Rien n'est perdu tant que tout n'est pas perdu.... (Charlissa) /!\+18
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Préférence de jeu : Les deux
Clionestra
Sam 30 Sep - 23:23
Yuki Kurokawa
J'ai 21 ans et je vis à Tokyo, Japon. Dans la vie, je suis une poupée cassé et je m'en sors mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis condamnée à mourir et je le vis plutôt mal. → Greffe du foie à 5 ans → Greffe d'un rein à 8 ans → Greffe de l'autre rein à 11 ans → Ablation d'une partie de l'intestin et de l'estomac à 16 ans → Doit avoir une greffe de poumon d'ici un à deux ans. → Adore les jeux vidéos, seuls activités quand on est coincé à l'hôpital tous les ans. → Aime chanter. → Se pense très moche et incapable d'être trouvé jolie par quiconque.
Elle n’a pas envie de répondre. Elle a envie de mourir. Une demi-heure, deux heures, dix jours plus tard, elle ne saurait toujours pas quoi dire. Elle l’avait prévenu pourtant qu’elle ne pourrait pas le voir pendant une semaine … La raison de ses saignements, dont elle se fou complètement, c’était ça. Parce qu’elle ne partait pas de Sae pour se cacher ici. Parce qu’elle était parti de chez elle, pour rejoindre un homme qui s’en fiche (ou devrait s’en ficher). Elle ne répond pas et se laisse faire, comme une poupée de chiffon. Une poupée qu’on ne voudrait même pas si on lui offre. Parce qu’on sait qu’elle va se briser. Mais Kaki, il ne la brise pas lui. Il recolle des morceaux sans le savoir en utilisant son espèce d’aura mystique qu’elle ne comprend pas. Comment un pouvait autant donner envie de pleurer, de se faire embrasser et se faire câliner en même temps ? Elle voit la colère dans ses yeux. Elle renifle. Parce qu’elle avait pleuré sous l’oreiller, tout de même, un peu, avant qu’elle ne pense au fait qu’elle était trop fatiguée pour ça.
- Demain, ça aurait fait une semaine, qu’elle commence en se laissant faire mais s’assit en tailleur, mais je n’avais pas envie d’attendre demain pour te voir.
Depuis qu’elle l’avait vu à l’hôpital, son envie de le voir avait été quadruplée, si ce n’est plus. Elle avait besoin de le voir. Elle avait besoin de le sentir. Elle avait besoin qu’il lui fasse des bisous magiques, comme sur son cou, pour oublier la douleur de n’être qu’une partie d’une femme. Elle n’était même pas complètement une femme, à ses yeux. Elle était qu’une Barbie raté à qui on change des pièces de temps en temps pour continuer de jouer avec. Jusqu’au moment où changer de pièce ne suffira plus.
- J’ai dû sauter de la terrasse. Y avait un buisson en dessous.
Elle était totalement à l’ouest pour les questions. Elle ne voyait pas de quoi il pourrait parler d’autre que de ses blessures… Qui était pour elle évidente. C’était la première fois qu’elle faisait quelque chose d’aussi stupide. Sauter du haut d’une terrasse pour faire le mur, sans que ses parents ne le remarque. Partir sans préparation, la moindre, juste pour voir un gars qui ne lui avait même pas parlé quand il l’avait vu à l’hôpital. Elle aurait pu attendre le lendemain. Elle aurait du. Mais elle n’aurait pas pu. Alors que Kaki s’approche, elle plaque son front contre lui pour soutenir le nouveau flot de sentiments divers et variés qui l’assiègent. Il sentait bon, malgré la sueur et l’alcool.
- Désolée, souffla-t-elle, j’ai dû te mettre mal à l’aise à l’hôpital. Je ne savais pas que Sara t’entendait, toi. Sinon, je me serais caché pour t’éviter de me voir.
Comme une lâche. Parce que maintenant, il sait. Est-ce que Sara lui a parlé de ses poumons ? Surtout que ses poumons c’était la dernière trouvaille de son corps pour la faire chier après une longue liste. Elle soupire. Elle souffle. Elle allait se faire tuer si ses parents la trouvent dehors maintenant. Ils ne pourront pas savoir où elle est. Sae ne balancera jamais … mais le temps de recherche serait proportionnel à l’enfermement qu’elle subirait par la suite. Parce que ses parents voudraient la mettre dans un papier bulle… et il lui avait déjà fallu des années pour qu’ils autorisent le jour de sortie chez Sae sans eux pour les surveiller.
- J’attendais demain avec impatience, tu sais. Mais après t’avoir vue, j’avais besoin de m’excuser. Et de te voir. J’aurais pu demander à ta sœur mais je ne trouvais pas de bonne raison pour lui demander de te transmettre un message… Ni même pour demander ton véritable prénom, qu’elle souffle la dernière phrase.
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HATAKE
Dim 1 Oct - 1:34
eren hansawa
J'ai 23 ans et je vis à Tokyo (Japon). Dans la vie, je suis prostitué et je m'en sors aussi bien que possible.
Chaque personne qu'on s'autorise à aimer, est quelqu'un qu'on prend le risque de perdre.
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Bien entendu la jeune femme ne répond pas à sa question. De toute façon, comment le pourrait-elle ? Il est archi flou dans sa formulation, et en plus de ça, ils sont en train de “parler” des ses égratignures. Ou en tout cas, c’est la dessus qu’est fixé leur attention à tous les deux.
“C’est malin.”
L’hôpital qui se fout de la charité. Monsieur “je joue au singe dans les échafaudages quand les ouvriers arrêtent de travailler” … M’enfin lui, c’est lui. C’est pas une donzelle en sucre issue des beaux quartiers, avec un problème pulmonaire, entre autres choses.
“Sauter d’une terrasse ça s’apprend, ça se fait pas comme ça.”
Non c’est faux !! Il n’est absolument pas en train de lui proposer des cours. Nope ! Jamais de la vie. T’façon, il n'est même pas sûr qu’elle soit capable de courir la donzelle. Et honnêtement, après ce qu’il a appris de sa sœur, il n’est même pas bien certain qu’elle soit capable d’avoir des relations sexuelles. En tout cas, il a compris ce qu’elle fout là. Enfin il est à peu près certain d’avoir compris. Eren soupire doucement en pensant à tout cela. En terminant de nettoyer les plaies du bras de la jeune femme. Collant des sparadraps là où les écorchures sont trop importantes pour être laissées à l’air libre. Et puis sans un mot, il abandonne ce bras pour s’attaquer à l’autre. Et puis y aura les jambes à faire aussi après. Tsss. Je vous jure. Mais il n’a pas le temps de commencer à nettoyer ce deuxième bras que Yuki pose son front contre lui, le faisant légèrement sursauter. Machinalement, ses doigts viennent caresser délicatement les cheveux de la jeune femme, comme il a l’habitude de la faire avec Sara. Mais ses sourcils se fronce quand il l’entend parler. Il ne comprend pas bien ce qu’elle dit. Il ne comprend pas bien tout avec la jeune femme de toute façon.
“Eren.”
