La vie, c'est parfois avoir le souffle coupé. feat Caleb
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Charly
Jeu 29 Sep - 16:13
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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Il était venu. Lorsqu’elle l’avait attendue en bas de chez elle, ne le voyant pas arriver tu dis avec doute. Et si finalement il ne venait pas et si le fait qu’elle lui ait demandé de rester dormir hier soir avait provoqué quelque chose chez lui, une sorte de peur. Elle s’était décidée à aller à son rendez-vous parce que elle voulait la passer cette audition. C’était important pour elle tout comme c’était important qu’il soit là mais bon. Alors lorsqu’elle l’avait vu dans le public lorsqu’elle avait entendu ses applaudissements, forcément elle avait souri forcément son cœur avait fait un bond dans sa poitrine. Caleb était alors mis à parler à parler et encore parler Judy n’avait pas eu le temps de placer 2 mots. Deux pas en arrière pour mieux lui sauter dans les bras. Un accident il avait eu un accident. Et pourtant il était là il avait couru juste pour elle pour venir la voir. Ils ne sont peut-être pas compte mais Judy trouva ça vraiment touchant. Elle s’inquiétait ensuite de son état de santé et finit par lui dire : «-tu n'aurais pas dû. » et voilà qu’elle se prenait pour sa mère. « -c’est toi qui a besoin de repos. Je vais dire à Tyler que je viendrais pas cet après-midi » voilà c’était arrangé.
Après l’avoir remercier, il y eu un léger moment de flottement et elle avoua à mi-voix qu’il serait plus sage qu’elle se détache de lui. Cela n’échappa pas à Caleb qui en rajouta une couche. Un frisson à ses mots. « -d’accord.. » souffla Judy en le dévorant des yeux. « -je vais récupérer mes affaires et je te rejoins dans le hall. » Ce qu’elle fit sans attendre. Rapidement ils grimpèrent dans un taxi, et là elle décida d'écouter ce dont elle avait envie. Elle passa ses bras autour de son cou, puis son corps contre le sien et l'embrassa à pleine bouche. Elle avait une furieuse envie de lui, c’était presque une urgence. Heureusement le chemin en taxi ne fut pas long, ce qu’il fut plus ce fut la montée des 5 étages pour aller jusque chez elle. Intérieurement elle se promit de déménager 5 étages c’était bien trop long quand on avait envie de faire l’amour. Elle ouvrit la porte avec rapidité, elle colla à nouveau ses lèvres contre celles de Caleb, et avec frénésie elle lui retira son t-shirt.
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Manhattan Redlish
Jeu 29 Sep - 16:58
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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À la suite de l’accident, Caleb aurait pu appeler ou envoyer un message à la jeune femme en lui expliquant qu’il ne pourrait pas se rendre à son audition. Pourtant, cela n’avait pas traversé l’esprit de l’entremetteur qui avait quelque peu pressé l’ambulancier qui l’avait soigné pour qu’il le laisse partir. Il avait ensuite couru pour arriver juste au moment précis où Judy commençait sa danse devant les jurys. Néanmoins, il ne put s’empêcher d’esquisser un sourire quand la jolie rousse désapprouva son comportement « Tu dis ça, mais je sais que tu es heureuse de me voir » répliqua-t-il donc avec un sourire espiègle sur les lèvres, et avec assurance. Sa manière de venir dans ses bras ne trompait personne « Sinon je t’accompagne. Tu pourras me surveiller comme ça et tes adolescentes sauront qu’on s’est réconcilié » et ajouta avec tendresse « Je n’ai pas envie que tu mettes tes projets entre parenthèses pour t’occuper de moi ». Il aimait voir qu’elle voulait prendre soin de lui, mais il n’était pas victime d’un grave accident. C’était seulement une petite blessure au sourcil. Rien de bien grave, et puis ça serait l’occasion, pour le beau brun, de revoir Tyler et aussi de contempler le travail qu’avait fourni Judy avec ses jeunes. Lorsqu’elle passa ensuite ses bras autour de son cou, Caleb ne pensait plus du tout à l’activité de cet après-midi. Tout ce qu’il désirait, c’était elle, et c’était plus que réciproque. Il en joua même en voyant que la jolie rousse avait quelque difficultés à cacher son envie de lui. Pourquoi se retenir ?! Ils pouvaient très bien rentrer et répondre à cette envie qui leur enflammé les reins.
