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LE TEMPS D'UN RP

La vie, c'est parfois avoir le souffle coupé. feat Caleb

Charly
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lune 2
Charly
Mer 12 Oct - 21:11

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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Crédits: tearflight / tumblr

Judy se trouva soudainement un peu conne devant les explications de Caleb. Oui, forcement, il ne sortait pas d’une famille avec plein d’argent qui pouvait se permettre d’aller au restaurant lorsqu’ils en avaient envie. Donc forcément, il avait voulu faire quelque chose de grand. « -je comprends… » souffla la jolie rousse avec un regard qu’elle dévia assez rapidement presque comme des excuses silencieuse. Caleb avait vu juste, elle était loin d’être la plus détendue possible en arrivant ici. Il commençait à la connaitre suffisamment pour percevoir cela en un regard.

Flash Back

Ce matin-là, Judy avait eut du mal à ouvrir les yeux. Simplement parce qu’elle n’avait pas vraiment bien dormi. Parce qu’elle n’avait plus l’habitude d’avoir un homme dans son lit, et aussi parce qu’elle avait eut peur de venir se blottir contre lui durant la nuit. Chose qui aurait compliqué leur relation et remis en doute tout ce qu’elle lui avait dit la veille. Elle avait sourit en sentant les lèvres de Caleb dans son cou, sans pour autant ouvrir les yeux. Mais elle les avait bien vite écarquillé en se raidissant, comprenant qu’il était en train de descendre très bas sur son corps. Elle avait soulevé le drap et avait ouvert la bouche pour dire : « -non attends tu… » un soupire et elle avait ajouté : « -tu n’as rien à te faire… » mais la sensation qui venait de l’envahir l’avait fait taire. Et quelques minutes plus tard, elle lui avait demandé dans un soupire de continuer, de ne surtout pas s’arrêter.

Fin du Flash

Judy avait suspendu son geste en sentant les lèvres de Caleb embrasser sa peau. Il jouait à quoi au juste ? « -parce que tu comptes rentrer avec moi ? » avait elle demandé en évitant de laisser ses pensées divaguer. Elle s’était imaginée rentrer en taxi, seul chez elle. Mais il avait peut être d’autres plans en tête. « -oh et bien… ma mère est quelqu’un de très sociale, un peu folle sur les bord je dirais… quand elle s’y mets… » quand elle était dans un bon jour, sa personnalité, la vraie reprenait le dessus. « -elle est bavarde, curieuse. Tout l’inverse de mon père qui se présente toujours sous un côté froid et distant. » au moins comme ça il était prévenu si jamais un jour il devait faire leur rencontre.

Une fois à table, elle aima les compliments de la famille de Caleb vis-à-vis du plat qu’il avait prit soin de préparer pour eux. Et elle apprécia le fait qu’il ait décidé de lever tout les tabous. Cela l’avait d’ailleurs surpris. Qu’il parle de la cuisine et du cours du lundi soir, ok. Mais qu’il évoque la poterie et le yoga… Mais cela semblait ravir Ellen alors s’était le principale. « -d’accord… » avait répondit la jolie rousse en souriant au père de Caleb. Pas de monsieur. Bien… « -où peut être qu’il n’existe pas… » avait ajouté Judy en réalisa qu'elle venait de casser l'ambiance. « -mais vous avez sans doute raison, il est peut être déjà sous mon nez. Je sous peut être seulement trop aveugle pour le voir. » oui, voilà comme se rattraper. « -deux ans ?! Comme quoi ça prend du temps parfois ! » elle trouvait l’histoire adorable.

« -oh heu… » elle posa son verre alors que Caleb venait de poser sa main sur sa cuisse, ce qui la déstabilisa quelque peu. « -ma mère était professeure. Aujourd’hui elle s’occupe d’association qui viennent en aide aux femmes. Mon père est comptable. » famille classique. Pas de quoi faire une grande discussion.

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Jeu 13 Oct - 21:12

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Quand il expliqua les raisons qui l’avaient poussées à faire ce plat, il comprit alors que Judy se sentit soudainement stupide de l’avoir repris dessus. Il pencha alors la tête pour croiser ses prunelles claires « Eh ! Ce n’est rien » et lui sourit avec tendresse, ne souhaitant pas qu’elle se sente désolée pour si peu de choses. Surtout que le beau brun souhaitait que la jeune femme passe une agréable soirée, et nuit à également parce que ce dernier ne comptait pas la laisser rentrer chez elle seule. Son baiser qu’il lui donna dans le cou en fut la preuve. Un geste qui surpris Judy « Détends-toi, nous sommes que tous les deux. Et pour te répondre, j’avais pensé qu’on aurait pu passer la nuit ensemble. Enfin, sauf si tu ne le souhaites pas ». Après tout, elle en avait peut-être pas envie, était dans son cycle où elle souhaitait juste passer la nuit avec elle. Après tout, ils passaient déjà la soirée ensemble. Il changea de sujets en parlant des parents de cette dernière et sourit « Bon, eh bien on va s’abstenir de faire un dîner chez eux alors ». Surtout que les pères étaient plus protecteurs avec leur fille qu’avec leur fils…. Et même s’il était joli garçon, il avait conscience de ne pas renvoyer l’image du mec bien sur tous rapports.

