“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Dim 16 Jan - 22:18
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
crédit : :copyright: moi-même / Tumblr
Elijah détourna le regard tout en soupirant « On peut me reprocher bien des choses, mais je suis un homme de parole. Ton travail ne risque rien » répondit-il avec un certain aplomb alors qu’il reposait son regard sur elle. Il comprenait qu’elle craigne pour sa carrière, mais Elijah lui était redevable pour ce qu’il lui avait fait subir ces dernières années. Si jamais ils ne parvenaient plus à collaborer, alors ça serait lui qui partirait. Mais cette précision, le journaliste la garda pour lui et lui seul. Il fronça les sourcils en se rendant compte qu’ils ne parvenaient plus à communiquer tous les deux, ne se comprenant plus vraiment « Je t’ai dit que tu ne le perdrais pas. Je sais que c’est difficile pour toi, mais fais-moi confiance au moins sur ça. Tu ne perdras pas ton travail » répondit-il en détachant les derniers mots afin qu’elle enregistre bien ce qu’il venait de lui dire. Peu importe ce qui allait advenir de leur relation personnelle, sa carrière n’en pâtirait pas. Elle allait devoir lui faire confiance sur ce point, même si c’était difficile pour elle.
Pourtant, Elijah avait l’impression que c’était plus profond qu’une simple carrière. Elle avait peur. Peur de ce qui pourrait advenir d’eux deux, peur qu’il change de comportement après une nuit avec elle. Qu’il disparaisse tout simplement. Que leur relation disparaisse. Il allait lui répondre, mais l’entraîna sur la piste de danse, la blottissant tout contre lui, le temps d’une chanson. Il chanta en chœur avec l’artiste, avant de reprendre le fil de leur conversation. Il recula son visage et se mit à sourire « Tu penses que c’est moi qui tomberai amoureux en premier ?! ». Et voilà qu’ils se mettaient à parler en même temps, créant un véritable brouhaha entre eux « Je me moque du regard des gens quand les choses comptent Madison… » rétorqua-t-il en parlant plus fort qu’elle, puis reprit plus doucement quand elle s’arrêta de parler « Je me moque du regard des gens quand ça compte pour moi… » et eux deux, leur relation, peu importe quelle tournure elle pouvait prendre, comptait pour lui. Sinon il ne lui aurait pas proposé ce poste. Sinon ils ne seraient pas là, ce soir, dans ce bar à discuter comme ils l’avaient fait toute la soirée durant.
La chanson prit fin. Leur danse aussi. Elijah glissa ses mains dans les poches et acquiesça à contrecœur « Tu as raison… Un peu de recul nous fera le plus grand bien et… Et je vais essayer de te trouver quelqu’un pour t’accompagner pour tes articles ». Parce qu’ils avaient besoin de cette distance. Et surtout, parce qu’il lui avait laissé le choix et qu’il devait le respecter, aussi douloureux que ça puisse l’être. Il se mit à sourire légèrement tout en acquiesçant « Et puis j’ai passé la quarantaine entre-temps… Non mais tu as raison. Gardons nos souvenirs pour nous tenir chaud la nuit et faisons comme si toute cette conversation n’avait jamais eu lieu » confirma-t-il tout en faisant un cercle avec sa main. Il hocha lentement de la tête, la suivit jusqu’à la table, paya les consommations et récupéra sa propre veste, la suivant jusqu’à l’extérieur du bar. Ils firent quelques pas l’un à côté de l’autre sans mot dire, puis releva soudainement la tête en entendant Madison jurer. Il fut surpris par son geste, puis ferma les yeux et lui rendit son baiser avec tout autant d’envie. Ils se séparèrent le temps que la belle brune ne mette ses conditions. Le journaliste eut un mouvement de recul, leva son index pour la faire patienter « Non, Madison. Je suis désolé, mais je t’ai dit que j’étais fidèle. Il n’y aura pas de nous ce soir » et se rapprocha d’elle, posa sa main sur sa joue et embrassa son front « Pas ce soir » et se recula à nouveau, fit signe à un taxi et lui ouvrit la porte « Bonne nuit. On se voit demain matin à la première heure pour faire le point sur le prochain article » et referma la porte, paya la course de cette dernière et lui fit un signe de main.
Plus d’un homme lui aurait dit qu’il était stupide, et il s’insulta aussi mentalement en cet instant, mais il voulait pouvoir regarder Brittany dans les yeux, mettre fin à leur relation sans avoir à se reprocher le moindre écart de conduite. Elle ne méritait pas ça. Et quant à Madison… Elle avait raison. Ils devaient mettre de la distance entre eux, parce qu’il n’avait pas envie de la voir fuir le regard de la jolie blonde au petit matin, ou s’en vouloir pour son écart de conduite. Elijah était peut-être un connard de première, mais il maintenait certains principes, et il avait beau la désirer plus que tout, il ne voulait pas gâcher leur relation telle qu’elle était… Et à dire vrai, il commençait à douter sur son souhait de se limiter à seulement une seule nuit avec elle… Le journaliste glissa ses mains dans les poches de son pantalon de costume et rentra jusqu’à son appartement à pieds.
