"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Mer 3 Juil - 22:25
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Souvent décrit comme un homme alpha, Edward était d’un naturel jaloux et possessif. Des traits de caractères régulièrement décriés par la gente féminine, assimilés maintes fois à un comportement toxique. Toutefois, il ne s’était jamais considéré comme un prédateur a contrario de certains de ses congénères qui résumaient la femme à un objet. Une futilité qui ne disposait d’aucune liberté, et moins encore du droit de parole. Dans leur idéal, elle était à l’entière disposition de la gente masculine, et cela, afin d’assouvir le moindre leur désir, au détriment de leur volonté propre. Le consentement était donc devenu, par la force des choses, une conception floue voire inexistante pour certains d’entre eux. Un comportement qu’Edward avait toujours condamné, mais plus encore lorsqu’il était destiné à nulle autre que celle qu’il aimait. Aucun homme, quel qu’il soit, n’était disposé à poser sa main sur le corps d’Angelica, et d’autant plus quand elle exprimait sa désapprobation. Le politicien aurait pu faire un esclandre afin de diffamer le dénommé Bradley aux yeux de tous les convives ci-présent, mais n’en fit rien. Il se contenta d’exercer une pression de plus en plus forte sur la main de ce dernier, jusqu’à lui en briser les os si nécessaire, afin qu’il comprenne toute la signification du mot « non ». Dès l’instant où il fut assuré que ce dernier avait compris les tenants et aboutissants du consentement, il le laissa prendre congés de leurs personnes pour se concentrer sur Angelica dont il retira la main de ses reins pour la poser sur son si beau visage « Ne me remercie pas d’être intervenu Angie. Jamais » tout en caressant sa peau de la pulpe de son pouce.
Sans mot dire, Edward ne lui répondit que par un doux sourire. Lui aussi avait désespérément envie de la serrer dans ses bras, de la protéger contre tous les maux du monde, de la rassurer. « Tu es magnifique » déclara-t-il en l’enveloppant du regard comme si elle était la huitième merveilles du monde à ses yeux. Lorsqu’Angelica reprit parole, le politicien décida de la faire taire en l’embrassant avec sentiments sans le moindre empressement, se contenant de savourer la caresse de ses lèvres contre les siennes. Durant la minute ou deux que dura leur baiser, le monde extérieur se dissipa derrière un écran de fumée et plus rien ne comptait à l’exception de l’influenceuse, de sa présence. Il mit fin au baiser avec lenteur et rouvrit les paupières sans la moindre hâte, souriant en croisant de nouveau les prunelles émeraudes de la jeune femme « Tu m’accordes une minute et on rentre à la maison ? ». Pour autant, cela ne signifiait pas qu’il allait la laisser seule au milieu de cette foule. Edward entrelaça ses doigts au sien, l’entraina avec lui jusqu’au directeur de l’établissement hospitalier auquel il adressa un chèque conséquent, et quitta ensuite l’hôpital pour rejoindre leur penthouse dans un taxi de la ville.
En arrivant au sein du luxueux appartement New-Yorkais, Edward dénoua le nœud papillon qui lui enserrait la gorge et se dirigea jusqu’à la cuisine afin de servir deux tasses de thé. La bouilloire en fonctionnement, il prit appui contre l’évier, ses mains remplissant les poches de son costume dans une posture légèrement nonchalante, et observa la femme qui se tenait devant lui. Il se pencha pour lui saisir la main et l’attira au creux de ses bras, resserrant son emprise sur son corps « Je sais qu’on doit parler mon amour, mais accorde-moi encore quelques minutes » et déposa ses lèvres sur sa chevelure rousse. Le son de la bouilloire sonna le glas de leur étreinte et s’en saisit, recouvrant les deux sachets de thé d’une eau fumante. Il tendit l’une d’elle à Angelica, tout en portant la sienne à ses lèvres. Il rétorqua ensuite « Je suis désolé pour tout Angelica. Que ce soit les paroles prononcées ou la manière dont je t’ai traitée… Tu… Est-ce que tu… ». Il déglutit avec difficulté et reprit « Ce soir-là, tu m’as dis que tu te sentais comme un objet. C’est la sensation que tu éprouves avec moi ? ». Cette question le taraudait depuis leur dispute. Il voulait savoir.
