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Cheval de Troie
Mar 2 Nov - 8:18
Tsunade
Je suis née dans le clan Senju et malgré mon jeune âge je suis déjà Sannin. Je viens du village de Konoha et je suis la petite fille du Premier Hokage. Je suis aussi une excellente ninja médecin.
Je ne vais pas me vanter mais je possède une force surhumaine. Avec Jiraya, vaut mieux, cet abruti mérite chaque coup que je lui donne ! Il me fatigue ! Mais qu'est-ce que je ferais sans lui, sans eux. Mon équipe. Sous le commandement de Maitre Hiruzen nous ne pouvions que devenir plus fort. Personnellement, je ne cours pas après la puissance mais je sais que ce n'est pas le cas de tout le monde dans mon équipe, aussi, quand Orochimaru disparut, j'ai tout de suite senti que les ennuies ne faisaient que commencer. Mais bien qu'il ait le don de me mettre hors de moi, je sais que je ne pourrais rêver meilleur coéquipier que Jiraya. Il est le pilier sur lequel je pourrais me reposer toute ma vie, je le sais. Mais n'allait pas lui raconter ! Je nierais en bloc jusqu'à la mort !
Tsunade :copyright:️ Google
HRP : Je suis désolée de mon temps de réponse T.T Je n'ai absolument aucune excuse ! Encore désolée ! >.<
Pourquoi est-il si compliqué et puéril ? Les choses ne peuvent elles pas être plus simple entre nous ? En même temps, si elles l'étaient, auraient elles le même gout ? Pas sûr. Soupire. Je suis toujours folle de rage, pourtant Jiraya n'essaye pas d'enfoncer le clou. Bien au contraire, il me surprend à rester muet et il vient même me partager sa couverture, car j'ai très froid.
Je me love entre ces deux couvertures et déjà je sens mon corps se réchauffer. Celle de Jiraya porte encore son odeur et rien de le sentir... ça me fait rougir autant que ça me donne envie de pleurer... Lui tournant toujours le dos, je l'entends écrire, mais je ne le regarde pas. Quel goujat, il écrit encore ses histoires cochonnes sur sa parfaite inconnue alors que je suis juste à côté. J'ai envie d'abattre mon poing sur sa tête jusqu'à ce qu'elle explose. Mais d'un autre côté, pourquoi je me sens si abattue alors ?
Je le savais, je savais que trop penser à ce genre de chose risquerait de tout gâcher et pourtant je n'ai pas pu m'en empêcher. Maintenant Jiraya va finir par me détester parce que je vais être insupportable avec lui jusqu'à ce qu'on rentre à Konoha. Et ensuite ? Hein ? Quelle sera ma vie ? Je me retrouverais dans une nouvelle équipe avec des coéquipiers que je ne connais même pas. Et je devrais leur sauver la peau à chaque mission parce que ces loosers n'auront jamais la force de Jiraya pour me protéger. Je presse l'arrête de mon net pour ne pas pleurer tout en me mordant la lèvre.
Au bout d'un moment, j'entends Jiraya déchirer un bout de papier et se lever. Je fais mine de dormir, mais je l'entends trifouiller mon sac. Quand il s'éloigne, je me redresse et regarde ledit sac. Un bout de papier y dépasse et sur le coup, je ne sais pas si je dois oser le lire ou pas. Qu'est-ce que ça pourrait être ? Est-ce qu'il va m'annoncer qu'il préfère qu'on fasse la route séparément jusqu'au prochain village ? Mon cœur se serre à cette idée. Essayant de n'écouter que mon courage, je m'approche du sac et attrape le papier que je déplie. Dans une jolie écriture et une délicieuse tournure de phrase, Jiraya raconte l'histoire d'un garçon déboussolée, car la fille qu'il aime lui en veut pour un malentendu. Je rougis de surprise en comprenant le message caché.. Je serre le bout de papier contre mon cœur. Je m'en veux tellement d'avoir été si horrible avec lui....
Il faut que je me fasse pardonner... Il faut... Il faut que j'arrête de me cacher, il faut que je lui dise ce que je ressens. Oui, c'est la meilleure chose à faire pour me faire pardonner. Et ensuite et bien.... advienne que pourra !
Je me lève rapidement et rapproche ma couchette du feu pour ne pas avoir froid cette nuit, je colle celle de Jiraya à la mienne pour que nous puissions avoir plus d'espace. J'étale nos couvertures et fais de nos sacs des oreillers. À la lumière de notre feu de camp, on pourrait presque croire à un lit nuptial, c'est malheureusement la meilleure chose que je puisse faire actuellement. Je m'en contente avant de me glisser sous la couverture. Je rougis d'avance à l'idée qu'il puisse me rejoindre...
Je suis restée habillée et je sais qu'il en sera déçue, mais faut pas exagérer ! Je vais déjà lui ouvrir mon cœur, il devrait en être plus satisfait que si je lui.... offrais mon corps. Ça, tout le monde peut le faire.... Du calme Tsunade, pas la peine de penser à toutes les filles de petites vertus qu'il a dues rencontrer sur ses routes. Faut que je pense à des choses positives sinon je vais l'étrangler à son retour. Non, je vais penser à la façon qu'il a de me regarder, de se concentrer. La façon qu'il a de froncer les sourcils ou de sourire bêtement quand je renverse de l'eau sur ma tenue. Oui je pense à tout ça et mon corps se détend peu à peu. J'ai tellement hâte qu'il arrive.
"Jiraya.... reviens..."
Murmurais en me blottissant dans sa couverture en profitant de son odeur.
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Clionestra
Jeu 4 Nov - 12:43
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Jiraya
Faut il en dire plus quand son nom à lui seul est une légende ? (en cours)
HRP – Ne t’en fais pas, la beauté de ce forum, c’est qu’on peut jouer juste pour s’amuser sans contrainte alors juste amuse toi et ça me suffit !
Jiraya était donc partit faire une patrouille rapidement. Il avait fait le tour de la zone, vérifier des pièges qu’il avait mit pour se protéger. Il soupira. Il mit sa main sur son visage et se le frotta pour le garder chaud … qu’est ce qu’il venait de faire ? Il rougit de plus belle … s’il arrivait tout de suite, retourner vers Tsunade et mettait la feuille au feu … peut être qu’il pourrait faire semblant de rien ?
Mais alors la situation n’aurait pas évolué, ni en bien ni en mal, et le nouveau malaise entre eux serait de plus en plus grand non ? Il maudit Orochimaru d’être parti ainsi, il le détestait … et qu’importe s’il était trop loin de la vérité pour le maudire. Il finit par faire un tour un peu plus grand que prévu pour revenir doucement.
Au loin, quand il vit les affaires qui avaient bougés, il se mit à courir un peu paniquer que Tsunade puisse s’être fait attaquer quand il n’était pas là …. Sauf que ce qu’il découvrit l’effraya plus que des ennemies à abattre. Tsunade avait fait un lit avec leur affaire. Dormait-elle ? Il s’approcha à pas de loup.
