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Maddy'n
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Maddy'n
Dim 29 Mar - 18:50

Elijah "Jay"
Anders

J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

+ Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. +Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.



Jamie Dornan :copyright:️ Shiya
Du mieux que je puisse, je fais la conversation à notre sirène attendant une quelconque réponse de mon partenaire de crime. Le match retour semblait compromis pour ce soir, mais j’apprends tout de même des choses, qui avec un peu de chance ne serait pas balayé par l’alcool dans quelques heures. Par exemple, notre sirène était, contrairement à ce que j’avais pu penser, Suédoise. Et rien dans sa façon de parler ou son accent aurait pu le laisser entendre. Je finis également par apprendre qu’elle est dessinatrice de robes de mariées lorsque nous évoquons mutuellement nos professions. Ce ne sont là que des détails, des choses peu importantes au vue de la situation, mais ça permettait de l’humaniser un peu plus dans mon esprit. Non pas que je la vois véritablement comme une sirène ou un objet, mais jusque là, son impact dans ma vie était moindre, et j’avais plutôt tendance à la voir comme l’ombre de la luxure dans ma vie. Comme bien d’autres avant elle, et bien d’autres après. Mon verre se vide doucement alors que notre conversation avance, sans direction précise, jusqu’à ce qu’une vibration se fasse sentir dans ma poche. Par réflexe je m’excuse, sortant mon téléphone et parcourant rapidement le message. Loyd.

Venez au bureau, j’y suis encore pour trente minutes. Je pense qu’on pourra toujours essayer mon mini bar. - Loyd


Un sourire se dessine rapidement sur mon visage. Je lui écris rapidement que nous faisons au plus vite pour le rejoindre avant de ranger mon téléphone et de reporter mon attention sur la jeune femme face à moi. « Il ne peut pas venir, mais on peut le rejoindre si l’envie t’en dis. ». J’attends un signe confirmant son désir, rassemble ses affaires, et nous quittons le bar. A l’extérieur, je appeler rapidement un taxi pour nous faire gagner du temps. L’hôpital n’était pas si loin, mais si on y allait à pieds, et si Loyd n’avait vraiment qu’une demi-heure à nous accorder - ce qui était vraiment possible avec lui, on risquait de perdre bien trop de temps, ce qui ne plairait pas à Monsieur Andrews. C’est fou ce qu’il pouvait être impatient par moment. Je donne l’adresse de l’hôpital à notre chauffeur, une adresse que je connaissais par coeur, tant je m’y rendais régulièrement, pour déjeuner avec Loyd, et moins régulièrement, par nécessité première, pour me faire soigner. Dans le véhicule, les mots que j’échange avec Alexandra sont moins nombreux. En réalité, je prends sur moi pour ne pas commencer les hostilités sans Loyd, la situation faisant ressortir souvenirs et sensations d’une nuit de luxure comme nous n’en avions jamais vécu.

Quelques minutes plus tard, nous arrivons à l’hôpital, d’ailleurs, je me rends compte que j’avais emmener Alexandra jusqu’ici sans lui fournir la moindre explication. Il serait peut-être temps. « Loyd est médecin urgentiste. Tout va bien. ». Je préfère la prévenir. Débarquer à l’hôpital sans en connaître la raison pouvait surement créer un choc. Je règle la course et nous descendons du taxi. A l’intérieur du bâtiment, je la guide jusqu’au bureau du médecin. Ici comme chez lui, j’avais quelques habitudes. Aucune gêne. Je frappe à la porte par trois petits coups et entre, sans même attendre de réponse, Alexandra à ma suite. « Toujours en service ? Ou pas… ». Je note sa tenue en même temps que je pose ma question, il avait absolument pas l’allure d’un mec en service dans son costume. « T’étais pas obligé de sortir le grand jeu pour nous accueillir tu sais. ». Même si ce n’était pas désagréable à voir.
Elsy Lullaby
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Elsy Lullaby
Dim 29 Mar - 19:44

Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède

Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.