A table, et après les compliments sur le repas qu’ils avaient préparé, ses parents se montrèrent légèrement curieux envers Judy. Rien d’indiscret. Ça, c’était la spécialité des jumeaux Hamilton, et apparemment Trish avait reçu des consignes de la part de leurs parents avant l’arrivée de Judy. Un petit rire de la part de Caleb en entendant la première réponse de la jolie rousse, ce qui fit réagir aussitôt sa sœur « Ah bah tu ne vas pas la contredire ! Tu ne crois pas en l’amour » ce à quoi Caleb rétorqua « Judy croit en l’amour » et lui jeta un coup d’œil « Seulement, elle ne pense pas que l’homme de sa vie soit à proximité ». Mais pour la paix sociale autour de sa table, Judy mit les formes par la suite « Peut-être que vous avez raison. Vous n’êtes pas obligée d’être d’accord avec nous chérie » précisa Ellen avec douceur et bienveillance. Le beau brun expliqua les raisons qui faisaient que ses parents pensaient ainsi et acquiesça « En effet ! ».
Il glissa ensuite sa main sur la cuisse de la jeune femme sans vraiment réfléchir et laissa l’interrogatoire se poursuivre « Bien, bien » répondit son père et ce fut au tour de Trish de poser une question « Tu arrives à le supporter ?! » En jetant un regard à son frère tout en lui tirant la langue, ce à quoi il répondit en limitant « Les enfants ! » Reprit leur mère « C’est elle qui a commencé ! » Précisa Caleb « Tu comprends le sens de ma question maintenant Judy » en désignant de sa main son frère, comme si son comportement justifiait sa question.



Charly
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Charly
Ven 14 Oct - 15:57

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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« -arrêtes de me dire de me détendre parce que ça ne m’aide pas à me détendre ! » râla Judy alors que le baiser qu’il venait de poser dans son cou semblait ne pas perturber plus que ça Caleb. Ce genre de gestes, ils ne se les permettaient pas d’ordinaire. Ils les réservaient aux moments d’intimités qu’ils échangeaient. Pas ici, comme ça, alors qu’ils discutaient. Ça semblait normal pour lui. Pas pour elle. Elle demanda alors s’il pensait rentrer avec elle ce soir et elle leva les yeux sur lui : « -si… si bien sûr. » comme si elle allait dire non ? « -je n’avais pas imaginé la fin de soirée ainsi mais je suis d’accord. » elle n’avait jamais dit non. Simplement parce qu’elle aimait ces moments entre eux. Et pas que l’acte en lui-même. Petit à petit par contre, elle commençait à se dire qu’elle y prenait un peu trop goût. Parfois elle se demandait si elle serait capable d’être ainsi avec un autre que lui. Aussi détendu, aussi naturelle. « -ça n’était pas prévu au programme pour demain, rassures toi. » ironisa Judy qui n’avait pas envie de le présenter à ses parents. Pas pour le moment. Un jour peut-être. Mais pas encore.

A table la conversation dériva assez vite sur elle. Elle aurait préféré que les projecteurs restent braqué sur Caleb et ses passions cachées. Mais bon, elle était également l’attraction de la soirée… « -je sais… c’est juste que plus le temps passe et moins on y crois… » avait soufflé la jeune femme appréciant la bienveillance de la mère de Caleb. Elle eut soudainement envie d’en savoir plus sur l’histoire d’amour de Sam et Ellen mais n’osa pas poser plus de question. Ne voulant pas se montrer indiscrète. Le comportement des jumeaux la fit rire, et elle tenta de mettre entre parenthèse dans son esprit la main que Caleb avait posé sur sa cuisse. « -on se supporte assez bien je trouve. Même si on a déjà eu quelques désaccords » elle n’allait certainement pas les évoquer ici. « -on a très vite appris à vraiment communiquer. » ajouta la jeune femme en jetant un coup d’œil à Caleb. « -je dirais que le plus agaçant c’est sa curiosité. On dirait un enfant parfois. » Trish se mit à rire : « -pourquoi… pourquoi… pourquoi ! » Judy ris et répondit : « -exactement ! » elle termina son verre de vin et glissa sa main sur celle de Caleb avec discrétion en lui adressant un regard tendre. « -vous êtes prêt pour la suite ? » demanda t elle en se levant pour débrasser les assiettes, dans le but de retourner en cuisine dresser le dessert.

Trish se leva pour lui donner un coup de main, laissant Caleb terminer son verre et parler avec son neveu. Une fois en cuisine elle confia à Judy : « -j’ai rarement vu mon frère aussi heureux et détendue. » Judy lui sourit et répondit : « -je crois qu’il est content d’avoir pu vous montrer qu’il n’est pas qu’un loveur. » « -votre relation vous est bénéfique à tous les deux. Tu as changé depuis notre dernière rencontre. » la jolie rousse baissa les yeux sur les assiettes sales. « -il m’a présenté comme une amie mais tu sais parfaitement qu’à la base c’était pas ce qu’on était. L’amitié est venue rapidement. » un sourire tendre et elle ajouta : « -il m’aide beaucoup… et tu as raison, depuis que je le connais je me sens bien mieux. » elle avait déjà fait du chemin. Parfois elle avait presque peur que cela aille trop vite, et que Caleb prenne de la distance, considérant qu’elle n’avait plus besoin de lui. Elle n’avait pas la moindre envie de voir ce jour arriver. « -tu le trouveras ton grand amour. J’en suis certaine. » ajouta Trish en se lavant les mains.