- Tsunade… tu dors ? chuchota-t-il
Il ne savait pas ce qu’il était censé faire … devait il venir juste se coucher à côté d’elle ? Devait-elle le voir comme la permission de l’enlacer ? Alors même qu’il savait déjà que l’idée du corps de Tsunade contre le sien lui ferait un effet certain ? Il réfléchit alors qu’il s’était rapproché du lit de fortune. Il s’assit d’abord à ses côtés. Il la regarda dormir. Il finit par murmurer en prenant des cheveux dans ses mains.
- Tsunade, dis-moi ce que je dois faire pour pas tout faire merder.
Parce que … même s’il savait comment il pourrait la satisfaire physiquement, il savait aussi qu’il ne pouvait pas lui faire comprendre comment, pour lui, le fait de la vouloir physiquement avait tout à voir avec le fait de la vouloir émotionnellement … il ne savait tout simplement pas comment lui montrer qu’il tenait à elle, autrement que de cette manière fantasmagorique qu’il écrivait dans ses nouvelles. Il embrassa ses cheveux alors qu’il finit par se coucher à côté d’elle, face à elle qui lui tournait le dos.
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Cheval de Troie
Jeu 11 Nov - 10:11
Tsunade
Je suis née dans le clan Senju et malgré mon jeune âge je suis déjà Sannin. Je viens du village de Konoha et je suis la petite fille du Premier Hokage. Je suis aussi une excellente ninja médecin.
Je ne vais pas me vanter mais je possède une force surhumaine. Avec Jiraya, vaut mieux, cet abruti mérite chaque coup que je lui donne ! Il me fatigue ! Mais qu'est-ce que je ferais sans lui, sans eux. Mon équipe. Sous le commandement de Maitre Hiruzen nous ne pouvions que devenir plus fort. Personnellement, je ne cours pas après la puissance mais je sais que ce n'est pas le cas de tout le monde dans mon équipe, aussi, quand Orochimaru disparut, j'ai tout de suite senti que les ennuies ne faisaient que commencer. Mais bien qu'il ait le don de me mettre hors de moi, je sais que je ne pourrais rêver meilleur coéquipier que Jiraya. Il est le pilier sur lequel je pourrais me reposer toute ma vie, je le sais. Mais n'allait pas lui raconter ! Je nierais en bloc jusqu'à la mort !
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Jiraya finit par revenir. Il a l'air tellement... chamboulé. Ça ne lui ressemble pas. Je me demande si c'est notre altercation de ce soir qui a fait qu'il a les sourcils froncés de la sorte ? Je me mords la lèvre en me disant que peut être j'ai dû aller trop loin. Le voir si dépité me brise le cœur. Il finit par s'approcher de moi et me demande ce qu'il doit faire pour ne pas merder. Je souris en l'entendant avant de me tourner vers lui. Je le regarde avec des yeux brillants alors que le feu crépite à côté de nous et apporte une chaleur réconfortante. Je m'approche un peu plus et pose timidement une main sur sa joue avant de la caresser doucement. Je le regarde dans les yeux, essayant de lire tout ce qu'il ressent à l'intérieur et inversement. Puis contre toute attente, je me rapproche encore jusqu'à ce que nos fronts soient collés. Mon corps est pressé contre celui de Jiraya, je frotte le bout de mon nez contre le sien puis là, n'écoutant que mon courage, je décide de l'embrasser. Un petit baiser, timide, chaud, tendre.... J'espère qu'il va me le rendre, que nous allons nous étendre sur notre lit de fortune afin de mieux pouvoir partager ce moment. Je passe une main dans les cheveux de mon partenaire avant de fermer les yeux et de me laisser aller à ce baiser.
Puis quand il finit par être stoppé pour que nous puissions reprendre notre souffle. Je rougis comme une tomate à la lueur du feu de camps. Je n'ose pas le regarder et cache mon visage contre son torse.
"Jiraya....Il....Il n'y a que toi....Depuis toujours..."
Cette réplique sonnait plus comme une déclaration qu'autre chose. Pas de menace, pas de méchanceté, rien qui ne laisse indiquer que ce pourrait être une blague ou un malentendu. Non. Ce soir, c'est le soir des vérités. Et c'est vrai, il n'y a toujours eu que Jiraya dans mon cœur, même si j'ai mis du temps à m'en apercevoir, même si ce n'est pas facile tous les jours et même s'il m'insupporte au plus haut point... Je sais qu'il celui que mon cœur a choisi. J'aime le regarder sourire, j'aime le voir faire le pitre. J'aime sa façon de me regarder, ou de blaguer sur mes formes. J'aime son indiscipline et son courage qui en font un ninja de légende. Jiraya est une personne exceptionnelle, promise à un immense avenir glorieux. Est-ce que j'ai envie d'être celle qui va partager cet avenir à ses côtés ? De toute évidence.
Plus je me noie dans le regard de Jiraya, plus je me dis que j'ai fait le bon choix. On ne pouvait plus attendre. Il fallait qu'on se déclare maintenant. Même si je suis effrayée, carrément terrifiée de la suite des évènements. Je connais Jiraya et son appétit pour le corps des femmes ? Et s'il n'était pas patient, s'il allait voir ailleurs ? Rien que d'y penser mon cœur se brise. Comment pourrait-il me faire ça ? J'avoue que je suis encore une novice en ce qui concerne les relations entre les hommes et les femmes. Je n'ai jamais eu à donner mon cœur et ma confiance à quelqu'un jusqu'à présent. C'est donc ça l'amour ? Avoir une confiance aveugle en l'autre tout en prenant e risque que cette confiance soit brisée ? C'est un jeu dangereux. Très dangereux.
De nouveau, j'embrasse mon compagnon, toujours plus de tendresse et de chaleur dans mon baiser qui cette fois se fait plus langoureux. Le bout de ma langue caresse la lèvre de Jiraya pour lui demander la permission d'entrer, mes seins se pressent contre son torse, un de mes bras passe carrément autour de son cou, tout comme une de mes jambes. Ce baiser devient bien plus passionné et chaud. Il me fait perdre ma capacité à réfléchir, est-ce le manque d'oxygène ? Je me sens obligée de fermer les yeux pour profiter au maximum de ce moment. Toutes ces sensations que je ressens.... De l'électricité dans ma colonne vertébrale, dans l'échine jusqu'au creux des cuisses. Mes bras frissonnent, mes cheveux s'emmêlent et mes jambes réclament plus de proximité avec les siennes...... En fait, toutes les fibres de mon corps l'appellent en cet instant.
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Clionestra
Dim 14 Nov - 14:45
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Jiraya
Faut il en dire plus quand son nom à lui seul est une légende ? (en cours)
Tout ça était tellement compliqué… Tout cela était bien au-delà de tout ce qu’il pouvait comprendre. Il avait lu, et vu, pleins d’histoires qui n’était pas pour son âge, mais rien ne parlait de ça… C’était plus le plombier vient faire une réparation et on astique le tuyau que … dormir à la belle étoile avec une femme qui nous rendait dingue. Il devait faire quoi ?
