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Préférence de jeu : Les deux
HATAKE
Mar 26 Déc - 18:56
Namikaze Umi
J'ai 39 ans et je vis sous Konoha, où j'ai été enfermée pendant plus de dix-huit ans. Dans la vie, je ne suis plus grand chose. Sinon, grâce au karma, je suis oubliée des mémoires.
- 1m74 - ex bras droit de Danzo - petite sœur de Minato Namikaze - casse pieds de service qui trainait avec les amis de son frère - folle amoureuse d'Hiashi Hyuga, même si elle ne l'a jamais avoué à personne - a choisi la racine, persuadée que Minato et elle remplacerait Sarutobi et Danzo - enfermé par ce dernier qui craignait un coup d'état
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SON AME SOEUR ?!!! Le visage d’Umi se déforme plusieurs fois de suite de plusieurs fortes émotions qui la saisissent tour à tour. Elle commence par une immense surprise, puis un rougissement adolescent de gêne amoureuse, et un sourire béat de bonheur s’affiche, vite transformé par de l’ironie et une bonne dose de fierté de recevoir ce titre. Et puis elle pince ses lèvres pour ravaler tout ça, et ne laisser plus qu’une douceur mélancolique sur ses traits.
“D’accord. Ton âme sœur … Tu me diras quand je pourrai aller voir Hanabi, alors.”
Sa fille. L’une de ses filles. Mais l’autre étant plus vieille et loin, et bien ça n’allait pas du tout être la même chose avec l’aînée. Pour Hanabi … et bien elle verra en temps voulu. De toute façon, elle ne se fait pas trop d’illusions, Umi. Elle-même aurait haït et pourrit une femme qui aurait “remplacé” sa mère. Donc, elle est prête à un peu près tout. Y compris à l’ignorance glaciale. Elle avait déjà donné avec le père, haha. Mais en tout cas, plus elle écoute son Hyuga parler, plus la kunoichi décide de faire de son archi mieux pour que tout aille, non pas juste “mieux”, mais bien. Pour qu’Hanabi aille bien, qu’Hiashi aille bien, et que leur lien père-fille aille bien.
Umi essaye de comprendre l’histoire entre l’homme et ses filles, et découvre avec tristesse qu’elle a vu juste. Les mots d’Hiashi lui déchirent le cœur. Il a dû être si seul. Si longtemps. Comme elle. Sauf que lui, il était entouré de monde. De ses propres enfants. C’est de la peine qui déforme ses traits maintenant, alors qu’elle caresse ses longues mèches brunes dans un geste de réconfort.
“Hiashi … je suis désolée …”
Elle est vraiment, vraiment, vraiment désolée, de l'avoir abandonné. Et elle sait qu'il va la contredire, alors elle ne le laisse pas faire. Umi glisse ses doigts sous le mentons d'Hiashi pour lui faire relever le visage vers elle et l'embrasser. Elle embrasse tendrement ses lèvres, avant de les délaisser pour ses joues. Son nez. Ses paupières. Elle couvre la totalité de son visage de baisers d’amour. Comme autant de petits pansements pour tous les manquements affectifs que son absence a causés à cet homme. Elle se dit qu’elle n’aura pas assez de cette vie pour rattraper tout ce qu’il a manqué. Pas assez de temps pour briser le cocon de verre qui entrave son esprit d’Hyuga, et encore moins pour remplir et gonfler son coeur de tendresse, de ses taquineries débiles et de ses envies lubriques. Elle ne pourra jamais rattraper tout ça. Lui donner une vie de famille douce et sereine. Des câlins à trois têtes avec leur enfant. Ou quatre, ou cinq, peu importe. Elle est désolée d’avoir échoué à cela, finalement bien plus que d’avoir échoué en tant que ninja. Il y a tellement d’autres scénarii qui auraient pu entraîner sa disparition, ou la mort de son frère. C’était comme ça. Ils étaient ninjas. La mort faisait partie du jeu. Point. Mais il s’agissait de vie. Du bonheur de celui qu’elle aime de tout son coeur d’idiote. Elle a toujours cru que ça irait pour lui. Tout à fait honnêtement, elle a toujours cru que ça irait sans elle à ses côtés. Qu’il trouverait forcément mieux de toute façon. Et qu’à l’âge qu’ils ont, il serait bien marié, père, chef de clan, mais que tout irait bien. Alors qu’elle serait la tata punk un peu folle des petits de son frère et Kushina, qui s’amuse à aller écraser du méchant en semaine et qui s’envoie Shikaku Nara dans le dos de Yoshino les week end. Ou un truc du genre. Ou alors elle serait en couple libre avec Tsume, ouais, l'idée avait été lancée. Enfin bref. Qu’elle soit dans le tableau ou non, elle pensait que tout irait bien pour Hiashi. Et c’est une idée à laquelle elle se raccrocher souvent, quand elle était dans le noir. Jamais elle n’aurait imaginé qu’elle avait TOUT raté.
