La vie, c'est parfois avoir le souffle coupé. feat Caleb
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Charly
Dim 9 Oct - 21:33
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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Changement de programme pour la soirée. Mais elle avait été tout autant agréable. Judy avait apprécier rencontrer Rose. Elles s’étaient tout de suite très bien entendu. Elle n’avait pas demandé à Caleb s’il souhaitait monter ou rentrer chez lui. A la base ils avaient parlé d’une fin de soirée sous les draps. Même si une fois chez elle, après avoir gravit les cinq étages sans ascenseur, Judy sentait bien la fatigue de sa journée peser sur ses épaules. En regardant le visage de Caleb, là dans la cuisine, elle savait parfaitement qu’il en était de même pour lui. Ça se lisait sur son visage. Il ne s’était pas vraiment reposé cet après midi. Et elle ne perdait pas de vu qu’il avait tout de même eut un accident de voiture ce matin. Minime peut être. Mais tout de même.
« -je l’aime bien. » avait ajouté Judy au sujet de Rose. Ils foraient un beau couple. Et ferait sans aucun doute un très beau mariage. De beaux enfants aussi. Une légère caresse sur la joue de Caleb et elle sourit : « -je sais… sauf que tu es fatigué… » appuya la jolie rousse avant de le couver du regard lorsqu’il s’installa sur ses genoux. Elle glissa ses doigts dans ses cheveux, toujours avec cette même douceur. « -je suis contente que tu sois venue. » oui, elle avait aimé lui faire découvrir le projet, les ateliers danse et peinture. Elle avait apprécié son coup de main, sa compagnie et l’implication qu’il avait mise en œuvre au près des jeunes.
Judy se leva lorsqu’il lui tendit les deux mains, et collant ses hanches à celles de Caleb, souriant en l’écoutant. « -et moi je te dis que ce n’est pas grave si ça n’est pas le cas. » ça n’était pas la fin du monde. Elle s’en remettrait. Elle avait tenu six ans sans coucher avec personne. Elle caressa de nouveau sa joue, détaillant son visage du regard : « -dors ici… comme ça je garde un œil sur toi si jamais ça ne va pas. » elle désigna son petit bobo à l’arcade. « -et demain matin… quand tu sera reposé et en pleine forme… » elle pencha la tête sur le côté : « -tu me réveilleras à ta façon… » même si techniquement il n’avait jamais dû réveiller une femme pour lui faire l’amour. « -est ce que ça te va ? De toute façon on ne couchera pas ensemble ce soir. Je suis tout autant fatiguée que toi… » oui là clairement à choisir, elle préférait dormir. Mais c’était à lui de choisir s’il restait dormir simplement pour dormir ou s’il préférait rentrer chez lui. Parce que la situation était encore différente de celle évoqué tout à l’heure. Là c’était rester dormir sans sexe. Elle lui laissait le choix. Même si elle avait envie qu’il reste.
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Lun 10 Oct - 15:32
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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La journée n’avait pas été de tout repos pour l’entremetteur dont la fatigue se lisait sur son visage. Il était épuisé et Judy s’en rendit compte en voyant ses traits tirés. Il ne regrettait pas pour autant cette journée. Il avait ainsi pu découvrir le projet de Judy et Tyler, ainsi que faire la rencontre avec sa fiancée, Rose. Cette dernière faisait l’unanimité auprès de Judy et de Caleb. Lorsque la jolie rousse posa sa main sur sa joue, Caleb s’allongea en posant sa tête sur les cuisses de son amie, son regard toujours posé sur elle. Il apprécia ce moment de tendresse, lorsqu’elle glissa sa main dans ses cheveux tout en continuant la conversation sur le programme de la soirée « Je pense avoir encore un peu d’énergie en stock… ». En réalité, il n'en avait plus une once un sourire à ce qu’elle ajouta « Moi aussi ».
