Univers fétiche : Réel mais ouverte aux autres univers
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Amity
Mar 10 Avr - 14:52
Kelly O'Donnell
J'ai 20 ans et je vis en Georgie, USA. Dans la vie, je suis forcé de faire des études de merde et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Il est carrément en train de te baiser la gueule et tu kiffes bien trop. Beaucoup trop. Tu le laisses faire ce qu’il veut de ton joli visage et quand il arrive dans ta bouche tu avales sans soucis. T’es complètement raide de ton côté, t’espères qu’il va s’occuper de toi à un moment ou un autre. Même si simplement te branler sous ses yeux t’exciterait à mort. Tu veux du contact. Et tu en as. Il te ménage pas quand il te fait te redresser, tirant sur tes cheveux mais tu dis rien, tu kiffes qu’il te maltraite de la sorte. Ca t’excite grave.
Il commence à te désaper et tu le laisses faire, un sourire malin sur tes lèvres. Tu te retrouves à moitié nu sur le canapé, dos à lui, il te prend avec force. Tu laisses sortir un gémissement de douleur. C’est pas franchement ce que tu préfères être pris de la sorte mais tu n’émets aucune objection parce que de toute façon, t’as pas de lubrifiant avec toi. Tu penses même pas au préservatif, t’es inconscient comme ça ouais. C’est pas la première fois. C’est que ça coûte cher ces merdes. Il te baise fort. Il te malmène et bordel tu kiffes de plus en plus au fur et à mesure que la douleur dans tes fesses se transforme en plaisir. Ca y est, te voilà habitué à sa présence en toi et tu prends ton pied. Tu bouges tes hanches pour l’inciter à y aller encore plus fort, comme un challenge et tu en as pour ton argent. Tu vas te branler en même temps parce que tu veux un max de sensations. T’es pas dérangé par la position que vous avez alors tu ne montres aucun signe de changement de ce côté là. Au bout de quelques longues minutes tu salis son canapé de ta semence. T’as pas pu te retenir de gémir assez fort parce que c’était franchement trop bon. Tellement bon que t’en veux encore. Tu le laisses continuer son entreprise sur toi jusqu’à ce qu’il jouisse à son tour.
Tu te laisses t’affaler sur le canapé, un peu essoufflé. La tête encore dans les étoiles. Il est clairement un des mecs qui t’a fait le plus monter au rideau. Le fait qu’il soit beaucoup plus âgé que toi y est pour beaucoup. Ca a toujours été un de tes fantasmes. Le voilà aujourd’hui assouvi. Tu te retournes sur le canapé pour le regarder et tu commences à te masturber, gardant tes jambes écartées. T’as envie de remettre ça dès qu’il sera en toute possession de ses moyens. T’espères qu’il va y aller tout aussi fort. Tu le regardes avec un air de défi dans les yeux, t’as envie qu’il continue à te maltraiter comme ça.
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I thought I was so much more than this. When I look back at everything I've touched I see the lives I've ruined, dirty fingerprints. We are the common folk. We live our lives to die alone. Share our beds when the nights get cold
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SUNRISE
Mar 10 Avr - 18:06
Morgan Hampton
J'ai 38 ans et je vis en Georgie, USA. Dans la vie, je suis journaliste, et écrivain dans mon temps libre et je m'en sors bien, malgré un alcoolisme qui revient prendre ton âme lentement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seul et je le vis plutôt mal.
david gandy
Tu le maltraites, ce gamin. Tu l’utilises comme un mouchoir pour ta verge sale. Tu tapisses le fond de sa gorge avec ton foutre, et lui demandes encore quelques douces succions pour qu’elle soit bien propre. Seulement, l’appétit vient en baisant. Tes doigts emprisonnent encore quelques mèches de cheveux alors que ton membre titille sa glotte, dans un râle satisfait. Alors qu’il se redresse face à toi, tu n’as plus qu’une seule envie, c’est de lui retirer ce sourire amusé qu’il a aucun des lèvres, d’une manière ou d’une autre. Il y en a bien une qui te paraît séduisante, sur le moment. Tes mains le poussent jusqu’au sofa, le jean baissé sur les chevilles, les fesses bien tendues, bien en évidence. Comme une épée retrouvant son précieux fourreau, tu le prends avec violence. Il a commencé la partie. Tu la termines. Tes doigts creusent sa peau pâle au niveau de ses hanches que tu viens agripper pour y aller toujours plus fort. Son fondement semble avoir été parfaitement malmené pour recevoir ton membre ce soir. Ses gémissements et tes soupirs remplissent la pièce d’une douce chaleur. Tu te décharges encore entre ses deux globes bien fermes, avant de te retirer et de te vautrer à l’autre bout du canapé d’angle.
