PRINCESS | If the dice are stacked, the feelings are sincere. (+18)
Invité
Lun 25 Fév - 16:28
Siloë Reynolds
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple depuis deux ans et je le vis plutôt pas bien depuis quelques semaines.. née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.
Tu n’étais pas trop d’accord avec Nolan pour le coup. Certes tu n’avais rien fait, ni même fait exprès qu’il tombe amoureux de toi. Du moins, il n’avait pas évoqué cela clairement non plus, simplement qu’il ressentait des choses pour toi, allant au-delà de l’amitié. Bon okay, il n’avait pas mis les mots dessus mais c’est ce qu’il ressentait pour toi. En revanche, tu ne voulais pas qu’il souffre ni même qu’il ait des sentiments qui ne soient pas réciproques. Ce n’est pas d’ailleurs que tu ne ressens rien pour lui, c’est juste que tu ne sais pas trop où tu en es en ce moment. Tu rougissais cependant à ses mots. Encore une fois, il venait à toucher ton cœur. « Je le sais oui, mais tu as déjà souffert avec Candice et eu une mauvaise expérience alors je ne veux pas que tu te sentes mal par ma faute. » En tout cas, tu le ressentais un peu ainsi, même si ce n’était pas vraiment ta faute s’il ressentait ces choses-là.
Tu ne voulais pas non plus lui donner de faux espoirs. Tu ne savais plus trop où tu en étais dans tes sentiments et tu ne voulais pas le faire souffrir. Tu lui avais déjà dit. Tu devais simplement réfléchir sur tes sentiments.
(…)
Le repas s’était finalement terminé et tu allais rentrer avec Nolan jusqu’à l’appartement. Tu ne penses pas que, appeler ton frère serait une réussite. Tu devais donc trouver un moyen de rentrer. Tu n’avais pas ta voiture puisque ce n’était pas toi qui avait conduit. Tu proposais donc à ton colocataire de rentrer en marchant ou en taxi, bien que tu préférais la marche de ton côté. « Non ça va, ces chaussures sont plutôt agréables. » Et heureusement d’ailleurs. Tu n’étais pas une grande adepte des talons de toute manière. Tu préférais tout au plus des chaussures plates, des ballerines ou encore des baskets. Tu étais bien mieux dedans. Tu eus un sourire au compliment de Nolan. « C’est réciproque pour la compagnie tu sais et oui, c’était délicieux. Je pense que je reviendrais. » En tout cas, il y avait des chances pour.
Tu arrivais après quelques minutes de marches. Tu avais guidé ton colocataire comme tu le pouvais. Tu ouvris la porte avant d’entrer à l’intérieur, l’appartement était vide. « Je ne pense pas qu’il va rentrer de bonne heure. » Et d’ailleurs, bien qu’il n’était pas trop tard encore, il n’était plus si tôt non plus. Tu penses que Connor était assez occupé et il n’allait pas ramener sa conquête ici. Tu te tournais vers Nolan qui embrassait ton crâne. Tu souriais à ce geste de tendresse de sa part. Tu appréciais cela d’ailleurs. « Merci aussi à toi, et pour le repas également. » Oui puisqu’il avait payé le repas et puis, le dîner s’était fait en sa compagnie après tout. « Bonne nuit à toi aussi. » Tu lui lançais avant de regagner ta chambre.
Tu n’avais pas envie de prendre ta douche ce soir et de toute façon, Nolan s’y trouvait déjà. Tu entrais dans ta chambre, déposant tes affaires. Tu laissais tes vêtements sur le fauteuil alors que tu enfilais ton pyjama. Tu te glissais ensuite sous les couvertures dans l’espoir de dormir. Seulement voilà, tu n’y arrivais pas. Ta tête était pleine de pensées. Tu n’arrivais pas vraiment à te concentrer. Tu ne pouvais t’empêcher de te souvenir de la fois où Nolan avait partagé ton lit et tu en frissonnais d’ailleurs en y repensant. Tu pensais aussi à ton petit ami car, clairement, tu n’étais pas heureuse avec lui en ce moment. Cela faisait des mois désormais, depuis qu’il te frappait. Tu étais perdue, entre ce que tu ressentais pour ton petit ami, si tu le ressentais toujours, et entre ces sentiments nouveaux que tu ressentais pour Nolan. Il te faisait ressentir des choses que tu ne ressentais plus jusqu’à présent. Le savoir seul dans sa chambre, c’était difficile. Tu souhaitais être avec lui, toute suite. Tu voulais être dans ses bras et finalement, tu ne sais pas si c’était un coup de tête mais, tu te retrouvais devant sa porte. Tu ouvrais doucement avant de la refermer et te rapprocher de son lit. Ses yeux étaient fermés et tu ne savais pas s’il dormait. Tu te glissais sous la couverture, te rapprochant de lui. « Nolan ? » Tu soufflais alors. « Est-ce que tu dors ? » Tu posais une main doucement sur son bras, espérant qu’il ne dorme pas.
Invité
Lun 25 Fév - 21:26
Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal puisque cette rupture, ayant fait suite à ma soudaine cécité, m'a fait perdre toute confiance en moi et aux femmes. Informations supplémentaires ici.
La tête immergée sous le jet de la douche, tiède, je repensais à l’inquiétude de Siloë quant à ma situation. Elle craignait d’être responsable d’une souffrance similaire à celle qu’avait provoqué Candice en son temps. Or, il était impossible que cela se produise. Candice et moi avions était un couple, durant quelques années. Nous avions eu le loisir de nous créer des moments de complicités, devenu naturellement les meilleurs souvenirs de notre histoire. La souffrance que j’avais donc ressentie à son encontre était plus violente, plus marquante. Mais dans le cas de ma colocataire, les choses ne seraient pas similaires. Certes, je m’étais isolé dans ma chambre, le cœur en peine, à la suite de sa fuite de la cave. Mais à présent, je relativisais mieux les évènements, les sentiments. Je savais que la jeune femme ne me fermait pas la porte à l’amour, ni à l’amitié. Je savais donc également que je pourrais mieux me relever de toute déception sentimentale, me contentant de sa seule présence. Je n’en doutais pas, d’ailleurs. Je n’en doutais pas car, tel que je lui avais confié, je serais heureux de ces choix si elle même s’en sentait heureuse. Alors, partant de cette façon de penser, je ne me faisais aucune inquiétude sur mon avenir sentimental. Tout irait bien, désormais. Et je me le répétais tandis que je me savonnais des pieds à la tête. Car oui, effectivement, tout irait bien. Il n’y avait pas de raison que la situation prenne une tournure dramatique, j’en étais confiant. Tellement que je quittais la douche souriant, avant de me saisir de ma serviette pour m’essuyer intégralement. Ensuite, je revêtais mon bas de pyjama, prêt à rejoindre ma chambre le plus silencieusement possible. J’ignorais si Siloë était déjà endormie ou non. Par conséquent, dans le doute, je préférais faire preuve de discrétion, d’autant plus lorsque je fermais la porte de ma chambre sur moi. Étendu dans le centre de mon lit, sous les couvertures, je fermais les yeux, la tête remplie des souvenirs agréables de cette journée, disposé à m’endormir paisiblement. Peut-être même à faire de beaux rêves, qui sait. Toutefois, je cru percevoir le bruit de la porte de ma chambre, se refermant à nouveau. L’avais-je mal fermé auparavant ? Un courant d’air avait-il terminé mon travail ? Je voulais m’en persuader lorsqu’un corps chaud se glissa sous ma couverture, pour se coller à moi. Est-ce que je rêvais ? J’en doutais. Je me sentais bien éveillé, malgré ma ferveur à conserver les yeux clos. Et ce parfum. Son parfum. Il était bien trop réel pour ne pas éveiller ma virilité, particulièrement sensible à la situation.