Qu’il répond avant toute chose. Il ne sait pas bien pourquoi c’est ce qui franchit ses lèvres en premier, mais il donne naturellement son vrai prénom à la jeune femme. Décidément à rien de se faire virer. Et de ne plus pouvoir financer le traitement de sa sœur. Sauf que non. Il a, pour une raison pas bien définie encore, confiance en la jeune femme. Elle n’ira rien dire, rien rapporter. Peut-être parce qu’elle a dit qu’elle était impatiente de le voir, et aussi parce qu’elle semblait vouloir s'excuser plusieurs fois de l’avoir croisé à l'hôpital.
“T’as pas à t’excuser. T’as rien fait de mal. Enfin pour l'hôpital.”
Ouais. Pour l'hôpital. Il soupire encore. Toujours en colère, mais l'énervement ce calme quand même et il repousse doucement la jeune femme pour pouvoir récupérer son autre bras et continuer de la soigner.
“Faudra arrêter les cadeaux par contre. On est pas des petits chiens. L’autre coup c’était marrant. Mais les fringues pour Sara … La bouffe. C’est bon, on n’est pas des mendiants non plus.”
Ah oui, tiens, ça aussi c’était un truc qui l’agaçait un peu. Certes, gagner des trucs, extorquer des trucs même à la limite, ça lui plaît encore assez. Par contre, qu’on lui paye des trucs comme ça, gratos … Disons qu’il a encore un minimum de dignité pour ne pas franchir cette limite. Et ne pas se sentir un poil humilié par tout ça. Donc il a toujours le regard sombre et les sourcils froncés, Eren, quand il remonte enfin son regard vers Yuki qu’il n’a pas regardé dans les yeux depuis qu’il est entré dans la pièce.
“Pourquoi tu voulais me voir ?”
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Clionestra
Dim 22 Oct - 20:47
Yuki Kurokawa
J'ai 21 ans et je vis à Tokyo, Japon. Dans la vie, je suis une poupée cassé et je m'en sors mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis condamnée à mourir et je le vis plutôt mal. → Greffe du foie à 5 ans → Greffe d'un rein à 8 ans → Greffe de l'autre rein à 11 ans → Ablation d'une partie de l'intestin et de l'estomac à 16 ans → Doit avoir une greffe de poumon d'ici un à deux ans. → Adore les jeux vidéos, seuls activités quand on est coincé à l'hôpital tous les ans. → Aime chanter. → Se pense très moche et incapable d'être trouvé jolie par quiconque.
Elle hausse les épaules, la blonde. Elle hausse simplement les épaules d’un air de dire, « rien à battre ». Cela s’apprends peut-être, mais elle ne pouvait pas l’apprendre, elle. La meilleure méthode, dans son cas de petite poupée en sucre, c’était clairement de le faire à l’aveuglette. D’un coup. Comme ça. Sans réfléchir. D’ailleurs, c’était exactement ce qu’elle avait fait. Elle avait sauté à l’aveuglette. Elle avait sauté et avait atterri en décidant que la conscience c’était pour plus tard.
- Je n’avais pas le temps d’apprendre, expliqua-t-elle, très terre à terre. Sinon, il aurait fallu attendre demain.
Parce que demain, elle aurait été chez Sae. Et elle aurait pu venir sans trop de soucis. Sans tout ça. Demain. Pas aujourd’hui. Elle avait vraiment dû péter un pile quelque part entre le début de la semaine et maintenant. Elle paie un prostitué pour lui faire des bisous, et plus encore, et elle saute d’un étage. Ouais. Elle avait vraiment dû craquer son slip… Elle sourit doucement quand elle apprend son prénom. « Eren ». Elle le répète, juste pour elle-même. Eren. Elle aimait bien Eren. Ouais. Il lui faisait du bien, Eren. Plus que quiconque. Après une nuit, il lui avait appris à avoir envie de se faire embrasser… Mais Yuki était le genre de personne qui ne voulait qu’un baiser, d’une personne, et c’était de lui. Eren. Bizarre. Mignon. Ouais. Bizarrement mignon comme prénom. Elle aime bien. Elle l’écoute, elle a envie de s’excuser encore avant de se taire.
- Je ne m’excuserais pas pour les cadeaux, dit-elle d’un ton clair, je ne pense pas que vous êtes des chiens ou des mendiants. J’en ai besoin. De voir Sara sourire. De me dire qu’elle ne regarderait plus jamais des chaussures d’une inconnue avec envie, ou qu’elle arrêtera de se poser des questions sur comment tu trouves tout l’argent pour son traitement. Si elle sait d’où ça vient, de moi, alors elle ne se sentira pas coupable. Et j’ai de quoi lui offrir. J’ai besoin de ça, d’offrir ce que je pourrais peut-être jamais utiliser pour moi.
Elle le regarde. Elle le regarde alors qu’il la regarde. Et elle a envie de pleurer. Pourquoi voulait-elle le voir ? Parce qu’il lui faisait du bien. Parce qu’elle se sentait mieux dans ses bras que n’importe où ailleurs. Parce qu’elle se sentait vibrer. Elle ne sait pas comment répondre à la question.
- Je voulais m’excuser, d’être malade. Et tu me manquais. Comme je n’ai fais que penser à toi, à nous, j’ai passé une bonne semaine malgré les douleurs et la peur … mais quand je t’ai vue à l’hôpital, je savais que ça allait être fini. Comme toujours. Parce que je suis une poupée cassée. Que je suis hideuse malgré que tu aies vu quelque chose de beau en moi la semaine dernière. Je suis hideuse de partout, et tu l’a vue alors que j’essayais de te le cacher pour ne pas te faire fuir trop vite. J’aime bien être avec toi. Je n’avais pas l’impression … d’être dans le monde réel. Et j’avais tellement hâte de revenir avec toi, que tu m’embrasses ou me caresse, ou même juste jouer aux jeux vidéos.
Elle tremble. Elle se dégoute. Elle se dégoute comme elle avait vue la peur dans les yeux de Sara. L’idée que son frère fasse quelque chose de mauvais pour lui. Elle se dégoute de lui faire ça. Alors, elle pleure, Yuki. Incapable de s’arrêter alors qu’elle aurait simplement voulu continuer à avoir un peu de bonheur avant qu’Eren (Merde, elle aime vraiment ce prénom) comprenne qu’elle était une espèce de monstre de Frankenstein affreux. Elle porte sa main à sa bouche, réalise ce qu’elle avait fait. Non, elle ne considère pas ses cadeaux comme une façon de les traiter de mendiants. Elle avait fait pire. Elle avait utilisé Eren comme une prostituée sans se faire du bien. Elle avait sa main devant sa bouche alors qu’une déferlante de larmes inonda ses joues.
- Je suis tellement tellement désolée, je n’aurais pas du venir du tout ? Je suis monstrueuse en plus d’être hideuse. Je ne voulais pas. Je voulais simplement t’avoir pour moi. Je suis désolée, désolée.
Elle avait mal partout mais était prête à se lever pour partir en courant si elle le pouvait.