Caleb s’extirpa du canapé et saisit les mains de Judy pour l’attirer à lui, appréciant son corps contre le sien. Un sourire en l’écoutant « Tu es sûre ? » Presque soulagé d’entendre les mots de la jeune femme et de nouveau cette caresse sur sa joue qui lui fit du bien et l’écouta attentivement. Dormir avec elle cette nuit, et la réveiller à sa manière au petit matin. Un hochement de tête et un sourire « Ça me va parfaitement ». Il garda sa main dans la sienne et se laissa conduire jusqu’à la chambre. Il retira ses vêtements pour ne garder que son boxer et se glissa sous les draps, poussant un soupir de bien être alors que son corps se reposait au contact du lit « Ça fait du bien de s’allonger » et tourna la tète vers Judy « Bonne nuit » et tomba bien vite dans les bras de Morphée. Elle avait raison, il était véritablement épuisé…
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Charly
Lun 10 Oct - 16:54
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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« -oui. » avait répondu Judy. Elle était certaine que coucher ensemble ce soir n’était pas une bonne idée. Ils étaient fatigués autant l’un que l’autre. Ça revenait presque à se forcer. Elle n’avait pas envie qu’il ne se trouve pas à la hauteur ou quelque chose du genre. Elle proposa une alternative au problème. Il n’avait qu’à dormir ici ce soir, et le lendemain, une fois reposé, ils commenceraient la journée en couchant ensemble. Un petit réveil matinal fort sympathique. Elle n’avait pas envie qu’il parte, alors elle fit heureuse qu’il réponde positivement à son invitation. Sa main dans celle de Caleb, elle le guida jusqu’à sa chambre et le laissa prendre place dans les draps. De son côté, elle se changea et le rejoignit en souriant. « -dors bien. » furent ses derniers mots même si elle ne trouva pas le sommeil tout de suite. Etrange sensation que d’avoir un homme dans son lit. La conversation qu’ils avaient eu plus tôt lui revint en mémoire, et tourna un moment dans sa tête. Pourquoi est ce qu’il avait eu peur qu’elle se pose des questions ? Que cela la perturbe ? Pour se rassurer, elle se remémora ce qu’elle lui avait répondu. Les choses étaient claire dans son esprit. Il n’était pas le genre de type de qui on tombe amoureuse. Et il ne voulait pas qu’on tombe amoureuse de lui. Alors voir naitre des sentiments plus fort que de l’amitié, c’était exclus.
Judy avait plutôt mal dormi cette nuit-là. Parce qu’elle n’était plus habituée à dormir avec quelqu’un dans son lit. Parce qu’elle n’avait surtout pas voulu se réveillée coller à lui, blottit dans ses bras. Le réveille avait lui était complètement différent… Les semaines avaient passés, peu à peu, Judy reprenait confiance en elle, se sentait mieux dans ses baskets, un peu plus alignée avec la femme qu’elle était. Ils étaient heureux de se voir, se manquaient lorsque ça n’était pas le cas. Bientôt les vacances scolaire allaient toucher à leur fin, et Judy reprendrait le travail à plein temps. Peu à peu, l’idée de devoir abandonné les gamins qu’elle avait accompagner tout l’été, commençait à lui peser. Elle se sentait utile, bien plus que dans le lycée où elle occupait un poste jusqu’à présent. Mais aujourd’hui ce qui lui préoccupait l’esprit, c’était de faire bonne impression dans la famille de Caleb. Il lui avait proposé d’organiser ce repas, celui dont ils avaient parlé un soir. Montrer les talents culinaires de Caleb à sa mère. Elle avait opté pour un jean et un chemisier blanc, histoire de faire un peu plus professionnel de la cuisine. Chose qu’elle n’était pas. Elle devait le rejoindre directement chez ses parents. L’idée ne l’enchantait pas vraiment mais elle avait prit sa comme une petite épreuve de mise en confiance. Voilà qu’elle se retrouvait devant la porte d’entrer, une légère boule au ventre, hésitant à frapper ou sonner. Elle avait finit par sonner, une boite de chocolat dans les mains.