_ Siloë ? Je soufflais en réponse à sa question, passablement étonné de la découvrir à mes côtés. _ Quelque chose ne va pas ?
La dernière fois que ma colocataire avait partagé un lit avec moi, c’était parce qu’elle se sentait malheureuse. Avait-elle eu une altercation avec son petit-ami pendant que je me douchais ? Je le pensais. Le bruit de l’eau pouvait aisément couvrir les éclats de voix, particulièrement lorsque nous étions nous même perdu dans nos pensées. Je concluais donc que je n’avais rien entendu à cause de cela. Par conséquent, je l’avais également cru endormie à tort. Quelque chose ne collait pas avec mon raisonnement, cependant. Siloë ne semblait pas triste, ni même en larmes. Elle semblait plutôt désireuse d’un rapprochement entre nous. C’était impossible, n’est-ce-pas ? Je fabulais mes propres désirs, grandissants, car je la sentais distinctement se durcir à la chaleur de son corps englobant le mien ? Oui, ma mésaventure de l’autre fois se reproduisait, comme un affreux cauchemar. Il fallait donc que je me focalise sur les besoins de Siloë, et uniquement sur eux.
_ Dis-moi ce qui ne va pas.
Je lui intimais assez rapidement, m’accrochant à cette bouée que je lançais dans l’océan agité de mes désirs indésirables.
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple depuis deux ans et je le vis plutôt pas bien depuis quelques semaines.. née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.
Tu ne savais pas trop ce que tu faisais, tout comme tu ne savais pas vraiment pas où tu en étais. Non, tu ne savais pas ce que tu ressentais autant pour ton petit ami que pour ton colocataire. Tu savais que tu étais amoureuse de James, en tout cas tu le pensais. Tu étais en couple avec lui depuis plus de deux ans maintenant. Tu n’avais sûrement pas rencontrer quelqu’un d’autre comme Nolan qui remettait les choses en cause.
Tu ne sais pas pourquoi ni même comment mais voilà, tu étais sortie de ton lit. Tu avais quitté celui-ci pour aller rejoindre celui de ton colocataire. Tu ne savais pas encore si c’était une bonne idée ou pas. Sauf que voilà, tu étais là maintenant et cela ne servait donc à rien de reculer. Ce n’était pas comme si tu pouvais le faire de toute manière. Tu te glissais sous les draps en demandant au jeune homme s’il dormait. Tu l’entendis finalement te parler. Il pensait que quelque chose n’allait pas. C’est vrai qu’on aurait pu croire que c’était le cas car, tu étais venu chercher du réconfort auprès de lui la dernière fois. « Non.. je vais bien. » Tu lui disais en voulant le rassurer.
Tu te tournais finalement vers lui, te mettant sur le côté. Il ne pouvait pas vraiment te voir de toute façon et tu le savais. Tu voulais toi, le regarder. Tu ressentais encore les palpitations dans ton cœur et tu ne savais pas vraiment comment gérer. Tu savais ce que tu faisais, ce que tu voulais et ce serait sûrement mal. Tu en avais conscience mais, qu’est-ce qui était le pire ? Tromper ton petit ami ou le laisser te frapper ? Tu ne savais pas. « C’est juste que.. tu me manquais. » Oui déjà, alors que tu avais quitté le jeune homme il y avait seulement quelques minutes. C’est juste que vous aviez passé une bonne après-midi et soirée avec lui et tu te sentais bien. Tu caressais les poils de son bras alors qu’il était encore torse nu. « Je ne comprends toujours pas tout de mes sentiments ni de quoique ce soit. Je ne sais pas ce que tu me fais Nolan. » D’accord.. tu ferais mieux de te taire plutôt que de dire ce genre de choses mais trop tard, les mots s’étaient échappés de tes lèvres et tu ne pouvais plus revenir en arrière.
Tu venais à relever son bras pour pouvoir venir te glisser contre lui. « Est-ce que.. je peux dormir avec toi ? » Tu lui demandais même si, tu étais déjà arrivé dans son lit donc bon, ce n’était pas comme si il pouvait te repousser. Enfin, il pouvait tout de même le faire et tu ne rechignerais pas. Tu retournerais dans ta chambre bien que, tu aurais eu du mal à dormir. Tu posais un instant ta tête sur son torse avant de relever la tête et le regarder. Ton visage était proche du sien et finalement, tu ne tenais plus. Tu le regretterais peut être plus tard mais là, c’était ce que tu désirais. « J’ai envie de toi Nolan. » C’était clair, tu lui avais dit. Tu ne savais comment il allait le prendre ni réagir d’ailleurs. Tu étais une totale contradiction à toi toute seule, entre tes mots et tes gestes. Tu lui avais dit certaines choses mais tu agissais autrement. « Embrasses moi. » Tu lui soufflais finalement, désireuse de sentir ses lèvres contre les tiennes. Tu désirais qu’il te prenne dans ses bras. Tu le désirais lui tout entier.
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Mar 26 Fév - 5:45
Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal puisque cette rupture, ayant fait suite à ma soudaine cécité, m'a fait perdre toute confiance en moi et aux femmes. Informations supplémentaires ici.