Il n’était pas en panique … presque pas … son cœur tapait dans son cœur, et il n’arrivait pas à savoir comment le faire se calmer avant qu’il ne sorte de sa cage thoracique … Quoi que Tsunade avait de bonne notion pour le soigner non ? Mais comment soigner un cœur qui s’emballe quand on est la raison de ce chamboulement ? Il pinça les lèvres en réfléchissant à tout cela.
Quand Tsunade se tourna vers lui, son cœur continua à taper plus fort. Ouais, c’était sur, il allait mourir d’une crise cardiaque. Et ce qu’elle fit ensuite ne l’aidait pas à calmer son cœur qui palpitait comme après des montagnes russes sans protection. Il ne bougeait pas, mais il avait l’impression que son organe l’aidait à respirer aussi en poussant contre son corps pour vider et remplir ses poumons.
Elle était en train de l’embrasser. Elle. Tsunade. La femme qui faisait de ses nuits des images classés X et de sa tête une farandole d’histoire. Elle qui avait refusé plus tôt de lui donner ce baiser. Elle était en train de l’embrasser. Sa main vient se caler contre le dos de la jeune femme, pour la rapprocher de lui alors que, bien évidemment, il répondit à son baiser. Savait-elle vraiment ce qu’elle était en train de lui faire vivre ? Ils se séparèrent pour reprendre leur souffle, mais c’était trop tard. Son corps était tendu, on ne va pas faire de dessin, et son cœur n’était plus qu’un cognement incessant et trop rapide. Elle pourrait l’entendre non ? Pourrait-elle le sentir ? Il fallait le calmer, mais Jiraya n’y arrivait pas alors que sa main dans son dos commençait à remonter un peu.
Il ne voulait pas qu’elle pense qu’il pensait à son adorable fessier maintenant. Ni même à sa poitrine. Sa main se bloqua au milieu de son dos. Merde. Sa main pouvait aller nulle part pour le moment. L’autre était toujours au sol. Bonne idée. Laissons-la, là. Il n’avait pas la capacité à répondre. Il ne pouvait que la regarder. Pitié, qu’elle y lise la réciprocité de ses sentiments. Comment pourrait-il lui faire comprendre sans le dire … parce qu’il était incapable de parler tout de suite. Il finit par utiliser sa deuxième main pour la mettre sur sa joue et qu’elle regarde dans ses yeux.
Pitié. C’était ce qu’il demandait.
Le nouveau baiser, toujours aussi rendu, fit naître un sourire tendre sur les lèvres de Jiraya. Elle avait compris, n’est ce pas ? Il utilisait des mots plus tard, pour le moment il n’en avait pas la capacité. Mais voilà, ce nouveau baiser … il était bien plus que le premier. Et si son cœur était tendu pour le premier baiser, la jeune femme qui se collait à lui était … elle jouait à un jeu dangereux. Il essayait de ne pas bouger, ou le moins possible … mais il ne fallait pas être un jônin pour comprendre que la bosse dans son pantalon n’était clairement pas un parchemin perdu.
Il fallait qu’il soit sûr … sûr de ce qu’elle voulait … il mit une main sur sa clavicule, pas sur ses seins, surtout pas, et il la recula juste à peine en mettant fin à leur baiser. Assez pour séparer leurs lèvres, mais pas assez pour croire qu’il ne le voulait pas.
- Tsu… tsunade … Je …
Il avait sa main proche de son corps, et surtout de son haut … il lui faudrait que quelques mouvements pour passer la main sous son t-shirt et toucher la peau tendue de son dos. Il déglutit.
- J’ai … j’ai envie de toi. Dans ma vie. Mais … pas seulement.
Il rougit. De la tête au pied, il rougissait devant ce qu’il essayait d’expliquer à la jeune femme. Il fallait bien qu’elle comprenne qu’il ne la voulait pas que physiquement, mais plus … mais que là, dans l’instant, il n’avait qu’une seule et unique pensée qui lui traversait l’esprit.
- Si on continue comme ça, je vais vouloir bien plus. Est-ce que tu es sûr de vouloir me le donner comme ça maintenant ?
Oh. Il pouvait aussi lui faire du bien sans avoir à faire l’acte finale… Cela lui conviendrait tout autant… mais, pour ça il fallait voir ce qu’elle, elle voulait… et comme il n’avait aucune idée de ce qu’elle désirait à l’instant … il ne pouvait pas prendre d’initiative …
- Je te donnerais tout ce que tu voudras prendre, mais alors je dois te laisser les rennes.
Cela voulait simplement dire, fait ce que tu veux de moi… Il avait répondu au baiser avec autant d’envie … il répondrait au moindre de ses désirs avec plaisir … mais, elle allait devoir lui dire. Il avait tellement peur de la presser à faire quelque chose qu’elle ne veut pas … qu’elle ne désire pas réellement… Merde. Il aurait dû regarder des films romantiques au lieu des érotiques, ça aurait pu l’aider…
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Cheval de Troie
Dim 14 Nov - 21:11
Tsunade
Je suis née dans le clan Senju et malgré mon jeune âge je suis déjà Sannin. Je viens du village de Konoha et je suis la petite fille du Premier Hokage. Je suis aussi une excellente ninja médecin.
Je ne vais pas me vanter mais je possède une force surhumaine. Avec Jiraya, vaut mieux, cet abruti mérite chaque coup que je lui donne ! Il me fatigue ! Mais qu'est-ce que je ferais sans lui, sans eux. Mon équipe. Sous le commandement de Maitre Hiruzen nous ne pouvions que devenir plus fort. Personnellement, je ne cours pas après la puissance mais je sais que ce n'est pas le cas de tout le monde dans mon équipe, aussi, quand Orochimaru disparut, j'ai tout de suite senti que les ennuies ne faisaient que commencer. Mais bien qu'il ait le don de me mettre hors de moi, je sais que je ne pourrais rêver meilleur coéquipier que Jiraya. Il est le pilier sur lequel je pourrais me reposer toute ma vie, je le sais. Mais n'allait pas lui raconter ! Je nierais en bloc jusqu'à la mort !
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Il a su me rendre mon baiser avec tellement de tendresse que j'en ai eu le souffle coupé. Sa main dans mon dos était tellement délicate. Rien à voir avec le genre de caresse salace que j'aurais pu soupçonner chez lui. Non, tout était tendre, il n'y avait autour de nuit que le bruit du feu et des volatiles nocturnes. Rien ne venait gâcher ce moment parfait. Ce moment où je pouvais plonger mon regard dans le sien avec de sentir la chaleur de ses lèvres sur les miennes. Un pur moment de bonheur durant lequel je pouvais sentir son cœur battre contre le mien. Je....J'ai toujours espéré voir ce côté-là de Jiraya. Un côté romantique, timide, fragile.... En fait, je pense que j'espérais qu'il ne soit pas qu'une bête assoiffée de sexe et je dois dire que je ne suis pas déçue, bien au contraire.