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Lun 17 Jan - 9:47
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
crédit : tumblr, Cranberry
« -arrêtes on dirait que tu es prêt à faire un paris là dessus ! » s’amusa Madison histoire de se détendre un peu et de dédramatiser tout ça. Mais dans le fond, c’était peut être ça le vrai problème. Et si ça finissait plus qu’en histoire de cul ? Si ils tombaient amoureux justement ! Ils prétendaient l’un comme l’autre ne pas être capable de ça, mais… et si… et s’ils s’étaient vraiment loupé cinq ans plus tôt ?! Lorsqu’il répéta ces mots, elle sourit en détourant le regard. Puis à son tour elle détacha ses mots : « -tu es conscient que dire ça, et bien ça ne m’aide pas. » non au contraire ça en rajoutait une couche. Parce qu’à la base ils parlaient d’une nuit ensemble ! Techniquement ça ne devait pas compter justement ! C’était juste du bon temps. Un truc sympa sans lendemain. Alors…
Même si elle venait de lui dire qu’elle ne voulait pas prendre cette responsabilité, elle le fit. Elle décida qu’il était plus sage de prendre du recule, de se laisser un peu de distance, un peu d’espace pour éviter de faire n’importe quoi. Pour y voir plus claire. Après tout, une envie de sexe ça pouvait se contrôler. Certes il y avait la frustration mais ça allait passer. « -ok… merci... » souffla la jeune femme en hochant la tête. Ouais, quelqu’un d’autre pour les articles… Bonne idée. Elle sentit de l’amertume dans la voix d’Elijah lorsqu’il conclue en souhaitant oublier cette conversation. Madison se sentait mal, fautive aussi. A jouer forcement… ça avait dérapé.
Pourtant, malgré tout ça, dehors elle changea d’avis. Parce que la peur était une garce et qu’il l’avait dit lui même, Maddy en oubliait de vivre pour elle même. Alors elle l’embrassa avec une envie certaine. Le baiser devint fougueux, presque une urgence quand il répondit à ses lèvres, et pourtant… Pourtant elle su tout de suite qu’il allait dire non. « -le soit pas... » souffla t elle en bougeant la tête de gauche à droite, avant de lever les deux mains et de faire un pas en arrière. « -c’est moi. » un regard pour la rue : « -c’est moi... » oui le souci c’était elle. Elle venait de lui dire non, non, non et re non. De lui donner des tonnes d’arguments et voilà qu’elle changeait d’avis. « -fais pas ça... » souffla t elle alors qu’il embrassait son front. Elle détestait ce geste. « -ouais salut... » souffla la belle brune en grimpant dans le taxi. Une fois la voiture partie, elle ferma les yeux le plus fort possible. Mais quelle conne !!
Le lendemain Madison s’employa à cacher ses cernes, et à être la plus canon possible pour se rendre au bureau. Elle n’avait pas vraiment bien dormi. Elle passa par la salle de pause pour prendre un café, avant de se rendre à son bureau en évitant de regarder dans celui d’Elijah. A peine assise, elle envoya un mail à Elijah en lui disant qu’elle avait besoin de trois jours pour bouclé le projet, et qu’ils en parleraient à ce moment là. Pas ce matin. Non, là elle ne pouvait pas le regarder en face. Elle en était certaine. Maddy soupira et se concentra sur son pc lorsque Brittany débarqua dans son bureau. Oh non… Bordel ! « -comment vas tu ma belle ce matin ?Tu as passé une bonne soirée ?» demanda t elle alors que Madison soufflait un bonjour. « -occupée et toi ? » ça sentait le plan foireux cette question. Mais sinon ça va d’enfer, j’ai voulu me taper ton mec hier et il a refusé. Elle cligna des yeux réalisant que c’était dans sa tête et qu’elle n’avait pas écouter trois secondes ce que disait la blonde devant elle. « -manger ensemble à midi ? Ah heu… non j’ai un rendez vous à 11h30 et je pense pas être rentrée. Mais une prochaine fois peut être... » dégage de mon bureau ! Le message ne semblait pas être claire. Et puis ce fut le tour de Jeffrey de se pointer. Après cinq minutes de conversation, Maddy craqua et dit : « dégagez... » à voix basse. Avant d’ajouter un peu plus fort alors que les deux discutaient entre eux : « -sortez de mon bureau. » elle dut le répéter encore une fois et bien plus fort cette fois ci : « -virez vos fesses de là ! J’ai du boulot ! Donc aller médire ailleurs sur Josh, Lauren ou qui vous voulez. Je m’en fou. » Brittany resta la bouche ouverte quelques minutes, Jeffrey également avant qu’ils ne décident d’enfin sortir. Maddy ferma les yeux, se massa l’arrête du nez avant de se lever pour fermer la porte. Oui elle était frustrée, oui ça la mettait sur les nerfs !
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Lun 17 Jan - 19:43
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
crédit : :copyright: moi-même / Tumblr
Il aurait pu s’autoriser une nuit avec elle. Une seule et unique nuit. Il aurait pu succomber. Bien des hommes se seraient laissé tenter à l’aventure. Madison n’était pas le genre de femmes à qui il était possible de dire non, à moins de s’appeler Elijah Roberts et de s’accrocher à des principes, alors que quelques minutes plus tôt, il lui avait avoué la désirer. Même la manière qu’il avait eu de lui rendre son baiser avait été la preuve incontestable qu’il avait envie d’elle, de ses mains sur sa peau, d’entendre ses soupirs de plaisir, de se sentir en elle, de la faire crier encore et encore. Mais voilà, Elijah avait choisi d’écouter la voix de la raison et de refuser cette étreinte charnelle, et cela, au nom de la fidélité. Il n’avait pas envie de ressembler davantage à celui qu’il devait appeler son père. La ressemblance était bien trop frappante à son goût et tromper Brittany ne ferait que la croître. Il ne le souhaitait pas. Comme il ne souhaitait pas voir, dans le regard de Madison, que finalement elle avait commis une erreur en succombant pour une nuit avec lui. Il ne voulait pas que leur relation soit altérée pour une seule et unique nuit. Et surtout, il n’était pas sûr de vouloir que cela ne dure qu’une nuit… Alors il avait refusé et était rentré à pied, se maudissant à certains moments, puis se confortant dans sa décision à d’autres. Il n’avait pas appelé Brittany en rentrant, avait avalé un fond de verre de scotch et avait remusé toute la nuit dans un lit froid en pensant à cette soirée, à la belle brune.