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Jeu 4 Juil - 12:15
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Lorsqu’elle avait senti un main dans son dos, Angie avait eu un léger sursaut. Puis c’était un énorme soulagement qui l’avait envahi. Edward l’avait repéré et trouver avant elle. Avant qu’elle n’ait plus de problème avec cet homme qu’elle ne savait pas comment remettre à sa place sans faire un scandale. Le voir prendre sa défense et affirmer sa position, la dénommer comme étant sa femme… elle fut terriblement touchée. Est-ce que cela voulait dire qu’elle était pardonnée ? Elle l’espérait. Ses craintes s’allégeaient à mesure qu’elle voyait blêmir l’individu devant eux. Lorsqu’il prit congé sans demander son reste, Angie remercia Edward d’être intervenu. Sans lui, elle ne savais pas comment cela aurait pu terminer.
Elle rougit à son compliment, se pinçant les lèvres pour retenir ses émotions à fleur de peau. Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase. Edward venait de poser ses lèvres sur les siennes. Angie répondit à ce baiser avec autant de douceur et de tendresse que lui, sans se poser la moindre question sur ce que ce geste pouvait renvoyé aux personnes qui les entouraient. Comme il lui avait manqué… Un pincement de lèvre comme pour garder le gout de celles d’Edward sur les siennes un peu plus longtemps, puis elle hocha la tête. Oui, s’ils pouvaient rentrer vite, cela lui allait parfaitement. Elle baissa les yeux sur la main d’Edward qui venait de saisir la sienne, avant de le suivre parmi la foule. Elle salua le directeur de l’hôpital, avant de quitter le bâtiment en compagnie d’Edward, heureuse de soulagée.
Le chauffeur lui sourit : « -je suis heureux de vous revoir madame. » Angie lui rendit son sourire et avait répondu qu’il en était de même pour elle. Pas un mot durant le trajet, mais sa main était restée dans celle d’Edward. Elle le laissa prendre la direction de la cuisine, prenant le temps de retirer ses talons, perdant ainsi quelques centimètres de hauteur. Elle se laissa attirer à lui et se lova dans ses bras sans retenue. Elle respira son odeur qui lui avait tant manqué, savourant ce moment de tendresse. La jeune femme recula de deux pas, avant de récupérer la tasse et de le remercier. Elle n’avait pas envie de boire du thé… Elle avait envie de lui. De retrouver son corps, la caresse de ses mains, la douceur de ses lèvres. Angelica l’écouta lui confier qu’il était désolé pour ce qu’il lui avait dit, tout en le couvant d’un regard tendre. Elle posa sa tasse sur l’ilot central, et se rapprocha de lui. « -embrase moi… » souffla la jeune femme qui n’avait pas envie de parler de tout cela maintenant. Si jamais cette conversation dégénérait, ils allaient se quitter sans avoir eut la possibilité de faire l’amour une dernière fois. Elle ne voulait pas de ça. Avant qu’il ne le fasse, elle l’embrassa avec tendresse, moulant son corps au sien.
Ses baisers se firent plus insistant, avant que sa langue ne cherche la sienne. Entre deux baisers elle souffla : « -on parlera après… » un nouveau baiser : « -promis… » mais pas tout de suite. Lentement elle remonta ses mains sur le torse d’Edward, et défit les premiers boutons de sa chemise. Il lui avait tellement manqué… Elle était si heureuse de le retrouver. Heureuse que sa venue au gala ait créé cette étincelle dans les prunelles sombres du politicien. Rien ne s’était déroulée comme elle l’avait imaginé, mais le résultat était là. Ils étaient de nouveau tous les deux.