Umi pose son front contre celui de son Hyuga, et elle ferme les yeux. Réfléchissant bien à tous les mots qu’elle va utiliser maintenant.
“Je te laisserai plus jamais, Hiashi. Je ferai tout ce que tu veux, et tout ce que tu ne veux pas, mais dont tu as besoin. Je ferai tout pour combler la solitude et la distance que tu as mis avec le monde. Je ne te laisserai plus jamais t’enfermer dans ta jolie petite tête. Je te promets que passerai le reste de nos vies à te rendre heureux.“
Elle rouvre les yeux pour les planter dans ceux d’Hiashi. Elle cherchait un moment pour le lui dire, il lui semble que le moment est tout à fait arrivé.
“Je t’aime, Hiashi. Je ne renoncerai plus jamais à toi.”
Jamais. Elle se dit même pendant une seconde qu’elle pourrait oublier cette histoire de vengeance contre Danzo. Si c’était seulement possible. Mais elle sait qu’il est déjà à sa recherche. Elle sait qu’il ne la laissera jamais vivre en dehors de son contrôle total et absolu. Ce n’est pas un sceau sur une langue qui lui suffira à lui faire confiance pour son silence. A moins qu’on lui appose un sceau semblable à celui des Hyugas mais dirigé vers Danzo en plus de quelques autres restrictions, haha. Erm. Non. Il va vouloir l’enfermer. Ou la tuer. Alors elle ne peut pas abandonner l’idée de l’anéantir. Même si certes, elle peut changer ses plans la concernant et ne pas se lancer dans une bête vengeance solitaire. Mh. Ouais. Plus tard.
Ces plans ne sont pas franchement la priorité d’Umi. La pensée fait son chemin dans sa tête au moment où elle promet ”Je ne renoncerai plus jamais à toi.” et puis elle disparaît. Umi pose à nouveau ses lèvres sur celles d’Hiashi, et elle l’embrasse, encore. Elle se demande aussi, furtivement, pourquoi elle n’a pas fait QUE l’embrasser depuis qu’elle revenue à lui ? Hein ? Vraie question. Il y a des choses plus importantes qu’embrasser Hiashi Hyuga dans la vie ? La tout de suite, alors que sa langue glisse entre les lèvres de l’homme pour trouver sa jumelle, … elle ne se souvient plus bien ce qui peut être plus important pour elle que cet homme.
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Clionestra
Jeu 28 Déc - 21:59
Hiashi Hyuga
J'ai 39 ans et je vis à Konoha, un village caché ninja. Dans la vie, je suis chef de clan et je m'en sors parfaitement ainsi que père et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis veuf d'une femme que je n'aimais pas d'amour et en deuil de beaucoup trop de monde. A venir
- Quand tu le désires pour voir Hanabi. Elle est dans les environs toujours.
C'était une réponse très froide en comparaison au sujet... mais c'était la vérité. La jeune fille était à proximité. Si Umi voulait la voir tout de suite, Hanabi viendrait à l'appel de son père. Si Umi voulait attendre une semaine, ou trois mois, elle pouvait aussi. Hanabi n'avait pas réellement de quoi donner son opinion sur les choix de son père. Même si ça l'étonne parfois, elle n'avait jamais eu le droit à la parole. Donc... Mais Hiashi ne réalise même pas ce que sous entends cette pensée. Sa fille acceptait tout parce qu'il était le chef du clan, et qu'elle ne penserait pas à lui comme à son père. Qu'il pense en tout cas. Elle n'avait pas réellement le droit au chapitre. Et en ça, Hiashi se trompait lourdement. Ses filles étaient bien plus attachées à lui que ce qu'il ne pensait. Quand elle s’excuse, il veut parler, mais elle l’embrasse. Que cela ne tienne. Il répond doucement à son baiser, mais se recule pour lui répondre. Parce qu’il le doit. Pendant qu’elle l’embrasse sur sa peau, ce qui le fait tout de même frissonner… mais il oublie pas ce qu’il avait à dire pour autant.
- Ne t'excuses pas Umi. Tu n'es pas coupable de mes erreurs.