Manhattan Redlish
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Ven 14 Oct - 21:12

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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« J’arrête ! J’arrête ! » rétorqua-t-il non sans rire en entendant la demande de Judy. Il avait bien une idée pour la détendre, mais il n’était ni chez elle, ni chez lui. Pourtant, ce ne fut pas pour autant qu’il se retint d’embrasser son cou tout en lui avouant, à voix haute, qu’il avait très envie de poursuivre la soirée chez l’un ou l’autre. Un regard sceptique pour la jolie rousse en entendant sa réponse « Tu peux refuser aussi, tu sais. Tu peux aussi vouloir rentrer chez toi et te poser devant Netflix. Je ne t’en voudrais pas » précisa ce dernier, sur un ton plus ou moins sérieux, mais qu’il accompagna d’un sourire « Tu n’es pas à ma disposition ». Après tout, tôt ou tard, ce petit accord entre eux allait finir par cesser. Tôt ou tard, elle allait rencontrer une personne dont elle allait tomber amoureuse et il ne redeviendrait qu’un ami, et puis, sûrement avec le temps, qu’un souvenir. Au vu de l’évolution ascendante de la jeune femme ce dernier mois, Caleb se préparait mentalement peu à peu à cette évidence. Il n’était pas son petit-ami. Il n’était pas l’homme qui lui était destiné. Il allait poursuivre sa vie de débauche et elle, se rangeait avec l’homme parfait à ses yeux. « De toute manière, je n’ai aucune raison de les rencontrer » rappela-t-il en levant ses yeux sur elle.

Lorsqu’ils furent à table, ce fut rapidement Judy qui devint le sujet de conversation et c’était parfait. Caleb ne souhaitait pas s’épancher davantage sur ses centres d’intérêt de toute manière. Un regard pour Judy à ses côtés et se retint de lui demander ce qu’il faisait là alors ?! Enfin, en tant qu’entremetteur ? Il s’abstint également de dire qu’il était à la recherche de Paul, même s’il ramait dans la vase concernant ce dernier. Cette note fut balayée par l’enfantillage des jumeaux  et reprirent le fil de la conversation, posant son regard sur la jeune femme à ses côtés et sur la cuisse de qui sa main était posée « Je trouve qu’on les as bien surmonté » et se mit à sourire, puis à rire « Eh ! Pour une fois qu’un mec ne vous fait pas la tête sans tenter d’en savoir davantage. J’essaie de comprendre le psychisme des femmes, c’est une qualité, non ? » « Bon courage alors ! » rétorqua son beau-frère tout en tapant cinq à Caleb avant de se prendre un coup de coude de la part de sa femme. Caleb, quant à lui, échangea un regard tendre avec Judy qui venait de poser sa main sur la sienne, et reporta son attention sur l’assiette « Tu veux de l’aide ? », mais elle déclina et laissa Judy et Trish se rendre dans la cuisine alors que son neveu l’interpellait « Oncle Cal, j’ai commencé le baseball ! Je suis à la batte ! » « Eh ! Bon poste mon grand ! Et ça te plaît ? » « Oui, pour le moment ! ». Un sourire et il termina son verre tout en sentant le regard de son beau-frère et de ses parents sur sa personne « Vous allez le dire ou vous attendez encore ? ». Les deux parents échangèrent un regard « Judy est une femme bien. Jolie aussi » « Je sais » « Et ? » « Et quoi ? » « Tu l’aimes ? ». Caleb se mit à rire doucement tout en faisant un signe négatif de la tête « Trish a pris possession de vos esprits ou quoi ?! Non, elle est mon amie et rien de plus. Pourquoi pensez ça ? Quand je suis venu avec Camille ou encore Nina, vous ne m’avez pas questionné sur notre relation » « Camille est lesbienne » « Mais pas Nina » « C’est seulement que tu as l’air si heureux avec elle…. » « Si toi-même » précisa le beau-frère qui prit la parole pour la première fois depuis qu’ils étaient seuls. L’entremetteur baissa les yeux « Parce qu’elle me donne envie de l’être » tout en relevant son regard sur ses parents et son beau-frère qui acquiescèrent en silence, leurs regards parlant plus que leurs mots. Lorsque Judy revint, il lui adressa un sourire timide « Besoin d’aide ? »


