastreux. Pertes humains, sang qui coulent, tristesse et désarroi. Elle le voit dans ses yeux vairons alors qu’on l’appelait. Si l’avenir matrimonial de Gaara était flou, la possibilité de cette guerre était limpide, cuisante, coloré de rouge et d’or tel le sang qui se déverse sur le sable. Gaara devait la choisir. Il devait se marier avec elle. Avec personne d’autre… Mais pour ça, elle n’avait pas le choix, elle devait toucher son cœur alors qu’elle-même son cœur était gardé dans des urnes avec le reste de ses organes pour le jour de son trépas. Elle était sortit de sa pyramide, le temps reprenait son cours. Elle vieillissait d’un jour, puis de deux, puis de trois. Elle rentra dans la pièce, laissant la lumière la baignait de manière naturelle. Elle s’assoit à la place des princesses, sauf Dehya. Elle observe la place où était son amie. Elle était folle. « Tu as déjà vue des chats ? », qu’elle avait dit avec un aplomb qui faisait fondre le cœur de la déesse. Dehya était la personne la plus proche d’une relation amoureuse, bien qu’il n’ait jamais eu entre elles le moindre contact physique ou sexuel. C’était le lien qui les unissait qui faisait d’elle des âmes sœurs sans avoir besoin d’être des amantes. Bien que Tamaki savait être la seule femme que Dehya autorisera à la toucher. Un jour Dehya changerait un peu. Elle l’avait vue. Parce qu’elle avait vue la vérité. Elle savait qu’elle allait perdre son statut de princesse autoproclamé dans un avenir proche. Et elle savait que c’était pour une meilleure vie.
- Je suis Tamaki, se présenta-t-elle sans révérence après tout elle restait au-dessus des hommes, Déesse de Subaku et pharaonne.
Même si cela était inutile de lui dire. Elle pose son regard sur le Kazekage, un regard qu’elle fronça juste à peine pour laisser apparaître un sourire sur le visage, simple. Elle était une déesse et même si elle acceptait qu’on ne croie pas en sa religion, elle était aussi pharaonne, soit une reine. Pas une simple princesse comme les autres.
- Permettez-moi de préciser cependant. Je ne suis pas immortelle, ma longévité est simplement plus ample que la votre, jusqu’à ce qu’un autre réceptacle divin vienne au monde.
Une fois enceinte et accouchant d’une petite fille, les déesses sont très tatillons sur leur sexe, elle perdra une partie de ses pouvoirs et la pyramide n’étirera plus sa vie. D’ailleurs, en tant que déesse, arrivera un jour, avec ou sans graine, où la vie prendre ses droits en son ventre. Tamaki le savait et n’en avait pas la moindre peur. C’était ainsi. Elle-même était née d’une déesse qui disparu à sa naissance pour lui laisser les clés du désert.
- Votre sœur me traitera plus tard de « Cougar psycho qui se prends pour la cuisse de Jupiter ». Ce que je ne suis pas. Je n’ai aucun rapport avec Jupiter qui est un Dieu décevant et à reléguer aux oubliettes depuis la mort de son culte.
Les Dieux étaient ainsi faits. On les aime, on les vénère, on les adule … et une fois qu’on arrête, ils disparaissent. Ainsi, Tamaki était une dernière déesse. Subaku, le désert, était en réalité la déesse mais Tamaki en était son réceptacle, le messager entre le divin et l’humain. Elle permettait aux hommes de voir la représentation de ce qu’ils pensent être, ce qu’ils pensent qu’il fut un jour, et ce qu’ils pensent qu’il sera à l’avenir. Elle était la quintessence de cette idée. Il était étrange que Gaara ne croie pas en la déesse alors que lui-même avait un dieu en son sein à une époque avant qu’on ne lui arrache. Les démons renard n’étaient pas des démons pour la pharaonne mais des Dieux oubliés qui avaient été enfermés dans une enveloppe avant que leur culte ne disparaisse. Ainsi ne voyait-elle pas Gaara exactement comme un homme mais comme un homme qui avait frôlé le divin.
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HATAKE
Mar 31 Oct - 22:10
Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien. - 1m73 - ancien hôte d'ichibi - cinquième kazekage de Suna - secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus - doit se trouver une femme pour des raisons politiques
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Tamaki. Déesse de Sabaku et pharaonne. A ce qu’on dit. Le kazekage sonde un instant du regard la femme qui vient de se présenter à lui. Pas sceptique mais … intrigué. Il a beaucoup trop de questions à poser à cette femme. S’il n’avait pas fait particulièrement de recherche sur les autres princesses tout simplement pour éviter d’être trop invasif, il n’avait pas suivi cette règle pour cette pharaonne que plusieurs écrits de son père présentaient comme une déesse. Et que d’autres écrits avaient tendance à calomnier. Où était la vérité ?