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Lun 10 Oct - 18:24
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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« On se donne rendez-vous jeudi prochain, au parc, près de la fontaine » « … » « Parfait ! On se dit à jeudi alors » et raccrocha, tout sourire alors qu’il inscrivait le nom d’un nouveau client sur son agenda de la semaine. L’article qu’avait rédigé Sophie sur son rôle de consultant en amour avait eu raison de son succès. Les appels fusaient et il se retrouvait à devoir décliner certaine demande, les envoyant chez ses confrères plus à même de répondre à certaines attentes. Il fallait croire que la journaliste n’était pas douée qu’au milieu des draps. Elle était une auteure de talent. Un sourire se glissa sur ses lèvres en pensant à la journaliste et se saisit de son portable : Un nouveau client. Rappelle-moi de te remercier à ma manière à ta prochaine visite. Un regard pour l’heure, il devait se rendre chez ses parents avant l’arrivée de Judy, sinon la jolie rousse allait lui en vouloir de l’abandonner au beau milieu de sa famille sans être présent pour la soutenir. Il lui avait demandé de s’y rendre par ses propres moyens afin de la sortir de sa zone de confort. Ces dernières semaines, Judy avait fait des efforts considérables pour regagner confiance en elle, que ça sentait presque le glas de leur collaboration professionnelle. Bientôt, elle serait prête à rencontrer un homme et à construire sa vie avec le gendre idéal… Une pensée qui ne séduisait pas vraiment Caleb qui, de son côté, continuait de ramener des conquêtes d’un soir, de temps à autre, afin de ne pas perdre de vue que c’était l’homme qu’il était. Un homme à femmes. Pourtant, plus il passait de temps auprès de la jolie rousse, et plus il perdait l’envie de maintenir ce rôle… Et ça l’effrayait au plus haut point, alors la venue de Sophie dans sa vie lui permettait de se concentrer sur une autre femme que Judy. Sa relation avec la journaliste était régulière, même si avec elle, ça ne se résumait qu’à du sexe. Lorsqu’elle était de visite à Seattle, ils prenaient le temps de dîner ensemble au restaurant, discutant de leurs vies réciproques sans pour autant s’attarder sur les détails de la vie courant, avant d’en venir à la raison de la venue de Sophie dans l’appartement du beau brun. Une manière comme une autre pour continuer de s’accrocher à cette vie de débauche, comme pourrait le désigner Judy. Une vie d’homme à femmes… et ainsi, d’oublier Judy le temps de quelques instants…
« Tu prépares donc le diner ce soir ? » demanda sa mère avec douceur « Tu es sûr que tu ne veux pas commander ? » « Ne commence pas Trish. Si ton frère veut cuisiner, laisse-le faire » « Tu seras surpris de mon talent » rétorqua Caleb avec assurance alors qu’il enfilait son tablier et commença à cuisiner. Il avait porté son dévolu sur des pâtes fraiches au foie gras, aux magrets et aux truffes. Il commença la préparation quand il entendit sonner. Il porta un morceau de foie gras à ses lèvres tout en criant « J’y vais ! » et se hâta jusqu’à la porte d’entrée face à la cuisine et sourit en voyant Judy « Bonsoir » et embrassa sa joue « Ma mère adore les chocolats » en se saisissant de la boite. Il posa sa main dans son dos « Tu es très élégante » et l’entraina jusqu’au salon où toute la famille se trouvait, installé sur le canapé devant une émission de TV « Je vous présente Judy, mon amie. Tu connais déjà Trish et voici Terrence son mari, ainsi que Jessie et Devon. Et mes parents Randolph et Ellen », puis ajouta en posant son regard sur Judy « Je te laisse, j’ai laissé la préparation sur le feu. Si tu veux me rejoindre après, pas de souci » et se hâta jusqu’à la cuisine pour continuer de préparer le dîner.
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Lun 10 Oct - 20:50
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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Lorsque Caleb lui avait proposé de rencontrer ses parents, ils étaient en cours de cuisine. Judy avait d’abord cru qu’il blaguait mais c’était bien vite rendu compte qu’elle se trompait. Il était sérieux. Il voulait vraiment qu’elle fasse la connaissance de sa famille et qu’elle l’aide à faire ce diner pour épater sa mère. Alors elle avait reprit son sérieux et avait bafouillé que c’était ok pour elle, qu’il n’avait qu’à trouver une date. Chose qu’il avait fait assez rapidement. Alors ce soir, elle se retrouvait devant cette petite maison de quartier, avec cette petite dose de stress qu’elle détestait. Les questions d'avant avaient fait leur retour dans son esprit. Et si elle n’était pas assez bien ? Si elle faisait une gaffe ? Si elle mettait Caleb mal à l’aise devant sa propre famille ?! Et puis il avait ouvert la porte. Impossible de faire marche arrière. « -salut… » avait soufflé la jolie rousse en lui adressant un sourire stressé. « -je me suis dis que je ne pouvais pas me tromper en choisissant cela. » tout le monde aimait le chocolat non ? Alors que les fleurs c’était plus compliqué. Et puis il fallait trouver un vase où les mettre. Enfin bref…