Ton pénis est le seul bout de peau apparent de ta tenue : t-shirt toujours sur toi, jean juste ouvert et boxer à peine tiré pour faire apparaître ton membre. Tu te fiches bien qu’il te voit ainsi, t’es trop bourré pour te poser la moindre question. Trop bourré pour faire quoique ce soit qui demande une quelconque logique. Tu reprends la bouteille de bourbon entre les mains et t’arroses le gosier une nouvelle fois. Tu bois encore et encore, jusqu’à atteindre un quart de la boisson. Tu bois sans te soucier de la présence du gamin. Puis la bouteille revient trôner sur un guéridon près du canapé. Tu retires ton haut, puis ton bas : tu meurs de chaud. Nouvelle clope. Toujours une clope après avoir baisé un rituel depuis des années. Depuis toujours. Une drogue, après une drogue. Un cercle vicieux.
Fumant, ton regard se pose sur ce gosse qui se caresse sans la moindre gêne. Nonchalamment vautré dans l’angle du canapé, les jambes écartés, un bras posé sur le dossier, les doigts tenant un tube de cancer, tu l’admires. Il est gourmand. « C’quoi ton prénom ? » demandes-tu enfin, ne quittant pas son membre juvénile des yeux, comme attiré. Inexplicablement attiré par cette vision. Ton sexe ne tarde pas à réagir de nouveau, d’ailleurs. Tu craches encore la fumée qui revient de tes poumons, avant de lui intimer de venir du bout du doigt. Toi, tu ne bouges pas. T’attends qu’il s’approche. T’attends qu’il s’approche de toi, qu’il s’installe sur tes cuisses. T’as pas l’intention de bouger. S’il en veut plus. Il se démerde.
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Amity
Mar 10 Avr - 19:00
Kelly O'Donnell
J'ai 20 ans et je vis en Georgie, USA. Dans la vie, je suis forcé de faire des études de merde et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Te mordant la lèvre, tu le mates tout en te caressant. Tu vires ton jeans qui était à tes chevilles. Tu te sens complètement exposé et c’est ce qui te plaît dans l’histoire. Ce mec, tu le connais que de vue depuis le temps que vous habitez dans le même quartier et ce soir vous faites des choses que tu n’aurais jamais imaginé faire avec lui dans tes plus grand fantasmes. Il a la queue toujours à l’air et ça te conforte dans l’idée que vous n’êtes pas encore près de mettre un point final à cette soirée. Il est putain de hot comme ça. Tu le regardes fumer et boire. Ca t’effleure pas du tout l’esprit qu’il boit trop. Tu t’en fous. Si jamais c’est l’alcool qui le fait agir de la sorte et bien tu l’en remercies.
Il se déshabille et un sourire s’affiche sur tes lèvres. Fuck yes. En plus t’as une belle vue maintenant. Il est carrément bien foutu ce batard. T’avais pu le sentir au travers de ses fringues mais à présent t’as bien envie de lécher chaque parcelles de sa peau nue. Il veut ton prénom. Tu ne loupes pas combien il te mate. Tu continues de te branler outrageusement. Tu vas finir par gémir tellement tu trouves ça hot comme situation.
« Kelly. Mais tu peux m’appeler comme tu veux tant que tu me baises comme ça. »
Tu fais ton malin. Tu veux lui montrer que t’en as sous le pied malgré ton jeune âge. Tu te lèches les lèvres parce que t’as faim de lui. De sa queue. De ses mains. De ses lèvres. Tu veux découvrir un peu plus de sa personne, physiquement parlant. Il te fait signe de t’approcher et tu t’enlèves ton haut avant de se faire. Tu te retrouves donc aussi nu que lui.