Charly
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Ven 14 Oct - 21:47

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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« -je sais… » appuya Judy en le regardant avec insistance. Il était en train d’insinuer qu’elle se forçait ? « -et oui, merci de préciser, j’étais pas au courant ! » ironisa la jolie rousse avec un sourire amusé. « -je ne pensais pas que tu avais dans l’idée de finir la soirée avec moi. Chez moi. Ou chez toi d’ailleurs. C’est tout. » elle fronça les sourcils en voyant qu’il n’était toujours pas très convaincu de sa réponse : « -mais maintenant que tu as suggéré l’idée… » elle posa le couteau et se rapproche de lui : « -j’ai presque déjà hâte que la soirée se termine ici… » avec un regard très appuyé qui en disant aussi long que son sourire. ça n’était pas très naturelle chez elle de fleurter ainsi. Ils étaient peut être seul dans la cuisine mais pas dans la maison. Elle n’avait déjà pas une grande envie que la famille de Caleb capte qu’elle était à la base une cliente, alors qu’ils comprennent qu’ils avaient une relation de ce genre… Non… ça ne collait pas avec elle. Leur relation d’ailleurs ne collait pas avec elle. Judy avait toujours été la fille sage, bien dans les clous. Coucher avec Caleb, accepter ce deal, c’était presque devenir rebelle aux yeux de la société pour la jeune femme. Alors encore une fois, et bien ça resterait secret. Pas parce qu’elle avait honte de lui. Plus parce qu’elle avait peur d’être rangé dans la case : fille facile ou quelque chose du genre. Ça ne changerait rien au fait qu’il savait parfaitement allumer son désir. Et que maintenant qu’il avait semé l’idée dans son esprit, il était trop tard pour faire marche arrière. « -non, c’est vrai. Tout comme je n’avais aucun raison de rencontrer les tiens. » avait ajouté Judy, sous entendant que cela arriverait probablement un jour. Qu’elle n’était pas opposée à l’idée mais que pour le moment, l’occasion ne se présentait pas. Ce soir c’était différent. Il y avait Trish et sa famille, l’idée de faire la cuisine et de montrer les talents de chef de Caleb. Judy se voyait assez mal dire à ses parents : hé salut j’amène un ami pour manger dimanche midi. Elle n’avait plus seize ans. « -je sais d’avance ce que pensera ma mère si je me pointe chez eux avec toi, comme ça sans… sans explication ou excuses. C’est pas les bons mots mais je trouve que ça là. Elle va penser automatiquement que je leur présente mon nouveau petit ami. Or ce n’est pas le cas. J’ai pas envie de lui faire vivre un ascenseur émotionnel inutile, de devoir lui expliquer qu’elle se trompe et surtout lui dire pourquoi toi et moi on est pas en couple. » hors de question qu’elle lui explique que Caleb préférait les filles d’un soir, qu’il avait une peur bleu de l’engagement et qu’il voulait garder sa vie de célibataire. Ça ne la regardait pas.

Judy rit devant la solidarité masculine. « -parfois il y a de réponses que vous n’avez pas envie d’entendre. Mais c’est vrai que ta curiosité nous a permis de mieux se comprendre sur bien des points. » il fallait bien le reconnaitre, ces pourquoi faisait avancer le débat et leur permettaient d’exposer leurs opinions, leurs façons de voir les choses. « -non je vais l’aider. » avait coupé Trish en prenant à son tour des assiettes. Un regard pour Caleb et elle se retrouva en cuisine à discuter avec la jumelle de l’entremetteur. « -c’est gentil. » c’était aussi amusant de voir comme tout le monde ici était bien plus optimiste qu’elle sur la question. Judy regarda dans le frigo et décida d’aller chercher Caleb. Elle ne savait pas exactement ce qu’il avait prévu pour le désert. Après tout c’était son diner. « -oui je veux bien, je ne suis que le commi… » une légère grimace avant de retourner en cuisine avec lui. « -j’ai vu que tu avais préparé plusieurs choses, mais je ne sais pas trop comment tu as imaginé mettre ça dans les assiettes… » un léger froncement de sourcils : « -ça va ? » demanda t elle en refermant la porte du frigo avec lenteur. aller savoir pourquoi elle le trouvait étrange soudainement.

Manhattan Redlish
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Sam 15 Oct - 11:30

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Sans vraiment savoir pourquoi, Caleb trouva utile de lui rappeler qu’elle avait le droit de refuser ses invitations à passer la nuit avec lui. Peut-être parce que son hésitation lui a rappelé à quel point la jeune femme avait évolué ces dernières semaines et que tôt ou tard, elle serait prête à mettre fin à cette collaboration et à leur petit accord. Que peut-être qu’elle était prête, de son côté, à mettre fin à leurs nuits ensemble. Un petit sourire amusé se glissa sur les lèvres du beau brun en entendant la réponse de Judy alors qu’il lui rappelait qu’elle pouvait préférer une soirée en solitaire qu’en sa compagnie. Mais au vu du regard qu’elle posa sur lui, il comprit alors qu’elle avait envie de sa compagnie sous les draps à l’issue du dîner « C’est ce que je vois… » et après un regard pour la porte, il posa sa main sur sa joue pour l’attirer à lui et l’embrassa avec envie, sa langue cherchant la sienne, puis se recula en soufflant un « Seulement un avant-goût de ce que j’ai envie de te faire » et reprit la préparation du dîner. Ils en virent à évoquer les parents de Judy qui semblaient bien différent des siens et posa son regard sur la jeune femme « Oui… Vu comme ça ». En entendant ce qu’ajouta la jolie rousse concernant les pensées qui traverseraient l’esprit de ses parents, il rétorqua un « De toute manière, je ne suis pas le genre d’homme que l’on présente à ses parents ». Comme ça le souci était réglé. Il ne faisait pas parti de ce genre d’individu. Celui avec qui on organisait les fêtes de fin d’année, ou même avec qui on organisait une vie de couple.