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HATAKE
Dim 26 Nov - 17:06
eren hansawa
J'ai 23 ans et je vis à Tokyo (Japon). Dans la vie, je suis prostitué et je m'en sors aussi bien que possible.
Chaque personne qu'on s'autorise à aimer, est quelqu'un qu'on prend le risque de perdre.
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Eren écoute les raisons de ses nombreux “dons” à la famille Hansawa en silence. Il peut comprendre. Il peut comprendre ses raisons. De pas être inutile, surtout. C'était bien pour ça qu'il était à cet endroit précis, là maintenant. Parce que ne rien faire en regardant sa mère se débattre avec le financement du traitement de sa sœur … être inutile … ça avait été impossible pour lui. Donc il peut comprendre. Mais il n'aime quand même pas être là cible de donation de la demoiselle.
“File ton fric à des œuvres caritatives, alors.”
Qu'il grogne en terminant de soigner son autre bras. Vient ensuite la réponse à la question qu'il lui a posé. Une très longue réponse. Avec plein de points qui ne lui plaisent pas du tout. Et puis avec des larmes qui lui plaisent encore moins. Le jeune homme reste un moment con, à la regarder pleurer, et à se repasser ce qu'elle vient de lui dire. Ouais. Nan. Tout ça ne lui plait pas beaucoup. “Hé … Yuki. Stoppe. Arrête de pleurer.”
Eren fronce les sourcils, plus de désarroi que de colère cette fois. Il n'a aucune idée de comment réconforter quelqu'un. De comment faire pour qu'une fille arrête de pleurer. Surtout en bonne partie à cause de lui. Même si c'est pas … directement de sa faute non plus. Il n'a rien fait. Enfin c'est un con, certes. Mais il est pas trop trop con avec elle (il croit). Bref. Faut trouver comment faire pour qu'elle arrête de pleurer. Et puis il a une idée. Sans doute stupide. Mais ça, il sait faire.
Le jeune homme attrape d'autorité les mains de Yuki, et la fait se relever. Il l'emmène s'asseoir sur le lit, s'installe à côté d'elle, glisse une main contre la joue de la jeune femme en retirant les mèches de cheveux qui cachent son visage. Il essuie ses larmes et sa morve avec ses pouces sans la moindre gêne et puis il l'embrasse. Il l'embrasse, ses lèvres d'abord, puis très vite sa langue, pour la choquer assez pour qu'elle arrête de pleurer. Il lui mordille même la lèvre inférieure, mais il se peut que ce soit pour son plaisir personnel et par simple esprit de vengeance, erm. Petit con, va. Une fois qu'il est certain qu'elle a arrêté de sangloter comme si elle avait fait la plus grosse bêtise de l'histoire de l'humanité, Eren la lâche, et retourne par terre. Assis à ses pieds, il récupère le nécessaire de premier secours.
“Écoute-moi bien, petite tête.”
Qu'il commence, en baissant l'une des chaussettes de la jeune femme et remontant légèrement sa jupe pour pouvoir la soigner correctement.
“Déjà. Le miroir de la salle de bain de l'autre coup était un miroir sans teint. Alors je t'avais vu avec ta seringue. Et puis t'as les mêmes marques que Sara. En pire. Alors je sais depuis le début que tu es malade.”
Petite mise au point un poil brutale avant qu'il ne passe à la suite de ce qu'il a à dire. Eren relève les yeux vers la jeune femme et lui adresse un petit sourire un peu maladroit. Il essaye d'avoir l'air rassurant, mais ce n'est pas son fort. Alors il lui pince plutôt le mollet, “affectueusement”, et puis continue. Autant ses soins que ce qu'il a à lui dire.
“Ensuite … on n’est pas un couple. On est une transaction. Alors c'est fini que si tu arrêtes de payer. Et j'ai pas à avoir d'avis sur toi. Alors si tu me veux que pour toi, tu m'as que pour toi. … Et puis de toute façon, même si je suis pas censé avoir d'avis … tu ne me dégoûtes pas du tout, Yuki. C'est clair ?”
Il relève brièvement les yeux juste pour lui adresser un regard entendu. Il n'en a clairement rien à foutre de sa maladie. En tout cas, d'un point de vue physique. Ce n'est vraiment pas ça qui va le dégoûter si elle lui demande à nouveau de la toucher. Peut-être qu'il va s'inquiéter de la capacité de son corps à tenir le coup, par contre. Erm. Mais ça, c'est une autre histoire. Eren soupire tout seul en pensant à ça et au dernier point qu'il doit aborder pour cette petite … mise au clair.
“Et enfin … on est pas un couple. Ouais encore. Mais ça veut dire aussi que … comme tu dis, c'est pas le monde réel. Je comprends que tu puisses avoir hâte de … des trucs physiques que je peux t'apporter. Mais tombe pas amoureuse de moi. Jdis pas ça parce que je suis irrésistible comme type. Mais parce que ça arrive. Et de ce que tu dis … t'as l'air… d'avoir un peu oublier que je suis une pute. Et que c'est normal que tu me traites comme ça. Et ça l'est pas que tu ais hâte de me revoir.”
Eren soupire à nouveau et il relève la tête vers la blonde. Jambe gauche soignée. Plus que la droite. Il recule et s'appuie sur ses mains, posées derrière lui, sur le sol. Il regarde Yuki avec ses sourcils un peu froncés. Elle dit des trucs qu'on est pas censé dire à un gigolo. Et elle s'en veut pour des trucs qui sont … bah parfaitement normal dans le contexte. Alors bon, au mieux, elle est naïve, au pire, elle est amoureuse de lui. Ou un truc qui y ressemble. Alors il préfère faire cette petite mise au point tout de suite.
“Allez … Plus qu'une jambe …”
Il se redresse, reprend des compresses et du désinfectant pour finir de soigner les fines guiboles de la blonde.
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Clionestra
Lun 27 Nov - 17:51
Yuki Kurokawa
J'ai 21 ans et je vis à Tokyo, Japon. Dans la vie, je suis une poupée cassé et je m'en sors mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis condamnée à mourir et je le vis plutôt mal. → Greffe du foie à 5 ans → Greffe d'un rein à 8 ans → Greffe de l'autre rein à 11 ans → Ablation d'une partie de l'intestin et de l'estomac à 16 ans → Doit avoir une greffe de poumon d'ici un à deux ans. → Adore les jeux vidéos, seuls activités quand on est coincé à l'hôpital tous les ans. → Aime chanter. → Se pense très moche et incapable d'être trouvé jolie par quiconque.
Elle secoue la tête doucement. Elle ne voulait pas donner son argent à des œuvres… parce que la seule chose qu’elle pouvait choisir c’était de faire elle-même les choses. Elle voulait donner comme elle l’entend, à ceux qu’elle veut. Elle ne voulait pas donner à une autre personne qu’à ceux qu’elle pouvait toucher. Egoïstement, elle voulait qu’on sache que ça venait d’elle, qu’on dise être heureux de l’avoir elle. Alors, elle secoue la tête et le regarde.