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Jeu 4 Juil - 13:25
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Durant trop longtemps maintenant, Edward s’était soucié de l’image qu’il renvoyait auprès du monde, appliquant à la lettre les conventions sociales de la haute société New-Yorkaise, tel qu’il les avait assimilé au cours de son enfance. Ce soir, il avait fait le choix de n’y attacher aucune importance et avait embrassé Angelica au milieu de la foule, se désintéressant du regard des autres convives. Le politicien avait craint de la perdre à maintes reprises au cours des derniers jours, et la vie était suffisamment courte pour ne pas saisir l’occasion d’exprimer ses sentiments au nom des apparences. Dorénavant, toute l’assemblée saurait que l’acariâtre candidat au Sénat disposait d’un cœur et qu’il savait aimer. Sa main dans la sienne, il la conduisit jusqu’à l’extérieur du lieu de réception et sourit aux paroles de Jeffrey prononcées à l’encontre de la jeune femme. Elle était parvenue à se faire une place de choix dans son univers, auprès de son personnel. Elle était parfaite. Il n’en démordait pas. Lorsqu’ils franchirent le seuil du penthouse, Edward se dirigea d’un pas assuré jusque dans la cuisine afin de servir deux tasses de thé. Il profita de l’instant pour blottir la jolie rousse dans le creux de ses bras. Depuis Angelica, il connaissait le vide qu’il était possible de ressentir lorsqu’elle était loin de lui. Chaque détail qui faisait d’elle la femme qu’il aimait lui manquait.
À contrecœur, le politicien s’éloigna pour se saisir de la bouilloire, recouvrant les deux sachets de thé d’une eau fumante, et en tendit une à l’attention d’Angelica qui s’en délesta aussitôt pour revenir jusqu’à lui. Elle n’était pas prête à lui apporter la moindre réponse, et moins encore à converser à ce sujet. Elle désirait seulement qu’il l’embrasse. Un sourire étira légèrement les lèvres du candidat au Sénat qui était tout disposé à lui obéir, prenant possession de sa bouche sans résister. Ce qui avait débuté comme un baiser tendre, trahissant les sentiments qu’ils se portaient, se firent plus profonds et plus audacieux. Sa langue dansant avec la sienne, il acquiesça promptement en déclarant un bref « Quand tu veux » et reprit aussitôt possession de ses lèvres, ses mains entourant son visage tout en la contraignant à reculer jusqu’à l’ilot central. Un nouveau hochement de tête saccadé et glissa de nouveau sa langue entre ses lèvres.
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Jeu 4 Juil - 14:48
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Ils avaient des choses à se dire, des explications à se donner. Elle le savait. Il le fallait. Cependant, alors qu’il lui tendait cette tasse de thé, elle éprouva exactement la même chose que lors de leur première nuit ensemble. Ce n’était pas de thé dont elle avait envi. Non, c’était bien de lui. Si jamais ils ne parvenaient pas à se pardonner, que l’un d’eux prenait la lourde décision de tout arrêter, Angie voulait pouvoir avoir en mémoire, une dernière nuit avec lui. Parce qu’il lui avait terriblement manqué et que le voir prendre ainsi sa défense, exposer au monde entier qui elle était et ce qu’elle représentait pour lui, avait fait naitre un feu dans le creux de ses reins. Elle fit le choix de repousser cette conversation, de mettre de côté pour le moment la réponse qu’il désirait entendre, pour lui demander de l’embrasser, tout en lui promettant qu’ils parleraient…
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Jeu 4 Juil - 21:14