Elle allait bien, à ce qu’elle m’assurait. C’était étrange car, effectivement, elle semblait se porter à merveille en cet instant. Elle n’avait donc aucune raison de me rejoindre dans mon lit, si ce n’était la volonté seule d’y venir de son plein gré. Mais pourquoi ? Elle m’avait assurée avant notre dîner que ses sentiments à mon égard étaient confus, qu’elle ignorait la voie sur laquelle elle souhaitait s’aventurer, qu’avait-t-il pu se passer entretemps ? Elle ne pouvait pas déjà avoir fait la lumière sur ses sentiments ? Non. Non, quelque chose avait changé, bien que j’ignorais de quoi il s’agissait exactement. Je me promettais de mettre la main dessus, d’ailleurs. Peut-être étais-je tout simplement entrain de rêver ? Non. Son mouvement dans le lit était bien trop réaliste pour être un détail insignifiant d’un rêve, aussi parfait puisse-t-il paraître. Je sentais également son souffle sur le haut de mon épaule, me signifiant que nous étions bien dans la réalité. Je… Non. Les évènements n’étaient pas logiques. Et ils me perturbaient. Ils me perturbaient au même titre que sa confession soudaine, autant que spontanée. Je lui manquais, moi ? Mais nous étions encore ensemble l’heure auparavant, cela ne faisait aucun sens ! C’était à devenir fou, véritablement. Et le bon sens m’indiquait de lui signifier de regagner sa chambre, immédiatement, or je ne bougeais pas d’un poil, la laissant me caresser le bras. C’était d’autant plus divin, bon sang. Elle faisait par ce geste anodin se gorgeait de sang ma virilité, déjà bien éveillée, et je la soupçonnais d’avoir parfaitement conscience de l’étendu de son geste sur ma personne. Elle se souvenait de notre première fois, de la manière dont elle était survenue : elle ne pouvait donc pas prétendre ne pas avoir un arrière pensé en me frôlant de la sorte, dangereusement. Avait-elle oubliée mes confessions précédentes, concernant ces sentiments que je lui vouais ? J’en doutais. Siloë n’était pas suffisamment idiote pour ne pas imprimer dans son esprit des détails aussi importants. Elle savait mon émoi pour elle, et je comprenais qu’elle cherchait à me faire perdre mon self-control. Mais pour quel motif ? De son propre aveu, elle ignorait toujours où se situer vis-à-vis de moi. Pourquoi venir jouer avec ce feu qui nous a déjà brulé auparavant, dans ce cas ? J’avais peur de la réponse. J’en avais peur car je redoutais d’être un objet sexuel, pour elle. Une chose que je ne désirais pas, du reste. Je ne voulais pas goûter à la saveur fruitée de sa peau pour ensuite être rejeté à nouveau. Je le refusais, même si je mourrais d’envie de profiter de la situation à ces derniers mots. Elle ne savait pas définir l’attirance que je provoquais chez elle, et des tas de mecs se seraient infiltrés dans cette faille pour en abuser impunément. Mais pas moi. Je la respectais trop pour agir en connard.
_ Je ne crois pas que tu ais les idées assez claires pour réfléchir à la question, Siloë.
Je lui soufflais, espérant la ramener à la raison. Si elle persistait à me caresser le bras, à rester près de moi, je ne répondrais plus de rien à nouveau. Elle devait réagir, vite. Or, elle releva mon bras pour se blottir davantage contre moi, le visage déposé sur mon torse nu.
_ Siloë. Je soupirais, péniblement. _ Je…
Je ne pensais pas que cela soit une excellente idée qu’elle dorme auprès de moi pour la seconde fois, surtout dans cette position, toutefois, les mots demeuraient coincés dans le fond de ma gorge, comme si mes désirs prenaient à nouveau le contrôle de ma raison. Je ne voulais pas qu’elle parte, véritablement. Cependant, il le fallait. Il fallait qu’elle m’ôte la possibilité de goûter à nouveau à son paradis interdit, à la chaleur de son intimité accueillante. Fuck. Avec de telles pensées, je ne risquais pas de résister longtemps à l’appelle de cette sirène, qui me soufflait des mots qui causaient déjà ma perte.
_ A quoi tu joues Siloë ? Grondais-je, la respiration saccadé, me retenant encore de lâcher prise totalement. _ A quoi tu joues, bon sang ?
Et moi ? A quoi jouais-je exactement ? Pourquoi ne lui intimais-je pas de partir sur le champ, alors que j’avais conscience du bien fondé de cette demande ? Pourquoi faisais-je autant preuve de contradiction dans mes paroles, dans mes gestes, comme elle le faisait elle-même envers moi ? Je l’ignorais. Tout ce que je savais, désormais, c’était que je voulais lui obéir totalement, exaucer moindres souhaits, et cela commençait dès à présent par son ultime confession : celle de l’embrasser.
_ Approche tes lèvres des miennes.
Je lui intimais avec impatience, la voix rendue rauque d’excitation, avant de m’en saisir avec une passion incontrôlable. Je franchissais d’ailleurs sans délicatesse la barrière de ses lèvres, pour lover ma langue à la sienne. J’avais tellement envie d’elle, putain. Je m’agaçais de ne rien voir, de ne pouvoir être l’amant que j’avais toujours été par le passé. Je m’agaçais tellement qu’un éclair de lucidité vint me prendre, violemment. Aussitôt, je mis un terme à notre baiser, en détournant le visage, à bout de souffle.
_ Non. Je lui soupirais, déboussolé, pris entre deux feux. _ On ne peut pas faire ça. JE ne peux pas faire ça. Je marquais une pause, grognant de frustration. _ Toi et moi nous savons parfaitement qu’au petit matin tu partiras encore une fois, Siloë. Pire. TU sais que je n’aurais plus le droit de te toucher à nouveau, et ça, ça, je ne le veux pas. Je veux pouvoir te faire l’amour toutes les nuits, toutes les fois où le désir de toi me tenaille le bas ventre, alors tu vas devoir dès à présent faire un choix : sois-tu acceptes cette contrepartie, MA contrepartie, où sois-tu regagnes ta chambre sur le champ et nous ne parlerons plus jamais de cet incident.
Elle avait le choix, et je le respecterai du reste. Mais elle ne pourrait pas rebroussé chemin une fois l’avoir pris, quelque soit celui-ci. Si elle m’appartenait à nouveau cette nuit, elle s’engageait à m’appartenir la nuit suivante, puis encore la suivante, et encore toutes celles qui leur succèderaient. J’exigeais d’entendre ces cries de plaisirs sous mes coups de butoirs toutes les nuits, tout les instants, et c’était ça ou rien du tout. Je ne serais pas l’amant attendant ses faveurs.
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple depuis deux ans et je le vis plutôt pas bien depuis quelques semaines.. née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.