Ce n’est pas que Gaara ne croit pas aux dieux, ou en une divinité quelconque. Non, assez loin de là en réalité. Il a côtoyé longtemps ce qu’on appelait un démon, et qui finalement n’avait rien de plus démoniaque que lui-même. Poussés à certaines extrémités, humains, bêtes, ou entité de chakra comme l’est Shukaku, tous peuvent devenir des monstres. Non. Il y a certaines puissances, il ne dira jamais le contraire, mais il ne les vénère pas. Pour lui, tout est affaire de transaction. Les hommes vénèrent des entités, leur conférant de grands pouvoirs, qui leur permettent de retourner des faveurs aux hommes. Comme l’eau de pluie se déverse dans les torrents qui la mène à la mer où elle s’évapore pour retourner dans les nuages. Et ces puissances, comme l’eau de pluie, Gaara les respecte. Il avait appris dans la douleur que le respect était la base de tout. Sans respect, il ne pouvait y avoir d’entraide, d’amitié, d’amour.
“Gaara.”
qu’il se présente simplement, par pure politesse comme elle l’a certainement fait. Parce que c’est l’usage. Mais tout deux savent parfaitement qui est l’autre. Pour lui, il est juste Gaara. Kazekage est une fonction qu’il a choisi d’endosser pour aider son peuple. Pas un titre qu’on lui a décerné pour … il ne saurait pas bien pourquoi, d’ailleurs. Vous avez vraiment fait un travail admirable. Les mots écrits par Kokomi lui reviennent un instant en mémoire. Ouais. Peut-être.
Peu importe, il invite Tamaki d’un geste d’usage à s’assoir, et écoute ce qu’elle lui dit. Le faisait rire. A peine. Vraiment un tout petit peu. A peine une seconde. La fatigue tapant sur ses nerfs.
“Et bien voilà que ma première interrogation à votre sujet trouve sa réponse.”
Même pas besoin de trouver une tournure alambiquée pour lui demander si elle vraiment une déesse. Vraiment immortelle. Vraiment la même femme que dans les documents de son père. Oui. Bon. Très bien. Mais cette réponse soulevait d’autres questions, que le kazekage n’a pas le temps de poser que la déesse enchaîne avec ce que Temari …. dira. Ouais. Il y avait fait mention de cette histoire de capacité à voir l’avenir dans les notes de son père. Garara lève un “sourcil”.
“Ce serait bien son genre de dire ça, en effet.”
Il ne s’excuse pas, il n’a rien à voir avec ce que peut penser et dire sa sœur. Il ne l’excuse pas non plus, Temari est suffisamment grande et bien assez intelligente pour savoir ce qu’elle dit, et l’assumer. Quant à Jupiter … Gaara s’en contrefout. Enfin, il n’a pas le moindre avis. Il balaye cette considération d’un geste de la main et pose enfin les deux questions les plus importantes à poser, à son avis.
“J’ai deux questions pour vous. Pourquoi vous vous voudriez m’épouser ? Et, si vous lisez bel et bien l’avenir, et que vous vous êtes donné la peine de venir ici aujourd’hui … dois-je en déduire que c’est bien vous que je vais épouser ?”
Mh. Les princesses avaient des tonnes de petites raisons plus ou moins valables d’être ici, plus ou moins de leur plein gré. Mais Tamaki. Rien ne pouvait la forcer à venir ici si ce n’était pas sa propre volonté. Et en effet, si elle avait vu qu’il en épouserait une autre … pourquoi aurait-elle fait le déplacement jusqu’à Suna ? Cet entretien, il l’avait voulu seulement avec elle, car il savait pertinemment qu’il serait bien plus politique que tous les autres.
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Clionestra
Mar 31 Oct - 22:48
Tamaki Sabaku
J'ai presque 57 ans et je vis à Sabaku dans ma pyramide qui empêche mon vieillissement. Dans la vie, je suis pharaonne et déesse et je le vis très bien. Je veux me marier avec le kazekage car ainsi je récupèrerais Suna comme ma Terre promise → Vue comme une déesse → A la triple vue. Peut voir les intentions, les âmes, les esprits, les mensonges. → Vie dans une pyramide qui arrête son vieillissement → Pacifiste, elle veut récupérer Suna par le mariage → Considère Dehya comme sa seule amie
Fiche technique:
Elle lit en lui. Elle sait des choses, Tamaki, et son œil jaune était celui qui lui transmettait les intentions, les mensonges et les vérités. Son œil bleu lui transmettait les âmes, les essences des personnes, les localisations des gens. Les deux ensembles, prenant une teinte plus bleue ensemble comme si les deux couleurs étaient en train se mélanger comme de l’aquarelle, lui permettait de voir l’avenir probable et possible. Mais un avenir, plusieurs possibilités. L’avenir pouvait changer. Pas tout. Qu’importe qu’elle soit ou non la femme de Gaara, le jour où Temari apprendra son âge, cette phrase sortira de sa bouche. Ce sont des avenirs obligatoires. Tout comme l’eau coulera vers le bas pour rejoindre la mer ou que le sable tombe de la dune. Certains avenirs sont implacables, inchangeables, immuables. Mais pas tout. Et pas tout le temps. Tout comme elle savait qu’il ne s’excusera pas des propos de sa sœur, qui n’heurte pas le moins du monde la fierté de la déesse. Sa sœur pouvait bien penser tout ce qu’elle veut … Elle se fiche de cela. Elle l’avait juste dit pour l’amener à parler plus librement avec elle. Ce qu’il fit. Elle fit un large sourire de son visage élégant et clairement divin. Elle avait un visage plus femme que les autres princesses qu’il avait plus voir. Parfois, quand on regardait bien, on pouvait voir qu’elle était légèrement plus vieille, ce qui était le cas. Elle décide de continuer comme elle avait débuté, avec des réponses honnêtes et sans détour.