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
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Jeu 4 Juil - 22:00
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Jeu 4 Juil - 22:42
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Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ven 5 Juil - 11:01
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie éprouva une sensation de vide lorsqu’il se retira et se laissa glisser à ses côtés. Le poids de son corps lui manquait déjà… Elle se tourna pour venir se blottir contre lui, fermant les yeux pour écouter les battements de son cœur. Angelica aurait pu s’endormir là, tout contre lui… comblée. Mais ils avaient des choses à se dire et Edward en fut à l’initiative. Avec lenteur, elle releva la tête vers lui, puis bougea pour venir s’allonger sur son corps, son menton à mi torse, posé sur ses deux mains. Elle avait envie de lui sourire. Ses yeux lui soupiraient des je t’aime. Il attendait une réponse. Cette fois, elle devait lui en donner une : « -seulement si tu le décide... » elle le détailla du regard quelques secondes et ajouta : « -je ne suis pas revenue pour te quitter Edward… je n’en ai pas l’intention… mais je sais aussi qu’on doit parler de certaines choses… » Elle n’avait pas envie de s’éloigner de lui pour parler. Peut-être que cela serait plus facile ainsi. « -la réponse à ta question précédente est oui. Mais uniquement à cette soirée. J’étais heureuse de te retrouver et je n’ai pas compris ta froideur à mon encontre. Je me suis sentie… repoussée. J’ai mal réagit également. » elle en était consciente.
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Ven 5 Juil - 13:04
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J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ce soir, Edward lui avait fait l’amour en gardant à l’esprit que ça serait probablement leur dernière étreinte. Par conséquent, il voulait en savourer chaque seconde, chaque caresse, chaque baiser. Mémoriser l’odeur de sa peau, le son de ses gémissements, l’habilité de sa langue quand elle prit la décision de s’aventurer là où nulle autre avait été conviée à le faire, prenant sa queue en bouche avec délice. La découverte de leurs corps se poursuivaient malgré cette épée de Damoclès planant au-dessus de leurs têtes. Edward se surprit à se délecter de se sentir entièrement à sa merci malgré les apparences, malgré ses vas-et-viens délicat entre ses lèvres. C’était la jolie rousse qui le dominait en cet instant présent, le suçant comme si elle était friande de sa queue et qu’elle en désirait plus encore. Pour autant, le quadragénaire n’aspirait pas à finir ainsi, dans sa bouche. Il voulait se sentir en son sein et l’emporter avec lui dans l’orgasme. Angelica l’avait accueillit sans ménagement, si humide qu’il glissa en elle. Plus de paroles triviales, de coups de reins abruptes et d’envie de la pilonner aussi fort qu’il lui était donné de le faire. Pas ce soir. Pas avec l’oppressante et douloureuse pensée que tout pouvait cesser ensuite. Si tel était le cas, Edward souhaitait lui faire l’amour et non la baiser. Il aspirait à faire croître lentement le plaisir en elle avec sensualité et douceur. Il était soucieux de son plaisir tout autant, si ce n’était plus, que le sien. Il apprécia ainsi de l’entendre lui murmurer qu’elle aussi, était aux portes de la jouissance. Le politicien accentua les vas-et-viens jusqu’à se laisser assaillir par l’orgasme, ses lèvres contre celles de son amante, appréciant de la sentir se resserrer autour de sa virilité.