Tu t’assois à côté de lui et une de tes mains va aussitôt se poser sur sa queue. Tu sens qu’il est déjà dur de nouveau et ça te fait sourire. Tu le mates et il ne bouge pas et t’en veux plus, alors tu vas t’installer à califourchon sur lui. Tu guides son membre entre tes cuisses déjà souillée et doucement il te pénètre. Tu restes un instant avec sa queue en toi, sans bouger. Tu apprécies la sensation. Tu aimes l’avoir de face cette fois, parce que tu vas pouvoir l’embrasser en même temps et c’est ce que tu fais. Tu vas prendre ses lèvres alors que tu commences à te mouver au dessus de lui. Doucement d’abord, le temps de t’habituer de nouveau à sa présence dans ton corps. Tu vas prendre sa main libre et tu vas la poser sur ton sexe. T’as bien envie qu’il te titille de cette façon là aussi.
« Et toi ? C’est quoi ton prénom ? Que je sache ce que je dois crier… Si tu me fais crier. »
Tu lui lances ça comme un défi. T’as envie qu’il prenne les choses en main comme un peu plus tôt. Tu veux pas être le seul à bouger sur lui. Pas ce que tu préfères.
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SUNRISE
Mar 10 Avr - 20:06
Morgan Hampton
J'ai 38 ans et je vis en Georgie, USA. Dans la vie, je suis journaliste, et écrivain dans mon temps libre et je m'en sors bien, malgré un alcoolisme qui revient prendre ton âme lentement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seul et je le vis plutôt mal.
david gandy
Aucune lumière dans ta maison. L’obscurité vous habille, autant qu’elle vous observe. La seule lueur découvrant vos silhouettes, vos courbes, et celle des lampadaires bordant l’allée, devant chaque maison du quartier. Tu humidifies tes lèvres abîmées, puis brûlées par l’alcool. Cuisses écartées, bras reposés sur les dossiers, lèvres entrouvertes sur une clope qui se consume avec lenteur. Le gamin se fait du bien, sous tes yeux. Des yeux obnubilés par cette vision plaisante. Ses gestes sont doux. Il le fait exprès. T’es suffisamment conscient de ton environnement pour t’en rendre compte. Et putain, ça te plaît. Ses doigts autour de son bout de chair. Sa main qui ne cesse de décalotter son gland, avant de le recouvrir de sa peau. Il peut avoir tâché ton sofa, il reste encore de sa jouissance sur le bout de ses doigts, sur sa hampe toujours droite. Il semble bien plus endurant que toi, bien plus insatiable. Tu te désapes, pris par la chaleur. La sueur dégouline lentement sur tes abdominaux, avant de se prendre à la naissance de tes reins. Pourtant, la caresse du froid vient se déposer sur ton corps, sur ta cage thoracique qui se soulève sous le coup d’une respiration encore troublée.
Son insolence te plaît. Hn. Il s’amuse encore. Il ne fait que ça. S’amuser. Il ne prend rien au sérieux. Même ton esprit enivré le comprend. Le gamin ne cesse jamais de te défier. Il te voit comme un trophée de plus à ajouter à une collection qui doit déjà être pleine. T’en as rien à foutre. Tu veux le baiser. Pas lui. Pas le gamin. Son cul. Tu veux juste baiser. Retrouver encore une fois la sensation de se vider entre les cuisses d’une personne. Tu veux sentir ton cœur s’affoler et tes reins prendre feu lorsque l’orgasme approche. Tu veux encore goûter ces sensations. Les savourer. Prendre le temps de toutes les redécouvrir. Une à une. Alors du bout du doigt, tu lui demandes d’approcher. Puis tu veux son nom. Savoir qui tu baises. Kelly. Un sourire étire encore tes lèvres alors que les deux syllabes se répètent à l’intérieur de ton crâne. Kelly. En boucle. Kelly. Comme si tu crains de l’oublier la seconde suivante.
