"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
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Manhattan Redlish
Mar 6 Aoû - 20:32
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Charly
Mar 6 Aoû - 21:10
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Manhattan Redlish
Mar 6 Aoû - 21:51
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Charly
Mer 7 Aoû - 12:01
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Mer 7 Aoû - 13:04
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Mer 7 Aoû - 14:09
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Mer 7 Aoû - 17:50
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Un peu comme maintenant, alors qu’Edward l’invita à le suivre une nouvelle fois sous la douche. Il n’en avait pas eu assez de son corps, de sa chatte qui luisait d’ores et déjà à la simple pensée de se savoir butiné d’ici-peu. Quand il eut reprit vigueur sous la caresse des doigts de son amante, Edward souleva cette dernière et la pénétra d’un coup de rein rapide et sec, amorçant aussitôt des vas-et-viens intense, son visage niché dans ses seins qu’ils prenaient en bouche entre deux gémissements. L’orgasme fut tout aussi délicieux que les précédents, et ne put que sourire en entendant le mot de sécurité de la jolie rousse à l’issue de la quatrième jouissance « D’accord mon amour » murmura-t-il avec une douceur infinie, ses mains entourant son visage, et lui rendit son baiser sans la moindre once de fougue qui avait pu les animer un peu plus tôt dans la journée « Aussi parfait que tu peux l’être » et la serra simplement dans ses bras « Je t’aimerais même si tu n’existais pas la mia luce ». Il se recula pour croiser ses prunelles émeraudes et embrassa le bout de son nez, comme il en avait pris peu à peu l’habitude.
Parcourant d’un rapide regard l’actualité du New York Times posé à même le comptoir en marbre, il dégustait son énième tasse de café de la journée, patientant jusqu’à l’arrivée de la jolie rousse à sa hauteur pour ensuite déambuler dans les allées des nombreux magasins de décoration et d’ameublement que regorgeait Manhattan. Souhaitant être élégant pour Angelica, il avait opté pour un costume gris et un t-shirt blanc qui n’était pas sans rappelé ses Stan Smith. En entendant les pas de la jolie rousse s’avancer jusqu’à lui, il releva lentement et uniquement ses prunelles azurées, puis esquissa aussitôt un sourire, prenant soin de la contempler dans son entièreté, comme si elle était la plus belle femme que ce monde ait connu. Bien que c’était le cas à ses yeux « Tu es belle » déclara-t-il avec assurance. D’une simple gorgée, il avala le fond de sa tasse de café qu’il disposa dans le fond de l’évier, et glissa sa main dans le dos de la jeune femme, tout en disposant une paire de solaire sur son nez « Tu es prête ? ».
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Charly
Mer 7 Aoû - 19:50
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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La réponse d’Edward la fit rire joyeusement. « -qui a dit qu’on avait besoin de travailler ? Le travail c’est surfait… » ajouta Angie en grimaçant. « -ouh… encore un code secret… j’adore… » s’amusa la jeune femme avant de le regarder avec douceur. Son photographe attitré. Il n’avait donc pas oublié cette idée… C’était du vrai, c’était bel et bien décidé… Il allait reprendre la photo. Dire bye bye à la politique… Angie employa d’ailleurs le premier mot secret après qu’ils aient de nouveau fait l’amour sous la douche. A ce rythme-là, elle allait finir épuisée avant que la journée ne soit terminée. Et ils avaient prévu d’autres choses que du sexe… Elle adora la douceur de son baiser, comme celle de ses mains. « -heureusement pour toi, j’existe et je n’appartiens qu’à toi… » ajouta la jolie rousse, avant de fermer les paupières lorsqu’il embrassa son nez du bout des lèvres. Elle resta quelques minutes de plus sous l’eau, et prit son temps pour se préparer.
Lorsqu’elle arriva dans la cuisine, elle portait une tenue chic et décontractée. Elle avait laissé ses cheveux lâchés, juste histoire de pouvoir cacher son visage si jamais on la reconnaissait. Même si elle comptait porter des lunettes de soleil. « -Merci… contente que ça te plaise. » elle aurait presque pu rougir sous ce regard dont il la couvrait. « -je te retourne le compliment. J’adore. Ça te va tellement bien de ne pas porter de cravate… » elle lui sourit avant de hocher la tête. Oui, elle prenait son sac à main et elle était prête.