- Avant de vous répondre, commença-t-elle, il faut que vous réalisiez et acceptez un fait étonnant. Je suis la pharaonne et la déesse du peuple du désert. En ce statut, je suis normalement votre déesse et votre pharaonne aussi. Loin de moi l’envie de vous donner l’impression de vouloir votre place. Très loin de moi. Il faut simplement comprendre, je ne suis pas chef d’un village. Je ne suis pas dirigeante d’un groupe. Je ne siège à aucun conseil. Je ne suis pas l’humain vers qui on se tourne. Je ne prends pas de taxe à ceux qui me vénère, simplement les offrandes que l’on me donne. Je ne fais pas de loi. Je ne gère pas les criminels. Je ne suis pas une cheffe, je suis une déesse.
Elle avait dit cela avec une voix calme et posée pour qu’il ingère tout de suite la différence entre elle et lui. La différence de statut mais surtout de travail. Elle n’était pas le genre à faire des réunions. Elle ne venait pas pour parler des partenariats avec les peuples. Elle ne faisait pas de décision sur … Quoi que ce soit d'ennuyeux comme le budget trimestriel. Elle était une pharaonne que l’on vénère et que l’on abreuve de prière. Qui gère ses brebis une à la fois.
- En cela, je ne suis pas décisionnelle des choix que les humains me vénérant font. Je ne peux que leur apporter mon opinion, mon avis, mais chaque être est libre de choisir ce qu’il souhaite faire. Chaque personne possède un libre arbitre que je ne peux brimer.
Elle sourit faiblement. Elle n’était qu’une déesse au-dessus des hommes, elle ne devrait pas se mêler de la guerre à venir … mais comment ne pas le faire alors qu’elle sait que des prières lui seront adressées tous les jours pour cesser les hostilités. Elle sait que la guerre tuera, massacrera ne laissant que désolation et larmes... Et si elle ne peut décidé de tuer pour sauver l'un ou l'autre des peuples, elle peut décidé de faire en sorte, en amont que la guerre n'explose pas.
- La raison pour laquelle je veux vous épouser est alors simple. Je le veux pour apaiser mes hommes. Beaucoup de personne me vénérant trouve inadmissibles qu’un peuple ne me connaissant même pas puissent vivre dans le désert et s’en croire le centre. Ils pensent que vous ne méritez pas votre place ici. Qu’importe que je leur répète que vous en avez le droit, que le désert et moi-même nous vous aimions même sans la réciproque. Le peuple veut la guerre. En me mariant avec vous, je serais alors une déesse pour mon peuple et la femme du chef du village pour le votre, réunissant ainsi les deux nations sous mon existence et celle de nos enfants.
Ouais, parce qu’elle aura un enfant, elle l’a déjà pensé … Donc, si un enfant se fait entre lui et elle … Bah ça sera un enfant issu de la déesse et du chef du village … Et ça donnerait l’enfant le plus apprécier du désert, sans nul doute … Et elle serait faire en sorte que cet enfant ne manque de rien et reste à la tête du village pour que jamais une nouvelle menace ne plane.
- Et comme je l’ai dit, continua-t-elle, les hommes ont leur libre arbitre, ils peuvent faire leurs propres choix selon la tête, le corps ou le cœur. Vous, vous êtes un homme de cœur. Mon avenir ne peut pas dire qui vous allez aimez, parce que l’amour fait parti des choses qui changent les destins et les rendent si libre. Si je suis venue, acceptant de faire parti de ce petit jeu étrange, c’est parce que je ne sais nullement qui vous allez épouser. Votre épouse le sera par le cœur, non par la tête ou le devoir. Même maintenant que je vous ai dis la raison de ma présence …
Elle remonte ses yeux vers lui, laissant voir le passage de ses yeux vers le violet de l’avenir qui défile sous ses prunelles.
- … Je ne vous vois toujours pas à mes côtés. C’est bien que l’amour sera plus fort. Le désert là toujours su. Votre « démon » l’a toujours su. C’est pour cela que vous en êtes marqué sur le front. Kokomi est là seule à l’avoir compris pour le moment.
Elle se penche, comme si elle ne venait pas d’annoncer une guerre prochaine s’il n’y avait pas de mariage et prit une tasse pour en boire une petite gorgée.
- Cependant, je peux dire avec certitude qui vous n’épouserez certainement pas. Dehya vous allez l’aimer mais pas dans les liens du mariage. Je laisserais Baki vous expliquez cela, je n’ai pas en m’en mêler.
Bien qu’elle l’eut déjà fait … mais parce que Dehya méritait de retrouver, enfin, une famille … Et que Gaara avait bien besoin d’être mis sur la piste au même titre que Baki. Le ninja seul ne pourrait pas retrouver de preuve alors que Gaara aurait plus de facilité à fouiller dans un passé tordu qui appartenait à son père.
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HATAKE
Mar 31 Oct - 23:58
Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien. - 1m73 - ancien hôte d'ichibi - cinquième kazekage de Suna - secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus - doit se trouver une femme pour des raisons politiques
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"Dehya ?"
