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LE TEMPS D'UN RP

"La vengeance ne répare pas un tort, mais elle en prévient cent autres."

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mar 3 Mai - 20:25
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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En la voyant sortir de la cabine d’essayage, David découvrait une tout autre Mackenzie. Une femme élégante dont il n’aurait jamais soupçonné l’existence. Un plaisir pour les yeux, même si elle ne voulait pas l’entendre. Cette dernière rencontrait encore quelques difficultés avec les compliments qu’il pouvait formuler à son encontre, aussi rares soient-ils « En tant qu’homme, je peux vous assurer que vous n’avez rien à envier aux mannequins dans cette tenue » tout en laissant glisser son regard sur elle. Il ne tentait pas de flirter avec elle, ou encore de flatter son égo. Ce n’était pas son genre. David ne faisait qu’émettre une remarque en toute objectivité. Mackenzie était réellement élégante dans cette tenue, même si elle ne s’y sentait pas à l’aise. Toutefois, David voulait la lui prendre pour qu’elle puisse la mettre à l’occasion de sortie en extérieur. Après tout, elle voulait qu’ils sortent. Il se mit à rire doucement « Je n’envisageais pas vraiment le cinéma, mais un restaurant étoilé ou un vernissage. Qu’en pensez-vous ? » demanda-t-il avec douceur tout en la regardant fixement. Qu’est-ce qui lui prenait d’avoir soudainement envie de sortir ? Telle était la question, mais il s’en moquait pour le moment. Il se plaisait à regarder Mackenzie essayait de nouvelles tenues.

La suivante risquait de lui donner du fil à retordre. Elle ne portait pas de robe. Toutefois, David souhaitait qu’elle en essaie une. Ce qu’elle fit sans broncher, à l’étonnement de l’avocat qui ne le lui fit pas remarquer. Et encore moins lorsqu’elle sortit de la cabine d’essayage vêtue de la tenue. Il en resta presque bouche bée en la voyant dans la robe de soirée. Il se leva pour aller à sa rencontre en voyant qu’elle était déjà prête à retourner se changer « Vous pouvez toujours les porter pour traîner le dimanche » et se mit à rire doucement « C’est une tenue de soirée. Vous avez d’autres tenues dorénavant pour la vie de tous les jours. Cette robe, c’est pour se rendre à des soirées de cabinet, des œuvres de charités ». Ce genre de mondanité où il se rendait de temps à autre pour représenter le cabinet et élargir son carnet d’adresses. Finalement, Mackenzie n’était pas convaincue de la robe. Elle ne voulait pas la porter. Il lui sourit « Je ne porte pas souvent de robes, donc pas vraiment, non» en la taquinant un peu, et ajouta « Je pense que la combinaison peut être une alternative » et fit signe à la vendeuse pour qu’elle aille leur en chercher une. Il se retourna vers la jeune femme « Vous êtes sûre de ne jamais la porter ? » demanda-t-il tout de même. Lorsque la vendeuse revint avec la tenue, il laissa Mac retourner dans la cabine, et se tourna vers la vendeuse « Vous avez vu avec elle pour les sous-vêtements » « Oui. Elle m’a dit que ce n’étaient pas vos affaires ». Il se mit à sourire en jetant un bref regard à la cabine « Elle a raison. Toutefois, elle en a besoin. Donc si vous pouviez lui en trouver quelques-uns et les lui apporter. Oh ! Et un sac à main aussi. Voire deux selon ses tenues » « Bien sûr » et la vendeuse s’éclipsa non sans un dernier regard pour l’avocat qui avait déjà de nouveau le nez dans son portable, reprenant place sur le fauteuil.


Charly
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Charly
Mer 4 Mai - 9:26
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -non je... » commença Mac qui semblait s’être un peu trop habituer à répondre directement en contradiction à tout ce qu’il pouvait dire. Mais elle regarda son reflet dans le miroir après avoir vu les yeux de David descendre sur son corps. Ok d’accord, il avait peut être raison pour le coup. Elle était plutôt pas mal. Et ça faisait longtemps qu’elle ne s’était pas vue ainsi. Aussi féminine en tout cas. « -pardon ? » demanda la jeune femme en voyant qu’il avait des idées de sorties. « -vous voulez… vous voulez m’emmener manger dans un restaurant étoilé ? » dans sa tête les sorties allaient se résumer à quelques balades pour le moment. « -ok très bien. Dans ce cas là, on prends. Mais le vernissage, je sens déjà le plan foireux avec votre frère. » un sourire en coin accompagna cette phrase. Il semblait d’accord pour respecter sa part du contrat. Alors elle lâcha prise mais bloqua rapidement sur les robes qu’on lui présenta.

