Wine isn't the only thing that gets you drunk (avec Edward)
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Edward
Mar 19 Sep - 17:15
David Levasseur
J'ai 35 ans et je vis à la périphérie de Bordeaux, France. Dans la vie, je suis Analyste Data et je m'en sors plutôt bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Jeunesse normale, parents de la classe moyenne, je les vois régulièrement mais cette partie est sans intérêts. Après un Bac scientifique, je me suis engagé dans la Légion Étrangère. J’y ai passé six ans avant de demander mon transfert dans la Marine Nationale ou j’ai alors suivi les stages Commando pour devenir Commando de Marine. J’ai alors fait dix ans chez les bérets verts. J’ai vu et fait des choses qui peuvent secouer le plus costaud des hommes et je ne peux pas parler de la majorité de ce que j’ai vécu. Toujours est-il qu’après une énième opération, j’ai demandé à rejoindre la vie civile. Je garde quelques souvenirs cependant, comme une longue cicatrice à la cuisse droite, deux autres, faites par des balles, au pectoral gauche et à l’épaule, ainsi que diverses petites marques. J’ai également un tatouage de la légion au biceps gauche, l’ancre de la marine à l’épaule droite, une tête de rapace sur le pectoral droit et une rose des vents entre les omoplates.
Après ce bref baiser, je m’étais légèrement reculé, laissant ma main sur sa nuque et effleurant sa peau de mon pouce. Je lui expliquais alors mon geste, avouant que j’avais eu envie de l’embrasser et que si je m’étais permis de le faire, je ne recommencerais que si elle en avait envie.
Nos regards se croisent alors qu’elle parait figée, hésitante. De mon côté, j’avais toujours la main posée contre la porte, frôlant son cou par-dessous ses cheveux soyeux. Alors, elle se dressait, venant capturer mes lèvres avec une délicieuse pointe de détermination, apposant sa main sur mon torse. Son corps, proche du miens, diffusait une délicate chaleur tandis qu’elle découvrait mes lèvres. Je pressais tendrement sa nuque pour appuyer un peu plus notre baiser, venant caresser ses lèvres de ma langue.
Après un long baiser plus fougueux que le premier, je frottais mon nez au siens avant d’avancer jusqu’à son oreille. J’ai attendu ce moment depuis lundi… Soufflais-je d’une voix chaude en effleurant son cou de mes lèvres. Je revenais chercher son regard, ramenant la main qui était contre la porte vers elle pour la poser sur sa hanche. Alors, je l’embrassais de nouveau, envoyant ma langue chercher sa consœur tandis que je m’approchais d’elle.
D’un geste doux, je venais presser mon corps contre le siens, réduisant la distance qui nous séparait à un vague souvenir. Je pouvais maintenant sentir son bassin, son ventre, sa poitrine contre moi, la douceur de sa peau sous mes doigts. J’avais envie de toucher plus de peau, de caresser plus de choses, d’embrasser d’autres endroits… Plongé dans l’intensité du moment, je passais ma main sous son t-shirt pour venir découvrir la peau du bas de son dos, m’immisçant sous son rempart de tissu, la pressant un peu plus contre moi. Je quittais ses lèvres pour embrasser son cou avant de le mordiller.
J’ai envie de découvrir chaque parcelle de ta peau… ! Susurrais-je d’une voix brûlant de désir.
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Scarlett Thompson
Dim 1 Oct - 20:52
Anna Johnson
J'ai 24 ans et je vis à Bordeaux, en France. Dans la vie, je suis développeuse spécialisée en codage et je m'en sors trés bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vivais plutôt bien, jusqu'à ce qu'il arrive dans ma vie. Anna est une jeune femme passionnée par les jeux vidéo, et plus largement par les systèmes informatiques depuis qu’elle est toute petite. Elle a toujours eu beaucoup de mal à sociabiliser avec les autres, mais derrière son écran, elle trouve que c’est plus simple. Elle est d’ailleurs particulièrement à l’aise sur les jeux de MMORPG. D’ailleurs, lorsqu’elle était petite, sa phobie sociale était tellement développée qu’elle avait du mal à faire parler son personnage avec les personnages non-joueurs.