- Cela ne serait pas pareil. Je veux pouvoir choisir. Donner pour voir le sourire. Et j’ai aimé le sourire de ta sœur. J’aurais voulu lui donner beaucoup plus, juste pour avoir le droit à un petit sourire de plus.
Parce qu’elle voyait souvent des larmes. Plus des larmes qu’autre chose d’ailleurs. Même ses parents, qui n’étaient pourtant pas connu pour s’épancher en émotion, avaient plus l’habitude de la regarder avec un voile de triste qu’un véritable sourire. Sara avait été vraie, pleine de vie et simplement heureuse dans son malheur. Elle râlait contre son frère comme si cela l’importait vraiment de râler, elle avait été simplement une personne normal en train de parler à une autre. Et Yuki avait ressenti son cœur vibré encore. Elle s’était sentit bien. C’était elle, et Eren aussi, qu’elle voulait combler. Tout comme elle faisait des centaines de cadeaux à Sae qui lui demander d’arrêter parce qu’elle n’avait plus de place. Elle ne pouvait pas s’en empêcher. Et puis, elle pleure. Parce qu’elle voudrait aussi qu’on récupère ce qu’on lui a donné. Tous ses organes qu’on lui avait mit en elle dans l’espoir de la sauver mais que ça ne change rien. Combien de personne était morte, ou aurait pu vivre, si ça n’aurait pas été donné à Yuki ? Elle se pose toujours la question. Elle se perturbe à se demander tout ça. Elle ne voulait pas être la cause de malheur alors quand elle peut être la cause d’un bonheur, elle ne regarde pas la dépense, elle peut se le permettre, et elle donne, point.
Elle pense à tout ça, Yuki. Elle pense à ses morts, à sa mort, elle pense au fait qu’elle est hideuse de l’extérieur, mais que l’intérieur n’était pas mieux. Elle pense qu’elle devrait juste abandonner mais qu’elle lutte à chaque fois pour vivre. Elle pense à Eren qu’elle utilise alors que ça doit aussi le faire souffrir. Elle pense à tout ça. Cela devient un vrai raz-de-marée à l’intérieur de sa tête. Alors elle ne remarque même pas qu’Eren s’approche d’elle. Elle ne le sent même pas tout de suite alors qu’il l’embrasse. Elle n’avait même pas sentit bouger. Elle se laisse faire. Ressent sa langue contre la sienne et timidement, elle se laisse faire. Elle lâche un terrible soupir de bonheur alors qu’un hoquet de tristesse se faisait entendre en même temps. Et puis, elle finit par l’écouter. Attentivement.
Sauf qu’elle n’aime pas ce qu’il dit … et il ne sait même pas pourquoi elle n’aime pas ce qu’il dit. Il ne dit que la vérité cru et sans adage. Elle lâche un regard vers le miroir … mais comme la lumière est éteinte de l’autre côté, elle ne remarque pas ce qu’il dit. Mais elle le croit. Mais elle se sent encore plus moche. Elle se sent mal d’être malade. Ce qui était stupide puisqu’elle ne l’avait pas choisi. Qui pourrait choisir d’être malade quand on pourrait être en pleine forme, hein ? Pas elle. Elle repose sur lui un regard embrumé de larmes mais rien ne coule, qu’il profite. Elle l’écoute mais ne dit rien, accepte les mots et les analyses comme elle le peut. Est-ce qu’elle était amoureuse ? Elle n’avait jamais eu la bêtise d’être amoureuse. Jamais. Il faudrait être stupide pour tomber amoureuse alors qu’elle allait mourir. Elle réfléchit sans rien dire, elle analyse, elle lui tend son autre jambe par réflexe et regarde les marques sur son corps. D’un coup, elle sent un électrochoc. Qu’elle soit amoureuse ou pas, elle s’en fiche, elle va mourir. C’était maintenant une certitude, elle va crever. Ses poumons vont se remplir de sang, sans qu’elle puisse rien faire contre ça, et elle va se noyer dans son propre corps. Qu’elle soit amoureuse ou pas, ça n’était pas le problème. Elle, elle va les laisser dans leur tristesse pendant qu’elle se fera bouffer par des vers, enterré et morte. D’un coup, elle fait tomber Eren sur le cul et elle se met à califourchon sur lui. Elle lui attrape son visage et elle le regarde. Elle se fou d’être pleine de sang ou que rien ne soit logique.
- D’accord, fit-elle en s’approchant de lui avant de murmurer, Eren, je vais te payer pour que tu sois à moi. Tous les jours, même si je ne viens pas ou toi, et cela jusqu’à ma mort.
Elle était très sérieuse. Il ne voulait pas qu’elle lui donne son argent pour rien ? Bien. Elle ne le donnerait pas pour rien, il serait son exclusivité. Elle lui donnerait assez d’argent grâce à ça pour ne plus avoir à se prostituer, sauf s’il le souhaite, et en plus il pourrait se détendre parce que ça ne sera pas tous les jours. Elle s’assit sur lui et continue de le regarder.
- Mais je ne suis pas d’accord sur certains points. Tu es la seule personne qui pense honnêtement que je ne la dégoute pas. Tu es la seule personne qui peut m’embrasser le cou, qui m’a embrassé le cou. Tu sais comment on m’appelle depuis le début de ma vie ? « La poupée cassée ». Parce qu’une fois que l’on voit mon corps et les marques, on se dit que je ne suis jolie que de visage.
Elle pleure à nouveau, elle ne peut pas s’en empêcher … parce qu’elle se souvient de toutes les fois où elle avait voulu être ami A-M-I avec quelqu’un et qu’on la refusait de peur qu’elle ne meurt. De toutes les fois où elle n’avait pas le droit de faire des choses, de peur qu’elle ne se retrouve mal. Elle se souvient de tout ça. Et de la souffrance de n’avoir le droit à rien. Elle regarde la chambre d’hôtel rapidement. Elle venait de prendre une décision.
- Je ne partirais pas d’ici. Je n’irais plus à l’hôpital, et je payerai ton exclusivité. Si je rentre, mes parents m’empêcheront de partir, et j’en ai marre. J’en peux plus d’être qu’une poupée cassée qu’on a peur d’abimer encore. J’en ai marre que des gens doivent mourir pour remplacer des pièces de mon corps. J’en ai marre.
Alors elle s’approche encore un peu plus de son visage et le regarde avec un peu plus de passion.
- Si je décide de tomber amoureuse de toi, Kaki, alors ne fait pas la bêtise retour. Parce que moi, je vais mourir, et toi tu resteras mais tu peux me croire quand je dis que je ferais en sorte que ta vie après moi ne soit plus jamais pareil. Alors je me fou de mélanger des choses qui ne devraient pas l’être. Je me fou de tout. Je ne veux que toi.
C’était tant une menace qu’une promesse. Et avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit, la jeune femme qui n’avait jamais embrassé personne, qui ne savait même pas comment on faisait l’amour, attrapa ses lèvres et l’embrassa. C’était plus timide que ce que sa tirade avait donné, mais c’était tout ce qu’elle savait faire. Elle finit par soupirer en collant sa tête sur son épaule… et quelques larmes coulèrent encore.