Elle se retrouva très vite devant toute la petite famille réunie. Caleb fit de rapide présentation et elle adressa un léger signe de la main à toutes ces paires d’yeux fixés sur elle. « -bonsoir… » avait elle ajouté en souriant avant que Caleb ne la plante là pour rejoindre la cuisine. Bon… Heureusement Trish se leva pour lui proposer quelque chose à boire. Elle lui adressa un compliment sur sa tenue et aussi sur sa coiffure. Ce qui fit presque rougit Judy. La mère de Caleb les rejoignit rapidement, souhaitant faire la conversation et également sa connaissance. « -je suis ravie de vous rencontrer et je vous remercie de m’accueillir pour le diner. »« -oui, enfin s’il y a un diner vu que Caleb c’est mis dans l’idée de cuisiner ! » s’amusa Trish en lui tendant un verre de vin. « -il est plutôt bon cuisinier tu verras. » répondit Judy avant de répondre aux quelques questions d’Ellen. Sa profession tout d’abord. Elle parla alors de son rôle de professeur, de l’art et de ses élèves. Également des cours qu’elle donnait durant l’été. La danse aussi. Elle lui demanda ensuite comment elle avait rencontré Caleb. Un regard pour Trish par-dessus son verre et elle osa mentir, enfin enjoliver la vérité. « -par l’intermédiaire d’une amie. » elle n’avait pas l’intention de dire qu’elle faisait à la base partie de la clientèle de Caleb. Quelques minutes plus tard, elle s’excusa et rejoignit le consultant en cuisine : « -ça va ? Tu as décidé de faire quoi comme menu ? » demanda la jeune femme en s’approchant de l’évier pour se laver les mains. « -dis moi ce que je peux faire pour t’aider ? »
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Lun 10 Oct - 21:09
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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En ouvrant la porte, Caleb ne put que sourire en voyant la jolie rousse sur le palier de la maison de ses parents. Il était réellement et sincèrement ravi de la voir ici. Il savait pertinemment que ce n’était pas un exercice aisé pour Judy et pourtant, elle était bel et bien présente au repas de famille. Un baiser sur sa joue tout en la saluant et se saisit de la boite de chocolat « Sauf si mes parents étaient diabétiques » rétorqua-t-il sur un ton taquin. Il glissa ensuite sa main dans son dos et la conduisit jusqu’au salon où toute la famille était réunie et fit rapidement les présentations sans entrer dans les détails. Il ne pouvait pas vraiment se le permettre parce que la préparation du dîner l’attendait patiemment et ce soir, il ne pouvait pas se rater. Il laissa donc la jeune femme aux mains de ses proches sans éprouver la moindre inquiétude et retourna derrière les fourneaux. Caleb savait que ses parents ne se montreraient pas indiscret et que sa sœur Trish saurait la mettre à l’aise avec bienveillance. Tout en buvant quelques gorgées du verre de vin qu’il s’était servi, Caleb s’attela aux fourneaux, sursautant presque en entendant Judy arriver dans la cuisine. Il tourna la tête vers elle et lui sourit « Pâtes fraiches au foie gras, aux magrets et aux truffes » et l’observa se laver les mains « Hum… Tu pourrais me râper les truffes ? ». Il la regarda un instant et demanda « Tu arrives à te détendre ? » en souriant avec douceur. Il remua la sauce et lui tendit la cuillère « Goûte-moi ça ! » et attendit son avis « Je trouve que ça manque un peu de sel, non ? ». Il prit une gorgée de vin et tendit son verre à Judy « Tu en veux une gorgée ? ».
Sa mère entra ensuite dans la cuisine « Hum… ça sent délicieusement bon ! » et s’approcha des fourneaux, regardant au-dessus de l’épaule de son fils « C’est que tu as un don apparemment mon garçon et un commis adorable » en jetant un coup d’œil à Judy, toujours avec cette bienveillance naturelle « C’est vous qui avait initié mon garçon à la cuisine ? ». Caleb se mit à sourire, laissant la jolie rousse répondre à la question que venait de poser sa mère. Il déposa un baiser sur la joue de cette dernière « Maintenant, tu retournes voir papa et tu nous laisses cuisiner. Je souhaite ménager l’effet final ». Cela fit rire sa mère qui tourna le dos tout en levant les mains « Bien ! Bien ! Je sors ! » non sans émettre un petit rire. L’entremetteur reporta son attention sur la jeune femme à ses côtés « Je suis heureux que tu sois venu » et lui donna un petit coup d’épaule « J’ai fait les pâtes avant ton arrivée. Je connais ton amour pour la farine. Je voulais éviter un massacre » en récupérant de la farine resté sur l’établi de la cuisine et la déposa sur le visage de la jolie rousse avant de rire « Petite indienne aux cheveux de feu » et imita le bruit des indiens d’Amérique avant de rire, sans se douter que sa famille avait l’oreille tendue vers la cuisine et souriaient derrière la porte, acquiesçant à la théorie farfelue de Trish qui était certaine qu’il y avait plus que de l’amitié entre eux deux « Tu peux me sortir les assiettes ? Elles sont là-haut » en désignant le vaisselier ancien.
