J'ai 39 ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis chirurgien traumato et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis divorcé et je le vis plutôt mal.
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En dehors des parents de Victoria, l’ancien lieutenant n’avait rencontré aucun membre de sa famille jusqu’à aujourd’hui et avait apprécié la poignée de main de son frère, ainsi que ce petit surnom. Ils ignoraient tout l’un de l’autre, mais il semblait l’apprécier malgré tout. En tout cas, ce dernier avait une jolie famille, et se mit à hausser les sourcils en apprenant qu’il n’était pas le seul à avoir des enfants. Finalement, leur appartement risquait d’être quelque peu étroit pour tout ce beau monde « Oui, suffisamment pour accueillir tout ce beau monde… Enfin je suppose ». Il n’était plus sûr de rien maintenant. L’entourage de Victoria était relativement nombreux. De son côté, pas de neveux et nièces. Ça devrait pouvoir entrer. Fallait-il d’abord leur en parler, mais ils avaient encore un peu de temps devant eux, et ce soir, Jacob voulait seulement profiter de la fête foraine en compagnie de la jeune femme, au lieu de penser à l’organisation des fêtes de fin d’année. Son petit coup d’épaule avait dévié la trajectoire du churros, et elle s’était décidée à recouvrir entièrement ses lèvres de chocolat avant de les tendre en sa direction, demandant un baiser. Cela l’avait amusé, avant qu’elle ne réitère sa demande avec un sérieux dès plus déstabilisant. Victoria voulait qu’il l’embrasse. Ce n’était pas seulement le ton de sa voix, c’était également cette lueur dans son regard qui l’appelait à elle. Pour autant, et malgré les battements saccadés de son cœur dans sa poitrine, Jacob prit le temps d’essuyer les lèvres de cette dernière. Il voulait que leur premier baiser ait une autre saveur que celui de la pâte à tartiner. Il ne dit rien en l’entendant s’excuser, mais ça le conforta dans le fait que sa demande avait été sincère. Elle ne s’était seulement pas attendue à ce qu’il ne réponde pas immédiatement à sa demande.
Ce temps qu’il prenait, c’était également une torture pour Jacob qui sentait tout son corps en émoi à l’approche de ce moment qu’il avait tant espéré. Ce fut donc avec une véritable douceur qu’il déposa ses lèvres, dans un premier temps, et réitéra avec davantage de conviction. Il sentit que c’était réellement ce qu’attendait Victoria en la sentant venir se blottir tout contre lui au même moment. Lorsqu’il mit fin au baiser, Jacob ne voulait plus s’empêcher de sourire et lui avoua qu’il perdait presque espoir de l’entendre lui formuler une telle demande. Il baissa son regard sur leurs deux mains jointes, et le releva pour croiser les prunelles de Victoria, soufflant un « Oui », et se leva. Il jeta au passage leurs emballages sans quitter la main de la jeune femme, entrelaçant ses doigts aux siens. Pas un mot jusqu’à la grande roue. Jacob donna discrètement un billet au gérant de la grande roue, lui demandant de stopper l’attraction quelques minutes lorsqu’ils seraient tout en haut. Il avait hésité, puis accepté, et le médecin avait pris place aux côtés de la jeune femme, son bras autour des épaules de cette dernière pour l’attirer à lui. Un premier tour. Et au second, la roue s’arrêta alors qu’ils avaient une vue imprenable sur toute la ville « Elle n’est pas en panne. Je l’ai payé pour nous laisser quelques minutes rien que tous les deux… Je n’ai pas envie que cette soirée s’arrête » souffla-t-il avec douceur. Il était pleinement heureux en cet instant précis. Il était comblé sur tous les aspects de sa vie, et il n’avait pas éprouvé cela depuis des mois, des années peut-être… Ils restèrent donc ainsi quelques minutes avant que la roue ne reprenne son tour, et ils finirent par en descendre « On doit aller chercher ta peluche ! ».
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Charly
Dim 26 Nov - 20:36
Victoria Ruiz
J'ai 33 ans et je vis à Miami. Dans la vie, je suis femme de ménage et nounou, histoire de joidnre les deux bouts et je m'en sors comme je peux. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis plutôt mal.
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Cela faisait déjà trop longtemps… Trop longtemps qu’elle retenait cette envie de lui. Alors lorsqu’il avait remis sur le tapis cette histoire de chocolat sur les lèvres, elle avait d’abord joué le jeu, et puis elle avait osé. Parce que son regard avait accroché le sien, parce qu’elle le voulait ce baiser. Sentir enfin ses lèvres sur les siennes. Un vrai baiser. Pas comme celui qu’elle lui avait volé l’autre matin avant de partir précipitamment pour son premier jour de travail. Mais lorsqu’il prit le temps d’essuyer ses lèvres, le doute prit possession de la jeune femme. Est-ce qu’elle avait outre passé les limites qu’ils s’étaient fixés ? Est-ce qu’elle avait mal comprit et qu’il allait lui dire gentiment qu’elle se trompait… Elle commença alors à s’excuser, avant de relever le visage vers Jacob et de sentir ses lèvres venir se poser sur les siennes. C’était doux, presque chaste. Elle cru rêver quelques secondes mais un second baiser arriva à la suite et elle le savoura un peu plus encore.
