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"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
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Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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« Vous êtes ivre, vous ne pouvez pas l’opérer dans cet état-là... Docteur Kim ! Vous m’écoutez ? » La voix de la protagoniste venait de l’extirper brusquement des bras de Morphée, et alors qu’il s’apprêtait à se mouvoir pour se saisir de la télécommande sur le rebord de la table basse, la pression d’un corps chaud blottit contre le sien l’en empêcha. Angelica dormait du sommeil du juste tout contre lui, probablement éreintée par les évènements de la journée passée. Il déposa délicatement sa main dans le bas de son dos, la tenant fermement contre son torse, tandis qu’il s’efforça de se saisir de la télécommande. Quand il parvint enfin à se saisir du petit appareil, il pressa le bouton qui plongea le salon dans une quasi pénombre, et se délesta de l’objet à même le parquet ciré. Avec lenteur, Edward enjoignit sa petite-amie à se déplacer de manière à s’éclipser de son étreinte, et se redressa sur ses jambes. Il fit quelques pas jusqu’à la cuisine pour récupérer son téléphone portable qui trônait sur le marbre de l’ilot central. La lueur vive de l’écran le fit quelque peu grimacer, et en fit abstraction pour prendre connaissance de l’heure. 4H25 du matin. D’un geste du pouce, le politicien déverrouilla le petit appareil, et partit en quête du nom de l’un de ses contacts. Il pressa l’écran pour sélectionner Yuma et lui envoya un bref message : Nous sommes rentrés. Votre venue aujourd’hui ne sera pas nécessaire. Le message envoyé, il s’allégea de son portable sur le comptoir de la cuisine, puis rebroussa chemin pour venir se saisir du corps chaud d’Angelica. Un bras sous ses genoux et l’autre autour de sa taille, il la serra tout contre son torse et l’emporta jusqu’à la chambre conjugale. D’un geste délicat, il la déposa sur les draps en satin de coton, signé d’un grand créateur français, et la recouvrit délicatement pour qu’elle ne prenne pas froid. Aussitôt après, Edward se glissa ses côtés et enserra sa taille pour la maintenir tout contre lui, son corps se moulant parfaitement au sien. Son visage niché dans son cou, il s’autorisa à humer le délicat parfum de sa peau, et finit par s’endormir de nouveau, bercé par la respiration apaisée de la jeune femme.

Parce qu’ils n’auraient jamais dû être présent dans cet appartement en ce début de semaine, le politicien n’avait pas prit la peine de désactiver la sonnerie stridente de son réveil qui, comme chaque matin, retentissait à sept heures. Vingt ans qu’il était programmé ainsi, et ce aujourd’hui ne faisait pas exception. Grondant dans le cou d’Angelica, il se hâta toutefois à presser l’interrupteur au sommet du petit appareil qui s’interrompit aussitôt. Cependant, le mal était déjà fait. Ils étaient réveillés. Un long soupir s’échappa des narines d’Edward qui se pinça l’arête du nez, avant de basculer de nouveau en direction de la jolie rousse. Son bras entoura de nouveau son corps chaud et empreint de sommeil, tandis que ses lèvres s’apposèrent dans son cou avec douceur « Rendors-toi mon amour… » murmura-t-il en caressant ses cheveux du bout de son nez « Il est encore tôt… », et vint nicher son visage dans son cou, les paupières de nouveau closes. Il s’apprêtait à mettre en application sa propre requête quand la sonnerie de son portable, trônant sur l’ilot central de la cuisine, lui parvint. Un énième soupir de lassitude lui échappa et décida de se glisser hors du lit à contrecœur, se rendant ainsi dans la pièce de vie d’un pas trainant. Quand il aperçut le nom de son assiste s’afficher en grand sur l’écran, il tenta de réprimer au mieux l’agacement qui émergeait en lui à cette heure dès plus matinale, et se contenta de porter le petit appareil à son oreille, tout en s'activant à se préparer son premier café jamaïcain de la journée « Oui Ava ?! » « On dit « bonjour » quand on est poli » « Ava » gronda-t-il avec froideur « Je vois qu’on est grincheux en ce magnifique début de semaine ». Sa jovialité débordante avait le don d’exacerber son irritation, et décida de la contraindre à en venir à l’essentiel « Que désires-tu ? » « Tu n’es pas censé être en vacances ? » « En effet. Donc je m’interroge sur les raisons qui poussent mon assistante à m’appeler de si bon matin » « Je t’informe que tu viens de monter dans les sondages et que tu talonnes dorénavant ton concurrent ». La frénésie de son assistante était aucunement communicatif pour celui qui s’apprêtait à lui annoncer, d’ici quelques jours, qu’il se retirait de la campagne sénatoriale. Entre autre. « Bien » « Bien ?! Non, c’est parfait ! Ils seront entièrement conquis après ta prochaine prise de parole. Vendredi. Tu n’oublies pas. Je dois te laisser, j’ai un brunch avec Maria à dix heures. A demain » et raccrocha aussitôt, sans attendre la moindre politesse d’Edward qui en était dépourvu. Ce dernier se laissa choir, tel un poids mort, sur le tabouret, sa tête enfouie dans le creux de ses bras reposant sur le rebord du comptoir. Il avait hâte que tout cela cesse… Après quelques minutes, Edward se décida à délaisser la pièce de vie et son téléphone, pour retourner dans la chambre à coucher. Il déposa son épaule contre la chambranle de la porte, dans une posture nonchalante, une main dans la poche de son pantalon de pyjama, tandis que l'autre tenait fermement sa tasse de café qu'il n'avait eu le temps d'engloutir et sourit avec tendresse à Angelica « Bonjour mon amour ».