Il répète doucement, réfléchissant à peine à ce que voulait dire par là Tamaki, (en dehors du fait que la fzmme chat soit tarée, donc en effet, c'est non) avant que son attention entière ne soit ramenée par le reste de son explication sur la situation à Sabaku et sur sa réflexion qui en découle. Il ne se doutait pas que c'était à ce point-là. Ses conseillers ont encore la fâcheuse habitude de cacher sous le tapis les affaires qui ne leur semblent pas urgentes, comme pour lui faciliter le travail. Comme s'il était devenu kazekage pour la facilité … enfin. Il semblerait que tout le monde à Suna ait sous-estimé la situation. Mh. C'est finalement la réflexion de Tamaki sur l'amour qui trouve une réponse en premier.
"Alors mon mince espoir d'avoir un peu d'amour dans ma future union n'est pas si chimérique que ça ? Même si ça n'enlève sans doute rien son ridicule."
Il soupire en regardant par la fenêtre. Elle parle honnêtement, alors il en fait de même. Livrant des détails sur son état d'esprit qu'il n'a confié à absolument personne jusque-là. Elle a raison sur ce point, et il le savait déjà, bien que ça ne lui plait pas vraiment comme état de fait. Mais même s'il a décidé d'épouser une femme pour des raisons politiques, pour le bien qu'elle pourrait apporter à Suna, d'une façon ou d'une autre, il a tout de même gardé cet espoir stupide et naïf qu'une femme pour Suna lui plairait à lui aussi. Et avec de la chance, énormément de chance, et sans doute un peu de magie, la réciproque serait vraie. Mh. C'est sans doute pour cette raison qu'il s'est plus concentré sur leurs personnalités que leurs raisons d'être là. Qu'il souhaite presque désespérément leur venir en aide. Mh. Même ses gestes de bonté peuvent être menés par des raisons tout à fait égoïstes.
Gaara chasse les paroles de son père, la signification de son prénom, les dernières paroles de sa mère, avant même qu'elles n'arrivent au premier plan de sa conscience. Toutes ses choses qui reviennent invariablement quand il se trouve égoïste. Même s'il va pousser l'égoïsme un petit peu plus loin dans la réflexion autour de ce que lui a révélé Tamaki.
"Je n'ai rien à prouver à votre peuple. Je ne me pose à aucun moment comme maître du désert, ni comme votre rival, ni quoique ce soit. C'est un rôle qu'ils imaginent autour de moi, de Suna, une rage qu'ils créés seuls. Je ne suis pas un dieu, mais je n'interfère pas non plus dans des histoires qui ne sont pas les miennes … Cette guerre est à sens unique. Et malheureusement, votre peuple la perdra. Votre village n'est ni le premier ni le dernier à se montrer hostile envers Suna. Mais je ne vais pas épouser tous les kages pour autant … Et je ne suis pas certain d'être le genre du Raikage ..."
Oooouuh !!! Gaara fait de l'humour !!! Non mais il y a pensé, là tout de suite "épouser tous les kages'. Il a d'abord pensé à Naruto avant de se souvenir qu'il ne l'est pas encore. Puis à Dame Tsunade. Assez effrayante. Et à dame Terumi. A peine moins effrayante. Puis à A. Et là, il a juste eu envie de se marrer. C'est pour ça qu'il a un petit sourire au coin des lèvres.
"Je ne suis pas en train de vous contredire. Même si j'en ai l'air. J'essaye juste de voir … La situation plus globalement. Je suis conscient qu'une guerre entraînerait des pertes dans chaque camp. Et je ne suis pas pour des effusions de sang inutiles. Mais Suna n'est pas un camp de vacances."
Gaara fronce à peine les sourcils. Il se perd dans sa réflexion. On dirait presque qu'il menace Sabaku, et ce n'est absolument pas son intention. Il secoue la tête et se repend.
"Ce que je veux dire, c'est qu'il doit y avoir d'autre moyen de régler cette affaire qu'un mariage … D'autant que ce conflit semble partir d'une mauvaise image de Suna. Sans doute causée par mon père ou ses prédécesseurs, je ne rejette pas la faute sur votre peuple. Mais il semblerait qu'il ait été oublié que Suna ne règne pas sur le désert. Suna est au service du pays du vent, au service du désert. Et de fait au service des habitants de Sabaku. Il faudrait peut-être commencer par rectifier cette perception avant une solution … factice et légèrement mensongère."
Parce qu'au final, tout ça n'est qu'un habile tour de passe-passe pour faire passer la pilule. Sauf que même là, il y aura des détracteurs.
"Vous ne pensez pas que les plus fervents défenseurs de votre règne risquent de prendre une telle union plutôt comme une prise d'otage ? "
La politique. C'est quelque chose de compliqué, que Gaara déteste. Les magouilles, ronds de jambes et pots de vin. Lui-même s'est arrangé pour que tour ce qu'il fasse pour accéder à cette place soit sincère, transparent, honnête, et gagner uniquement avec la confiance de Suna. Peu importe ceux qui ont essayé encore longtemps de le supprimer. Et qui essayent encore. Il ne les chasse pas. Il veut leur prouver qu'il est leur allié. Et pas leur ennemi. Et à y réfléchir, c'est plus ainsi qu'il souhaiterait, si possible, apaiser les esprits à Sabaku. Et non pas en leur jetant de la poudre aux yeux.