Installés dans le taxi, Caleb se retint de ne pas toucher la jeune femme à ses côtés. Mais cette dernière était bien disciplinée que lui, et colla son corps au sien, l’embrassa à pleine bouche alors qu’ils n’étaient pas arrivés. Il répondit à son baiser avec tout autant d’ardeur qu’elle, laissant l’une de ses mains se poser sur sa cuisse. Il paya le chauffeur de taxi et quittèrent l’habitacle avec hâte avant de gravir avec tout autant d’empressement les cinq étages. La porte à peine ouverte, que Judy vint se blottir contre lui pour l’embrasser à nouveau, retirant son t-shirt dans l’entrée. Il en fit de même avec elle, tout en ôtant ses chaussures chacune après l’autre. Leurs vêtements se retrouvèrent rapidement éparpillés au sol alors qu’ils se rendaient jusqu’à la douche. Caleb alluma l’eau chaude et chercha sa langue en attendant que cette dernière arrive, puis l’entraina sous l’eau. Ses mains glissèrent sous les cuisses de Judy et la souleva du sol, et la pénétra d’un coup de rein. Le dos de Judy contre la paroi de la douche, Caleb commença les coups de reins avec frénésie, trahissant son envie soudaine et qu’il voulait rapidement faire taire. Il détacha ses lèvres de Judy, son front contre le sien, il la fit reposer les pieds au sol « Laisse-moi te prendre par derrière » demanda-t-il sans faire attention à son vocabulaire en cet instant, et la fit sienne de nouveau, ses mains sur ses hanches, et reprit les vas-et-viens avec intensité jusqu’à atteindre la jouissance, contractant son corps, puis laissa Judy lui faire face et l’embrassa langoureusement, la plaquant contre le mur de la douche, puis se recula en la regardant dans les yeux « On va devoir faire des efforts pour se retenir en public joli cœur, parce que j’ai bien cru que j’allais te faire l’amour dans le studio » et embrassa son cou avant de se saisir du savon et le passa sur la peau de la jeune femme « Tu veux faire quoi cet après-midi ? On va au parc ou on va voir les jeunes ? ».
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Charly
Mar 4 Oct - 21:05
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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Bien sûr qu’elle était heureuse de le voir. Cela balayait le petit doute qui s’était fait un chemin dans son esprit. La veille, elle lui avait demandé s'il restait dormir. Caleb était presque parti en courant. Elle ne tenait pas à ce qu'il se fasse des films. Elle avait posé la question par esprit pratique, par parce qu’elle désirait le voir rester à tout prix. « -d'accord… faisons ça. Tyler sera content de te voir. » et puis ça lui permettrait d'avoir un œil sur lui tout en avançant la chorégraphie. Mais pour le moment, c’était avec lui qu’elle avait envie de danser. Est-ce que c’était sa présence ce matin ou la fait qu’il soit tout de même venu ? Judy ne savait le dire. Elle avait seulement envie de lui. Là tout de suite.
Ce fut compliqué de se retenir jusqu’à chez elle. Les cinq étages furent une torture. Mais enfin elle avait glissé la clé dans la serrure ! Rapidement les vêtements furent au sol, et eux sous l’eau chaude de la douche. Judy laisse passer un gémissement de bien être lorsqu’il entra en elle. Accroché à ses épaules, elle resserra ses cuisses autour de sa taille, l’embrassant toujours avec cette même envie, cette même énergie. Prise dans le feu de l'action, elle se tourna sans rien dire, cambra les fesses, sur la pointe des pieds. Un nouveau cri étouffé, le visage contre la paroi de la douche, bientôt elle ne contrôla plus rien, criant à chaque coup de reins. Le plaisir la submergea, lui faisant tourner la tête. Le souffle court, elle se tourna avec lenteur pour faire face à Caleb. Elle lui rendit son baiser comme si elle n’en avait pas encore assez de lui. « -c’est ma faute… je suis désolée » souffla Judy en se mordant la lèvre inférieure. Ça c’était de la fausse politesse. Parce qu’elle n’était désolée de rien. Bien au contraire. Et puis elle comprit : « - oh oui.. plus discret en publique.. pardon. » en fait elle n’était pas certaine qu’il ait voulu parler de ça, l'esprit encore sur un petit nuage.