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HATAKE
Dim 17 Déc - 21:20
eren hansawa
J'ai 23 ans et je vis à Tokyo (Japon). Dans la vie, je suis prostitué et je m'en sors aussi bien que possible.
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Eren se fait surprendre par l'attaque de Yuki. Enfin si on peut parle d'attaque. Mais il se retrouve quand même sur le cul, sur les coudes avec une blonde déterminée sur lui. Alors, ouais, ça peut presque s'apparenter à une attaque. Cette soudaine extrême détermination qu'elle a à le “posséder” le fait frissonner, même s'il n'en dit rien, et se contente de serrer les lèvres en l'écoutant avec attention. De toute façon … il n'a pas trop le choix. Il la laisse parler, il la laisse pleurer, il la laisse dire à voix haute des choses qu'elle n'avait très certainement encore jamais oralisées. Il pose juste une main juste au dessus du genou de la jeune femme comme pour lui apporter son soutien et la réconforter. Même s'il va encore devoir devoir la contredire parce qu'il y a des trucs qui lui plaisent moyen dans ce qu'elle dit. Mais ça, il n'a pas le temps de le faire, se retrouvant avec les lèvres de Yuki contre les siennes. Eren répond à son baiser avec douceur sans la quitter des yeux. Il doit bien avouer que … cette fille l'étonne. Et quand elle lui demande de la prendre dans les bras, il le fait. Il la serre contre lui jusqu'à ce qu'il sente qu'elle se soit assez calmée pour prendre la parole.
“Je veux plus te voir si tu te soignes plus.”
C'est… une condition non négociable. Eren pose ses mains sur les épaules de la jeune femme pour la faire se reculer et la regarder. Bien droit dans les yeux. Il se doute que ça doit pas être drôle. Son traitement. Mais même.
“Je veux pas être responsable d'une façon ou d'une autre de … ta mort.”
Puisqu'elle en parle, il suppose qu'il peut en parler aussi. Mais clairement. Une fille qui veut tout abandonner y compris sa propre trop fragile santé, juste pour être avec lui, c'est non. Ok. C'est pas pour lui. LUI, qu'elle fait ça, c'est pour ce qu'il représente et ce qu'il peut lui apporter. Ok. Mais elle a quand même dit qu'elle le veut que pour elle. Alors ça le concerne quand même. Et non, il veut pas qu'elle clasme à cause d'un manque de traitements parce qu'elle leur a préféré sa compagnie. Clairement non. Alors il fronce les sourcils pour appuyer ses propos avant de soupirer et de baisser ses mains pour les faire reposer sur les hanches de Yuki. Juste parce qu'elles vont bien là. Et puis qu'elles doivent lui tenir un peu chaud et la réconforter, non ? Et puis Eren continue :
“Et reste pas ici. Ça craint les love hotels. Tu veux y faire quoi ? Les karaokés et les jeux de fléchettes, on a vite fait d'en faire le tour. Crois-moi.”
Il réfléchit à ce qu'il pourrait proposer comme alternative. Parce que ce qu'ils sont en train de faire, là tout de suite, ce sont des négociations. Ils sont en train d'établir une sorte de contrat entre eux. Ou ça y ressemble beaucoup. Ouais. C'est ce qu'ils vont faire, tiens. Eren prend la soudain décision qu'une fois la donzelle descendu de sa personne, et dès qu'il aura cinq minutes, il rédigera tout ça. Pour mettre les choses au clair. Il a besoin de mettre les choses au clair. Pour qu'elle ne temps pas amoureuse de lui. Et inversement. Il soupire :
“Je ne tomberai pas amoureux de toi.”
Qu'il affirme. En se disant que ça ne doit pas être si dur que ça. Elle est mignonne, certes. Son histoire le touche, certes. Et en un sens, il m'aime bien, sinon, il l'aurait envoyé se faire foutre. Mais. Ça ne doit pas être si difficile que ça de ne pas tomber amoureux de quelqu'un. Eren glisse ses bras aux creux des reins de la blonde pour la tirer contre lui, la rapprocher de sorte qu'elle le surplombe un peu, ses mèches blondes encadrant son visage. Il la regarde intensément, un instant, leurs souffles se mêlant à cause de leur proximité. Il sent l'alcool du sien se mêler au parfum de la demoiselle. Et c'est elle qui se sent dégoutante hein ? Tout ça à cause de quelques cicatrices ? Tssss …
“Je ne tombe pas amoureux de toi. Tu tombes amoureuse de moi si tu veux. Tu continues de faire ce que tu as à faire pour survivre. On te trouve un endroit mieux que ça où vivre. Et je suis à toi. Ça te va ?”
Il demande son accord concernant les termes de ce contrat. Il approche ses lèvres de celles de Yuki sans les toucher pour autant. Attendant qu'elle accepte.
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Clionestra
Ven 22 Déc - 21:00
Yuki Kurokawa
J'ai 21 ans et je vis à Tokyo, Japon. Dans la vie, je suis une poupée cassé et je m'en sors mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis condamnée à mourir et je le vis plutôt mal. → Greffe du foie à 5 ans → Greffe d'un rein à 8 ans → Greffe de l'autre rein à 11 ans → Ablation d'une partie de l'intestin et de l'estomac à 16 ans → Doit avoir une greffe de poumon d'ici un à deux ans. → Adore les jeux vidéos, seuls activités quand on est coincé à l'hôpital tous les ans. → Aime chanter. → Se pense très moche et incapable d'être trouvé jolie par quiconque.
Elle s’était excusée pour ordonner un câlin. Elle n’aimait pas ordonné les choses … mais si Eren avait eu dans l’idée de lui refuser, l’ordre lui aurait fait comprendre qu’elle en avait besoin pour respirer. Alors elle se met dans ses bras, profites de sa chaleur et sa force. Elle aimait bien être ainsi contre lui… Elle se sentait différente, plus forte, moins cassé, quand il la tient. Elle laisse échapper un hoquet de douleur psychologiquement avant de poser à nouveau son nez contre le sien pour le regarder.
- Pourquoi ? Que je me soigne ou pas, je vais mourir.
Et ça, elle le savait. Ce qu’elle faisait pour se soigner n’était que de la poudre aux yeux. C’était mettre un pansement Barbie sur une fissure de barrage. Un jour où l’autre, le pansement qui n’a servit à rien serait détruit par la force de la véritable blessure. Elle le regarde. Elle se dit alors qu’il voulait la garder plus pour pouvoir plus profiter de son argent … mais elle sait aussi que c’est faux. Et elle se rapproche une peu plus pour se mettre dans ses bras. C’était si bien d’être dans les bras d’une autre personne. C’était si bien de se sentir protéger et un peu aimé, au moins apprécié, au point qu’il veuille qu’elle vive. Elle se recule quand il la repousse mais elle ne voulait pas. Comme une enfant faisant un caprice. Et elle ne pouvait pas continuer à se faire soigner sans aller à l’hopital… et donc sans que ses parents ne la trouvent et l’enferment par la suite. Donc.