Ce qui fit qu’au petit matin, il posa sa main sur le réveil au premier retentissement de la sonnerie. Il était déjà réveillé. Madison n’avait pas quitté ses pensées durant ces dernières heures, et elle ne le fit pas toute la matinée durant. Il l’avait aperçu de son bureau, mais n’avait rien fait pour aller à sa rencontre, gardant leur distance. Ne sachant comment agir. Enfin, jusqu’à ce qu’il reçoive le mail de cette dernière qui lui demandait quelques jours. Il avait alors répondu qu’il n’y voyait pas d’inconvénient, se limitant seulement à un comportement professionnel. Il s’autorisa tout de même un regard en direction de son bureau qui lui fit pousser un soupir et se remit au travail. Il ne leva le nez de son ordinateur qu’au moment où il entendit la voix de Madison. Il se recula légèrement de son ordinateur, sourcil froncé, il observa le déroulé de la scène de son fauteuil, puis se leva immédiatement en voyant Jeffrey et Brittany quittaient comme précipitamment le bureau de la belle brune. Elijah se hâta donc jusqu’à l’antre de cette dernière, ignorant la question de la jolie blonde « Qu’est-ce que tu lui as fait pour qu’elle soit dans cet état-là ? » qui sonnait davantage comme un reproche que comme davantage une question. Il ouvrit la porte, et posa ses mains à hauteur de sa ceinture, le visage fermé « Tu peux m’expliquer ce qui se passe ? » et leva son doigt avant d’obtenir la moindre réponse « Toi et moi, on doit parler et c’est un ordre » et lui fit signe de le suivre jusqu’à l’ascenseur, ignorant toujours les regards de son bras droit et sa petite amie, et n’attendant pas Madison pour marcher à ses côtés.
Il appela l’ascenseur qui ouvrit rapidement ses portes et lorsqu’ils firent à l’intérieur, mis la boite en métal en arrêt en levant le petit levier près du panneau d’affichage des étages, et se retourna en direction de Madison « Je suis désolé » et leva son doigt pour la faire taire « Laisse-moi parler » et reprit « Mon père a trompé ma mère un nombre incalculable de fois, que ça soit lorsqu’il partait au front, ou lorsqu’il était à la maison. J’ai grandi en voyant ma mère subir les infidélités de mon père qu’il mettait sur le dos de l’alcool, jusqu’au jour où elle est arrivée à saturation et l’a mis dehors. J’ai tout fait pour ne pas lui ressembler, alors même que physiquement, je suis son portrait craché, que je table que sur des coups à court terme et que je suis incapable d’aimer. Alors la fidélité, c’est peut-être l’une des seules choses qui me différencie de ce salopard » et s’approcha d’elle « Et Dieu sait qu’hier, j’ai longuement hésité… Trop hésité. Parce que c’est toi, parce que c’est plus que bon et que… J’ai envie de toi constamment… » en esquissant un sourire en coin « Mais je suis avec Brittany pour le moment. Alors si tu veux vraiment de cette nuit, tu devras patienter ». Un regard pour les portes de l’ascenseur, puis releva ses yeux clairs sur la belle brune « Hier, tu m’as dit que tu ne voulais pas que notre relation personnelle influe sur notre relation professionnelle, et que tu partirais si jamais on couchait ensemble. On n’a pas couché ensemble et pourtant, notre relation personnelle influe sur notre relation professionnelle, et sur ta relation que tu as avec les autres ». Il reposa ses mains sur ses hanches « Je vais te parler en tant que patron maintenant : Ce qui se passe hors de ces murs restent dehors. A l’intérieur, tu te comportes à la hauteur de ton poste et tu n’envoies plus chier Jeffrey et Brittany de la sorte. Maintenant, tu iras t’excuser pour ton comportement. Ce n’est pas un conseil, si jamais tu en doutais ». Il releva le petit levier, se tourna vers les portes et ajouta, sans la regarder « J’ai vraiment apprécié notre soirée d’hier… ».
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Lun 17 Jan - 20:48
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
crédit : tumblr, Cranberry
Maddy savait très bien qu’elle n’aurait pas dû s’emporter ainsi. Que ça n’était pas ce qu’on attendait d’elle, encore moins avec ces deux personnes là. Mais ça avait été plus fort qu’elle ! Elle n’en avait rien à foutre de cette conversation, elle avait du boulot et surtout elle avait envie d’être seule. A peine Brittany et Jeffrey virés de son bureau que débarquait Elijah. Madison soupira en fermant les yeux avant de le regarder fixement en ouvrant la bouche. Mais il joua les patrons, lui faisant serrer les dents. Elle leva les yeux au ciel avant de se lever pour le suivre à contre coeur. Un regard noir aux deux autres en passant devant eux, avant de monter dans l’ascenseur sans rien dire.
Lorsque celui ci s’immobilisa, elle avait croisé les bras, campée sur ses talons. A nouveau elle ouvrit la bouche mais il lui demanda de la fermer, avec politesse. Elle détourna les yeux sans desserrer la mâchoire. Plus elle l’écoutait, plus elle comprenait. Un regard de temps à autre, presque honteuse. Elle ferma les yeux lorsqu’il reparla de la proposition qu’elle lui avait fait, évitant de relevé l’aveu qu’il venait de faire. Constamment… Rien que ça. « -non, ça n’a rien avoir. » enfin elle était parvenue à placer deux mots.
