Fire on fire would normally kill us but this much desire, together, we're winners [ft. Maddy'n & Patate douce]
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Patate Douce
Dim 12 Avr - 11:07
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
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« Vous avez déjà couché ensemble tout les deux ? »
Vautré sur le canapé, je reprends le contrôle d’une respiration plus régulière. Je ne dis rien, car le post coit, était le cadet de mes soucis. Si cela ne tenait qu’à moi, je lui aurais dit avec un grand sourire « ton uber est en bas, à la prochaine »
Celibatard, jusqu’au bout. Je prends, je donne, le plaisir.
Et s’il n’y a pas un second match en approche, chacun chez soi. Commenter un ébat oui, mais pas avec n’importe qui et encore moins avec une demoiselle. Mais notre partenaire de crime, juché sur son nuage, nous questionne. Et je manque de m’étrangler. J’éclate de rire, nerveux. Je finis par me redresser, puis me lever et m’étirer pour leur offrir le fruit de sportifs exercices. J’enfile mon boxer et retourne vers le mini bar. Cette fois, je me prends un whisky bien frappé, pour me donner le courage de masquer ma gêne. Je la regarde en coin, finalement, amusé. Peut-être que cela m’a traversé l’esprit. Mais comme le baiser, je ne suis jamais allé au bout de cette secrète initiative.
Regarder Jay comme un amant potentiel, c’était une trop grande étape pour la passer. J’avais bien trop peur que cela brise notre amitié. Il était mon meilleur ami. On venait d’expérimenter mais cela s’arrêter là. C’est parce que .. Merde, j’ai oublié son prénom .. Princesse nous réunit que nous nous adonnons à la Luxure.
« Très chere, je ne peux répondre à ta question, les absents ont toujours tort »
Je lui fais un clin d’œil et retourne à mon bureau, l’air de rien, pour finir mon rapport et siroter mon verre. Je ne mettais personne dehors mais l’idée était là. M’enfin, leur présence ne me dérangeait pas tant que cela, surtout si un second round est proposé.
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Maddy'n
Lun 13 Avr - 21:17
Elijah "Jay" Anders
J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. + Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. +Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.
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Je pensais avoir lancé les hostilités en commençant à déshabiller le médecin, mais en réalité, c’est bien lui qui avait mit le feu aux poudres. Désir ardent qui brûle en moi et me consume intérieurement. Je ne pensais pas qu’un simple baiser pouvait me faire cet effet. Et soulever tant de questions sur mes sentiments envers les hommes et plus particulièrement Loyd. Ce n’était pas la première fois que j’embrassais un homme, cette première ayant eut lieu il y a déjà quelques mois, dans la noirceur de la nuit, et l’esprit embrumé par quelques verres de liqueur à fois sucré et amer. Ce n’était pas non plus la seconde, ou la troisième, nombreux d’autres avaient suivis ces derniers mois, attisant toujours plus un désir enfoui en moi, que je ne désirais pas trop titillé. Mais les mains de mon ami glissant entre mon corps et le tissu change la donne, me donnant envie d’explorer ce plaisir que l’on peut éprouver à coucher avec quelqu’un du même genre, chose que je m’étais encore interdite jusque là, me contentant de baisers, de caresses, sans jamais sauter le pas. Mais ce soir, quelque chose avait changé en moi. Etait-ce à cause de Loyd, de ce baiser, de ces nouvelles expériences sexuelles impliquant une tierce personne ? Je ne pouvais le dire, tout ce que je pouvais dire, c’est qu’une nouvelle expérience m’attendrai dans les semaines à venir, mais sans mes partenaires de crimes de ce soir. Pas même Loyd. Je devais d’abord essayer de me comprendre avant de lui en parler. Si je lui en parlais un jour. Comment est ce qu’on annonce à son meilleur pote, avec qui on se donne à ce genre de plaisir, à trois, qu'on est peut être bisexuel, voir gay ? On ne l’annonce peut-être pas. Jamais.