Même si elle ne comprit pas vraiment les mots de Jacob, elle ne voulait pas parler maintenant. Pas au milieu de la foule. Alors elle proposa de faire un tour de grande roue. Une fois en bas de l’attraction, elle regarda l’immense roue, et serra un peu plus les doigts de Jacob. Il était là. Elle pouvait le faire. Tout allait bien se passer. Après ce qui venait de se produire, impossible que la soirée soit gâchée. Une légère appréhension tout de même en montant dans la nacelle. « -j’ai jamais comprit pourquoi c’était pas plus sécurisé que ça… » il n’y avait qu’une petite chaise en guise de porte. La jeune femme ne se fit pas prier pour venir se blottir dans les bras de Jacob, et elle se détendit légèrement alors que la roue se mettait à bouger. Un second tour et une fois en haut, plus rien. Elle redressa la tête et interrogea Jacob du regard. Elle sourit à ses explications. « -on vit ensemble tu te souviens… » comme si cela pouvait répondre à ce qu’il venait de dire. La soirée n’allait pas se stopper net alors qu’il la raccompagnait chez elle. « -ok d’accord… la vue est magnifique… » souffla la jeune femme en prenant le temps de regarder vraiment le paysage.
Une fois en bas, elle ne lâcha pas pour autant la main de Jacob et ils allèrent choisir le peluche en question. Un énorme nounours. « -il te ressemble pas, mais je suis pas fan du singe. » les poils étaient tout doux. « -on prends des hots dogs ? » demanda la jeune femme en sortant son portefeuille. Elle passa commande et revint avec. Elle en tendit un à Jacob afin qu’il morde dedans, puisqu’il avait les bras chargés de leur nouveau imposant colocataire. A mesure qu’ils rentraient, elle lui donna à manger, souriante et heureuse. « -je suis vraiment contente qu’on soit sorti. » elle ne parlait pas forcement du baiser échangé, de ce pas franchit entre eux. Elle ne savait pas très bien où ça allait les mener. En disant cela, elle parlait de la totalité de la soirée, qui avait été très agréable. Elle avait eut la sensation de vraiment remettre un pieds dans la vie. La vraie.
Elle tourna la clé dans la serrure et ouvrit la porte en grand juste derrière elle pour laisser entrer Jacob et le nounours. Puis elle prit soin de refermer à clé, avant de poser sa veste, ses chaussures et son sac à main. Vic releva les yeux sur Jacob et elle sourit avec tendresse. « -donnes je vais aller lui trouver une place. » et surtout lui libérer les bras afin qu’il puisse lui aussi poser ses affaires. Elle déposa l’énorme peluche dans un coin de sa chambre, et sourit à nouveau. Lorsqu’elle revint dans le salon, elle souriait encore. Est-ce qu’ils devaient en parler ? Parce que c’était bel et bien arrivé et que Jacob avait confirmé qu’il en avait eu envie aussi. Visiblement, avant qu’elle ne le demande. « -depuis… depuis combien de temps tu… » elle baissa les yeux une fraction de seconde et termina sa phrase : « -depuis combien de temps tu en avais envie ? » est ce qu’il allait répondre… si ce n’était pas le cas, elle avouerait de son côté.
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Dim 26 Nov - 21:01
Jacob Reyes
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En acceptant l’invitation de la jeune femme à clôturer leur journée de repos à la fête foraine, pas une seconde Jacob n’avait envisagé que la soirée puisse prendre une telle tournure. Ce baiser… était presque inespéré pour celui qui s’était fait une raison, se rendant au difficile constat qu’il s’était bercé d’illusions en pensant qu’elle éprouvait les mêmes sentiments que lui. Finalement, il aurait accepté sa condition de meilleure amie si elle n’avait pas eu l’initiative de ces quelques mots. Sa main dans la sienne, s’avançant jusqu’à la grande roue pour conclure cette soirée, Jacob avait la sensation qu’il ne pouvait pas être plus heureux qu’en cet instant, et pourtant tout semblait si irréel depuis qu’il avait déposé ses lèvres sur les siennes. Il s’attendait encore à être brusquement réveillé par la sonnerie de son téléphone et se rendre compte que tout cela n’était finalement qu’un rêve… Un sourire étira les lèvres du chirurgien en entendant la remarque de Victoria qui venait de l’extirper de ses pensées « Tout ira bien. Je te protège », et donna un billet à l’employé de la grande roue pour leur offrir quelques minutes au sommet. Son bras autour de ses épaules, il la laissa se blottir tout contre lui. Lorsque l’attraction arrêta son ascension, il trouva pertinent de tout lui avouer et se mit à rire de bon cœur « Je me disais bien aussi que ton visage m’était familier » et déposa sa tête contre celle de la jolie brune, soufflant un « Je suis d’accord ». La vue était imprenable et magnifique. Ils étaient comme hors du temps, suspendu ainsi au-dessus de la foule. Puis la roue reprit son tour et ils sortirent de l’attraction sans le moindre incident.