Elle fut troublée quelques secondes en le sentant passer du gel douche sur sa peau, mais le laissa faire avant de répondre. « -les deux ? On passe l’après-midi avec eux, et ce soir on va manger dans le parc. T’en pense quoi ? » une fin de soirée avec un hot dog vite fait, tout en discutant. « -enfin tu as peut être d’autres projets ce soir. » oui, il avait peut-être un tout autre planning.
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Manhattan Redlish
Mar 4 Oct - 21:33
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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Depuis qu’ils avaient quitté le studio de danse où avait eu lieu l’audition de la jeune femme, ils ne cessaient de sentir le désir croitre entre eux, que ça devenait difficile de le cacher. Il aimait voir l’effet qu’il avait sur elle, et ça ne faisait qu’attiser sa propre envie qu’il avait d’elle. Ils éparpillèrent donc rapidement leurs vêtements sur le sol de l’appartement de Judy tout en se rendant sous la douche, et à peine furent-ils sous l’eau chaude que Caleb la fit sienne. D’abord en face à face, mais rapidement, il la laissa reposer pieds au sol et la pénétra de nouveau, mais par derrière cette fois-ci. Ses mains sur ses hanches, il la fit crier à chaque coup de rein, ce qui l’encourageait à poursuivre avec la même intensité, savourant de l’entendre crier son plaisir de la sorte à chaque vas-et-viens, puis ce fut ensuite l’extase. La jouissance les accabla tour à tour que Caleb ne se retint pas de crier son plaisir presque en chœur avec son amante. Il eut quelques difficultés à renouer avec la réalité et il n’était pas sûr de le désirer. La preuve en était, il plaqua la jolie rousse contre la paroi de la douche pour l’embrasser langoureusement, comme s’il était prêt à la faire sienne de nouveau, et aima sentir cette même envie chez Judy lorsqu’elle lui rendit son baiser. Il se recula et se mit à rire « Ne t’excuses pas, j’ai aimé ça. Cette excitation, cette envie de ton corps, de toi… Hum… » conclut-il en la regardant avec envie, son regard descendant et remontant sur le corps nu de son amante. Il se saisit ensuite du savon tout en poursuivant la conversation « En privé par contre, continue de crier ainsi… C’est juste… enivrant » précisa-t-il en se mordant la lèvre inférieure sans la quitter des yeux.
Caleb passa le gel douche sur la peau blanche de la jeune femme comme si de rien n’était et l’écouta évoquer le planning de la journée, ainsi que de la soirée. Il fit une petite moue quand elle évoqua ses projets du soir « Oui. Je dois sortir… Au parc avec une belle rousse » en l’évoquant elle, puis sourit « Le planning me plait beaucoup ». Ainsi, il allait la voir dans son élément avec les jeunes du quartier, revoir notamment Tyler après toutes ces années, et il appréciait la conclusion de la soirée en toute décontraction. Après s’être savonné, le beau brun quitta la douche, s’essuya et fit le tour de l’appartement pour récupérer leurs effets personnels et se rhabiller également, puis revint vers Judy « Je te sers un café avant de partir ? » et s’éloigna dans la cuisine pour servir deux cafés. Il s’arrêta en chemin après un léger vertige, et reprit sa route comme si de rien n’était. Judy avait raison. Peut-être qu’il aurait dû s’abstenir de courir pour la rejoindre au studio. Il lui tendit sa tasse « Je peux te poser une question » et attendit sa réponse avant de demander « Tu aurais aimé que je dorme là cette nuit ? » et précisa « Je veux une réponse honnête et pas un mensonge par crainte de ma réaction ».