Tu étais venue rejoindre Nolan dans son lit. Peut-être bien que tu regretterais cela, peut-être que tu allais regretter de céder car tu étais toujours en couple avec James. Seulement voilà, tu ne pouvais pas faire marche arrière. Loin de là. Tu ne pouvais pas retourner dans ta chambre. En réalité, tu le pouvais mais tu n’en avais pas envie. Tu voulais être avec Nolan, tu voulais être dans ses bras et, plus si affinités. C’est vrai, tu n’avais pas les idées claires en ce moment même et cela ne t’aiderait sûrement pas à les avoir. Tu savais aussi que le jeune homme ne voulait plus faire la même erreur que la dernière fois et profiter de toi. Tu continuais de penser qu’il ne profitait pas mais bon. « Quoi ? » Il prononçait ton prénom et tu savais qu’il était probablement en train de lutter contre quelque chose, contre toi.
Et finalement, tu lui avouais ce que tu désirais. Tu avais envie de lui et tu voulais qu’il t’embrasse aussi. Tu voulais sentir ses lèvres contre les tiennes. Tu en avais besoin et heureusement, il acceptait cela. Tu approchais davantage ton visage du sien alors qu’il t’embrassait. Tu gémissais en sentant sa langue caresser la tienne et tu continuais ce baiser, passant une main dans sa nuque. Il arrêtait finalement à bout de souffle et tu crois bien que tu étais dans cet état également. Tu fronçais les sourcils en le voyant détourner le visage. Quoi ? Tu avais fait quelque chose de mal ? Il fallait croire que oui. Finalement, il te mettait devant un choix et tu réfléchissais à ses mots. Ce n’est pas ce que tu voulais, partir au petit matin. En revanche, le fait qu’il veuille coucher avec toi chaque nuit réveillait les papillons dans ton ventre, ainsi que ton envie déjà présente. « Je ne veux pas partir.. pas ce soir ni même demain matin. » Tu lui avouais alors. Tu savais que ce n’était pas suffisant. « Je ne veux pas fuir et.. je ne sais pas encore tout ce que je ressens pour toi mais ce que je sais, c’est que là, toute suite, j’ai envie d’être avec toi. Et demain, et les autres jours. » Tu lui avouais alors. Tu prenais sa main dans la tienne alors que tu venais à la déposer sur ta poitrine déjà tendue par l’envie. « S’il te plait, fait moi l’amour.. » Tu lui soufflais en venant embrasser ses lèvres une nouvelle fois, espérant qu’il accepte.
Tu venais à te mettre sur lui, ton corps pressant contre le sien alors que tes lèvres étaient toujours contre les siennes. Tu cherchais une nouvelle fois sa langue. Il ne pouvait pas te voir et, tu eus finalement une idée mais là encore, tu ne savais pas comment il allait prendre ta demande. Tu étais sûrement surprenante mais tu étais ainsi, imprévisible. Il avait déjà eu le loisir de le voir. « J’aimerai.. enfin, tu ne me vois pas alors j’ai envie que tu me fasses l’amour et être au même niveau que toi.. » Tu lui disais alors. Tu voulais ainsi te bander les yeux ou quelque chose. Tu avais envie de le voir, bien sûr et en même temps, tu voulais être comme lui quelque part. « Je veux.. que tu me fasses ressentir les mêmes sensations que tu ressens.. » Tu lui soufflais finalement, embrassant une autre fois ses lèvres. Oui, tu voulais pouvoir ressentir les mêmes sensations et voir ce que cela lui fait, de ne rien voir pendant que vous faîtes l’amour. C’était une première pour toi mais tu souhaitais cette première avec lui.
Invité
Mer 27 Fév - 23:01
Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal puisque cette rupture, ayant fait suite à ma soudaine cécité, m'a fait perdre toute confiance en moi et aux femmes. Informations supplémentaires ici.
Je me montrais intransigeant, envers Siloë. Je me montrais intransigeant car je ne voulais pas être l’homme qui lui apporte du plaisir dans ces moments d’égarements, avant d’être rejeté comme un malpropre. J’en avais assez souffert, la première fois. Désormais, elle devait faire un choix radical : soit accepter de m’appartenir quand mon envie d’elle se ferait grondante, surement toutes les nuits, ou partir pour ne plus jamais parler de cet incident. Je lui laissé le temps de la réflexion, bien que je savais que je finirai par trancher si sa réponse s’éternisait. Je n’allais pas m’infliger trop longtemps des espoirs en vain. Si elle ne disait rien, je lui ordonnerais de partir, et peut-être déciderai-je également de mettre un terme à nos rapports. Cela ne faisait aucun sens avec mes décisions précédentes du reste, j’en avais conscience, mais cette femme avait le don de me faire passer du coq à l’âne d’un claquement de doigt. Alors que je soupirais profondément, sûrement pour marquer mon impatience, doublée de ma frustration, la jeune femme annonça sa décision. Elle ne voulait pas partir, ni se soir, ni demain matin. Elle ajouta qu’elle ne voulait pas fuir et que, bien qu’elle ignorait ce qu’elle ressentait pour moi, elle savait que là, présentement, elle avait envie d’être avec moi. Non, pas uniquement présentement. Elle voulait également demain, et les autres jours. Ma virilité se durcit violemment à cette réponse, évocatrice de nombreux échanges charnels à venir. Je voulais la plaquer sur le matelas, lui faire l’amour plus sauvagement que la dernière fois, marquant ainsi ma possession nouvelle sur sa personne, or je n’en fis rien. Je n’en fis rien parce qu’une petite voix semait le doute à mon esprit totalement confus, perdu entre deux émotions diamétralement opposées. Et si elle changeait d’avis, demain ? Ou dans quelques heures ? Et si finalement elle me reprochait de lui avoir mit le couteau sous la gorge, pour assouvir bêtement une envie bestiale ? Son frère me tuerait, assurément. Il ne verrait plus qu’un salaud en lieu et place de son meilleur ami, à ne point douter, et il ne me resterait plus qu’à quitter la colocation, la queue entre les jambes. Je ne pouvais pas faire ça. Je ne pouvais m’y résoudre, même si Siloë ne me facilitait pas la tâche en déposant ma main sur son sein, tendu d’excitation. Je grognais alors en le pressant dans ma paume, envieux.
_ Siloë… Je grognais à sa supplique. _ Je… Es-tu...