Là encore, elle décida de baisser les armes, non sans râler pour elle même dans la cabine. Elle se dit que plus vite elle essayait, et plus vite la torture serait terminée. Forcement en sortant Mac était loin d’être convaincue, et le fit savoir à David et il lui tira un sourire tendre. Il savait s’y prendre. Elle baissa les yeux sur la robe, puis ajouta avec son petit sourire en coin et son petit rire étrange : « -c’est moi votre œuvre de charité. » ce qui sous entendait qu’elle n’irait pas à ce genre de soirée. De plus elle doutait fort qu’il ait envie de s’afficher avec elle. Elle tenta de lui expliquer pour la robe et il la fit rire de nouveau, avant de sourire et de souffler avec sincérité un : « -merci... » pour la combinaison qu’il semblait enclin à lui accepter. Mac ouvrit la bouche pour répondre à sa question, mais sa ravisa. Elle allait dire non. « -on en reparle à la fin de la séance. » elle faisait un effort sur humain là.

Mac sortie de la cabine déjà bien plus à l’aise avec la combinaison. « -c’est mieux. Enfin je me sens mieux en tout cas. » elle ouvrit de grands yeux en se voyant dans le miroir et perdit son sourire. La tenue lui faisait une taille de guêpe et des jambes sans fin. En voyant la vendeuse revenir avec de la lingeries elle retourna bien vite à la cabine pour voir avec elle. « -non, ça oubliez, je ne porte pas ce genre de chose. » elle fit sa sélection. Elle voulait bien dire oui pour la robe si cela pouvait faire plaisir à David et abréger la journée. Mais elle ne porterait pas de… ficelle. Boxer, dentelle pourquoi pas. Lorsqu’elle enfila le premier soutien gorge, la vendeuse lui proposa de passer une autre robe par dessus. Mac la gratifia d’un regard qui voulait dire : vous êtes forte. Mac sortie, robe talons la totale. Sans grande pudeur elle posa ses mains sous ses seins. Wahou le résultat était fou. Elle avait presque du mal à se reconnaître. Et elle fut forcer de constater que oui, ses cheveux ça n’allait pas aller avec ces tenues… Mais elle garda bien de le dire à David, pour éviter de voir apparaître son petit sourire de winner qui l’agaçait. Alors pour éviter de rougir à son prochain compliment: "-et vous incluez le service garde du corps?" comme si elle était devenue précieuse au yeux de tous. Bien sur c'était de l'humour.

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mer 4 Mai - 21:41
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Jusqu’à aujourd’hui, David n’avait connu qu’une jeune femme cachée sous des vêtements sans forme, et qui s’apparentait davantage à la garde-robe d’un ex-petit-ami, qu’à la sienne. Alors, lorsque Mackenzie ressorti de la cabine d’essayage dans ce tailleur noire, il ne put s’empêcher de la complimenter, la rassurant sur le fait qu’elle n’avait rien à envier aux mannequins. Elle était superbe. Elle était également élégante et sophistiqué, voire sexy. Mais ce dernier point passa sous silence, autant pour lui que pour elle. En l’entendant répondre par la négative, David la regarda alors fixement, attendant patiemment ce qu’elle allait bien pouvoir trouver comme argument pour le contredire. Toutefois, lorsqu’elle aperçut son reflet dans le miroir, elle resta finalement silencieuse. Ce qui lui tira un petit sourire, avant d’évoquer quelques idées de sorties où elle aurait l’occasion de revêtir une telle tenue. Ce qui eut l’effet de surprendre la jeune femme, et il se mit à sourire face à sa surprise non masquée « Oui, j’aimerais. Enfin… » et tendit la main vers elle pour la désigner « Si vous acceptez, bien évidemment ». Mais elle aimait la grande cuisine, et lui aussi. Ainsi, ça lui permettrait de respecter sa part du contrat, comme elle était en train de le faire, et du côté de la jeune femme, ça serait l’occasion de prospecter pour un emploi, ainsi que de manger des mets à la hauteur de ses papilles. David se mit soudainement à rire « En toute sincérité, Henri m’était sorti de la tête en vous proposant un vernissage. Après tout, il y en a dans toute la ville, pas seulement dans sa galerie ». Néanmoins, c’était une bonne idée que de les faire se rencontrer de la sorte.