Cela serait simple de dire que tout était de la faute de Umi. Il serait plus simple de lui mettre tout sur le dos. Mais il l’avait fait, parce que ça avait été plus simple pour lui. Plus sécuritaire. Il avait pris l’habitude de protéger son esprit par la force des choses. Il se protégeait déjà du monde quand il était petit. Ce n’était pas de la faute de Umi s’il avait tout simplement, et naturellement, continué comme il en avait l’habitude. Il la regarde et fait à peine un sourire face à sa promesse. Elle n’avait pas à faire une telle promesse. Elle n’avait pas à devenir sa sauveuse. Elle n’était pas obligée de l’être. Il voulait lui dire … mais ça faisait tellement du bien de savoir que quelqu’un voulait le protéger, lui. Pas parce qu’il était le chef de son clan, un ninja décoré, ou qu’importe la raison… Là, elle voulait la protéger pour … pourquoi ? La réponse revient, se rappelle à lui quand la jeune femme lui dit avec tous les mots. Parce qu’elle l’aime. Elle l’aime et elle a envie de le protéger, même de lui-même. Il la regarde et remonta sa main sur sa joue après leur baiser. Il caresse sa joue doucement et tendrement. Il la regarde. Il la regarde avec le plus de tendresse possible. Il n’avait jamais eu autant de tendresse. En tout cas, il n’en avait jamais autant montré. Il était honnête dans son sentiment. Il remonte sa main le long de son visage et l’embrasse.
- Je t’aime, Umi. Depuis si longtemps que je n’ai jamais pu aimer ou désirer une autre personne que toi. Alors ne t’en veux pas du passé. Tu es une la raison des rares bons côtés que je possède. Tu es la raison pour laquelle je souffre, oui, mais parce que je sais que tout ça n’est pas normal. Parce que je rêvais d’une vie avec toi, et maintenant c’est possible….
Il s’approche encore et l’embrasse avec douceur. Pas réellement de langue pour lui. Parce qu’il n’ose pas. Il n’ose pas faire un petit bisou plus poussé. Il est le genre timide pour ça. Alors il n’ose pas, mais il pose ses lèvres sur les siennes et il sent déjà beaucoup de chose. Et il aimerait qu’elle prenne les décisions. Il ne savait pas faire, alors un peu « faiblement » il la laissait faire. Il pose son front contre celui de la jeune femme et sourit à peine encore. Même si le cœur y est.
- J’ai l’impression que si on se sépare pas, on passerait notre temps à s’embrasser, et il rougit un peu, c’est normal ?
Ouais…. Parce que Monsieur Hiashi Huyga, deux filles mais sans expérience ni amoureuse ni sexuelle … bah il en sait rien si c’est normal de vouloir embrasser Umi toute la soirée jusqu’à ce qu’ils tombent de sommeil… D’ailleurs. La douche et prise, le repas mangeait … et il doute que le médecin arrive tout de suite, alors… il l’attrape pour aller se coucher dans le lit avec une vitesse mais une douceur déconcertante. En face d’elle. Il la regarde.
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HATAKE
Sam 30 Déc - 19:27
Namikaze Umi
J'ai 39 ans et je vis sous Konoha, où j'ai été enfermée pendant plus de dix-huit ans. Dans la vie, je ne suis plus grand chose. Sinon, grâce au karma, je suis oubliée des mémoires.
- 1m74 - ex bras droit de Danzo - petite sœur de Minato Namikaze - casse pieds de service qui trainait avec les amis de son frère - folle amoureuse d'Hiashi Hyuga, même si elle ne l'a jamais avoué à personne - a choisi la racine, persuadée que Minato et elle remplacerait Sarutobi et Danzo - enfermé par ce dernier qui craignait un coup d'état
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Elle a pû lui dire. Umi a trouvé un moment propice pour enfin dire à cet homme combien elle l’aime. Ce qu’elle aurait dû faire il y a très très très longtemps. Et qu’elle aura fait, dans une vie parallèle. Elle lui dit, l’embrasse, avec la langue oui, mais avec douceur. Ça n'a pas forcément à être salace. Puis Hiashi recule et elle fronce à peine les sourcils, lui ordonnant du regard d’avoir une très bonne raison d’interrompre ce baiser. Il en a une excellente. Elle sourit, caresse ses cheveux, ritun peu quand il lui dit que eux, une vie ensemble, c'est possible maintenant. Et elle le laisse l’embrasser, gardant sa langue sage, quelques secondes, avant qu’elle ne retourne chercher sa copine préférée. Le Hyuga recule encore, et miss Umi fronce encore les sourcils, avant de se marrer à sa question pour toute réponse. Avant de brusquement s’envoler, direction le lit.