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Ven 7 Oct - 21:19
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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Elle ne devait pas s’excuser. D’accord… C’était noté. Même si cette envie de lui avait nettement débordée du cadre qu’ils s’étaient fixés. Elle n’avait pas été capable de résister. Le voir dans la salle alors qu’elle s’était presque fait une raison, qu’elle s’était dit qu’il ne viendrait pas. Peut être que ça venait de ça… parce qu’elle ne savait, ça n’avait pas été qu’une histoire de physique. Pas non plus une histoire de revivre l’expérience de la veille. Ça avait été soudain. Et plus puissant que sa volonté. Et ce qui venait de se passer dans sa salle de bain avait été à la hauteur de son imagination. Voir plus. Parce qu’en vérité, jamais elle ne s’était pensée capable de se laisser aller à crier de la sorte. Plus aucun contrôle. Seulement le plaisir… Caleb lui fit d’ailleurs une réflexion là-dessus et cela la fit sourire en baissant les yeux. « -ah… ok… » commença à répondre Judy avant de comprendre en le laissant finir sa phrase. « -elle a de la chance dit moi… » avait elle alors ajouté, ravi d’entendre qu’en réalité c’était avec qu’il passerait la soirée. Bon et bien le planning était donc fixé. Ils passeraient l’après midi avec les jeunes et la soirée ensemble au parc. Elle le laissa quitter la salle de bain et termina de rincer sa peau, avant de sortir à son tour. Une serviette autour de la poitrine, elle se dirigea vers la chambre : « -oui s’il te plais. » un café et ils pourraient partir. Enfin elle prit d’abord le temps de s’habiller avant de revenir dans le salon. Judy s’installa sur le bord du canapé en le remerciant pour tasse de café. « -bien sûr. » depuis quand il demandait une autorisation pour ça ? Etrangement cela eut un petit effet de mis en garde. « -oh… » souffla la jeune femme après avoir prit une gorgée, faisant redescendre sa tasse avec lenteur. Un léger sourire. Il voulait qu’elle soit sincère. « -et bien pour te répondre, je n’ai pas calculer ce que cela pouvait engendrer dans ton esprit ou dans notre relation lorsque j’ai posé la question hier soir. Il était tard… » un haussement d’épaules pour souligner la logique de sa demande. « -tu as une façon assez… précipité on va dire… de quitter le lit ou de changer de sujet, juste après l’amour… ou le sexe… » parce que ça n’était pas vraiment faire l’amour. Pour cela il fallait des sentiments bien plus fort que ceux qu’ils avaient l’un pour l’autre.
Elle reprit une gorgée de café et ajouta alors, dans ce souci de sincérité qu’il lui avait demandé : « -je me suis demandée si je n’avais pas fais une erreur en te demandant ça, quand j’ai vu que tu n’arrivais pas ce matin. » oui ba autant en parler. « -je me suis dis que tu… avais peut être eu peur. » elle le regarda quelques secondes et demanda donc : « -tu as eu peur ? » bon d’accord, le taxi était la véritable raison de son retard mais puisqu’il avait lancé le sujet, autant qu’ils en parlent jusqu’au bout.