Pour qu’elle essaie ensuite la robe, David s’attendait à devoir se montrer plus convaincant. Finalement, Mackenzie obtempéra sans mal et essaya la robe. Il lui fit à nouveau une liste d’endroit où elle aurait l’occasion de la porter, et se mit à sourire avec douceur en l’entendant se considérer comme son œuvre de charité à la suite de ce petit rire bien à elle « Charmante œuvre de charité » rétorqua-t-il en murmurant à son attention, puis lui fit comprendre, avec humour, que non, il ne connaissait pas cette sensation de vulnérabilité lorsqu’on portait une robe. Il n’en portait jamais. Cela eut l’effet escompté et décida d’accepter son idée de troquer la robe de soirée pour une combinaison « Vous n’avez pas à me dire merci. Je souhaite juste que vous vous sentiez bien et belle ». Ce n’était pas bien compliqué. En y repensant, s’il lui dit cela de cette manière la veille, ils ne seraient pas mutuellement agacés tout le long de la journée. Un nouveau sourire se glissa sur les lèvres de l’avocat « Si vous voulez » et la laissa retourner dans la cabine.

De son côté, il en profita pour demander à la vendeuse de lui apporter des sous-vêtements. Il la laissait choisir. Ce n’était pas lui qui allait les porter ou en profiter de toute manière. Lui, il était seulement là pour qu’elle se sente mieux à l’issue. Lorsqu’elle ressorti avec la combinaison, il laissa à nouveau son regard glisser sur elle, puis remonta lentement jusqu’aux prunelles bleues de Mackenzie « Cela vous va tout aussi bien » et c’était sincère « Elle met vos formes en valeur et vous donne une silhouette élancée. Vous aviez raison de vouloir essayer » avoua-t-il avant de tourner la tête vers la vendeuse qui revenait avec les sous-vêtements. Il laissa les deux femmes s’occuper de tout cela entre elles, restant debout devant la cabine, observant les autres clients, puis la porte s’ouvrit. De côté, David tourna la tête vers Mackenzie qui ajustait sa poitrine sans pudeur, ce qui amusa l’avocat qui resta silencieux un moment, l’observant seulement, puis cligna des yeux quand elle s’adressa à lui, et se mit à sourire « Je suis là si besoin » et se tourna complètement vers elle « Vous êtes juste… magnifique » rétorqua-t-il et tourna la tête vers la vendeuse « On prend la robe aussi » et ajouta à Mac « Vous ne pouvez pas me contredire sur le coup Mac. Elle sera parfaite pour sortir. Il faudra juste accepter d’être dévorée des yeux par les autres hommes » en souriant avec amusement « Je vous laisse remettre votre tenue initiale. On se rejoint dehors. On va encore faire une boutique, puis on ira manger » et se dirigea vers la caisse pour régler le tout, demandant à la caissière de retirer toutes les étiquettes sur les vêtements, ainsi que de jeter la note. Il ne souhaitait pas que Mac connaisse le prix de tout cela. Il paya, récupéra les sacs, et sorti en premier pour respirer l’air frais, et se retourna vers la porte du magasin quand Mackenzie en sorti à son tour « Nous allons là-bas » en désignant de la tête, une boutique non loin de là « Et ne dites rien. Vous devez avouer que c’est une activité agréable, vous ne trouvez pas ? ».

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Jeu 5 Mai - 9:57
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Mackenzie Foster
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Mac avait accepté l’idée de sortir dîner avec David. Pas dans un resto médiocre. Non dans un restaurant chic, le genre d’endroit où elle adorerait travailler et mettre en lumière son talent culinaire. Une petite voix dans sa tête murmura qu’elle ne devait pas dire oui. Qu’il s’agissait de David Mcarthur et que c’était vraiment baisser sa garde. Peut être même trop profiter de la main qu’il lui tendait. Il y avait une partie d’elle qui adorait vraiment leur conflit. Le bousculer, le faire sortir de ses gongs, l’énerver et le faire criser. Oui, elle prenait un certain plaisir à cela. Mais il y avait une autre partie qui aimait aussi beaucoup leur entente, le voir sourire et laisser tomber son masque d’avocat rigide. « -parfait alors dans une autre galerie que la sienne alors ! » avait elle répondu pour conclure tout cela, avant de bien vouloir essayer la robe qu’on lui proposait. Non sans broncher toute même un peu. « -vous cherchez à me faire rougir avec vos compliments ? » demanda t elle alors qu’il la qualifiait de charmante. Hier elle était passablement jolie et voilà qu’elle venait de prendre au moins 100 points. « -heu moi je me trouvais pas mal au naturel aussi. C’est vous qui n’aimez pas. » avait elle répliqué avec un sourire en coin, juste histoire de lui montrer qu’elle n’était pas totalement amadouée.

