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Edward
Mer 13 Mar - 19:57
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
L’odeur qui m’arrive au nez alors qu’on me souffle dessus porte les stigmates de cette soirée sulfureuse. Les odeurs d’un homme et d’une femme qui ont pris du plaisir un long moment et qui, tous deux, pourraient réclamer une douche.
J’ouvre un œil en grimaçant, découvrant Sandra qui me souffle sur la figure. Je suis poisseux et collant, mais cela m’arrache un sourire comblé.
Pour qu’elle arrête d’expirer sur moi, je me penche légèrement, venant voler ses lèvres en un baiser surprise.
J’imagine que, comme moi, tu aimerais que notre prochain arrêt comporte une douche ? Pouffais-je en notant cette même odeur sur elle que la mienne.
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Jeu 14 Mar - 23:22
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Chanson thème Sandra
Les émotions tumultueuses de la journée m'ont rapidement plongée dans un sommeil profond. À mon réveil, je me retrouve dans les bras de celui qui m'a enlevée. Sandra, tu devrais te ressaisir. Je me libère en me déplaçant sur le côté et me redressant sur mes coudes. J’ai une douleur lancinante au bassin.
Une odeur âcre me frappe aussi, me donnant des vertiges et ravivant les souvenirs de la nuit précédente, colorant mes joues d'une rougeur brûlante. Ce réveil, c’est comme sortir d’un coma.
Voyant que Franck est toujours endormi, je choisis de le réveiller doucement en lui soufflant mon impatience au visage. Son baiser soudain me prend de court, évoquant une tendresse que je n'avais pas anticipée, mais je n'y oppose aucune résistance. Je ne réponds pas à son geste, lui offrant simplement un sourire doux en retour. Lorsqu'il évoque l'idée d'une douche, j'hoche vigoureusement la tête. — Tu n’as pas idée…
Je me lève la première, enveloppée par cette atmosphère chargée de désir et d'urgence. Après tout, nous sommes recherchés. Malgré les circonstances, je ne peux m'empêcher de ressentir une étrange complicité avec Franck. Une connexion fragile et imprévisible, forgée dans l’adrénaline et un sacré coup de stress surtout. Mais cette nuit tumultueuse a relâché en moi de nombreuses tensions, je ne vais pas me mentir.
Nos vêtements froissés jonchent le sol. Je me lève, l’enjambant pour rejoindre la voiture et portant ma nudité comme un manteau cette fois-ci. Je sors de la valise un semblant de tenu propre que m’a acheté Franck, enfilant la paire de jeans et faisant fit de culotte. Je me sens trop dégueulasse. Par réflexe, je lui tourne le dos lorsque j’enfile le soutien-gorge. Alors que depuis le temps, il doit bien connaître au centimètre près la forme de mes seins.
On rassemble nos affaires, avant d’enfin reprendre la route et après une recherche frénétique, nous trouvons enfin un motel à l'aspect modeste, mais accueillant. La réceptionniste ne nous dévisage pas, ce qui est bon signe, avant de nous tendre la clé de notre chambre.
Une fois à l'intérieur, je me sens soulagée de pouvoir enfin me débarrasser des traces de cette nuit agitée. Sans un mot, je me dirige vers la salle de bain, laissant Franck en plan dans la pièce. Je n’ai même pas pris soin de refermer la porte de la salle de bain tant j’étais pressé de sauter à la douche.
Sous la chaleur apaisante de l'eau, je laisse mes pensées errer, emportée par le bruit régulier de la douche. Je m'attarde dans ce cocon de tranquillité, savourant chaque instant. Lorsque j’émerge enfin de la salle de bain, je suis enroulé d’une serviette. Je sens mes cheveux imbibés d’eau dégoutée dans mon dos. J’observe Franck, refoulant toute pulsion. Non, ça suffit comme ça, Sandra. — Ton tour.
Le dernier acte est sanglant
quelque belle que soit la comédie en tout le reste: on jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais. - B.P.
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Edward
Jeu 4 Avr - 15:06
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
Je souris lorsqu’elle confirme désirer une douche plus que n’importe quoi d’autre. Je l’observe ensuite quand elle se lève, dévorant son corps des yeux, ce corps que j’ai intégralement parcouru, goûté et… Je m’égare…
Nous reprenons la route dans un silence étrange alors que des images de la veille me passent régulièrement en tête. Je suis soulagé lorsque, moins d’une heure après, nous changeons d’état. Sandra repère un motel qui semble un peu usé et la vieille dame de la réception ne nous regarde même pas. Une fois dans notre chambre, je me laisse tomber sur un lit avant de voir la jeune femme filer dans la salle de bain. Toute notion de pudeur à disparu entre nous car elle ne ferme pas la porte. Je peux alors l'entre apercevoir se déshabiller avant de fermer les yeux, me laissant bercer par les sons de la douche et les souvenirs de la veille.
