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Renaissance [David/Mackenzie]

Charly
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Charly
Mar 12 Juil - 21:55
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -mouais… peut être… » souffla Mac en essayant d’assimiler la phrase de David. Elle espérait qu’il dise vrai. Que Donna avait simplement un peu de mal à voir claire dans tout ça. Et non que cela lui pose un problème. « -roh arrêtez David, vous savez très bien ce que j’en pense. Mais vous affirmez qu’il n’y a rien entre vous et Donna. J’ai décidé de ne pas m’en mêler, vous êtes assez grands pour vous débrouillez. Ce ne sont pas mes affaires, et de plus je vous ai dis que je ne vous pousserais jamais vers quelqu’un si vous n’êtes pas prêt à cela. Il s’agit ici de Donna, pas d’une parfaite inconnue, mais clairement vous n’êtes pas prêt, alors nous allons arrêter de parler de ça, de Donna, de ses possibles sentiments pour vous et des votre, et nous allons passer un bon weekend. » point à la ligne. Il était hors de question qu’elle lui donne l’info. Ça n’était pas son rôle. Et puis elle avait peut être mal interpréter les mots de Donna. Enfin quoi qu’il en était, Mac avait décidé de passer les deux jours sans évoquer l’assistante. Mais David lui fit lever les yeux au ciel avec sa mine de chien battu. C’était fou de se voiler la face ainsi.

« -qu’en matière de chien vous êtes nul. » comment ne pouvait il pas trouver ce chiot adorable ?! D’accord il était sale et il ne sentait pas la rose, mais ces petits yeux, ce petit museau, ces oreilles… « -vous adorez ça. » avait-elle répliqué avec aplomb. « -et c’est exactement pour cela qu’il faut lui parler ! Pour qu’il comprenne. Je suis certaine qu’il a déjà bien compris qu’il n’était pas le bienvenu chez vous. » oui parce que là c’était de chez lui dont ils parlaient. Plus de chez eux. C’était bien quand ça l’arrangeait. Un bon bain pour le chien, et ils purent passer à table. « -je crois oui. Mais je ne suis pas convaincue que vous aurez la franchise de me dire la vérité. » bam ! Touché ! Et elle enchaina par une connerie. « -roh je plaisante ! » s’amusa la jolie brune qui n’était pas du tout coutumière de ce genre de pratique. « -hé ! Mais vous n’êtes pas drôle ce soir ! Vous avez passé une mauvaise journée ? » elle commençait à s’inquiéter. « -ah donc vous le jugez sans le connaitre. Vous allez apprendre, vous allez voir tout se passera bien ! » non, elle ne lâchait pas l’affaire ! Elle voulait garder ce chien.

« -arrêtez d’être sur la défensive. » s’amusa Mac en sortant de l’appartement. « -si je n’avais pas eu envie de passer un peu de temps en votre compagnie, je serais sortie seule. » sauf qu’elle ne l’avait pas fait. Non, elle l’avait convié à venir avec elle et Gus’ pour faire une petite balade nocturne. C’était toujours plus sympa que la vaisselle ! « -on verra demain. » avait elle répliqué avec un sourire taquin. Non, elle n’allait pas renoncer comme ça. Un petit pari entre amis avec Fabien, pari qu’elle avait perdu. Elle avait voulu croire que David allait avoir un peu de cœur ce soir. Mais c’était loupé. Et elle perdait dix dollars à cause de ça. « -j’arrive. Arrêtez d’être ronchon. » parce qu’il ne faisait que ça depuis tout à l’heure. Ronchonner.

Mac fut extrêmement soulagée de l’histoire qu’il venait de lui raconter. Elle s’était imaginée qu’il pouvait y avoir un probable souvenir lié à sa fille ou quelque chose comme ça. Mais là ça touchait son frère. Alors ça n’était pas grand-chose. « -il suffit de lui faire prendre des bains et puis vous avez une femme de ménage alors ça n’est pas à vous de vous plaindre de ça. » c’était Maria qui allait faire la gueule, et encore, quand elle aurait vu la bouille d’amour du chiot, ça serait vite oublié. « -il a le poil raz. Ça ira. » elle regarda le chiot et soupira : « -je comprends vous savez. C’est juste que… » elle pencha la tête sur le côté et ajouta : « -il m’a fait penser à moi. Tout seul, perdu, sans défense, à la rue. Sans rien ni personne pour l’aider, le protéger, l’aimer… Je ne pouvais pas le laisser là. » elle marqua une pause et reprit résignée : « -mais je comprends, c’est votre appartement. Mais… » elle regarda David : « -est ce qu’on pourrait éviter le refuge ? Je peux lui trouver une famille. Avec des enfants pour le câliner. Et comme ça je serais certaine qu’il ait une bonne famille. Ça ne prendra surement que quelques jours… » le refuge, ça lui faisait mal au cœur. Et dans le fond, elle espérait que ces quelques jours fasse changer d’avis David.

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Manhattan Redlish
Mer 13 Juil - 19:07
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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David resta presque interdit face aux paroles de la jeune femme concernant sa relation avec Donna. Elle parlait de sentiments, de relation, de le pousser vers elle… Et face à tout cela, le seul mot qu’il parvint à formuler fut « D’accord ». Rien de plus, rien de moins. Il ne souhaitait pas gâcher leur week-end qu’ils avaient tant mérité, et tout particulièrement Mac. Alors il ne revint pas sur le sujet durant ces deux jours. Néanmoins, il fut bien moins avare de mots concernant le chien qu’elle lui ramena ensuite. Quoique… Quand la jeune femme critiqua ses goûts en canidé, il leva les yeux au ciel en rétorquant un « N’importe quoi ! ». C’était juste qu’il était devenu insensible au charme du chiot qu’elle tenait entre ses mains. Il se mit à sourire malgré lui, ne souhaitant pas répondre qu’il adorait ça, se concentrant plutôt sur la suite de leur conversation. Il en profita pour la reprendre naturellement « Chez nous » avant d’ajouter « Oui, eh bien tant mieux qu’il a compris, parce qu’il ne reste pas de toute manière » tout en fixant le chien, s’avançant légèrement vers lui. Il avait passé 36 ans de sa vie sans chien, bientôt 37 ans, et il n’en était pas plus malheureux. Au contraire !