Ses parents, d’origine américaine, sont repartis au pays il y a de cela 3 ans. Anna avait souhaité resté en France, et comme sa famille était aisé, ils avaient accepté de lui payer un appartement pour qu’elle puisse finir ses études. Elle les appelle environ une fois par semaine, souvent le dimanche ! Mais c’est rarement une partie de plaisir pour Anna qui subit toujours beaucoup de pression, notamment de sa mère, concernant ses problèmes sociaux.
Mon cœur battait tellement rapidement que j’avais du mal à suivre. J’avais du mal à comprendre ce qu’il venait de se passer, et comment j’avais pu l’embrasser de cette façon, par moi même. Je sentais sa main, puissante, presser mes lèvres contre les siennes un peu plus fort. Je sentais que mon corps tremblait tout entier, tellement j’avais peur de l’inconnu que j’étais entrain de découvrir. Sa langue venait chatouiller mes lèvres d’une manière aussi délicate que brûlante. J’avais l’impression que mon corps tout entier était en ébullition. Nos lèvres se séparèrent, mais son visage était toujours aussi proche du mien, à tel point qu’il venait frotter son nez contre le mien.
- J’ai attendu ce moment depuis lundi, lâchait-il d’une voix qui me procurait un frisson aussi violent que divin.
Je n’avais jamais été habituée à être aussi proche d’un autre être humain de toute ma vie. Il pencha sa tête sur le côté, dans un léger bruit de vêtements qui se plient, pour venir effleurer la peau de mon cou avec ses lèvres. Je fermais les yeux, profitant pleinement de cet instant, avant qu’il se relève la tête pour venir planter son regard dans le mien. Ses yeux m’en disaient long, sur ce qu’il prévoyait de me faire, si je lui en laissais l’occasion. Lui laisserais-je, d’ailleurs ?
Je sursautais légèrement en sentant sa main se poser sur ma hanche. J’avais à peine eu le temps de comprendre que ses lèvres donnaient un nouvel assaut aux miennes. Seigneur…, pensais-je tandis qu’il prenait ma bouche. Son corps venait se coller au mien, ce qui faisait monter la chaleur encore un peu plus, entre nous. Tandis que sa bouche sur mon cou m’arrachait un léger gémissement de surprise, je le sentais passer les frontières de mes vêtements.
- J’ai envie de découvrir chaque parcelle de ta peau, me confiait-il, toujours avec cette même voix, qui suffirait probablement à alimenter mes rêves pour des mois entiers.
Mais tout cela allait bien trop vite pour moi. Ma tête avait du mal à suivre, et j’avais l’impression d’avoir replongé dans mon état de lundi. Je sentais que mes jambes menaçaient de céder sous mon poids. Mon corps était chaud, et mon esprit embrumé. Ma main droite était toujours sur son torse, et ma main gauche la rejoignait pour venir le repousser avec délicatesse.
- Attendez, David…, commençais-je avec une petite voix qui démontrait à quel point je n’étais pas sûre de moi. Je… Vous devez savoir que j’ai… J’ai jamais…
Je laissais ma phrase en suspens, tout en reculant d’un pas pour retrouver la porte dans mon dos. J’avais eu envie de lui dire, pourtant, que je n’avais jamais eu ce genre de relation avec qui que ce soit auparavant. Je fuyais son regard, tandis que je regrettais déjà ma décision d’avoir mis fin à tout ça. Mais je sentais au fond de moi que je n’aurais pas pu supporter de continuer ainsi. J’avais toujours eu besoin d’y aller doucement, pour tout, et ça n’y faisait pas exception…
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Edward
Ven 6 Oct - 12:17
David Levasseur
J'ai 35 ans et je vis à la périphérie de Bordeaux, France. Dans la vie, je suis Analyste Data et je m'en sors plutôt bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Jeunesse normale, parents de la classe moyenne, je les vois régulièrement mais cette partie est sans intérêts. Après un Bac scientifique, je me suis engagé dans la Légion Étrangère. J’y ai passé six ans avant de demander mon transfert dans la Marine Nationale ou j’ai alors suivi les stages Commando pour devenir Commando de Marine. J’ai alors fait dix ans chez les bérets verts. J’ai vu et fait des choses qui peuvent secouer le plus costaud des hommes et je ne peux pas parler de la majorité de ce que j’ai vécu. Toujours est-il qu’après une énième opération, j’ai demandé à rejoindre la vie civile. Je garde quelques souvenirs cependant, comme une longue cicatrice à la cuisse droite, deux autres, faites par des balles, au pectoral gauche et à l’épaule, ainsi que diverses petites marques. J’ai également un tatouage de la légion au biceps gauche, l’ancre de la marine à l’épaule droite, une tête de rapace sur le pectoral droit et une rose des vents entre les omoplates.