Elle finit par passer, enroulée dans une serviette, me lançant que c’est mon tour. Cette tenue, une simple serviette, réveille un désir que je m'efforce de taire. Je me lève alors et me déshabille tout en me dirigeant vers la salle de bain. Je suis nu en entrant et, comme elle, je ne ferme pas la porte avant de me glisser sous l’eau chaude. Il serait mentir que de dire que je n’apprécie pas cette douche. Je me frictionne de partout, nettoie mon corps et détend mes muscles. Une fois terminé, je me sèche avant d’attacher ma serviette à ma taille et de rejoindre la blonde dans la chambre pour me rallonger sans faire plus attention que cela à ma serviette.
Bon, ça fait sacrément du bien ! Soufflais-je, enveloppé dans un bien-être que je n’avais pas ressenti depuis bien longtemps.
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Ven 5 Avr - 2:48
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Chanson thème Sandra
Je l’observe se dévêtir sans un mot devant moi, sentant ma peau s’électriser par chaque bout de chair qu’il dévoile sous mes yeux. Je décide de m’étendre sur le lit en attendant que Franck prenne sa douche. Observant fixement le combiné de téléphone au mur, je pense à mon père et toute l’inquiétude que je dois bien lui causer. Cela dit, je ne bouge pas d’un cil, jusqu’à ce que Franck sorte à son tour, et s’allonge près de moi, sa peau aussi humide que la mienne s’égoutte sur le plancher. Je roule sur le côté pour lui faire de la place, maintenant ferment la serviette qui me couvre d’une main sur la poitrine tandis qu’un coup d’œil vers la sienne…
Elle laisse entrevoir le début de sa fesse et cette vision suffit à faire accélérer mon pouls. Je me sens abruti par cette sensation. J’ai l’impression d’être un animal et la partie inférieure de mon corps y réagit au quart de tour. En dehors de l’action, s’en est insupportable. Je me mord la lèvre inférieure brièvement pour me contenir avant de détourner les yeux vers le plafond lorsque je me retourne sur le dos. Un sourire me traverse les lèvres tandis que je balance mes jambes de droite à gauche. — Je sais que tu as bien spécifié qu’on était que de « passage seulement », le temps d’une douche… mais tu dois avouer que c’est plus confortable que le sol d’une grange.
J’essaie de le convaincre de rester le plus longtemps que possible, trouver un moyen de détourner son attention pour passer un coup de fil. Un simple coup de fil. Je n’ai pas l’intention de le livrer aux flics… j’en ai pas l’intention ni l’envie que je réalise. Je relève tranquillement la pointe de ma serviette le long de ma cuisse sans le lâcher des yeux, scrutant d’y voir un voile de désir refaire surface. Je ne sais même plus si mes raisons de le faire sont les bonnes. Peut-être qu’en fin de compte, je ne me cherche que des excuses. Me trouvant malhonnête dans ma démarche aguicheuse, je finis par me raviser et fermer les jambes. Je tourne plutôt la tête vers lui sans me décoller du matelas. — Franck… J’aimerai passer un coup de fil. Je te promet de ne pas appeler les flics.
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Mar 9 Avr - 16:45
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
Jusqu’à ce que je rejoigne la salle de bain, je sens son regard sur ma peau, dévorant mon corps comme je l’ai fait avant. C’est un fait, la pudeur n’est plus entre nous. Il y a comme un espèce de mélange de sentiments. D’un côté, j’aime sentir son regard appréciateur sur moi et, de l’autre, c’est comme si la nudité était devenue quelque chose de naturel entre-nous. Ce qui n’empêchait pas d’apprécier la beauté du décors…
De retour dans la chambre, alors que je m’installe sur le lit, la jeune femme se déplace pour me faire de la place à ses côtés. Un silence apaisé et confortable s’installe tandis que je la vois lorgner sur l'épiderme partiellement découverte de mes fesses. Il y a quelques sourires discrets, fugaces souvenirs de la veille et attirance toujours présente venant chatouiller nos sens.