Puis le sujet changea radicalement lorsque Mac expliqua qu’elle doutait de sa sincérité si jamais elle venait à lui demander son avis sur une probable relation amoureuse « Parce que je ne me suis pas montré sincère jusque-là avec vous ? » en étant quelque peu surpris qu’elle doute sur ce point le concernant. Il avait toujours fait preuve d’une sincérité et d’une franchise à toute épreuve la concernant. « Vous m’épuisez Mac ! » finit-il par répondre, non sans sourire malgré tout.
Un froncement de sourcil et rétorqua « Vous m’avez inquiété avec votre message et Donna part avec Edward à Paris pendant une semaine et son remplaçant a déjà modifié tout son mode de classement… Il m’emmerde ! ». Le mot était enfin sorti ! Et lorsqu’il l’employait, cela trahissait réellement son état d’esprit en cet instant. En fait, il ne savait pas vraiment ce qui le dérangeait le plus : Le remplaçant de Donna ou le fait qu’ils partent dans la ville la plus romantique au monde… Enfin bref, ce n’était pas le sujet. Un regard pour le chien « Je ne le juge pas sans le connaître. C’est un chien Mac, pas une personne ». Un regard pour Mac en sortant de l’appartement « Je ne suis pas sur la défensive » et se mit soudainement à sourire, presque gêné des mots de la jeune femme « Je vous ai manqué ? ». Oui, il était touché par cette attention. Elle souhaitait passer du temps avec lui, et c’était réciproque. Il fit un signe de tête « Non, on ne verra pas demain » et se rendit vers la porte, rétorquant un « Je ne suis pas ronchon ». Si, il l’était. Mais il n’allait pas l’avouer.

Après quelques minutes de marche, David finit par lui expliquer la raison qui le poussait à ne pas apprécier la compagnie des chiens. Henri s’était fait mordre par le passé, et cela l’avait comme vacciné à vie « Vous expliquerez à Maria pourquoi elle devra passer davantage de temps à entretenir l’appartement » tout en souriant, comme fier de lui. Parce qu’en effet, il allait laissé sa colocataire annoncer la bonne nouvelle à son employée. Un regard pour le chien « Je n’en suis pas convaincu ». Ce n’était pas pour autant qu’il souhaitait le garder. Jusqu’au moment où Mac lui expliqua pourquoi elle souhaitait tant adopter ce chien… Le seul moment où il prit la parole, ce fut pour la reprendre, une fois encore « Notre appartement ». Il resta un moment silencieux et rétorqua « Vous pouvez le garder » avant de patienter encore un moment et ajouter « Vous avez gagné avec votre plaidoirie sur le fait qu’il vous faisait penser à vous… » tout en relevant ses yeux vers elle avec un sourire, puis s’adressa au chien « Ce n’est pas pour autant que je t’apprécie toi ! ».


Charly
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Jeu 14 Juil - 11:14
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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Impossible pour Mac de ne pas adorer l’échange qu’ils avaient ce soir. Elle aimait le voir sourire malgré lui alors qu’il râlait tout ce qu’il pouvait. Elle adorait lui taper sur le système et pourtant constater que c’était un petit moment de bonheur dans sa journée. « -si bien sur, un peu trop parfois d’ailleurs… » elle roula des yeux avant d’ajouter : « -mais ! » et elle insista sur ce mot en levant un doigt : « - c’est totalement différent de dire à quelqu’un que ça vous gonfle parce qu’elle laisse trainer ses chaussures devant la porte d’entrer, que de lui dire que le type qu’elle vient de vous présenter est un bouffon alors qu’elle éprouve peut être des sentiments pour lui. » puis elle s’empressa d’ajouter : « -ce qui n’est pas le cas hein ?! N’allez pas vous faire des films. Je n’ai rencontré personne, je n’ai pas de sentiment pour qui que se soit, mis à part pour vous cher ami. Et je ne compte pas vous présentez qui que ce soit. » voilà comme ça les choses étaient claires. « -vous avez encore de l’énergie j’en suis certaine. » avait elle répliqué du tac au tac en adorant à nouveau ce soir qui venait de s’afficher sur le visage de David.

« -oh oh oh ! » elle se mit à rire en prononçant cela. « -roh le petit con ! Comment a-t-il osé ?! » elle se foutait clairement de son colocataire. Comme si c’était le remplaçant le problème. « -c’est certain que c’est lui qui vous emmerde le plus dans cette histoire. » oui elle appuya sur les faits. Oui elle voulait qu’il ouvre les yeux ! « -vous n’aviez qu’à l’emmener vous à Paris. » ajouta la jeune femme en penchant légèrement la tête comme un hé toc ! Ils parlèrent à nouveau du chien et elle leva les yeux ciel : « -qu’est ce que vous pouvez être étroit d’esprit parfois ! » tout en se levant pour aller promener le chien, suivant les bons conseils de David. Quel invita d’ailleurs pour la balade. « -ça semble toujours vous étonnez quand je dis ce genre de chose. Bien sur que j’avais envie de vous voir et de passer un peu de temps avec vous. Depuis l’ouverture du restaurant on ne fait que se croiser. Alors chaque minute est bonne à prendre non ? » enfin il ne partageait peut être pas son avis, ni son envie. « -si vous l’êtes. » insista Mac en souriant.