Et voilà qu’il reprenait le rôle du patron. « -je n’irais pas m’excuser. Mon bureau n’est pas un salon de thé ! Et pourtant les commérages j’adore ça. Mais pas là ! Pas dans mon bureau alors que j’ai un boulot monstre ! Je t’ai demandé quelques jours, pas trois mois. Ça me laisse peut de temps pour monter le projet. J’aimerais que ça soit fait pour la prochaine édition. » oui voilà la vraie raison de sa petite crise de nerfs du matin.
Elle stoppa à son tour l’ascenseur. Parce que la conversation n’était pas terminée. « -moi aussi. Et c’est ma faute si elle s’est mal terminée. Je ne t’ai pas demandé de te justifier, les choses étaient claires et c’est moi qui ait voulu outre passé les règles. » oui elle en prenait la responsabilité. « -fais ce que tu veux de ta relation avec Brittany. Toi et moi on va resté professionnel et cordial. C’est mieux pour tout le monde. » ce qui voulait dire plus de petit jeu, plus de sous entendu. De toute façon, avec ce qui s’était passé la veille au soir, elle n’était pas prête de recommencer à le chauffer. Elle remis l’ascenseur en marche et leva les yeux sur les chiffres. « -dans trois jours je t’envoie ce que j’ai programmé afin que tu valides ou non. On verra les détails à ce moment là. Pas la peine de chercher quelqu’un pour te remplacer, je vais commencer par des tests en solo. Suivant si ça plaît, on verra par la suite pour les duo. » elle ne souhaitait pas mettre tout ça en œuvre avec lui. Ni avec un autre en réalité. Pas maintenant. Alors elle avait pris cette décision dans la nuit. Ça éviterait les emmerdes. Juste avant que les portes ne s’ouvre elle ajouta : « -je lui ai dis que la soirée s’était bien passée. Rien de plus. » et tout en sortant de la cage d’ascenseur elle ajouta : « -et d’accord j’irais m’excuser. » si ça pouvait éviter que Brittany ou Jeffrey ne mettent le nez dans leur affaire.
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Mar 18 Jan - 16:54
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
crédit : :copyright: moi-même / Tumblr
Le journaliste aurait pu laisser Madison déverser sa frustration et sa colère sur ses collègues. Après tout, ils avaient parlé de garder une certaine distance sur le lieu de travail à la suite de leur soirée de la veille. Mais Elijah n’était pas un adepte de la technique de l’autruche, et il considérait qu’autant Jeffrey que Brittany n’avait pas à subir les foudres de la belle brune, tout simplement parce qu’elle n’était pas d’humeur ce matin. Il s’était donc rendu dans son bureau, l’avait entrainé jusqu’à l’ascenseur et avait mis en arrêt la boite en métal pour qu’ils puissent discuter à l’abri de toutes oreilles indiscrètes. Un bref silence et le quadragénaire donna une raison à son refus de la veille, alors qu’il n’avait eu de cesse que de la désirer depuis qu’ils s’étaient revus. « Alors ça a à voir avec quoi Maddy ? Explique-moi » en tendant la main vers elle, l’invitant à prendre la parole. Mais ce dernier ne tarda pas à reprendre son rôle de supérieur en lui demandant d’aller s’excuser de son comportement, ce qui n’était pas au goût de la belle brune qui restait cloitré sur ses positions « Il y avait d’autres manières de les faire partir. Je t’ai entendu de mon bureau. Ton poste est un poste surtension, je le concède, mais je souhaite maintenir la bonne entente au sein du magazine. Alors tente de contrôler tes émotions et ton stress. Il y a d’autres moyens pour les faire sortir de ton bureau ». Le fait qu’elle se sente dépasser par les évènements de la sorte commençait à faire douter Elijah sur l’octroi de ce poste. Peut-être aurait-il dû lui confier un poste moins important pour le début, pour qu’elle s’acclimate à la charge de travail.
Madison stoppa l’ascenseur à nouveau pour avoir le temps de s’excuser de son comportement de la veille. Le journaliste se tourna vers elle et acquiesça sans mot dire tout en l’écoutant, avant de prendre le temps de répondre à son tour « Il aurait été juste question de quelques jours avant que l’on puisse passer cette fameuse nuit ensemble. Juste quelques jours… » et se tourna vers les portes de l’ascenseur « Professionnelle et cordiale… Ou comment passer d’un extrême à l’autre… ». Lui qui avait apprécié leur relation décontractée, se retrouver à devoir avoir la même relation avec Madison qu’avec l’ensemble de ses collaborateurs à l’exception de Brittany et Jeffrey. Il la laissa relancer l’ascenseur, fixant les portes en métal devant lui « Bien » fut sa seule réponse et les portes s’ouvrirent. Elijah la laissa quitter l’ascenseur en première avant de froncer les sourcils « Je n’aurais pas pensé que ça soit la dernière soirée qu’on passerait ensemble, et tout cela pour une connerie » répondit-il en la fixant et acquiesça de nouveau « Merci » avant de se rendre dans son bureau non sans un dernier regard pour la belle brune.