C’est sûr qu’un lit et une douche, c’est…Très confortable ! Confirmais-je en posant une main légère sur l’une de ses cuisses. Il n’y a dans ce geste aucune malice mais bien le simple désir d’un contact de ma main sur sa peau douce et fraîche.
Alors, elle se réinstalle, ondulant doucement des jambes, commençant à tirer sur sa serviette pour, lentement, dévoiler sa cuisse. Mon regard se perd dans le sien alors que je sens mon désir pour elle se réveiller doucement. On dirait une lionne cherchant à envoûter son mâle alors que, déjà, sa serviette commence dangereusement à laisser entrevoir l’ombre de son bassin.
Et, soudain, tout s’arrête, la serviette reprend sa place tandis que ses grands yeux ne me quittent pas. Dans ce regard qu’elle m’oppose, je découvre une sensibilité et une sincérité flagrante, appuyant un espoir intense. L’hésitation que j’entends après mon prénom trahie la réalité de ses propos ainsi que la confiance qu’elle place en moi et celle qu’elle espère que je lui offrirai.
Je me tourne pour lui faire face, posant une main sur sa hanche tout en plongeant dans son regard. Je l’observe, nageant dans ses yeux bleus en silence durant quelques instants. Finalement, je viens voler ses lèvres avec une tendresse langoureuse, terminant par un soupir contre son oreille.
Tu as soixante secondes après qu’il ait décroché, il doit être sur écoute… Vas appeler ton père ! Soufflais-je alors.
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Mer 10 Avr - 2:12
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Tous deux allongé sur le lit en sens contraire, nous laissons le silence plané un instant, avant que je n’ai la malice de rappeler de façon sous-entendue notre débauche de la veille. Franck renchérit dans mon sens me posant doucement une main sur la cuisse, mais je ne crois pas qu’il a bien lu entre lignes et cela m’arrache un pincement de lèvre pour retenir un petit rire amusé d’outrepasser celles-ci. J’enjoins donc le geste à la parole en relevant doucement la serviette qui me vêtit sur ma cuisse, mais mon esprit n’est pas entièrement là. Mes pensées sont dirigées vers mon père qui doit bien se faire un sang d’encre et je finis par me raviser.
Franck le remarque. Il m’observe un long moment. Je lui envoie un petit sourire tendre lorsque son regard s’adoucit face à ma demande. Il y a un silence où il s’approche de moi. Il me saisit par la hanche et j’accueille son visage dans la paume de ma main tandis que je me perds dans son regard. Alors ses lèvres se posent sur les miennes. Je profite de leur chaleur jusqu’à ce qu’elles glissent à mon oreille, échappant un profond soupir.
Lorsqu’il consent enfin à ma demande, je sens mes lèvres s’étirer d’un large sourire ravi. Je le tire par la nuque vivement pour l’attirer vers moi et l’embrasser à mon tour d’un baisé exalté, emprisonnant son bassin entre mes cuisses le temps de savourer cet échange. — Merci… » que je lui murmure en caressant sa mâchoire, avant de me redresser, puis de me lever tout à fait. Je resserre la serviette autour de ma poitrine en me dirigeant vers le combiné de la chambre, puis compose le numéro, me rongeant nerveusement les ongles. La sonnerie retentit pendant plusieurs secondes avant qu’enfin on ne décroche à l’autre bout du fil. — Papa ? — …Sandra ? — Tu es tout seul ? » je me retourne pour faire face à Franck. Je lui adresse un petit sourire embarrassé. Je ne serais dit pourquoi ni en quoi, mais la situation me met mal à l’aise. — Qu’est-ce que ça peut te foutre salope ? Un peu prise de court par le ton employé, je demeure un instant sans rien dire. Voyant Franck qui a le regard posé sur moi, je décide de me retourner lui tourner le dos. — Je… Humm. Je voulais juste te laisser savoir que je vais bien… T’a pas à t’en faire malgré ce qu’ils pourront te di… — Parce que tu crois que j’en quelque chose à foutre ?! T’es qu’une pétasse comme ta mè-!! — Bisou. Oui, moi aussi je t’aime. Je raccroche brusquement, le cœur battant la chamade, non pas tant pour éviter de dépasser les fatidiques soixante secondes que pour échapper à l'étouffante tension qui s’est glissé dans la conversation. Je n'aurais jamais imaginé que les choses tourneraient ainsi... Après une inspiration profonde, je me tourne vers Franck, m'efforçant de masquer mes émotions derrière un sourire forcé. Je m'active à enfiler mes vêtements, cherchant à dissimuler mon désarroi. Je lui tourne le dos alors que j'enfile mes sous-vêtements, ne voulant pas qu'il perçoive mes larmes. Je les chasse d'un geste rapide du revers de la main, avant de saisir le premier vêtement à ma portée. Ah, cette robe verte... Je l'enfile sans protestation, me retournant vers Franck, sourire toujours accroché à mes lèvres. Le service à la clientèle, ironiquement, nous enseigne un sacré atout : celle de duper notre entourage. — Je suis prête.
