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LE TEMPS D'UN RP

"La vengeance ne répare pas un tort, mais elle en prévient cent autres."

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mar 24 Mai 2022 - 20:31
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Mackenzie ne cacha pas sa surprise lorsqu’il communiqua le montant important de ses costumes sur-mesure. Il avait conscience, qu’au vu de sa situation actuelle, c’était plus qu’ahurissant d’investir autant dans de simples vêtements. En ce qui le concernait, c’était pratiquement son unique dépense, à l’exception du salaire du personnel qu’il employait pour entretenir sa maison, et le conduire où bon lui allait. « Je prête une grande attention à mon image. La première impression est déterminante et il serait maladroit de venir à des rendez-vous avec des dirigeants cotés en bourse dans des costumes à 200$ » et ajouta à la suite « Néanmoins, j’ai conscience qu’au vu de votre situation actuelle, ça peut paraître exorbitant. Toutefois, avant cette vie-là, ne me dites pas que vous regardiez à la dépense de votre garde-robe ? ». Après tout, elle était née avec une cuillère en or dans la bouche, au même titre que lui. Puis elle avait fini par perdre toute sa fortune, alors qu’il avait gardé la sienne au détriment d’une perte bien plus couteuse pour lui. « Vous êtes de mauvaise foi » rétorqua-t-il aussitôt alors que Mac ne parvenait pas à lui avouer qu’il avait raison sur ce point, et sourit ensuite face à la déduction de cette dernière « En effet ! Il fait parti de mes films préférés » et ne se lassait jamais de le revoir encore et encore. Mais avant cela, Mackenzie souligna que son point d’ancrage, son travail, l’unique but dans sa vie, était devenu lassant, ou tout du moins, il était en train de le devenir « Pourquoi ça l’est tant ? ». Oui, ça l’intriguait.

Finalement ils poursuivirent leur conversation sur le toit après une brève pause dans les bras de Morphée de laquelle Mac l’extirpa. Débardeur, jogging et surtout pieds nus, cette dernière s’inquiétait qu’il prenne froid, et souligna qu’elle portait son pull au cas où. Un petit rire devant la remarque sur le cerveau congelé, et la regarda un instant avant de rétorquer « Je me doute bien. Vous pouvez le garder, il vous va bien », et puis David n’était pas un frileux de nature. Il craignait bien plus la chaleur étouffante de l’été. Lorsque le sujet de son métier revint sur le tapis, l’avocat expliqua les raisons qui faisaient qu’il était toujours présent dans ce cabinet. C’était un point d’attache, une manière de ne pas oublier sa femme, leur rencontre et tous les moments passés entre ces murs. Il baissa son regard sur la glace sur sa cuillère, puis la porta à sa bouche, l’avala en silence et tourna la tête vers elle « Je préfère avancer étape par étape. On se concentre sur les sorties, et ensuite, j’aviserais au sujet de ma carrière » tout en lui souriant avec douceur. Il n’avait pas envie de tout déranger dans sa vie si bien réglée, au risque de perdre pieds et de défaillir à l’issue. Toutefois, il allait y songer sérieusement. Il se saisit à nouveau de la cuillère après lui avoir posé à son tour une question. Un petit rire face à la réponse de cette dernière « Oui, en effet ». Il n’allait pas mentir. Il entendait presque déjà le discours résonner à son oreille.

Contre toute attente, elle lui avoua être tombée amoureuse. Une fois. Une unique fois. Elle avait aimé un homme marié pour lequel, elle n’était pas devenue une priorité, mais plutôt une espèce d’échappatoire à sa routine maritale sûrement. Il reprit une bouchée de glace avant de lui tendre la cuillère, l’écoutant en silence se confier à lui. Il acquiesça lentement de la tête à l’issue de son monologue « Sauf pour une nuit, alors que vous avez laissé votre avocat s’inquiéter pour vous à votre appartement » précisa-t-il avec un petit sourire en coin. Il détourna ensuite le regard sur la ville, quelques secondes, puis reporta son attention à nouveau sur la jeune femme « Vous ne devez jamais laisser les autres penser que vous êtes un second choix. Vous n’êtes pas un second choix. Vous êtes un bon choix. Et lorsque vous finirez pas rencontrer un homme qui le comprendra, alors ça sera le bon. Ça sera celui qui ne vous donnera plus envie de fuir, mais plutôt de vous accrochez un peu plus à lui ». Il se saisit ensuite de la cuillère et prit une nouvelle bouchée, puis ajouta en fixant les buildings devant eux « Vous devez tirer un trait sur le passé et les conséquences que cela a engendré, afin de vous concentrer sur l’avenir. Parce que si vous vous laissez conduire par la peur que ça se reproduise, alors vous n’avancerez pas. Vous ne tenterez rien, et vous stagnerez ». Il tourna la tête vers elle et se mit à sourire, presque taquin « Mais par chance, vous m’avez, et je vous pousserais à toujours être une meilleure version de vous-mêmes ».
Charly
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Charly
Mar 24 Mai 2022 - 21:06
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -sincèrement, j’en avais rien à foutre. Et ça exaspérait ma mère. » avait répondu Mac en toute franchise. Non, elle n’avait jamais été une grande fan des robes hors de prix. Son aversion pour le shopping n’était pas d’aujourd’hui. C’était le truc de sa mère et de sa sœur, les sorties auxquelles la jeune femme qu’elle était, détestait se rendre. Pour cette réponse, il n’y avait pas de mauvaise foi. Pour la suivante, un peu, peut être. Mais elle n’avait pas envie de donner raison à David, juste pour le faire chier. C’était un de ses passes temps préféré depuis leur rencontre. Elle adora le film, et elle décida de terminer sa soirée sur la terrasse en mangeant de la glace. L’avocat décida de se joindre à elle alors qu’elle le croyait déjà en pyjama dans son lit.

« -top parce que je ne porte rien en dessous. » avait elle répliqué pour le fun avant d’ajouter : « -je déconne. Mais tant mieux parce que je ne comptais pas vous le rendre maintenant. » non, elle se sentait bien là, à moitié allongée dans les coussins moelleux de canapé de la terrasse. Canapé qui n’avait pas les mêmes fonction que celui du salon. « -il n’y a pas d’urgence. Ça n’est qu’une idée, une suggestion peut être mais vous menez votre vie comme bon vous semble. » loin d’elle l’idée de tout chambouler. Déjà il était partant pour sortir et c’était une belle réussite en soit.