Quand je reprends mon souffle, il en profite pour mettre une main sur ma joue. Je blottis mon visage contre sa main en souriant d'aise. Je me sens tellement bien que ça me pousse à me coller un peu plus à lui. Je... Je n'ai pas beaucoup d'expérience et je suis loin de me douter que notre proximité puisse avoir un effet... immédiat sur Jiraya. En fait, je crois que je suis loin de me douter à quel point il me désire. Je....J'ai toujours pensé à lui comme un partenaire d'équipe et quand je m'y autorisais, de façon un peu plus romantique, mais jamais je ne me suis laissée aller à l'imaginer dans un contexte plus.... charnel....
Je finis par sentir une bosse dans son pantalon et je rougis d'une oreille à l'autre en essayant de ne pas y faire attention. Je me concentre sur notre baiser qui devient de plus en plus intense. Mon corps devient de plus en plus chaud et un courant électrique me parcourt la colonne vertébrale. Mais très vite, tout s'arrête. Je suis coupée net et je halète, quelques secondes, de surprise avant de le me perdre dans son regard tout en écoutant ce qu'il a à me dire.
Les paroles de Jiraya me comblèrent de bonheur, mais d'un autre côté, elles me poussèrent à la réflexion. Malgré moi, je baisse le regard pour regarder cette bosse à travers son pantalon. Je....Je ne sais spas si je suis vraiment prête pour ça même si ma curiosité me pousse à dire le contraire.
Je cache mon visage de novice dans le creux de son cou que j'embrasse doucement. Son odeur m'attire, je ne peux m'empêcher de le toucher, de l'embrasser. Mes mains se baladent sur son visage, sa nuque ou son torse. Parfois le bout de mes doigts glissent sur son cou d'un côté pendant que je bisouille l'autre côté. C'est plus fort que moi, je suis comme attirée par lui maintenant qu'on a commencé, je ressens un besoin irrépressible de le toucher, qu'il me touche, d'être dans ses bras. Est...Est-ce que je deviens folle ?
Quand il me demande si je suis sûre de vouloir lui donner ce qu'il attend, maintenant, je le regarde en rougissant puis détourne le regard honteusement en décidant d'être honnête.
"Jiraya...Je....Je n'ai aucune expérience dans.... Dans ce genre de domaine, comme tu t'en doutes. Alors je....Je ne sais pas vraiment ce que je dois faire mais... Ce que je sais, c'est que là tout de suite, j'ai juste envie.... De sentir nos corps et nos cœurs plus proche que jamais."
Je prends une grande inspiration, tout en rougissant toujours puis je retire mon haut et je me tortille pour enlever mon pantalon. Je me retrouve à présent nue comme un vers sous le regard de.... aller, j'ose le dire... de celui que j'aime.
"Je... J'ai envie de sentir tes mains sur moi."
Je ne sais pas si ce sera suffisant pour calmer toute la tension qu'il doit accumuler dans son pantalon mais.... Je pense que je ne dois pas bruler les étapes, je dois apprendre à découvrir mon corps avec lui tout comme je dois apprendre à découvrir le sien. Olalala.... Je me sens à la fois si épanouie et honteuse de me retrouver nue devant lui. Et si maintenant qu'il voit mon corps tel qu'il est naturellement, il ne lui plait pas tant que ça ?
Mes cheveux blonds retombent sur mes épaules nues et je frissonne légèrement de froid ce qui fait pointer mes tétons que je cache timidement de mon bras. Je n'ose pas le regarder. Je ne sais pas vraiment quoi faire, j'aimerais prendre les rennes, mais j'ai aussi besoin qu'il me guide. Quoi qu'il arrive, je ne regrette rien. Je lui ai dit ce que je ressentais et.... C'est réciproque de toute évidence alors... J'ai déjà tout gagné.
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Clionestra
Dim 14 Nov - 23:49
Warning : début du Lemon
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Jiraya
Faut il en dire plus quand son nom à lui seul est une légende ? (en cours)
C’était tellement dur de ne pas lui sauter dessus. Une difficulté qu’il aurait dû mal à expliquer. Son imagination était fertile, et alimenter aussi par des années d’abstinence … il n’avait jamais rien fait … rien de plus que ce qu’il pourrait se faire lui-même dans un plaisir solitaire en tout cas. Il connaissait le sexe qu’à partir de ce qu’il avait lu ou vu … et ça ne l’aidait pas à calmer son entre-jambe en feu.
Il voyait déjà plein de choses qu’il avait envie d’essayer avec le corps de la jeune femme … et loin de lui l’envie de la voir comme un objet … il avait aussi envie qu’elle essaie plein de choses sur son corps … C’était réciproque. Et quand elle regarda vers son érection ? Il eu l’impression que le feu dans ses parties était encore plus fort… On pouvait vraiment faire cet effet là avec un regard et un baiser ? Pour une autre femme il en aurait douté … Mais Tsunade n’avait jamais été n’importe quelle femme. Quand elle avoue ne pas avoir d’expérience, il sourit. Son contact lui faisait un cour circuit avec ce qu’il voulait faire.
- Tsunade … je lis et je regarde beaucoup, mais c’est la première fois que j’embrasse quelqu’un.
Et on ne pouvait pas compter le smack échangeait y a des années par accident avec une camarade de classe. Ce n’était clairement pas quelque chose dont Jiraya se souvenait comme un baiser, et considérait même comme tel. Alors qu’il la touchait, toujours sur les vêtements, il se demandait comment faire pour faire son plaisir, sans passer la ligne. Puis, elle le fait elle-même.
Elle finit devant lui. Il écarquille les yeux devant ce spectacle … Certaines scènes de ses romans venaient de prendre un tournant sensuel bien plus important maintenant qu’il avait vue cela. Il l’observait sans rien dire au début. Il mourrait d’envie de la toucher… et son érection allait bientôt lui faire mal. Oh, tant pis. Il allait lui donner du plaisir avec ses mains et quand elle finira par tomber de fatigue, et de désir, il ira se terminer dans la forêt.
Il ne voulait pas qu’elle se sente forcer, et il était bien sûr prêt à laisser Popole dans son caleçon au chaud… Au chaud ? De qui se moque-t-on ici … La chaleur qui émanait de la situation était de lave en fusion… Ses seins étaient parfaits, son visage était parfait, ses fesses, son dos, ses jambes, tout de Tsunade était parfait. Il grogna quand elle cacha ses mamelons. Un grognement qui avait tout de la bête et moins de l’homme.
- Ne te cache pas….
Il avait ses mains prés des jambes de la jeune femme, et avec une lenteur très douce, il les remonta. Ses jambes, ses hanches, son buste, ses épaules, ses bras pour s’arrêter sur ses mains.