“Kyaah !!”
Elle braille à moitié, se retenant de crier comme elle peut sous la surprise. Parce qu’elle est quand même censée être cachée, hein. Et qu’elle est dans la chambre du chef de clan, héhé. Chuuuut. Elle se marre doucement, se laisse installée contre son Hyuga. Dans un lit avec Hiashi. Ça faisait looonnnngtemps que ce n’était pas arrivé. Et c’est vraiment le seul endroit où elle a envie d’être. Alors elle se colle à lui tout naturellement, riant encore avec tendresse.
Mon amour. C’est évident, comme surnom d’amoureux. Et ça la fait trembler de le dire, trembler de joie, quand un immense sourire se dessine sur ses lèvres. Umi attrape le visage d’Hiashi entre ses mains, et fait se retrouver leurs bouches. Oui, c’est normal quand on s’aime comme ils s’aiment et qu’ils ont été privés l’un de l’autre aussi longtemps. Il y a tant d’heures de baisers à rattraper. Alors c’est normal, et elle l’embrasse encore. Fait glisser sa langue sous la lèvre supérieure de son Hyuga sans forcer plus loin. Elle l’embrassera avec, vraiment et profondément, plus tard. Ils ont le temps, maintenant. Et puis si elle va plus loin, et que monsieur se refuse à elle parce qu’elle est trop faible encore pour du sexe (clairement !), elle va juste finir frustrée, alors ce n’est pas bien nécessaire. Autant rattraper les bisous, tranquillement Umi repose sa tête sur le lit et regarde Hiashi comme celui-ci la regarde, esquissant un sourire en coin de chipie raaaavie qu’on la reconnaisse à sa juste valeur quand il la complimente.
“Naaannnnn, c’est toi le plus beau ....”
qu’elle le contredit avec une voix exagérée, faussement modeste. Elle chasse le compliment d’HIashi d’un geste de la main et pouffe doucement, avant de passer une main derrière sa nuque, de se soulever à nouveau jusqu’à ses lèvres. Elle y dépose un simple baiser avant de tracer une ligne de bisous sur sa joue, sa tempe, jusqu’à son oreille.
“Après Shikaku.”
Elle glisse à son oreille, lui mordille, avant de pouffer comme la saucisse qu’elle était, est toujours. Elle et ses blagues de merdes, c’est une aussi grande histoire d’amour qu’elle et Hiashi, haha. Umi se raccroche à la nuque d’Hiashi qu’elle tire au-dessus d’elle, puis glisse ses doigts dans ses cheveux pour le décoiffer un peu, et faire tomber ses longues mèches brunes autour de leurs visages. Les coupant du monde extérieur. Elle avait eu cette même vision presque vingt ans plus tôt. Et elle soupire de gratitude de pouvoir la revoir à nouveau maintenant. Avec l’âge en plus. Et la mauvaise humeur, héhé. Umi pose le bout de son index sur les rides entre les deux yeux d’Hiashi. Il a bien plus froncé les sourcils que souri pendant tout ce temps, et elle se promet d’inverser la vapeur. De creuser des sillons de bonheur sur son visage, et que ceux d'inquiétude et de sévérité ne s'approfondissent pas. Elle le regarde avec toute la tendresse dont elle est capable, ne se lassant pas de le regarder. Jamais, jamais, jamais, elle ne se lasserait de l’admirer.
“Alors on va vivre ensemble maintenant ? Je vais … rester à tes côtés ? M’occuper de ta fille ? Mmmh c’est vrai que maintenant que c’est toi le chef, tu peux faire ce que tu veux, héhé.”