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Mar 11 Oct - 20:45
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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Judy avait émit un léger rire avant d’écarquiller les yeux : « -ils le sont ? » roh il était toujours aussi doué pour la faire flipper pour rien, juste avec trois petits mots. Elle lui donna un léger coup d’épaule au passage, avant de se retrouver à devoir faire la conversation comme une grande face à la mère de Caleb. Avoir déjà rencontré Trish était un petit avantage. Et puis Judy se rappela la phrase qu’elle n’avait cessé de se dire dans le taxi. Si la famille de Caleb avait été des collègues, elle n’aurait pas stressé ainsi. Alors elle devait juste se sortir de la tête que c’était sa maman chérie et tout irait bien. De plus, ça n’était pas une évaluation chez des beaux parents. Elle était seulement là pour donner un coup de main. « -wahou… rien que ça… » ironisa Judy en ouvrant le robinet. « -le grand jeu… pas de pression du tout. Parfait ! » en rajouta la jolie rousse en prenant la torchon. « -je fais ça. » en parlant des truffes. « -je vois pas du tout de quoi tu veux parler. Je suis hyper détendue ! » s’amusa Judy en s’installant à côté de lui, comme lorsqu’ils étaient en cours.
La jolie rousse tendit les lèvres pour gouter ce que lui proposait Caleb, et souffla parce que c’était chaud, puis ouvrit de grands yeux : « -délicieux. Mais… » elle sourit : « -exactement, il manque du sel. » elle se mit au travail avant relevé les yeux sur Caleb : « -non, je viens déjà d’en boire un entier… bien rempli par ta sœur… alors ça va aller pour le moment. » elle n’était pas venue ici pour boire mais pour aider Caleb en cuisine et lui permettre de montrer à sa mère qu’il avait des talents cachés, et qu’il n’était pas seulement un homme basique. Judy sourit avec douceur au compliment d’Ellen, avait de faire un non de la tête : « -c’est tout l’inverse. Caleb prenait déjà des cours de cuisine lorsqu’on s’est rencontré. C’est lui qui m’a proposé de l’accompagner un soir, alors que son binôme était malade. Depuis c’est moi son binôme. » et elle aimait vraiment les cours de cuisine du lundi soir.
« -je n’allais pas te laisser faire ça tout seul, tu es incapable de faire un plat convenablement si je ne suis pas à tes côtés ! » la taquina Judy tout en s’appliquant avec le couteau. « -je ne vois pas de quoi tu parles ! » ajouta Judy en riant, avant de râler : « -hé non ! Ne commences pas ! » avant que son rire ne prenne de l’ampleur en le voyant faire sa petite danse indienne. Elle termina de découper les truffes et se lava à nouveau les mains tout en répondant : « -bien chef ! » elle prit les assiettes en se hissant sur la pointe des pieds, et les déposa sur la table de la cuisine. « -tu vas leur dire de se mettre à table ? Je commence à dresser les assiettes. » ce plat, ils l’avaient fait en cours, alors elle savait ce qu’elle devait faire. Mais il ne fallait surtout pas servir froid. Lorsque Caleb revint, elle l’aida pour terminer les assiettes et fit un premier aller-retour pour servir. Bientôt ils prirent place également à table souhaitant un bon appétit à tout le monde.