En entrant dans son bureau, Brittany l’attendait patiemment dans l’une des chaises face à lui « L’ascenseur est en panne ? » « Non. C’est moi qui l’ai arrêté pour parler avec Madison » répondit-il tout en prenant place dans son fauteuil « Depuis quand tu discutes dans les ascenseurs ? » « Depuis que je veux de la tranquillité. Ça te pose un souci ? » « Tu passes la soirée avec elle et ce matin, elle pète un plomb et vous vous retrouvez à parler dans un ascenseur. Je ne suis peut-être pas un génie, mais je trouve tout ça… suspicieux… » elle poussa un soupir « Vous avez une aventure ? Non parce que si c’est le cas, je préfère que tu me le dises maintenant et qu’on arrête tout maintenant ». Elijah s’arrêta de taper sur son clavier, tourna la tête vers Brittany qui semblait soudainement affolée « Non. On ne couche pas ensemble. Tu as d’autres questions ou je peux travailler ? ». La jeune femme l’observa et se leva « Tu peux travailler » et quitta le bureau sous le regard d’Elijah qui poussa un soupir en levant la tête au plafond « Les femmes ! » rétorqua-t-il avec un certain désespoir, puis se remit au travail, s’autorisant tout de même un mail à l’attention de Madison : Pas de doigt d’honneur aujourd’hui ?.
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Mar 18 Jan - 21:25
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
crédit : tumblr, Cranberry
Maddy fit ce O avec ses lèvres, en l’écoutant préciser que le poste qu’elle occupait, pouvait être stressant. A travers tout ça, ce qu’elle comprenait c’était qu’il l’attendait au tournant. Et que pour un éclat de voix il remettait déjà en doute ses capacités. Voilà ce qu’elle comprenait. Madison souhaita mettre les choses à plats et immobilisa l’ascenseur. « -c’est peut être mieux qu’il n’y ait pas d’autre nuit. » souffla la jeune femme d’un ton morne, avant de baisser les yeux. Ce qu’elle décida pour l’avenir de leur relation ne sembla pas plaire à Elijah, mais elle ne lui laissait pas le choix. Maddy avait tourné et retourné dans sa tête tout ça, toute la nuit. Ils parlaient d’une nuit. Mais ça ne serait pas la seule. Et elle était persuadée qu’il en était conscient autant qu’elle. Même s’ils ne voulaient pas se l’avouer. L’entente cordiale et pro qu’elle demandait ne durerait pas. Ça aussi il le savait. Ils aiment bien trop se faire chier l’un l’autre pour ça. Elle avait juste besoin d’un peu de temps. Pour avaler son refus. C’était la première fois que ça lui arrivait !
« -arrêtes tu veux. » commenta la jolie brune lorsqu’il évoqua leur soirée comme la dernière. Il y en aurait d’autres. Mais pas tout de suite. Un dernier regard et elle rejoignit son bureau, évitant soigneusement de prêter attention à Brittany qui se trouvait dans celui d’Elijah. Maddy ferma la porte, et se remis au travail. Elle avait plusieurs idée pour ses tests en solo. Elle devait plancher dessus afin que tout soit parfait avant de présenter cela à Eli dans quelques jours. Un regard pour le mail qu’elle venait de recevoir, auquel elle répondit : laisses moi un peu de temps. Mais elle se dit qu’il fallait qu’elle trouve le numéro d’Elijah, parce qu’elle ne tenait pas à ce qu’ils aient ce genre de conversation par mail dans leur boite pro.
Trois jours plus tard, son projet était prêt. Elle avait présenté des excuses à Brittany et Jeffrey. L’un c’était montré compréhensif au grand étonnement de Maddy. Quant à Brittany elle l’avait questionné, voulant savoir si ils couchaient ensemble. « -non. On a tenté de passé une soirée normal, mais avec Elijah, c’est… compliqué. On a des caractères qui ne collent pas tout le temps. » la jolie blonde lui avait dit qu’elle la croyait. Et Madison fut quelque peu soulagée. Toute la journée elle l’avait passé dans son bureau. Et ça n’était qu’au soir, lorsque le bâtiment s’était vidé et qu’elle avait été certaine que Brittany et Jeffrey étaient partie, qu’elle s’était pointée dans le bureau d’Elijah. « -tu as encore trois minutes pour qu’on vois ensemble les détails ? » elle attendit qu’il l’invite à prendre place en face de lui, et commença alors en lui glissant les papiers sous le nez. « -donc voilà l’idée. Pour le moment je ne pars pas si l’insolite ou le sexe. Je vais orienter sur la féminité. Se sentir femme, se sentir belle, désirable… donc je vais commencer, enfin si tu valides, par une shooting photo. J’ai sélectionné deux entreprises. Je vais t’envoyer les liens de leur sites pour que tu vois ce qu’ils proposent. Mais je voulais avoir ton avale avant de les contacter. » les deux entreprises proposaient des forfaits classiques mais également un option confiance en soit. Avec des photos dénudées pour booster la confiance et l’acceptation de soi. Madison était convaincue que ça pouvait plaire à leur lectrices. « -et heu… j’aimerais que tu me donnes ton numéro. » question de praticité.
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Mar 18 Jan - 21:59
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
crédit : :copyright: moi-même / Tumblr
Finalement tout était fragile, et tout pouvait brusquement changer. Un jour, on se confiait à une personne de confiance tout en dansant au milieu d’un bar, et le lendemain, tout cela ne semblait ne jamais avoir lieu, et n’aurait sûrement plus jamais lieu. C’était le jeu de la vie. Des relations. Tout était en mouvement. Tout pouvait basculer à tout moment. Elijah venait de le comprendre alors que Madison leur imposait de rester professionnel et cordial. Le quadragénaire accepta, malgré lui, les nouvelles règles du jeu, et s’autorisa, malgré tout, une tentative qui fut vaine. Professionnel et cordial. Bien. Il le serait. Ça limiterait notamment le genre de conversation qu’il venait d’avoir avec Brittany sur sa fidélité… Il resta donc en retrait les jours qui suivirent. Pas de mail. Pas de regards. Pas de visite inopinée dans son bureau pour discuter. Il ne la convia pas non plus aux réunions du matin ou de celles qu’il réservait pour ses assistants. Jeffrey avait tenté d’en savoir davantage, mais le journaliste était resté muet face aux interrogations de son bras droit. Madison avait souhaité du cordial et du professionnel. Elijah lui avait livré du professionnel et du distant.