Charly
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Charly
Dim 4 Aoû - 19:56

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -argh c’est quoi ça ? » râla Angie alors qu’un bruit stridant lui vrillait les oreilles, bien trop tôt à son gout. Elle cacha son visage sous la couette, et poussa un soupire lorsque le bruit s’arrêta enfin. Elle grogna encore en ressortant son visage de la couette, il faisait trop chaud là-dessous. Et maintenant, elle avait les cheveux dans le visage. Elle passa sa main pour le virer de là, avant de soupirer de bien-être en sentant les bras d’Edward se glisser autour de sa taille. Angie se tourna pour venir nicher son visage contre son torse, mais elle émit un nouveau grognement en entendant le portable d’Edward. « -on devait les laisser en silencieux… » marmonna-t-elle en tentant de le retenir à elle, sans pour autant ouvrir les yeux. Un nouveau soupire lorsqu’il quitta le lit, alors qu’elle venait s’installer dans son oreiller, pour ne pas perdre son odeur, allongée sur le ventre.

Bon… pas la peine de chercher encore et encore le sommeil… il s’était barré le petit con ! Et puis elle n’arrêtait pas de se demander qui avait téléphoner de si bonne heure. Elle pensait forcement à Ava, mais l’idée que ça soit Iris traversa également son esprit. Angie se retourna, fixa le plafond, avant de baisser les yeux pour voir Edward qui lui souriait, une épaule contre la porte. La jolie rousse se redressa en s’étirant, jambes en tailleur, sourire aux lèvres. « -alors qui dois-je aller taper ? » son sourire s’élargit et elle se leva pour rejoindre Edward, trainant ses pieds comme à son habitude sur le parquet. Un main sur son torse, elle l’embrassa avant de souffler un : « -bonjour toi… » avant de laisser glisser sa main dans une caresse. « -tu as faim ? » demanda la jeune femme en glissant sa main dans la sienne pour l’entrainer jusqu’à la cuisine. Elle lança la bouilloire, et se pencha dans la frigo. « -j’ai envie d’aller courir. Tu as envie d’aller courir ? » elle s’était redressée pour le regarder en disant cela : « -j’ai besoin de bouger. » oui, elle avait besoin d’extérioriser tout ce qu’elle avait ressentit la veille.

Elle pressa des oranges et servit un verre à Edward, avant de récupérer le pain grillé qui venait de sauter dans le grille-pain. Elle en mit une entre ses dents, se brula les mains avec les autres. Secoua ses mains comme si ça allait soulager la petite douleur : « -après si tu n’as pas envie, pas de souci, j’irai toute seule. » il n’avait peut-être pas envie d’aller faire un footing. Elle récupéra sa tasse de thé, la posa sur le comptoir, apporta le pain grillé, la confiture et s’installa en face d’Edward avant d’enfin demander : « -tu as bien dormi ? »