Quelques minutes plus tard, elle s’employa à expliquer à David pourquoi est ce qu’elle ne tenait pas à tomber de nouveau amoureuse. Ça avait été trop douloureux. De mauvais souvenirs qui avaient éclipsé les bons. Elle avait souffert de cette trahison, avait éprouvé tellement de honte de s’être laissé berner de la sorte. Un léger sourire tendre se dessina sur les lèvres de Mac. Il s’était inquiété pour elle. « -un nuit ça ne compte pas. C’est juste pour du bon temps. Même si clairement la nuit dernière ça n’a pas été la meilleure nuit de ma vie. » elle n’allait pas entrer dans les détails mais oui, ça n’avait pas été l’extase. « -c’est votre appartement et je vous avais dis de ne pas vous inquiété avant quelques jours. » précisa Mac en reprenant la cuillère entre les doigts de David. « -et bien ça n’est pas demain la veille je peux vous l’assurer. » avait elle répliqué en n’imaginant pas une seconde qu’un tel homme puisse exister. Elle tourna la tête et un sourire mi tendre mi taquin s’afficha : « -tiens c’est marrant, ça peut très bien s’appliquer à vous ça aussi. » oui, elle n’allait pas passer son temps à prendre des pincettes. D’accord il avait perdu sa femme, d’accord c’était douloureux, mais il avait aussi clairement le droit de vivre à nouveau. Elle pencha légèrement la tête à la phrase suivante. « -c’est vrai. J’ai de la chance. » elle lui piqua la cuillère : « -de vous avoir. Pas sur que l'inverse soit vrai »
Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mar 24 Mai 2022 - 21:33
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Même si Mackenzie ne semblait pas apprécier le shopping, et sûrement la mode par ailleurs, cela ne l’empêchait pas pour autant de lui emprunter son pull en cette fin de soirée particulièrement fraîche de cet automne. Un pull qui lui laissa avec plaisir afin qu’elle puisse se couvrir de la petite brise de ce début de saison. Néanmoins, la précision qu’apporta Mackenzie eut raison de le faire rire « Raison de plus de vous le laisser dans ce cas ». Il ne souhaitait pas lui ôter son unique vêtement. Puis elle précisa que c’était faux. Elle était vêtue sous le vêtement qu’elle lui avait piqué pour la soirée, et ne put s’empêcher de rire pour autant « Vous savez, ce n’était pas un problème si vous étiez nue dessous. Vous faites bien comme vous voulez » et ajouta « Je ne le porte que rarement, alors vous pouvez le garder aussi longtemps que vous le souhaitez ». Après tout, il préférait de loin ces costumes sûrement considérés hors de prix par Mac, plutôt que ses tenues décontractées de fin de journée. Lorsque le sujet dévia sur son avenir professionnel, et sur les raisons qui l’empêchait de partir pour le moment du cabinet, il trouva utile de préciser qu’il souhaitait avancer étape par étape pour ne pas se brusquer, et que tous ses efforts soient réduits à néant. Le lien émotionnel qu’il partageait avec ce cabinet était difficile à rompre, et Mac sembla le comprendre « Je sais, et c’est toujours bon à prendre ». Après tout, il lui confia y réfléchir pour l’avenir. Mais pour le moment, il restait à ce cabinet, gérant des affaires de plusieurs millions de dollars pour des dirigeants de sociétés importantes, et qui avaient un goût pour le risque.

Quand ils évoquèrent les relations personnelles de la jeune femme, David trouva utile de préciser qu’il s’était inquiété pour elle cette nuit. Sous-entendant qu’il ne souhaitait pas que ça se reproduire de cette manière à l’avenir « Vous avez mal choisi votre partenaire ? Ou c’étaient pour d’autres raisons ? », comme l’excès d’alcool, par exemple. Sa mine de ce matin et l’odeur qui s’était dégagée d’elle à son arrivée ne laissait aucun doute quant à sa consommation de ce genre de liquide durant la nuit. « Non. Nous étions parvenus à un compromis qui disait que vous m’enverriez un message au petit matin » lui rappela-t-il. Déformation professionnelle sûrement. Cette petite précision apportée, David la rassura sur le fait qu’un jour, elle finirait par rencontrer un homme bienveillant à son égard, et qui saurait prendre soin d’elle, et la considérerait comme le premier et l’unique choix dans sa vie. Des paroles face auxquelles elle resta sceptique, ce qui ne résigna pas pour autant l’avocat « Il faut du temps aux choses. Pour le moment, vous devez vous concentrer sur vous. Vous reconstruire. Lorsque ça sera chose faite, alors vous serez prête à accueillir un homme dans votre vie. Et je ne parle pas pour une unique nuit ».
Il se mit ensuite à rire, presque mal à l’aise que son argument se soit retourné aussi rapidement contre lui, et rétorqua « Je n’ai pas peur de tomber amoureux de crainte de la perdre comme j’ai perdu Cheryl et Talia. J’ai conscience que ce genre d’accidents se produisent rarement deux fois dans une seule vie. Je n’ai seulement pas envie et pas besoin d’aimer à nouveau. C’est inutile à mes yeux ». La femme de sa vie était décédée, et il ne souhaitait pas la remplacer. Il avait tenté, mais cela avait été un échec parce qu’elle n’était pas sa femme. « Je sais ! Vous allez me dire que vous me parliez de mon goût pour la vie et mon travail. Je n’ai pas arrêté de vivre par peur. J’ai arrêté de vivre, parce que je n’ai plus de raison de le faire ». C’était toute la nuance. Et même s’il prenait plaisir à ressortir aux côtés de Mackenzie, cela ne signifiait pas pour autant qu’il avait reprit goût à la vie pour autant. Il ne faisait qu’essayer. Pour voir. Il posa ensuite son regard sur la cuillère qu’elle venait de lui voler et le releva sur elle « L’inverse est vrai. Je vous l’ai dit : J’apprécie réellement votre compagnie. Sinon, pourquoi vous aurais-je poursuivi jusqu’à votre restaurant hier soir ? ».