Iga Wysocka
Comme l'homme s'éclipse quelques minutes pour appeler Loyd, Alexandra a l'occasion de parler avec une copine quand celle-ci vient chercher quelques verres, se permettant un commentaire taquin sur les occupations de la dessinatrice pour la soirée. Riant, la suédoise tire la langue à l'amie en question avant que celle-ci ne décampe, sa commande passée, comme Jay revient justement, se réinstallant à ses côtés. Loyd n'avait pas décroché. La demoiselle acquiesce, alors que Jay propose de lui accorder un petit délais d'une heure pour envoyer un signe de vie. Peut-être qu'il répondrait un peu plus tard, à moins que le jeune homme ne soit déjà en galante compagnie. Après tout la nuit était déjà bien avancée, comme elle le remarque en jetant un coup d’œil à sa montre.

Verres en main, la demoiselle apprend à découvrir son interlocuteur. Comme il l'avait laissé supposé au cours de leur dernière rencontre, il est bien Danois. Comme quoi, dans la large liste des princes made in Disney, elle avait bien choisit celui qu'il fallait citer, sans même le savoir. Elle le remarque, avouant par la même occasion que son choix tenait tant au fait qu'elle apprécie le personnage, qu'en raison de son profond attachement pour la petite sirène, son dessin animé préféré parmi les Disney. A vrai dire, elle aimait aussi beaucoup l’œuvre originale d'Andersen, comme de nombreuses autres œuvres de ce dernier, tels que la petite fille aux allumettes, la bergère et le ramoneur ou le vilain petit canard, pour ne citer que celles-ci dans toute ses œuvres.

Elle apprend qu'il a un chien, Jade, et qu'il est coach sportif. D'où le physique tout droit sorti d'un musée antique, du coup. Et cela dans sa propre salle, un métier pour le moins physique, bien moins que le sien qu'elle lui dévoile, avant d'ajouter que, cependant, elle pratique la danse acrobatique depuis plusieurs années. Réorientant la conversation sur lui, elle le questionne sur l'existence d'une fratrie dans sa vie, avouant qu'elle-même aurait aimé sans avoir cette chance... Mais son téléphone lui fournit une bonne excuse pour ne rien répondre, alors qu'un message leur apprend qu'ils peuvent rejoindre Loyd, celui-ci ne pouvait venir. Elle acquiesce, se redressant, le laissant appeler un taxi dans lequel ils s'engouffrent bientôt. La discussion s'y fait moins intense alors, d'autant plus que la demoiselle bouge légèrement son buste au rythme de la musique que diffuse la radio, jusqu'à ce qu'elle se stoppe en découvrant l'hôpital, obtenant cependant rapidement une réponse aux questions que, déjà, elle se pose. Médecin. Donc en plus d'être diablement sexy lui aussi, Loyd sauvait des vies ?  La classe.

Suivant Jay, ils atteignent bientôt un bureau à la porte duquel le coach toque avant d'entrer sans attendre la moindre réponse, laissant la demoiselle s'engouffrer dans la pièce avec lui. Loyd s'y trouvait bel et bien, dans un joli costume bien loin des blouses médicales. Quand le regard de la demoiselle se pose sur celui-ci, elle remarque la qualité du vêtement, de la coupe, du tissu. Probablement du sur-mesure, songe-t-elle soudainement.

«- Salut !» lance-t-elle à l'attention de Loyd. «J'trouve le grand jeu plutôt sympa moi !» remarque-t-elle pour rebondir sur les mots de Jay. «Même si j'vais l'enlever.» Ah ouai. Verres vidés, assurance au taquet apparemment.



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Patate Douce
Dim 29 Mar - 23:02

Loyd
ANDREWS

J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale.

Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.


Heny Cavill  :copyright:️ animals.
« T’étais pas obligé de sortir le grand jeu pour nous accueillir tu sais. » Porte qui s’ouvre pendant que je relis le compte-rendu préalable de notre repas. Je relève la tête. Monsieur-Je-Suis-Chez-Moi-Partout fait son entrée, suivi d'une délicieuse friandise.

« Heureusement que je ne suis pas nu. Tu peux frapper avant, non ? »

Je le taquine. Il n’avait pas besoin de frapper. Il était chez lui. Rencontré en première. Je l’avais défendu dans une bagarre. Ce petit con ne m’avait même pas remercié. Pire, j’avais limite un peu trop bousculé sa triste vie. Ce n’était pas l’amour fou. Mais pourtant, on se retrouvait toujours dans les problèmes. Une commune passion, si on peut dire.