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Ven 7 Oct - 21:42
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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Caleb allait enfin rencontrer les jeunes dont s’occupaient la jeune femme et qui avaient une imagination débordante les concernant. Ça serait également l’occasion de revoir Tyler après toutes ces années. Voilà comme un simple accident de taxi pouvait rythmer la journée. Judy voulait le garder sous surveillance et le beau brun n’avait pas envie de se retrouver seul dans son appartement. Un petit sourire fier de lui en entendant la réponse de l’intéressée quand elle prit conscience qu’il parlait d’elle « Je trouve aussi ». Il quitta la salle de bain après lui avoir proposé un café qu’il lui apporta ensuite, lorsqu’elle sortit à son tour de la pièce pour rejoindre le canapé. Il prit place à ses côtés et lui demanda s’il pouvait poser une question. Généralement, il la posait sans autant de précaution au préalable, mais sans vraiment savoir pourquoi, en cet instant, il avait trouvé cela nécessaire. La question posée eut son petit effet en voyant la lenteur soudaine dans les gestes de Judy. Il espérait ne pas avoir fait d’impair en lui demandant cela, et resta silencieux, portant sa propre tasse de café à ses lèvres tout en l’observant par-dessus le récipient. Il hocha lentement de la tête quand elle évoqua sa capacité à se détacher après le sexe. Caleb posa sa tasse de café sur la table basse avant de lui répondre sur ce point « C’est parce que j’ai toujours fait ainsi… Il n’y a pas que toi qui a des choses à apprendre, moi aussi… » et demanda « Est-ce que ça te dérange ? Mon détachement ? Tu préfèrerais que je sois plus… Tendre ? » en ne sachant pas vraiment si c’était le terme adéquate, mais l’idée était là. Il la laissa prendre sa gorgée de café ensuite et posa sa main sur le genou de Judy en l’entendant évoquer l’inquiétude qui lui avait traversé l’esprit le matin-même vis-à-vis de son retard. Il se mit à sourire avec douceur en entendant sa question « Non. Je n’ai pas eu peur ».
Le beau brun se rapprocha de Judy, son épaule contre la sienne, au fond du canapé, sa main toujours sur la jambe de la jolie rousse « Je ne suis pas habitué à ce qu’on me demande de rester dormir… En fait, en y repensant, j’aurais bien aimé rester, mais je pense que si j’ai répondu « non », c’était par crainte que ça te fasse gamberger sur notre relation » et posa sa tête contre le canapé, tournée vers elle, sourire sur les lèvres « Je peux passer la nuit ici ce soir. Je veux dire, je peux dormir avec toi après le sexe. Enfin si tu le veux toujours » et se redressa, retirant sa main de la cuisse de Judy pour se saisir de sa tasse de café et en prit une gorgée avant d’ajouter « Et si jamais ça m’avait fait peur, je te l’aurais dit. Je ne t’aurais pas planté ainsi du jour au lendemain. Je… je ne suis pas Jeffrey » rétorqua-t-il en soufflant les derniers mots prononcés « Je n’ai pas envie de fuir notre amitié ». Il reprit une gorgée de café et ajouta « Maintenant, je vais éviter les taxis. Enfin quelques temps. Je vais opter pour le vélo ou la marche à pied » tout en posant ses doigts sur son pansement. Il s’enfonça à nouveau dans le canapé, la tête contre le dossier de celui-ci, avant de se redresser pour prendre son portable en se rappelant qu’il avait des rendez-vous à décaler. Il envoya un message en expliquant avoir eu un accident de voiture qui nécessite du repos et qu’il les recontacter dans la semaine. Ainsi, il aurait la paix et pourrait profiter de sa journée et soirée avec Judy sans penser au travail.
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Sam 8 Oct - 20:53
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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« -ah heu… je n’ai pas dis que c’était un défaut. Je trouve ça juste un peu… surprenant. Oui, je crois que c’est le bon mot. Voir déroutant cette capacité à… hop ! reprendre tes esprits d’un coup. » elle avait bien plus de mal à faire ça de son côté. La question de Caleb la fit bafouiller. Pas parce qu’elle était gênée mais parce qu’elle ne s’attendait pas à approfondir le sujet. « -heu… et bien… je… » Judy fronça les sourcils en posant ses coudes sur ses genoux, sa tasse entre ses mains. « -j’en sais rien… je ne me suis pas posée la question. » avoua-t-elle alors. Elle évoqua alors la possible peur qu’il avait peut être éprouvé lorsqu’elle lui avait proposé de rester dormir. Peur qui s’était un peu cristallisé dans l’esprit de Judy le matin même en ne le voyant pas arriver. « -d’accord… » souffla la jeune femme avec lenteur. C’était une bonne chose.