À table, l’attention fut focalisée sur la jeune femme avant que Trish ne s’interroge sur l’entente qu’avait les deux protagonistes. Sa curiosité fut le nouveau sujet et Caleb se justifia à sa manière. Étonnamment, Judy ne le contredit pas. Au contraire. Elle lui donna même raison, ce qui le fit sourire « Oui. Ça nous a appris à communiquer et à passer au-dessus de nos désaccords ou de nos a priori », que cela dans leur relation amicale ou lorsque ça concernait le sexe. Il laissa sa sœur aider la jeune femme dans la cuisine. Pendant ce temps-là, il eut le droit à une conversation sur sa relation avec la jeune femme, sur son comportement différent lorsqu’il était avec elle, son bonheur, son authenticité. Alors, légitimement, ils évoquèrent ses probables sentiments à l’encontre de Judy. Il savait qu’il aurait beau démentir, ses proches ne le croiraient jamais… Et ça ne faisait que soulever un peu plus d’interrogations chez le beau brun qui, au retour de Judy, se montra plus timide, plus silencieux. Il se leva de table sans un mot et la suivit jusque dans la cuisine, troquant la place Trish avec la sienne « Je vais te montrer » souffla-t-il de manière presque inaudible en plaçant la vaisselle sur le comptoir et sans lever son regard sur la jolie rousse, répondit un « Oui ». Un soupir, puis se retourna vers elle « Et si notre petit accord t’empêchait ensuite de rencontrer l’homme qu’il te faut ? ». Un nouveau soupir « Mes parents m’ont trouvé différent. Plus heureux, plus authentique aussi ce soir… Et ils ont pensé que nous deux… Et je me dit que si c’est l’image qu’on renvoie, il serait peut-être temps de mettre fin à notre petit accord et de prendre un peu de distance ? Je n’en ai pas envie. Crois-moi. Mais je n’ai pas envie d’être un rempart à ton bonheur… avec un autre homme ». Voilà, c’était dit.


Charly
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Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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Judy avait bien compris que sa réponse n’avait pas été des plus enjouée et elle se permis de remettre les choses au claire. Oui, elle avait envie qu’ils terminent la soirée ensemble. Et oui, elle savait parfaitement qu’elle n’avait aucune obligation envers lui. Elle tenta de lui faire comprendre au mieux. Le message sembla être enfin passé. Lorsqu’il s’approcha d’elle pour l’embrasser, elle garda les deux mains en l’air, parce qu’elles étaient sales. Mais cela ne l’empêcha pas de rendre son baiser à Caleb avec une envie certaine. Elle se contenta ensuite d’un sourire en coin, satisfaite qu’ils se soient compris. Lorsqu’ils évoquèrent les parents de Judy, cette dernière fit comprendre à Caleb qu’elle n’avait pas honte de lui, que c’était simplement pour le moment , une sorte de logique. Sa mère allait se faire des films, bien plus rapidement que Trish. Et la jolie rousse ne voulait pas avoir à lui expliquer qu’elle se trompait et qu’en vérité, Caleb n’était pas son nouveau petit ami. Elle n’avait pas non plus envie de lui expliquer comment et pourquoi ils s’étaient rencontrés. Un léger froncement de sourcils à la remarque de Caleb. Elle n’était pas d’accord, mais elle ne répondit rien.

Pour le désert, Judy vint chercher Caleb afin qu’il lui explique ce qu’il avait prévu. Elle n’était présente que pour l’aider. Mais elle le trouva soudainement un peu moins détendu. Le oui qu’il prononça sans même la regarder, ne fut pas des plus convaincant. Loin de là même. Elle resta pourtant silencieuse et écouta la suite. « -c’est normal qu’il te trouve différent, tu leur montres une autre facette de ta personnalité. » le coupa Judy avant de comprendre. Un froncement de sourcils tout en approchant d’un pas vers lui. « -on en est pas là non ? » demanda Judy comme si elle avait besoin de la réponse de Caleb. Sauf que c’était elle qui la détenait cette réponse. Elle baissa les yeux en venant coller son dos contre le rebord de l’évier. « -pour le moment, je ne me sens pas prête, encore, pour rencontrer quelqu’un. » voilà ça c’était dit. « -mais c’est pas ça qui te pose problème dans le font n’est-ce pas ? Ce qui te gêne c’est cette image qu’on renvoi. Ou qu’ils te le fassent remarquer… » elle le détailla du regard durant quelques instants, sans rien ajouter.

Puis elle baissa les yeux et revint vers le frigo. Ils pouvaient parler tout en dressant les assiettes pour le dessert. « -je pense que c’est une décision qui me revint. » commença la jolie rousse. « -et je… on ne passe pas tout notre temps ensemble. Je vais reprendre la travail dans moins de deux semaines. On va donc moins se voir. J’avance peu à peu, et toi tu as de nouveaux clients qui ont besoin de toi. Je peux… je peux très bien rencontrer quelqu’un sans que tu sois dans les parages. Le jour où ça arrivera alors… alors on arrêtera. » elle tiqua parce qu’elle venait de se mettre du chocolat sur les doigts. Elle se redressa et se permis d’approcher de Caleb. « -j’ai pas envie d’arrêter pour le moment. Mais si c’est ton point de vu de spécialiste sur la question ou que je ne sais pas tu penses que tu… non qu’on s’attache trop et que ce n’est pas ce que tu veux, alors on arrête. » un léger sourire : « -finalement c’est à toi de prendre la décision. » un léger haussement d’épaules avant de porter son index à ses lèvres : « -ton fondant au chocolat à l’air délicieux. »