Ce fut le véritable début de notre amitié quand on avait dû faire un tour aux urgences, négociant avec mon père pour ne rien dire à sa famille. Et depuis, on ne s’est plus lâché. Un peu le frère que je n’ai jamais eu. Bon d’accord, nos phallus se sont aussi rencontrés... Inceste ? Horreur. Mon meilleur ami. Définitivement.

Ce fut une mélodieuse voix qui me sort de mes songes. Un doux sourire sur mon visage. Une sublime femme. «J'trouve le grand jeu plutôt sympa moi !» Je hoche la tête, en guise de remerciement. Je m’apprête à le faire de vive voix quand elle me laisse sans. «Même si j'vais l'enlever.» J’arque un sourcil, le ton de la soirée venait d’être lancé. Au moins, nous étions sur la même longueur d’ondes. Je ne les avais pas invité pour discuter chirurgie ou de leur vie d’ailleurs.

Je sens que je vais bien l’apprécier Baby Face.

« Ravi de voir que la vue vous plait ..  »

Je referme mon ordinateur puis contourne mon bureau en bois massif pour ouvrir le fameux mini bar, qui prenait un mur à lui tout seul. Pas si mini. J’extirpe trois verres à pied. A croire que boire, devenait notre rituel. Du moins, il m’aidait à me délester de ma pudeur. Surtout avec Jay dans les parages. Et ce nouveau terrain de jeu. Je ne me suis toujours pas autorisé à y repenser. J’avais peur d’arriver à des conclusions que je ne comptais pas assumer.

« Cadeau de la maison, je pense que vous serez de parfait cobaye pour me donner votre avis sur cet exquis breuvage »

20 ans d’âge dans ce vin, aux notes épicés m’a-t-on conté. Je donne les deux autres verres tandis que je porte le mien à mes lèvres. Petillants et relevé. Un peu âpre mais il fera l’affaire. De mon bras, j’invite mes deux convives à prendre place sur le canapé en daim.

« Non pas que je vous veuille pour moi.. Mais les urgences ne dormant pas, cela sera plus une sécurité pour nous. » Et je verrouille la porte. « Bien sûr, chacun est libre de partir si .. Cela devient trop .. Ce que vous voulez »

Je prends place sur le rebord de mon bureau, déboutonnant mon blaser de deux boutons. Je ne voulais pas mâcher le travail des quatre potentielles mains de ce soir. Et comme je ne voulais pas, lancer les hostilités à mauvais escient, je me tourne vers la douce ingénue.

« Rassurez-moi, il ne vous a pas trainé ici ? Il se fait passer pour Charmant mais il ne faut pas se fier à sa couverture. »

Je fais un clin d’œil à Jay. Parce que l'enculé de nous deux, c'était malheureusement moi. Je ne m'étais pas fait chier à la recroiser à notre premiere nuit. Et je ne comptais pas non plus faire d'effort une fois l'affaire rondement menée.





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Maddy'n
Sam 4 Avr - 11:36

Elijah "Jay"
Anders

J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

+ Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. +Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.



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« Heureusement que je ne suis pas nu. Tu peux frapper avant, non ? »

Je hausse les épaules à la réflexion de Loyd, me retenant de lui dire que je n’avais pas à frapper. Chez lui comme chez moi, et réciproquement. Depuis le temps qu’on se connaissait lui et moi, on ne se souciait plus vraiment de ce genre de politesse ou bienséance. Je rentrais chez lui comme je voulais, ouvrais placards, frigo, armoires comme si c’étaient les miens. Résultats de quinze ans d’amitié entre lui et moi. La moitié de ma vie en fait, passée à ses côtés, à faire les quatre cent coups. Et même aujourd’hui, je ne m’en lassais pas. Il était un de mes pilier, une des personnes toujours présentes pour moi, qu’il le sache ou non. Et désormais, le voir nu n’était pas non plus un problème. On en avait eut des occasions de se voir dans notre plus simple appareil, ou presque, et après la nuit endiablée passé tous les trois il y a une quinzaine de jours, le voir nu n’avait jamais été aussi excitant. Il faut dire que j’avais beaucoup aimé ce que j’avais vu, que ce soit concernant le corps de notre rouquine ou le sien, et que s’il n’était justement pas mon ami depuis si longtemps, je me serais sûrement posées beaucoup de questions sur l’excitation que j’en avais ressenti au lieu de mettre ça sur le compte de l’alcool.