Il te donne la sensation d’être une pute en manque. Il se fiche du nom que tu peux lui donner tant que tu le payes par ton corps, et par le plaisir qu’il peut prendre avec toi. Un rire s’échappe de ta gorge, avant que ses doigts ne reviennent prendre possession de ton sexe gonflé, encore humide de sa fellation, encore humide de votre coït. Kelly s’installe alors aussitôt sur toi et ne tarde pas à glisser ton phallus entre ses fesses. Tu retrouves son anneau de chair bousillé par la violence de tes coups de reins. Tu retrouves la chaleur de son corps. La chaleur de son intérieur. Et dans un soupir, tu lui offres une réponse. « Morgan. » Ta main saisit fermement son pénis. Ta poigne se resserre encore et encore jusqu’à le faire geindre, avant de se radoucir, et de commencer quelques caresses. Oh, il va crier… Tu écartes encore les cuisses, les pieds bien à plat sur le sol. Tu fumes. Tu le branles. Tu le soulèves. Une pute et son mac. Vulgarité si excitante. Ton dard s’enfonce jusqu’au fond. Ton bassin le fait frapper fort contre sa prostate. Clope consumée que tu balances sur la table. Ta main s’abat dans sa nuque pour presser son visage contre le tien. Ta langue se glisse entre ses lèvres. Ton contrôle sur lui est total.
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Amity
Mar 10 Avr - 22:47
Kelly O'Donnell
J'ai 20 ans et je vis en Georgie, USA. Dans la vie, je suis forcé de faire des études de merde et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Alors que tu continues tes vas et viens sur lui, à un rythme tranquille, il te répond qu’il s’appelle Morgan. Hot. Et c’est comme si ce moment avait été un déclencheur, parce qu’il s’active. Tu n’arrives pas à retenir quelques gémissements quand il s’en prend à ta queue aussi fermement. Il te fait bouger sur ses cuisses, c’est le rodéo ou presque. Quand il atteint des endroits sensible, tu lâches quelques douces plaintes.
« Plus fort… »
Parce que t’en as pas encore assez. Tu ne cris pas encore assez à ton goût. Tu veux plus. Plus loin. Plus profond. Toujours plus. Tu veux oublier où t’habites. Ton prénom. Tout. Tu veux être pris dans le moment. Tu veux te perdre les cuisses écartées. Mourir en baisant ce serait juste parfait. Oui t’as des pensées étranges en ce moment de pure luxure.
Comme tu l’as demandé, il y va plus fort et tu es secoué de tous les côtés. Tu vois presque des étoiles mais tu kiffes. Tu ne l’embrasses plus parce que tu finirais par te cogner à son visage vu le rythme qu’il donne. Et ton orgasme est encore plus profond que le précédent. Tu regardes pas où tu shoot, mais il en a plein sur le torse. T’as été assez rapide sur le coup, l’histoire d’une dizaine de minutes, n’ayant pu tenir plus longtemps. Tu le laisses continuer de te tourmenter jusqu’à ce qu’il se vide en toi. Tu le sens bien, une fois de plus. T’es complètement crade et franchement, tu kiffes.
Quand t’es de nouveau immobile, tu vas passer ta main sur son torse, esquivant les endroits où il y a ton sperme. T’as pas encore eu le loisir de le tâter comme il faut. Tu te mords la lèvre en te regardant faire. Tu te laisses glisser à côté de lui sur le canapé. T’as conscience de salir là où tes fesses passent, mais tu t’en fou.
T’as un putain de sourire aux lèvres alors que tu le mates, la tête un peu penché sur le côté. L’air rêveur. T’es un peu fatigué par vos ébats mais t’as pas envie de rentrer déjà chez toi. Tu vas tendre ta jambe pour pouvoir toucher sa cuisse. Tu veux garder le contact avec lui d’une façon ou d’une autre. T’es doucement en train de débander mais il ne t’en faudra pas beaucoup pour te remettre sur les rails. T’es jeune.
« Je suis en train de considérer ne pas me doucher pendant les prochaines 48 heures pour garder un peu de ton fluide sur moi. »
C’est dégueu, mais ça t’excite. T’as envie de le rallumer avec tes conneries.
« Tu crois que t’en as encore en réserve ? Pour remettre une couche… »
T’es gourmand.
« Je peux patienter si besoin. »
Tu peux passer tout le reste de la nuit ici s’il te vire pas.