Charly
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Mer 25 Mai 2022 - 14:47
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -ho hé ça va ! » lança la jeune femme comme s’il venait de dire à voix haute qu’il ne la trouvait pas à sa goût et qu’aucun homme ne devrait apprécier la vue de ses seins. Elle prenait cela avec humour, uniquement cela. Elle s’était trop pris la tête depuis deux jours. Ce soir elle se détendait. Elle fronça ensuite les sourcils alors qu’il déclarait que ça n’était pas un problème si elle avait été nue sous son pull. « -on est rendu à une point d’intimité assez élevé pour que je fasse ça. » oubliant totalement qu’au petit matin, elle était toujours peu vêtue. Et pas forcement de façon très décente.En soit elle n’avait pas beaucoup de pudeur, c’était plus vis à vis de lui. « -ok très bien, techniquement chez moi ça veut dire que vous le reverrez jamais. » Petit manie prise au fil des ans à trop être dans le manque d’argent. En vérité, elle se sentait vraiment bien dedans.

Il souhaitait pour elle, que Mac parvienne à changer de vie. Elle lui souhaitait la même chose. Reprendre goût à la vie, s’autoriser à vivre à nouveau. Mais elle comprenait parfaitement que cela prenait du temps et qu’il n’était pas encore prêt à franchir le pas. C’était presque trop soudain. Le sujet changea, et Mac se mis à réfléchir, amusé de la question : « -ah heu… un peu des deux. Il était pas terrible et j’étais pas vraiment dans le bon état d’esprit. » ouais ça avait été du vite fait mal fait. « -enfin je sais pas par exemple, demander trois fois en 25min si ça va, si j’aime bien. Bon c’est bon, qu’on en finisse ! Et puis dans le genre je ne sais pas me servir d’autre chose que de ma queue. » elle se mis à rire et regarda David avant de dire en mode totalement décontracté : « -je devrais pas vous raconter ça. » puis elle précisa qu’il n’avait pas à s’inquiéter, qu’ils avaient un accord. Forcement il la contre dit. « -au petit matin ? Mais j’étais en train de décuver et surtout j’étais en route pour l’appartement. Je n’allais pas vous envoyer un message pour vous dire : je suis là ! » il l’avait très bien vu !

Sans vraiment savoir pourquoi, l’effet terrasse ou la glace peut être, Mac se confia sur sa vie amoureuse. Et c’était amusant pour elle de voir comme David y croyait pour deux. Il tenait vraiment à ce qu’elle ait une belle vie, une meilleure vie en tout cas. « -je crois que de ce côté là, c’est à moi d’en décider. » avait elle répondu pour lui signifier que s’il pouvait rester en dehors de sa vie sentimentale, ça l’arrangeait. « -et puis c’est bien les unique nuit ! Si c’est nul et bien on recommence pas. Point salut au suivant ! » lança Mac en riant de nouveau.

Puis elle pointa du doigt le fait que ce qu’il avait ajouté pouvait parfaitement s’appliquer à lui également. Le sourire de Mac s’effaça peu à peu en l’écoutant répondre. Elle trouvait ces paroles d’une tristesse folle. Pas besoin d’aimer à nouveau ? Inutile à ses yeux. Wahou… Peut être que finalement elle était incapable de comprendre la grandeur de l’amour qu’il portait à sa femme. « -oui je ne vous parlais pas de votre vie amoureuse. » oh non, ça c’était à lui de gérer. Elle n’était personne pour le guider là dessus. Et même si elle trouvait son discours bien triste, elle ne le pousserait pas de ce côté là. « -je ne vous cache pas que je trouve vos mots horribles. » elle n’approfondit pas le sujet. Préférant revenir sur une note plus facile, appuyant le fait qu’il avait raison et qu’elle était consciente de sa chance. Un léger rire, un sourire en coin avant de laisser sa tête se poser sur les oreillers en regardant David : « -vous ne sentez pas le différence entre j’apprécie votre compagnie et vous avez de la chance de m’avoir. » avec un peu plus de sérieux elle ajouta : « -d’accord je suis sympa. Je vais le nier. Je vous fais peut être rire, je mets un peu le bordel dans votre vie. Mais vous... » elle se redressa, croisa ses jambes en tailleur et le regarda en se tournant vers lui : « -vous vous… vous êtes cette putain de main tendue dont j’ai tant rêvé. Aujourd’hui vous… aujourd’hui vous m’avez apporté bien plus que qui que se soit en plus de six ans. Vous ne vous en rendez sans doute pas compte, mais tout à l’heure au café, vous m’avez serré dans vos bras, comme jamais personne ne l’a fait. Vous m’avez donné l’autorisation de pleurer, d’arrêter d’être forte pendant l’espace de cinq minutes. » oui il ne voulait pas entendre de merci et pourtant il allait l’écouter jusqu’au bout : « -votre plaidoirie c’était… vous voyez un truc en moi que je suis incapable de voir moi même ! Alors oui, c’est moi qui ait de la chance. Et vous… » elle lui sourit avec douceur : « -vous avez juste hérité d’un boulet pendant un temps. » et ça c’était la vérité. Qu’il le veuille ou non. « -et ne mangez pas toute la glace qui reste merci. » ajouta Mac en se penchant pour voir l’intérieur du pot. Elle n’était pas triste ou amer en disant tout cela. Elle souriait toujours, et tenait à ce que la soirée reste belle et appréciable. Elle tenait juste à ce qu’il entende la vérité. « -c’est pas une compétition ou un jeu de comparaison. J’ai seulement plus de chance que vous. C’est tout. Maintenant je voulais vous parlez d’un autre truc : ce weekend on va partir avec ma voiture. » changement de sujet total.
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J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
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« Que d’arguments ! » rétorqua-t-il en se moquant de la réponse développée de la jeune femme à ses côtés, avant d’ajouter « Vous devriez être flattée d’être aux côtés d’un homme qui vous apprécie pour uniquement votre personnalité ». C’était une qualité rare chez les hommes, et qui avait le mérite d’être soulignée par Donna. Cette dernière avait toujours apprécié passer des soirées en sa compagnie au bureau pour étudier un dossier avec un verre de scotch, sans la crainte perpétuelle que ça puisse tourner à une relation plus intimiste. En d’autres termes, elle pouvait être elle-même, le taquiner, le complimenter sur tel ou tel aspect de sa tenue ou de sa silhouette sans craindre que ses propos soient mal interprétés et qu’elle doive se justifier continuellement. Il en était de même pour Mac. Il ne la voyait pas comme une femme qu’il pourrait charmer, avec qui il pourrait passer la nuit. Elle était uniquement sa colocataire, et peu à peu, peut-être même une amie à ses yeux. Donc de savoir qu’elle était nue sous son pull ne lui provoquait aucun effet, quel qu’il soit. Il haussa les sourcils en la regardant « Si l’on omet vos tenues du petit-déjeuner » précisa-t-il avant de rire en prenant conscience qu’elle ne lui rendait jamais son pull « Vous penserez à moi comme ça ». Ça serait une sorte de souvenir de sa vie passée, de leur petite période de colocation, de l’aide qu’ils s’étaient mutuellement apportées. Le genre de souvenir qui faisait sourire avec douceur et nostalgie tout à la fois.