C’est le souffle court, le coeur tambourinant avec violence dans ma cage thoracique que le contact entre nos lèvres se rompt. Et j’en reste encore ébahi. Loyd qui semble mieux s’en remettre que moi attire la jeune femme vers nous, l’invitant ainsi à prendre part à cette danse si particulière qui allait nous prendre, ponctuée de caresses, de baisers, de mots doux, parfois tremblant, exprimant ainsi toute la passion et la luxure qui nous habitent, tout les trois, et qui justifient notre présence en ces lieux, moins doux et charmants que notre première scène de crime, mais pas moins excitants. Combien pouvaient se vanter d’avoir eut une telle expérience sur leurs lieu de travail, ou sur celui de leurs partenaire. Pas beaucoup à mon avis, et c’est ce qui rendait son charme à cet instant si privilégié.
Encore une fois, la communion entre nos corps avait été divine. Diablement divine. Ce genre de pratique et de désir appartenant au cornu, et non au barbu, soyons honnête, notre place aux enfers nous attendaient probablement déjà. Assis au pied du canapé, à proximité de mes deux partenaires, je bats à plusieurs reprises des paupières, prenant de grande inspiration pour permettre à mon palpitant de retrouver son rythme de croisière. Malgré ma bonne condition sportive, cet exercice ne m’épargnait pas. Loyd est le premier à se relever, se servant un verre, intimité caché à nouveau par le tissu. Quelques secondes de plus, et je me relève à mon tour, tandis qu’Alexandra nous questionne sur une potentielle sexualité entre nous. Je suis bien tenté de la faire marcher, prétendre qu’il y a bien longtemps que le norvégien avait succombé à mon charme, mais il avait été plus rapide que moi, et laisse le mystère enrobé la question. Ce n’était pas plus mal. Je n’avais pas non plus envie de dévoiler l’entièreté de ma vie privé à la jeune femme. A mon tour, je me rhabille lentement, les laissant profiter encore de la vue de ce corps qui avait participé à leurs faire prendre leurs pieds. « Je te raccompagne chez toi ? ». Je questionne la jeune femme alors que le médecin est retourné derrière son bureau. Je ne doute pas qu’il avait hâte de nous revoir disparaître si un second acte n’était pas d’actualité. Les discussions post-coït, ce n’était pas son genre, et heureusement pour lui, j’étais bien plus diplomate sur ce point, pour faire partir la jeune femme avec un peu plus de considération que lui pourrait le faire.
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Elsy Lullaby
Lun 13 Avr - 23:14
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
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Comme la jeune femme pose une question, qu'elle pense être légitime, Loyd lui donne une réponse pour le moins... hé bien, qui ne répond pas à la question que la demoiselle a posée, laissant planer le doute dans la pièce. Soit. S'il ne voulait pas lui en parler c'était son choix. Jay ne répond pas non plus, restant totalement silencieux sur la question. Si bien que la suédoise imagine sa propre réponse, interprète leurs réactions, leur gêne. Peut-être pas comme ils l'auraient voulus, ni comme il l'aurait fallut, du coup car elle imaginait parfaitement que s'ils ne voulaient rien lui en dire, c'est qu'ils l'avaient déjà fait en effet, sans l'assumer. Pourquoi ils ne l'assumaient pas, ça, elle n'en savait trop rien. Mais c'était leur problème. Et Alexandra n'était que la fille de passage de toute façon. Ils s'étaient revus une fois, par le plus grand des hasards, mais c'était peut-être la dernière. Elle n'avait probablement pas besoin d'en savoir plus à leur sujet.
Comme Jay propose de la raccompagner chez elle, la demoiselle hoche la tête et se redresse, se rhabillant rapidement avant d'attraper son sac abandonné dans un coin. Elle salut rapidement Loyd avant de sortir, Jay sur ses talons. La nuit est un peu fraîche, pourtant ils décident de rentrer à pieds jusque chez la demoiselle. Pendant toute la durée du trajet, ils en profitent pour papoter encore un peu, bien plus calmement que dans le bar. Et ils finissent par arriver ainsi devant chez elle. Alexandra lui décoche un sourire et sort une petite carte de visite de son sac à main. La sienne. Sait-on jamais. Ils ne se reverraient peut-être pas mais si l'envie leur prenait, ils pourraient toujours forcer le destin. Après tout, rien ne le leur interdisait. Entre adultes consentants.