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Dim 4 Aoû - 20:37

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Lorsque la sonnerie stridente du réveil retentit avec précision à sept heures du matin, Edward maugréa. Ce n’était pas ainsi qu’il avait envisagé voir leur dernière journée de repos s’amorcer. Il pressa hâtivement l’interrupteur au sommet du petit appareil, et bascula en direction d’Angelica qui ronchonna d’une voix endormie. Un sourire étira promptement ses lèvres tandis qu’il nicha son visage dans son cou, humant ainsi la délicieuse odeur de sa peau. Une accalmie de seulement quelques secondes. Un soupir de lassitude passa la barrière de ses lèvres, tandis qu’il murmurait d’une voix encore empreint de sommeil « Oui ». Ce fut donc à contrecœur qu’il quitta les draps en satin de coton, et le corps chaud de sa petite-amie, pour se rendre d’un pas trainant jusqu’à la cuisine. Seule son assistante était à même de le contacter si prématurément dans la journée. Le téléphone immobilisé entre son épaule nue et son oreille, Edward versa les quelques grains de café jamaïcain dans le broyeur à grain, et laissa la machine s’activer, transformant le tout en un liquide brun opaque dont les effluves étaient plus agréable que la voix d’Ava aux premières lueurs du jour, et cela, malgré toute l’affection qu’il pouvait lui porter. Quand il porta sa tasse de café à ses lèvres pour en savourer la première gorgée, il ne put réprimer un petit soupir de délectation, tout en répondant parcimonie à son assistante. Cette dernière exprimait un engouement qu’il ne partageait aucunement. Il n’était plus animé par l’enthousiasme des sondages qui le déclaraient tour à tour vainqueur ou perdant des élections sénatoriales. Dorénavant, et aujourd’hui plus qu’hier, il aspirait à des plaisirs simples, comme celui de s’éveiller tout en douceur dans les bras de sa moitié. Ce qui ne fut nullement le cas ce matin, à son grand désarroi.

La conversation interrompue sans la moindre bienséance, Edward profita de cette nouvelle quiétude pour rejoindre leur chambre d’un pas trainant, ne manifestant aucun empressement. Dans une posture nonchalante, il prit appui contre la chambranle de la porte, souriant en constatant qu’Angelica était toujours allongée de tout son long parmi les draps de satin. « Ava ». Pas particulièrement loquace au quotidien, il l’était moins encore au petit matin alors qu’il dégustait sa première tasse de café. Dégustant une nouvelle gorgée du breuvage brun, le politicien ne manqua pas une seconde du spectacle que lui offrit sa moitié en s’avançant jusqu’à lui avec apathie. Ses lèvres se posèrent tout contre les siennes dans un doux baiser, et son sourire s’étira davantage aux mots qui suivirent « Bonjour mon amour » et acquiesça lentement d’un signe de tête, sans mot dire. Sa main dans la sienne, Edward se laissa guider jusqu’à la cuisine, tandis qu’il continuait de déguster sa première tasse de café de la matinée. Comme chaque matin depuis qu’il avait acquis cette propriété, Edward se posta contre le comptoir en marbre, entre l’évier et la machine à café, observant avec affection, et sans mot dire, la jeune femme évoluer aisément dans la cuisine. Tu parles beaucoup trop la mia luce… pensa-t-il tout en lui prêtant malgré tout une oreille attentive.

Sans se mouvoir plus que nécessaire, Edward disposa la tasse dorénavant vide de toute substance, sous le bec verseur et pressa son index contre l’interrupteur, laissant le café se verser lentement dans le récipient, pendant qu’il continuait d’observer Angelica s’activait pour leur préparer le petit-déjeuner. Un doux sourire étira ses lèvres quand il la vit batailler avec les tartines de pain grillée, dont l’une trônait entre ses lèvres. Muré dans son habituel mutisme, le politicien se saisit de la tasse de café et se rapprocha de l’ilot central, faisant ainsi face à sa petite-amie et se décida à répondre un simple « Oui », sans se départir de ce sourire amusé qui habillait ses lèvres depuis quelques instants maintenant. « Et toi ? » se décida-t-il finalement à lui demander, tout en choisissant de prendre place à ses côtés. Il beurra ses tartines, qu’il recouvrit ensuite de confiture et mordit timidement dedans. Edward ne prononça pas le moindre mot toute la durée du repas durant. Ce ne fut que lorsque ses pieds nus touchèrent à nouveau le parquet, que ce dernier s’autorisa un mot à l’attention de sa moitié « Je veux bien aller courir avec toi » et embrassa son cou avec douceur « Merci pour le petit déjeuner » et embrassa ensuite ses lèvres sucrées « Désolé que notre grasse matinée n’ait pas eu lieu ». Il débarrassa ensuite le comptoir, plaçant tour à tour les tasses et les couverts dans le lave-vaisselle, puis prit soin de nettoyer et de ranger l’ensemble de la cuisine, pour dissiper toute trace de leur passage. Une demi-heure plus tard, ils arpentaient à pas rapide le bitume recouvrant les trottoirs de la belle vite de New York.