« -oui bien sûr, j’expliquerais à Maria pourquoi elle sera payée plus et surtout je lui présenterais Gus’ et je suis certaine qu’elle serait ravie de faire sa connaissance, elle ! » oui Mac ne doutait pas une seule seconde que le petit chien allait séduire la femme de ménage. Impossible de résister sauf quand on s’appelait David Mcarthur ! Mac expliqua alors à David pourquoi est ce qu’elle avait choisi de prendre soin de l’animal, pourquoi est ce qu’elle avait décidé de ne pas le laisser dans la rue. Ce petit chien, c’était un peu elle quelques mois plus tôt. C’était peut être bête mais elle l’avait vu ainsi. « -je ne peux pas vous forcer la main de toute manière. Si vous ne l’aimez pas, je ne peux pas vous forcer à l’aimer non plus. J’espère vraiment que quelqu’un de bien prendra… attendez quoi ? » elle s’était accroupie pour caresser l’animal, tout en parlant et elle n’était pas certaine d’avoir entendu convenablement. Elle se releva avec lenteur et sourit avec douceur en baissant les yeux quelques instants. Elle s’était seulement montrée sincère. Lorsqu’il s’adressa au chien, elle passa un bras autour des épaules de David, se hissant sur la pointe des pieds, pour venir déposer ses lèvres sur sa joue. « -merci ! » Trop contente ! Trop heureuse qu’il se soit raviser. Elle allait gérer ! Il n’allait pas le regretter ! Et elle était certaine qu’il allait finir par l’aimer ce petit chien !

La balade du soir devint un nouveau rituel, même si Mac rentrait tard, ils passaient au moins quinze minutes ensemble à promener le chien. Bon, il eut forcement quelques accidents, les nerfs de David furent mis à rude épreuves certains jours. Mais finalement Gus’ trouvait sa place dans leur colocation. Et cela fit germer de nouvelles idées : « -un plat pour les chiens. Vous en pensez quoi ? La plus part du temps, si des clients viennent avec leurs animaux, il n’y a rien pour eux. Enfin rien que des restes. Si je mettais en place un plat pour les chiens, les gens seraient prêt à payer pour ça vous pensez ? Et tant que j’y pense, samedi soir on passe la soirée ensemble vous et moi. " elle avait lancé tout ça au petit déjeuner tout en préparant le café. Alors pas sur que David soir bien attentif.

Manhattan Redlish
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Jeu 14 Juil - 12:51
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Ce n’était pas la première fois qu’on lui reprochait sa franchise naturelle, pourtant Mac doutait qu’il soit capable de l’être en présence d’un probable prétendant. Il s’apprêtait à répondre que la jeune femme lui dit comprendre, en un geste, qu’elle n’avait pas terminé, et referma alors la bouche pour l’écouter. Un sourire tendre se dessina sur les lèvres de David quand la jeune femme lui confia éprouver des sentiments amicaux pour lui, et rétorqua « Moi aussi je tiens à vous » avant d’ajouter « Et pour en revenir à votre prétendant, vous n’avez pas totalement tort, ni totalement raison. Si je pressens qu’il va vous faire du mal, je n’hésiterais pas à être franc avec vous Mac ». Au même titre que Donna, David comptait bien protéger Mac d’un probable briseur de cœur. Il ne voulait pas qu’elle souffre. Alors peut-être qu’il ne serait pas direct comme à son habitude, mais il se faisait confiance pour lui faire comprendre que l’homme en question n’était pas bon pour elle, pour sa vie. Puis il se mit à sourire malgré lui et pencha légèrement la tête « Je vois qu’on fait de l’esprit ce soir », et cela, sans se départir de son sourire amusé.

Lorsqu’elle lui demanda s’il avait passé une mauvaise journée, David expliqua alors que son assistante étant partie en vacances, il se retrouvait avec un intérimaire qui changeait tout son mode d’organisation. David n’aimait pas que l’on change un ordre préétabli. Il se mit à plisser les yeux en regardant Mac, puis pencha la tête sur le côté « Vous vous moquez de moi, c’est ça ?! » et ajouta « En tout cas, il n’a pas à modifier l’organisation de Donna en son absence », et puis quoi encore ?! Puis fronça les sourcils face aux paroles de Mac « Bien sûr ! Quoi d’autres ? » en ne souhaitant pas voir le véritable problème, mais Mac n’hésita pas à le soulever sans attendre l’avocat « Vous êtes en forme ce soir, dites-moi » et ajouta « Je ne vais pas emmener Donna à Paris. Qu’est-ce qu’elle penserait de cette initiative ?! Et puis je suis son supérieur, et les supérieurs hiérarchiques ne font pas ça » rétorqua-t-il en tentant de se convaincre sûrement autant lui qu’elle. « Je sais. Vous n’êtes pas la première à me le dire » confirma-t-il tout en suivant la jeune femme dehors afin de promener le chiot. Un sourire attendri face aux mots de Mac, et acquiesça lentement de la tête « Oui… C’est juste que je ne pensais pas que vous … Je ne pensais pas que vous appréciez autant ma compagnie ». Il ne fallut pas deux minutes de plus pour qu’il lève les yeux au ciel alors que Mac le trouvait ronchon.

Un regard pour le chien, un autre pour Mac et ajouta « Oh ! Oh ! Attendez ! On n’a jamais parlé d’augmentation ! ». En revanche, il était certain que Maria craque pour le chiot. Plusieurs fois elle lui avait proposé de prendre un animal pour lui tenir compagnie. Finalement, il avait opté pour une colocataire et ça lui convenait tout autant… Et puis il avait fallu qu’elle ramène un chien… Mais lorsque cette dernière expliqua les raisons qui l’avait poussé à ramener cet animal chez eux, David se résigna et décida d’accepter Gus’ chez eux. Il rétorqua un « Vous pouvez le garder » alors que la jeune femme ne semblait pas avoir compris ce qu’il venait de dire, et se mit à sourire quand elle déposa un baiser sur sa joue « Faudra vous en occuper ». Il avait parfois l’impression de jouer le rôle de père avec Mac lorsqu’il lui expliquait comme faire telle ou telle chose.