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SUNRISE
Mer 11 Avr - 11:34
Morgan Hampton
J'ai 38 ans et je vis en Georgie, USA. Dans la vie, je suis journaliste, et écrivain dans mon temps libre et je m'en sors bien, malgré un alcoolisme qui revient prendre ton âme lentement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seul et je le vis plutôt mal.
david gandy
Sale. Tu te sens sale. Du foutre sur le bas-ventre, sur le tissu déjà miteux de ton sofa. Ses gémissements ont un effet tel sur toi, que tu succombes à chacune de ses demandes. Ta queue déchire son anneau de chair. Chaud. Très chaud. Et il est putain de serré. Plus rien à foutre de la politesse, de la bienséance. T’es juste vulgaire, parce que t’aimes ça. T’aimes le baiser comme si ce n’était qu’un kleenex que t’allais jeter juste après avoir craché tout ton précieux jus à l’intérieur. Son fessier ne fait que claquer contre tes cuisses. Encore et encore. Tu ne le regardes même plus. L’excitation perle sur ton gland qui s’enfonce toujours plus loin dans le corps du gosse. Tête balancée sur le dossier. Respiration haletante, parfois entrecoupée de râles bestiaux. Tu perds la notion du réel. Il n’existe plus. L’alcool ingurgité t’a enivré, si bien que tu n’es pas certain de pouvoir te rappeler tout ce qu’il vient de se passer et de tout ce qu’il pourra bien se passer par la suite, mais pour le moment, tu le baises sans ménagement. Et bordel que c’est bon.
Kelly ondule sur toi, et s’arrête même d’accaparer tes lèvres, tant le plaisir que tu lui offres le prend aux tripes. Tu agrippes encore ses hanches pour lui imposer ton rythme, tu le transperces, plantant ton pieu parfaitement droit comme jamais auparavant. Puis tes doigts viennent écarter ses fesses, agrandir son anneau de chair. Tu veux plus. Tu voudrais que ta queue reste logée dans son cul jusqu’à la fin de tes jours. Le blondinet jute sur ton corps, trois grands jets montant jusqu’à ton menton. Ça a le don de t’agacer et de le prendre encore plus violemment. Tu veux pas goûter son sperme. T’en veux pas. T’veux juste son trou pour y foutre ta queue. Comme une punition, tu cognes. Ton sexe s’écrase contre sa prostate jusqu’à ce que tu te vides à nouveau, semence bien moindre que la première fois. « Hm, putain…. » lâches-tu dans un soupir. Tes bras retombent le long de ton corps, t’es à bout. T’es crevé.
Ses caresses te font frissonner, mais tu ne le regardes pas. T’as déjà fermé les yeux. Il quitte tes jambes, laissant comme un vide sur toi. Alors tu t’allonges un peu sur le canapé, sentant toujours son contact contre ta peau. Face à face pitoyable. Tu caresses sa cheville posée sur ta cuisse. « T’es crade. » Mais ça te fait rire.
« Si tu suces suffisamment bien, peut-être que j’pourrais à nouveau prendre tes p’tites fesses. » balances-tu, sans vraiment penser un mot de ce que tu dis. T’es épuisé. T’es pas certain de pouvoir juter une nouvelle fois pour le moment. T’es pas certain de tenir toi, parce que l’alcool reprend le dessus et ses effluves te calment aussitôt. Ton phallus se détend, revient se poser contre tes bourses. Mou. « Fais c’que tu veux. » Avant de plonger dans un sommeil léger. Sans doute qu’il ne le remarque même pas, tant il fait sombre.
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Amity
Mer 11 Avr - 14:53
Kelly O'Donnell
J'ai 20 ans et je vis en Georgie, USA. Dans la vie, je suis forcé de faire des études de merde et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
T’es tout fier de l’avoir souillé à ton tour même si tu ne l’as pas baisé. De toute façon tu préfères dans ce sens là. T’es un vrai bottom. C’est aussi plus facile dans ce sens là de trouver des mecs pour te satisfaire… Surtout ceux qui se disent hétéro, mais qui sont curieux. Tes préférés ceux là.
Sa main sur ta cheville te fait kiffer. Il a l’air de savoir être tendre aussi. Tu découvres ce mec au fur et à mesure que la nuit avance. Tu mates Morgan se marrer après ta remarque. T’as un tout aussi grand sourire sur tes lèvres. Tu te fais rire tout seul. Tu n’attends pas longtemps avant de proposer un nouveau round. D’après ce qu’il dit, ça va être du travail de le faire bander encore. T’es prêt à relever le défi, tu te mords la lèvre en le matant. Il s’est allongé et t’as envie de te le toucher encore. C’est ce que tu vas faire quand il te dit de faire ce que tu veux. Tu vas te mettre contre lui, allant embrasser son visage alors que ta main est déjà sur sa queue. Tu lui mets des coups de langues entre deux coups de dents. Tu veux le marquer. Tu te perds un moment sur ses lèvres puis tu descends à son cou, où tu as tout le loisir de goûter ce qui s’y trouve de ta propre semence.