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Dim 4 Aoû - 21:58

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Ava… forcement c’était elle qui était à l’origine de cet appel bien trop matinal. Un appel qui n’aurait pas dû avoir lieu étant donné qu’Edward était censé être en congé… Angie décida de réprimer la légère pointe d’agacement qui venait de germer en elle. A quoi bon s’énerver de grand matin. Maintenant qu’elle était réveillée, autant se lever et profiter de cette nouvelle journée. Un baiser et elle guida Edward jusqu’à la cuisine, avant de se mettre à préparer un petit déjeuner rapide. Elle avait besoin d’aller courir. Elle proposa l’idée à Edward, sans vraiment savoir s’il était partant. Après la journée merdique de la veille, il désirait peut-être seulement rester tranquille ici. Si c’était le cas, elle irait seule. Histoire de se changer les idées. D’ailleurs, il ne répondit rien à sa question, ce qui lui fit venir à l’esprit qu’elle parlait sans doute trop. Il était rare qu’ils partagent le petit déjeuner. D’ordinaire, elle lui laissait le temps de le faire seul. En silence. Alors elle décida de manger en silence après avoir répondu un : « -moi aussi. » elle avait bien dormi et ne se souvenait même pas comment elle avait rejoint le lit. Edward l’avait sans doute porté jusqu’à la chambre…

Elle terminait son thé en silence lorsqu’il répondit enfin à sa question. « -ok… super… » souffla la jeune femme avec un sourire tendre. « -mais de rien. » elle posa sa tasse et ajouta : « -c’est pas grave, on aura plus de temps pour profiter de notre dernière journée. » parce que le lendemain, ils allaient tous les deux reprendre leurs activités. Après s’être changée, Angie avait rejoint Edward dans le hall d’entrer, et ils étaient partis courir dans les rues de la ville. D’ordinaire, elle courait avec de la musique dans les oreilles, histoire de rester dans sa bulle. Elle décida de garder son habitude. Après quelques kilomètres de course, elle marqua une pause, les mains sur les genoux, penchée en avant afin de reprendre son souffle. Puis elle se mit à marcher lentement, les mains sur les hanches. Un sourire pour Edward quelques mètres devant elle. Angie réalisa que c’était une sortie publique, ensemble. Elle décida de ne pas s’attarder sur cette pensée. Ça ne servait à rien de chercher du regard des photographes. Tant qu’elle ne tombait pas sur des followers qui voulaient une photo !

Une bonne heure et demi plus tard, ils rentrèrent à l’appartement. Angie se sentait revitalisée, la course lui avait toujours fait du bien. Elle se fit à nouveau la réflexion : qu’est ce qu’il était canon dans son débardeur avec sa casquette. Il paraissait plus jeune. Elle sourit en le regardant, avant de retirer ses écouteurs puis ses baskets.