Le quadragénaire était debout devant son bureau, rangeant les papiers se trouvant sur ce dernier dans les tiroirs, prêt à rentrer chez lui pour passer la soirée en compagnie de Brittany, et apaiser ses craintes sur sa probable infidélité. Il releva la tête vers la porte qui venait de s’ouvrir sur Madison, et continua de ranger son bureau comme si de rien n’était « Salut... Rapidement » répondit-il froidement et lui fit signe de prendre place sur la chaise face à son bureau, et tout en restant debout, tendit la main pour se saisir des papiers qu’elle avait fait glisser jusqu’à lui. Tout en l’écoutant, il parcouru du regard l’idée inscrite sur le papier, relevant de temps à autre ses yeux sur elle, hochant de temps à autre la tête, puis lui rendit les feuilles en les faisant glisser jusqu’à elle « Ça me convient » alors qu’il se retourna pour fermer sa mallette, percutant en une fraction de seconde, et tourna rapidement la tête vers Madison « Attends… Est-ce que j’ai bien compris… Tu vas faire un shooting photo ? Un shooting photo dénudée ? », et son esprit fit le reste du travail en imaginant les photos. Il cligna des yeux et commença à bafouiller « Seule ? Je… Tu… Dénudée ? Toi ? Nue ? Dans le magazine ? » et fit le tour du bureau, posant ses fesses tout contre, face à Madison, et reprit les papiers pour être sûr d’avoir bien lu, puis les posa à côté de lui. Il aurait pu se réjouir en se disant que son idée pouvait faire vendre, mais une part de lui n’aimait pas l’idée. « Je… » et hésita à aller au bout de sa phrase, et Madison le coupa en lui demandant son numéro de téléphone. Elijah haussa les sourcils de surprise, puis pencha la tête sur le côté « Je te manque ? » en souriant. Il se détacha du bureau, se penchant de tout son long sur le bureau pour attraper le stylo et le papier dans son tiroir, griffonna sur le bout de papier et le tendit à la belle brune « Voilà… ».
Le journaliste reprit place sur le rebord du bureau, ses mains posées de chaque côté sur le bureau, et ajouta « Pour les photos dénudées… Je… Comment dire ça… Je n’ai pas envie que tout le monde te voie nue dans un magazine. Enfin dénudée. C’est du pareil au même pour moi ». Elle allait finir par croire qu’il se prenait pour son mec. « Je sais, je sais » rétorqua-t-il en levant les mains comme s’il se rendait « Je n’ai pas le droit de m’opposer à ça. C’est ton corps. Ton article. Mais… » et baissa les mains, posant son regard sur elle « Mais même si tu n’as pas envie de l’entendre, je t’apprécie et je te considère comme mon amie, et je n’ai pas envie que tous les hommes… Laisse tomber » et se leva de contre le bureau pour récupérer sa mallette « Fais comme tu veux » répondit-il avec résignation lorsqu’il arriva à sa hauteur.
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Mer 19 Jan - 21:22
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
crédit : tumblr, Cranberry
« -pas de souci. » avait répondu Madison en entrant dans le bureau, voyant bien qu’il était sur le point de partir. Elle n’en avait pas pour longtemps. Alors elle lui expliqua le projet dans les grandes lignes, le laissant regarder ce qu’elle avait rédigé. Elle cligna plusieurs fois des yeux lorsqu’il donna son accord, sans rien n’avoir à ajouter. Un peu surprise. Elle s’était attendue à un commentaire. Puis elle comprit qu’il n’avait pas totalement capté l’idée du shooting photo. « -oui... » souffla Maddy avant de plisser les yeux en écoutant la suite. « -oui… je veux vraiment tester l’offre qu’il propose. Ce genre de prestation pour être d’une grande aide aux femmes qui n’ont pas confiance en elles, qui se trouvent trop rondes. Je pense aux femmes après la grossesse, qui n’ont plus le même corps qu’avant, mais aussi aux femmes qui ont subit une chimio ou une mastectomie. » ça n’était pas une histoire de se foutre à poil pour une question d’érotisme. Mais vraiment un travail accompagnateur psychologique. Elle le laissa reprendre les papiers et le coupa dans son élan en lui demandant son numéro, ne répondant rien aux quelques mots d’Elijah. « -je préfère t’envoyer des doigts d’honneur par sms plutôt que par la boite mail du boulot. » se justifia la jolie brune avec un sourire, avant de récupérer le bout de papier.