Oui. Non ? Oh elle se doute que c’est plus compliqué qu’une question de suivre uniquement les ordres du chef. Les Hyugas, c’est une famille, une tradition, et … une rigueur qui pourrait presque rivaliser avec celle que l’on peut retrouver dans des milieux nettement moins … sympas. Les sectes. La racine. Ses membres ne font pas que suivre les bons vouloirs du chef du moment. C’est une façon de pensée ancrée bien loin dans leurs petites têtes. Presque dans leurs gènes. Umi caresse inlassablement le visage de son Hyuga à elle, cherchant dans ses yeux la réponse à la question qu’elle n’a pas posée. Est-ce qu’il va vouloir, et pouvoir, l’épouser. Ouais. C’est presque ridicule, et carrément risible, de se dire que Umi Namikaze veut se marier. N’importe qui aurait arqué un sourcil ou ricané, si on avait évoqué l’idée, à l’époque. Elle n’était clairement pas le genre à vouloir se marier, non. Et elle ne l’est toujours pas. Sauf avec Hiashi. Il est absolument et totalement l’amour de sa vie, l’unique personne à qui elle pourrait jurer fidélité et amour pour les cinquante, cent, deux cents années à venir. Oh oui, Umi n’a jamais rêvé de la maison avec jardin, du mari et des deux ou trois enfants. Et un chien. Et un chat ? La totale quoi. Non. Elle n’en a jamais rêvé. Sauf avec lui. Elle se demande si c’est encore possible.
“Tu as encore des comptes à rendre à quelqu’un ?”
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Clionestra
Dim 31 Déc - 17:15
Hiashi Hyuga
J'ai 39 ans et je vis à Konoha, un village caché ninja. Dans la vie, je suis chef de clan et je m'en sors parfaitement ainsi que père et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis veuf d'une femme que je n'aimais pas d'amour et en deuil de beaucoup trop de monde. A venir
C’est normal, mon amour. Cette phrase mériterait d’être découpé en deux pensées. C’est normal, donc, de vouloir embrasser une femme toute la journée, et de le faire ? Il ne sait pas si c’est normal de le faire. Il a toujours eu le désir d’être auprès de la jeune femme, mais il n’avait pas réellement réalisé qu’il était réellement avec la jeune femme… C’était … un peu comme un rêve, mais moins rêve que celui qu’il ignorait être la réalité. Bref. C’est normal, donc, de vouloir l’embrasser. Et en plus, il était son amour. Son amoureux. Il se rappelle les nombreuses fois où elle avait dit, pour le provoquer ?, qu’elle était amoureux ou alors qu’elle avait trouvé un « amour ». Mais jamais elle n’avait utilisé le possessif pour le dire. Pas de « Mon amour, c’est Shikaku ». Plus « Tsume, amour ». Et c’était donc la preuve qu’il était bien plus spécial qu’il ne le pense, non ? Il ne sait pas. Raison de plus pour se mettre dans le lit et calmer son esprit. Parce que même si ça ne se voit pas sur son visage de marbre, bah ça réfléchit pas mal dans son esprit en réalité. Et il l’embrasse, réponds au baiser, sans la moindre envie sexuelle pour le moment. Il profite surtout de leur proximité, de sa chaleur, de son regard sur lui. Elle le trouve beau ?
- Et parce que je ressemble à mon frère, c’est ce que tu disais souvent.
Qu’il était beau parce qu’il ressemblait à Hizashi. Il l’avait entendu, une fois, dire ça à quelqu’un. Il ne sait plus trop qui, parce que l’idée d’être moins beau que son frère aux yeux de la femme qu’il aimait secrètement lui avait fait mal au cœur. Il avait souvent entendu des phrases de la jeune femme, pour provoquer ou pour enquiquiner… et elle ne se doutait même pas qu’en plus de l’entendre, ça lui faisait mal. Parce qu’il était amoureux d’elle et que l’idée qu’elle ne puisse le voir qu’autrement que…. Un glaçon ? ça le dérange… et cela, même s’il faisait tout pour n’avoir que peu d’émotion… Tellement que, même maintenant, dans ses bras, son visage n’exprimait que peu d’émotion. C’était qu’en regardant biiiiien ses yeux qu’elle pouvait y lire toutes les émotions qui le traversent. Et elle pourrait lire qu’il ne lui en voulait pas de trouver Shikaku ET son frère plus beau que lui. Qu’il acceptait d’être le troisième dans la liste. Parce que monsieur avait pris chaque commentaire, et surtout chaque blague comme une vérité. Oupsie. Mais comme dit, il ne lui en veut pas, et l’accepte comme un fait. Il était déjà heureux d’être troisième. Il hoche la tête. Réfléchit à tout. Il secoue un peu la tête, sans réellement de violence, à peine un petit mouvement qui aurait pu être le déplacement d’un visage sur le vent. Ouais, des comptes à rendre. - J’ai toujours des comptes à rendre. Je dois toujours prouver être digne de ce clan, de mon nom et de mon statut… et il se met un peu plus en face de la jeune femme, mais je pense que j’ai assez sacrifié de temps sans toi, Umi. Je pense que j’ai assez donné. Alors, si tu veux de moi, on vivra ensemble, on sera ensemble, et tu pourras m’aider avec …
Il montre sa tête pour lui rappeler ce qu’elle lui avait dit tout à l’heure. Son enfermement avait été fait par ses ainés. Par son père, par son grand-père, par la famille qui, même parmi la branche secondaire, attendait de lui qu’il soit le chef. Qu’il soit le rock et le pilier. On attendait de lui qu’il soit là pour sauver tout le monde. Mais il n’avait plus envie d’être cet homme. En tout cas, plus tout seul. Pas alors qu’il venait de retrouver l’amour de sa vie. Il la regarde. Il aimerait un enfant d’elle. Ils n’ont que 39 ans. Et c’était dangereux qu’à partir de 55 ans (//dans leur monde), ils ont le temps. Ils ont largement le temps. Et … Bah, leur enfant n’irait pas dans la branche secondaire. Tout comme il protège Hanabi de la branche secondaire. Tout comme il voudrait que Neji vienne dans la branche principale. Il essaie d’ailleurs, en secret des ainés, de trouver un moyen de supprimer la marque sur les fronts des membres de la branche secondaire. Il ne veut plus de ça. Plus jamais. Il caresse la jeune femme et une idée lui traverse l’esprit comme une comète dans un ciel noir, laissant une trainé de fumée derrière elle.