Finalement la promenade du soir était devenue une routine pour eux deux. Un moment qu’ils partageaient tous les deux, leur permettant de se voir plus régulièrement malgré leurs emplois du temps compliqués. Maria avait été ravie de voir le chiot à l’appartement, alors que David ne parvenait toujours pas à accepter le jeune chien qui lui avait ruiné une paire de pantoufle, son tapis, parfois même son journal s’il avait le malheur de le poser sur la table basse… La colocation avec ce dernier était un peu plus difficile que celle qu’il vivait avec Mac au quotidien. L’entente n’était pas toujours au rendez-vous.
La tête dans son journal, café à la main, il fronça les sourcils en laissant retomber son journal sur la table et se retourna pour voir Mac « Attendez ! Une chose après l’autre ! Un repas pour les chiens ?! Je… Faites comme vous voulez. Les gens dépensent parfois des sommes astronomiques pour leurs bêtes, alors je ne serais pas étonné » et regarda le chiot à ses côtés « Et parfois, c’est le chien qui nous coûte des sommes astronomiques » et prit une gorgée de café avant d’ajouter « Qu’est-ce qui se passe samedi soir ? ».


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Jeu 14 Juil - 16:59
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« -je sais, sinon vous m’auriez déjà mis dehors depuis longtemps. » avait elle enchainé comme si elle ne voulait pas perdre le court de ses pensées et ce qu’elle était en train de lui dire. « -je sais même pas pourquoi on parle de ça finalement parce que ça ne risque pas d’arriver. » d’accord, le dernier avec qui elle avait couché elle l’avait encore un peu en tête. Mais bon, elle ne l’avait jamais recroisé depuis, et ça datait de l’ouverture du restaurant. Et puis non, jamais avec le même. Histoire de ne pas s’attacher. Même si, pour le coup, ça avait été une soirée plaisante autant habillée que nue. Enfin de toute manière, David n’en savait rien, et elle ne risquait pas de lui en parler. Il lui avait dit ne rien vouloir savoir de ses histoires de cul. « -oui, je suis d’excellente humeur, moi. » avait elle ajouté alors qu’il faisait à son tour de l’ironie.

« -oui. » bien sur qu’elle se moquait de lui et de ses fausses raisons qui ne trompaient que lui. « -et bien dites lui que ça ne vous plais pas. Quant il s’agit de ma vie privée pas de souci de franchise et vous vous laissez faire par un petit con désorganisateur de dossier ?! David… vous vous ramollissez avec le temps ou quoi ? » elle adorait cette soirée ! C’était pour ce genre de soirée qu’elle aimait leur colocation. Elle en savourait chaque minutes. « -quoi, en était dans le sujet franchise alors je me suis dis que c’était bien que j’applique le truc non ? » répliqua Mac avec son côté désinvolte et innocent. « -vous êtes aussi son ami. Son plus vieil ami, son plus cher ami. Mais très bien si vous préférez en vouloir au remplaçant et appliquer la hiérarchie. » roh à chaque fois que le sujet Donna était évoquée il devenait irritable. Elle détestait ça. Alors elle préféra partir en balade avec son chien, même si elle invita David à les accompagner. « -arrêtez d’accord ? » demanda Mac avec douceur alors qu’il remettait en doute son envie de passer du temps avec lui.

« -même si vous ne l’augmentez pas, elle va passer un peu plus de temps à faire le ménage, donc techniquement en étant payer à l’heure, vous allez la payer plus. » c’était logique… Une légère grimace pour démontrer son petit calcule, sous entendant qu’il était mou de la réflexion. Mais il refusait toujours Gus’. Jusqu’à ce que Mac lui explique pourquoi est ce qu’elle l’avait ramassé, elle qui à la base n’avait pas forcement envie d’un animal de compagnie. Et sans s’en rendre compte, voilà qu’elle était parvenue à ce que David change d’avis. Une bouffée de joie la submergea et elle vint embrasser la joue de l’avocat.

« -attendez, vous êtes allé courir ne me dites pas que vous n’êtes pas assez réveiller pour comprendre ce que je viens de dire. » oui de bon matin elle était d’excellente humeur, en super forme et déjà en train de le taquiner. Depuis que Gus’ était là, Mac était obligée de se lever pour le sortir le matin, cela lui imposait un nouveau rythme de vie et pour le coup, elle parvenait à prendre le petit déjeuner avec David assez régulièrement. Bon, parfois il n’en était pas enchanté, aimant sa tranquillité et son trin trin. Mais bon… « -ok je vais voir. Vous êtes censé m’aider non ? » elle lui fit glisser son café sous le nez et s’installa à son tour, levant les yeux au ciel pour la réflexion sur son chien, en coupant de la brioche qu’elle avait faite. « -tenez gouter ça. » avant de reprendre en mordant dans sa propre tranche : « -de quoi vous avez peur ? » elle avala et reprit : « -je pensais manger un hot dog et ensuite aller au cinéma. Je vous invite. » un petit sourire et oui, elle tirait enfin des salaires. L’anniversaire de David approchait, cela faisait déjà une bonne semaine que Mac imaginait quelque chose pour le fêter, mais elle avait besoin de Donna dans la combine. Et en même temps, elle n’avait pas envie que l’assistante ait tout le mérite. Mais bon, elle ne connaissait pas Henri, et n’avait pas les contacts des amis de Boston. Alors… pas le choix.