- Si je rentre chez moi, mes parents ne me laisseront plus sortir. Si je vais à l’hopital, ils vont me trouver et ça sera la même chose. Je serais enfermé chez moi, et crois-moi, on y fait vite le tour aussi….
Elle se fiche de passer sa journée à regarder le plafond, si elle peut ne pas rentrer chez elle. Elle se fiche de se cacher et de ne se retrouver nulle part. Elle avait un compte à la banque que ses parents ne connaissaient pas. Elle avait une vie à part de ses parents, mais pas à ce point. Si elle sort d’ici, après avoir sauté depuis la terrasse, ils l’enfermeront pour « son bien ». Elle ne peut pas leur en vouloir. Cela serait certainement la réaction de tous les parents. Elle lui sourit, doucement et tendrement quand il promet de ne pas tomber amoureux. Parce qu’elle, elle s’en fiche de tomber amoureuse et mourir. Voilà. Elle avait maintenant plus de sérénité en elle. Elle se sentait tout à fait bien. Elle se sentait apte à vivre la journée de demain. C’était son erreur depuis le début. Depuis la première fois, elle avait voulu vivre. Depuis le début, elle essayait de surmonter alors qu’elle aurait dû attendre simplement que ça n’arrive, sans effort. Elle repose son regard sur Kaki et sourit. Surtout quand il la rapproche. Quand elle se sent plutôt passable voir « belle » dans son regard. Quand elle se sent vivante et pas survivante dans ses bras.
- On trouve un endroit, et on demandera de l’aide à Sae. Elle fait des études pour être infirmière, elle pourra aller me chercher mes médocs en passant par l’hôpital sans que mes parents la voient faire. Je n’aurais plus qu’à me l’envoyer moi-même dans le corps.
Ainsi un peu plus « haut », elle se sentait puissante. Elle se sentait maîtresse de la situation. Alors quand il demande d’accord, elle se penche vers lui, attrape ses lèvres et l’embrasse à nouveau de cette manière si mignonne. Ouais. Elle est d’accord. Cela lui allait parfaitement de pouvoir vivre le peu de temps qui lui reste. Elle se recule encore pose son nez contre sa joue et rit un peu.
- Dit moi, mon cher Eren, est-ce que tu maudis le jour où tu m’as accepté comme cliente ? Je ne t’en voudrais pas d’être honnête. La personne que je veux, c’est toi. Avec ton naturel et tes opinions. Jusqu’à ce que la mort nous sépare. Alors dis-moi tout.
Elle rit encore un peu. Un rire bref mais honnête. Elle passe la main sur le visage d’Eren comme si elle touchait une œuvre d’art. Elle observe ses lèvres, ses joues, la pommette et le nez. Elle continue de suivre les contours avant de faire un nouveau sourire.
- C’est si simple de tomber amoureux de toi, avec ce que je sais déjà de toi. Je suis contente de ne plus avoir luté. Je me sens … libérée avec tout ça. Et beaucoup plus heureuse en plus ! Et c’est grâce à toi. Merci, merci Eren.
Elle continue de toucher son visage avec ses mains délicates. Elle remonte dans ses cheveux, et elle rit encore. Elle avait l’impression d’être dans un autre monde. Et l’idée d’être déjà morte et d’imaginer toute cette situation la prise à la gorge, laissant échapper un rire plus de cochon que de princesse … mais ça ne dérange pas tant que ça. Il serait là pour elle, jusqu’à sa mort. Payer, mais ça ne la dérange plus. Elle s’en fou. C’est tout.
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HATAKE
Mer 27 Déc - 23:23
eren hansawa
J'ai 23 ans et je vis à Tokyo (Japon). Dans la vie, je suis prostitué et je m'en sors aussi bien que possible.
Chaque personne qu'on s'autorise à aimer, est quelqu'un qu'on prend le risque de perdre.
Faceclaim : lee felix
Qu’elle se soigne ou pas, elle va mourir. Ouais. Certes. Mais il n’a pas envie que ce soit juste “pour être avec lui”. Il sait que ça a rien à voir avec lui, hein. Que Yuki tombe amoureuse ou pas, ça n’aura rien à voir avec lui au final. Mais. Même. Bref. Il comprend bien les réticences qu’elle a. C’est vrai que si elle va se faire soigner, ses parents vont la retrouver et puis. Bah et puis ouais, sans doute qu’elle se retrouvera encore plus privée de liberté qu’elle ne l’est déjà. Eren n’a pas envie de la priver de sa vie, mais il n’a pas envie de la priver de sa liberté non plus. Alors il est soulagé quand elle trouve d’elle-même la solution avec Sae. Super. Ca. Il prend.
“Ok, on fait comme ça. Si tu veux …” Il hésite une seconde, et puis finalement termine sa phrase en haussant les épaules. “Si tu veux j’peux rester avec toi ici le temps que tu te trouves un endroit. Ou alors tu peux venir à la maison. Chez moi, je veux dire. Mais reste vraiment pas ici toute seule, s’te plait. Ça craint.”
Ouais. Il préfère carrément la ramener chez lui et avoir à mytho un truc à sa mère, plutôt que de la laisser errer seule ici. Dans un endroit qui grouille de travailleurs du sexe, des clients plus ou moins violents et de jeunes bourrés qui se croient tout permis. Eren est à peu près certaine qu’il lui arrivera une merde au bout de deux jours. A moins qu’elle reste enfermée dans sa chambre à double tour. Une main au cul est si vite arrivée. Donc non, il n’a aucune envie de la laisser là. Seule en tout cas. Donc il lui propose les deux solutions les plus simples et logiques qui lui viennent à l’esprit.
Bref. Le deal est passé. Yuki l’embrasse et il la laisse faire, lui rendant ses caresses. Parce que bon, clairement, il y a pire que d’embrasser cette fille, haha. Elle a beau se trouver cassée, dégoûtante, ou il ne sait pas quoi d’autre. Lui, il la trouve très agréable à toucher. Bref. Pas d’avis. On a dit. Pourtant elle lui demande quand même le sien, sur … sur leur rencontre. Et l’espèce de “eux” qu’il y a maintenant.
“Non. Y a pire. Au moins j’fais une bonne action. Pas que j’te considère comme ma BA de l’année, hein. Mais … Bah … T’es pas chiante. T’es pas moche. Et t’es bourrée de fric. Alors j’y trouve mon compte, et si je peux vraiment t’aider en plus, ça me va.”
Ouais. Honnêtement, c’est ce qu’il pense. Il va pouvoir se faire son beurre sur son dos. Aider sa sœur, et sa mère, encore plus que ce qu’il ne le fait déjà. Parce que c’est vrai. Ne serait-ce qu’en étant payé tous les jours, il gagnera plus que maintenant, quand les paiements dépendent du nombre de passes qu’il a dans la semaine. Et en plus, il sait qu’il peut lui fixer des tarifs plus hauts s’il le veut. Ce qui est inutile puisqu’il sait aussi qu’elle va vouloir gâter Sara. Et lui aussi peut-être. Bref. Il va clairement y trouver son compte dans leur histoire. Alors elle lui va. Surtout si en plus, il l’aide à passer de beaux derniers …. mois ? Jours ? Ou ça se compte en années ? Il ne sait pas. Bref.