- Umi Namikaze accepterais-tu d’être ma femme ? Pas tout de suite, le temps que tout le monde s’habitue à l’idée, mais tout de suite après ? Devenir Umi Hyuga ? Et apporter un peu de bonheur et de joie dans mon monde qui en est totalement dépourvu.
Hiashi, Neji, même combat. Kankuro n’a qu’à bien se tenir (quoi que pour ça, il faudrait déjà qu’il arrive à empêcher les fiançailles que Hiashi essaie déjà d’empêcher mais c’est un autre rp). Il la regarde et attends. Il n’a pas besoin de coucher avec elle pour savoir qu’il l’aime. Il n’a pas besoin de temps pour savoir. Si l’amour qu’il avait pour Umi avait dû disparaître, il aurait eu 18 ans pour se faire. Mais même après tout ce temps, il l’aimait toujours, qu’elle. Elle avait été la seule femme de sa vie. Donc, s’il doit épouser qu’une personne, par son cœur et non le devoir, ça serait cette adorable petite femme dans ses bras. Et il l’embrasse avant qu’elle puisse répondre, au cas où elle refuse et qu’elle ne puisse rien avoir à dire. Mieux pour son cœur et son âme à lui…
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HATAKE
Mer 3 Jan - 19:53
Namikaze Umi
J'ai 39 ans et je vis sous Konoha, où j'ai été enfermée pendant plus de dix-huit ans. Dans la vie, je ne suis plus grand chose. Sinon, grâce au karma, je suis oubliée des mémoires.
- 1m74 - ex bras droit de Danzo - petite sœur de Minato Namikaze - casse pieds de service qui trainait avec les amis de son frère - folle amoureuse d'Hiashi Hyuga, même si elle ne l'a jamais avoué à personne - a choisi la racine, persuadée que Minato et elle remplacerait Sarutobi et Danzo - enfermé par ce dernier qui craignait un coup d'état
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ELLE LE VOIT. Les pensées stupides de Monsieur Premier Degré !! Pauvre petit qui arrive après Hizashi et Shikaku dans son top 3. NON MAIS N’IMP ! (Parce que clairement, sinon, c’est dans la chambre d’Hizashi qu’elle se serait glissée cette nuit-là. Ou mieux, celle de Shikaku. Sauf que c’est pas ce qu’elle a fait QU’ILS SACHENT TOUS LES DEUX !
“Tu …”
... est un foutu idiot !! qu’elle a envie de lui dire. Et puis de lui claquer un taquet derrière la tête aussi. Une bonne grosse claque derrière le crâne. Mais le moment est doux, et elle est bien contre cet idiot fini. Alors elle n’a pas le courage de s’énerver, et soupire juste un poussant ses lèvres vers l’avant dans une moue légèrement boudeuse. Et puis elle le corrige, avec une sincérité simple. Même si ce n’est pas son genre.
“Ton frère est très beau. Enfin était … Et vous vous ressemblez comme deux gouttes d’eux. Donc tu es très beau aussi. Mais j’ai toujours fait parfaitement la différence entre vous deux. Et j’ai toujours tout préféré chez toi. De ce qu’il y a dans ta petite tête, jusqu’à ta façon de bouger.”
Umi tapote le front de son Hyuga, avant de laisser son index glisser sur sa joue.