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Manhattan Redlish
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Mac avait raison. Si l’avocat n’avait pas éprouvé la moindre affection pour cette dernière, il ne l’aurait jamais laissé revenir dans sa vie après qu’elle en soit partie si brusquement quelques mois auparavant. C’était cette affection qu’il éprouvait pour elle qui faisait qu’elle était toujours à ses côtés aujourd’hui. Ce fut la raison pour laquelle il se mit à sourire avec douceur tout en rétorquant « En effet ». Il n’allait pas dire le contraire. Ils étaient assez lucides sur ce point de toute manière. Son sourire changea, se faisant plus taquin cette fois-ci « C’est lorsque nous cherchons pas que ça nous tombe dessus. Faites attention ». Et puis allait savoir pourquoi, mais David souhaitait qu’elle rencontre un homme bien qui saura la rendre aussi heureuse qu’elle était dans sa vie professionnelle. Il leva ensuite les yeux au ciel tout en souriant « Je vois ça ! ». C’était pour cela qu’elle se moquait de lui alors qu’il lui confiait les raisons qui faisait qu’il n’avait pas passé une bonne journée aujourd’hui. Un froncement de sourcils tout en rétorquant « Non ! » et ajouta « Je tentais de fournir des efforts avec les autres, mais vous avez raison, je dois lui faire comprendre qu’il doit partir. Je le licencie demain à la première heure ». Voilà ! La décision était prise. La boîte d’intérim parviendrait bien à lui trouver un nouveau remplaçant qui n’aurait pas goût à s’ingérer davantage dans le mode de fonctionnement de Donna. Elle ne partait que pour une semaine, bon sang ! « Oui… J’en suis juste surpris » lui confia-t-il et poussa un soupir à ce qu’elle ajouta « Ce n’est pas ça Mac… C’est seulement que… Je réalise, peut-être bien trop tard, que je pourrais, peut-être, éprouver des sentiments pour Donna qui ne sont pas ceux qu’on peut éprouver pour une amie, aussi chère soit-elle. Vous êtes contente ?! » tout en posant son regard sur Mac. Qu’est-ce que ça lui coûtait de lui dire cela ! Mais surtout, à quoi cela pourrait bien servir ? Au moins, l’avantage avec Mac, c’était qu’ils étaient sur la même longueur d’ondes. Ils aimaient passer du temps ensemble, et cela, en toute amitié « Oui Madame ».

David ouvrit ensuite la bouche, puis la referma, fixa Mac qui se trouvait à ses côtés et rétorqua « Je n’avais pas pensé à ça. La journée a été longue, et il faut croire que ma capacité à réfléchir correctement a été impactée ». Cela ne faisait que donner une occasion de plus à la jeune femme pour se moquer de lui. Un peu comme ce fameux matin où David lui demanda de se montrer plus clair « Nullement. J’étais seulement pris dans mon article. Je ne vous ai écouté qu’à moitié ». Avant l’arrivée du chien, l’avocat lisait son journal chaque matin dans un calme imperturbable, mais cela avait radicalement changé avec l’arrivée de Gus’. Parfois il se demandait pourquoi il avait accepté que ce dernier reste avec eux ! Il se saisit de son café chaud tout en remerciant Mac et releva ses yeux sur elle « Normalement, mais en ce qui concerne les chiens, je vous laisse seule maître à bord » et porta sa tasse à ses lèvres. Un froncement de sourcil « C’est pour les chiens ? » avant de sourire et d’en prendre une bouchée « Vraiment bon. Vous devriez organiser un brunch de temps à autre et leur faire déguster ce genre de mets ». Un petit haussement d’épaule en reposant sa tasse « Rien. Je suis seulement curieux » et acquiesça, avant de hausser les sourcils « Oh ! Vous m’invitez ?! Raison de plus d’accepter alors » en souriant avec douceur « Et nous faisons quoi de votre cher compagnon ? » en désignant le chien d’un signe de tête, puis lui donna un morceau de brioche « Tiens » avant de reporter son attention sur Mac « C’est notre rituel matinal. Je lui donne toujours un morceau de mon petit-déjeuner » et reprit une gorgée de café, levant son index pour la stopper dans ses réflexions « Ne dites rien ! Je ne veux rien entendre. Je vous entends déjà penser et c’est déjà beaucoup ».


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Jeu 14 Juil - 21:28
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Mackenzie Foster
J'ai 34 ans et je vis àNew York. Dans la vie, je suis Chef d'un restaurant et je m'en sors au jour le jour. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -quoi ? Non, attendez je ne vous ai pas dit de le virer, seulement de lui faire comprendre qu’il dois s’adapter. Pas la peine de tout changer pour semaine. » ça c’était du tout David, un peu trop radical dans certains cas. « -pourquoi, vous ne me trouvez pas franche d’ordinaire ? » demanda la jeune femme en fronçant les sourcils. D’accord, il lui arrivait de cacher la vérité parfois, ou de faire des petits secrets comme les réunions des AA dont elle n’avait toujours pas confié l’existence à l’avocat. Elle n’en voyait pas l’intérêt pour le moment. Ça lui faisait du bien, l’aidait à garder le cap alors autant laisser les choses ainsi. Après il allait poser des questions auxquelles elle ne souhaitait pas répondre. Doucement un sourire satisfait étira les lèvres de la jolie brune. « -hé ba voilà. » comme si cette révélation allait le tuer ! « -il n’est jamais trop tard. » ajouta la jeune femme avec douceur. Donna n’était pas mariée à Edward. Et Mac serait capable de parier que si David avouait ses sentiments, alors son assistante ne resterait pas bien longtemps avec le libraire.