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Lun 15 Avr - 0:11
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
En réponse, elle m’attire à elle avec vigueur pour m’embrasser à son tour, allant jusqu’à encercler mon bassin de ses longues jambes. Heureusement que c’est la même serviette qui couvre le bas et le haut, sans quoi, elle aurait fini cul-nu. Je me laisse happer par ce baiser à la spontanéité flagrante avant qu’elle ne vienne murmurer un remerciement à mon oreille. Je lui offre un sourire affectueux en la regardant se lever avant de me laisser retomber sur le lit, l’observant tandis qu’elle s’empare du combiné et compose le numéro.
Elle se tourne pour m’observer, me souriant gauchement tandis qu’elle demande à son vieux s’il est seul. Alors, grâce à ces vieux téléphones pas isolés pour un sou, j’entends toute la conversation. Je comprends que les choses ne sont pas exactement comme elle a pu me les raconter. En guise d’un père qui compte sur elle, c’est en fait un homme au langage acide qui l’envoie promener dès le début. Perturbée par la répartie de son géniteur, Sandra me tourne le dos pour prendre de ses nouvelles et lui affirmer que, contrairement à ce que peut dire la police, elle se porte bien. Hélas, le vieux Palmer ne la laisse guère terminer avant de l’envoyer chier, ne manquant pas de l’insulter au passage. Sandra abrège après une brève marque d’amour. De nouveau, elle me sourit, mais d’un sourire terne, désorienté. Sans un mot, elle va chercher des habits et, délaissant la serviette, enfile ses sous-vêtements en me tournant le dos avant de se parer de la robe que j’avais indiqué comme étant l’habit que je préférais. Ceci fait, elle se tourne vers moi, affichant un vrai sourire et m’informant être prête.
Quand on vient d’où je viens, on est habitué aux personnes qui cachent leurs émotions. Par ailleurs, ayant entendu très clairement la conversation, je sais qu’elle tente de tromper son monde derrière un sourire de façade. Je réponds d’un sourire charmeur avant de me lever, abandonnant ma serviette sur le lit pour m’approcher d’elle en la regardant de pied en cap. Peut-être pouvait-elle voir, dans mon regard, l’affection réelle que j’ai pour elle. Si elle y prêtait attention, elle pourrait également comprendre que j’avais entendu. Pourtant, sans un mot, je me contente de doucement la prendre dans mes bras, passant un bras à sa taille, l’autre autour de ses épaules pour l’amener à moi.
Profite du confort de la chambre, ces derniers jours n’ont été simples pour personne. Soufflais-je tranquillement à son oreille. Le gérant ne nous a visiblement pas reconnu, mais partir à peine une heure après, il risquerait d’appeler les flics en pensant qu’on venait juste pour une passe.
J’avais choisi de ne strictement rien relever de son coup de fil. C’était sa vie personnelle, cela ne me concernerait que si elle souhaitait m’en parler. Elle avait tenu parole en n’appelant pas les flics et en respectant le délai de soixante secondes, le reste… J’écartais tranquillement mon visage, toujours souriant.
Il faut que je refasse le pansement de ton pied et après… Je pourrais te faire un massage ? Plaisantais-je. On partira dans la soirée, par les petites routes.
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Jeu 18 Avr - 0:29
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Je rassemble alors le peu de possessions cumulés de ces derniers jours lorsque je vois Franck se lever et s’avancer vers moi, entièrement nu. Il me lance un sourire chaud et profondément sincère en retour au mien qui n’avait rien de cela, et ça me fend le cœur. Il m’attire vers lui avec beaucoup de douceur et je dois me faire violence pour ne tout simplement pas m’effondrer en larme dans ses bras.
S’il a entendu des bribes de conversations ou lu dans mon visage mon désarroi, il ne soulève pourtant pas la question et cela me soulage. Je souffle plutôt ma peine dans son cou, profitant d’une étreinte qui se veut réconfortante et rassurante, malgré le désir qui nous anime depuis ce matin, et sa retenue me touche. D’autant plus les mots qui s’accompagne.