- Je vais te toucher Tsunade, mais souviens-toi… si … si tu ne veux pas…. Si c’est trop… juste … juste dit moi non.
Il avait dû mal à rester concentrer alors qu’il prit les mains de la jeune femme pour les virer du spectacle de la poitrine de la jeune femme. Il voulait la toucher… mais avant cela, il prit le temps de tourner sa tête pour attraper ses lèvres dans un mouvement vorace. Il lui suffirait de dire non… en attendant, il mourrait de la toucher enfin et il allait le faire tout de suite.
Ses lèvres contre les siennes, une main qu’il avait gardait dans la sienne, il remonta la suivante doucement en caressant le ventre de la jeune jusqu’à arriver sur sa poitrine. Il attrapa sa poitrine d’une main. Sans lui faire mal, pas comme un bourrin. Il avait un sein dans sa main et il touchait doucement sa peau. Il approcha un doigt sur son téton qui était tendu. Le froid ou l’excitation ? Il ne pourrait pas le dire, mais il ferait en sorte que cela soit la tension qui le guide.
Il décrocha ses lèvres de sa bouche, la fit passer le long de son cou, de sa clavicule, et resta là. Il fit en sorte de la coucher sur le sol. Il était sur elle. Il remonta les yeux vers elle dans un sourire à la fois amoureux et embrasé. Il avait envie de laisser courir ses mains sur son corps, mais pas seulement, ses lèvres et sa langue aussi.
- Tsunade, est ce que j’ai le droit de …
Il ne savait même pas comment dire ça … comment lui expliquer les préliminaires qu’il envisageait … pas qu’il soit gêné, il ne voulait pas que les termes qu’il utilise la braque. Il réfléchit en pinçant ses lèvres. Ses deux mains étaient maintenant en train de toucher sa poitrine, la caressant doucement et effleurant les zones sensibles du bout des doigts.
- De remplacer mes doigts par ma langue ?
C’était la seule solution qu’il avait trouvée pour lui demander s’il pouvait lécher ses tétons durcis, les titiller de la langue, et s’amuser avec … et le reste, il réfléchira plus tard. Il continuait à faire des bisous tendres sur la clavicule en attendant une réponse qui soit convenable. Ses mains caressaient toujours sa poitrine doucement. Et son cœur dans tout ça ? Vous vous souvenez le machin qui était prêt à sortir de sa poitrine tout à l’heure ? Il était toujours là tambourinant au rythme des pulsations et continuant de lui prouver qu’il n’était pas mort et au paradis.
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Lun 15 Nov - 11:41
Tsunade
Je suis née dans le clan Senju et malgré mon jeune âge je suis déjà Sannin. Je viens du village de Konoha et je suis la petite fille du Premier Hokage. Je suis aussi une excellente ninja médecin.
Je ne vais pas me vanter mais je possède une force surhumaine. Avec Jiraya, vaut mieux, cet abruti mérite chaque coup que je lui donne ! Il me fatigue ! Mais qu'est-ce que je ferais sans lui, sans eux. Mon équipe. Sous le commandement de Maitre Hiruzen nous ne pouvions que devenir plus fort. Personnellement, je ne cours pas après la puissance mais je sais que ce n'est pas le cas de tout le monde dans mon équipe, aussi, quand Orochimaru disparut, j'ai tout de suite senti que les ennuies ne faisaient que commencer. Mais bien qu'il ait le don de me mettre hors de moi, je sais que je ne pourrais rêver meilleur coéquipier que Jiraya. Il est le pilier sur lequel je pourrais me reposer toute ma vie, je le sais. Mais n'allait pas lui raconter ! Je nierais en bloc jusqu'à la mort !
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Olalalala, là on est en train d'atteindre le sommet de l'intimité. Plus que ça....On....On serait en train de rouler sur les couvertures... Mais quand même... Je....Je n'avais jamais été si proche de Jiraya, même un câlin, ce n'est pas quelque chose que l'on faisait souvent. On a toujours eu une grande complicité intellectuelle et sentimentale, mais jamais physique. Le peu de fois où on se touchait c'était pour se prodiguer des soins, pour se porter ou quand je devais lui rappeler les bonnes manières à grands coups de poings sur la tête.
Mais là on est en train de vivre quelque chose de totalement différent. Là on entre dans une intimité nouvelle. Je suis me sens comme une enfant qui découvre de nouvelles choses. Bien, sur j'ai entendu parler des relations hommes femmes et même si mon grand-père n'aura pas été un super prof là-dessus, il m'a quand même dit que quand deux personnes s'aiment fort, leur corps ressent le besoin de s'unir pour se prouver leur amour. Au début, je pensais qu'il se moquait de moi, que c'était une façon pour lui de détourner la question de comment on fait les bébés ? Mais en fait non. Il a raison.
Depuis que j'ai ouvert mon cœur à Jiraya, je sens une envie folle et brulante de me coller à lui, j'ai sans cesse envie d'être dans le creux de ses bras. Je veux que ses mains découvrent mon corps et me fasse connaitre des sensations jamais ressenties jusqu'à là. Est-ce que c'est de cela que mon grand-père parlait ? Est-ce que mon corps ressent le besoin de s'unir avec celui de Jiraya ? Oui....J...Je crois bien que oui...
Mon regard est sans cesse attiré par cette érection grandissante. Parfois, je la vois frétiller dans son pantalon. Excitation ? Impatience ? Je me sens tellement inexpérimentée.... Jiraya doit me prendre pour une nunuche sans expérience... Pourtant, il m'avoue n'avoir jamais embrassé personne.... Je rougis comme une tomate en fronçant les sourcils, n'osant pas le regarder.
"Ah....Ah oui ? Pourtant je....Je croyais que tu avais beaucoup d'expérience dans....dans ce domaine...."
Rien que d'y penser ça m'énerve. Mais je me radoucis en me disant que je n'ai aucune raison de m'énerver. Jiraya vient de m'avouer que j'étais son tout premier baiser.... tout comme il a été le mien, je....je ne devrais donc pas me sentir jalouse ou en colère. On est en train de vivre un moment unique pour tous les deux. Je le regarde avec un peu plus de tendresse dans le regard et je caresse sa joue tendrement. Je voudrais pouvoir lui dire ce que j'ai sur le cœur, mais je n'y arrive pas. Je me contente de lui offrir un petit sourire amoureux avant de lui voler un petit baiser tout doux.
Après m'être déshabillée pour lui offrir une Tsunade authentique, sans artifice, une Tsunade complètement mise à nue, je rougis de honte. J'ai peur de ne pas être à la hauteur de ses espérances. Mon corps pourrait avoir des défauts auquel il n'aurait pas pensé ou qu'il ne pensait pas voir. Je suppose que même une jonin peut avoir des complexes physiques comme n'importe quelle femme sur terre....