Mac savait que sa présence au matin perturbait quelque peu son colocataire. Il aimait le silence et la tranquillité. Elle avait tendance à trop parler. Pourtant elle faisait des efforts. Et Gus’ aussi d’ailleurs. « -ok très bien, je vais y réfléchir correctement. » elle mettait l’idée de côté dans son esprit. Mais elle pensait que cela pouvait séduire, tout comme l’idée de brunch que lui proposait David. « -j’aime beaucoup l’idée. Peut être deux samedi dans le mois… Hum… oui ça peut vraiment être intéressant. » son imagination s’emballait déjà alors qu’elle hochait encore la tête. « -notre compagnon ? » s’amusa la jolie brune avec un grand sourire sur les lèvres. « -j’ai demandé à Fabien, il est d’accord pour le garder pour la soirée. » hors de question de laisser le chien seul ici. Pas encore. Il était trop petit. C’était la porte ouverte au n’importe quoi et Mac ne souhaitait pas se prendre la tête avec David pour ça. Elle ouvrit de grands yeux, regarda David puis le chien, puis de nouveau David. Elle avait loupé un épisode ? En entendant la justification de l’avocat, elle sourit de plus belle. « -quoi ?! Je n’ai rien dis ! » ironisa t elle en trouvant cela trop attendrissant.

Leur soirée du samedi s’était déroulée à merveille. Le lendemain soir, elle était dans la cuisine à préparer le diner en chantant, lorsqu’on frappa à la porte. « -j’y vais ! » lança Mac à David qui se trouvait dans le canapé avec Gus. Elle s’essuya les mains rapidement, le chien le suivit tout aussi vite et lorsqu’elle ouvrit la porte elle ouvrit de grands yeux. « -bon… bonsoir… » bafouilla t elle en voyant l’homme qui se tenait là. « -que ce que tu fais ici ? » l’homme en face d’elle semblait également très étonnée de la voir et il répondit : « -heu… toi qu’est ce que tu fais ici ? » Mackenzie grimaça et répliqua avec sa touche d’ironie : « -heu… je vis ici. Tu devrais le savoir vu que visiblement tu as fais des recherches pour me retrouver… » qu’est-ce qu’il foutait là ?! L’homme qui se tenait sur le pas de la porte n’était autre que son coup d’un soir, le dernier en date, celui avec qui elle avait bien accroché, la veille de l’ouverture du restaurant. Depuis tout ce temps, forcement elle était surprise de le voir ici. Et surtout elle ne comprenait rien à ce qu’il disait. « -je n’ai pas fais des recherches, je passais dans le quartier alors je me suis dis que j’allais venir dire bonjour. » « -oui ba bonjour au revoir. Tu ne peux pas rester ici ! » avait elle ajouter. « -Gus’ arrêtes. » avait elle ajouté alors que le chien tirait sur le pantalon du visiteur. Il bloqua d’ailleurs la porte qu’elle tentait de refermer sur lui. « -non, attends, c’est pas toi que je suis venu voir. Je ne savais même pas que… je suis venue voir David. » Mac ouvrit de grands yeux : « -tu connais David ? » demanda t elle à voix basse. « -attends mais tu es qui bordel ? » « -Henri. Je suis son frère. » « -non ?! » elle resta figée sur place avant de lancer un : « - ahhh David, vous avez de la visite ! » alors que l’avocat venait de la rejoindre.
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David A. McArthur
J'ai 36 ans et je vis à Manhattan, . Dans la vie, je suis avocat en droit des affaires et je m'en sors parfaitement bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.



David a grandi dans les beaux quartiers de New York, ainsi que dans l’ombre de son père, un brillant avocat d’affaires dont le nom lui ouvrit immédiatement les portes d’Harvard. Après deux ans au bureau du Procureur de New York Sud, il décida d’emprunter le même chemin que son paternel en rejoignant Donnelly & Associés. Un prestigieux cabinet d’avocats d’affaires disposant d’une vue à 360° sur la Big Apple. Depuis dix ans au sein de ce cabinet, et actuel associé, il a su se façonner une image de véritable salopard, dénué d’humanité et d’empathie à l’égard de ses clients ou encore des victimes, qui ne vit que pour gagner et pour l’argent. Ce qui est vrai. Les émotions sont, pour lui, une faiblesse. Une manière comme une autre d’atteindre son ennemi. En être dépourvu, lui assure une certaine protection à l’égard de ses confrères mal attentionnés.
Toutefois, il n’a pas toujours été que ça…


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Le jeune intérimaire dérangeait l’avocat. Ce dernier avait décidé de modifier toute l’organisation établie depuis plus de quinze ans par Donna. Comme si ce voyage à Paris était la fin de leur collaboration, et qu’il était son nouvel assistant. Cette pensée dérangeait David, tout autant que la nouvelle organisation de l’intérimaire qu’il avait décidé de licencier de bon matin. Une décision qui ne fit pas l’unanimité chez Mac qui semblait le trouver radical « Je n’aime pas avoir d’intérimaire ». Ou plutôt il n’aimait pas que son assistante soit remplacée « D’accord, d’accord. Je vais seulement lui expliquer clairement ma manière de fonctionner et ne pas le licencier » rétorqua-t-il tout en levant les mains en signe d’abdication. Un haussement d’épaule pour la question qui suivit « Cela dépens. Vous êtes secrète pour certaines choses, certains déplacements » précisa-t-il en appuyant sur les derniers mots et en posant son regard sur elle. Il avait bien vu qu’elle s’éclipsait de l’appartement ou du restaurant toujours au même moment, chaque semaine. Un rendez-vous régulier qui n’était pas dû à un homme apparemment. Cela avait éveillé la curiosité de David, mais il n’était pas parvenu à se décider sur le fait de la suivre ou non jusqu’à son rendez-vous secret. Après tout, elle était libre d’aller où elle le voulait. Il n’avait rien à dire sur ça. Le sujet revint ensuite sur Donna et sans vraiment savoir pourquoi, l’avocat lui confia que, peut-être, il éprouvait plus que de l’amitié pour Donna. Toutefois, cela n’avait pas la moindre importance. Le cœur de cette dernière avait trouvé chaussure à son pied… La révélation semblait ravir Mac « Ne vous emballez pas trop vite. J’ai formulé ma phrase de manière hypothétique. Je n’en ai pas la certitude », puis posa son regard sur elle et lui rendit son sourire avec douceur « Parfois, si. Elle est heureuse avec Edward, et il saura lui apporter tout le bonheur dont elle mérite. Quant à moi, je vis continuellement avec le fantôme de mes deux anges. On ne peut rien construire sur ça ». Puis baissa son regard tout en rétorquant « Et si je n’étais pas capable de l’aimer réellement ? De la rendre heureuse ? Si je lui disais ce que je pouvais probablement éprouver pour elle, que finalement ce n’est pas réciproque… Je perds une amie et une employée ». Et il ne le souhaitait pas. Finalement, il préférait être malheureux à la voir aux côtés d’un autre homme si elle, elle était heureuse, plutôt que malheureux parce qu’il avait détruit leur si belle relation.