Comment en étaient-ils venus à parler des compétences sexuelles de son aventure de cette nuit ?! David n’en avait plus aucune idée, mais il n’était nullement dérangé par le sujet. Dans sa carrière, il avait eu à faire à plus d’une conversation gênante sur : Comment avez-vous fait pour être surpris dans une partouze au bureau ? Qui était cet homme, et est-ce que votre femme est au courant ? ou encore se retrouver à répondre que non, il n’avait jamais porté de tenue en latex. Alors il n’était en rien choqué par les propos de la jeune femme « Hum… Je vois » rétorqua-t-il tout en baissant les yeux sur sa cuillère qu’il remplissait de glace, puis la porta à sa bouche tout en tournant la tête vers elle alors qu’elle entra davantage dans les détails. Il retira la cuillère de sa bouche pour répondre en toute décontraction, comme s’ils étaient devenus soudainement meilleurs amis « S’il vous demande plusieurs fois si vous aimez, c’est que vous n’aimez pas. Ce n’est pas vraiment le genre de questions qu’on pose durant l’acte si on sait s’y prendre » et ajouta « Vous devriez mieux choisir vos compagnons d’une nuit dans ce cas-là ». David ne se vantait pas pour autant d’être un bon coup. Cela faisait six ans qu’il n’avait pas touché une femme, même pour une nuit, et si ça venait à se produire dans un avenir plus ou moins lointain, il n’était pas bien certain de se rappeler comment faire concrètement. Toutefois, son expérience personnelle lui faisait comprendre qu’elle était tombée sur un manchot. Un petit rire et rétorqua « Trop tard ! » et ajouta « Vous pouvez m’en parler, ça ne me dérange pas. Ça ne fait qu’accentuer notre niveau d’intimité. C’est ça le terme que vous avez utilisé tout à l’heure ? » en la taquinant un peu avant de lui répondre « Ce matin est une exception. Les fois prochaines, envoyez-moi un message. Ou sinon, vous l’envoyez au moment où vous rentrez dans un bar. Vu votre physique, vous n’avez pas trop de doute sur savoir si vous allez réussir à trouver un individu avec lequel passer la nuit ». C’était une évidence. Elle était jolie, et sûrement attirante aux yeux de la plupart des hommes.

« Vous avez peur que je vous traîne à un speed dating ? » en faisant référence à la journée qu’ils avaient passé à faire les boutiques parce qu’il avait décidé de s’occuper de sa vie professionnelle. Un petit rire alors que Mac restait sur ses positions « Oui, mais vous êtes frustrée, ça joue sur votre humeur. Et puis vous pouvez aussi tomber amoureuse d’un homme qui sait vous donner du plaisir sur ce point ». Après tout, relation longue et sérieuse ne signifiait pas pour autant vie sexuelle basique et sans saveur. En ce qui le concernait, il ne souhaitait pas retomber amoureux. Il n’en voyait pas l’utilité et n’en éprouvait pas le besoin. Mais comme il le soupçonna, elle ne parlait pas de sa vie personnelle. Pour autant, son discours n’était pas plus optimiste concernant le reste de sa vie. Un léger sourire se glissa sur les lèvres de David qui tourna la tête vers elle « Ils ne le sont pas. C’est un simple constat de mon existence sur Terre ». Depuis le décès de sa famille, David n’avait plus de raison de vivre. Ce n’était pas pour autant qu’il allait se jeter du toit d’un immeuble. Il avait toujours été contre cette idée de suicide. Il vivait donc une vie sans saveur. Un peu comme la nuit qu’elle avait passé avec l’homme rencontré dans un bar cette nuit.

Un petit rire à son tour alors qu’il tourna la tête vers elle « Non, pas vraiment. Parce que si vous considérez que vous avez de la chance de m’avoir dans votre vie, c’est que d’une certaine manière, vous m’appréciez aussi ». En tout cas, c’était ainsi qu’il percevait les choses. Il la regarda fixement lorsqu’elle se confia à lui avec sérieux. Il ne la quitta pas des yeux une seconde, n’ayant pas prit conscience de l’impact que ses mots ou ses actes avaient pu avoir sur elle, sur sa vie. Pour lui, il n’avait été que lui-même. Rien de plus, rien de moins. Il baissa ensuite les yeux sur le pot de glace, touché par les paroles de cette dernière, et sans relever la tête vers elle, se mit à sourire avec amusement « Il en reste » et lui tendit le pot avant de rétorquer « Je ne savais pas que tout ça avait tant compté pour vous. Vous serrez dans mes bras tout à l’heure, c’était juste… normal. Vous n’alliez pas bien, et vous aviez besoin d’évacuer à l’abris des regards. C’était une réaction… normale, oui ». Il ajouta avec un sourire tendre « Pour votre information, vous n’êtes pas un boulet pour moi. Vous m’apportez beaucoup. Vous me faites sourire, et ça faisait bien longtemps que personne n’y était parvenue » et ça avait tout autant d’importance pour lui que ce qu’il avait pu faire pour elle. « Vous avez plus de chance, parce que vous voyez tout cela par votre propre regard. Du mien, j’ai tout autant de chance que vous » et ajouta « Et non ! On n’ira pas avec votre tas de boue. Je ne comprends pas comment vous faites pour rouler encore avec ce véhicule ! ».