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Mar 11 Oct - 21:17
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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En voyant les yeux écarquillés de la jeune femme, Caleb ne put s’empêcher de rire en remarquant que malgré le temps écoulé, il parvenait toujours à la faire courir. Il rétorqua alors un « Non » afin de la soulager de la soudaine pression qui avait dû l’envahir, puis la laissa brièvement en compagnie des membres de sa famille pour rejoindre la cuisine. Judy ne resta pas bien longtemps seule avec tout ce beau monde, venant rapidement le rejoindre derrière les fourneaux et lui donna l’intitulé du plat « Oui… J’avais envie de mettre les petits plats dans les grands » et se mit à rire « Tu es aussi douée que moi en cuisine. Tu verras, tout se passera bien » la rassura-t-il avec douceur avant de lui donner les premières directives « Oui, bien sûr ! Où avais-je la tête ! Tu transpires la quiétude et le bien-être » en se moquant gentiment d’elle, et lui donna un petit coup d’épaule « Tu es avec moi, tout ira bien » et puis il connaissait assez sa famille pour savoir que la jolie rousse pouvait avoir l’esprit tranquille. Ils n’allaient pas s’ingérer dans leur relation ou se montrer indiscret les concernant. Il lui proposa ensuite de goûter la sauce qui fut, apparemment, au goût de la jeune femme et se mit à sourire en se rendant compte qu’elle était d’accord avec lui et ajouta une pointe de sel supplémentaire « Je pense que ça devrait suffire ». Après la sauce, il lui proposa un verre de vin et se mit à rire « Et après ça, tu me dit que tu es détendue ? » et prit une gorgée de vin tout en lançant un regard amusé à la jolie rousse. Il posa le verre au moment où Ellen, sa mère, fit son entrée dans la cuisine, y allant de ses compliments concernant l’odeur agréable qui flâner dans l’air et les deux cuisiniers. Il laissa Judy préciser que c’était lui l’initiateur à la cuisine et non l’inverse « Tant de secrets chez ton fils ! Sauras-tu en déceler la moitié mère ?! », ce à quoi l’intéressée répondit, tout en pinçant la joue de son fils « Peu importe tes secrets, le principal c’est que tu sois un gentil garçon » et quitta la cuisine à la demande de son fils.
Caleb se mit à rire de bon cœur « Je vois que la modestie ne t’étouffe pas ! » rétorqua-t-il avec légèreté et reprit « Tu n’as pas idée à quel point ta présence me rassure ce soir » sur un ton plus sérieux. Il n’aurait pas été si détendu sans la présence de la jeune femme à ses côtés. Alors que là, il avait seulement l’impression d’être au cours de cuisine du lundi soir, sans l’excès de farine « Tu es sûre de ça ?! » et dessina des traits de farine sur le visage de Judy avant d’imiter l’indien d’Amérique, ce qui eut pour effet de les faire rire tous les deux. Il reprit ensuite la préparation du plat tout en continuant de donner des directives à Judy « J’aime quand tu m’appelles comme ça ! » répliqua-t-il en posant un regard taquin sur elle et termina ce qu’il faisait, se lava les mains, ôta son tablier tout en répondant un « Oui madame » avant de préciser que c’était l’heure de se mettre à table. Ils apportèrent les assiettes et se mirent à table. Caleb trouva place aux côtés de Judy et resta suspendu aux lèvres de ses proches qui goûtaient un plat qu’il avait cuisiné pour la première fois. Un silence. Un regard pour la jeune femme et le premier commentaire vint des enfants « C’est très bon oncle Cal » « Merci » souffla-t-il avec un certain soulagement. Puis ce fut une pluie de compliments jusqu’à la question de son père « Mais où as-tu appris à faire ça ? ». C’était le moment pour le vrai Caleb de se montrer « Cela fait quelques années que je suis des cours de cuisine le lundi soir. Je cultive également des aromates sur mon balcon… Je fais aussi de la poterie de temps à autre, je pratique le yoga en plus de la salle de sport et de la course à pied… Je me suis également mis à la danse » en regardant la jolie rousse alors qu'il sortait cela comme s'il arrachait un pansement. Les parents échangèrent un regard puis se mirent à sourire avec douceur « Pourquoi nous avoir caché tout ça ? » « Parce que… Je n’en sais trop rien en fait. Peut-être parce que j’ai l’air tellement sûr de moi, Don Juan et tout cela… que je craignais votre opinion. C’est Judy qui m’a encouragé à être moi et à parler de tout ça ». Les regards se posèrent sur la jolie rousse, ainsi que celui de Caleb qui lui sourit avec tendresse « Je préfère de loin que tu fasses tout ça plutôt que tu écumes les bars le soir ! » rétorqua de bon cœur sa mère, ce qui fit rire l’entremetteur « Je ne suis pas alcoolique maman » « Pfff ! » et secoua sa fourchette à hauteur d’yeux « Tu sais très bien ce que je veux dire mon garçon » et reprit le repas « C’est tellement bon ! ». Caleb se mit à rire en rétorquant un « Merci »Le père s’intéressa ensuite à la jeune femme « Vous avez quelqu’un dans votre vie ? Des enfants ? ».