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Sam 15 Oct - 16:42

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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À nouveau seul dans la cuisine avec Judy, l’entremetteur se montra bien moins enjoué que précédemment. Pas d’imitation d’indien ou de baiser langoureux. La conversation avec ses proches avait quelque peu perturbé Caleb qui sentit que sa réponse à la question de la jolie rousse ne trompait personne. Une part de lui ne souhaitait pas tout arrêter avec la jolie rousse, quant à l’autre… Eh bien elle prit la parole en évoquant le risque qu’il risquait d’être un rempart pour son bonheur futur avec un autre homme. S’ils renvoyaient cette image de deux personnes éprises l’une de l’autre, alors cela n’échappera pas au prétendant de son choix s’ils se retrouvaient tous les trois à la même table… Il la sentit approcher de lui, mais ne leva pas ses yeux bleus sur cette dernière pour autant. Il resta silencieux jusqu’au moment où elle posa sa première question. Cette fois-ci, il l’observa un bref moment avant de répondre un « Je ne sais pas », parce que c’était la vérité. Il n’en savait rien. « Tu as tellement changé ces derniers jours. Tu te sens différente. Tu es différente. Plus épanouie. Je sais… Nous savons que le compte à rebours est lancé jusqu’au moment où tu pourras prendre ton envol » et il n’aimait pas cette idée. Toutefois, depuis le début, il savait que ça arriverait tôt ou tard. Il posa ses mains sur l’établi, proche de Judy sur qui il avait posé le regard « Ce n’est plus qu’une question de temps Judy… » souffla-t-il avant qu’elle ne pose le doigt sur le fond du problème, comme elle le précisa si bien elle-même. Il resta un moment à l’observer et répondit « Que ça soit évident…et que j’aime ça… ». Il n’était pas aveugle. Caleb avait conscience que la jeune femme avait un impact sur lui, qu’elle le changeait peu à peu.

Il la regarda s’éloigner jusqu’au frigo pour poursuivre la préparation des desserts. Il l’écouta avec attention et baissa les yeux sur ses assiettes « Tu as raison… » et leva les yeux vers elle en la sentant approcher jusqu’à lui et se mit à rire alors que Judy changea d’avis concernant celui qui devait prendre la décision. Elle lui appartenait à lui. Un sourire en la voyant goûter son fondant au chocolat « Ravi de l’apprendre » et ajouta « Le professionnel me dit que je vais perdre mon pari et n’en a pas envie. Le Caleb que tu as devant toi a envie de continuer notre relation telle qu’elle est » et s’approcha d’elle « Je n’ai pas envie de me dire que je ne pourrais plus te toucher, te caresser, t’embrasser… Surtout que ta manière de goûter le chocolat… ça me donne des envies… » et se mit à sourire en coin « J’ai envie de t’embrasser, mais si on tarde trop pour les desserts, ils vont se demander ce qu’on fiche ici » et embrassa seulement sa joue, dressant les assiettes « On pourrait poursuivre cette conversation ce soir, quand on sera rentré ? Parce que j’ai toujours la crainte d’être dérangé… ». Il savait que tout cela n’était pas terminé, mais il souhaitait en parler librement, sans l’appréhension d’être dérangé et que leur petit accord soit dévoilé.

Il apporta les premières assiettes et refit un tour par la cuisine, puis prit place de nouveau aux côtés de Judy « D’après Madame, il est très bon » en lui donnant un petit coup d’épaule, avant de se lever, cuillère en bouche, pour revenir avec l’album de photo « Je t’avais dit que je te les montrerais » « Oh non ! Cal ! Pas cette horreur ! » « Oh que si ! » « Vous étiez adorables quand vous étiez petits. Je crois qu’il y en a une avec Caleb sur le pot ». L’intéressé se mit à rire en acquiesçant. Il approcha sa chaise de celle de Judy, son bras posé sur la chaise de la jolie rousse, et tourna les pages « Tiens, je ne t’avais pas menti pour Trish. Lunettes et appareil dentaire » et posa son doigt sur une photo de lui enfant « Et là, c’est moi ». Ils finirent la soirée en échangeant anecdotes et rires, puis après un café et des accolades, ils quittèrent la maison familiale pour rejoindre le taxi « Ton appartement ? ».

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Sam 15 Oct - 18:16

Judy Freeman
J'ai 34 ans ans et je vis à Seattle, Pays. Dans la vie, je suis professeur. J'enseigne l'art à des lycéens et je m'en sors moyen. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt très mal.

Fille unique, petit trésor de ses parents, Judy n'a pas vraiment coupé le cordon. Elle passe régulièrement les voir. Sa mère est l'une de ses plus proches amies. Judy a grandi dans un foyer plein d'amour, entre ses peluches et ses amis imaginaires. Elle adorait jouer à la maitresse, mais aussi la peinture, le dessin... la voie était toute tracée. Professeure. Aujourd'hui, elle enseigne, elle aime ça, même si clairement les gosses qu'elle a en classe lui font passer l'envie d'en avoir à elle. Pas très organisée, tête en l'air, souvent à côté de la plaque, elle pratique beaucoup l'autodérision. Côté vie sentimentale, elle cherche désespérément un homme qui tombera amoureux d'elle. Elle en veut toujours à son ex, six ans plus tard.  
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Judy avait sourit tendrement en penchant la tête avant de souffler à voix basse : « -arrête… quand tu dis ça on dirait que je vais mourir dans quelques jours… » ça sonnait vraiment comme une question de vie ou de mort aux oreilles de Judy et elle n’aimait pas ça. Elle se répéta dans un soupire : « -je n’ai pas envie de rencontrer un autre homme pour le moment. D’accord ? » ça elle en était certaine. Pour ce qui était de la suite de leur relation… Mais elle voulu savoir ce qui le gênait vraiment. En entendant la réponse de Caleb elle l’observa quelques secondes, avant de détourner le regard. Puis d’une voix douce elle ajouta : « -ta sœur m’a dit que notre relation nous étaient bénéfique à tous les deux. » elle releva le visage pour le regarder : « -je suis d’accord avec elle. Ils voient notre complicité ainsi parce qu’ils ont envie de te savoir heureux et en couple. Si on avait la même vision des choses peut être que ça pourrait fonctionner toi et moi. Mais ça n’est pas le cas. Nous on le sais. Eux non. » petit à petit Judy avait arrêté de pousser Caleb à croire en l’amour. Elle ne s’était pas vraiment fait une raison, mais elle comprenait peu à peu ce qu’il pouvait aimé dans ce mode de relation. Bon la leur était un peu différente mais il y avait des avantages comparé à une vie de couple.