Je finis par cacher ma poitrine, me sentant un peu gênée, mais aussi, car je sens mes tétons pointer à cause du froid qui caresse mes épaules. Jiraya émet un grognement animal et je le regarde surprise avant qu'il me demande de ne pas me cacher.... Je rougis encore plus comme une tomate ! Avec une tendresse infinie, Jiraya finit par remonter ses mains le long de mon corps, me faisant frissonner sur son passage. Il pose finalement ses mains sur les miennes sans cesser de me regarder. Je me perds dans son regard, je lui fais totalement confiance. Je me laisse guider par ses envies, par ses gestes.... Je sais qu'il ne me fera pas de mal. Je... Je sens mon cœur battre contre ma poitrine et lui crier "Jiraya je t'aime ! Je t'aime si fort !" J'ai l'impression qu'il essaye de lui faire passer le message en morse, tellement il cogne fort contre ma poitrine. Je me sens véritablement emplie d'amour, de tendresse et d'excitation. Je.... Je voudrais que cette nuit ne s'arrête plus. Quelle dure pour toujours...
Je hoche la tête à la consigne de mon amant. Si quelque chose ne me plait pas, je dois simplement dire non. Le simple fait qu'il s'en soucie prouve que Jiraya est une bonne personne. Pas du tout le sale pervers qu'on pourrait soupçonner. Il est galant, tendre, doux... protecteur et délicat.... Je...Peut-on tomber amoureuse une deuxième fois ? Car je crois que c'est ce qui est en train de m'arriver....
Toujours en faisant attention à être le plus doux possible, Jiraya finit par retirer mes mains avant de venir prendre en otage mes lèvres qu'il embrasse avec avidité. Un petit sourire heureux nait sur mes lèvres alors que je lui rends son baiser. Je ferme les yeux pour me laisser aller et pour pouvoir sentir chaque mouvement avec une plus grande intensité. Mais aussi et surtout parce que ça me permettra de me sentir moins gênée si je garde les yeux fermés. Je profite de ce baiser pour mordiller la lèvre de Jiraya, je passe aussi ma langue dessus. Sa main qui remonte vers ma poitrine me procure un si grand frisson que je suis obligée de me cambrer pour essayer de le supporter. Jiraya sait exactement ce qu'il fait, sa main sur mon sein est douce et chaude. Elle n'est pas rugueuse, bien au contraire. Je soupire durant notre échange de salive, malgré moi, car le plaisir que je ressens commence à être plus fort que moi. Les pointes de mes seins deviennent tout tendus et plus durs que jamais. Une simple brise pourrait me faire gémir tellement ils sont bandés le plus possible. Mes seins deviennent plus ferment et cette fois tout mon corps commence à être en ébullition. Alors c'est donc ça le plaisir ? C'est ce qu'on ressent ? Je comprends mieux pourquoi Jiraya est autant obnubilé par le plaisir charnel !
Il continue ce traitement sur mes seins pendant un petit moment puis il m'allonge sur le dos et se met au-dessus de moi. Je rougis de voir toute sa prestance être au-dessus de mon corps si vulnérable. Je lui offre mon cou, tout en caressant sa nuque du bout des doigts. Mes jambes jouent avec les siennes, je caresse ses mollets des miens, parfois je tente de croiser mes jambes autour des siennes, mais finalement. Alors qu'il se redresse pour me parler, je finis par écarter légèrement mes jambes pour qu'il puisse s'y faufiler plus facilement. Je suis en total roue libre ! Je ne sais pas ce que je fais ! Je me laisse simplement guider par les envies et les appels de mon corps et pour l'instant ça a l'air de nous convenir à tous les deux. Olalala, je ne pense même plus au fait que tout ceci est une première pour moi, je pense simplement au fait que je suis avec Jiraya. Il n'y a que lui qui compte en cet instant, je n'ai d'yeux que pour lui et mon cœur a le sentiment qu'il n'existe que lui sur terre.
Je penche la tête sur le côté alors que Jiraya me demande s'il peut également utiliser sa langue ? Dans un soupir incontrôlable, je lui dis :
"Oh ouiii...Oui Jiraya....Ouii..."
Je rougis tout en cambrant ma poitrine vers lui. Embrasse ma peau brulante, embrasse mes globes sur fermes, embrasse mon ventre qui s'impatiente... Embrasse mes cuisses ouvertes et en feu.... Embrasse tout ce que tu veux ! Embrasse mon âme même, si tu le désires ! C'est tout ce que j'avais envie de lui hurler sous les étoiles. Qu'il fasse ce qu'il veut de moi si c'est sa façon à lui de m'aimer, je veux apprendre aussi. Je veux apprendre à lui montrer mon amour à travers mon corps. Le sexe est la façon qu'a choisi Jiraya pour montrer ses sentiments, au début, je le jugeais pour ça, mais au final, je me dis que ce n'est pas une si mauvaise idée...... Mon corps est d'une pureté infinie. Jamais au grand jamais, quelqu'un a posé son regard ou ses sales pattes sur moi. Alors me dévoiler comme ça... sous ses yeux... c'est très important pour moi. Et....Je comprends que si je l'ai fait aussi naturellement et facilement avec lui, c'est que c'est lui le bon. Je n'ai plus aucun doute à avoir là-dessus. Mon cœur et mon corps le réclame tout entier.
Je profite de notre petit échange de regard pour contempler son corps au-dessus du mien. Son torse musclé, ses bras si fort, sa crinière blanche et ses yeux amoureux.
"Jiraya...Tu es si beau..."
Je rougis comme une tomate avant de me pencher vers lui pour l'embrasser langoureusement.
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Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Lun 15 Nov - 13:23
Warning : début du Lemon
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Jiraya
Faut il en dire plus quand son nom à lui seul est une légende ? (en cours)
Jiraya allait mourir. Il ne voyait clairement pas comment il pourrait faire pour survivre à la jeune femme… elle touchait son corps, et il avait qu’une envie c’est que ça ne s’arrête jamais. Une partie, perverse, de son esprit, se demander si un multiclonage ne pourrait pas l’aider à l’amener encore un peu plus au bord de l’extase mais … nah, il risquerait d’être jaloux de son clone le temps qu’il soit là…mauvaise idée. Il sourit.
- Théorique. J’ai de l’expérience théorique.
Il avait amené ses théories à un point ou on pourrait l’appeler le maître d’ailleurs. Il connaissait trop de choses sur le sexe débridé, et même sans émotion, qui était le principe même de la pornographie … mais il savait aussi sans avoir eu besoin d’expérience que le sexe avec une personne qu’on aime et le porno avaient beaucoup de différence. Dans un porno, il ne serait pas en train de l’embrasser en lui caressant les seins doucement… Ils seraient contre un arbre à donner des coups de rein.
Mauvaise idée de penser à cela maintenant… très très mauvaise idée. La douleur dans son entrejambe était encore plus forte maintenant qu’il s’imaginait suivre le mouvement de son imagination. Il voudrait faire taire son esprit pour n’entendre que les pensées de Tsunade et faire comme elle, elle le souhaite. Il la sentait frissonner, et il ne pouvait s’empêcher de suivre aussi le frisson… Il enleva son haut. Il n’enleva pas son bas. Il ne fallait pas que sa première fois soit dans une forêt.