Certaine de ton choix ? N’eu-je le loisir de terminer, avant qu’elle ne vienne me museler de ses lèvres gourmandes. Je sombrais, littéralement. J’introduisais ma langue affamée de sa peau dans sa bouche, la lovant fougueusement à la sienne, dans un râle de désir que je voulais contenir. Je me faisais du mal, j’en avais conscience, et ma verge gorgée de sang à son paroxysme en témoignait. Cependant, je pensais encore agir pour le mieux pour elle, pour moi, pour nous. Nous allions nous brûler définitivement en ne respectant pas les étapes préliminaires à une relation sérieuse, amoureuse. Je refusais de laisser ce désastre ce produire. Siloë devait certainement ressentir cette arrière fond de résistance dans mes gestes, puisqu’elle vint se coucher sur moi, pour plaquer son corps contre le mien.
_ Rhaaa Siloë…
Je grognais à nouveau, me saisissant voluptueusement de ses jolies fesses galbés, pour frotter nos intimités l’une à l’autre. Nos vêtements nous sauvait, n’est-ce pas ? Si nous jouissions ainsi, dans nos pyjamas, sans aucune pénétration, nous ne pouvions pas considérer notre échange comme un véritable rapport sexuel consentant ? Je le croyais. Je le croyais d’autant plus que je m’accrochais à cette ultime éventualité, me laissant aller au plaisir de la sentir contre ma verge désireuse de son antre humide. Quand tout d’un coup, Siloë me formula un souhait inattendu, me figeant brièvement. Elle voulait que je lui fasse l’amour pendant qu’elle se trouverait elle-même privée du sens qu’était la vue. Je fronçais les sourcils, interrogateur, cessant de nous mouvoir l’un contre l’autre. Que cherchait-elle en me formulant ce désir ? A rendre ce moment différent de la dernière fois ? Je le présumais, jusqu’à ce qu’elle me précise son souhait de ressentir cet acte d’amour comme je le ressentais. Je souriais alors légèrement, la bouche contre la sienne. Alors c’était donc ça ? Elle ne cherchait pas bêtement du plaisir facile aisément regrettable ? Elle cherchait des instants de communion entre nos corps, nos âmes, et elle voulait commencer notre relation en apprenant à savourer l’instant comme je le savourais. Cette volonté m’était tellement plaisante que, euphorique, je lui offrais un bref baiser sur les lèvres, bien plus sage que tout ceux que nous avions pu échanger, avant d’accéder à sa requête.
_ Accordé. Je lui soufflais contre les lèvres, avant de la faire descendre doucement de mon corps pour quitter mon lit. _ Viens. Je lui intimais, dominant, en regagnant ma penderie dont je connaissais la localisation. _ J’ai des cravates dans ma penderie. Choisis-en une et met là sur tes yeux, je vais la nouer.
C’était d’autant plus excitant de savoir que, désormais, de nous deux, c’était moi qui pouvais l’aider. Je connaissais mieux la pièce qu’elle. Je savais donc exactement où la mener dès qu’elle ne verrait plus rien. J’attrapais les bords de la cravate qu’elle me tendait, avant de la nouer sans trop la serrer. Il fallait qu’elle tienne, mais pas non plus qu’elle lui fasse mal. Quand ce fut fait, je la retournais vers moi, pour lui ôter son haut de pyjama, sans brusquerie, suivit de son bas. Je découvrais sous mes paumes les zones de son corps que je n’avais pu caresser l’autre nuit : ses chevilles, ses mollets, ses cuisses, ses fesses, ses hanches, sa taille. Elle était tellement parfaite. Une confession que je ne pouvais pas lui garder secrète.
_ Tu es tellement parfaite, ma belle Siloë. Je lui murmurais à son oreille, sentant sa peau frissonner sous les cajoleries de mes pouces sur ces tétons surexcités. _ Je vais tellement aimer te faire l’amour toutes les nuits. Je poursuivais suavement, pour la rendre encore plus impatiente de m’accueillir en elle. _ Que je te promets que nos voisins t’entendrons jouir dans tout l’immeuble. C’était une promesse sincère à laquelle je me tiendrais, elle pouvait en être assurée. _ Déshabille-moi, maintenant. Prends le temps de découvrir mon corps sous tes mains. Elles sont tes yeux à présent.
Je voulais qu’elle découvre le plaisir que j’avais à sentir chaque muscle sous mes paumes, chaque grain de peau sous mes doigts. C’était ainsi que commençait nos préliminaires, pourtant déjà bien engagée.
_ N’omet aucune zone.
Je lui soufflais ensuite, impatient de sentir à nouveau ses doigts sur ma verge tendue pour elle.
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple depuis deux ans et je le vis plutôt pas bien depuis quelques semaines.. née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.
Tu ne voulais pas que Nolan doute de toi ou de tes agissements. Bien sûr, tu comprenais qu’il ait des réticences et ne veuille pas trop mais toi, tu avais envie de lui. Pas seulement ce soir, non, tu avais réellement envie de lui. Tu le voulais maintenant mais tu le voudrais aussi demain, et le surlendemain également. Ce n’était pas bien et tu le savais. Tu avais déjà un petit ami et tu le trahissais en quelque sorte. Seulement, tu en avais envie et Nolan te procurait des sensations que tu avais l’impression d’avoir oublié. Il voulait que tu lui prouves que tu ne le voulais pas que pour maintenant. Tu posais sa main sur ta poitrine, voulant qu’il ressente ton envie et qu’il cède. Il grognait et tu sentais qu’il te désirait.
Tu décidais donc de sortir ta dernière arme en venant l’embrasser. Tu gémissais alors qu’il t’embrassait davantage, cherchant ta langue. Tu ne voulais pas qu’il arrête et tu te pressais contre son corps, de façon à ce qu’il ne puisse pas te repousser. Il le pouvait s’il voulait mais.. tu espérais que non. Tu gémissais une fois encore, sentant ses mains sur tes fesses. Tu avais envie de plus, de tellement plus. Plus que tout, tu voulais ressentir les mêmes choses que lui. Tu voulais être à son niveau. Comme si toi aussi tu ne voyais rien et puis bon, tu voulais pouvoir ressentir les mêmes choses. Il te poussait pour quitter le lit avant de t’inviter. Oh.. d’accord. Tu ouvrais sa penderie même si, peu importe le choix. Ce n’était pas pour sortir ni quoique ce soit. « D’accord.. » Tu lui disais avant de regarder et d’en prendre une noire, simple. Tu lui donnais de façon à ce qu’il la noue. Ce fut le cas et tu ne vis plus rien.