Les minutes passent et tu te fais plaisir à le couvrir de baiser et à le branler en attendant qu’il devienne dur de nouveau, ce qui n’est pas une mince affaire. T’y parvient après de longues minutes quand tu ajoutes ta bouche à l’équation et même si sa queue est complètement crade de vos ébats, tu le prends goulument, entièrement. T’es franchement pas à ça près. Au contraire. Ca t’excite grave. Quand il est bien dur, tu t’attends à ce qu’il prenne les choses en main de nouveau… T’espères, mais il a pas l’air très réactif. Tu t'en prends à ses bourses pour varier les plaisirs et tenter de le réveiller. Parce que oui, il a l'air endormit et c'est pas ça qui va t'arrêter dans tes gestes.
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SUNRISE
Mer 11 Avr - 15:32
Morgan Hampton
J'ai 38 ans et je vis en Georgie, USA. Dans la vie, je suis journaliste, et écrivain dans mon temps libre et je m'en sors bien, malgré un alcoolisme qui revient prendre ton âme lentement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seul et je le vis plutôt mal.
david gandy
Le sommeil vient te quérir avec douceur, sous les caresses d’un gosse bien plus jeune que tu ne l’es. Ton esprit embrumé par l’alcool s’apaiser alors que tu fermes les yeux. Ils ne te brûlent plus. Ta tête te lance légèrement moins et tu peux encore savourer la douceur de tes deux précédents orgasmes sans le moindre mal. Les bras de Morphée semblent si accueillants ce soir, cette nuit, et ce, même dans ton vieux sofa inconfortable. Jamais tu n’aurais pu pensé que le blondinet aimait à ce point se faire détruire l’anus. Jamais tu n’aurais pu pensé qu’il te proposerait une autre séance de baise sauvage. Qu’il fasse bien ce qu’il souhaite, ton âme est trop lourde et te force à fermer les yeux. Pourtant, dans ta semi-conscience, tu apprécies la douceur de ses lèvres sur ta peau, la tendresse de ta main sur ton membre également endormi. La provocation ne semble pas être l’une de ses seules qualités, en plus de pouvoir prendre cher sans se plaindre. Tu doutes qu’il puisse marcher avec aisance le lendemain, mais cela t’est bien égal.
Il te couvre de baisers et de longs vas-et-vient sur ta pine qui recommence à gonfler entre ses doigts experts, un fin sourire habille ton visage dans l’obscurité du salon. Il te tire de ton sommeil pourtant si appréciable. Tu n’auras dormi que quelques très courtes secondes, minutes s’il a été gentil. En tout cas, pas suffisamment pour te faire prendre conscience de la connerie de tes actions, pas suffisamment pour te faire prendre conscience de ta connerie. Allongé dans le canapé, tu laisses une jambe se perdre dans le vide tandis qu’une main mollassonne vient encore se perdre dans sa chevelure blonde. Les mouvements de ton bassin sont très légers, peut-être trop pour qu’ils soient perceptibles. Alors tu grognes. « Si t’veux encore t’faire baiser, faut qu’j’prenne une douche pour m’réveiller. » Et surtout que tu ne sois pas allongé. Tu tires sur sa crinière pour lui faire cesser sa caresse buccale et te redresses pour l’attirer à l’étage. T’allumes la lumière de la salle-de-bain, et le pousses dans la cabine de douche où tu le rejoins malgré l’étroitesse de celle-ci. T’allumes le jet d’eau. Cascade glaciale sur vos épaules. Cascade qui te tire de ton état léthargique.
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Mer 11 Avr - 15:56
Kelly O'Donnell
J'ai 20 ans et je vis en Georgie, USA. Dans la vie, je suis forcé de faire des études de merde et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.