Dorénavant allongé de tout son long au milieu des draps qu’ils venaient de souiller par leur étreinte, Edward resta silencieux le temps de reprendre contenance, se contenant à seulement caresser la peau nue d’Angelica du bout de ses doigts. Après quelques minutes sans mot dire, le politicien décida d’enclencher l’inévitable conversation qui aurait raison ou non de leur union. Sa voix ne trahissait aucun ressentiment, et encore moins les tourments qui l’étreignaient intérieurement. À l’instar de son regard qui l’enveloppait avec douceur malgré le sérieux de son interrogation. « Je ne veux pas te quitter Angelica » déclara-t-il avec assurance, tout en la laissant reprendre. Elle non plus. Un soulagement aurait dû l’accabler aussitôt, mais n’en fit rien. Le politicien avait conscience, mieux que quiconque, qu’à tout moment leur relation pouvait basculer. Angelica le savait également. Ses caresses le long de son dos s’estompèrent promptement aux paroles qui suivirent « Je n’ai jamais aspiré à te faire ressentir cela Angie. Crois-moi » et reprit la danse de ses doigts sur sa peau nue. Il détourna le regard pour le river sur le plafond immaculé et laissa un soupir de lassitude lui échapper « Adam éprouve des sentiments pour toi. En prendre conscience a été difficile pour moi ». Il reporta son attention sur la femme étendue pratiquement sur lui, dans sa nudité la plus parfaite « C’est peut-être anodin à tes yeux. Après tout, tu n’éprouves rien en retour. Mais envisage l'hypothèse que tu apprennes qu’Ava soit tombée amoureuse de moi au moment même où nous nous retrouvons… Comment réagirais-tu sur l’instant ? ».
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Ven 5 Juil - 14:09
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
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C’était peut-être étrange en fin de compte, que cette conversation possiblement douloureuse ait lieu juste après qu’ils aient fait l’amour avec passion. Seulement, ils ne pouvaient pas faire comme si rien ne s’était passé. Ils s’étaient disputés, ils s’étaient mal comprit, ils s’étaient blessés. Angie était partie loin de lui durant presque une semaine… La jeune femme apprécia les quelques minutes de silence qu’Edward leur accorda avant de lancer le sujet. Elle apprécia ce moment de douceur, seulement à écouter son cœur battre dans sa poitrine, à savourer les caresses de ses doigts sur sa peau. Cette fois, elle ne pouvait pas se dérober, elle devait lui répondre. Elle décida de le faire en prenant place sur lui. Elle avait besoin de voir son visage, son regard. Et pourtant, elle ne souhaitait pas s’habiller de nouveau. La réponse fut donnée. Tout dépendait de lui. De son côté, elle n’avait pas l’intention de lui dire adieu. Elle ne serait pas revenu plus tôt de son voyage si ça avait été le cas. Elle ne serait pas allée à ce gala dans l’espoir de le trouver et de lui faire cette surprise.
Edward s’était excusé dans la cuisine. Angie savait qu’il n’était pas le seul fautif. Elle avait réagi à chaud, sans essayer de comprendre. Elle l’avait trouvé déplacé voir même odieux à l’encontre d’Adam, qui était pourtant un ami de longue date. « -je sais… » souffla la jeune femme. Elle avait largement eut le temps de méditer sur la question durant ces longues journée à la Nouvelle-Orléans. Angie détourna le regard. C’était évident qu’il reparlait d’Adam et de ses prétendues sentiments. « -parce que ce n’est pas le cas ? » demanda la jeune femme en haussant légèrement les sourcils. « -elle dois forcement t’aimer d’une manière ou d’une autre pour te supporter. » Elle lui sourit une lueur taquine dans les yeux avant de baisser le visage et d’embrasser son torse. Elle se redressa en amazone, assise sur lui, totalement nue. La tête légèrement penchée sur le côté, elle ajouta, les deux mains sur les torses d’Edward. « -il m’a appelé le lendemain. Il voulait s’excuser. » c’était étrange d’évoquer un autre homme alors qu’elle était nue et Edward aussi. « -avant que tu n’arrives au gala ce soir-là, je lui ai demandé de démentir les rumeurs. Chose qu’il a fait. » petit précision au cas où Edward ne les aurait pas vu. « -s’il a éprouver quoi que se soit pour moi, je peux te jurer qu’il n’a jamais tenter quoi que se soit. Il a bien trop de respect pour votre amitié. Et que je ne suis pas réceptive à son charme. » même si l’écrivain en avait. Ce n’était pas cela qui l’attirait. Elle l’avait bien comprit depuis sa rencontrer avec Edward. « -c’est toi que je veux. Toi et personne d’autre. »
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