Je percevais chacune des réactions de son corps, que ce soit ses frissons ou son léger sursaut lorsque je posais la main sur sa hanche. Je faisais danser sa langue de la mienne, venant frôler son corps du mien avant de me presser doucement contre elle. Je pouvais sentir la chaleur qui émanait d’elle, je prenais conscience de ses formes tandis que, curieux, je venais découvrir sa peau par-dessous son t-shirt. Le gémissement qu’elle venait de laisser s’envoler après que j’ai goûté à son cou me fit frissonner de désir alors que je lui avouais mon désir d’en découvrir bien plus.
Elle me repousse alors, de ses deux mains sur mon torse, doucement. Alors, hésitante, bredouillante, elle me laissait comprendre son inexpérience. Ceci fait, elle reculait de nouveau pour s’appuyer à la porte, cherchant à se soustraire à mon regard. Je souriais, me rapprochant lentement pour effleurer son anatomie de la mienne, caressant toujours le bas de son dos. Je me glissais à son oreille, décidant de ne pas lui imposer mes pupilles.
Je m’adapterai à vous Anna… Chuchotais-je pour lui indiquer que j’avais parfaitement compris qu’elle n’avait jamais couché avec un homme. Il n’y a qu’une chose qu’il est important de savoir… Continuais-je avant de mordiller son oreille pour déplacer mes lèvres vers la seconde, me collant un peu plus à elle.
Avez-vous envie que je vous conduise sur votre lit ? Que je vous dénude ? Que mes doigts s’aventurent sur votre peau ? Que mes lèvres se promènent sur vous ? Me débarrasser de mes habits ? ... Demandais-je d’une voix tranquille et suave. Désirez-vous le faire avec moi ? Soufflais-je finalement, espérant que ma façon de ne pas la regarder la rassure.
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Scarlett Thompson
Lun 23 Oct - 21:35
Anna Johnson
J'ai 24 ans et je vis à Bordeaux, en France. Dans la vie, je suis développeuse spécialisée en codage et je m'en sors trés bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vivais plutôt bien, jusqu'à ce qu'il arrive dans ma vie. Anna est une jeune femme passionnée par les jeux vidéo, et plus largement par les systèmes informatiques depuis qu’elle est toute petite. Elle a toujours eu beaucoup de mal à sociabiliser avec les autres, mais derrière son écran, elle trouve que c’est plus simple. Elle est d’ailleurs particulièrement à l’aise sur les jeux de MMORPG. D’ailleurs, lorsqu’elle était petite, sa phobie sociale était tellement développée qu’elle avait du mal à faire parler son personnage avec les personnages non-joueurs.
Ses parents, d’origine américaine, sont repartis au pays il y a de cela 3 ans. Anna avait souhaité resté en France, et comme sa famille était aisé, ils avaient accepté de lui payer un appartement pour qu’elle puisse finir ses études. Elle les appelle environ une fois par semaine, souvent le dimanche ! Mais c’est rarement une partie de plaisir pour Anna qui subit toujours beaucoup de pression, notamment de sa mère, concernant ses problèmes sociaux.
Je sentais que mon désir augmentait aussi rapidement que ma peur me tordait le ventre. Et puis, pourquoi ? Pourquoi lui ? Pourquoi maintenant ? Que devais-je faire ? Comment devais-je réagir ? J’étais complètement paniquée par sa situation. Oui, bien-sûr, cet homme me plaisait… Je n’avais pas tenté de l’embrasser par hasard. Mais… Et maintenant ? Maintenant que je n’étais plus sous l’effet de l’alcool ?