Mais elle fronça de nouveau les sourcils en suivant le fil des pensées de son patron. « -non attends... » commença t elle dans le but de lui expliquer la démarche et ce qu’elle pensait faire de l’article mais il la coupa à nouveau. Doucement, elle se mis à sourire en l’écoutant, baissant les yeux avant de lever le visage pour le regarder. « -attends Elijah. » demanda Maddy d’un ton posé mais affichant un sourire plus qu'amusé. « -il n’a jamais été question de faire apparaître ces photos dans l’article. C’est pour le j’ai testé pour vous. Pas le plus gros article. Il va s’agir d’une demi page, d’un texte. Pas d’illustration. Seulement mes impressions sur la démarche. » comment pouvait il imaginé qu’elle allait mettre ces photos dans le magazine. « -c’est un magazine féminin, pas un torchon érotique. Et je suis pas dingue à ce point là.» ajouta la jeune femme avant de se lever. « -les photos resterons perso. » un haussement d’épaule et elle ajouta : « -et si, tu as le droit de t’opposer à mes idées. Tu me l’as rappelé il y a quelques jours, c’est toi le patron. Donc… si l’idée ne te conviens pas, je peux en trouver une autre. » après tout c’était son job de dire si les articles envisagés étaient bons ou pas. « -ok très bien. Laissons tomber, je vais trouver une autre idée. Ça te gêne et... » elle balaya l’air de la main « -et je veux pas que ça soit le cas. » c’était déjà bien assez merdique comme ça entre eux pour que cela le devienne niveau professionnel. Ça n’était pas ce qu’elle voulait. « -tu… tu devais partir, alors je t’en pris. Je vais rester encore un peu et plancher sur autre chose. » ça n’était pas gênant, elle en avait d’autres en réserve des idées. Mais avant de quitter la pièce elle fit volt face et se heurta à Elijah, avant de reculer d’un pas. « -je… ton portable est verrouillé ? Enfin je veux dire… y’a un code. Enfin… » elle pencha la tête en fermant les yeux : « -Brittany n’y a pas accès ? C’est ça que je veux dire. Non parce que… enfin non laisse tomber ça aussi. » oui c’était mieux. Elle avait la nette sensation de s’enfoncer toute seule.
Messages : 4140
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Mer 19 Jan - 22:02
Elijah Roberts
J'ai 42 ans et je vis à Los Angeles, Californie. Dans la vie, je suis à la tête du département People de mon magazine et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis plus vraiment célibataire et je le vis plutôt bien
Elijah est né dans les quartiers populaires de Londres et n’a pas quitté la capitale britannique jusqu’à la fin de ses études supérieures en journalisme. Ce ne fut que par la suite qu’il décida de franchir l’Atlantique pour rejoindre un emploi de pigiste au New York Times tout en faisant sauter des steaks pour un fast-food du centre-ville. Lassé de faire des articles sur l’invasion des rats dans certains quartiers New-Yorkais ou encore sur l’incroyable vie de Betty Sanders, 80 ans et vivant avec 56 chats, il décida d’opter pour une carrière dans un magazine féminin. Il fit rapidement ses preuves et de fil en aiguille, il monta les échelons au sein dudit magazine, jusqu’à rejoindre la presse People. Toutefois, son poste actuel de gérant du département People n’est dû qu’à sa rencontre inopinée avec une jolie inconnue, journaliste elle-aussi, et qui est aussi habile avec sa langue pour parler que pour le faire crier de plaisir. Néanmoins, il ne pensait pas que leurs chemins se recroiseraient à l’avenir…
crédit : :copyright: moi-même / Tumblr
Parce qu’il était focalisé sur cette distance et ce professionnalisme qu’il s’imposait depuis quelques jours, Elijah ne prêta pas réellement attention au fonds de l’article, se limitant seulement au sujet : La photographie. Il ne lui fallut pas loin d’une minute pour qu’il réagisse et se retourne vers la belle brune, s’assurant qu’il avait bien compris ce qu’il venait de lire, et cela, d’une voix peu assurée. Elle lui confirma avec une certaine hésitation, elle aussi. Sceptique, ou plutôt mal à l’aise avec l’idée, Elijah resta tout de même à l’écoute des arguments de Madison. Des arguments qui furent plus que convaincants et qui auraient pu convaincre n’importe quel directeur de magazine. Alors en gardant ce professionnalisme qu’ils s’imposaient tous les deux, il répondit de manière tout aussi distante que son comportement de ces derniers jours « Je trouve l’idée intéressante et qui pourrait plaire au plus grand nombre. C’est… D’accord ». Il resta un moment silencieux en imaginant l’article, en imaginant les photos de Madison dénudée. Le directeur était ravi de l’idée. L’homme, bien moins. Il s’apprêtait à donner son avis personnel quand la belle brune le surpris quelque peu par sa demande. Son numéro de téléphone. Il l’indiqua rapidement sur un morceau de papier et lui tendit, souriant avec amusement et douceur, devant la réplique de cette dernière. Ça lui avait terriblement manqué « Tu as raison. Il faut rester professionnel ».
Un nouveau silence bref, et il décida de se lancer, d’exprimer le fonds de sa pensée au sujet de toute cette histoire de photo dénudée. Il ne la laissa pas poursuivre lorsqu’elle tenta de l’interrompre. Elijah était lancé, et il avait besoin d’exprimer à voix haute ce qu’il pensait tout bas. Il se tut lorsqu’elle lui demanda de ne pas aller trop vite dans le fil de son raisonnement. Le quadragénaire fronça les sourcils en la voyant sourire, et se sentit soudainement con quand elle lui expliqua que l’objectif était seulement de tester, pas d’exposer son corps aux yeux de tous. Il fut soudainement mal à l’aise d’avoir pensé cela, et d’avoir émis notamment une objection à son idée, et il éprouvait aussi un véritablement soulagement en entendant cela. Elle n’allait pas s’exposer nue dans le magazine. Cela ne l’empêcha pas de se cacher le visage derrière sa main libre « Mon dieu ! Tu dois me prendre pour un abruti maintenant ! » et ajouta « Tu aurais pu vouloir illustrer tes propos… ». Après tout, elle était dans son bon droit. Il esquissa un sourire en posant son regard sur elle « Tu pourras m’en faire profiter ou… » en souhaitant la taquiner un peu. Il s’apprêtait à lui répondre, que la jeune femme décida à se résoudre à ne pas faire l’article. Elijah s’était rapproché de Madison et rétorqua « Je ne m’opposais pas à ton article en tant que patron, mais en tant qu’ami. Fait l’article. S’il te plaît » et se justifia « Il est d’actualité, intéressant et met le mal-être des femmes à la suite d’un changement de vie, sur le devant de la scène. Tu pourrais permettre à certaines de nos lectrices de pouvoir se sentir belle et femme à nouveau. Vas-y. Tu as mon feu vert ». Il était réellement convaincu du bien fondé de cet article et des conséquences positives que ça pourrait avoir sur leurs lectrices. Elle devait rédiger cet article. Il en était convaincu.