Gaara soupire une nouvelle fois, pourtant conservant son fin sourire. Malgré la situation politiquement délicate, il se sent bien en présence de Tamaki. C'est plus facile qu'avec des princesses dont il doit faire attention aux sensibilités. Oui le boug est plus pépère camembert avec la déesse du désert qu'avec les minettes de toute à l'heure. Y a quoi ??? Assez à l'aise pour se permettre une autre plaisanterie. (Ou alors c'est juste la fatigue qui obstrue son jugement, ahah.)
"Sinon je n'ai plus qu'à tomber amoureux de vous qui êtes … une cougar psycho qui se prend pour la cuisse de Jupiter."
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Mer 1 Nov - 0:29
Tamaki Sabaku
J'ai presque 57 ans et je vis à Sabaku dans ma pyramide qui empêche mon vieillissement. Dans la vie, je suis pharaonne et déesse et je le vis très bien. Je veux me marier avec le kazekage car ainsi je récupèrerais Suna comme ma Terre promise → Vue comme une déesse → A la triple vue. Peut voir les intentions, les âmes, les esprits, les mensonges. → Vie dans une pyramide qui arrête son vieillissement → Pacifiste, elle veut récupérer Suna par le mariage → Considère Dehya comme sa seule amie
Fiche technique:
Elle sait qu’il ne comprend pas, encore. Et Tamaki se demande si elle a le droit de lui dire … Dehya était sa seule amie. La seule personne qui avait su susciter son intérêt. Le désert aimait Dehya et l’avait protégé alors qu’elle n’était qu’un nouveau né dont la mère imploré le retour. Dehya… Le nom de l’enfant qu’on laissa mourir dans le désert. Elle laisse cette considération et reprends sur l’amour.
- Je ne peux pas voir avec qui vous allez vous mariez, mais je peux voir qu’il y aura forcément de l’amour. Il ne pourrait en être autrement.
Tout comme le soleil se lève toujours, que la lune fait le tour de la Terre pour en montrer toujours la même face, tout comme le sang coule dans les veines, Gaara trouvera l’amour. Et en effet, elle devait faire en sorte d’être aimé par cet homme. Bien que cela soit une phrase qui lui dirait plus tard. Elle devait se concentrer sur le présent et arrêter d’en modifier le futur. Comme lui, à l’instant, elle l’écoute religieusement. Elle l’écoute de sa grande bonté et sa divine présence. Elle cherche à le comprendre et à voir dans ses yeux ce qu’elle ne pouvait pas voir en étant bien au-dessus des autres.
- Suna gagnera la guerre, répéta-t-elle pour dire qu’elle entendait et savait, mais elle perdra ce qui fait son essence depuis que vous en avez pris la tête.
Et Bim, Y avait pas que Kokomi qui pouvait dire des choses évidentes. Elle n’avait jamais aimé l’ancien Kazekage … et comme elle ne se mêlait pas de la vie des hommes … elle n’avait rien fait pour aucun des enfants qui avaient suivit Dehya. Elle n’avait pas le choix. Se mêler aurait entrainé une guerre dans l’autre sens … et à elle le savait, avec la même finalité. Le père de Gaara avait déjà voulu lui mettre le grappin dessus, lui, il ne serait pas privé pour l’épouser dès qu’elle aurait mis un pied à Suna pour demander l’absolue puissance du désert. Le con.
- Votre père menaçait souvent les gens du peuple du désert, clarifia-t-elle, et aucun membre du désert ne se sent protéger par Suna.
Elle énonça cela parce qu’elle le savait. Qu’importe la sensibilité de l’homme. Après tout, elle venait de lui faire un compliment sur la ville, il ne pouvait pas tout avoir. Il y avait là quelque chose d’important à rectifier. Le peuple de Subaku n’avait pas confiance en Suna pour avoir été bridé, malmené et déprécié durant tant d’années. Le comble fut donc la foi où l’ancien kazekage eu osé demander la main de la pharaonne…. Ce qu’elle faisait en ce moment, donc.
- Notre mariage ne serait ni fictif, ni mensonger s’il vient à avoir lieu. Et si je deviendrais votre femme, la femme du chef du village, vous deviendrez mon époux. L’époux de la déesse. Pas de prise d’otage. Mon peuple sait qu’il est impossible de me contenir si je n’en ai pas le désir. Je peux mourir et renvoyer mon essence dans un réceptacle nouveau. Si je vous choisi, vous serez alors une nouvelle référence à leurs yeux.
Une référence … il faudra qu’il accepte les offrandes, parfois originale, qu’on lui laisse. Comme un bébé, qu’elle a refusé et qui avait été ensuite abandonné. Elle aurait du le transformer en sable avant que l’autre serpent s’en occupe … Elle le regarde, sourit un peu avant qu’il ne parle, Dehya lui aurait sauté dessus pour pareil commentaire. D’ailleurs, dans plusieurs futurs, Dehya entends Temari et un combat se fait à l’intérieur de son être. Elle se penche pour poser sa tasse, laisse un regard plus profond vers lui, plus animal alors que son corps, très ferme et agréable à regarder ne mentons pas, se montre à ses yeux.