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Dim 4 Aoû - 22:39

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Edward aimait le silence, quel qu’il soit, et tout particulièrement aux premières heures du matin. Ce que semblait vouloir méconnaître la jeune femme qui n’avait de cesse de bavarder depuis qu’elle avait posé un pied au sol. Cependant, le politicien était tout bonnement incapable de contester ses causeries. Posté nonchalamment contre le comptoir en marbre de leur cuisine, ce dernier se plaisait pour autant à l’écouter ainsi déblatérer tout en l’observant évoluer dans la cuisine, s’activant consciencieusement à préparer le petit-déjeuner. Bien qu’il ait pensé qu’elle parlait trop en ce début de semaine, et au regard de l’heure plus que matinale, il avait également conscience que le Ciel lui avait offert un présent estimable en la faisant entrer ainsi dans sa vie. Alors peu importe qu’elle se lance dans ses monologues alors que la grande aiguille n’avait pas encore caressé le chiffre « 6 » de l’horloge, ou qu’il était bien incapable de prononcer plus d’un mot à la fois. Il savourait chaque seconde passé à ses côtés à lui prêter une oreille attentive, les mémorisant pour être en capacité de lui répondre à l’issue du petit-déjeuner. Ainsi, lorsqu’il eut terminé d’ingurgiter sa dernière gorgée de café noir, il formula une réponse pour chacune de ses interrogations, pour finir par s’excuser de ce réveil imprévu. Un tendre sourire habilla ses lèvres à sa réponse, qu’il décida de corriger par un simple « Non », avant de se douter qu’Angelica ne se satisferait aucunement d’une réponse si brève. Il renchérit donc « Ne voit pas aujourd’hui comme la fin de notre week-end, mais comme le début de notre vie à deux ». Ce jour était celui qui amorçait leur vie à deux dans cet appartement qui était dorénavant devenu le leur. C’était ainsi que le politicien souhaitait concevoir cette journée qui s’annonçait radieuse.

Après avoir prit le temps de nettoyer toute trace de leur passage dans la cuisine, il troqua son pyjama pour une tenue de sport et une casquette qui lui assurerait un certain anonymat dans les rues de Manhattan. Cela faisait bien des semaines qu’il n’avait pas arpenté ainsi l’asphalte des rues New-Yorkaise, et il prenait plaisir à partager ce moment avec Angelica, au grand air et à la vue de tous. C’était la vie qu’il désirait dorénavant mener. À l’issue de plusieurs kilomètres, Edward se senti soudainement délaissé par la présence de la jolie rousse à ses côtés et constata que cette dernière avait interrompu sa course quelques mètres auparavant. Tout en lui rendant son sourire, il lui adressa un clin d’œil et combla l’espace entre eux deux. La respiration tout aussi haletante que sa partenaire de footing, il apprécia de parcourir les dernières mètres jusqu’à leur immeuble en marchant. Cette petite excursion dans les rues de la Grosse Pomme lui prodigua le plus grand bien, tranquillisant au mieux son esprit torturé depuis la veille. Tout en retirant ses baskets dans le hall d’entrée de leur appartement, et se sentant observé, Edward croisa le regard de sa moitié. Un sourire étira lentement ses lèvres, tandis qu’une lueur intriguée illumina ses prunelles azurées « Un penny pour tes pensées » déclara-t-il tout en s’avançant jusqu’à elle, ses bras autour de sa taille « J’aimerais t’inviter à dîner ce soir. Un petit restaurant de quartier sans prétention » et précisa sa pensée « Nous n’avons jamais eu de rendez-vous et j’ai envie de sortir de ces murs avec toi… Si tu l’acceptes ». Ses lèvres se posèrent dans son cou, et se détacha de cette dernière pour se rendre jusqu’à la douche. Il émit un petit bruit en sentant l’eau chaude glisser sur sa peau luisante de sueur. Il leva le visage en direction du jet d’eau et d’un geste, plaqua ses cheveux humide en arrière. A l’aveugle, Edward se saisit de son gel douche et recouvrit son corps de mousse « Tu as des envies particulières pour aujourd’hui mon amour ? ».


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Lun 5 Aoû - 13:04

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Il était d’accord pour aller courir. Angie était heureuse de cette réponse. Cela prouvait d’une certaine manière qu’il voulait aller de l’avant au lieu de se laisser aller devant la télé avec de la glace. Un froncement de sourcils devant son non. Puis son visage s’illumina de ce sourire plein d’amour et de joie, avant qu’elle ne se mette joyeusement à rire en passant ses bras autour de son cou : « -arrêtes ! Arrêtes sinon on ne fera jamais un autre sport que du sport en chambre ! » comment êtes ce possible de tomber chaque jour un peu plus amoureuse ? Elle l’embrassa en souriant, et eut bien du mal à se détacher de lui. Mais ils avaient prévu d’aller courir, et c’était ce qu’ils allaient faire. Ils ne firent pas un footing main dans la main en discutant. Ils firent du sport à leur façon, lui devant, elle juste un peu après, musique dans les oreilles. A quoi bon chercher à faire encore et encore la conversation ? Ils auraient le temps de parler ensuite, durant le reste de la journée. Angie déclara forfait en premier. Un sourire, alors qu’elle marchait lentement les deux mains sur les hanches. Sourire qui s’élargie au clin d’œil d’Edward. Il allait bien. Elle était rassurée.