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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -c’est vrai ! C’est tout à fait vrai ! » avait lancé Mac en retour avant d’ajouter toujours aussi souriante : « -je ne sais pas pourquoi je l’interprète comme ça. Vous avez parfaitement raison. » elle se foutait de lui et de ses propos mais c’était toujours avec bienveillance et sourire. Et puis c’était vrai, il avait raison. Elle aurait dû apprécier le fait qu’il ne louche pas sur son corps. « -peut être que je n’ai tout simplement pas l’habitude de votre attitude. » réfléchit la jeune femme tout haut. Ils étaient bien rare les hommes croisés qui ne l’avait pas regarder la tête aux pieds. La bouche pleine de glace, elle répondit : « -très bien je mettrais votre pull pour le petit déj’ ! » oui en fait en réfléchissant, elle ne s’était jamais vraiment gêné avec lui. C’était un peu comme si elle parlait à un curé ou un eunuque ? Pourtant à la base il y avait bien un homme vivant là juste à côté d’elle. Quelqu’un qui avait des sentiments, des envies, des réactions physiques. « -oh non dites pas ça ! On dirait que vous êtes presque déjà nostalgique que je ne sois plus là. Je suis pas encore partie rassurez vous David. D’accord je ne vais pas en prison mais j’ai toujours un boulot de merde et nul part ou aller. Donc… » elle fit des gestes avec ses mains comme pour bien lui faire comprendre que ba non, elle n’était pas encore partie. « -et puis je pense pas avoir besoin d’un pull pour me souvenir de vous. » avait elle ajouté en lui tendant le pot de glace. Oh que non. Si grâce à lui elle parvenait vraiment à reprendre sa vie en main, elle n’était pas prête de l’oublier de si tôt.

« -ouais non clairement j’étais pas concentrée. » avait répliqué Mac comme si elle parlait à sa meilleure amie. Un sourire en coin en le regardant, comme s’il venait de se vanter en l’espace de quelques mots. « -hé mais ça c’est le meilleur conseil que vous m’ayez donné de la journée ! » se moqua Mac en ouvrant de grands yeux comme si c’était une révélation. « -oui non mais bientôt on va finir par se faire des tresses et les ongles ! » ironisa Mac concernant le degré d’amitié et les confidences plus que personnelles. « -ok ok ! La prochaine fois je vous envoi un message pour vous dire que je sors. Si ça peut vous éviter une nuit blanche totalement inutile. » oui parce qu’elle trouvait encore cela inutile qu’il se soucie ainsi de sa sécurité.

Son petit rire jaillit de sa gorge alors qu’il évoquait un speed dating. « -même pas en rêve ! Si je mets les pieds à un truc comme ça, vous serez forcé de m’accompagner pour participer.» hors de question ! « -quoi ?! Je ne suis pas frustrée ! N’importe quoi ! Et excusez mes humeurs mais bon j’ai quelques petits excuses je crois non ? » elle tendit le cou pour souligné les faits avant d’ajouter : « -et puis je suis une femme. Et forcement j’ai des humeurs. Il va falloir vous habituer. » c’était à croire que sa femme était la perfection même ! « -arrêtez de vouloir que je tombe amoureuse. S’il vous plais. Sinon je vais vous renvoyer l’ascenseur. » cela sous entendait qu’elle n’était pas seule à être célibataire, à ne plus croire en l’amour et à passer ses nuits seule dans un grand lit vide. Il lui avait fait comprendre qu’il ne voulait pas chambouler toute sa vie tout de suite, il en était de même pour elle. « -et je ne couche pas qu’avec des nullos. » se sentit elle obligé de préciser.

« -non je suis désolée, mais je ne l’accepte pas. Et je vais le redire, vous vous punissez. Je n’ai pas envie de revenir sur le sujet, par respect pour vous. Mais vous... » elle fronça les sourcils ne trouvant pas les mots : « -enfin… non. Je suis désolée mais vous ne pouvez pas vivre ainsi. Personne ne le peut. » Puis ils en vinrent à débattre de qui avait le plus de chance d’avoir l’autre dans sa vie. Mac gagnait haut la main seule elle. Et elle s’employa à faire comprendre à David ce qu’il lui apportait. Rien qu’aujourd’hui ça avait été… bien plus que qui se soit en six ans. « -na ! » râla Mac. « -vous ne faites pas ça avec tous vos clients. » ou amis mais elle ne savait pas s’il en avait… « -et le type a qui j’ai rendu son porte feuille ne fait pas ça. J’en suis certaine. Alors ne me dites pas que c’était normal. » elle capta alors que soit il s’était forcé, soit oui, elle comptait d’une certaine manière pour lui. La première option étant exclus parce que clairement ça n’était pas ce qu’elle avait ressentit, elle tourna la tête vers lui sans rien ajouter. Elle l’écouta lui parler des sourires qu’elle faisait naître, et cela la fit sourire avec douceur. « -ok ok on est chanceux tout les deux. On ne va pas faire un concours non plus. » avait conclue Mac avant de balancer l’information au sujet du voyage du weekend et son intention de prendre sa propre voiture. « -hé ! C’est toute ma vie cette voiture alors ne l’insultez pas. Et elle roule très bien. » elle se remis en position semi allongée, son épaule de nouveau collée à celle de David. « -on ne va pas partir en weekend camping à l’arrache avec voiture de luxe et chauffeur. C’est hors de question ! » puis elle saisit le haut du bras de l’avocat et ajouta : « -aller laissez vous porter ! Aventure et… » elle se mis à rire parce que d’ordinaire elle composait cela avec les mots alcool et luxure. Mais elle n’en fit rien cette fois ci et reprit : « -lâchez prise ? Confiance ? Oui voilà faites moi confiance ! »

Quelques jours plus tard, il lui avait fait confiance pour l’aventure. Elle avait fait en sorte que sa voiture soit un tant soit peut présentable. Un grand ménage. Elle était impatiente de faire ce weekend. Simplement pour s’éloigner de la ville ! Ce matin là, Mac avait fait le petit déjeuner durant le sport de David. Aller courir tout les matins… pff mais quelle idée ! Elle avait fait des pancakes, des œufs au bacon, du jus d’orange pressé enfin un petit déjeuner digne d’un restaurant étoilé. Ils avaient prévu de marché toute la journée, alors autant prendre des forces. Elle avait adoré cuisiner tout en chantant à tue tête.
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Jeu 26 Mai 2022 - 21:20
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Depuis le décès de sa femme, et même durant son mariage, David n’avait regardé une autre femme comme si elle n’était que purement un physique. Un comportement qui avait permis l’instaurant d’une confiance sans faille avec son épouse, mais aussi avec les autres femmes qu’il avait pu rencontrer dans le cadre amical ou professionnel. Mais cela semblait perturber quelque peu Mackenzie qui ne semblait pas être habituée à ce genre d’attitude de la part du sexe opposé, et s’en rendit compte au fur et à mesure de leur conversation, ce qui amusa l’avocat « Je sais. J’ai souvent, si ce n’est toujours raison », et ajouta à la suite de cette dernière « Ce qui est assez malheureux en y pensant ». Après tout, les femmes n’étaient pas là pour être uniquement appréciées pour leur physique. Elles étaient un tout, au même titre que les hommes. Il n’aurait pas apprécié être séduit uniquement parce qu’il était grand brun aux yeux clairs, avec un certain charme. Un petit rire suivit cette conversation « Alors là, vous faites comme vous le souhaitez ! ». Il se moquait bien de savoir si elle voulait mettre son pull ou non, ou si elle préférait continuer de déambuler en tenue légère dans leur appartement. Il ne la percevait pas comme une femme qu’il pouvait séduire, et avec qui il pourrait envisager de passer la nuit. Elle était… Une cliente, une amie aussi, et sa colocataire. Dans son esprit, la distinction était claire et précise. « Je ne suis pas nostalgique pour le moment. Mais ça viendra lorsque nos chemins se seront séparés à l’avenir. Vous allez me manquer » puis ajouta aussitôt, dans l’unique but de la taquiner « Enfin, comme un chien ou un hamster, soyons clair sur ce point » tout en échangeant un regard complice avec cette dernière. Un sourire plus doux prit place sur ses lèvres en entendant sa précision, mais ne répondit rien. Parce que ces mots se suffisaient à eux-mêmes.