Elle s’était reculée dans le canapé, et son regard se posa sur la main de Caleb sur sa cuisse. « -alors tu aurai dû resté. » avait répondu la jolie rousse avec de faire un non de la tête. « -c’est assez claire dans ma tête. Rassures toi là-dessus. » elle ne voulait pas qu’il s’imagine qu’elle soit en train de tomber amoureuse. Ça n’était pas le cas. Elle lui sourit amusée : « -ça veut dire qu’il y aura encore du sexe ce soir ? » autant le taquiner un peu. « -ça me va. » ajouta Judy avant de préciser : « -pour le sexe et aussi pour que tu restes dormir. » un nouveau sourire : « -c’est comme tu le sens. Si tu veux rester, tu restes. Si tu préfères rentrer chez toi parce que tu aimes dormir seul dans ton grand lit, alors aucun souci. » voilà, c’était à lui de voir suivant l’envie du moment. Elle ne souhaitait pas qu’il se force à rester s’il n’en avait pas envie.
Judy baissa ensuite le regard lorsqu’il évoqua Jeffrey. « -je sais… » oui, elle était au courant qu’il n’était pas son ex. Ils n’avaient pas beaucoup de point commun, et cela lui allait très bien d’ailleurs. Mais elle était rassurée sur le fait qu’il ne prendrait pas ses jambes à son cou pour fuir. « -ça ne peut que te faire du bien. Ça va la tête d’ailleurs ? » il n’avait pas vraiment prit le temps de se reposer pour le moment alors elle préférait savoir s’il se sentait en forme.
Une petite heure plus tard, ils débarquaient au point de rendez vous pour passer l’après midi avec les jeunes. Judy salua Tyler et annonça : « -nous avons un encadrant en plus cet après-midi. Caleb mourrait d’envie de te revoir et d’évoquer le bon vieux temps ! » La jolie rousse était heureuse de pouvoir montrer à Caleb ce qui se déroulait ici, les progrès qui avaient été fait sur le projet.
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Sam 8 Oct - 21:19
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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Caleb passait la nuit avec des femmes. Différentes femmes. Rarement la même. Leur relation se résumait à du sexe et puis une courte nuit avant que sa conquête ne disparaisse au petit matin. Lors du peu de sommeil qu’ils s’accordaient, le trentenaire restait comme figé dans ses draps pour ne pas se retrouver enlacé à son amante au réveil. Lorsque la nuit se déroulait chez ses amantes ou dans un hôtel, il disparaissait aussi tôt le sexe terminé. Il ne prenait pas la peine d’être présent au lever du jour. Alors, son refus avait été naturel lorsque Judy lui avait posé la question. Pourtant, il ne la considérait pas comme une conquête comme les autres. Elle était avant tout son amie. Il n’avait simplement pas réfléchit. Comme il ne réfléchissait pas vraiment après le sexe. Le grand brun faisait comme si de rien n’était après ses ébats, et cela semblait perturber la jolie rousse « J’essaierais de faire un effort sur ce point. De me montrer moins détaché » répondit-il avec un sourire presque attendri sur les lèvres. Quand le sujet dévia sur le fait de passer la nuit avec la jeune femme, il expliqua qu’il ne voulait pas qu’elle s’interroge sur ses attentions, et inversement. L’entremetteur éprouva comme un soulagement en l’écoutant lui répondre « Je resterais la fois prochaine alors » et acquiesça « Je suis rassuré ». Enfin… Est-ce qu’il avait besoin d’être rassuré ou envie de l’être ? C’était davantage ça la question, non ? Il balaya cette interrogation d’un revers de main mental et évoqua la possibilité de rester ce soir à ses côtés, et se mit à sourire, de manière plus espiègle cette fois-ci « Oui, parce que je n’en ai eu assez de toi » et ajouta « Enfin, si tu en as envie ». Après tout, si elle ne voulait pas, il n’allait pas la forcer.