La combinaison lui allait parfaitement et Mac resta quelques instants à se regarder dans le miroir. Wahou ça changeait la nana quand même. La serveuse lança un regard à David par l’intermédiaire du miroir lorsqu’il la complimenta de nouveau. A nouveau elle retourna dans la cabine, se changea et encore une fois le charme opéra. « -doucement, doucement sur le compliment. Vous allez me faire une surchauffe. » s’amusa la jeune femme pour éviter d’avoir à rougir devant le mot qu’il avait employé. Elle se regarda à nouveau. « -non je ne vais pas vous contre dire. Ça fait bien longtemps que je ne m’étais pas vue ainsi. » puis elle sourit en tournant la tête vers lui : « -ça ira je devrais pouvoir gérer. » et puis de tout manière, si elle sortait au restaurant en sa compagnie, aucun homme n’allait venir lui adresser un mot. Et tant mieux finalement. Comme elle le lui avait expliqué, elle ne souhaitait pas trouver quelqu’un.

Un hochement de tête et elle le laissa pour remettre ses affaires. Elle apprécia le confort de ses chaussures. Lorsqu’elle arriva près des caisses, Mac fronça les sourcils en comprenant que David était déjà dehors. Elle commença à se diriger vers la sortie mais elle se ravisa et revint vers la vendeuse qui s’était occupée d’elle. « -je heu… merci. C’était moins douloureux que je le pensais. Et ça grâce à vous. » la vendeuse parue surprise, sourit, rougit presque devant ces mots. Un signe de la main et Mac sortie du magasin pour rejoindre David, glissant ses mains les poches de sa veste. Elle avisa la boutique qu’il lui montra : « -donnez je vais vous aider. » en parlant des paquets. Puis elle ouvrit la bouche et la referma. Il venait de lui dire de ne rien dire. Mais elle ne fut pas capable de tenir longtemps : « -on a seulement fait une boutique. J’imagine que la journée n’est pas terminée. Pour le moment je supporte. Dans deux heures, je ne vous garantie rien. » elle était sincère. Dans cette boutique la vendeuse avait été top. Pour la suite… une certaine angoisse remontait en elle. « -pourquoi une autre boutique d’ailleurs ? Vous voulez ajouter quoi ? J’ai ce qu’il faut non ? » elle savait parfaitement que non. Sa veste n’irait pas du tout avec tout le reste. Une paire de chaussure pour tout les jours.

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Jeu 5 Mai - 14:57
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
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En lui proposant de sortir dîner en sa compagnie dans un restaurant étoilé, David n’aurait jamais soupçonné que la jeune femme accepterait. Alors il fut ravi de savoir qu’elle l’accompagnerait. Qui aurait cru qu’il serait prêt à ressortir ? À s’accorder des soirées ? Peut-être que tout fin de compte, Mackenzie avait raison. Sa femme et sa fille l’avait peut-être dressée sur son chemin pour qu’il reprenne goût à la vie et que, de son côté, il puisse l’aider à s’en sortir. Après tout, tous les deux avaient subi les aléas de l’affaire Foster alors qu’ils n’y étaient pour rien. Il était donc temps de réparer cela. Peu à peu, à son contact, il délaissait l’homme rigide qu’il était devenu, pour se laisser plus aller, et accepter de sourire davantage. Comme en cet instant quand elle lui répondit au sujet de galerie, et il rétorqua un « Oui » pour confirmer ses dires. Ils n’étaient pas obligés de se rendre à la galerie de son frère dans l’immédiat. Il y en avait d’autres à New York et tout autant intéressante. Sans se départir de son sourire, il haussa les épaules « Peut-être bien » et lui fit un clin d’œil avant de se reculer d’un pas et se mit à rire doucement « Je n’ai jamais dit le contraire. Mais pas mal n’est pas belle ». Il fallait distinguer les deux adjectifs. Actuellement, elle était belle dans sa tenue de soirée. Il la trouvait belle en tenue de soirée.

Lorsque Mackenzie se changea à nouveau, David ne put constater que peu importe ce qu’elle pouvait essayer, elle était belle. Tout cela contrastait énormément avec la femme qu’il avait rencontré dans ce restaurant médiocre. Il se mit à rire à nouveau « C’est vous qui rougissez. C’est vous qui avez chaud » répliqua-t-il avec un sourire en coin et acquiesça « C’est agréable de se sentir belle, vous ne trouvez pas ? » tout en s’approchant dans son dos, pour la regarder par le biais du miroir. Il se recula quand elle tourna la tête vers lui « Tant mieux » répondit-il. Même s’il se doutait que si elle était en sa présence, les hommes ne se tenteraient pas vraiment aux regards indiscrets. De ces 1m93, David était pour le moins imposant dans son genre. Il la laissa ensuite remettre ses vieux habits et se rendit à la caisse pour payer le tout. Il lui tendit quelques paquets à sa demande et sourit à sa réponse tout en relevant les yeux vers elle « Juste cette dernière boutique, ensuite on va déjeuner dans un restaurant aux alentours, puis cet après-midi, on fera tout autre chose ». Oui, il avait prévu un autre programme que faire les boutiques, ne souhaitant pas que Mackenzie ait envie de l’étrangler à l’issue de la journée. « Non. Il vous manque des chaussures, un sac pour les soirées, et un autre pour la vie de tous les jours, ainsi que peut-être un manteau d’arrière-saison et un pour l’hiver qui approche » et ouvrit la porte, puis la lui retint pour la laisser passer, puis demanda à la vendeuse de récupérer les sacs, puis posa sa main dans le dos « Venez, on va regarder par-là » en désignant les chaussures.