David n’était pas habitué à avoir de la compagnie de bon matin, et encore moins de la compagnie aussi loquace. Alors, évidemment, il n’écoutait pas vraiment lorsqu’elle s’adressa à elle et dû lui demander de parler moins vite « Vous me tiendrez au courant tout de même » précisa-t-il en portant son café à ses lèvres. En ce qui concernait le restaurant, lui aussi avait une idée, et elle ne concernait pas leurs amis les bêtes « Là aussi, vous me tiendrez au courant » rétorqua-t-il en souriant à Mac. Quand cette dernière lui proposa de sortir samedi soir, David accepta, mais lui fit comprendre que laisser le chien seul dans l’appartement était tout bonnement inenvisageable « Non. Votre compagnon ». Contre toute attente, Mac avait tout prévu « Fabien aussi a succombé au charme de Gus’ ? Ce n’est pas possible ». Mais il fallait croire que lui aussi. Après tout, il avait instauré un certain rituel avec la boule de poil qui surpris sa colocataire à qui il coupa le fil des pensées « Non, mais vous l’avez pensé ! » précisa l’avocat en prenant sa tasse de café en main.

La soirée du samedi soir se déroula parfaitement bien. David avait apprécié la simplicité de la soirée et la compagnie de la jeune femme. Il avait déconnecté du travail l’espace de quelques heures, et n’avait repris le cours de ces dossiers que le lendemain, et cela, jusqu’au soir. Il fut coupé dans son travail lorsqu’on vint frapper à la porte. Il ne tendit pas vraiment l’oreille, se reconcentrant rapidement sur sa paperasse, mais en voyant que ça s’éternisait, décida d’aller voir et sourit en voyant son jeune frère « Bonjour Henri ! Je suis content de te voir » et lui fit signe d’entrer. Il les regarda tour à tour, suspicieux « Vous vous connaissez ? ».

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Jeu 14 Juil - 22:22
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à venir...


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Sourire aux lèvres, poignée de main, formules de politesse et critique des œuvres d’art exposées dans sa galerie. C’était le quotidien d’Henri qui clôturait la dernière journée de son exposition sur les photographies d’un jeune garçon qui avait grandi dans le Bronx. Le genre de génie artistique capable de capturer l’instant et de transmettre l’émotion en une seule capture. Cela pouvait être l’épicier souriant à une cliente, la serveuse d’un petit restaurant du coin de la rue qui patientait, le coude sur le comptoir et l’air rêveur, ou encore ce skateboarder qui glissait sur sa planche au milieu d’une avenue aux premières lueurs du jour, donnant l’impression d’être seul être respirant encore sur cette Terre. Henri glissa la clef dans la serrure. Deux tours de clefs, puis termina par fermer le rideau de fer qui protégeait son antre des malintentionnés. Lorsque ce fut chose faite, il jeta un regard à sa montre et décida de s’autoriser un détour chez son frère qu’il n’avait pas vu depuis l’inauguration du restaurant. Il connaissait le goût de David pour son travail, et de sa capacité à travailler tard le soir. Et comme si cela ne suffisait pas, il venait d’acquérir un restaurant avec une femme dont il ignorait tout, sauf le nom. Alors ce soir, alors qu’il venait de terminer un peu plus tôt qu’à son habitude, il décida de passer chez lui. Juste échanger quelques mots autour d’une tasse de café, s’assurant que ce dernier allait bien.
Depuis le décès de sa belle-sœur et de sa nièce, et de la descente aux enfers de son frère aîné, Henri faisait en sorte de veiller continuellement sur ce dernier. Même six années s’étaient écoulées depuis l’accident, il savait qu’à tout moment, ce dernier pouvait rechuter, et la remontée avait été bien trop difficile pour prendre le risque. Ce qui était relativement ironique, c’était que jusqu’à ce fameux jour funeste, ça avait été David qui avait toujours veillé sur lui, comme il le faisait avec tout le monde, et encore aujourd’hui. Mais entre eux deux, les rôles s’étaient inversés cette fameuse nuit, et ça s’était perpétué jusqu’à encore aujourd’hui.