Bon finalement, ça serait à Caleb de décide. Même si elle restait convaincue que la décision se prendrait à deux. Judy sourit lorsqu’il évoqua le pari. « -on peut ajouter une petite close si tu veux. Si c’est moi qui décide de ne rencontrer personne d’autre, je te ferais un chèque. » même si elle savait que ça n’était pas une question d’argent ici. Un nouveau sourire amusé en regardant son index quelques secondes avant de se pincer les lèvres. « -tu as raison… » au sujet du fait de s’attarder dans la cuisine. Son regard jongla quelques secondes entre les yeux de Caleb et ses lèvres, ayant une furieuse envie de se blottir contre son corps. Mais elle se concentra sur les assiettes avant de lui répondre : « -bien sur… » la conversation n’était pas terminée. Elle comprenait qu’il n’ait pas envie d’en dire plus ici. Peut être qu’ils avaient tous l’oreille collé à la porte.

Un sourire complice lorsqu’il lui donna un coup d’épaule. Judy se demanda pourquoi il se levait et sourit alors que la curiosité prenait le dessus. Elle avait hâte de découvrir les photos dont il lui avait parlé. Les jambes croisés avec l’album dessus, son épaule contre celle de Caleb, elle sourit à mesure que les photos défilaient. Judy leva les yeux sur Trish. « -l’appareil dentaire, l’instrument de torture suprême ! » mais c’était ce qui faisait qu’aujourd’hui elles avaient de beaux sourires. « -oh t’étais trop mimi avec tes lunettes ! » s’exclama Judy avec attendrissement et une belle sincérité. Elle aimait la fin de soirée, en connaitre un peu plus sur lui, sur sa famille.

Après avoir dit au revoir et souhaité une bonne nuit, après avoir cru mourir d’asphyxie dans les bras d’Ellen qui la remercia de tout cœur d’avoir pousser son fils à lui faire cette belle surprise, Judy grimpa dans le taxi qui les attendait dehors et répondit : « -non… le tiens. » elle avait envie qu’il se sente bien pour la fin de la soirée. Et il serait peut-être plus à l’aise chez lui. La plus part du temps, c’était chez elle qui allait. « -ta mère était ravie de ton diner. » souffla Judy en tournant la tête vers lui. « -j’ai aussi passé une belle soirée… merci de m’avoir convié pour t’aider. » elle trouva la trajet interminable, cacha plusieurs fois un bâillement et fut franchement heureuse de retrouver l’air frais du dehors en sortant du taxi. Après avoir fait quelques pas à côté de Caleb, elle glissa son bras autour de taille, tout en poursuivant sa marche. « -je te propose un café rapide… et une reprise de discussion sérieuse une fois nu et essoufflé. Est-ce que ça te va ? » elle s’étonnait elle-même de dire des choses de ce genre maintenant. Elle était beaucoup plus détendue sur le sujet.

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Sam 15 Oct - 19:10

Caleb Hamilton
J'ai 37 ans ans et je vis à Seattle, Etats-Unis. Dans la vie, je suis entremetteur et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.

Caleb a vu le jour et a grandi dans le quartier défavorisé de South Park, à Seattle.  Il s’est toujours considéré comme un privilégié dans le quartier. Son père n’était pas parti chercher un paquet de cigarette à sa naissance, pour ne plus jamais revenir, et sa mère ne cumulait pas trois emplois pour subvenir à leurs besoins. Il avait grandi dans une famille aimante, passant ses dimanches à jouer au baseball avec son père dans le jardin. Cela lui permis d’obtenir une bourse pour étudier la psychologie à l’Université, jusqu’à ce qu’il ne se blesse à l’épaule à sa quatrième année. Ses excellents résultats lui permirent de maintenir sa bourse, et il décrocha son diplôme. Il exerça un moment en tant que thérapeute en Californie à l’issue de ses études supérieures. Finalement, il prit conscience que la problématique récurrente de ses patients, c’était l’amour. Ils souffraient de chagrin d’amour ou encore se sentaient seuls, d’autres n’y croyaient plus, alors que certains espéraient encore, allant de déception en déception. Il décida donc de créer sa société , devenant une espèce de Dr. Love, comme Will Smith au cinéma, mais cette fois-ci, à Seattle.  
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Sans sourire, Caleb releva ses yeux bleu sur la jeune femme et souffla « Oui. Pardon… ». Ce n’était pas la première fois qu’elle le reprenait sur ce point. Compte à rebours… Pourtant, c’était l’unique terme qu’il était parvenu à trouver pour désigner cette période entre aujourd’hui et le jour où elle serait prête à rencontrer un autre homme. Même si la jeune femme ne souhaitait pas rencontrer un autre homme. Ces quelques mots l’interpella, mais il garda le silence sur ce point, se promettant, malgré tout, de revenir sur le sujet lorsqu’ils seraient seuls. « D’accord » fut donc sa seule réponse avant d’avouer qu’il aimait l’idée que ça soit évident, qu’on le lui fasse remarquer. Caleb s’était alors attendu à une prise de panique chez son amante, mais il n’en fut rien. Au contraire, Judy se montra douce et compréhensive et hocha lentement la tête face à l’explication surprenante et pragmatique de cette dernière. Finalement, les gens voyaient que ce qu’ils voulaient voir. C’était synthétique, mais c’était la signification de ce que voulait dire la jolie rousse « Tu as sûrement raison » répliqua-t-il tout en réfléchissant aux propos de cette dernière. C’était souvent le cas. Judy plantait une graine dans l’esprit de Caleb, parfois sans le vouloir, et lui, prenait le temps de la réflexion. Après tout, ils ne percevaient pas la relation à deux de la même manière. Ils n’avaient pas la même vision de l’amour non plus. C’était pour cela qu’entre eux deux, c’était et ne serait qu’une belle amitié.