«- Merci de m'avoir raccompagné Jay. Et merci pour la soirée.» elle lui tend la carte et vient déposer un baiser rapide sur sa joue, à la commissure de ses lèvres. «A la prochaine !» annonce-t-elle avant de s'éloigner, gagnant sa porte en le laissant lui-même rentrer chez lui.
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Elsy Lullaby
Mar 14 Avr - 0:34
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
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Six mois plus tard
«A la prochaine.» C'est ce que la demoiselle avait dit en quittant Jay, lors de leur seconde rencontre. Leur seconde nuit de plaisir à trois avec Loyd. La prochaine était revenue un peu plus d'une vingtaine de jours plus tard. Et puis il y en avait eut une suivante, puis encore une, et une autre et encore une autre. Au fil des semaines, ces «la prochaine» avaient gagnés en régularités et ils n'hésitaient plus à se contacter, bien souvent au dernier moment, pour proposer de se voir. Et le temps aidant, elle s'était rapproché des garçons. Enfin. De Jay, pour être honnête. Loyd était plus farouche. Plus sauvage. Il prenait ce qu'elle avait à donner, ce qui l'intéressait, et puis c'était terminé. Leurs rencontres duraient rarement plus longtemps que leurs ébats. Ils pouvaient parler parfois, entre deux rounds. Mais quand c'était terminé... Elle ne le croisait jamais le matin, ou très très rarement, quand elle pouvait prendre le petit déjeuner avec Jay, rire avec lui, avant de le quitter pour retourner à leurs vies. Quand ils se séparaient au milieu de la nuit, le sportif la raccompagnait toujours et ils en profitaient pour parler, alors. Les semaines passants, les messages avaient commencés à s'introduire dans leur curieuse relation, sur laquelle aucun d'eux ne semblait vouloir mettre de mots. Parce qu'il n'y en avait peut-être pas. Loyd ne répondait quasiment jamais aux banalités. Jay y répondait beaucoup plus régulièrement. Et elle avait put voir ce dernier en dehors de leurs rencontres crapuleuses pour boire un verre en tout bien tout honneur. Pour sa part Loyd était... Loyd. Plus distant, plus mystérieux. Tout aussi charismatique. Mais en définitive, celui qui s'était présenté comme le prince Eric avait tout d'un vrai prince.
Et c'était de ce prince qu'elle avait besoin ce soir. Son prince. Celui de son vœux, formulé des mois plus tôt. Sur le coup des dix-neuf heures, le coup de téléphone habituel de ses parents avaient mit son moral au plus bas. D'abord, ses parents lui manquaient. Quitter la suède pour vivre en Norvège loin de ses racines et loin de ses parents n'étaient pas évident. Mais en prime ils lui avaient annoncés, ne parvenant à lui cacher la tristesse dans leurs voix lors de cet appel journalier, la mort de leur vielle Cissy. La jolie tervueren avait prit de l'âge, depuis l'adolescence de la demoiselle et après un peu plus de quatorze ans d'amour donné à ses maîtres, elle avait calmement rendu son dernier soupir dans son panier du salon, entourée de l'amour de ses proches. Sauf d'Alex. Et elle s'en voulait. Ça pouvait sembler stupide pour ceux qui n'avaient jamais donner leur amour à une bête. Mais pour Lexie, la soirée menaçait d'être pénible. Et Jay s'était imposé à son esprit assez rapidement, si bien qu'elle avait finit par lui envoyer un message, demandant à le voir ce soir. Il avait répondu rapidement, sans demander plus d'explications qu'elle n'en avait donné et qui étaient plus que succinctes, ne mentionnant pas encore l'animal. Il pourrait la comprendre, lui. Il en avait un, de chien. Jade. Et de fait ils avaient convenus qu'il la rejoigne chez elle le plus tôt possible avec «de quoi lui remonter le moral». Alors douchée, habillée, un rien maquillée malgré ses yeux rougis, elle attendait maintenant dans le fauteuil du salon que l'homme se manifeste à sa porte.
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Maddy'n
Mer 15 Avr - 12:35
Elijah "Jay" Anders
J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. + Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. +Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.