Un nouveau petit rire alors qu’ils parlaient de son aventure de cette nuit avec semblablement un incompétent sur le point sexuel du terme, comme s’ils étaient deux meilleures amies « Vous l’avez peut-être perturbée alors ». Après tout, ça avait dû déstabiliser le jeune homme. Ou peut-être n’était-il pas doué tout simplement. « Vous savez quoi ?! Débrouillez-vous ! » rétorqua-t-il en riant presque, les deux mains levées pour dire qu’il ne s’en mêlait plus étant donné qu’elle se moquait de lui. Un nouveau rire suivit « Vous allez encore vous foutre de moi, mais je suis vraiment doué pour faire des manucures et des tresses ». Combien de fois en avait-il fait à sa fille ? Ou même aider sa femme à mettre le vernis, alors qu’ils dégustaient un vin millésimé tout en discutant de tout et de rien. « Je vous en remercie ! » conclut-il la conversation au sujet du message à envoyer le lendemain matin de ces découchages.

« Vous pouvez me dire ce que j’irais faire à un speed-dating ?! » rétorqua-t-il aussitôt. David n’avait pas envie de rencontrer quelqu’un, et encore moins de chercher. Il avait eu sa chance. Elle était décidée. Ainsi allait la vie. Quand il évoqua une probable frustration si jamais elle ne parvenait pas à prendre son pied, il se mit à rire « Vous avez conscience que je ne vous parlais pas directement ?! Toutefois, je note que vous avez des changements d’humeur soudain » et le début de leur relation en avait fait les frais. « Je sais ! C’est inscrit dans votre ADN. J’en ai déjà fait les frais avec ma femme, et tout particulièrement, une semaine chaque mois ». Il savait qu’elle arrivait à son cycle quand elle commençait à s’agacer pour un rien. Parfois, ça s’envenimait, parfois il parvenait à la faire sourire en prenant soin d’elle. « Vous méritez de tomber sur un homme bien et qui vous épaule. En ce qui me concerne, vous n’êtes pas au bout de vos peines. Je ne suis pas le genre d’homme capable d’aimer à nouveau ». Il n’en avait pas envie, ni le besoin. Il le lui avait dit. Et puis elle ne pouvait pas le forcer à regarder une femme comme un homme qui recherche une aventure ou une relation. Parce que ce n’était nullement le cas. Un nouveau rire et leva les mains à nouveau « Je vous crois ! ». Il n’allait pas l’accompagner pour s’en assurer.

David ne s’attendait pas à une telle réaction de la part de la jeune femme concernant sa vision de sa propre vie. Il vivait pour vivre. Cela ne semblait pas plaire à la jeune femme et la regarda fixement « Je le peux. Je le fais depuis six ans. Je ne suis pas malheureux. Pas heureux non plus. Je suis neutre face à ma propre existence. Il n’y a rien de mal à ça ». Il ne voyait pas pourquoi cela engendrait une telle réaction de la part de Mac. Après tout, il n’était pas déprimé, mais pas amoureux de la vie pour autant. Si elle s’arrêtait soudainement, ça ne le dérangerait pas, au même titre que si elle continuait. « Vous avez conscience que je suis ce type-là ? » en riant presque et ajouta « On va dire que… Comment dire… Vous êtes une amie. C’est normal de faire ça pour ces amis. Ça vous convient davantage ? ». Un nouveau petit rire et ajouta « Exactement. Cela me convient ». Mais l’idée de partir en week-end avec la voiture de cette dernière, un peu moins en revanche « C’est une immondicité qui ne va pas réussir à rouler suffisamment pour nous faire quitter la ville ! » et ajouta « Je sais conduire. Je peux conduire ma berline. Partir à l’aventure ne signifie pas de savoir si on va arriver en un seul morceau ou non ». Un regard sceptique et ajouta « Vous alliez dire quoi ?! » Intrigué par son changement de vocabulaire soudain.

David ne parvint pas à se montrer convainquant, et s’était résigné à devoir prendre la voiture de la jeune femme. L’idée était bien loin de le séduire, mais pourquoi pas. Avant de s’aventurer dans son tas de ferraille sur roue, l’avocat s’autorisa son footing matinal, et revint à l’appartement en tenue de sport et en sueur notamment, puis resta interdit face à la table de petit-déjeuner. Il releva son regard sur Mac et sourit « Wouah ! Qu’est-ce qui nous vaut ce festin de roi ? » et ajouta « Cela vous dérange si je prends une douche avant de me mettre à table ? » et retira son débardeur afin de s’essuyer le visage « J’en ai pour cinq minutes » et se dirigea vers la salle de bain, se glissant sous l’eau chaude, et ressorti de la salle de bain en jean, sweat à capuche et stan smith, puis prit place à table « Vous avez l’air en forme ce matin ».