Lorsqu’ils furent en dehors de la voiture, elle marcha à ses côtés, hésitant à glisser sa main dans la sienne. Edward ne voulait pas être vu sur ses réseaux. Ici, ils n’étaient pas à l’abri d’être reconnu… alors elle préféra le laisser décider à sa place, engageant la conversation : « -j’ai envie de manger avant d’aller faire les boutiques. Je meurs de faim. » elle savait où aller et l’entraina avec elle, jusqu’à un petit vendeur qui faisait de délicieux burger et des frites à tomber. Dans l’idée c’était de prendre quelque chose et de manger tout en se baladant. Peut-être d’aller s’installer un petit moment dans le parc. Juste profiter. Juste être ensemble. Angie commanda à burger au poulet, son préféré, et des frites. Elle laissa Edward commander. Ils étaient loin des restaurants haut de gamme et elle adorait cela. Lorsqu’ils eurent récupérer leur repas, elle reprit la marche et finit par leur trouver un banc pour s’installer. « -bon appétit. » lança Angie avant de mordre dans son burger en se régalant. « -alors… tu aimes ? » demanda-t-elle la bouche pleine. « -je me disais qu’on pourrait changer le tapis du salon. J’aimerais mettre un peu de couleur. Mais tu sais un tapis tout doux, qui te donne envie de t’allonger dessus… super moelleux. » elle reprit une bouchée et prit le temps d’avaler : « -et tu vois le mur de la bibliothèque… le seul qui n’est pas tapissé de livre. j’aimerais beaucoup le remplir de tes photos… » qu’elle n’avait toujours pas eu le plaisir de voir d’ailleurs.
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Mer 7 Aoû - 20:34
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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La suggestion de dédier un jour de la semaine pour lui faire l’amour du matin au soir était plus que séduisante pour celui qui était constamment avide de son corps. Toutefois, il était tout bonnement incapable de se résoudre à vouer une seule et unique journée à la faire sienne. Le désir qu’il éprouvait au quotidien pour la jeune femme était si prépondérant, que si ça ne tenait qu’à lui, ils ne quitteraient aucunement cet appartement. Une idée qui semblait séduire à son tour Angelica, qui lui fit la primeur de ce rire qu’il affectionnait tant « Je suis suffisamment riche pour qu’on voue notre existence entière à faire l’amour » et émit un petit rire à cette pensée pour le moins ubuesque. Dans quelques jours maintenant, il serait définitivement libéré de ses obligations inhérentes à sa carrière politique, et serait à même de disposer de son temps librement, ce qui signifiait qu’ils pourraient passer leurs journées à se donner l’un à l’autre si tel était leur désir « Je te laisserais choisir celui-ci ». Après tout, il était l’initiateur de celui qu’Angelica prononça après ce nouvel orgasme qui l’accabla sous la douche, l’informant qu’elle était reput de plaisir et qu’elle n’était pas en mesure de l’accueillir de nouveau en son sein dans l’immédiat. Une décision qu’il accepta avec douceur, tandis qu’il sentait son propre corps dévoiler quelques signes de fatigue également. L’homme au langage frivole et coups de rein abruptes n’étaient plus dorénavant sous cette eau chaude qui recouvrait entièrement leurs deux corps nus. Il avait laissé place à celui qu’elle était parvenue à percevoir sous la carapace et qui n’existait que pour elle. Celui-là même qui remerciait chaque jour le Ciel de l’avoir gratifié d’un présent inestimable. « Qu’il en soit toujours ainsi… » souffla-t-il, tout en déposant ses lèvres sur le bout de son nez.