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Déjà six mois d’écoulés depuis la célébration de notre pari avec Loyd. Six pendant lesquels, nous avions cédés ensemble à l’appel de la chair et de la luxure, nous partageant la même femme, en même temps. Six mois pendant lesquels, j’avais exploré ma sexualité, avec ou sans eux. Six mois que certaines choses changeaient doucement dans ma vie. Parfois, suffisamment marquées pour que je les remarque immédiatement, d’autres fois, moins, et il me fallait des jours, voir des semaines, avant de noter ce changement. Malgré tout, rien n’était officiel, aucune clarification n’avait été faite. Nous nous contentions toujours de ne répondre qu’à nos envies primaires et bestiales, quand bon nous semblaient, sans rien imposer. L’entièreté de notre relation reposait toujours sur l’assouvissement de nos désirs sexuels, pourtant, là aussi, quelques changements pouvaient être remarqués. Déjà, car j’étais devenu bien plus amical avec Alexandra. Toujours pas le type d’homme à n’appartenir qu’à une seule femme, mais plus sympathique quand même, prenant de ses nouvelles de temps à autre, par le biais d’un message, ou autour d’un verre, certains soirs ou je n’avais rien de particulier à faire. Je ne parlerais pas d’amitié solide ou quoi entre nous, mais voilà, notre relation évoluait légèrement, de façon à ce que le sexe ne soit pas l’unique élément qui puisse nous rassembler. Du côté de Loyd, la demoiselle ramait un peu plus quand même. Il faut dire que Loyd était… Loyd, fidèle à lui-même. Le copinage avec les plan-culs, c’était définitivement pas son truc, et il fallait s’accrocher pour le voir faire des efforts.
Et même pour moi, c’était compliqué de lui imposer d’en faire. C’est pourquoi, je lui avais menti du tout au tout pour ce soir. Je l’avais appelé, lui demandant de passer me prendre pour aller chez la jeune femme, qui pour ce soir proposait son appartement comme scène de crime, ayant quelques bons alcools à nous faire goûter. Alors je l’accorde, ce n’était pas très beau de mentir à son meilleur ami et d’élaborer un traquenard pareil, mais sans ça, il ne m’aurait jamais suivi. Je le connaissais trop bien. Lui et le réconfort, ce n’était pas tout à fait ça. Pourquoi est ce qu’il fallait réconforter Alexandra ? Aucune idée. Elle m’avait simplement envoyé quelques messages pour me faire comprendre qu’elle était en détresse, émotionnellement parlant, sans m’en dire plus sur les raisons. On avait fini par convenir que je passerais chez elle dans la soirée, avec de quoi la réconforter. Et n’ayant pas envie d’y aller seul, j’avais décidé d’emmener Loyd avec moi. Sans le prévenir de ce qui l’attendait vraiment. Mais j’en avais marre d’être toujours seul à devoir faire face à la jeune femme, alors aujourd’hui, j’avais décidé qu’il devait faire un effort. Et puis, même si oralement parlant il n’était pas très bon pour le réconfort, j’espérais que sa présence physique et la pensée de son corps d’Apollon suffirait à adoucir un peu les peines de la belle.
En bas de l’immeuble où résidait la jeune femme, je rentre les codes pour ouvrir les portes d’entrées, m’avait transmis par sms. Ascenseur pour grimper les étages plus rapidement, et sans se fatiguer. Une fois devant la porte, je sonne, attendant que la jeune femme vienne nous ouvrir. Elle allait avoir une sacré surprise en ouvrant la porte. Je ne lui avais rien dit également sur la présence de Loyd.
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Sam 18 Avr - 11:37
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
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Je ne pensais pas que le trio deviendrait régulier. Ce qui ne semblait n’être qu’un défi barré sur une liste devenait de plus en plus concret. Cela ne me ferait pas flipper si ce n’était que purement sexuel. M’attacher à une femme durant des semaines, était dans mes cordes et je disparais tel un loup ayant fini d’achever sa proie. Mais là, je ne pouvais même pas faire le mort, avec Jay qui entretenait ce dérangeant lien - faut bien un coupable dans cette affaire. En prime, de ce que j’avais compris, c’en était régulier même dans les conversations, dans les habitudes !!
En dehors du plumard. Inconcevable.