Il lui fallait un lit de princesse, des murs qui n’auront pas de bêtes grouillantes pour les regarder, et qu’elle puisse exprimer son désir et son plaisir sans avoir peur des voisins. Si on les attaquait maintenant Tsunade ne s’en remettrait jamais.
Alors il garda son bas. Et il se promit de ne pas faire l’acte final, quand bien même elle le criait à corps et à cri … il lui trouverait d’autres méthodes pour apprécier les caresses, le plaisir. Il l’avait dit, il en avait de la théorie, et pas qu’une seule manière de l’amenait au septième ciel. Popole, il va être obliger de se calmer. Surtout que la jeune femme, consciente ou pas, écarter ses jambes sous lui. Il avait l’impression que son corps allait prendre feu, ou prendre les commandes.
Merde. Il ne pouvait pas être violent et sauvage… Il se promit qu’un jour il lui demanderait s’ils peuvent essayer … si une autre fois il y a… mais pour le moment, c’était pas le moment. Sa poitrine était si dure, si ferme, si alléchante, qu’il avait dû mal à laisser ses mains la quitter. Il était entre les jambes de la jeune femme, et il faisait un effort sur humain pour ne pas pousser encore un peu. Son bas protégeait le tout … mais il sentait bien sa chaleur contre le tissu. Il grogna plus qu’il ne gémit. Il allait mourir. C’était sûr maintenant. Alors qu’il s’amusait à faire une marque sur son cou, elle lui donna l’autorisation tant attendu.
Alors, doucement, il descendit le visage vers la poitrine de la jeune femme, créant une ligne de baiser d’abord entre ses seins, puis en prenant le droit dans la bouche. Il se mit à lécher le mamelon durci tout en laissant l’autre main toucher le second. Il mordît même un peu, juste assez pour qu’elle ressente du plaisir et non pour lui faire mal. Il mordait, léchait, suçait ce mamelon et passa au suivant quand il pensa que c’était suffisant. Il souffla sur le deuxième d’abord et lui donna le même traitement. Ses mains étaient descendu vers son ventre et caressait ses hanches. Il savait exactement ce qu’il voulait faire maintenant. Quand il releva les yeux, les lèvres toujours contre sa peau, il fut surpris. Du compliment, et surtout de la personne qui lui disait. S’il était beau qu’était elle elle ? Il se releva pour l’embrasser.
Elle était magnifique, qu’importe ce qu’elle faisait. Jiraya le savait, mais maintenant, il voulait la voir en train de lâcher totalement prise en criant son nom… ou en appelant Dieu, il ne serait pas jaloux.
Alors il reprit ses caresses sur ses seins, puis ses baisers, puis ses suçons. Il laissa ses mains s’approcher de la zone la plus humide de la jeune femme, après sa bouche. Il finit par mettre sa main contre le sexe de la jeune femme. Il en touchait les plis. Il savait ce qu’il devait faire. Il le savait mais laisser durer la torture doucement… et aussi il n’était pas sûr que ça n’aille pas déjà trop loin pour la jeune femme.
Merde… Il n’avait pas encore mis un doigt qu’il avait déjà envie d’y mettre la langue. Il avait envie de tout faire tout de suite … il avait envie de lui exprimer son amour par le sexe, et il avait bien trop d’idée. Il avait toujours un sein à titiller et la main qui jouait entre les jambes de la jeune femme. Il lâcha sa poitrine et releva ses yeux. Elle ne semblait pas dire non … alors il toucha sa zone intime. Il passa un peu plus profondément dans ses plis, trouvant l’entrée de son antre ainsi que le bouton de plaisir. Il se mit à caresser doucement son clitoris. Tendrement, timidement. Il voulait comprendre les messages de son corps avant de faire encore plus.
Il allait mourir et essayer de caler son coeur avec celui de la jeune femme, mais c’était peine perdu, les deux battaient la chamade.
- Tsunade, je t’aime.
Fut les mots qu’il dit alors qu’il touchait encore la jeune femme mais remonta pour l’embrasser à nouveau. Après, elle pourrait ne plus vouloir de sa bouche … alors il en profitait.
Univers fétiche : Réel - Disney - Fantasy - Surnaturel - Mythologie
Préférence de jeu : Femme
Cheval de Troie
Sam 20 Nov - 15:33
Tsunade
Je suis née dans le clan Senju et malgré mon jeune âge je suis déjà Sannin. Je viens du village de Konoha et je suis la petite fille du Premier Hokage. Je suis aussi une excellente ninja médecin.
Je ne vais pas me vanter mais je possède une force surhumaine. Avec Jiraya, vaut mieux, cet abruti mérite chaque coup que je lui donne ! Il me fatigue ! Mais qu'est-ce que je ferais sans lui, sans eux. Mon équipe. Sous le commandement de Maitre Hiruzen nous ne pouvions que devenir plus fort. Personnellement, je ne cours pas après la puissance mais je sais que ce n'est pas le cas de tout le monde dans mon équipe, aussi, quand Orochimaru disparut, j'ai tout de suite senti que les ennuies ne faisaient que commencer. Mais bien qu'il ait le don de me mettre hors de moi, je sais que je ne pourrais rêver meilleur coéquipier que Jiraya. Il est le pilier sur lequel je pourrais me reposer toute ma vie, je le sais. Mais n'allait pas lui raconter ! Je nierais en bloc jusqu'à la mort !
Tsunade :copyright:️ Google
Je regarde Jiraya retirer son haut en souriant timidement. J'ai un sourire niais qui ne s'efface pas de mon visage, accompagnement d'un rougissement aigu et d'un regard pétillant. Il est tellement beau, je l'ai toujours trouvé beau. Mais je l'ai aussi trouvé tellement bête que je ne me voyais pas lui dire que je le trouvais beau. Sinon cet idiot se serait moqué de moi jusqu'à ce que je craque. Oh oui, il en aurait profité pour me charrier, je le sais, il en aurait joué à la moindre petite occasion et rien que d'y penser je serre le poing tant j'ai envie de l'abattre contre sa tête d'idiot ! Mais je me détends en revenant à la réalité, ce n'est plus l'élève bête et indiscipliné qui se trouve devant moi. C'est un homme fort, courageux, un brin idiot, mais tellement doux, aimant et tendre... Quand est-ce qu'il s'est transformé en cet homme d'ailleurs ? Quand est-il devenu si mature, tout en gardant son âme de fripon ?