Je relève la tête vers lui, plongeant mes yeux un instant ahuri dans les siens. Je réalise qu’il ne fait que se soucier de moi depuis le début, malgré les circonstances. La situation aurait pu être pire. Franck aurait pu être violent à mon égard forcé de lui fausser compagnie, mais sa patience est demeurée intacte même dans les moments de danger que j’aurai pu clairement lui éviter. Cette réalisation m’en apporte une autre. La blessure sur son bras que lui a couté de me défendre contre une meute de hippies. Mes yeux descendent lentement sur la cicatrice de son avant-bras. Je glisse mes doigts doucement sur le relief de la boursouflure avant d’y apposer un léger baiser de mes lèvres avec beaucoup de tendresse.
Finalement, je me redresse un peu lorsqu’il s’écarte et lâche un petit rire en retard à ses plaisanteries. — Parce que ce n’est pas le cas ? » que je lui renvoie à la plaisanterie concernant notre arrêt au motel. Je lui glisse une main dans les cheveux, appréciant leur humidité. Je l’observe longuement. C’est comme si je le découvrais pour la première fois, en dehors du contexte qui me lie de force à lui et selon sa volonté. Je réalise que je n’arrive plus à lui en vouloir.
Mes yeux descendent sur ses lèvres, mais je me retiens de l’embrasser. — Tu n’es vraiment pas si terrible Franck, tu sais ça..? C’est une formulation à mi-chemin entre la blague et l’aveu d’une affection inusité. Je retourne m’asseoir sur le bout du lit, me saisissant de sa serviette au passage que je lui tends avec un sourire joueur.
Le dernier acte est sanglant
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Mer 24 Avr - 10:39
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
Je frissonne en sentant ses doigts sur la blessure que j’ai au bras, vestige de l’agression que je lui ai évité alors qu’elle tentait de fuir. Cela semble être tellement lointain comme évènement… C’était pourtant il y a trois jours seulement. Je la laisse manipuler mon bras pour venir embrasser cette cicatrice fraiche avant qu’elle ne plaisante à son tour sur la raison de notre arrêt.
Il faudrait que l’on s’envoie en l’air pour que cela puisse être une passe… Roucoulais-je à son oreille tandis qu’elle aventurait ses doigts dans mes cheveux humides. Nous restons alors silencieux pendant un instant où elle me parcourt des yeux et que je me tiens face à elle dans le plus simple appareil. Finalement, la phrase qu’elle me lance me fait vibrer légèrement alors qu’elle s’éloigne, retournant sur le lit.
Je suis heureux que tu t’en aperçoives… Lançais-je dans un sourire que je n’arrivais pas à nuancer tant j’étais réellement ravi. Je m’approche d’elle et saisis la serviette avant de la lancer sur une chaise, répondant par ce geste à son sourire joueur.
Merci, mais je suis sec… Soufflais-je en m’approchant encore avant de me baisser à son niveau. Je passais tendrement une main sur sa joue, frôlant ses lèvres des miennes tout en portant mon autre main à sa hanche. Cette robe te va bien… Lançais-je alors dans un murmure, glissant sensuellement la main sous le vêtement. Je remontais lentement le long de sa cuisse jusqu’à accrocher son sous-vêtement de mes doigts, lui lançant un regard taquin.
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Lobscure
Mer 29 Mai - 0:40
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Chanson thème Sandra
Mes dernières paroles arrachent un sourire lumineux à Franck. Je souris doucement à mon tour tandis que je me positionne sur le bout du lit avec un désir contenu, mais palpable, et lui tends la serviette sans le lâcher des yeux ni les égarer plus bas pour lui montrer que je ne cède pas à cette tension. Il s’en saisit, mais sans plus. Car la serviette finit sur une chaise.
Ce geste m’enflamme intérieurement, mais je n’en laisse rien paraître alors qu’il s’accroupit à ma hauteur, me caresse la joue et m’effleure les lèvres. Je l’observe sans un mot, laissant tomber un silence chargé d’électricité, même lorsqu’il complimente le vêtement que je porte et qu’il m’a offert. Il glisse alors une main tranquille et chaude sous les volants de la robe. J’en frissonne. Lorsque je sens ses doigts sur ma peau remonter doucement le long de ma cuisse jusqu’au départ de dentelle de ma culotte, c’est alors que je décide de répondre à la provocation de front.
Le dernier acte est sanglant
quelque belle que soit la comédie en tout le reste: on jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais. - B.P.