A la rigueur, qu’il veuille en faire sa copine, ça me va bien mais qu’il insiste pour m’embarquer dans je ne sais quoi, il en perdait la raison. Lexie – pour vous donner un exemple d’attachement forcée – était une bombe, de jour comme de nuit, je serais encore plus salaud de le nier. Mais de la à en faire ma compagne, je n’ai pas signer pour !
Je commençais à me demander si je ne devais pas ouvrir une machine à excuses tant il m’arrivait de leur en sortir. Je leur ai épargné celui de la grand-mère morte, j’avais du respect pour mes aïeuls. Mais parfois, je me retrouvais seul contre eux, à croire que c’était le début d’une longue série. Et faut bien l’avouer que l’un comme l’autre avait les arguments lorsque cela dérapait sur plus léger.
Oui, j’avais la faiblesse de la chair, je ne pouvais le nier. Un baiser, une caresse, deux corps à explorer, et un nouveau terrain masculin dont j’ignorais bien des choses sur ma propre personne. Je n’avais pas réitérer avec d’autres, parce que Jay .. Restait Jay. Et que cela m’était insupportable de toucher un autre corps que le sien mais durant ces six mois, je faisais toujours autant l’autruche sur cette nouvelle facette de ma sexualité. De fugaces questions dont je fuyais autant que l’amitié – ou amour – à trois. La peste d’accepter une dérangeante nature.. Clairement, ce trio d’une nuit remuait un peu trop de problématiques en moi.
Mais on peut quand même me féliciter ! Il m’arrive de liker ce que le binôme envoie en photo et qui ne correspond à faire monter la pression. Je m’auto congratule très clairement. Bon, mon doigt avait probablement ripé ce jour-là. Mais ce qu’on ne sait pas, ne fait pas de mal et je le comptais comme une sacrée avancée dans ma repentance. E
tait-ce là, un signe attendu du Messi ? Je ne sais guère mais cela avait suffit pour m’apprendre que le prochain match se déroulait chez Alexandra – oui, je connais même son prénom, pour vous dire, l’effort que je fais. Mon instinct me dit de fuir mais j’étais curieux – comme je l’ai dit, suis faible – alors leur corps me manquait.
C’est donc muni d’une bouteille à la main que je sonne chez elle.
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Elsy Lullaby
Sam 18 Avr - 15:29
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
Iga Wysocka
Peut-être qu'elle était stupide de demander à voir Jay dans un tel moment. S'ils papotaient tous les deux assez régulièrement et bien plus souvent qu'elle ne pouvait le faire avec Loyd, évoquant leurs vies, cela ne voulait pas pour autant dire qu'il était prêt à voler à son secours à la moindre occasion, juste parce qu'elle ne se sentait pas bien, qu'elle n'avait pas le moral. Leur histoire n'était jamais rien de plus que du cul en fin de compte, elle en avait parfaitement conscience. Avec Loyd, plus particulièrement. Mais la dimension un peu plus personnelle qu'ils avaient donnés à leur relation avec Jay ne voulait pas dire que la base de celle-ci avait changée. C'était malgré tout toujours le sexe qui les rapprochait tout les deux.
Pourtant, Jay avait répondu à son appel, comme le prince charmant qu'il avait prétendu être dès le commencement, acceptant de venir la rejoindre sans même réellement savoir ce qui n'allait pas pour elle. Qu'il vienne sans poser de questions et malgré le caractère plus ou moins «exclusivement charnel» de leur relation était peut-être plus révélateur, à vrai dire, que ne l'auraient étés de grandes déclarations. Fin prête, installée dans le canapé pour l'attendre, la jeune femme se perd sur le site internet de son livreur de sushis préféré, commandant plus que nécessaire. Mais elle avait le moral dans les baskets. Alors elle avait sûrement le droit d'abuser un peu – beaucoup – sur sa commande. D'autant plus que Jay aurait sûrement faim aussi.