Tu te laissais guider par Nolan alors que celui-ci te tournait de façon à ce que tu sois face à lui. Tu le laissais te déshabiller alors que tu frissonnais avant de te retrouver nue face à lui. Tu te tortillais sur place alors que tu sentais ses mains, ses baisers sur ton corps. Tu rougissais quand il te disait que tu étais parfaite et magnifique. Tu ne pensais pas être de cet avis de ton côté mais c’était tout de même agréable à entendre. « Et moi, j’ai hâte que tu le fasses.. » Tu lui disais avec un sourire. Ton corps en frissonnait d’impatience de son côté. « Il faudra faire attention à Connor quand même.. » Tu lui soufflais alors. Tu t’en fichais bien des voisins mais ton frère, tu ne penses pas qu’il apprécierait et puis, tu n’avais pas envie qu’il soit au courant non plus.
Tu étais encore debout face à Nolan alors qu’il désirait que tu le touches. Oui tu pouvais le faire, tu te rappelais de son corps mais pas dans les moindres détails. Tu n’avais plus le toucher qu’une seule fois. Tu voulais remettre la chose en n’omettant pas de toucher. Il était torse nu alors, il ne portait que son pantalon. Tu embrassais encore une fois ses lèvres, descendant ensuite dans son cou. Tes mains se posaient sur ses bras que tu caressais. Tu continuais en venant embrasser son torse que tu caressais ensuite. Tu prenais le temps de toucher ses muscles. Tu embrassais les poils de son torse, descendant jusqu’à ses hanches en V qui te séduisaient tant. « J’ai besoin de ton aide.. » Tu lui soufflais alors que tu fis glisser son pantalon de pyjama, libérant son érection déjà bien présente pour toi. Tu venais à retirer son bas grâce à son aide. Tu touchais ses mollets, tes mains remontant de ses jambes. Tu venais à toucher son érection bien présente entre tes mains. « Je vois que tu m’attendais.. » Tu lui soufflais avant de venir prendre son érection dans ta bouche. Tu commençais à lécher son gland avant de venir faire des vas et viens entre tes lèvres, ses gémissements t’accompagnant et t’incitant à continuer. Tu le sentais gonfler entre tes lèvres et tu approfondissais tes gestes.
Invité
Ven 1 Mar - 2:42
Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal puisque cette rupture, ayant fait suite à ma soudaine cécité, m'a fait perdre toute confiance en moi et aux femmes. Informations supplémentaires ici.
Son impatience m’était plaisante. J’appréciais qu’il lui tarde que je lui fasse l’amour avec toute la fougue qui m’habitait. Cependant, je ne comprenais pas pourquoi elle tenait à ce que nous fassions attention à Connor. Avait-elle peur de lui faire face au petit-déjeuner suivant, lorsqu’il m’aurait entendu lui donner du plaisir pour la première fois ? Je le supposais, oui. Siloë m’apparaissait être une femme pleine de pudeur, sur bien des sujets. Il allait donc falloir une discussion entre nous à ce propos. Je ne pouvais pas lui garantir moins de plaisir pour préserver les oreilles de mon estimé colocataire. Il faudrait qu’elle apprenne à assumer sa vie de femme sexuellement active, ou nous devrions trouver un autre endroit pour nos ébats. Mais la seconde option ne me satisfaisait guère. Je ne voulais pas réellement me cacher comme un adolescent craignant d’être pris sur le fait par ces parents. J’espérais par conséquent la convaincre ultérieurement de lâcher prise, lorsque le débat serait amorcé. En attendant, je lui demandais de me déshabiller pour qu’elle découvre elle-même ma manière toute particulière de faire mes préliminaires. Ce qu’elle fit, optant par l’utilisation de ses lèvres au même titre que ses mains. Je frissonnais à leur contact, grognant de désir. Cela faisait un moment déjà que je rêvais de la faire mienne à nouveau, je devais donc prendre sur moi pour ne pas brusquer l’instant. Elle semblait tellement aimer cette façon de s’approprier mon corps, d’ailleurs. Je n’avais pas le cœur de l’interrompre, tout impatient puisse-t-elle être mon impérieuse envie d’elle. Elle s’accroupissait ensuite devant moi, requérant mon aide pour ôter mon pantalon. Je lui accordais volontiers, levant mes pieds successivement de sorte qu’elle puisse me le retirer sans encombre. Un geste qu’elle ne retarda pas, du reste. Entièrement nu face à elle, sans pouvoir elle-même apprécié la vue, je sentis son souffle chaud non loin de ma virilité dressée. Je m’interrogeais sur l’éventualité qu’elle puisse la prendre en bouche dans les secondes à venir, tout d’un coup. Était-elle de ces femmes qui n’aimaient pas cette pratique, ô combien agréable pour l’homme ? Je l’envisageais pleinement, particulièrement au souvenir de sa première masturbation de mon sexe. Je concluais donc qu’elle remontait ses mains le long de mes jambes pour recommencer en cet instant précis. Je l’acceptais, du reste : je n’étais pas de ces hommes qui imposaient leurs attentes, leurs envies. C’était déjà formidable que nous partagions un tel moment tout les deux, que j’étais heureux de l’entendre me parler de mon attente à son sujet.
_ Tu n’imagines pas avec quelle impatience, ma beauté.
Je lui soufflais, aguicheur, pour la rendre toujours plus humide pour moi. Cela me rappelait que je n’avais pas encore eu l’opportunité de jauger l’envergure de son excitation de mes doigts inquisiteurs, d’ailleurs. Mais ce n’était que parti remise. Je savais que l’opportunité de me rattraper viendrait bien assez tôt, et qu’en attendant, toute caresse de sa part serait une délicieuse attente. Siloë vint toutefois me surprendre au contact chaud de sa langue sur mon gland, électrisant. Si je m’attendais à ces doigts, je ne boudais pas au plaisir de sa bouche. Loin de là. Je gémissais longuement de contentement, me mordant la lèvre inférieure par réflexe naturel. La chaleur de sa bouche sur ma pine était tellement exquise, que je sentais qu’elle ne tarderait pas à me faire éjaculer. Ce qui souleva une petite interrogation à mon esprit. Je ne savais pas si la jeune femme appréciait cette éventualité, cette finalité. Je me promettais donc de l’en avertir quand je ne pourrais plus me retenir, au lieu de la laisser sur le fait accomplie. Je ne désirais pas que l’instant lui soit désagréable, après tout. C’était déjà très bien qu’elle me caresse de la sorte. Le plaisir était telle, d’ailleurs, que je déposais mes mains sur son crâne, sans prendre le contrôle de sa fellation. Je ne voulais rien diriger, pour l’instant. Je me contentais donc de m’enivrer des sensations qu’elle me procurait, les yeux clos. Elle était plutôt douée, je dois le reconnaître. Elle ne serrait pas trop sa mâchoire sur ma queue, ne m’éraflant pas la peau de ses dents, et sa langue s’activait délicieusement autour d’elle. Un vrai délice. Je commençais même naturellement à suivre le rythme qu’elle adoptait, pour amplifier la venue de ma jouissance.