Je secoue la tête, amusé par la réaction de la jeune femme qui elle, semblait apprécier cet effort vestimentaire, quand bien même il ne nous était pas destiné, je suis sur. Connaissant le médecin, il avait dû avoir un rendez-vous ou un repas important, mais aucune chance qu’il se soit habillé ainsi juste pour nous. Malgré tout chacun y trouve son compte, et le voir se faire lentement déshabillé dans cette tenue ne ferait qu’augmenter le plaisir. Et Alexandra ravie à l’idée de pouvoir le déshabiller montrait bien que je ne m’étais pas trompé sur ses intentions. Je rejoins Loyd au niveau de son mini bar. Je continuais de trouver ça incroyable qu’il puisse posséder ça dans son bureau, mais je n’étais pas responsable de la gestion de cet hôpital. Quoiqu’en tant que patient, si je venais à apprendre une telle chose, je me poserais tout de même de sérieuses questions.

Malgré tout, j’accepte volontiers le verre, laissant les arômes parvenir à mes narines avant de le porter à mes lèvres. Quand bien même je n’étais pas expert en vin, je le trouvais plutôt bon. « Pour une fois, je ne suis pas mécontent d’être le cobaye. ». Que ce soit pour ça ou pour nos petits défis entre nous. Je passe devant Loyd, grand sourire aux lèvres après que celui-ci ait refermé la porte à clés, et pris plus d’aise, appuyé contre son bureau. Je m’installe dans le canapé, face à lui. « Rassurez-moi, il ne vous a pas trainé ici ? Il se fait passer pour Charmant mais il ne faut pas se fier à sa couverture. ». Mais quel enfoiré celui là. Je secoue la tête amusé. C’était lui qui se cachait au petit matin, pour ne pas avoir à faire face à la jeune femme, et soit disant je manquais de charme. On aura tout entendu. Je me garde de tout commentaire qui pourrait le faire passer pour le salaud qu’il est vraiment, ne voulant pas faire fuir notre rouquine, me contentant de sourire. « Pas du tout. Je l’ai poliment invité à me suivre, et elle a accepté. ». Et je n’avais promis ni bonbons, ni friandises ou quoique ce soit d’autre pour l’attirer dans mon piège. « Elle est juste plus téméraire que nous. ». Et peut-être un peu plus alcoolisée aussi.
Elsy Lullaby
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Sam 4 Avr - 13:32

Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède

Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.


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Comme ils entrent dans la salle sans que Jay n'ai frappé, Loyd s'insurge en remarquant qu'il aurait pu être nu. Alexandra esquisse un sourire face à cette remarque. S'il l'avait été elle aurait profité d'une jolie vue, ni plus ni moins. Et ça n'aurait été que temps gagné. Il allait de toute façon finir en tenue d'Adam, non ? C'était bien le programme ? Elle imaginait bien que la proposition de Jay d'appeler Loyd n'avait pas pour but de s'installer devant la télévision pour finir la saison d'une série qu'ils auraient l'habitude de regarder. Toutefois la demoiselle préférait largement le trouver habillé, de sorte qu'elle puisse elle-même lui retirer ce qu'il avait sur le dos. Et puis, le voir dans un costume était très loin d'être dégueulasse. Pour ne pas dire qu'il était canon.

L'homme approche du mini bar, décidant de leur servir un verre, les leur donnant en expliquant qu'ils étaient ses cobayes. Et la jeune femme lui adresse un regard légèrement soupçonneux, alors. Comment ça des cobayes ? Qu'avait-il versé dans ces verres ? À voir la robe de la boisson, il lui semblait que ce soit du vin, si bien qu'elle ne voyait pas trop ce qu'elle devait en craindre. Vraisemblablement rien. Trempant les lèvres dans la boisson, elle rit comme Jay se dit heureux d'être un cobaye. La boisson est un peu âpre en bouche à son goût, mais reste agréable. La bouteille a bien vieillit, quoiqu'elle ne soit pas une spécialiste viticole.