“Quant à Shikaku … je suppose qu’il te manque juste une petite cicatrice.”
BAH NON, HEIN !!! Qui a cru qu’elle allait rester sérieuse plus de deux minutes ?? Nope, la cellule pendant dix-huit ans, ça ne l’a pas calmée. Dommage, dommage. Umi rit doucement et pose ses lèvres sur le bout du nez d’Hiashi, puis sur ses lèvres. Et puis elle repose sa tête pour le regarder. L’admirer. C’est le vrai terme. Avec la même joie dans le regard qu’une gamine qui regarde une bande de petits chiots jouer. Ou qu’un Akimichi regarde le rayon chips au supermarché. Donc ça ne fait AUCUN DOUTE, MÊME pour Hiashi, qu’elle le trouve absolument magnifique. Et aussi, accessoirement, qu’elle se le beurrerait bien sur une tartine, oui, oui. Qu’il se réjouisse qu’elle ne soit pas en état de la ligoter à son pieu pour profiter de lui et rattraper dix-huit ans de sexe. DIX HUIT ANS !! ça risque d’être long. Et fatiguant. Enfin ça, ils auront le temps de s’y mettre une fois qu’elle sera capable de faire un tour du quartier en courant sans mourir dans la foulée. Une fois qu’elle saura faire ça … il ne pourra plus lui échapper, héhé. Erm.
Enfin pour l’instant, Umi s’inquiète de savoir si les Hyugas, en général, seraient près, CETTE FOIS, de l’accepter dans leur rang. Oh, elle ne prétend absolument pas à devenir la femme du chef, en tout cas pas dans l’immédiat. mais au moins … et bien pouvoir rester avec lui, officiellement, sans se cacher. Et ensuite, ce sera ensuite. Pour l’instant, ce qu’elle veut c’est être avec lui. Tout simplement. Point. Alors la réponse de Hiashi lui va parfaitement.
“Je t’aiderai avec …”
Qu’elle lui répond avec plein de tendresse dans sa voix habituellement agaçante, en imitant le geste d’Hiashi sur la propre tempe. Elle l’aidera avec ce qu’il se passe dans sa tête, dans son cœur surtout. Avec ses filles. Et puis aussi avec son clan, s’il le souhaite. Ou la déco, tiens. Parce que chez les Hyugas, ça a toujours été austère. Alors elle va s’occuper de leur cas à eux aussi. Mettre des plantes, déjà. Partout, pour qu’il y ait plus de couleur, des fleurs dans les jardins et des bonzais à l’intérieur. Des bonsaïs de cerisiers qui deviendront rose le printemps et des bonsaïs d’érables qui deviendront oranges l’automne. Ouais. C’est peut-être con comme idée, mais c’est simple, doux et c’est tout ce qu’elle veut maintenant, Umi. Elle a assez donné dans le drame pour le reste de sa vie. D’autant qu’elle a encore un neveu à découvrir, des amis à retrouver, et un ancien patron à zigouiller. Alors oui. Un mari, des gosses, un chien et des bonsaïs, ça lui paraît tout à fait enviable comme avenir. Elle pense à tout ça, et Hiashi lui demande. Il lui demande d’être sa femme. Ok, pas tout de suite, mais il le fait. Et il fige Umi, les lèvres entrouvertes, comme une statue de cire. Son cerveau bugue. Parce que c’est exactement ce à quoi elle pensait. Parce qu’elle ne s’y attendait pas pour autant. Et parce qu’il y a une partie d’elle qui a furieusement envie de lui répondre une connerie. C’est comme ça qu’elle fonctionne, Umi. Même si elle extériorise beaucoup de mots, d’émotions, d’états d’âmes, la plupart du temps, ça ne sert qu’à dissimuler ce qu’elle ressent vraiment. ALors elle se fige, repousse cette très mauvaise habitude qui pourrait être du plus mauvais effet sur monsieur premier degré Hyuga. Alors elle inspire, réfléchit et répond, en caressant les longues mèches brunes de son homme.
“Bien sûr, mon amour … Je vais rester avec toi, t’aider, te soutenir. Tu seras à moi et je serai à toi. Enfin … officiellement. Parce que tu es déjà à moi …”
Râté pour le sérieux total. Mais c’est plutôt, pas mal, elle trouve. Umi sourit doucement, plonge ses doigts dans les cheveux de son Hyuga et le tire contre ses lèvres, se glissant ostensiblement sous lui. Oh il n’y a pas d’intention sexuelle là-dessous, juste pour le sentir partout sur elle, autour d’elle. S’il est déjà à elle, la réciproque est totalement vraie.