_ Je vais venir…
Je lui grognais entre deux respirations saccadées, de sorte qu’elle puisse s’interrompre où se retirer. Or, ne constatant aucun changement dans son attitude, je me laissais aller dans le fond de sa bouche, dans un soupir grave, témoin de ma jouissance. Légèrement ébranler par la puissance de mon orgasme, je reconnais qu’il me fallut quelques secondes pour recouvrer mes esprits, mais quand ce fut le cas, je n’oubliais pas de remercier ma partenaire de la meilleure des façons.
_ Relève-toi. Prend ma main.
Je lui indiquais, sachant que nous ne pourrions rien faire dans la position actuelle. Ensuite, ma paume dans la sienne, je l’emmenais au niveau de mon bureau, où je poussais les affaires sur les extrémités, avant de lui offrir un baiser amoureux. Une chance que mon ordinateur trainait dans le salon, du reste : il n’aurait pas survécu à un tel ménage. Le meuble enfin libéré de son encombrement, j’invitais Siloë à s’asseoir dessus, avant de me mettre à genoux entre ses cuisses. Je voulais sentir sa moiteur sur mes phalanges, sous ma langue. Je commençais donc par titiller son bouton de rose de mon index et mon majeur, la pénétrant par à-coup pour la faire languir, avant de me saisir de ses cuisses pour la goûter avec avidité. Elle était si bonne, si réceptive, que ces gémissements étaient la plus belle mélodie qu’il m’ait été donné d’entendre. Elle m’excitait à nouveau, d’ailleurs. Je sentais mon sexe se durcir à nouveau. Dans quelques minutes, je savais que je serais opérationnel pour la prendre sur mon bureau, en équilibre entre lui et mon corps brûlant d’amour pour elle. Mais auparavant, je cherchais son premier orgasme, avec détermination. Je léchais son intimité comme j’embrassais avec passion sa bouche, précédemment, et je me languissais de la sentir se tordre sous le plaisir. Inonde moi de ta jouissance, mon amour. J’ai tellement soif de toi.
J'ai vingt huit ans et je vis à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans la vie, je suis éditrice et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple depuis deux ans et je le vis plutôt pas bien depuis quelques semaines.. née à Wellington et a un frère plus âgé qu'elle ○ en couple depuis deux ans mais se fait battre par son petit ami ○ travaille comme secrétaire d'édition depuis quelques semaines ○ émotive, parfois fleur bleue, croit au grand amour ○ est très proche de son grand frère, la famille est ce qu'il y a de plus important pour elle ○ toujours été brillante dans sa scolarité ○ adore le café, les séries et la glace ○ est inscrite à une salle de sport ○ ne fume pas, ne mange pas de poisson ○ adore lire et les animaux.
Tu étais avec Nolan, embrassant ses lèvres, vos mains se baladant sur le corps de l’un et l’autre. Tu embrassais son corps, heureuse de le découvrir d’ailleurs. Tu ne le voyais pas mais cela ne te dérangeait pas. Tu avais voulu le faire ainsi. Tu finissais de le déshabiller, bien qu’il ne portait pas grand-chose à part son pantalon de pyjama. Ce fût en remontant tes mains jusqu’à son bas ventre que tu constatais que son érection était déjà bien dressée pour toi. Il te disait être impatient de te faire sienne et tu avais hâte aussi. Tu pouvais le sentir jusqu’à ton bas ventre à ton tour.
Tu venais à prendre son sexe entre les lèvres. Tu commençais à faire des vas et viens alors que tu sentais sa main sur ta tête. Tu continuais tes gestes et voyant que cela lui plaisait, cela t’incitait à le faire. Il ne te disait rien et de ce fait tu en concluais qu’il appréciait. Tu sentais son sexe se gonfler entre tes lèvres alors qu’il te disait qu’il allait venir. Cela ne t’empêchait pas de continuer et le laisser faire. Tu te retirais finalement avant de te relever. Tu attrapais sa main, alors que tu te laissais guider encore une fois. Tu connaissais un peu sa chambre mais pas comme lui. Tu sentais que tu étais posée sur un meuble, du bois, cela ne pouvait être que son bureau. Tu glissais tes jambes autour de lui avant de sentir ses mains sur ton intimité. Tu gémissais en sentant son doigt en toi. « Oh Nolan.. » Tu gémissais avant de sentir ses lèvres également sur ton bas ventre. Tu passais tes mains dans ses cheveux alors que le plaisir prenait possession de ton corps. Ses coups de langues t’excitaient et ta tête bascula en arrière. « Je viens.. » Tu lui soufflais avant de te laisser venir. Tu sentais ton corps se tendre avant de jouir dans un énième gémissement. Tu laissais ton corps se calmer et tenter de reprendre une respiration. Pourtant, tu désirais encore Nolan.
Tu ne voyais pas comment cela était possible mais tu le désirais toujours, tu avais envie de lui. Tu voulais qu’il te prenne, maintenant sur son bureau. « Nolan.. » Tu appelais avant de prendre son visage entre tes mains. Tu caressais ses lèvres avant de venir l’embrasser passionnément. Tu enroulais tes jambes autour de sa taille, de façon à l’approcher de toi. Tu posais tes mains sur ses fesses que tu pressais. « S’il te plait.. fais moi l’amour maintenant.. » Tu venais à lui souffler au creux de son oreille. Tu n’avais pas envie d’attendre davantage. Tu n’étais que plaisir, qu’un feu qui attendait encore d’être éteint. Tes sensations étaient décuplées car tu ne voyais pas. Tu ne pouvais que sentir ses gestes sur ton corps, ses baisers. « Prends moi ici.. » Tu glissais tes mains entre vos deux corps alors que tu posais ta main sur son sexe, toujours en érection et toujours désireux de toi. Tu le caressais une fois encore attendant de ne faire plus qu’un avec lui. Tu voulais profiter de ce moment car, même si tu lui avais dit de ne pas vouloir fuir, tu ne savais pas si ce moment se reproduirait. Tu ne pouvais quitter ton petit ami pour le moment et tu ne pouvais lui dire pourquoi. Tu chassais ces pensées, désireuse de profiter de cet instant présent uniquement.
Invité
Dim 3 Mar - 21:24
Nolan Parker
J'ai 34 ans et je vis à Wellington, Nouvelle-Zélande. Dans la vie, je suis comptable en arrêt maladie ainsi que romancier amateur et je m'en sors moyenne ces derniers temps. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal puisque cette rupture, ayant fait suite à ma soudaine cécité, m'a fait perdre toute confiance en moi et aux femmes. Informations supplémentaires ici.