Loyd fermant la porte la demoiselle lève un sourcil face à ses mots comme il précise que chacun pourrait partir si la situation devenait trop… Si cela devenait trop quoi ? Il ne termine pas sa phrase laissant en suspens ce qu'il allait dire. Pour autant elle pouvait le deviner et ne voyait pas trop pourquoi l'un d'entre eux voudrait partir. Si elle avait eut à fuir, elle l'aurait fait la dernière fois. Ce soir, il n'y avait plus rien qui puisse les effrayer. Après tout ils ne feraient rien de plus que ce qu'ils avaient déjà fait en théorie. Rien qui ne puisse provoquer une fuite en somme.

La demoiselle prend place dans le canapé comme Loyd les y invite, Jay y prenant place également. Elle porte son verre à ses lèvres de nouveau et rit comme Loyd reprend la parole, s'inquiétant de savoir si elle a été traînée ici de force par l'homme prétendument charmant à ses côtés. Et ce dernier ne manque pas de se défendre, la demoiselle lui venant en renfort.

"- Non non je suis là de mon plein grès." assure la demoiselle avant de poursuivre. "Ou plus folle." remarque la jeune femme comme Jay suppose qu'elle soit plus téméraire qu'eux. Elle ne voit pas bien en quoi. Genre… ils ont peur là ? Elle lève un sourcil. Avant de se détourner de la question, observant Loyd. "Jay m'a dis médecin urgentiste." remarque la demoiselle en observant les lieux. "Mais jamais mon docteur n'as eut un tel bureau." remarque-t-elle. Ni un tel costume. Elle garde la remarque pour elle. "Responsable du service ?" demande-t-elle alors, émettant une hypothèse.
Patate Douce
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Patate Douce
Mer 8 Avr - 13:04

Loyd
ANDREWS

J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale.

Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.


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« J’ai peut-être emprunté ce bureau et je feins la comédie pour justement vous impressionner. »

Je n’étais jamais très à l’aise pour parler de ma vie professionnelle. Je n’avais aucune honte. Mais bien des aventures espéraient être régulières car j’avais un bon statut dans la hiérarchie. Je suis peut-être blindé comme je l’ai souvent entendu mais j’avais étudié – j’en avais chié aussi – pour arriver là où je suis.

Le cul posé dans ce bureau.
Et j’en voulais encore.

Mon objectif n’était pas de diriger les urgences. Un pallier de plus. Je voulais diriger le pôle Femme-enfant. C’est une annexe à part, je trouve. Plus calme, plus doux. Je ne dis pas que la gravité ne frappe jamais cette aile-là. Mais les sensations sont différentes. Donner la vie, une majestueuse aventure. Et être aux côtés de futurs parents, c’est mon rêve. Je ne saurais décrire exactement mes motivations pour ce monde, c'est juste qu'il m'a toujours attiré au fil de mes années de médecine. Je ne me suis jamais posé la question quant à ma parentalité. Et cela ne m’étonnerais pas qu’un de mes tirs transformés en essai frappe à ma porte un jour.

Le latex, n’est pas gage de résistance, pour un vainqueur voulant embrasser sa destiné.

Je veux être au four et au moulin, du terrain à l’administration. C’est pourquoi se faire la main sur les urgences où tout déboule sans savoir comment va finir la journée, si tant elle se finit, c’est le meilleur apprentissage pour quiconque. En parallèle, j’ai repris mes études pour m’assurer que je ne fais pas fausse route sur mes acquis et le corps humain féminin. L’obstétrique diffère des caresses disséminées sur les proies nocturnes. Je bois une rasade de ce délicieux vin, afin de sélectionner et résumer ce que je fais actuellement.

« Je co dirige le service. Ce n’est pas une finalité pour ma carrière »

Demeurer vague, car j’ai toujours peur que parler de ses rêves c’était s’exposer à les voir partir en fumée.

« Mais parlez moi de vous, que peut bien faire une folle comme emploi ? Et venir dire explicitement qu’elle veut me deshabiller, pour être aussi à l'aise à le faire. »


Chose que j’attends avec une fausse patience. Je regarde Jay, à l’aise pépouze, avant de reporter mon attention sur l’objet de nos désirs, encore une fois. Je sens que j’allais effectuer une liste de ce naissant trouple – sexuel, qu’on se le dise – et de nos lieux du crime.