Quand on sonne enfin à la porte, la demoiselle laisse tomber son ordinateur, se redressant pour aller ouvrir, jetant un coup d'oeil à son reflet en passant. Des yeux rougis mais aucune trace de larmes. Parfait. De toute façon, elle ne pourrait pas faire mieux. S'empressant d'aller ouvrir, elle accueille Jay en le gratifiant du plus beau sourire qu'elle ait en réserve en pareilles circonstances. Et la surprise s'installe sur son visage tout aussi vite. Que Loyd soit là, la demoiselle ne l'avait pas vu venir. Et ça la surprend. Ça la surprend qu'il soit venu pour elle, sans perspective de sauterie, cette fois. A des lieux d'imaginer que c'est ce que Jay a prétendu pourtant.
«- Loyd ?» demande-t-elle encore surprise avant de s'écarter de la porte pour les laisser entrer.
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Patate Douce
Dim 19 Avr - 12:18
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
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Pour parfaire mon personnage et m’assurer qu’elle m’acceptera dans son lit, j’ai quand même récupéré la commande, je suppose et de ce que j’ai pu lire, des sushis, en croisant un livreur. Négocier avec lui, prétextant que la princesse était ma petite amie – putain que ça m’a arraché la gueule – avait une faim monstre et était dans sa période. Voulait-il vraiment la faire attendre ? Un généreux pourboire et je récupère ce qui sera de mon fait. Léger mensonge, je le confesse.
« Ne me juge pas, c’est ta faute, si j’en arrive à cette vile manœuvre. »
Je crache mon fiel sur Jay. Mais que ferait-on pas pour les culs qu’on aime ?
« Loyd ?»
Ne suis-je pas parfait, de quoi remplir son ventre et écouler le tout avec un pétillant champagne ?
« Je crois que c’est moi »
La demoiselle ne semblait pas m’attendre, ou alors elle ne pensait pas que je viendrais en territoire inconnu. Je pivote ma tête vers Jay, fronçant le regard. J’entre prudemment, détaillant son appartement, de bons gouts, je valide. Gênant moment quand tu ne sais ni quoi dire ni quoi faire.
« J’espère que tu meurs de faim, parce que .. » Je lui tends le plateau.
Elle comptait vraiment tout gober toute seule ? Je la toise, en coin, cherchant où est-ce qu’elle accumulait tout cela.
« Et de quoi accompagner le tout. »
Je n’étais pas completement venu les mains libres même si la providence m’y avait grandement aidée. « Comment va ? »
Non pas que ça m’interesse, si on était là, c’était bien pour une chose que j’affectionnais. Le reste de ses états d’âme, je le laissais à son grand ami, bien trop silencieux à mon goût.
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Maddy'n
Dim 19 Avr - 15:46
Elijah "Jay" Anders
J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. + Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. +Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.
Jamie Dornan :copyright:️ Shiya
Intérieurement, je me préparais à me faire tuer. Par Loyd, par Alexandra, par le karma qui me punirait pour avoir menti, qu’importe, je me m’y préparais. Mais je pariais avant tout sur Loyd, quand même. Je lui avais menti et l’avais piégé, le laissant croire que ses besoins de luxure seraient comblés ce soir, alors que pas du tout. Enfin, je ne sais pas de quoi souffrait la belle, mais je me doute qu’elle ne serait pas d’humeur. Loyd allait devoir se la coller sous l’oreille. Ou trouver rapidement un plan B en sortant d’ici. Porte qui s’ouvre, et la jeune femme nous accueille, avec une expression de surprise en découvrant Loyd. Bise rapide et je rentre, prenant mes distances par mesure de précautions, même si mon regard reste figé sur l’expression de Loyd, dont je guette vraiment la réaction. D’autant plus qu’il venait de mettre les deux pieds dans le plat, directement, avec LA question qu’il ne fallait pas poser. Mal, elle allait mal, sinon, nous ne serions pas ici. Ce que j’avais oublié de mentionner.