Une fois chez eux, elle ne put s’empêcher de le regarder durant quelques secondes, et de le trouver beau. Même en sueur il était beau. Elle retira ses chaussures en riant. « -tu aimerais bien savoir hein ? »le taquina la jeune femme, avant de lui sourire avec tendresse. « -hum… est ce que c’est un rencard ? » demanda Angie toujours avec sa bonne humeur communicative. « -j’accepte avec plaisir. » il avait dit les mots qu’il fallait. Restaurant de quartier sans prétention. Parfait. Elle prit le temps de ranger ses écouteurs, avant de le rejoindre jusqu’à la salle de bain. Elle le mata par l’intermédiaire du miroir, souriant devant ce corps qu’elle n’avait de cesse de désirer. Elle jeta ses vêtements de sport un par à un dans le panier à linge, avant de se glisser sous la douche avec lui pour répondre à sa question. « -j’ai envie d’aller voir ces magasins de déco dont tu parlais, pour voir ce qu’on peut modifier dans l’appartement… » elle passa la tête sous l’eau et prit à son tour du gel douche, lavant son corps. Lorsqu’elle fut rincer, elle glissa ses mains autour de la taille d’Edward et ajouta : « -et j’ai aussi envie de toi… » avant d’embrasser son torse, pour remonter dans son cou, jusqu’à chercher ses lèvres. « -très envie de toi… »

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Lun 5 Aoû - 20:27

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Bien qu’il soit incapable de prononcer le moindre mot durant les premiers instants qui succédaient son réveil, à moins d’y être formellement contraint, Edward parvenait néanmoins à savourer ce moment de partage avec Angelica, l’écoutant déblatérer à tout va, omettant malgré elle qu’il n’était pas particulièrement loquace de nature. Probablement que ce n’était qu’un simple petit-déjeuner, anodin et habituel pour la plupart des gens, mais pour le politicien, c’était un instant de bonheur simple, comme il n’en avait que peu connu au cours de son existence. C’était une nouvelle page de leur vie à deux qui commençait à s’écrire ici et maintenant, malgré les dires de l’influenceuse qu’il prit plaisir à corriger, rien que pour l’entendre émettre ce rire qui n’était destiné qu’à lui seul. Edward la laissa enserrer sa nuque de ses bras, comme si elle tentait de le retenir à lui encore quelques minutes, et l’imita en laissant reposer ses mains dans le creux de sa taille « Que j’arrête quoi la mia luce ? De te faire succomber encore plus que tu ne l’es déjà ? Trop tard… » et combla l’espace entre leurs lèvres, lui rendant son baiser tout en continuant d’arborer ce même sourire qui habillait actuellement les lèvres de la jolie rousse. Pour ce qui était du sport en chambre, il déclina implicitement la suggestion de cette dernière. L’asphalte recouvrant les trottoirs de New York attendait patiemment leurs foulées respectives. C’était la première fois qu’ils s’autorisaient à sortir d’entre les murs du penthouse sans obligé par un gala de charité ou toute autre réception similaire. Ils avaient seulement arpenté les rues de Manhattan, chacun à leur rythme sans pour autant se distancer, et sans qu’il ne soit nécessaire de prononcer le moindre mot. La présence de l’autre se suffisant à elle-même. Pour Edward, cette excursion hors des murs de leur appartement lui permit d’alléger son esprit de ses pensées tourmentées depuis la veille. Il ne souhaitait pas obscurcir cette nouvelle vie qui s’amorçait parce que son propre entourage peinait à avancer également. Il ne désirait pas non plus être un fardeau pour la jeune femme, quoi qu’elle en dise. Elle était sa lumière et c’était de partager d’aussi simple moment que celui de courir dans les rues et avenues de la Grosse Pomme, qui participait à son bonheur. Il lui adressa un sourire et un clin d’œil pour étayer le fond de sa pensée, et ils rentrèrent à leur résidence principale d’un pas plus léger.