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Elsy Lullaby
Ven 10 Avr - 17:09

Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède

Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.


Iga Wysocka
Emprunter ce bureau pour tenter de l'impressionner ? Alexandra lève un sourcil face à la remarque que l'homme lui fait. Ce dernier n'avait à priori aucune raison de chercher à lui en mettre plein la vue, il l'avait déjà fréquentée et elle était déjà dans son bureau, qui plus est.  Il n'avait aucune raison de chercher à obtenir ce genre de résultats à présent. Si ? C'était le genre de choses que l'on ne faisait que lorsque l'on essayait de séduire la personne nous faisant face, pas une fois qu'elle l'était. Hors ils n'étaient pas la pour la séduire. C'était déjà chose faite sur un certain plan. Le plan qui l'amenait ici. C'était tout ce qui les intéressait, non ? Elle n'attendait pas d''eux autre chose que ce qu'ils étaient prêts à lui donner. Nul besoin, de fait, de l'impressionner. Ils savaient tous trois parfaitement pourquoi ils étaient là. Un sourire étire les lèvres de la demoiselle.

«- M'impressionner ?» s'enquit-elle.

La jeune femme observe encore les alentours, l'élégance du mobilier, la classe du mini bar, duquel Loyd a sort un peu plus tôt une bouteille de vin pour leur distribuer des verres, assurant qu'ils seraient des cobayes. La demoiselle se lance pour goûter la boisson, un peu âpre en bouche mais plutôt agréable malgré tout, tout en émettant quelques suppositions sur le poste que l'homme peut occuper au sein de l'hôpital. Et comme la question lui est posée, elle apprend en fin de compte qu'elle ne s'est pas trompée dans ses suppositions, même s'il ajoute la nuance «co-» avant la mention de son statue de directeur de service, impliquant donc le fait qu'il ait un collègue à son poste. Toutefois l'homme demeure vague, avant de s'intéresser à elle, comme pour détourner la conversation de sa propre personne.

Ce qu'elle fait ? Rien d'aussi prestigieux que lui. Rien d'aussi santé que les postes qu'ils occupent eux-même. Mais elle a accomplie son rêve, Alexandra et c'est tout ce qui compte. Elle peut se targuer de gagner en popularité dans son domaine, se targuer d'être de plus en plus sur le devant de la scène, dans sa discipline. Elle prend un peu de vin, en appréciant le goût, esquissant un sourire avant de répondre.

«- Je suis créatrice de robes de mariées. C'est à dire que je fais tout le travail de croquis de la robe selon les exigences de la cliente, avant de confier le travail de couture, assemblage, réalisation, à mon équipe.» explique-t-elle.

Mais qu'ils se rassurent, son emploie n'impliquait pas – encore – qu'elle veuille leur passer la corde au cou. Elle avait beau occuper un poste supposant sa sensibilité et son romantisme, ce n'était pour autant pas ce qu'elle cherchait avec eux.



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Maddy'n
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Maddy'n
Sam 11 Avr - 14:48

Elijah "Jay"
Anders

J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.

+ Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. +Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.



Jamie Dornan :copyright:️ Shiya
« Ou plus folle. ». Cette vision par elle-même de la jeune femme me fait doucement sourire. En effet peut-être qu’il fallait seulement manquer de discernement pour avoir le courage de nous suivre et de se lancer dans ces folles expériences de luxures avec nous. Et peut-être que malgré les deux attitudes de prédateurs que nous pouvions adopter, c’était nous qui devrions nous méfier de celle que l’on avait considéré comme notre proie le premier soir. Après tout, mademoiselle semblait être pleine de surprise. Et curieuse. Car là où j’étais resté vague sur les informations distribuées, mademoiselle semblait décidée à creuser un peu plus. Bonne chance. Le connaissant, Loyd ne donnerait pas beaucoup plus d’informations. Ce n’était pas le genre à étaler sa vie privé, encore moins avec une conquête d’un soir ou deux. Quand on sait, comme moi, que Monsieur aurait pu se passer de donner son nom ou de demander celui de notre sirène le premier soir, on sait que cette discussion n’ira pas bien loin. Ou qu’elle serait vite détournée. Ce qui n’était pas plus mal, car malgré le verre de vin que je savourais toujours, je n’étais pas vraiment là pour faire causette. Personne ne l’était.