Son corps se tendait sous les passages de ma langue, gourmande. J’appréciais qu’elle m’encourage à lui arracher un orgasme par le biais de ses mains, déposaient dans mes cheveux. J’y voyais là une volonté partagée de m’enivrer de son essence de plaisir, et je m’activais à la conduire à la jouissance tant espérer sans m’interrompre un instant. Je sentais qu’elle était à bout de désir, que ma patience ne serait pas trop titillée. J’eu donc raison de me fier à cet instinct : la jeune femme m’indiqua la venue de son orgasme, puissant, assez rapidement, avant de se tendre davantage sous ma langue. Elle était tellement délicieuse, bon sang. C’était un tel délice que je sentais ma virilité se durcir d’envie, rien qu’à la pensée de redécouvrir à nouveau ses muscles pelviens se contractant autour d’elle. Je caressais ses cuisses encore tremblantes, avec impatience, quand elle m’appela de nouveau. Inutile que je m’interroge longuement sur ce qu’elle désirait. Elle voulait que je lui revienne, que je la possède, et je me relevais bien heureux de combler cette attente. Gourmande, ma partenaire alla même jusqu’à caresser nos lèvres, humide de son plaisir, avant de venir m’embrasser avec passion. C’était tellement bon de sentir qu’elle ne voulait plus que moi, que mon cœur s’agitait férocement dans ma poitrine de le constater. Prisonnier de ces cuisses brûlantes, je découvrais avec quelle impatience partagée ma belle Siloë me voulait en elle. Et entreprenante, pour mon plus grand plaisir, je frissonnais de découvrir sa main autour ma verge désireuse. Fais-moi l’amour maintenant. Pouvait-elle dire plus belle chose pour me convaincre de lui céder, dès cet instant ? Non. Elle avait employée les bons mots de codes, les bons mots de passe, et je déposais mes mains sur le haut de ces fesses pour la faire glisser contre moi. J’allais la prendre, indubitablement. Toutefois, au lieu que ce soit moi qui conduise ma virilité à son antre, de sorte d’y prendre ma place, je lui laissais le plaisir d’aller au bout de son initiative.
_ Dirige là vers l’entrée.
Je lui soufflais à l’oreille, d’une voix beaucoup trop rauque pour cacher mon excitation, sans que je n’aie à la prier davantage. En un instant, mon gland se trouvait collé à ses lèvres intimes, humides, et je poussais mon bassin jusqu’à me frayer une place dans ses chairs accueillantes. Je grognais de plaisir, la découvrant toujours autant étroite qu’au cours de notre première relation. Que Dieu bénisse James de délaisser cette femme. Il rendait cet instant merveilleux, même s’il était à des années lumières de savoir ce qu’il se produisait entre nous. Je me demandais brièvement si Siloë lui avouerait, au moment de la séparation. Je supposais que non, pour le protéger, et je l’acceptais. Je n’avais pas besoin qu’elle hurle sur tout les toits que j’étais son amant. Je n’avais besoin qu’elle ne hurle le plaisir que je lui donnais, et je m’activais à la faire s’exprimer sur le sujet, tandis que je commençais à me mouvoir en elle. J’adoptais un rythme langoureux, pour profiter de chaque caresse de nos chaires brûlantes. Je voulais graduellement faire monter le plaisir, de sorte de pouvoir rester le plus longtemps possible dans ce corps que j’aimais déjà tant.
_ Gémis que tu es à moi, Siloë. Je lui soufflais à ces lèvres, palpant délicieusement ses fesses. _ Gémis que tu m’appartiens.
Je voulais l’entendre. Je voulais que toute la résidence l’entende. Je voulais que plus aucune personne, y compris nous même, ne puisse douter de cet état de fait. Et, encouragé par ces propres mots que je lui avais soufflé l’instant d’avant, je continuais de m’activer en son sein, augmentant délicieusement la cadence de notre coït. Elle me procurait un plaisir sans nom, puissant. Je désirais durer de longues minutes ainsi. Je m’arrêtais donc lorsque je sentais ma jouissance au bord de l’explosion, sachant que je me privais du nirvana qui me tendait les bras. C’était frustrant, j’en conviens. Je l’entendais grogner de mécontentement, d’ailleurs, mais c’était également bon de l’entendre si exigeante sur moi. Cela me permettait de découvrir une nouvelle facette de cette femme. Une facette qui me donnait envie de lui obéir, sans discussion. Je reprenais donc à chaque fois les mouvements de bassin, docilement, avant de la faire râler de frustration. C’est au bout d’une petite vingtaine de fois, je crois, que je me laissais aller à la marteler plus fort de mon pénis, de sorte que notre orgasme nous emporte. Orgasme dévastateur, ô combien, qui me fit pousser un feulement bestial, tandis que mon organe génital se libérait en elle de toute pression. Ses muscles se contractant autour de celui-ci, je glissais encore tendrement en elle, jusqu’à ce que nous retournions sur la terre ferme ensemble. Je capturais alors ses lèvres dans un baiser tendre, m’interdisant de lui prononcer ce « je t’aime » qui me prenait à la gorge. Il était précipité, à ne pas en douter. Je ne désirais donc pas qu’il l’importune après un tel moment de plaisir commun. Je me retirais d’elle ensuite, épuisé, avant de la conduire à notre lit où je vins l’accueillir dans mes bras, étendu sur le matelas.
_ Tu peux ôter la cravate, maintenant.
Je lui indiquais tendrement, sachant que je n’aurais pas la vigueur immédiate pour lui faire à nouveau l’amour. De plus, il était indispensable que nous discutions de nous, de la suite. Je sais que je n’avais exigé qu’une présence quotidienne dans mon lit, dans mes bras, mais je voulais qu’on éclaircisse certains points. Je n’allais pas devenir bêtement un amant caché, tel que suggérait son désir de garder Connor au secret de nos rapports sexuels à venir. De ce fait, je m’assurais que nous soyons bien sur la même longueur d’onde.
_ Dis-moi, pourquoi tu m’as dit de faire attention à Connor tout à l’heure ? Je l’interrogeais doucement en amont, caressant tendrement la peau douce de son dos. _ Tu crains de ne plus pouvoir le regarder en face s’il a conscience que tu t’envoies en l’air avec son meilleur ami ?
C’était l’option qui m’était le plus probable, le plus acceptable. Je préférais la savoir pudique à son sujet, ce que je comprenais totalement, tant la situation pouvait être étrange, que tout autre chose.