Alors que t’as une boule dans ta bouche, il prend la parole et tu souris de savoir qu’il est conscient. Entièrement conscient. Ce qu’il te dit te fait kiffer. Il va donc te baiser une fois de plus. Certainement la dernière fois, malheureusement, donc tu vas tout faire pour que ça dure le plus longtemps possible. Il te tire les cheveux pour te faire décoller de sa queue et vous voilà parti pour la salle de bain qui se trouve en haut. Tu le suis sans dire un mot. Tu touches son cul au passage. Beaucoup trop beau sous tes yeux pour ne pas y mettre la main.
Une fois dans la douche, tu aimes beaucoup la proximité. C’est très petit, du coup t’es contre son torse et tu niches ton visage contre sa peau. Il allume l’eau et tu laisses s’échapper un cri à cause de la température bien trop basse. Tu vas te cacher derrière lui pour éviter le jet d’eau. Tes lèvres sur sa peau, dans son dos, tu laisses trainer ta langue ici et là. Quand l’eau est plus chaude, tu glisses tes bras autour de lui. Tu touches bien son torse parfaitement musclé. Tu n’arrives pas à te retenir de lui mettre quelques coup de dents, laissant des traces rouges sur son omoplate.
Ta main descend à sa queue pour ne pas qu’il perde de sa vigueur. Tu sais bien qu’il va pas te baiser dans la douche. C’est impossible. Mais tu peux pas t’arrêter de le toucher avec tes mains, tes lèvres, ton corps tout entier. Tu bandes à moitié.
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Mer 11 Avr - 16:47
Morgan Hampton
J'ai 38 ans et je vis en Georgie, USA. Dans la vie, je suis journaliste, et écrivain dans mon temps libre et je m'en sors bien, malgré un alcoolisme qui revient prendre ton âme lentement. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seul et je le vis plutôt mal.
david gandy
Aucune pudeur. Tu te fiches de savoir qu’il peut observer tes fesses sans demander quoique ce soit, tu te fiches qu’il puisse voir ton sexe entre tes cuisses. Tu te fiches même qu’il pose sa main sur ton arrière-train alors que tu l’attires dans la salle-de-bain. Cette dernière affirmation est fausse. Tu ne t’en fous pas. C’est même très agréable. Sa main chaude contre ta fesse glacée par l’atmosphère de l’étage. Un frisson te parcourt même l’échine face à ce contraste déroutant.
Coincés dans la cabine de douche, jet d’eau glaciale dans le visage, tu ne te réveilles qu’à moitié. Bordel. T’avais oublié que le bourbon avait un tel effet sur toi, surtout lorsque tu avais bu plus d’un litre d’alcool dans la soirée avant de t’attaquer à ce liquide ambrée. La gueule de bois risque d’être douloureuse. Mais tu ne penses pas à ça. Tu penses à ce gamin qui se réfugie dans ton dos pour fuir le contact froid de la cascade. Quel enfant. Un sourire étire tes lèvres une nouvelle fois. Ta tête bascule en arrière pour savourer le contact du jet sur ton corps nu. Tu as toujours aimé l’eau. D’autant plus lorsque celle-ci s’accompagne d’une charmante compagnie. Les lèvres de Kelly retrouvent leur place sur ta peau, et bordel. Chaque baiser qu’il t’offre, tu pourrais te damner pour en obtenir d’autres. Grognement sourd lorsqu’il te mord. Ça l’amuse, alors il continue de marquer ta peau de ses crocs. Les traces parfaites de sa dentition, des suçons, tu ne comptes plus les marques qu’il délaisse sur ta peau, en plus de son sperme qui s’évacue dans le siphon de la douche.
Ses bras autour de ton corps. Tu te sens bien dans ses bras, malgré que ce ne soit qu’un enfant à tes yeux. Tu te sens bien. Étrange sensation. Nouvelle sensation. La main du blond s’aventure encore sur ton sexe qui n’en a guère besoin. Tu bandes toujours. Tentation trop grande. Tu te retournes pour lui faire face, tes pieds dans les angles, pour ne pas glisser. Ta bouche emprisonne la sienne. Tes mains capturent l’arrière de ses cuisses et le soulèvent du bac de douche, avant de le plaquer contre les parois de la cabine. Ta verge trouve facilement le chemin de son fondement, t’arrachant un soupir contre ses lèvres. Tu vas le baiser dans cette douche.