“Ouais, ouais, ouais. C’est ce qu’elles disent toutes avant de se rendre compte que je suis aussi chiant et con que j’en ai l’air.”
qu’il finit par lui répondre avec un sourire de crâneur débile, juste après un petit rire sur le même ton. Il la laisse faire, toucher son visage, ses cheveux, et rire, avec son petit grognement porcin.
“Ah bah ça c’est charmant, princesse.”
Eren sourit toujours largement, et se redresse un peu pour rapprocher son visage, du sein. Il incline la tête, comme pour un baiser, sauf qu’au lieu de ça, il va lui mordre le bout du nez. Gratos, comme ça. Pour lui casser les pieds un petit peu quand même. Sinon ce serait pas lui. Déjà qu’il est pas giga lui-même depuis un moment. A s'inquiéter pour une meuf qu’il connaît pas. De où il s’inquiète pour les inconnus lui ? N’importe quoi. Le jeune homme se redresse encore pour pouvoir tenir tout seul sur son cul et récupérer la liberté d’action de ses mains. Mains qui glissent sur les cuisses de la jeune femme, directement sous sa jupe avant de s’arrêter juste en dessous de ses fesses et la maintenir ainsi contre lui. (Tu vois que ça va vite les mains au cul dans les love hotel.)
“Bon alors maintenant que je suis ta propriété, je fais quoi ? Tu veux que j’agisse comment ? Je me mets entièrement à ton service ? Cuisine, massage de pieds et faveurs sexuelles selon tes bons désirs ? Ou juste le cul ? Ou juste le massage de pieds ?”
Non mais c’est vrai ? En fait ? Si il devient son exclusivité à elle, qu’il n’y a que elle qui le paye, et qu’elle veut se le garder pour elle toute seule et ses envies … Ils ont quel rapport ? Maître-esclave ? Ou simulacre de couple ? C’est vachement compliqué ce truc encore dis-donc. Eren se marre et pose, comme Yuki l’a fait peut avant, son nez contre la joue de la jeune femme pour lever des yeux amusés vers elle.
“Et pour ce soir, alors ? Tout ce que tu veux, maîtresse.”
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Clionestra
Sam 30 Déc - 15:30
Yuki Kurokawa
J'ai 21 ans et je vis à Tokyo, Japon. Dans la vie, je suis une poupée cassé et je m'en sors mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis condamnée à mourir et je le vis plutôt mal. → Greffe du foie à 5 ans → Greffe d'un rein à 8 ans → Greffe de l'autre rein à 11 ans → Ablation d'une partie de l'intestin et de l'estomac à 16 ans → Doit avoir une greffe de poumon d'ici un à deux ans. → Adore les jeux vidéos, seuls activités quand on est coincé à l'hôpital tous les ans. → Aime chanter. → Se pense très moche et incapable d'être trouvé jolie par quiconque.
Sa soudaine politesse était étrange, mais sa proposition l’était plus encore. Elle le regarde un peu. Elle continue de caresser ce visage qu’elle trouve si… apaisant. Elle adore ce visage lumineux qui lui « parle ». Elle se sent toujours à l’aise avec lui. Dès la première fois, elle se sentait à l’aise. Même si ce n’était que jouer à des jeux vidéos. Même si ce n’était que parier ses casques VR. Même si ce n’était … rien ? Elle se sentait à l’aise, et là tout de suite… elle ne voyait aucune bonne raison de venir vivre avec lui. Elle fait un large sourire.
- Chez toi, qu’elle murmure. Cela me permettra de donner de l’argent à ta famille en faisant passer cela pour un remerciement pour m’héberger. Qu’en penses-tu ? Est-ce que cela calmerait tes réticences ?
Et elle pourra faire des cadeaux ! Pleins et pleins de cadeaux. Et passer du temps avec Sara. Même si elle allait mourir, elle, et pas Sara. Et elle pourrait faire en sorte de comprendre combien elle a besoin d’argent pour son traitement et lui payer sans que personne ne puisse rien avoir à dire. Après tout, si on l’heberge, il faut bien qu’elle rende la pareille, non ? Et en plus, elle aurait ce magnifique jeune homme tous les jours avec elle. Fin. Tous les jours quand il le veut. Parce que même si elle compte le payer pour sa compagnie (et plus si affinité, -affinitié qu’il y a déjà-) elle ne s’imagine pas le séquestrer non plus. Alors l’idée lui plait bien. Elle va faire ça. Venir chez lui, vivre chez lui, aider sa famille. Et dans tout ça, elle ne pense même pas au sexe. Même si elle était là pour ça à l’origine, tout cela avait été éclipsé par l’envie d’être vue comme une belle femme, tout simplement. L’envie qu’il la touche sans être dégouté. En réalité, ça lui suffisait amplement. Elle sourit quand il lui dit que ça va, il est content de l’avoir. Elle fait un sourire de canaille.
- Je suis bien plus bourré de fric que ce que tu penses, mon cher. Mais ça tu auras le temps de le voir en temps et en heure. Je te l’ai dis, ta vie ne sera plus jamais pareil après moi, et je serais même plus là pour que tu me disputes, héhé.
Ouais, ça la fait rire. Elle accepte, enfin, qu’elle allait mourir alors pas de quoi en faire une histoire. Mais elle promet aussi que tout sera différent. Elle sourit, rit, se colle à lui pour cacher sa tête à nouveau devant le surplus de sentiment qui l’assaille. Elle se recule et fait fuir une mouche imaginaire de la main.
- Soit con et chiant si tu le veux. Je suis capricieuse et une princesse, chacun ses défauts. Et je ris comme un cochon.
Défaut qu’elle n’a pas en réalité, parce qu’elle faisait le premier vrai caprice de sa vie dans les bras de Eren…. Mais comme elle ne connait que ça de ses défauts, elle ne pouvait dire que ça. Pour le rire peut princier, elle lui tire la langue tout simplement pour montrer son caprice… Elle se laisse mordre le nez. Elle trouve ça mignon, elle ne sait pas trop pourquoi. Elle trouve ça adorable alors elle laisse échapper un rire, pas porcin cette fois, avant de le regarder. Elle le sent le toucher. Elle rougit un peu mais le laisse faire. Frisonne même devant ce contact clairement inédit pour son corps. Elle aime bien ça. Elle le regarde faire et sourit à la question. Puis, elle réfléchit en le regardant. Elle réfléchit réellement.
- On peut essayer de se prendre pour des …amis ? Tu es à moi, mais c’est toi que je veux. Le type qui refuse de donner la place gagnante à sa cliente, celui qui arrive bourrer pour me disputer avant de me soigner, le type qui est content que sa sœur puisse avoir des cadeaux mais rachouille ensuite. Je veux ce type là, et donc je te laisse les rennes pour le reste. Même si on ne doit jamais faire l’amour, je veux que l’on fasse comme ça te vient naturellement. Et je veux t’offrir des … euh… services ? Je ne sais pas cuisiner, pas trop bien, mais je sais masser. Alors je pourrais te le faire aussi ! Cela te convient aussi ? Ne m’appelle pas « Maîtresse », sauf si c’est ce que tu veux mais je veux dire, ça fait très … tu es mon esclave. Et je n’ai pas envie que tu sois mon esclave, même si tu es à moi.