“On se mariera. Je serai ta femme. Et je pourrai prendre un rôle de mère pour tes filles. Et … si tu veux, on pourra avoir notre bébé à nous.”
Ouais; Voilà. Quitte à balancer des idées légèrement dégoulinantes, Umi glisse celle-ci, pendant que ses mains glissent sur le torse d’Hiashi, glissant sous son kimono. (Bon, ok, il se peut que ce soit légèrement sexuel cette fois …)
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Clionestra
Mer 3 Jan - 23:24
Hiashi Hyuga
J'ai 39 ans et je vis à Konoha, un village caché ninja. Dans la vie, je suis chef de clan et je m'en sors parfaitement ainsi que père et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis veuf d'une femme que je n'aimais pas d'amour et en deuil de beaucoup trop de monde. A venir
- Cela ne me dérange pas d’être le second, qu’il murmure en la regardant. Et mon manque de cicatrice prouve simplement que je suis plus doué. Mais j’accepte.
Même s’il était donc après Shikaku… Le fait que son corps était immaculé de cicatrice, pas une putain, ça prouve qu’il était doué. Et comme il était badass en plus… OUI, on a compris, le monsieur était donc plus doué… et un peu en train de bouder. Parce que sa cicatrice manquante, ça prouve simplement qu’il est le meilleur question protection. Voilà. Et peut-être, qu’il était le second mais s’il y a une guerre, on lui demande à lui d’aider. Et prout ! Oui, il sait qu’elle le trouve beau. Oui. Il sait qu’elle le trouve magnifique, même s’il ne comprend pas trop pourquoi. Il préfère aller sur un autre sujet. Il préfère clairement parler à autre chose. Comme leur mariage. Ouais, ça ne le choque pas plus que ça, lui. Lui, il était clairement prêt à se marier avec elle, ce soir, cette nuit, tout de suite. Aucune honte. Et il pensait réellement que la jeune femme était sa femme. Point. Il avait perdu trop de temps avec elle… Il avait clairement perdu un temps fou. Alors, il ne voulait pas le faire plus longtemps. Plus jamais. Il voulait être son époux, et inversement.
- Je suis déjà à toi, mon âme sœur. Je l’ai toujours été, et je n’ai été qu’à toi, même toutes ses années.
Il n’avait jamais pensé qu’à elle. Elle était la femme de sa vie, celle qui avait fait battre son cœur plus vite. Celle qui le voulait lui. Même si c’était en second position. Clairement, ce n’est pas grave … Tant pis. Même s’il était mieux (il boude encore un peu parce que c’était la preuve en image qu’il était le meilleur). Il boude (même si ça ne se voit pas trop sur son visage) et se laisse faire quand elle passe sous lui. C’était étrange, alors il se place un peu mieux, la prend dans ses bras et sourit. Un peu. Mais ça se voit en comparaison, y avait pas moyen.
- Je veux…Je veux tout. Je te veux en femme, qu’il dit en la caressant avec douceur, je te veux en mère de mes filles, et crois moi leur mère ne t’en voudra jamais, je te veux mère d’un autre enfant, je te veux dans mon cœur, dans mon lit, contre moi. Je te veux, Umi. Je t’ai toujours voulu je t’ai dis. Alors, tu peux tout prendre.
Il la tient dans ses bras. La tient dans un cocon de douceur 100% coton. Il la tient contre lui. Il fallait vraiment qu’elle comprenne.
- Dors, Umi. Demain, Hide viendra te voir pour vérifier ton état. Et tu iras mieux. Et je te laisserais plus jamais m’échapper. Et si tu dois partir …, il baille mais avec noblesse Hyuga jusqu’au bout, si tu dois m’être enlever encore, je me laisserais mourir pour te rejoindre…
Il cale sa tête contre le cou de la jeune femme et s’endors. Lui. L’homme qui restait toujours en alerte, toujours tendu, toujours incapable de se sentir bien, nulle part … il se laissait couler contre elle. Il se laissait devenir qu’un homme qui s’endors et … il ne le sait pas, mais un petit sourire de bonheur apparaît sur son visage alors qu’il s’endors. Il sent les mains de la jeune femme, mais ça ne fait pas naître de désir sexuel, juste du bien être. Il l’aime, cette femme. Comment avait-il fait pour vivre aussi longtemps sans elle ? Il ne le pourrait plus. Même si elle venait juste de revenir.