- C’est bien pour cela que je suis là. Pour que vous tombiez sous mon charme et que ce mariage devienne celui d’amour que vous aspiriez. Je ne sais pas si je pourrais aimer comme il le faut, mais je connais le cœur des hommes et pourrait essayer. Je suis une déesse et j'accepte d'avoir une espérance de vie courte si c'est à vos côtés.
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Mer 1 Nov - 1:37
Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien. - 1m73 - ancien hôte d'ichibi - cinquième kazekage de Suna - secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus - doit se trouver une femme pour des raisons politiques
Faceclaim : gaara (naruto)
Mh. Nope. Il n’est pas d'accord. A propos de la perte d'essence de Suna et tout ça. En tout cas pas à ce point. Tout est une question de positionnement. Repousser et annihiler des assaillants, ou aller les débusquer chez eux pour les supprimer, ou encore se livrer un combat rangé sur un champ de bataille sont trois choses différentes. Si les habitants de Sabaku viennent se jeter sur les remparts de Suna, peu sont ceux qui regretteraient véritablement de les briser. Il y a un moment donné où… où il fait suivre son cerveau. Mais bref. Pour l'instant, ils n'en sont pas là. Alors le kazekage se contente d'hausser mollement les épaules. Oh non ça ne lui ferait pas plaisir. Mais il ne peut pas culpabiliser de se défendre contre des gens qui n'écoute pas. C'est ce que Naruto avait fait contre lui. Alors il trouverait un moyen de coller un méchant coup de tête à Sabaku pour les aider à se réveiller. Ouais. Naruto, inspiration pour à peu près tout ce qu'il fait. (Sauf ignorer Hinata, erm.) "Mon père était un con. On peut commencer les réconciliations avec un concert si vous voulez. Mon frère a écrit un slam peu flatteur de quinze minutes à son propos."
Et ce n'était même pas une blague. Bon, Kankuro était ivre, la plupart des phrases qu'il avait gribouillées sur une feuille sont soient illisibles, soit grammaticalement et syntaxiquement incorrectes. Et il y a énormément de gros mots. Mais Gaara se souvient avoir beaucoup rit. Moins que Temari qui avait fini par se faire littéralement pipi dessus. Et ils avaient gardé cette feuille dans un coin. Alors ils pourraient éventuellement la retravailler, ahah.
"Votre peuple sait qu'on ne peut pas vous contenir mais il estime visiblement que vous avez besoin de son aide pour justifier votre pouvoir et votre légitimité."
Les fanatiques ont toujours raison. C'est ce qu'il a envie de dire, mais s'abstient d'insulter son peuple directement en face d'elle. D'autant qu'il ne parle pas de tous. Bien entendu. Mais il y en a toujours quelques uns. TOUJOURS. Comme dit : "il y a des cons partout". Et une idée qui va dans notre sens est toujours aisée à croire. C'est l'une des raisons pour lesquelles il ne voue de culte à personne. (/On s'étouffe ! *tousse* Naruto *tousse*)
"Je sais que je suis censé me sentir flatté mais …"
Clairement. Il ne l'est pas. La femme, son corps de femme, est, il suppose, des plus harmonieux et agréables à regarder. Son statut de déesse est censé ajouter une sorte de plus value à ses avances. Son sacrifice doit certainement être flatteur. Mais. Non. Sans doute parce qu'il marche au cœur, comme elle l'a dit. Et que rien de ce qu'elle a pu lui dire ne le touche au cœur. Si ce n'est l'éventuel conflit entre leurs peuples, ce qui, quoiqu'elle en dise, n'a rien à voir avec elle. Eux. Cet éventuel mariage. C'est la seule chose qui le touche, malheureusement tristement, et ça n'a rien à voir avec cette … déesse.
"Honnêtement. Sans vouloir vous froisser. Déesse … disons que je pense pouvoir plus facilement tomber amoureux d'une cougar psychopathe que d'une déesse."
Les gens … comme son père, qui semblent parfaits et hors d'atteinte, au-dessus des hommes, les dieux, les déesses, même celle devant lui, … ne le touchent pas. Naruto est un feu follet bruyant, et casse-pieds. Kankuro, un faux crétin protecteur lourdingue. Temari, un bulldozer de sarcasmes. Hinata, une fleur froissée qui peine à éclore. Baki, un père manqué emprunt de culpabilité. Shukaku un vieil aigri exploité par la cupidité des hommes. Ces six personnes étaient imparfaites, sensibles, fragiles. Abîmées. Et ces six personnes étaient les seules à le toucher profondément. La déesse… non. Madame "charme" qui "connait le cœur des hommes". Bah. Il est plus attiré par sa tasse de café là, rour de suite. Il a même quelque part une méchante envie de lui rentrer dans le lard. Pour ça qu'il s'est montré un poil menaçant sans le vouloir tout à l'heure. Pour l'instant, elle lui fait penser à son père. Avec de meilleures intentions. Certes. Mais oui. Il préférerait sans doute une cougar psycho à une déesse. Si on parle amour. Bien sûr. Toujours si on parle amour. Sinon, il avait bien conscience avant même cet entretien, qu'elle était le choix de la logique.