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Jeu 5 Mai - 19:25
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -ouhh si vous avez dit le contraire monsieur j’ai la mémoire courte. » répliqua Mac en le pointant du doigt, se retournant pour lui faire face. Puis elle pencha la tête sur le côté, puis de l’autre et fut forcer d’admettre qu’il n’avait pas tord. Ça n’était du tout la même façon de voir quelqu’un. Surtout une femme. Elle se mis à rire lorsqu’il se moqua d’elle. « -forcement je rougis, je ne suis pas vraiment habitué à ce que vous soyez aussi élogieux de ma personne ! » oh merde voilà que le beau vocabulaire faisait son retour également, comme si ça allait avec la tenue. « -non, ce qui est agréable, c’est de ne pas se sentir jugée. » avait elle souffler en réponse, d’une voix un brun timide ou prise en faute. Soit par lui, soit par la vendeuse.

Une fois dehors, elle demanda pourquoi encore faire les boutiques. Elle avait plus de fringues dans ces sacs qu’elle n’en avait jamais eut depuis cinq ans. « -quoi comme activité ? » elle voulait savoir. Histoire de se préparer psychologiquement au pire. Elle savait d’avance que le soir même, elle dormirait comme un bébé ! « -rien que ça ?! » s’étonna Mac avec un sourire en coin. Oh merde quand elle s’imaginait l’ampleur de note… Elle était vraiment son œuvre de charité ! Il comptait se racheter une conscience ainsi ? Mac jeta un coup d’oeil à la vendeuse du nouveau magasin. Elle ne semblait pas si sympa que l’autre. En tout cas le regard qu’elle venait de laisser glisser sur elle en disait long. « -hum... » souffla t elle lorsque David lui demanda de venir avec lui, n’étant pas certaine d’avoir entendu ce qu’il disait. Elle avait soudainement perdu son sourire et le peu d’envie qu’elle avait de poursuivre la journée. « -allez s’y choisissez. » souffla t elle en le laissant regarder pour elle. Autant dans la boutique d’avant, elle était parvenue à se détendre et à rentrer dans le jeu, autant là… ça allait être compliqué. Alors elle espéra vraiment que ça allait passer vite. David lui proposa plusieurs paires de chaussures. Elle ne fit pas la difficile, en choisit une paire, une autre, essaya et conclue rapidement que c’était bon.

Elle le suivit ensuite pour regarder les vestes. Mac se pinça les lèvres en passant à côté, cherchant celle qui pourrait lui plaire plus ou moins. Elle adorait celle qu’elle portait actuellement. Mais clairement elle avait fait son temps et elle n’irait pas du tout avec les tenues qu’ils avaient choisi plus tôt. Mac devait se faire une raison, elle allait devoir s’en séparer. Une veste lui fit de l’oeil mais lorsqu’elle tomba sur le prix, elle ne put s’empêcher d’écarquiller les yeux. « -est ce que... » commença t elle en se tournant vers David. « -est ce qu’on pourrait voir dans une autre boutique ou un autre jour pour ce qui reste des achats ? » elle ne se sentait pas du tout à l’aise ici. Et elle n’avait pas la moindre envie de devoir adresser la parole à la vendeuse qui ne cessait de la regarder comme si elle allait voler quelque chose. « -je vous attends dehors. » finit elle par couper en filant rapidement pour prendre l’air.