Je ne l’avais pas quitté des yeux, lui laissant probablement voir mon indécision à travers mon regard. Pour autant, son corps s’approchait de nouveau du mien, tandis que le désir dans ses yeux me coupait le souffle. Son sourire me faisait fondre, tandis que je devais lever la tête à mesure qu’il avançait vers moi, à cause de sa taille plus grande que la mienne. Ses caresses me faisaient frissonner, et me réconfortaient en même temps, ce qui me parut étrangement bon. Je fermais les yeux, tandis que ses lèvres approchaient de mon oreille.
Ses mots semblaient effleurer ma peau, la laissant encore plus chaude qu’à l’origine. Sa voix semblait déjà me déshabiller. Je sentais que le poids de son regard, gorgé de désir, s’était allégé sur mes épaules. En revanche, son souffle chaud sur la peau de mon cou me faisait frémir, et attisait encore davantage mon envie de lui. Je rouvrais doucement les yeux, jetant un coup d'œil à ma chambre, dont les volets étaient à moitié fermés. L’ambiance tamisée se prêtait parfaitement à la scène, ce qui me fit rougir. C’était comme si l’univers me poussait dans ses bras.
- Oui…, murmurais-je alors doucement, en refermant mes yeux, profitant de cet instant électrique encore nous.
Instinctivement, j’avais levé les bras pour venir poser mes mains contre son dos, comme pour figer cette scène encore un peu plus longtemps. Je sentais ses muscles à travers le tissu, me promettant de ne rien oublier, cette fois-ci. Quelques secondes plus tard, je relâchais un peu mon étreinte, lui signifiant que j’étais prête. David…, pensais-je alors. Prenez-moi toute entière.
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Edward
Mer 25 Oct - 11:45
David Levasseur
J'ai 35 ans et je vis à la périphérie de Bordeaux, France. Dans la vie, je suis Analyste Data et je m'en sors plutôt bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Jeunesse normale, parents de la classe moyenne, je les vois régulièrement mais cette partie est sans intérêts. Après un Bac scientifique, je me suis engagé dans la Légion Étrangère. J’y ai passé six ans avant de demander mon transfert dans la Marine Nationale ou j’ai alors suivi les stages Commando pour devenir Commando de Marine. J’ai alors fait dix ans chez les bérets verts. J’ai vu et fait des choses qui peuvent secouer le plus costaud des hommes et je ne peux pas parler de la majorité de ce que j’ai vécu. Toujours est-il qu’après une énième opération, j’ai demandé à rejoindre la vie civile. Je garde quelques souvenirs cependant, comme une longue cicatrice à la cuisse droite, deux autres, faites par des balles, au pectoral gauche et à l’épaule, ainsi que diverses petites marques. J’ai également un tatouage de la légion au biceps gauche, l’ancre de la marine à l’épaule droite, une tête de rapace sur le pectoral droit et une rose des vents entre les omoplates.
Un simple petit mot, une simple réponse à la question que je lui posais scellerait le reste de cette journée et, peut-être, de la soirée qui s'ensuivrait. Je lui avais démontré le désir qu’elle animait en moi et, elle m’avait largement permis de croire que ce désir était réciproque, même lorsqu’elle avait avoué n’avoir jamais rien connu de tel. C’est ainsi que j’en étais venu à poser clairement ma question, afin qu’il n’y ai pas de malentendu. J’avais envie d’un moment “spécial” avec elle, mais elle ?
C’est un murmure qui m’apporta la réponse, un murmure qui s’élevait alors qu’elle était tendrement prisonnière entre moi et la porte. Un murmure qui s’accompagnait de l’emprise raffermie de ses mains et de ses bras dans mon dos. À cette réponse, je me contentais de l’enlacer un peu plus, sous son haut, ceinturant le bas de son dos de mes bras solides. Finalement, elle relâchait son étreinte pour me signifier qu’elle était prête à naviguer avec moi. Alors, je lui embrassais le cou tout en passant ses jambes à ma taille.
La transporter jusqu’à sa chambre fut aisé et, une fois dans le lieu adéquat, je la déposais doucement sur son lit. Je ne prêtais aucune attention à l’environnement, savourant simplement la vue de cette jeune femme sur son lit. Avec délicatesse, je la débarrassais de ses chaussures avant de retirer les miennes. Puis, ce furent nos chaussettes qui s’envolèrent avant que je ne me penche au-dessus d’elle pour l’embrasser avec une passion que j’espérais rassurante.