Elle se mélange, ne sait plus trop ce qu’elle dit. Elle se sent fatigué. Elle se sent bien dans ses bras. Elle se sent aussi désorienté comme si elle venait de changer sa vie. Ce qu’elle avait fait en réalité en décidant de tout laisser pour l’avoir lui.
- Je suis Yuki, tu es Eren. C’est bien, non ? Pour débuter ? D’ailleurs, tu as faim ? Tu veux que je te commande des choses à manger ?
Et oui, à manger pour lui, puisqu’elle ne peut pas tout manger et que clairement, elle n’était pas sur de tout garder dans son estomac si elle venait à ingurgiter quoi que ce soit. Alors, elle ne pense qu’à lui, alors qu’elle touche encore son visage mais reste son cul sur lui.
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HATAKE
Dim 7 Jan - 18:55
eren hansawa
J'ai 23 ans et je vis à Tokyo (Japon). Dans la vie, je suis prostitué et je m'en sors aussi bien que possible.
Chaque personne qu'on s'autorise à aimer, est quelqu'un qu'on prend le risque de perdre.
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“C’est ça. Tu payeras un loyer et les courses. Enfin rêve pas trop, hein, c’est clairement pas l’hyperluxe chez nous.”
Pour l’heure, il “partage” une chambre avec Sara. Quand il dort chez lui, et qu’il ne préfère pas pioncer tout simplement dans le canapé. Avec Yuki en plus … il suppose qu’il laissera son lit à Yuki, et élira domicile dans le salon. A moins que sa mère n’insiste pour lui refiler sa chambre à elle. Ce qui serait con puisuq’il aime bien le canapé. Putain, sa mère. Qu’est-ce qu’elle va dire ? Et lui quel bobard il va encore falloir qu’il invente ? Bah. Osef. Sa mère est pas relou pour deux sous tant qu’ils n’ont pas de soucis (bon ok, lui, il fait plein de conneries, mais encore aucune qu’il n’ai pas pu gérer tout seul comme un grand), elle ne leur demande pas grand chose. Et si Yuki paye … ouais, nan, elle va vraiment se demander ce qu’il se passe, haha. Boarf. Il dira que c’est sa meuf, qu’elle a des parents horrible, qu’elle est majeure et vaccinée, et qu’elle peut participer aux frais, et ça devrait passer. pour un temps. Ensuite … ensuite il sait pas. Ensuite ils vont … prendre un appart à eux deux ? Non ? Surtout si elle est si blindée de fric que ça, et qu’elle veut vraiment changer sa vie, déjà ne plus vivre chez maman, ce sera une belle avancée, haha. Enfin bref, ils verront plus tard. Il faut parer au plus urgent.
“La princesse et le con. Un futur Disney qui va faire un tabac, ça encore.”
Ca lui fait penser à Pretty Woman, tiens. Il ne sait pas bien pourquoi sa mère et sa soeur adoooorent ce film. Mais ça le fait quand même vaguement marrer de voir qu’il a peut-être trouver sa Richard Gere, haha. N’importe quoi. Enfin pas si n’importe quoi. Mais dans Pretty Woman, ils tombent amoureux l’un de l’autre, et eux non. Enfin lui non, elle peut-être, c’est le deal. Mais alors quels sont leurs rôles respectifs dans leur petit arrangement ? Eren pose la question et se cale contre la jeune femme qui réfléchit visiblement à la question. Il la laisse faire puis écoute sa réponse. Il hoche doucement la tête, plus pour signifier qu’il l’écoute que pour donner réellement son accord. Il proteste mais d’un :
“Je rachouille jamais, moi.”
Tout à fait hypocrite, pendant l’exposé de la donzelle. C’est vrai que c’est giga-long comme réponse. Il en baillerait presque. Non, il en baille carrément en fait, puisqu’elle a dit qu’elle le veut aussi con qu’il est. Alors il baille à s’en décrocher la mâchoire et se gratte la joue en attendant qu’elle ait terminé. Avec une conclusion incroyable “Je suis Yuki, tu es Eren.” Heureusement qu’elle est là, dites donc. Qu’est-ce qu’il ferait sans elle ?! Il se “moque” intérieurement, un petit sourcil narquois en l’air. Et puis il fait pianoter le bout de ses doigts sous les fesses de la jeune femme.
“Moi Eren, toi Yuki, ouais. Ok, donc potes et colloc’. Et j’risque pas mal de te tripoter, en tout bien tout honneur, hein, parce que je suis tactile comme type. Comme tu peux le constater.”
Il lui “pince” à peine le dessous d’une fesse pour illustrer son propos et continue.
“Et j’veux bien des massages de temps en temps, ouais, c’est cool. J’ai souvent les épaules et les bras défoncés. C’est ça de jouer à Tarzan sur mon temps libre. Et je t’appellerai maîtresse quand on est tous les deux, parce que ça me fait marrer. Et ……. à manger c’est une idée. Et à boire. Parce que si c’est ta dernière soirée ici, et peut-être la mienne, autant fêter ça ! J'vais commander. Oust ! Maîtresse.”
Il se marre, à ponctuer son “oust !” d’un “maîtresse”, héhé. Eren fait basculer la jeune femme sur le côté avec une certaine délicatesse. bah oui, même s’il la vire sur le principe, il va éviter de la casser en deux tout de suite. Surtout qu’il vient de passer dix milles ans (on exagère à peine) à la soigner. Bref, Eren se lève et va décrocher le téléphone pour commander des yakisoba au porc avec supplément jaune d’oeuf et deux bouteilles de sake. Oui les deux bouteilles sont pour lui. C’est pour ça le supplément jeune d'œuf. Ca lubrifie le col alimentaire au cas où il est besoin de vomito plus tard dans la soirée, héhé. Erm. Une technique comme une autre, ça va hein ! Bien sur, le blondinet demande à la blondinette si elle veut un truc, des nouilles, des chips à la crevette, un seul pocky à la fraise. N’importe. Tout ce qu’elle veut puisque c’est elle qui paye, haha. Erm. Petit con va. Il raccroche, vire ses chaussures et se jette sur le lit.
“Tu veux faire quoi, maîtresse ? Karaoke ? Regarder des émissions débiles ? Tu danses ? Non tu danses pas. Ou comme les gosses, genre tu montes sur mes pieds ?”
Qu’est-ce qu’il raconte comme conneries … Il tend une main vers Yuki pour l’inviter à monter sur le matelas avec lui, si jamais ça la tente. Et puis une question nettement moins con traverse l’esprit d’Eren alors qu’il a encore la main en l’air.
“Au fait, tu viens du coup direct avec ta seule petite culotte comme affaire ? (C’est une expression.) Ou faut aller chercher des affaires chez toi ?”
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