Je pense à tout ça pendant que je le regarde garder son bas. Je penche la tête sur le côté en me demandant pourquoi il ne retire pas son pantalon. Pourtant, la bosse que j'ai vu a l'air d'en avoir envie, d'être même impatiente de sortir de là. Pourtant, il se fait violence pour la laisser là où elle et se concentrer que sur moi. Pourtant, il ne trompe personne, tout autour de nous, l'odeur du sexe commence déjà à se répandre. Je souris, attendrie qu'il prenne tant d'égard pour moi. Il veut se montrer gentleman et préfère attendre mon feu vert ou sans doute une meilleure occasion de faire ce qu'il attend de faire depuis tant de temps... Pour la première fois, je me dis que cette mission est une vraie plaie. Je voudrais ne pas être ici, je voudrais ne pas être obligée de devoir aller chercher Orochimaru... Je voudrais pouvoir être avec Jiraya, dans un endroit connu de nous seuls, où nous pourrions nous aimer sans l'appréhension de se faire attaquer ou la peur d'être entendus.
Je me laisse aller à tout ce que je ressens. La chaleur de ses mains sur ma poitrine me fait un bien fou et contraste avec le petit vent frais autour de nous. Je sens que mes tétons sont tellement dressés vers le ciel qu'ils donnent l'impression de pouvoir exploser de plaisir à tout moment. Jiraya marque mon cou, ce qui me fait grimacer et lâcher un petit soupire de plaisir mêlé à de la douleur. Je sens sa bosse s'écraser contre ma vulve, elle est dure comme de la pierre ! Je....Est-ce que c'est normal ? Pourtant, entre mes jambes ça frétille d'impatience, d'envie et d'excitation à l'idée de rencontrer cette bosse qui fait tant de mystère. C'est la première fois que je ressens tout ça et j'ai l'impression de redécouvrir mon corps !
Je sens une chaleur envahir tout mon bassin et remonter le long de ma colonne vertébrale. Mon mont de Vénus s'humidifie à chaque fois que sa bosse le frôle ou se presse contre et maintenant, je comprends mieux pourquoi il a gardé son pantalon. La tentation aurait été bien trop forte pour l'un comme pour l'autre. J'aurais sûrement fini par le supplier de me prendre ici et maintenant ! Mais est-ce que je ne l'aurais pas regretté plus tard ? Sans doute oui. Pas de l'avoir fait avec lui, mais de l'avoir fait alors qu'on est dans la foret, entre deux villages, à la recherche d'un coéquipier. Je pense que même Jiraya doit vouloir quelque chose d'un peu plus spécial que ça.
Il commence à former une ligne de baisers en direction de ma poitrine. Je garde une main dans ses cheveux pour l'accompagner dans sa traversée. Je lui caresse tendrement le crane pendant qu'il embrasse la peau entre mes seins. Puis quand il commence à gober mon mamelon droit, je me cambre en gémissant tout en empoignant ses cheveux.
"Aaannnnhh..."
Glisse entre mes lèvres, alors qu'il joue de sa langue sur un sein et de sa main sur l'autre. J'ai l'impression d'être parcourus par des centaines de petits frissons électriques ! J'ai l'impression d'être sous l'influence d'une drogue, car je ressens énormément de plaisir et quand je me dis que ça doit être le maximum à atteindre, mon corps à envie de crier "Encore !" encore et toujours plus. Qu'est-ce qui m'arrive....
Il s'amuse avec mes seins, passant de l'un à l'autre et à chaque fois, ils subissent le même traitement. Quand j'ose le regard, mes yeux ne sont que deux pupilles brillantes de plaisir et d'excitation. Je me mords la lèvre en retenant un soupir alors que je vois sa langue s'activer sur un de mes tétons. Mon dieu..... Et sa main... sa main descend toujours plus au sud.... Il la passa sur mon ventre, son contacte me fait tout de suite frissonner et me cambrer puis elle passe sur mes hanches. Je suis toujours là, à l'admirer et je finis par lui dire qu'il est beau. C'est plus fort que moi, mais c'est surtout tellement vrai.... il est si beau.... Et tellement plus en cet instant où il est à moi, entièrement à moi.... Je rougis comme une tomate en acceptant et lui rendant son baiser. Mes bras se referment machinalement autour de son cou pour le garder contre moi, contre ma poitrine en feu. Entre mes cuisses humides et chaudes...
Jiraya reprends sa course sur mon corps, retournant torturer mes seins de sa bouche et mon intimité de sa main. Il la frôle, joue avec les plis, il tourne autour et moi je ne cesse de soupirer, gémir comme une bécasse qui ne peut rien faire d'autre, car c'est un réflexe totalement naturel. Je suis excitée et mon corps le montre par ses spasmes, la sueur qui commence à perler sur mon front. Je deviens rouge de partout, j'ai de plus en plus chaud.... Mes orteils se contractent et mes cuisses s'ouvrent d'elles-mêmes... Je ne contrôle plus rien. Mon corps est en pilotage automatique, il se laisse guider par les mouvements de Jiraya comme s'il était le chef d'orchestre. Dès qu'il touche une zone, mon corps réagit en conséquence, que je le veuille ou non.
Devant mon corps totalement soumis à ma luxure, Jiraya continue son exploration jusqu'à trouver un petit bouton de plaisir. Seigneur... À peine l'a-t-il frôlé que je me suis mise à couiner longuement alors quand il joue avec.... cette fois, c'est moi qui me mets à grogner comme un animal, c'est... tellement.... intense..... Je....Je ne vais pas pouvoir subir ce traitement plus longtemps. Vous savez je ne me suis jamais.....enfin....Je ne me fais pas du bien toute seule. Mais il m'est déjà arrivée de me baigner dans une rivière et que le courant caresse sensuellement mes cuisses et ce qui se trouve entre. J'ai déjà ressenti des légères brides de plaisir... mais jamais rien de comparable avec tout ce qu'il m'a fait ressentir ce soir. Sans même avoir atteint le septième ciel, je me sens déjà profondément comblée.
Puis là.... Il me sort quelque chose à laquelle je ne m'attendais vraiment pas... Il me dit qu'il m'aime... Je me redresse, je m'assois en face de lui, les cheveux en bataille et accepte son baiser, je lui rends fougueusement, m'asseyant sur lui. Sa bosse est toujours aussi dure, mon intimité est clairement plus humide mais, je ne l'embrasse pas sous le coup de l'excitation. Je l'embrasse avec tout l'amour dont je suis capable pour lui à quel point :
"Moi aussi ! Je t'aime Jiraya !"
Je l'ai dit ! Enfin ! Je frotte le bout de mon nez contre le sien avec un sourire de victoire avant de l'embrasser à plusieurs reprises, mes mains dans ses cheveux, j'ondule mon corps avant de l'embrasser dans le cou, la nuque, le lobe de l'oreille, sans cesse de le répéter.
"Je t'aime....Je t'aime....Je t'aime..."
Mon bassin ondule sur le sien dans une danse lascive, provocante à souhait. C'est plus fort que moi. Il a réveillé la bête de sexe qui sonnait en moi, il n'y a que lui qui peut me dire comment on stoppe tout ça maintenant. Parce que là, je suis partie pour lui arracher son pantalon, libérer cette bosse, voir à quoi elle ressemble.... S'il ne m'empêche pas, je ne répondrais plus de rien !