Mais oui. Même lui qui lui tient solennellement tête et mène Suna avec le plus de dignité possible, Gaara sait qu'il est un poussin qui venait de se découvrir une extrême maladresse avec les femmes, qui ne supporte pas de ne pas avoir ses céréales préférées dans ses placards et sursaute à en tomber du canapé à chaque jump scare de films à peine flippants. Bien entendu, il y a une différence entre l'image du kazekage, et l'homme. Mais y a-t-il une différence entre l'image et la déesse ? "Quel est votre plus gros défaut ?"
Puisqu'ils sont cash depuis tout à l'heure … Gaara ne va pas mettre de pincettes maintenant. Surtout qu'il le demande dans une bonne intention. Il aime bien les défauts. Sauf celui qui pousse Kankuro à vider les paquets de ses céréales préférées.
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Mer 1 Nov - 2:07
Tamaki Sabaku
J'ai presque 57 ans et je vis à Sabaku dans ma pyramide qui empêche mon vieillissement. Dans la vie, je suis pharaonne et déesse et je le vis très bien. Je veux me marier avec le kazekage car ainsi je récupèrerais Suna comme ma Terre promise → Vue comme une déesse → A la triple vue. Peut voir les intentions, les âmes, les esprits, les mensonges. → Vie dans une pyramide qui arrête son vieillissement → Pacifiste, elle veut récupérer Suna par le mariage → Considère Dehya comme sa seule amie
Fiche technique:
Son père était un con. Dans tout ce qu’il faisait. Le père de Gaara lui avait demandé plusieurs fois d’être sa compagne. Sexuelle, déjà, parce qu’elle était canon fallait pas se mentir. Matrimonial, après la mort de la mère des enfants bien sûr. ADN, pour faire un enfant parfait qui pourrait acceuillir le démon du sable, sur ce point elle aurait peut-être dû dire oui. Militaire, pour faire la guerre à Pierre Paul et Jacques. Tamaki était une déesse douce et qui n’aimait pas les conflits, ni la mort inutile… mais alors le peuple hors de son sable, elle s’en tape comme d’une feuille d’automne qui finit dans la flaque boueuse à ses racines. Rien à secouer. Elle hausse les épaules face aux commentaires de Gaara sur son peuple. En effet. Ils pensent qu’il le faut pour elle, et feront ce qu’ils veulent … Mais comme elle l’a dit :
- Je ne gère pas mon peuple. Il fait ce qu’il veut. Je ne peux que dire mon avis et essayer d’aider sans modifier quoi que ce soit, à la hauteur de mon rang.
En tant que déesse, elle pourrait faire beaucoup. Elle pourrait les obliger à construire une autre pyramide plus grande, puis plus grande et encore plus grande jusqu’à toucher le ciel et le décroché la lune de sa pointe … mais elle ne le faisait pas parce qu’elle croyait au libre arbitre. Elle ne pouvait pas obliger son peuple à accepter Suna. Elle ne pouvait qu’essayer de trouver un moyen détourné pour se faire. Et alors qu’il dit ne pas se sentir flatté, ce qui la fait rire, elle ne se sent pas du tout insulter.
- Cela tombe bien, je serais plus facilement amadouer par un homme qui parle avec le cœur que par un kazekage.
Elle prenait la même forme grammaticale de l’homme pour souligner la raison de sa présence. Si elle n’avait voulu qu’un mariage de principe, elle l’aurait fait sans quitter sa pyramide. Gaara serait mort de vieillesse et elle aurait continué sa longue vie en étant veuve. Cependant, elle ne l’avait pas fait. Gaara marche à l’amour et son statut ne fonctionne pas, elle s’en doute … mais elle reste curieuse et mystérieuse pour lui… Ce qui fait qu’elle a gagné, en cela, bien plus de point que la plupart des princesses qu’il a rencontré. Surtout Dehya. Cette folle. Elle réfléchit un instant à sa question. Son plus grand défaut. Malheureusement, elle ne pouvait pas dire qu’elle était vantarde, ou hautaine, c’était qu’elle le méritait. Son véritable défaut.
- Le premier qui me viendrait à l’esprit est arrogant, mais je ne me sens pas ainsi. Peut-être est-ce l’excuse de tout arrogant, ne pas penser l’être ? Je ne pense pas l’être simplement plus éclairé sur ma propre place. J’ai aussi besoin de reconnaissance, mais cela à plus un rapport avec le fait que je disparais si on ne m’aime pas. Sinon… Je pense que je suis curieuse. Pas la curiosité mignonne et scolaire. J’aime observer les gens et savoir ce qu’ils font, où ils sont, ça me plait de les voir dans une vie quotidienne. C’est la parti « psycho » dans mon cougar.
Ce qui était logique puisqu’elle avait vraiment un amour maladif pour ça. Elle aimait observer. Oh, pas les moments gênants mais des petits passages de la vie. Elle aimait zieuter, voir ce qu’il se passe, presque comme une voyeuse sauf qu’elle était bien moins malsaine de son point de vue.