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Scarlett Thompson
Dim 21 Juil - 3:46
Anna Johnson
J'ai 24 ans et je vis à Bordeaux, en France. Dans la vie, je suis développeuse spécialisée en codage et je m'en sors trés bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vivais plutôt bien, jusqu'à ce qu'il arrive dans ma vie. Anna est une jeune femme passionnée par les jeux vidéo, et plus largement par les systèmes informatiques depuis qu’elle est toute petite. Elle a toujours eu beaucoup de mal à sociabiliser avec les autres, mais derrière son écran, elle trouve que c’est plus simple. Elle est d’ailleurs particulièrement à l’aise sur les jeux de MMORPG. D’ailleurs, lorsqu’elle était petite, sa phobie sociale était tellement développée qu’elle avait du mal à faire parler son personnage avec les personnages non-joueurs.
Ses parents, d’origine américaine, sont repartis au pays il y a de cela 3 ans. Anna avait souhaité resté en France, et comme sa famille était aisé, ils avaient accepté de lui payer un appartement pour qu’elle puisse finir ses études. Elle les appelle environ une fois par semaine, souvent le dimanche ! Mais c’est rarement une partie de plaisir pour Anna qui subit toujours beaucoup de pression, notamment de sa mère, concernant ses problèmes sociaux.
Il m’avait rendu mon étreinte avec une force étrangement délicate, venant d’un homme si musclé. Ce câlin avait rempli mon cœur d’un sentiment tout nouveau que je n’avais encore jamais ressenti, et j’avais l’impression d’avoir envie de le crier à la Terre entière. Mais qu’était-ce donc ? Lorsque j’avais été prête, il était venu poser ses lèvres dans mon cou. Dieu, que c’était sexy… Je rougissais de plus belle, tout en tremblant de la tête aux pieds. Il me souleva de ses bras musclés, et je passais alors instinctivement mes jambes autour de sa taille.
Je plongeais alors mes yeux dans les siens, arrêtant le temps autour de nous. Qu’étais-ce donc que ce sentiment de chaleur que l’on semblait partager lui et moi ? C’était électrique, passionnant et rassurant en même temps. Mon cœur battait si fort pour lui que j’eus l’impression qu’il allait sortir de ma poitrine. Pourtant, il m’était impossible de, ne serait-ce qu’essayer, de le calmer. J’observais chaque détail de son visage, tandis qu’il était concentré, m’emmenant probablement dans ma chambre. Mais je m’en fichais, il aurait pu m’emmener n’importe où.
Le temps se remit à s’écouler normalement lorsqu’il me déposa sur une surface doucement et moelleuse qui devait être mon lit. Mais moi, je ne voyais que lui. Lui et son regard sérieux qui se baladait sur mon corps. Celui-là même qui était si concentré sur sa tâche, à savoir, retirer mes chaussures puis les siennes. Chacun de ses gestes me parurent prendre une éternité, mais j’aimais ça. Je profitais de chaque seconde. Il retira également nos chaussettes tandis que j’observais ses muscle tendre le tissu de sa chemise, ce qui me fit rougir encore.
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Lun 29 Juil - 12:21
David Levasseur
J'ai 35 ans et je vis à la périphérie de Bordeaux, France. Dans la vie, je suis Analyste Data et je m'en sors plutôt bien. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Jeunesse normale, parents de la classe moyenne, je les vois régulièrement mais cette partie est sans intérêts. Après un Bac scientifique, je me suis engagé dans la Légion Étrangère. J’y ai passé six ans avant de demander mon transfert dans la Marine Nationale ou j’ai alors suivi les stages Commando pour devenir Commando de Marine. J’ai alors fait dix ans chez les bérets verts. J’ai vu et fait des choses qui peuvent secouer le plus costaud des hommes et je ne peux pas parler de la majorité de ce que j’ai vécu. Toujours est-il qu’après une énième opération, j’ai demandé à rejoindre la vie civile. Je garde quelques souvenirs cependant, comme une longue cicatrice à la cuisse droite, deux autres, faites par des balles, au pectoral gauche et à l’épaule, ainsi que diverses petites marques. J’ai également un tatouage de la légion au biceps gauche, l’ancre de la marine à l’épaule droite, une tête de rapace sur le pectoral droit et une rose des vents entre les omoplates.
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