Il se mit à rire doucement, presque timidement, un peu dans l’ambiance du moment et rétorqua « Une clause orale alors ». Peu importe la manière dont elle rencontrerait cet homme, Caleb n’encaisserait jamais le moindre chèque de la part de Judy. Parce qu’elle n’était pas une cliente habituelle, tout simplement. De toute manière, le beau brun décida de mettre fin à la conversation pour le moment et d’en reparler lorsqu’ils seraient seuls. Il ne connaissait que trop bien sa famille pour savoir qu’ils étaient capable d’avoir l’oreille contre la porte de la cuisine. Il remarqua le regard vacillant de son amante et se mit à sourire, soufflant un « J’en ai très envie aussi » comme si c’était un secret, et résista à la tentation pour prendre les assiettes et apporter le dessert à sa famille. Au bout de deux minutes, il se releva pour ramener l’album-photo de la famille. Son corps presque blottit contre celui de Judy, il lui montra les différentes photos d’enfance et rétorqua un « Je pensais que tu étais née avec ce sourire magnifique ! » avant d’entendre un « Tu ne m’as jamais dit ça ! » « Normal, je te connais depuis la naissance et je me souviens de ta tête avant l’appareil dentaire » et fit une grimace. Il eut donc le droit à la serviette de Trish dans le visage, ce qui le fit rire et se reconcentra sur Judy et les photos. Il apprécia son exclamation avec tendre et répondit un « Merci… Je les détestais ! ».

Le dîner fut une réelle réussite et Judy avait fait l’unanimité auprès de ses proches. Sa mère l’avait adoré et il savait d’ores et déjà que le sujet de la jolie rousse allait régulièrement revenir sur la table. Son père avait été charmé et sa sœur n’avait pas changé d’avis sur cette dernière. Ils prirent place dans le taxi et après un regard pour Judy, il donna sa propre adresse. Ce n’était pas souvent qu’ils passaient la nuit à son appartement, alors il en fut quelque peu surpris, mais apprécia l’idée « Il n’y a pas que le dîner qu’elle a adoré. Toi aussi » et acquiesça « J’étais vraiment ravi de la soirée et que tu sois là ». Durant le trajet, il jeta quelques regards à la jeune femme qui bailla à maintes reprises et sourit avec douceur. En sortant de l’habitacle, il glissa son bras autour de la taille de Judy, imitant ainsi cette dernière et marchèrent ainsi jusqu’à son immeuble. Il ne put retenir un rire en entendant le programme de la jolie rousse « Eh bien ! On dirait que la parole de la femme se libère » et ajouta « J’aime beaucoup ce programme ». Sauf qu’en arrivant, Caleb n’avait plus du tout envie de boire un café. Il ferma la porte d’entrée et attira la jolie rousse à lui pour l’embrasser avec envie et souffla entre deux baisers « On s’en fout du café… J’ai juste envie de toi ». Avec difficulté, il délaissa les lèvres de Judy pour glisser sa main dans la sienne et monter les marches jusqu’à la mezzanine. Une fois en haut, il jeta ses chaussures, sa veste et retira son t-shirt avant de venir blottir son corps contre celui de son amante, l’embrassant à pleine bouche, ses mains s’attelant à lui retirer ses vêtements un par un. Lorsqu’elle fut enfin nue sur le lit, ce dernier souffla un « Tu es fatiguée, alors je vais prendre soin de toi » et s’attarda dans son cou, puis descendit jusqu’à sa féminité. Elle avait appris à aimer ce genre de préliminaire avec lui et il aimait tout autant l’entendre gémir au contact de sa langue. Il remonta ensuite jusqu’à ses lèvres dont il prit possession et ondula le bassin tout contre sa féminité, et retira son boxer pour la faire sienne. Ses jambes autour de sa taille, il ondula langoureusement le bassin sans la quitter des yeux, et se redressa sur ses genoux, posant les jambes de Judy sur ses épaules, puis accentua ses coups de reins comme elle aimait, augmentant en intensité jusqu’à l’orgasme. Il laissa retomber les jambes de son amante et s’allongea sur le corps nu de cette dernière, à bout de souffle et comblé, sa tête entre ses seins qu’il embrassa avant de rétorquer un « Judy… ». Il se laissa glisser sur le côté et posa ses yeux sur elle « Tu veux venir… » en tendant le bras pour qu’elle vienne se blottir contre lui.

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