Je fais un tour du salon, silencieusement, tentant presque de me faire oublier. J’observe la décoration, tente de cerner un peu plus les goûts de la jeune femme pendant que je lui laisse le soin d’expliquer à Loyd la raison de notre présence. Zéro courage ce soir, mais si c’est elle qui lui disait, ça permettrait peut-être de l’obliger à rester et à être agréable pour une fois. Quand à nos comptes, à lui et moi, je suppose qu’on les règlerait après cette soirée. Sur la table, je dépose une boite de chocolat, acheté pour la jeune femme. Il me semblait avoir déjà compris au fil de nos discussions qu’elle aimait ça, et je ne doutais pas que ça l’aiderait à passer ce qui l’attristait. Comme les sushis que Loyd avait réceptionné. Beaucoup de sushis d’ailleurs. Et une bouteille de tequila avec des citrons. Certes, le champagne qu’avait ramené le médecin serait surement un meilleur accompagnement, mais quelque chose de plus fort et moins festif serait surement de meilleur goût ce soir. Bien que Loyd ne puisse pas le deviner.
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Date d'inscription : 13/09/2017
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Elsy Lullaby
Dim 19 Avr - 18:36
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
Iga Wysocka
Le moins que l'on puisse dire c'est qu'Alexandra ne s'attendait pas du tout à recevoir la visite de Loyd ce soir, tant il ne semblait pas possible que ce dernier l'envisage autrement que comme un plan cul. Elle ne savait pas par quel miracle Jay avait réussit à le traîner jusqu'ici, alors, lui qu'elle ne voyait jamais en dehors de leurs parties de jambes en l'air, pas même lors des petits déjeuners. Non, vraiment, elle ne voyait pas comment Loyd pouvait se trouver aux côtés de Jay devant sa porte, un grand sourire aux lèvres. Ils ne parlaient jamais, ou si rarement, qu'elle n'aurait jamais ne serait-ce que pensé à lui demander de passer. Elle n'avait pas avec lui la même complicité qu'avec Jay, Loyd n'étant pas aussi sociable que pouvait l'être le sportif... Et que l'homme ait fait le déplacement pour elle la laissait pantoise.
«- Ouai, j'crois aussi.»
Élémentaire mon cher Watson. Mais au delà de son seul «Loyd ?» la vraie question est de savoir ce qu'il fait ici, tant elle ne s'attendait pas à le voir sur le pas de sa porte.Pas ce soir. Si elle les avait invité à venir la baiser oui. Il aurait peut-être même été le premier à sonner, toujours plus prompt à la désaper qu'à la regarder dans les yeux. Pas que ce soit gênant. Ce n'était pas la même dynamique qu'avec Jay, mais ça lui convenait. Elle appréciait même le médecin à sa manière.. Différemment de Jay, certainement. Mais tout de même. En revanche, qu'il vienne ce soir... c'était inexplicable. Et comme il tend des sushis en plus, elle fait des yeux ronds, en se demandant comment il savait, sans encore supposer qu'il ait put intercepter son livreur. Elle glisse un regard vers Jay. Il devait avoir vendu la mèche.
«- Oh mais... euh je... Il ne fallait pas !»
Elle n'ose pas dire qu'elle en avait commandé, posant le tout sur la table basse du salon, se tournant vers eux encore surprise par la tournure des événements. Que Loyd soit là était une réelle surprise. Qu'il soit prévenant en était une autre. On regard glisse sur la bouteille de champagne, sans comprendre. Et la question qu'il pose la démonte. Comment elle va ? Mal. Elle ouvre la bouche dans une expression surprise et tourne la tête vers Jay.
«- Qu'est-ce que... qu'est-ce que tu lui as dit pour qu'il vienne ?»
Oh dans le fond... elle s'en doutait. Tout au fond d'elle-même, elle le savait, ou le soupçonnait en tout cas. Sinon Loyd ne demanderait pas comment elle va. Et de fait, la jeune femme n'ose pas raconter ce qui lui arrive. Comment le pourrait-elle, devant Loyd ? Elle l'aurait dit si Jay avait été seul. Devant Loyd, elle n'osait pas. Il s'en battait les couilles lui, de ce qu'elle pouvait vivre, qu'elle soit mal. Il ne faisait jamais que la sauter. Ni plus ni moins. Le reste de sa vie ne l'intéressait qu'à peine. Il trouverait ça idiot. Dans ses petits souliers, elle se mord la lèvre inférieure, baissant la tête pour fuir leurs regards. Il était pas là pour elle Loyd, il était sûrement là juste pour tirer son coup. Et c'était Jay qui l'avait attiré ici. Quelque part, elle se sentait un peu trahie.
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