Alors qu’il terminait de délacer ses baskets de running, le politicien se sentit observé et ne put que relever son regard sur la seule personne présente dans la pièce. Il ôta tour à tour ses baskets, puis combla l’espace entre leurs deux corps humide de transpiration, intrigué par les pensées qui pouvaient traverser l’esprit d’Angelica qui s’en amusa « Oui ». Bien qu’incertain de voir sa soudaine curiosité comblée, Edward décida de dévier la conversation sur une invitation à dîner. Un premier rendez-vous dans un restaurant de quartier, loin des innombrables couverts étalés de part en part des assiettes en porcelaine, et de la foule représentative que de la haute société New-Yorkaise. Il désirait un lieu plus intimiste, à l’abri des regards indiscrets et des ragots à leur égard. Un restaurant où ils pourraient dîner en toute quiétude, des mets tout aussi succulent. « C’est un rancard. Notre premier ». Leur relation s’était construite dans le désordre, et le politicien aspirait à remettre un peu d’ordre dans tout cela. Il voulait également partager du temps de qualité hors des seuls murs du penthouse. « Cette journée s’annonce réellement parfaite » et déposa ses lèvres dans son cou, s’éclipsant ensuite jusque dans la douche. Le jet d’eau chaude sur son corps malmené par la course à pied était appréciable. Les paupières closes, il se saisit du gel douche et recouvrit entièrement son corps du liquide parfumé, quand un sourire étira ses lèvres en entendant la voix d’Angelica à ses côtés. Elle n’avait semblablement pas résisté à l’idée de le rejoindre. D’un geste, Edward retira l’eau accumulé sur son visage et posa ses prunelles azurées sur sa moitié qui se tenait devant lui, entièrement nue et belle. Comme à son habitude. Quand Angelica évoqua l’idée de se perdre dans les couloirs de l’imposant magasin de décoration, il ne put que sourire avec douceur. Elle se projetait peu à peu avec lui entre ces murs « J’aimerais beaucoup, et on ferait une escale pour déjeuner en centre-ville ». Des projets à venir qui l’enthousiasmaient tout particulièrement.

Mais pas autant que les mots qui suivirent, tandis qu’elle nouait ses bras autour de son corps nus « J’ai la même envie… » avoua-t-il tout en la laissant recouvrir sa peau de baiser, jusqu’à prendre possession de ses lèvres. Il gronda tout contre sa bouche quand elle confirma qu’elle le désirait réellement. Sa main sur sa joue, il inclina légèrement sa tête en arrière pour prendre davantage possession de ses lèvres, sa langue se glissant entre elles pour atteindre la sienne.


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Charly
Lun 5 Aoû - 21:45

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Avec la sonnerie stridente du réveil, puis l’appel d’Ava, Angie avait eut peur que la journée commence mal. C’était en partie pour cela qu’elle s’était levée rapidement, et qu’elle avait filé dans la cuisine, faisant la conversation, en oubliant pour le coup, qu’Edward n’était pas bavard de base, mais encore moins au matin. Cependant, elle avait été quelque peu rassuré en entendant sa réponse. Elle grimaça en souriant : « -oui, c’est clairement trop tard… » elle était totalement amoureuse de cet homme. Quoi que pouvait dire les autres, en particulier Iris, Angelica souhaitait plus que tout, que leur histoire d’amour continue. Parce qu’elle savait qu’ils pouvaient être heureux ensemble. Ils l’étaient déjà… ça ne pouvait que durer.

La course à pieds dans les rues de la ville, lui fit du bien. Pas la peine de changer les habitudes. Ce n’était pas une balade entre copines, c’était une séance de sport destinée à le faire transpirer et surtout à leur vider la tête. Lorsqu’elle le vit lui sourire et lui adresser ce clin d’œil complice, Angie su qu’elle n’avait pas ou plus à s’en faire. Il allait de l’avant. Qu’est ce qu’il était bel homme… Elle ne l’avait jamais vu jusqu’à lors en tenu de sport, mais elle ne trouva tellement sexy. Elle se fit surprendre et Edward voulu savoir ce qu’elle pensait. « -je me disais simplement que tu étais canon. » précisa Angie en ne faisant pas durer le suspens plus longtemps. L’invitation à diner se transforma en rendez-vous, et elle accepta volontiers. Rien de mondain, rien de trop chic. C’était parfait. Elle voulait seulement être avec lui. Pas s’afficher en public.




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Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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