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Jeu 26 Mai 2022 - 22:03
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J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Comment passer de l’attendrissement à l’éclat de rire en l’espace de quelques secondes. « -attendez qu’on passe deux ou trois mois en collocation, vous ne voudrez plus que je parte ! » lança t elle. Mac aurait pu se vexé, mais il n’en était rien. Elle savait parfaitement que leur collaboration serait brève. Parce qu’il avait sa petite vie bien ranger. Pour le moment il acceptait qu’elle mette un peu de piment, mais il finirait par se lasser. Et puis le but n’était pas de finir en collocation jusqu’à la maison de retraite. Non, c’était une aide transitoire afin que la serveuse qu’elle était, parvienne à reprendre pieds et à se faire à nouveau une place convenable. Reprendre sa vie en main, trouver un nouveau job et puis un autre chez elle. Parce qu’il avait beau dire que c’était leur appartement, il n’en était rien. Elle vivait chez lui. Rien de plus. Elle ne se sentirait totalement chez elle, simplement parce que les lieux étaient trop luxueux. Mais de son côté, comme elle le souligna, elle serait sans doute nostalgique aussi. Parce qu’il avait son importance dans sa vie. Une importance qui avait prit un nouveau visage depuis quelques jours. Non, pas besoin d’un pull pour se souvenir de lui.

« -je voulais simplement qu’on b... »
mais elle retint le mot pour éviter d’être trop vulgaire. « -je voulais oublier juste cinq minutes. Penser à autre chose. Mais ça n’a pas vraiment fonctionné. » non pas du tout. « -je ne crois pas vous avoir demandé de conseil. » précisa Mac avant d’ajouter : « -vous ne toucherez pas à mes cheveux. » avec un regard en coin. Elle avait tout à fait compris d’où pouvait sortir ces dons. Il était certainement plus doué qu’elle pour cela d’ailleurs.

« -hé moi alors ?! Vous n’êtes pas le seul à ne pas vouloir de l’amour. Pas pour les mêmes raison mais ça en vient à la même conclusion. Ne me poussez pas dans ce sens merci. Et ça vaux aussi pour votre frangin. » parce qu’elle n’avait toujours pas oublié que l’idée de la casé avec lui avait traversé l’esprit. « -de toute façon j’ai la meilleure réponse qui soit pour faire fuir les mecs à ce genre de truc bidon : je suis SDF. Bam ! Adios ! » elle trouvait vraiment cela absurde. Comme si on pouvait apprendre à connaître quelqu’un en une petite heure avec des questions toutes prêtes. « -oui, une semaine chaque mois mais pas que. » elle tenait à le préciser. Elle était consciente que parfois elle pouvait devenir un peu dingue. C’était sans doute à cause de la vie dans la rue. Il y avait toujours une certaine crainte en arrière plan, et parfois un rien pouvait la faire partir au quart de tour, très loin ! « -je ne sais pas si je le mérite, mais pour le moment, je n’en veux pas. Ce que je veux c’est un nouveau job. » ensuite elle ajouta avec un peu plus de douceur : « -je ne compte pas vous faire rencontrer qui que se soit ou vous faire un coup foireux. J’ai compris ce que vous avez enduré et je respecte votre deuil et votre perte. Je ne suis pas là pour jouer les entremetteuse. Loin de là ! Je déteste ça. » non, vraiment elle ne voulait pas s’occuper de ça. Ça ne la regardait pas.

« -non certes mais c’est vivre sans vivre… » elle avait bien du mal à capter le concepts. Et surtout elle trouvait cela triste. « -non ce type là c’est une façade. » répliqua Mac du tac au tac. « -mouais... » souffla t elle plissant les yeux comme si elle réfléchissait à l’idée : « -ça me convient un peu mieux. » Elle changea de sujet en reparlant de leur weekend et en précisant que c’était avec sa voiture qu’ils se rendraient à destination. « -hé soyez pas méchant comme ça ! » s’offusqua faussement la jeune femme. « -hé bien sur que si ! Elle roule très bien ! Vous voulez parier ? 20 dollars» une fois qu’elle était lancée sa voiture fonctionnait parfaitement ! . « -non pas de berline ! Ça ne va pas avec l’ambiance ! » râla Mac qui s’était promis de ne pas lâcher l’affaire. « -des mots qui n’étaient pas du tout en accord avec » elle fit l’aller retour entre elle et lui avec sa main. « -bref… » avait elle conclure avant de poursuivre la soirée.

D’excellente humeur, Mac avait préparé le petit déjeuner. Elle tenait à ce que David oublie son boulot et surtout sorte de sa foutue routine ! Elle ne bossait pas durant deux jours ! Rien que ça, c’était merveilleux. Et puis cuisiner de grand matin comme ça, c’était un bonheur pour elle. « -wahou mais vous avez fait combien de kilomètre pour être dans un état pareil ?! » s’exclama Mackenzie en retour en le voyant en sueur. « -du tout, je vous invite même à le faire. » répondit la jeune femme en pointant le couloir du doigt. Elle attendit un moment pour faire couler le café, afin qu’il soit encore bien chaud lorsque David serait de retour. « -vous aussi malgré ce que vous venez de vous faire endurer. » elle lui servit une assiette, et s’installa en face de lui après avoir déposé les cafés. « -j’ai dormi comme une marmotte, j’ai pris une lingue douche, et j’ai cuisiné en chantant ! Oui, je suis d’excellente humeur et j’ai hâte de sortir d’ici pour aller marcher ! » en arrivant au parking où se trouvait sa voiture, elle précisa : « -je ne veux pas vous voir grimacer ! » elle grimpa dans sa voiture, s’étira pour lui ouvrir la porte parce que la poignée ne marchait pas. Puis elle mis le contact et pria pour que le moteur ne fasse pas des siennes. Une fois, deux fois… la troisième fut la bonne ! « -hé ba voilà ! » jubila Mac avec un immense sourire avant de démarrer rapidement pour éviter que David ne saute en route. Elle conduisait sportivement, autant dire mal pour certaine personne. Et elle détestait le monde entier lorsqu’elle était au volant. Elle n’avait qu’une hâte se retrouver loin de la circulation, au grand air. Lorsque ce fut le cas, elle tendit la main vers David : « -vous me devez 20 dollars, on est en dehors de la ville. »
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Manhattan Redlish
Ven 27 Mai 2022 - 14:07
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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crédit : :copyright: moi-même / Tumblr


Un regard amusé à l’attention de la jeune femme et un « J’attends de voir ! » avec une certaine pointe de défi dans la voix. En réalité, il n’avait pas la moindre idée de la durée de leur colocation ou de la tournure qu’elle prendrait. Peut-être qu’il voudrait qu’elle parte, peut-être pas. Peut-être que ça viendrait d’elle. David n’en savait trop rien, mais il était curieux d’en voir l’issue malgré tout. En tout cas, elle avait mieux choisi son colocataire que son amant d’un soir au vu des dires de la jeune femme « Vous avez craint de choquer mes oreilles chastes ? » en riant presque et ajouta « C’est ce que j’ai pu comprendre ». Il la regarda fixement et avoua « En effet ! Mais tout de même », et haussa les épaules tout en prenant une bouchée de glace « Comme vous le voulez ». Il n’allait pas l’obliger à la coiffer. Et puis, ça risquait de paraître étrange alors qu’ils ne se connaissaient que depuis quelques jours.