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Charly
Mer 12 Oct - 16:27
Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal. Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.
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« -ah ba c’est sur que là on est bien les petits plats dans les grands ! T’as mère aurait été impressionnée même avec quelques choses de plus simple et de moins couteux tu sais. » mais bon, c’était son choix, et ça allait très bien à Judy même si ça n’était pas forcement le plus facile des plats qu’ils avaient réalisé en cours. Pas son préféré non plus d’ailleurs. « -t’es mignon. » railla la jolie rousse avec un sourire en coin. « -exactement ! La zenitude en personne ! » elle lui adressa un regard après son coup d’épaules. « -je sais… » bien sur qu’elle savait que tout se passerait bien. La famille de Caleb semblait être moins curieux que lui, moins porté sur les questions gênantes aussi. « -attends tu m’as laissé seule avec eux alors que ça faisait cinq minutes que je venais de passer la porte ! Y’a de quoi être un peu tendue non ? Si les rôles étaient inversés je suis certaine que tu la ramènerais bien moins. » enfin face à sa mère tout se passerait bien. Son père par contre… il n’était pas d’un naturel souriant et avenant. Pas des plus bavard non plus d’ailleurs.
Judy sourit avec tendresse devant l’échange entre Caleb et sa mère. Cette maison débordait d’amour et bienveillance. C’était agréable. Elle le regarda ensuite quitta la cuisine, sourire toujours aux lèvres. Un léger regard à Caleb avant de s’appliquer de nouveau à sa tâche. « -tu as fais le plus gros du travail, tu t’en serais très bien sorti sans moi j’en suis certaine. » elle n’avait pas du tout la sensation d’avoir une utilité folle. Il semblait à l’aise, plus détendu quelle d’ailleurs. Après un fou rire, elle proposa de dresser les assiettes : « -ne t’habitues pas trop vite d’accord ? » s’amusa Judy en posant les assiettes.
Une fois à table, Judy observa Caleb du coin de l’œil. Elle avait envie de poser sa main sur son genou, mais ça n’était pas vraiment le lieu ni n’endroit. Lorsque les compliments arrivèrent, elle lui sourit avec douceur. Elle porta alors sa fourchette à ses lèvres, histoire de manger elle aussi. Tout en écoutant Caleb répondre à son père, elle ne s’était pas imaginée qu’il allait avouer comme ça d’un coup tout ce qu’il avait cacher durant des années. Lui qui redoutait tant la réaction de ses proches. Pour la danse, elle fit un léger mouvement de la tête, voulant souligner que pour le moment, c’était loin d’être gagné. Cela fit rire Trish et son mari. Puis elle baissa les yeux comme si soudainement Caleb lui attribuait tout le mérite. Grâce à elle… Judy restait convaincu qu’il l’aurait fait un jour ou l’autre. Elle avait peut être un peu précipité les choses. Rien de plus. Elle continua ensuite à manger en écoutant les reproches de la mère de Caleb. Elle dormirait peut être un peu plus paisiblement ce soir.
Judy prit le temps d’avaler sa bouché avant de répondre à la question du père de Caleb. Un non de la tête avant d’enfin ouvrir la bouche : « -ni l’un n’i l’autre monsieur. » elle prit son verre entre les mains et ajouta : « -je n’ai pas encore rencontré celui qui sera le bon. Et quand aux enfants… » un léger haussement d’épaules accompagné d’une petite grimace : « -on verra… » clairement ça n’était pas sa priorité.
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Manhattan Redlish
Mer 12 Oct - 19:19
Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien. Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle. Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.