« Bonjour Fabien » « Bonjour Monsieur McArthur. Cela faisait longtemps » « En effet. Comment va Amanda et les enfants ? » « Très bien Monsieur. Merci de demander » « Mon frère est là ? » « Oui, vous pouvez y aller. Vous souhaitez que je le prévienne ? » « Ça ne sera pas utile. Il est habitué à mes visites intempestives ».  Il monta les quelques étages le séparant de l’appartement de David, puis frappa à la porte. Il patienta quelques secondes jusqu’à ce que la porte ne s’ouvre sur … Elle. Cette fameuse femme qu’il avait rencontré quelques semaines auparavant. Une aventure d’une nuit. Pourtant, il n’était pas familier de ce genre d’aventure. Il était plus l’homme d’une vie. Mais avec elle… C’était différent. Il l’avait trouvé charmante et une certaine connexion s’était établie naturellement entre eux deux. Apparemment, il ne fut pas le seul surpris par cette rencontre « Euh… toi, qu’est-ce que fit ici ? » finit-il par demander. Est-ce que David avait rencontré quelqu’un ? Est-ce qu’elle était sa petite-amie ? L’avait-elle trompée avec lui ? Tout un tas d’interrogations s’imposa à lui, mais tout ce qui passa à l’esprit de la jeune femme, s’était qu’il avait mené son enquête pour la retrouver. Et puis quoi encore ?! « Je n’ai pas fait de recherches. Je passais dans le quartier alors je me suis dit que j’allais venir dire « bonjour » ». Et voilà qu’elle pensait que c’était à elle qui rendait visite. Un froncement de sourcils et il rétorqua « Non, attends. Ce n’est pas toi que je suis venu voir. Je ne savais même pas que… Je suis venu voir David ». Oui, parce que c’était bel et bien l’appartement de son frère. Il semblerait que cette nouvelle fasse l’effet d’un choc chez son amante d’une nuit « Henri. Je suis son frère ». Nouvelle révélation qui perturba hautement la jeune femme, et cela, jusqu’à ce que David fasse son apparition « Bonjour David » et entra dans l’appartement, jetant un regard à la jeune femme, puis David posa LA question à laquelle il répondit naturellement par un « Oui » avec un sourire « Vous… Vous êtes ensemble ? Je ne savais pas que tu avais rencontré quelqu’un », tout en espérant qu’il se trompait sur la véritable relation que la jeune femme entretenait avec son frère « Au fait, tu ne m’as toujours pas dit ton nom » rétorqua ce dernier avec son sourire de premier de la classe.


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Riche héritière d'un complexe hôtelier, Mac s'est vue propulsée à la tête de cet empire sans le vouloir. Un joli paquet comprenant les hôtels et les emmerdes qui allaient avec. Elle ignorait tout des magouilles de ses parents, et aujourd'hui elle a tout perdu. Pour elle, le seul responsable: David McArthur, un connard d'avocat. Aujourd'hui, elle vis dans sa voiture, et tente de survivre avec le peu d'argent qu'elle gagne avec son job à mis temps dans un resto pourri. Elle est son truc c'est la cuisine! La vraie cuisine! Elle a un talent pour ça. Mais pour le moment, elle est bien loin de pouvoir monter son affaire.

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« -je ne vois pas de quoi vous parlez. » avait répondu la belle brune tout en caressant le chiot sur ses genoux. Chier ! Il avait remarqué. Mais il avait la politesse de ne pas poser de questions plus précises que ça. Elle lui dirait un jour. Oui. Un jour. Pas ce soir. C’était hypothétique, tout comme la formulation de phrase de David. « -et vous attendez quoi comme preuve ? » un signe venu du ciel peut être, quelque chose qui pouvait venir de sa femme et qui lui donnait l’autorisation d’avancer ? « -je ne vois pas les choses de cette façon mais d’accord… je ne m’emballe pas. Nous avons déjà fait un grand pas en avant ce soir. » oui, il avait enfin formulé les choses à voix haute. En mettant des peut être, certes, mais l’idée faisait tout de même son chemin. « -ou lala ! ça fait beaucoup trop de peut-être ! » s’exclama Mac avec humour avant de prendre un ton plus doux et de lui souffler : « -n’attendez pas trop… la vie passe vite. Je vous l’ai déjà dit, je suis certaine que votre femme et votre fille voudraient vous voir heureux. » elle lui sourit et ajouta : « -et pas seulement en ma compagnie et celle de ce trop choupinou petit chien que vous adorez déjà ! » Petit chien qui finalement fut accepté comme nouveau colocataire !

Colocation qui prenait peu à peu son rythme de croisière. Jusqu’à ce dimanche soir où Mac eut l’impression de prendre une droite en plein visage. Elle avait ouvert la porte. La porte des emmerdes ! Voilà que le type de l’autre soir se pointait là. Elle eut bien du mal à comprendre ce qu’il faisait là et que ça n’était pas elle qu’il était venu voir. Non, c’était David ! Il connaissait David ! Pire c’était son cher petit frère Henri ! Merde ! Pourquoi est ce qu’elle se sentait si mal à l’aise d’un coup ?! Et pourquoi est ce qu’elle venait de répondre un : « -non ! » pas du tout convainquant à la question de David. Un regard noir pour Henri qui avait répondu l’inverse. Alors elle ajouta : « -un peu. On s’est déjà croisé. Mais je… je savais pas que c’était votre… Bref… » elle avait envie de disparaitre. « -quoi ? Non ! » avait elle répliqué comme si cette question la mettait hors d’elle à chaque fois. Ou peut être parce qu’elle ne voulait pas que Henri se fasse de fausses idées ? Et il ne l’aidait pas ! C’était certain que comme ça, en lui demandant son prénom, David n’allait pas du tout comprendre ce qui s’était passé entre eux ! Mais elle huma l’air et soudain réalisa que ce qu’elle préparait, était en train de bruler. « -merde ! » s’exclama Mac en courant jusqu’à la cuisine pour éviter la catastrophe. En mettant la casserole dans l’évier, elle réalisa qu’elle n’était pas vraiment habillée de la meilleure des façons. Short et t shirt trop grand… Tenue de dimanche soir quoi !  

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