Quand le sujet dévia sur l’amour et leur relation avec ce sentiment, David lui expliqua ne pas en vouloir. Ne plus en vouloir. Il se mit à rire malgré le sérieux de leur conversation « Je peux tout de même vous le présenter. Vous en faites ensuite ce que vous voulez. Je ne vais pas vous organiser des dîners romantiques, n’ayez aucune crainte là-dessus ». Toutefois, il restait convaincu que ce dernier pourrait lui plaire et notamment l’encourager à poursuivre dans cet élan qu’il avait enclenché quelques jours auparavant. Henri était le genre d’homme à toujours pousser les gens vers le haut, à profiter pleinement de la vie. « Techniquement, vous ne l’êtes plus » précisa-t-il en sous-entendant qu’elle vivait maintenant avec lui. « Vous avez raison. Nous devons d’abord régler vos soucis professionnels et personnels, avant d’envisager quoi que ce soit d’autres ». Toutefois, en ce qui le concernait, David ne voulait pas rencontrer qui que ce soit et sourit avec douceur devant les paroles de Mac « Merci » fut alors sa seule réponse.

Le lendemain matin, David avait couru un peu plus longtemps qu’à son habitude, comme pour pallier l’absence d’exercice les deux prochains jours, et revint en sueur à l’appartement « Je ne sais pas… Je dirais pas loin de 10km », soit plus d’une heure de footing. Un petit sourire amusé « Je comprends » et se dirigea vers la salle de bain, pour revenir à table pour le petit-déjeuner « Je n’endure pas, vous savez. J’aime courir le matin ». Il se tenait ainsi en forme, maintenait sa musculature et son endurance, et surtout, ça lui permettait d’évacuer tous les soucis liés au travail. « Je vois que partir en randonnée vous fait plaisir » tout en commençant à prendre part au petit-déjeuner préparé avec soin par Mac. En arrivant au parking, il ne put s’empêcher de grimacer en voyant la voiture « Trop tard » et le fit davantage en voyant qu’il n’avait pas de poignet. Depuis quand c’était autorisé de rouler dans ce genre de … Il n’avait pas les mots pour décrire réellement la boite de conserve dans laquelle il avait pris place « Que Dieu nous protège » en faisant un signe de croix juste pour taquiner Mac. Ou pas. Il se tint à la portière presque tout le long du trajet, tout en jetant quelques regards inquiet à Mac « Vous conduisez vraiment mal ! Vous en avez conscience, je l’espère ?! ». Lorsqu’ils sortirent de la ville, elle réclama les 20$ et rétorqua « Tenez, même si je devrais les garder pour le dommage subit en traversant New York. Vous n’avez jamais eu d’accidents ? » et ajouta « Et au lieu de vous vanté de nous avoir sorti de la ville, faite en sorte qu’on arrive en un seul morceau à destination ».


Charly
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Charly
Ven 27 Mai 2022 - 14:38
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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crédit : :copyright: Bait n Hook / Tumblr

10km ! Sérieusement ? De grand matin là comme ça ?! Non, vraiment non elle ne comprenait pas le délire de se faire du mal ainsi à peine réveillé. Il la trouvait où sa motivation ? Tout en regardant couler le café, elle sourit. « -chacun son truc me direz vous ! » commenta Mac en lui faisant glisser sa tasse de café. « -totalement ! » avait elle ajouté toujours avec son grand sourire et ses yeux pétillant d’impatience. Les sacs furent mis dans le coffre, et elle leva les yeux au ciel. « -ne commencez pas ! » l’avait reprit Mac alors qu’il grimaçait et qu’il rechignait à monter dans la voiture. « -mais arrêtez ! Elle va se vexer sinon ! » s’amusa la belle brune qui n’avait pas envie de voir son humeur changer. Sa voiture c’était un peu la prunelle de ses yeux. David était incapables de voir ce qu’elle représentait pour elle. Il ne savait pas ce que c’était de ne plus rien posséder d’autre. D’accord ça n’était pas une berline hors de prix et pourtant le jour où elle partirait à la casse, Mac était certaine qu’elle verserait une larme ! Parce qu’elle avait vécu dans cette voiture, qu’elle avait tout un tas d’histoire avec. « -et puis ne vous en faites pas, on est protégé. » ajouta la jeune femme avec un petit regard en coin avant de quitter le parking puis peu à peu la ville.

Mac répliqua avec un petit sourire en coin « -facile à dire pour quelqu’un qui préfère avoir un chauffeur. » ça n’était pas lui qui s’énervait face au reste du monde. Pas lui qui supportait les connards qui coupaient la route, qui ne savaient pas mettre un clignotant. A force d’évoluer au milieu de tout cela, Mac s’était mise à faire la même chose. Juste histoire de survivre ! Sa vie se résumait à ça ! Un bel éclat de rire résonna dans l’habitacle alors qu’il parlait de dommage. « -arrêtez avec votre baratin d’avocat. Vous allez vous en remettre. Et non, je n’ai jamais eu un seul accident ! » bout de phrase lâché alors qu’elle prenait un virage serré avec bien trop de vitesse. Elle ne cessait de sourire. Enfin ils étaient hors de la ville. Elle se moqua joyeusement de David qui s’accrochait à la poignée de la porte comme si sa vie en dépendait.

Lorsqu’ils arrivèrent enfin, Mac coupa le moteur et tourna la tête vers David. « -vous coupez votre téléphone. Interdiction de regardez vos mails durant deux jours. Si jamais on a un souci j’ai le mien. » c’était non négociable, et il le savait. Sacs sur le dos, ils regardèrent ensemble la carte avant de partir : « - on passe par là. On suit ici. » Mac indiqua un endroit sur la carte : « -il y un refuge ici. Je sais que vous voulez une nuit à la belle étoile, mais on ne sais jamais. » il devait se mettre à pleuvoir en fin de journée. Alors c’était toujours mieux d’avoir un point de replis. Elle rangea la carte et la glissa dans sa poche arrière de sourire à David : « -prêt ? »
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