Et conformément à ce que j’avais prédis, la discussion dérive. Pas très franchement, plus subtilement, Loyd se contentant simplement de faire d’Alexandra le nouveau centre d’attention. Une belle façon de faire. J’assiste paisiblement à leur échange, guettant la réaction de Loyd à la réponse qui l’attendait. Pour un gars qui ne s’était jamais engagé, à ma connaissance, j’avais hâte de voir la tête qu’il ferait en entendant prononcer le mot mariage. Certes, ça ne serait pas une demande, ni même une promesse, son boulot ne consistant qu’à dessiner des robes de princesses, mais je me demandais avec quel flegme Loyd allait prendre l’information. Et avec quelle expression il allait la juger. Car l’on s’en doute bien, les demoiselles comme elle, ça rêvait du grand amour, du prince charmant et du mariage royal qui allait avec.

Verre du vin terminé, je me relève et retourne le poser intelligemment sur le mini-bar. Ca serait dommage de le laisser trainer et de le casser, si les choses devenaient un peu plus sauvages entre nous. Plus dommage encore si on en venait à se blesser avec des éclats de verre. C’est pas parce qu’on était déjà aux urgences qu’il fallait agir inconsciemment. Cela étant fait, je me décide à ouvrir et retirer ma veste, laissant apparaître le haut de mon corps dans un t-shirt blanc, légèrement collé au corps, qui laissait aisément deviner la musculature de mon buste. Je la pose sur le dossier d’une chaise et m’approche de mes partenaires de crimes. Ce n’est pas que leur discussion ne m’intéressait pas, mais je n’avais pas envie de les regarder pendant dix minutes s’échanger des banalités sur des sujets dont je connaissais déjà les réponses. Mains sur les épaules de Loyd, je les glisse le long de ses bras entraînant son blazer avec moi pour le lui enlever. Oui, j’avais décidé de commencer le boulot. « T’étais encore trop habillé à mon goût. Ca jurait avec nous. ». Début des hostilités doucement lancé, je pense que cette fois on pouvait s’épargner d’attendre que mademoiselle veuille bien le faire. Malgré tout, je n’allais pas lui retirer tout le plaisir et laisse la chemise de Loyd intacte.
Patate Douce
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Patate Douce
Sam 11 Avr - 18:25

Loyd
ANDREWS

J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale.

Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.


Heny Cavill  :copyright:️ animals.

Mariage.
Blackout.

Je souris bêtement pour réprimer un haut-le-cœur. Mon radar me dit de fuir cette demoiselle. Elle n’était clairement pas pour moi.

Le mariage.
Jamais.
Non !


J’avais l’impression d’avoir la corde au cou. J’adore y participer. Voir les échanges de vœux, faire la fête, manger jusqu’à s’en péter de le bide. Mais Moi ? Non, je ne pouvais m’offrir à une seule et même personne pour l’éternité. J’aimais trop les délicieuses courbes féminines pour les priver de mes exploits sexuels.

« Beau métier »

Je finis par bafouiller, terminant d’une traite mon verre. En faisant de même que mon compere, retour sur le mini bar, j’irais les laver plus tard. Je cherchais en même temps comment détourner une énième fois cette conversation, je sentais qu’elle allait me demander mon avis sur la question. Et je n’avais guère envoie de lui briser l’image qu’elle pouvait avoir de moi.

Clairement, célibatard, trouvant sa dolce Vita dans le fondement féminin. On est d’accord cela ne fait pas rêver. Et ce fut Jay qui m’offrit une porte de sortie. Surprenant. Et excitante, je dois l’avouer.

« T’étais encore trop habillé à mon goût. Ça jurait avec nous. »

Frisson qui me parcours Puis-je mettre cet étrange sentiment sur le compte de l’ivresse ? Avec un verre, jamais. Mais oui, je me le permets. Veste ôtée. Je regarde fiévreusement Jay, et dans un élan de luxure, je viens l’embrasser. Je ne saurais expliquer mon geste. Gouter à ses lèvres, je mentirais si l'idée ne m'avait traverser mais de là, à assouvir cette secrète envie, je n'y aurais jamais pensé.

