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Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Edward A. WylerJ'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien. Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward s’apprêtait à renchérir en confirmant ses propres propos, mais n’en fit rien dès que le rire d’Angie lui parvint comme la plus douce des mélodies, lui soutirant un timide sourire avant de considérer que le moment était opportun pour s’éclipser. Une fois à table, et après les compliments de sa moitié et de leur convive, ils se laissèrent porter par la conversation, jusqu’à en venir à évoquer la visite de leur maison future. Angelica confirma ses dires. Ils n’envisageaient d’effectuer aucune concession sur leur future résidence. Ils étaient entièrement disposé à s’octroyer le temps nécessaire pour trouver la perle rare, celle dans laquelle ils n’auraient aucun mal à imaginer leur futur à deux … ou plus. « Ce n’est pas comme si nous étions à la rue » précisa également le politicien qui vint glisser sa main jusqu’à la cuisse de sa moitié. Après tout, la localisation de leur future résidence devait être élargie s’ils souhaitaient obtenir la demeure tant espérée. Dînant dorénavant en silence, Edward resta témoin de l’échange entre les deux meilleurs amis, et lutta pour rester muré dans son mutisme tandis qu’Angie le contraignait presque Flynn à se taire. Les observant tour à tour, il apprécia guère que la jeune femme tente de lui dissimuler des faits alors qu’ils avaient été toujours mis un point d’honneur à construire leur union sur la sincérité et la vérité l’un envers l’autre.
Le politicien ne prononça guère davantage de mots au cours du dîner, mais eut la politesse de saluer ce dernier à son départ. Leur octroyant une certaine intimité, il s’affaira à débarrasser la table en patientant le retour d’Angie dans la pièce de vie. Quand il sentit son corps tout contre le sien, il continua de rassembler la vaisselle sale comme si de rien n’était « Oui… » souffla-t-il tout en se détachant lentement de son emprise pour porter la vaisselle jusqu’à la cuisine, disposant les assiettes une par une dans le lave-vaisselle. Quand il eut terminé, il resta adossé au comptoir de la cuisine, le chiffon entre les mains, observant le morceau de tissu entre ses doigts, et amorça la conversation par un « Angie… » et releva ses prunelles azurées sur l’intéressée « Qu’est-ce que tu ne me dis pas ? », puis désigna d’un coup de menton la porte d’entrée dorénavant close « Que voulait dire Flynn ? ». Il se débarrasse nonchalamment du torchon sur le rebord de l’évier, et agrippa sans force le rebord en marbre du comptoir de la cuisine « Je t’écoute ».
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