Aucunement accablé par un quelconque impératif, Edward laissa la jeune femme disposer de la salle de bain aussi longtemps qu’elle le désirait, tandis qu’il arpentait brièvement l’actualité du regard, tout en dégustant une tasse de café. Il n’eut nullement conscience du temps écoulé quand il entendit ses pas résonner sur le parquet, alors qu’elle s’avançait jusqu’à sa personne. Seules ses prunelles azurées se posèrent sur la silhouette de sa moitié, n’omettant pas de la contempler d’un regard plus qu’appréciateur. Elle était belle. C’était un fait, et il aimait le lui dire. Il voulait qu’elle en ait connaissance. Pour seule réponse, il lui sourit avec douceur, avant qu’il ne baisse les yeux sur sa propre tenue qu’il avait désiré plus décontractée qu’à son habitude. Savoir que la jeune femme le trouvait beau ainsi vêtue le fit quelque peu rougir alors qu’il combla l’espace entre leurs deux corps « Je voulais être beau pour toi » avoua-t-il tout en glissant une main dans son dos, et l’autre qui disposa ses lunettes de soleil sur son nez.
Jeffrey les conduisirent au plus près des magasins d’ameublement, mais décidèrent d’arpenter les derniers mètres à pied. Une fois sortie de l’habitacle de la berline, le politicien n’était pas certain de la manière dont il devait agir en public avec Angelica. Elle était une personnalité publique, à l’instar de lui-même. Préférait-elle qu’ils maintiennent une certaine distance ou désirait-elle sentir sa main dans la sienne ?! Tant d’interrogations qui restèrent en suspens, alors que la jolie rousse eut raison de ses pensées en prenant la parole, brisant finalement le silence qui s’était naturellement installé entre eux « J’ai faim aussi » confirma-t-il avec timidité, sans se douter qu’il se laisserait entraîner jusqu’à un vendeur à la sauvette à proximité, et duquel Angie était familière. Il passa une commande identique à celle de la jolie rousse, et la talonna jusqu’à un petit banc à proximité. « Bon appétit à toi aussi » et mordit dans l’une des frites sans la moindre conviction. Plus familier de la cuisine maison et des plats gastronomiques, Edward était soudainement moins à l’aise pour déjeuner dans un parc, tel que celui-ci. Pour autant, il décida de s’accommoder de la situation et de faire abstraction du monde extérieure pour se focaliser uniquement sur Angelica qui déjeuner avec un appétit à peine dissimulé. Quand il eut enfin mordu dans le burger, il acquiesça « Oui. Beaucoup ». L’aveu était sincère. Le burger était fameux, tout autant que les frites, et finalement, il prenait plaisir à manger ainsi sur le pouce, au milieu des passants. « On pourrait également ajouter des plaids et des coussins sur le canapé, si tu le désires » et mordit de nouveau dans son repas, prenant soin de ne pas tâcher sa tenue du jour. Il marqua toutefois une halte à la suggestion qui suivit. Sans mot dire, il déposa le reste de burger aux côtés de ses frites, et s’essuya la bouche, puis le doigts, avec la serviette à papier fournie « Tu parles des photos qui sont dans le carton ? » et posa son dos contre le banc « Ce sont des vieilles photos Angie… Des personnes du lycée, de ma vie d’adolescent. Je ne suis pas certain que ça soit pertinent ». C’était une autre époque. Son regard rivé sur un point invisible à même l’asphalte qu’arpentait simultanément les coureurs et les familles, il s’octroya un moment de réflexion dans un silence absolu. « Je… On pourrait d’abord les découvrir ensemble … Ce soir, par exemple. Et si … Si tu aimes mon travail, c’est d’accord ». Il mordit de nouveau dans le restant de burger et reprit « Est-ce que je peux savoir pourquoi tu désires voir mes photos affichées dans la bibliothèque ? » demanda-t-il avec douceur.
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Mer 7 Aoû - 21:38
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Un nouveau rire avait ricoché sur les murs de leur chambre. « -tu crois qu’on survivrait ? » demanda la jeune femme avant d’ajouter : « -pire on finirait peut-être par se lasser l’un de l’autre… » elle n’avait aucune envie que cela arrive un jour. Alors elle grimaça et se reprit : « -non, oublie ça, ça n’arrivera jamais. C’est impossible. » avant de rire de nouveau joyeusement. Puis elle réfléchit au mot qu’elle pourrait employé en gage de code secret. « -hum… je dirais piment. Oui, c’est bien ça piment. Hum… j’ai envie de piment tout d’un coup… ouais ça sonne bien. » elle n’était pas certaine d’utiliser ce mot un jour, parce que la plus part du temps, il suffisait d’un regard pour qu’ils se comprennent et que l’envie les embrase.