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Lorsqu’elle pointa son doigt dans sa direction, David se mit à rire tout en baissant la tête, levant les mains en signe d’abdication, puis la releva lentement vers elle, tout en baissant les mains « Je dois bien reconnaître que je n’ai pas été dès plus agréable hier matin. Je m’en excuse. Parfois, j’oublie que je dois mettre les formes lorsque je m’adresse à quelqu’un ». Déformation professionnelle. Son métier d’avocat l’obligeait à être dur, voire rigide avec certains de ses clients afin de leur faire comprendre qu’ils avaient torts et lui raison. Toutefois, cette mauvaise habitude risquait de contrarier l’entente parfois agréable qu’il partageait avec Mackenzie. Alors pour contrebalancer tout ce qu’il avait pu dire la veille, David exprima son avis avec sincérité à l’encontre de cette dernière. Il ne manquait pas d’adjectif pour la définir dans les différentes tenues qu’elle avait eu l’occasion de revêtir depuis leur entrée dans le magasin. Ce qui avait pour effet de faire rougir la serveuse qui ne ressemblait plus vraiment à cela dans cette tenue, et sourit à sa réponse « Le fait que mes compliments soient exceptionnels, les rends plus sincères et plus pertinents ». Son sourire disparu à son commentaire, et fit un pas vers elle afin de lui murmurer comme si c’était un secret « C’est Eleanor Roosevelt qui a dit : Personne n’a le droit de vous dépréciez sans votre consentement, pas même moi quand je me montre rigide comme hier matin ». Puis se recula à l’arrivée de la vendeuse, la laissant faire son travail.

Lorsqu’ils furent dehors, David lui confia que les activités de l’après-midi seraient différentes et sourit lorsqu’elle se montra curieuse « Vous verrez. Juste une chose : Profitez de cette journée » et justifia ensuite son choix de se rendre dans une seconde boutique. Un nouveau sourire, mais pas de réponse cette fois-ci, et entrèrent dans la boutique. L’accueil fut différent et nota le mal être de la serveuse, ainsi que le regard emplit de jugement de la vendeuse. Ils firent le tour, elle essaya quelques chaussures, mais sans le même enthousiasme que la fois précédente, puis se fut au tour des vestes. Mackenzie n’était pas à l’aise et il sentait le regard de la vendeuse sur eux deux. Il n’aimait pas cela. Il posa sa main dans le dos de cette dernière tout en tendant l’oreille quand elle l’interpella « Oui, bien sûr » et la laissa quitter la boutique sans un mot. Quant à lui, il déposa les pièces sur le comptoir et fit signe à la vendeuse de venir jusqu’à lui « Je vous laisse tout remettre sur les étalages. La fois prochaine, et surtout lorsque vous êtes rémunérées à la commission, ce qui est le cas, n’est-ce pas ? » en tournant la tête vers une autre vendeuse qui acquiesça, puis reporta son attention sur celle à qui il faisait une leçon de morale « On ne considère pas la clientèle de la sorte. Mon amie n’a pas apprécié votre regard emplit de jugement, et moi non plus ». Il fit signe à l’autre vendeuse « Je crois que nous avons déposé des sacs à notre venue. Je souhaiterais les récupérer, je vous prie » et récupéra l’ensemble des sacs avant de rejoindre Mackenzie dehors « Vous allez bien ? » et ajouta « Je n’ai rien pris. Vous ne m’en voulez pas ? Je n’ai pas apprécié son accueil. On va donc trouver un endroit pour déjeuner, je vais appeler Joseph pour récupérer les sacs et nous irons dans une autre boutique avant de poursuivre les autres activités » et regarda sa montre « Nous sommes dans les temps normalement » et reporta son attention sur la jeune femme « Ce petit restaurant là-bas, ça vous convient ? » tout en désignant une terrasse d’un petit restaurant familial au coin de la rue. Ils prirent place en terrasse et il commanda une limonade, et laissa Mac commander à son tour, puis posa ses coudes sur la table « Vous faisiez quoi avant l’affaire de vos parents ? ».


Charly
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Jeu 5 Mai - 21:23
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -ne vous excusez pas, je n’ai pas été des plus sympa non plus. » avait répondu Mac même si ça lui arrachait la bouche de le dire à voix haute. Il était en train de lui présenter des excuses alors elle n’allait tout de même pas faire sa chieuse. Elle lui fit également remarquer, que ça faisait un peu trop de compliments d’un coup, qu’elle n’était pas habité. Il n’avait pas tord, ça prouvait leur sincérité. C’était étrange d’ailleurs de se dire que ces mots étaient vraiment sincère. Venant de lui. Enfin de manière ça n’était pas comme s’il allait prendre l’habitude de lui faire des éloges pareil chaque soir. Mac précisa que c’était surtout l’absence de jugement qui lui avait permis de souffler un peu et de se prendre au jeu. Elle ne souhaitait pas une réponse de sa part, mais il s’approcha et lui parla à l’oreille comme pour lui faire une confidence. Elle sourit avec douceur, à nouveau gênée.

