Univers fétiche : Médiéval Fantastique (mais pas que)
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Edward
Ven 23 Fév - 2:24
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
Lorsque le baiser s'interrompt, elle pose la tête sur moi avant de me caresser doucement le torse. Pour ma part, je glisse mes doigts sur son flanc et dans le bas de son dos avec la légèreté d’une plume. On partage ce moment de tendresse avec une forme de naturel assez surprenante, mais particulièrement appréciable. Je ris à sa question sans suspendre mes caresses.
Rien de fou, il y a eu une bagarre générale, on en a profité pour s’éclipser par l’atelier. Il y a un conduit d’eau de pluies qui passe dessous, on a rampé jusqu’à la rivière en contrebas.
Ceci étant raconté, elle se glisse sur moi, venant s’allonger complètement comme si j’étais un matelas. Je retiens mon souffle lorsque son bassin se pose sur le mien et que, du fait de son installation, quelques mouvements viennent à “chatouiller” mon entrejambe. Finalement confortablement posée, elle m’observe en me caressant le menton tandis que j’ai repris ma promenade sur son dos jusqu’à la naissance de son postérieur.
Et toi alors ? Tu as fait des études peut-être ? Parle-moi un peu de toi, sans mentir cette fois ! Pouffais-je en faisant référence à son père mourant ou à son mari et à son bébé. Chaque fois, des tentatives pour être libérée.
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Ven 23 Fév - 2:58
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Chanson thème Sandra
Il répond à la douceur dont je le couvre du bout des doigts. Je me laisse aller en frissons lorsque ceux-ci circulent un peu trop bas sur mon corps. Je grimace lorsque j’entends le « on » dans son récit de fuite. — Pourquoi tu t’es trimballé ce connard ? Je lui demande faisant référence à l’enfoiré à cause de qui je suis dans ce merdier.
Je finis par vouloir son regard, alors je me colle contre son ventre, seins contre son torse. Je peux le sentir se tendre sous moi, notamment plus bas par la suggestion de la pause. Je place mon menton sur mes bras, tandis qu’il s’efforce de se détendre et surement de se faire obéir pas son petit soldat. Cela m’amuse, mais je ne le lui fais pas remarquer. Je ne veux pas le mettre dans l’embarras. — Te parler de moi ? » je fait un peu surprise. Un large sourire étire mes lèvres, j’ai le regard un peu rieur aussi lorsqu’il me prit de ne pas mentir cette fois. Je ne vois pas trop ce qu’il entend par là. « Eh bien… non. Je me suis fiancé jeune alors je n’ai pas fait de longues études, et puis, j’essaie souvent de passer des castings tu vois ? » que je lui raconte le regard un peu rêveur. « …Mais on me dit chaque fois que mon sourire est trop… psychotique. Après ma mère est actrice. Je finirai bien par me démarquer comme elle a su le faire. Sinon, je suis comme toutes les filles du Texas. Mon père tient un ranch, mais c’est difficile pour lui. Il a perdu ses jambes à la guerre. Et toi ? Ta de la famille, Franck ?
Le dernier acte est sanglant
quelque belle que soit la comédie en tout le reste: on jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais. - B.P.
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Edward
Dim 25 Fév - 3:22
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
J’ai pas eu le choix, la plaque qu’il fallait soulever pour accéder au conduit d’eau était bien trop lourde pour moi seule. Racontais-je avant qu’elle ne change encore un peu de position.
Écrasant ses seins sur moi, bougeant son bassin sur le mien, elle passa ses bras sur mon torse et y posa la tête pour m’observer. Tous ces petits mouvements venaient réveiller mon corps, chatouillant le désir que j’avais pour elle. Je me sentais comme un clou face à un aimant, irrémédiablement attiré. Évidemment, mon entrejambe redonne doucement signe de vie et, du fait de notre posture, il est physiquement impossible que cela lui échappe.
Pour me changer les idées, je lui demande de me parler d’elle. J’apprends ainsi qu’elle fut fiancée assez jeune, ce qui l’a privée d’études. Elle cherche à faire des castings, avouant se faire écarter à cause de son sourire jugé étrange. Elle me raconte que sa mère est actrice et qu’elle finira bien par se faire repérer à son tour avant de maintenir que son père, propriétaire d’un ranch, avait perdu ses jambes à la guerre.
Je peignais toujours son dos de mes doigts, glissant même sur son postérieur, ce qui n’aidait pas à calmer la chaleur de mon bassin, mais j’aimais trop sa peau.
Non, aucune famille. Je n’ai pas connu ma mère et mon père, un criminel, un vrai, a disparu de la circulation. Il est probablement mort ou alors, il se cache. Je n’ai que moi… Dis-je avant de la prendre doucement par les hanches afin de la pousser vers moi, la glissant sur mon corps.
Et toi pour deux jours encore…
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Dim 25 Fév - 4:39
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Franck se justifie qu’il n’aurait pas pu s’évader tout seul. Je ne réponds rien et contiens une grimace au souvenir de Jack sur moi, puis baignant dans son propre sang au sol. Il l’a quand même buter, ce n’est pas rien, mais ne vaut mieux ne pas y penser, je risque de ne pas pouvoir le supporter.
Je me repositionne sur lui, les jambes écartées au-dessus des siennes et reposant mes coudes sur son torse. Je sens ainsi Franck se raidir. Je glousse doucement amusée de lui faire un tel effet. Néanmoins, il parvient à se contenir jusqu’à présent, s’hasardant à plutôt me poser des questions sur ma vie et moi sur la sienne. J’apprends ainsi que le crime est de passation dans sa famille puisque l’était aussi son père. J’apprends aussi que tout comme moi, nous n’avons pas grandi avec la douceur maternelle… La mienne étant partie lorsque j’avais quatre ans pour poursuivre ses rêves qui sont aujourd’hui aussi les miens.
C’est alors que Franck se saisit de mes hanches pour me faire basculer un peu plus à la hauteur de son visage, pressant ses lèvres contre les miennes. Il ne me laisse ainsi pas le temps de rebondir sur ce qu’il venait de me dire.
Il venait pourtant d’éveiller ma curiosité, tandis que je sentais bien que j’avais éveillé en lui tout autre chose… Je parviens de raison à décoller mes lèvres des siennes un instant, avant de céder de nouveau à leur pouvoir d’attraction.
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Dim 25 Fév - 13:49
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J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
Pendant que je lui parle, elle bouge, revoit sa position et, finalement, en adopte une qui est… Hmm ! Disons qu’elle ne m’aide pas à m’assagir, ce serait plutôt tout le contraire. Je vois son amusement dans son regard alors que, tout en racontant brièvement mon absence de famille, elle joue à réveiller mon entrejambe.
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Dim 25 Fév - 15:37
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Edward
Dim 25 Fév - 19:49
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
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Lun 26 Fév - 1:01
Sandra Palmer
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Edward
Lun 26 Fév - 13:17
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
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Mer 28 Fév - 5:34
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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J’attends donc que Franck se lève, pour tenter de le convaincre de nous amener dans un motel, histoire qu’on se rafraichisse un peu. Avec sa sueur et la mienne, j’ai l’impression d’avoir une seconde peau. Je pu le sex. Et lui aussi d’ailleurs que je réalise en approchant le nez pour le renifler. Je l’observe dormir, en m'étendant sur le côté et me redressant sur un coudre. Je le trouve beau.
Et puis, je finis par m’impatienter et souffler doucement sur son visage pour venir l’arracher à ses songes. Je veux une douche.
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