Ils allaient faire les magasins. Ensemble. Et clairement, ils étaient très bien assorti. Elle le trouva très classe dans son costume. Classe et décontracté à la fois. Ça lui allait divinement bien. « -c’est vrai ça ? » le taquina Angie alors qu’il rougissait. « -tu sais parfaitement que même si tu étais vêtu d’un sac poubelle, je te trouverais toujours beau. » après tout, il l’avait souligné tout à l’heure. En sueur, rentrant d’un jogging, elle l’avait trouvé canon… Les lunettes de soleil qu’il mit sur ses yeux achevèrent de la faire craquer. Comment passer inaperçu en se baladant aux bras d’un homme tel que lui ? Elle allait faire des jalouses à chaque coin de rue. C’était certain.
Cependant, elle n’osa pas lui saisir la main ou encore glisser son bras sous le sien. Il était sans doute plus sage qu’ils gardent une certaine distance entre eux. Après tout, ils n’étaient pas l’obligation d’être coller serrer tout le temps. Si jamais un photographe ou une followers trainaient dans le coin, ça éviterait les soucis. Angie les entraina un peu plus loin afin de trouver à manger. Elle avait envie de frite et ce type faisait des burger à tomber par terre. Une fois assis sur le banc, Angie sourit en voyant apparaitre un léger malaise chez Edward. Elle décida de ne pas y prêter attention. Il allait s’habituer. « -super… » commenta Angie lorsqu’il avoua aimé le repas. Tout en mangeant, elle décida d’aborder les idées de décorations, histoire de voir s’ils étaient sur le même longueur d’onde pour l’appartement. Elle proposa un nouveau tapis, plus coloré et plus doux que l’actuel du salon. « -oh oui j’adore l’idée. » elle avait déjà hâte de choisir avec lui.
Elle parla ensuite de la bibliothèque et du mur actuellement vide. De son envie d’y afficher des photos prisent par Edward. En le voyant reposer le reste de son burger, elle su qu’il allait dire quelque chose d’important. Mais elle décida de ne pas se poser trop de question. De prendre ça avec légèreté. « -oui, celles-ci et des nouvelles aussi. » répondit elle comme si de rien n’était et qu’elle ne percevait pas le trouble qui venait de monter en flèche chez Edward. « -ce n’est qu’une idée Edward, si tu ne veux pas, ce n’est rien. » même si elle visualisait déjà sans mal ce mur. Elle le laissa méditer en terminant ses frites une à une. Un léger froncement de sourcil. « -qu’est ce qui te fait croire que je ne pourrais pas l’aimer ? » de quoi avait-il peur ? De son jugement ou des fantômes ? « -j’aimerais beaucoup les voir, mais… » elle lui sourit avec douceur : « -seulement si tu te sens prêt à me les montrer et à les revoir. » Tommy devait figurer sur ces photos… elle comprenait que cela puisse être douloureux. C’était à Edward de savoir s’il était en accord avec ça. « -parce que je pense que ça donnerait du cachet à cette pièce qui renferme tout un tas de livre d’histoire. Les photos sont comme les livres, elles racontent aussi des histoires. Développe l’imaginaire en captant un bref moment de vie, nous poussant à vouloir connaitre son contexte. » elle ajouta en le regardant toujours avec autant de douceur dans les yeux : « -à quoi bon les laisser dans des albums ou des cartons où on ne peut pas les voir… je trouve cela dommage… » elle passa un par un ses doigts entre ses lèvres, avant de prendre une serviette en papier et ajouta : « -mais encore une fois, tu es seul maitre de la décision. Et je respecterais ton choix. » elle ne voulait pas qu’il se sente obligé. Ce n’était pas du tout le but.
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