- Il fut un temps où je suivais ta mère, avoua-t-elle d’un coup en lui parlant de manière plus familière, comme si elle le voyait d'un coup comme un enfant et non pas l'homme qu'elle devait charmer, pour qu’un nouveau malheur comme le premier qui lui était arrivé ne lui retombe pas dessus. Alors j’observais Suna. Ce Suna différent du tien, dont le cœur même était plus sombre et empoisonné. Ta mère … elle croyait en moi, la seule peut-être à me faire des offrandes, des fleurs, qu’elle plaçait sur la fenêtre en me demande de faire att…
Elle se coupe. De faire attention à sa fille. De la protéger. De ne pas la laisser mourir. La mère de Gaara n’aura jamais su si ses prières avaient été entendues par le sable. Ce qui avait été le cas.
- Bref, c’est entre elle et moi. Mais j’aime écouter, peut-être à l’excès. Et vous, quels sont vos qualités selon vous ? Et celles vers lesquels vous tendez ? Je n’ai pas besoin de savoir le cœur des gens pour savoir que vous pensez avoir plus de défaut que de qualité, mais je me demande alors ce que vous aimez chez vous. Soyez arrogant, dites moi en quoi vous êtes le meilleur.
Ce n’était pas méchant ce qu’elle demande… Mais elle plisse les yeux. Elle pourrait voir dans le futur pour connaître la réponse mais ne le fit pas. Elle voulait l’entendre réfléchir, le voir se pencher sur la question. Essayer d’être un Dieu au lieu de rester sur sa place d’humain. Voir plus haut. Même si elle savait que la plupart des hommes était loin sous elle, elle appréciait de voir ce qui s’aimait et s’appréciait pour certaine chose, et se croyait légale des dieux pour cette même chose.
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HATAKE
Mer 1 Nov - 21:15
Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien. - 1m73 - ancien hôte d'ichibi - cinquième kazekage de Suna - secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus - doit se trouver une femme pour des raisons politiques
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Gaara l'écoute parler de ses défauts avec un petit sourire. Il n'est, encore une fois, pas d'accord avec elle. Son plus grand défaut n'est pas l'arrogance. Ni son besoin d'attention. Ni sa curiosité. Même l'un des trois arrive certainement en seconde position et les autres pas très loin derrière. Non. Mais le kazekage n'aurait pas l'extrême outrecuidance de contredire une déesse et de lui donner son plus grand défaut. Puisqu'elle n'en a pas vraiment, de ses propres dires. Ahah. Elle serait presque amusante, si elle n'était pas agaçante. Surtout quand elle s'aventure posée tamisée, comme à la maison, sur un sujet délicat. Privé. Et presque tabou.
Ouhla. Il les voit d'ici. Kankuro partant dans un faux éclat de rire avant de lâcher un "Ah bah ça lui a réussi, ça donne vachement envie de vous vénérer". Et Temari abandonnant le sarcasme pour aller droit au but avec un "parle pas de mère, pétasse". Lui, se situe entre les deux. Avec bien moins de véhémence que ce qu'auraient montré ses ainés, certes, mais de toute façon il ne s'estime pas franchement le droit de défendre sa mère. Ni d'en parler. Ni d'y penser. Mais. Ca ne lui plait pas que cette “femme” lui parle de sa mère. Bref. Le kazekage pince ses lèvres pour toute réaction, et ne renchérit absolument pas sur le sujet. Il préfère largement se concentrer sur la question qu'elle lui pose, que de s'attarder sur un sujet qui pourrait très vite l'énerver. Gaara expire doucement un sourire d'agacement contenu.
"Ça ne me plaît pas particulièrement d'être arrogant."
Qu'il fait remarquer. Soulignant par là que ce n'est pas parce qu'on peut faire quelque chose, de part ses capacités, son rang, ou sa personnalité, qu'on est obligé de le faire. Puis Gaara prend quelques petites secondes pour réfléchir. Il sait ce qu'il veut être… quant à ce qu'il est vraiment …
"J'essaye d'être honnête, juste et de protéger. Et je trouve que je me débrouille plutôt pas mal même s'il y a des domaines plus … complexes."
Lui-même entre autre chose Il doit être la personne envers laquelle il est le moins honnête, le moins juste et protège le moins. Le jeune homme incline la tête sur le côté avant de poursuivre.
"Et en quoi suis-je le meilleur … Je dirais que je suis le chef de guerre le plus humble que je connaisse."
Gaara ravale un petit sourire. Il est bien conscient que pour devenir kage, il faut une certaine dose de mégalomanie. Assez pour se dire "oh oui oui, je suis apte à diriger, servir et protéger un village ninja". Mais il savait "rester à sa place". N'ordonnait rien et ne décidait rien sans être sur que c'était bien son rôle et sans avoir consulté des personnes plus savantes et compétentes que lui sur le sujet. Le kazekage est bien conscient de ne pas savoir gérer les politiques économiques, éducatives, juridiques, civiles, nécessaires pour faire tourner un village. Ce qu'il savait faire en revanche, c'était écouter et prendre des décisions, ainsi que les responsabilités qui allaient avec, et aussi …
"Et aussi donner le change dans une situation sérieuse et solennelle. Je suis particulièrement doué pour ça."
Parce qu'il y a un sacré monde entre bébé Gaara qui peine à converser trivialement avec la princesse Hyuga et l'homme qui tient posément tête à une déesse dans une discussion des plus sérieuses.
"Et vous ?"
Toujours aussi irritante ?
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