Il la suivit jusqu’à la porte, sa mallette dans la main, et il sourit sans bouger lorsqu’elle se heurta à lui, ne s’attendant, semblablement pas, à le voir derrière elle. Il se mit à sourire en la voyant bafouiller, pour finalement se résigner. Il posa sa main sur sa joue, déposa un baiser sur l’autre joue et ajouta « Brittany ne vit pas avec moi et a encore moins accès à mon portable. Tu pourras me parler de ce que tu souhaites, quand tu veux, où tu veux. Je suis tout à toi... je parle par téléphone... évidemment» et se recula « Bonne nuit Maddy » en lui souriant.
Messages : 4016
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Jeu 20 Jan - 9:29
Madison Carter
J'ai 37 ans. Je vis à Los Angeles, États-Unis. Dans la vie, je suis journaliste people et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma chance , je suis séparée et je le vis plutôt bof.
Très bonne menteuse, manipulatrice lorsqu’elle le veut, certain la dise aussi égoïste. C’est le cas de Roy, son ex conjoint. Maddy avait toutes les cartes en main pour réussir sa carrière. La presse people c’est son truc ! Elle adore ça ! Les scandales, les dramas, les scoops qui peuvent détruire une image. Elle a toujours adoré ça, depuis le lycée. Elle était la reine des potins. Elle était de celle qui pouvait faire de vous quelqu’un de populaire ou non. Mais un soir, elle a croisé la route d’Elijah. Et cette nuit, mémorable point de vu sexe, lui à coûté sa réussite et son job. Aujourd’hui, après une pause de deux ans, et trois années à ramer en écrivant pour les autres, elle décroche enfin le job qui pourrait relancer tout ça. Oui, mais le destin en a décidé autrement…
crédit : tumblr, Cranberry
Exposer ses photos dans le magazine ne lui avait jamais traversé l’esprit. Nue ou pas. Et elle avait été surprise que cette idée viennent directement au cerveau d’Elijah. Agréablement surprise en réalité. Même si elle ne l’avouerait pas. Ça prouvait d’une certaine façon qu’il tenait à elle. Et lorsque cette idée là effleura l’esprit de Maddy, elle sentit une petite dose d’angoisse face à ça. Mais elle se reprit et redevint professionnelle et lui exposa le fait que jamais ces photos de sortirait du privé. Elle lui expliqua à nouveau le principe de l’article. Maddy leva les yeux et répondit non sans un sourire et un visage qui se voulait innocent : « -seulement maintenant oui bien sur... » trois jours… trois jours, cinq minutes de conversation et le naturel revenait au galop. Voilà qu’à nouveau elle se foutait de sa gueule. Et ça faisait du bien. « -non. Je préfère de loin laisser planer le mystère. » un sourire en coin. Puis elle grimaça et s’apprêta à répondre non pour lui montrer les photos, mais histoire de renouer avec leur relation, elle répondit tout naturellement : « -oui bien sur. » avant de revenir sur le sujet de déclarer qu’elle allait trouver une autre idée.
Peut être que dans le fond les gens n’allaient pas voir l’idée comme elle. Mais comme Eli. Une version érotique de l’expérience. Alors… alors vu que c’était le premier article, elle allait peut être devoir y aller en douceur. Puis elle fronça les sourcils en le dévisageant. « -tu as dis s’il te plais ? » ça sonnait étrange et en même temps… Ces quelques mots sortant de la bouche d’Elijah eurent un effort étrange sur elle. Une sensation qu’elle adora. Tout en l’écoutant se justifier, elle se mordit la lèvre inférieure en hochant la tête. Ouais… ouais ok elle allait le faire. « -ok très bien… » puis elle quitta le bureau avant de se retourner et de se retrouver trop prêt de lui. Un pas en arrière et elle bafouilla presque comme une ado. Un léger mouvement de recule lorsqu’il déposa ses lèvres sur sa joue, surprise de ce geste, mal à l’aise avec aussi. « -oui… évidement. » ajouta Maddy en haussant une épaule, comme si c’était une évidence et que ça ne sous entendait rien du tout. « -ouais… toi aussi. » lui répondit elle en reculant jusqu’à son bureau.
En y pénétrant, elle était super heureuse ! Heureuse d’avoir le feu vert pour l’article, parce qu’elle avait vraiment envie très envie de le faire. Heureuse aussi d’avoir réussit à rétablir quelque peu le dialogue entre eux. Ça allait facilité les choses pour le travail. Et également moins lui prendre la tête.
Le lundi suivant elle lui envoyait les accords de l’entreprise qu’elle avait choisit, la date fixée pour le shooting, et tout le reste des détails. Et puis un sms en privé : je sais que tu as le lieu et la date, mais je ne veux pas te voir te pointer. Ça gâcherait le test. Elle savait très bien qu’il était capable de se pointer avec une fausse excuse. Et elle ne voulait vraiment pas que l’expérience soit gâché à cause de ça. Parce que s’il était là, elle serait mal à l’aise. C’était certain. Lorsqu’elle rentra à la rédaction, elle lui adressa un sourire en passant devant son bureau, avant de rejoindre le sien, heureuse de l’expérience, sachant déjà ce qu’elle allait rédiger. Chose qu’elle s’empressa de faire après avoir pioché une sucette du paquet qui se trouvait dans un tiroir de son bureau.
Contenu sponsorisé
“Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.” [Ft. Charly]