Un sourire et un regard à l’attention de Judy. Ses mots lui firent du bien. Elle avait envie qu’il reste. Pour le sexe et pour la nuit. Pourquoi ça lui faisait tant plaisir ?! « Bien » souffla-t-il presque timide et se mit à rire doucement « Je ne me sens pas prisonnier parce que tu as accepté que je passe la nuit avec toi, tu sais » et porta sa tasse de café à ses lèvres, avant de préciser qu’il n’était pas Jeffrey. Qu’il n’allait pas la fuir. Qu’il n’allait pas la laisser. Une dernière gorgée de café et déposa sa tasse sur la table basse « Un peu de vertiges, mais rien de bien sérieux » répliqua-t-il en se voulant rassurant.
Une heure après, ils arrivèrent au point de rendez-vous. Tyler les attendait, apparemment surpris de voir l’entremetteur accompagner la jeune femme « Mourrait d’envie ?! Vraiment ?! » en lançant un regard amusé à la jolie rousse et serra Tyler dans ses bras tout en lui serrant la main « Je suis quand même ravi de te voir » et glissa ses mains dans les poches de son jean « Bon, eh bien je vous suis ! Je vous laisse me présenter ce projet et ces petits prodiges ».
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Charly
Dim 9 Oct - 18:45
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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« -quoi ? Non attends c’est pas ce que je te demande. » avait coupé Judy en posant une main sur l’avant bras de Caleb. « -je te demande pas de faire des efforts là-dessus. C’est ta façon de faire. OK. C’est m’a un peu surpris d’accord, mais… mais tu n’as pas à faire des efforts ou te forcer pour changer. » ça n’était pas du tout le but de la conversation. Elle ne s’était pas confiée à lui sur ce point pour qu’il se pense obligé de faire des efforts. L’objectif de leur petit pacte sexuel n’était pas de le faire changer. Judy précisa alors qu’elle était au clair dans son esprit sur ce qu’ils étaient l’un pour l’autre. Et qu’il n’avait aucun souci à se faire. Le fait qu’il reste dormir avec elle ne changerait rien. Du moins c’était ce qu’elle s’imaginait là tout de suite. « -ok… cool. Tant mieux ! » avait répondu Judy avec un léger rire mal à l’aise. La conversation soulevait des idées qui ne lui avait pas traversé l’esprit. Mais qui visiblement était apparu chez Caleb. Donc elle notait qu’il craignait qu’elle commence à éprouver des sentiments pour lui. Voilà, c'était dans un coin de son esprit. Comme une sorte de système d’alarme. Elle décida de se montrer un peu plus souriante et de mettre un peu de légèreté dans leur conversation. « -hum… » elle approcha son visage du soin : « -je sais pas trop… on verra le moment venu… » son sourire s’élargit et elle se retint de l’embrasser. « -bon tant mieux alors ! » voilà, ils étaient d’accord. Il resterait s’il en avait envie. Fin de la conversation.
« -oui, quelque chose du genre. » avait répliqué Judy avec souriant, heureuse de voir les deux amis d’enfance se retrouver. Elle avait ensuite expliqué à Caleb ce qu’ils faisaient ici, avait évité les regards du groupe des filles qui semblaient ravi de voir arriver Judy en compagnie de Caleb. L’après midi c’était bien passé et finalement ils avaient passé la soirée avec Tyler qui leur avait présenté sa fiancée. Ils avaient mangé tous les quatre dans un petit fast food, laissant tomber l’idée de repas dans le parc en tête à tête. Ils furent de retour chez Judy vers les 23 heure. Elle était fatiguée. La journée avait été longue. Pour elle comme pour lui d’ailleurs. Judy retira ses chaussures et posa son sac à main, avant de proposer un café à Caleb. Café qu’elle alla préparer dans la cuisine, collant ses fesses contre l’établi de la cuisine, posant son regard rendre sur le bel homme. « -tu as les traits tirés… » pour ne pas lui dire qu’il avait une sale tête. « -tiens. » lui souffla Judy en lui tendant la tasse, avant de venir s’installer dans le canapé, relevant ses jambes sous ses fesses, cachant un bâillement avec le revers de sa main. « -le changement de plan était plutôt sympa. Rose est vraiment sympa. » oui, elle avait vraiment apprécié la personnalité de la fiancé de Tyler. Judy caressa la joue de Caleb du bout des doigts et dit avec douceur: "-tu devrais aller dormir..."