L’ambiance qui se mue dans mon bureau, de chaste à sensuelle. Fougueux baiser, où je profite pour passer mes mains sous son t-shirt et apprécier sa musculature.

Okay, Loyd que t’arrive-t-il ?

Baiser qui me coupe le souffle et je me recule, hébété. Je viens attraper la douce demoiselle posant ses mains sur mon torse et embrassant son cou. La danse était lancée.

Merci Jay.




Elsy Lullaby
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Elsy Lullaby
Dim 12 Avr - 4:09

Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède

Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.


Iga Wysocka
Comme l'homme la questionne sur son boulot, la demoiselle répond fièrement qu'elle créé des robes de mariées. Parce que ce boulot la passionne, qu’elle adore créer LA robe d'une vie, accompagner de jeunes femmes dans ce plus beau jour de leur existence. Elle aime ce qu'elle fait, donner vie aux demandes de ses clientes, cerner ces dernières et leur offrir un résultat sur mesure, soigné au détail près. Si la demoiselle est aussi fière de son emploie, c'est que les critiques positives ne manquent pas de la couvrir. Qu'elle a un crayon de fée. Mais Loyd ne semble pas le penser. S'il affirme que c'est un beau métier, l'homme ne semble pas réellement le penser. Il lui semble qu'il boit son verre un peu trop vite pour être honnête. Mais peu importe. Ils ne sont là que pour la nuit, elle peut bien faire ce qu'elle veut de sa vie, après tout. Ce n'est pas à lui que son emploi doit plaire et c'est le cadet de ses soucis. A vrai dire, même s'ils partageaient la vie l'un de l'autre, ce ne serait jamais que le problème de la demoiselle, que d'occuper un tel poste. Et elle n'en fait pas cas.

Elle a rapidement, devant ses yeux, d'autres choses à penser alors que le prince Eric décide de retirer le blazer de leur partenaire, avant que ce dernier ne vienne voler les lèvres du sportif. Ok. C'était le seul vrai baiser gay qu'elle ait vu de sa vie, ailleurs qu'au cinéma. Si elle avait déjà croisé des personnes homo sexuelles dans son existence, elle devait bien admettre avoir rarement vu ces dernières s'accorder autant de liberté en public que ne le faisaient les hétérosexuels. Mais peu importe. Elle avait devant les yeux un spectacle divin, qu'elle ne pourrait jamais oublier et qui allumait un feu de désir dans son bas ventre. Ils étaient carrément trop sexy, à s'embrasser comme ils le faisaient. Elle en perdait presque ses moyens, bouche-bée. Le spectacle était indécent. Terriblement excitant. Et Loyd décida assez rapidement qu'elle devait y prendre part, venant vers elle, lui faisant poser ses mains sur son buste avant de perdre ses lèvres dans son cou, lui arrachant un soupir. Message reçu cinq sur cinq. La jeune femme entreprend de lui retirer sa chemise, avant de faire de même avec Jay, encore empressée par le spectacle qu'ils lui avaient donnés.

Installée dans le canapé, le cœur battant encore la chamade et les joues roses par l'effort, les paupières closes, la demoiselle apprécie ce calme après la tempête. Une fois de plus, leur union avait été folle. Parfaite. Comme pour confirmer que jamais rien ne pourrait être mieux que ça, mieux que ce qu'ils lui avaient donnés. Et elle voulait bien le droite. C'était une expérience folle, un fantasme qu'elle ne se serait jamais cru réaliser. Et qui était finalement mieux que ce qu'elle espérait. Elle pousse un soupir satisfait en rouvrant les yeux, se redressant quelques peu dans le canapé. Elle les observe, tour à tour.

«- Vous avez déjà couché ensemble tout les deux ?» finit-elle par demander, avant de préciser. «Je veux dire, sans une fille avec vous ?»

Elle ignorait être la première à avoir été avec les deux en même temps, la seule également. Mais ce ne sont pas les autres chanceuses ayant put avoir ce genre de traitement qui l'intéressent. Seulement eux. Leur baiser avait été bien trop sensuel pour qu'elle l'oublie. Bien trop pour que la question ne se présente pas à son esprit.



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