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Caleb souhaitait subjugué sa famille par ses talents culinaires. C’était la raison pour laquelle il avait choisi ce plat qu’ils avaient préparé en cours de cuisine par le passé. Un repas digne des plus grandes tables des restaurants français. Toutefois, il entendait bien ce que Judy voulait lui dire en cet instant. Bien sûr qu’il aurait pu choisir un plat plus simple à préparer. « Mes parents n’ont jamais mangé de truffes ou de foie gras… Ils n’en ont jamais eu les moyens. Alors à défaut de se rendre dans un restaurant français, c’est le restaurant français qui vient à eux » répondit-il avec douceur tout en posant ses yeux bleus sur la jeune femme à ses côtés « Je sais » rétorqua-t-il ensuite à son compliment. Oui, il savait qu’il était mignon, mais il aimait entendre Judy prononcer ces mots. Un petit rire résonna dans la cuisine « Exactement ! » alors que la jolie rousse prétextait être zen alors qu’il en était nullement le cas. L’entremetteur avait appris à la connaître pour savoir lorsqu’elle était tendue ou détendue.
FLASH-BACK
L’accident de voiture du matin, sa petite course dans les rues de Seattle, puis l’atelier avec les jeunes du quartier… Tout cela avait eu raison de Caleb le soir venu et était rapidement tombé dans les bras de Morphée. Lorsqu’il ouvrit les yeux au petit matin, ils étaient chacun de leur côté du lit, comme s’ils étaient séparés par une ligne invisible au milieu du lit. Cela ne l’empêcha pas pour autant de la franchir alors qu’il la voyait endormie pour venir embrasser son cou. Il passa ensuite la tête sous la couverture et se glissa au fond du lit pour venir lui ôter la seule barrière qui le séparait de sa féminité. Aussitôt, il l’avait senti se tendre sûrement à la simple pensée de ce qu’il allait lui faire. Il rétorqua un « C’est ma manière de me rattraper pour hier soir » et écarta les cuisses de la jolie rousse pour laisser sa langue habile jouer avec la féminité de son amante.
FIN FLACH-BACK
Toutefois, en entendant les raisons évoquées par son amie, ce dernier ne pouvait qu’acquiescer. Il ne l’avait pas aidé à se détendre en la jetant dans la gueule du loup, seule, à son arrivée. Il approcha alors de cette dernière. Un regard pour la porte derrière, et vint embrasser son cou avant de souffler à son oreille « Tu as raison. J’ai été un mauvais garçon. Je mérite d’être punie en rentrant » en esquissant un sourire taquin et reprit la préparation du plat tout en demandant « Comment sont tes parents ? ». Oui, parce qu’elle l’intriguait avec son commentaire. Après le passage éclair de sa mère, Caleb remercia ma jolie rousse pour son aide et sa présence à ses côtés « Je ne parierais pas dessus ». Un petit rire tout en quittant la cuisine « Oui madame ». Une fois à table, l’échange fut bienveillant et tous apprécièrent le repas préparé par leurs soins. Ce fut comme cela qu’il se retrouva à avouer qu’il n’était peut-être pas exactement l’homme qu’ils connaissaient. Comme un pansement qu’on retire avec hâte, il déblatéra tout et se sentit presque libéré d’un poids par la suite. Tout cela, c’était grâce à la jolie rousse à ses côtés. C’était elle qui l’avait poussé à montrer l’homme qu’il était et à même lui donner envie de danser. D’apprendre à danser plutôt. Un petit rire en entendant la jeune femme répondre à son père, mais ce dernier le devança « Pas de « Monsieur » ici Judy. Moi c’est Sam » avant d’ajouter « Souvent, le bon n’est jamais bien loin. On n’a peut-être pas envie de le voir, peut-être on a peur de le voir… Mais généralement, il est déjà présent ». Pas de regard à l’attention de Caleb. Il avait fixé la jeune femme tout du long avant que Caleb n’apporte une précision « Il dit ça parce que ma mère était sa passagère pendant deux ans avant qu’il se décide à l’inviter à dîner. Elle prenait le bus tous les jours le matin et le soir. Deux ans… Tu as vraiment été long à la détente papa ! » « Dit le fils célibataire ! » rétorqua son père en riant. Caleb se mit à rire aussi et ignora le regard de sa sœur en cet instant. Il prit son verre alors que ce fut à sa mère d’en apprendre plus sur Judy « Et que font vos parents dans la vie ? ». Presque instinctivement, le beau brun posa sa main sur la cuisse de Judy sans vraiment réfléchir, avec juste l’envie de la toucher, de se sentir proche d’elle.
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La vie, c'est parfois avoir le souffle coupé. feat Caleb