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Date d'inscription : 26/04/2018
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Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Dim 9 Oct - 20:26
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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Caleb baissa les yeux sur la main qu’elle venait de poser sur son bras et sourit avec douceur avant de les relever sur l’intéressée qui décida de venir préciser le fond de sa pensée concernant le détachement dont pouvait faire preuve l’entremetteur après le sexe. Judy ne souhaitait pas qu’il change. Qu’il fasse des efforts. Cela le fit sourire tendrement « Oui, mais tu n’es pas comme les autres femmes… Et puis peut-être que j’ai envie de changer aussi » précisa-t-il en haussant les épaules tout en l’observant. Après tout, ça pouvait être agréable de rester encore sur un petit nuage après le sexe, de profiter encore d’une certaine de proximité, de se remettre lentement de ses émotions avec elle. C’était un peu comme le fait de dormir avec Judy. Ce n’était pas quelque chose qui lui avait traversé l’esprit, mais maintenant qu’ils en parlaient à voix haute, le trentenaire avait envie de tenter l’expérience, de rester aux côtés de la jolie rousse pour la nuit, et non partir brusquement juste après avoir couché avec elle. Et si jamais il ne souhaitait pas rester, il s’autorisait le choix de rentrer chez lui pour passer la nuit seul dans son grand lit, et cela semblait convenir à la jeune femme. Seulement, Caleb ne souhaitait pas qu’elle s’interroge sur les sentiments qu’il pourrait nourrir à son attention, mais apparemment, la question ne se posait pas. Judy avait tout bien cloisonné dans son esprit. Un ami avec avantage en nature. Rien de plus. Rien de moins… « Tu ne pourras pas me résister » souffla-t-il tout en esquissant un sourire.
Ils passèrent l’après-midi avec les jeunes du quartier défavorisé, et plus particulièrement avec Tyler qu’il n’avait pas vu depuis des années. Ce fut donc l’occasion de faire le point sur leurs vies respectives. Ils rencontrèrent ainsi la fiancée de son ami d’enfance et il ne fut pas vraiment surpris de voir à quel point elle était jolie, douce et joviale. Une femme qui correspondait en tout point à Tyler. Ils dinèrent ensemble dans un fast-food et s’étaient dits au revoir sur le tard. Caleb était rentré avec Judy à l’appartement de cette dernière, et accepta le café qu’elle lui proposa, se posant en face d’elle dans la cuisine. Il releva son regard sur la jeune femme et se mit à rire doucement. Un petit rire épuisé « Je suis épuisé… » et se passa les deux mains sur le visage avant de remercier cette dernière qui lui tendit la tasse de café et prit place dans le canapé avec elle. Il prit à peine une gorgée et posa la tasse sur le rebord de la table « Oui. Ils vont vraiment bien ensemble » en repensant au couple que formait Tyler et Rose « Il a toujours aimé les femmes douces comme elle, un peu fleur bleue et avec le sens de l’humour ». Il tourna la tête vers elle et apprécia la main qu’elle posa sur sa joue « J’avais prévu d’autres plans en tête pour notre fin de soirée » et se laissa glisser jusqu’à elle, posant sa tête contre ses cuisses, tournée vers elle pour la regarder et lui sourit « J’ai vraiment aimé découvrir ton projet et ces jeunes. Ce sont des bons gamins ». Il réprima un bâillement et se redressa du canapé, tendant les mains à Judy pour l’attirer à lui et l’embrassa, glissant ses bras autour de sa taille. Il se recula légèrement « Je t’ai parlé de sexe ce soir et je compte bien tenir parole ». Après tout, il n’était pas le genre d’homme avec qui on dormait simplement. Les femmes qui venaient à sa rencontre n’attendait pas cela de lui. Elles attendaient du sexe et uniquement cela. Elles espéraient ne pas dormir de la nuit et avoir l’un de leur plus beaux orgasmes en compagnie du bel homme aux yeux bleus.
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La vie, c'est parfois avoir le souffle coupé. feat Caleb