Une fois dehors, elle se demanda bien ce qu’il avait pu prévoir pour la suite de la journée qui ne soit pas une torture pour elle. Il voulu gardé le secret et lui demanda seulement de profiter. « -vous avez raison, comme le dernier repas d’un condamné. » ça sonnait un peu comme ça à ses oreilles. Peut être que dans peut de temps vous serrez en prison. Elle ne se l’était pas encore mis dans la tête cette option merdique. En le regardant marché un pas devant elle, Mac réalisa qu’elle lui faisait entièrement confiance sur sa défense. Qu’elle s’en remettait vraiment à lui. Wahou… elle qui pensait le détester de tout son être… Elle en était bien loin.

La seconde boutique ne permis pas à Mac de jouer à nouveau les cendrillon accompagner de sa marraine. L’air pincé et réprobateur de la vendeuse, ses regards qui ne cessaient de les suivre. Non, vraiment la serveuse ne parvint pas à faire abstraction et finit par sortir de la boutique, assez rapidement. Pas assez à son goût mais tout de même. Une fois dehors, elle prit le temps de respirer un peu, sa langue entre ses dents de derrière. Elle fut heureuse que David ne la suive pas tout de suite. Juste le temps de reprendre contenance. Enfin… d’essayer. « -ouais… ouais ça va. » souffla t elle avec un faux sourire qui ne devait tromper personne. Mais ces mots voulaient également dire qu’elle n’avait pas envie de parler. De parler du mal aise, de ce qu’elle ressentait là tout de suite. Elle adressa un léger sourire à David lorsqu’il lui expliqua, et le remercia intérieurement de ne pas poser plus de questions que ça.

« -comment ça dans les temps ? Vous avez chronométré la journée ? » elle était intriguée. Ça voulait dire qu’il y avait un horaire pour la suite ? Elle avisa le restaurant. « -oui parfait. » pas de cinq étoiles. Elle serait bien plus elle même ainsi. Ils devaient tellement faire un couple étrange lorsqu’on les voyait de l’extérieur. Mac commanda une bière. Oui, là elle en avait bien besoin. Et ils n’étaient pas chez David. Donc elle pouvait ! Elle avala une grande gorgée et reposa doucement le verre en répondant : « -oh heu… le tour du monde. »
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Jeu 5 Mai - 22:09
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Au même titre que le contraste entre sa tenue de tous les jours et celles qu’elle avait essayait dans la boutique, leur entente d’aujourd’hui contrastait avec celle de la veille. Elle ne le mettait pas hors de lui aujourd’hui, et il ne se montrait pas rude à son encontre. Depuis qu’elle avait passé sa première nuit dans son appartement, leur entente était aussi changeante que la météo des arrière-saisons. Parfois elle pouvait être orageuse, ou comme aujourd’hui, elle pouvait se trouver sous les meilleures auspices. Et dire que ça ne plaisait pas à l’avocat serait mentir. Il appréciait réellement ce début de journée en sa compagnie, et ça faisait bien longtemps qu’il n’avait pris autant de plaisir à se trouver hors de son bureau. En fait, jusqu’à ce qu’elle parle du dernier repas d’un condamné, David n’avait pas pensé, un seul instant, à son travail. Il posa son regard sur elle tout en s’avançant dans la rue et rétorqua avec davantage de sérieux que ce qu’il avait pu dire jusque-là « Vous allez ressortir libre du tribunal. Faites-moi confiance Mac » et finit par lui sourire avec douceur. C’était peut-être présomptueux, mais David connaissait ses capacités, il savait qu’il était doué dans un tribunal, et ne se faisait pas de souci pour la défense de la jeune femme. Une défense qui se modifiait au fur et à mesure qu’il apprenait à la connaître. Ils entrèrent dans la seconde boutique, mais la visite fut brève. L’accueil fut loin d’être chaleureux, même au goût de l’avocat qui n’hésita pas à reprendre le comportement professionnel de l’employée avant de rejoindre la jeune femme dehors. Lorsqu’il lui demanda comment elle se sentait, il ne fut pas convaincu de sa réponse et répondit « Je lui ai fait comprendre que si elle voulait vendre, elle devrait apprendre à changer de comportement à l’égard de sa clientèle ». Il espérait que son commentaire germe dans l’esprit de la vendeuse. Mais il n’y croyait pas vraiment.

Aussitôt, David changea de sujet de conversation pour ne pas approfondir la conversation qui risquait de mettre un point final à cette belle journée qui venait de commencer. Un petit rire « Non. Mais on a des rendez-vous à honorer » et ajouta « Je n’en dirais pas plus », puis lui proposa de prendre place à la terrasse d’un petit restaurant de quartier. Il commanda une limonade et laissa la jeune femme prendre une bière. Il ne pouvait pas toujours la contraindre à respecter ce qu’il souhaitait, sinon elle risquait de se sentir prisonnière de cette colocation, et il ne le souhaitait pas « Vous avez visité beaucoup de pays ? » demanda-t-il avant de remercier le serveur et de passer commande pour le déjeuner. Il porta ensuite sa limonade à ses lèvres et ajouta « Vous faisiez le tour du monde pour la cuisine ? » en connaissant le goût prononcé de la jeune femme pour ce métier. Il observa ensuite les passants quelques temps, et ajouta en reportant son attention sur Mackenzie « Vous n’êtes pas trop anxieuse pour le procès ? » demanda-t-il et ajouta en changeant de sujet pour revenir sur le tour du monde « Je n’ai jamais quitté les États-Unis. Avec Cheryl, on n’a fait notre lune de miel à Hawaii, cinquantième états des États-Unis. On voulait visiter le Mexique, le Costa Rica, ainsi que la Thaïlande, mais nous n’en avons pas eu le temps. Talia est arrivé dans nos vies, puis il y a eu nos carrières respectives… On reportait toujours » et baissa son regard sur sa limonade dont il en prit une gorgée et sourit avec douceur « On avait fini par se dire qu’à la retraite, on ferait le tour du monde » et tourna la tête vers Mackenzie « Comment s’était ? Et oui, je vis par procuration en cet instant » avant d’émettre un petit rire amusé.

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Ven 6 Mai - 10:58
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis SDF et serveuse et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Mac adressa un léger sourire à David au sujet du procès. Elle ne s’en était pas souciée pour le moment, ne s’était pas fait à l’idée que probablement elle finirait derrière les barreaux. Lui faire confiance. Que pouvait elle faire d’autre ? Après tout, David Mcarthur était un avocat réputé, il savait ce qu’il faisait. Elle agirait comme il le lui avait dit. S’en remettait à lui pour cette partie là de sa vie. Croiserait tout de même les doigts. La boutique suivante fut un enfer pour la serveuse et elle en sortie en ayant besoin de respirer, de s’éloigner très vite de ce lieu. Bien entendu sa réponse fut fausse mais David n’était pas idiot. « -elles ne sont pas habituée à mon genre de clientèle. » ajouta la jeune femme avec un léger regard. Intérieurement elle apprécia qu’il ait en quelque sorte pris sa défense.

« -vous créez une certaine angoisse chez moi en restant mystérieux, vous vous en rendez compte n’est ce pas ? » les surprises, elle détestait ça. Alors elle s’imaginait qu’il devait y avoir une histoire de coiffeur, ils avaient parlé de ses cheveux donc c’était logique de suivre cette piste. Mais elle le suivit jusqu’au restaurant sans insister plus. Mac savoura la bière et avait seulement envie que l’alcool fasse son effet. Une petite anesthésie mentale. Juste oublier la sensation désagréable qu’elle avait éprouvé dans cette boutique. Ce regard jeté sur elle comme si elle était un animal sauvage. En reposant le verre sur la table, elle répondit à la question de David. Et enchaîna : « -la France, le Maroc, l’Inde, le Japon, l’Afrique du Sud, le Mexique. » liste qui n’était pas précise mais c’était ses meilleurs souvenirs. Elle passa sa commande et sourit avant de confirmer : « -exactement. Je voulais ouvrir mes horizons culinaires, apprendre des techniques d’autres pays. » un soupire en reprenant son verre. A quoi cela avait il servit ? A rien. « -j’essaie de ne pas penser à ça. Et de… profiter... » elle appuya sur ce mot avec une légère grimace, comme pour prouver que c’était tout de même compliqué pour elle.

Elle écouta la suite avec attention, avalant une autre gorgée de bière, réalisant qu’il était en train de se confier sur sa vie privée et surtout de parler de sa femme. « -elle était avocate aussi ? » c’était plus ou moins ce qu’elle avait compris lorsqu’il lui avait rapporté les paroles déplacées de son collègue. Mac adressa un sourire tendre à son interlocuteur, comprenant sa déception et sa tristesse. La vie en avait décidé autrement. Son sourire s’élargit, elle comprenait. « -c’était sans aucun doutes les meilleures années de ma vie. J’étais libre, je faisais ce que je voulais. J’ai vécu de merveilleux moments, vécu chez l’habitant, appris de leur coutumes, traditions. J’en garde de très beaux souvenirs. » elle n’avait pas fait ses voyages de façon organisées de A à Z. Loin de là. Elle ne savait jamais combien de temps elle allait resté, ce qu’elle allait découvrir. Elle s’était laissée porter. Elle avait trouvé des petits boulots, payer la suite de ses voyages par elle même, même si ça n'avait pas plu à ses parents. Et ça avait été magnifique à vivre. « -rien ne vous empêche de partir maintenant. Vous prenez des vacances quand même non ? » demanda t elle alors qu’elle se doutait de la réponse.
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