Sa main toujours dans celle de la jeune femme, ils reprirent leurs marches pour se délester des tickets dûment gagné durant la soirée et se mit à rire « Je le prends pour un compliment » et donna lesdits tickets avant de se saisir de l’imposante peluche « Tu vas devoir me donner la becquée » alors qu’il la laissait prendre commande des hot-dogs pour eux deux. Il mordit dans le petit sandwich, la remerciant la bouche pleine, alors qu’ils quittaient d’un pas tranquille la fête foraine. « Moi aussi. C’était vraiment une belle soirée. On devrait refaire ça à l’occasion » et il était sincère. Jacob avait toujours aimé les fêtes foraines et il avait des années sans à rattraper. Ils finirent par arriver chez eux, laissant Victoria se charger d’ouvrir la porte alors qu’il était plus qu’encombré par l’imposante peluche dans ses bras « Je veux bien, merci » et la laissa s’en saisir. Il en profita pour retirer ses chaussures et retirer sa veste. Un sourire à l’attention de la jolie brune qui revint jusqu’à lui, mais il s’en départit relativement brusquement en entendant le manque d’assurance dans sa voix, et ce regard qui se baissa soudainement. Il appréhendait la question, jusqu’à ce qu’elle parvienne à la prononcer entièrement. Il se mit à réfléchir tout en se rendant dans la cuisine pour leur servir deux tasses de thé « Le soir d’Halloween, j’aurais aimé que ça soit toi qui m’embrasse, mais je pense que ça datait de bien avant. Je ne saurais pas vraiment te dire… Pourquoi ? » et lui tendit sa tasse « Et toi ? » alors qu’au fond, il craignait qu’elle lui dise que ce n’était qu’une envie soudaine qui était arrivé ce soir. « Et ça compte se reproduire ou… » et porta son thé à ses lèvres sans conclure sa question. Il savait de quoi il voulait parler.
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Charly
Dim 26 Nov - 21:17
Victoria Ruiz
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Elle qui appréhendait ce tour de grande roue, finalement elle l’apprécia. Peut-être parce qu’elle était légèrement sur un petit nuage… quoi qu’il en soit, elle ne fit pas de crise de panique, mais ne se détacha pas une seule seconde de Jacob pour autant. Vic apprécia la vue, tout comme la proximité qu’il y avait entre eux. Ils finiraient bien par en parler. Ça serait inévitable. Il le fallait. Mais pour l’instant, elle appréciait juste l’instant et surtout ne pas se poser de question à leur sujet. Ils étaient proches, et cela ne lui occasionnait aucune gêne. Pas comme depuis quelques semaines. Une fois le peluche choisie et les hots dogs en mains, elle sourit avant de répondre à Jacob : « -j’aimerais vraiment… et pas que la fête foraine. Je me disais aussi pourquoi pas une sortie cinéma ou autre chose. » elle avait comme la sensation d’avoir tout un tas de choses à rattraper.
Une fois chez eux, elle alla déposer le nounours dans sa chambre et lorsqu’elle revint au salon, elle osa poser une question. Enfin, elle mit le temps mais les mots finirent par sortir. Elle se dirigea dans la cuisine en même temps que lui. Ils avaient eu la même idée. Un peu de thé… Elle le laissa gérer tout en l’écoutant. Un hochement de tête. Ça n’était donc pas une envie subite… une sorte de soulagement s’empara de la jeune femme et elle le remercia pour la tasse de thé. « -parce que… cela fait quelques temps que… et bien que je savais pas si je me faisais des films parce que moi j’en avais envie ou si c’était vraiment réciproque. » elle comptait être sincère. Ils l’avaient toujours été. « -je crois que la première fois que j’en ai eu envie, c’était au Guatemala. » il l’avait ressenti, il lui avait même demandé si les choses avaient changé entre eux. Mais à ce moment-là, elle n’était pas prête pour ça. Aujourd’hui, c’était différent.
Victoria ne put s’empêcher de rire en entendant la question, enfin surtout les trois points de suspension que Jacob avait laissé à la fin de sa phrase. Ce n’était pas un rire moqueur. Non, c’était un rire joyeux et tendre. « -j’ai envie de te dire que… » mais elle fronça les sourcils car on venait de frapper à la porte. Sérieusement ? Un regard légèrement paniqué en tournant la tête vers Jacob. Est-ce qu’il avait encore une arme ? Non mais elle devenait parano. Si c’était pour les agresser, le type n’aurait pas frappé ! « -tu attendais quelqu’un ? » demanda la jeune femme en posant sa tasse avec lenteur sur le plan de travail. La conversation allait devoir attendre un peu.
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Dim 26 Nov - 21:57
Jacob Reyes
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Jacob n’aurait pas espéré plus belle soirée que celle-ci. Cela faisait bien longtemps qu’il ne s’était pas sentit aussi heureux, qu’il avait la sensation que tout cela relevait de l’irréel. Sourire aux lèvres, une imposante peluche dans les bras, marchant aux côtés de la jolie brune qui le nourrissait de bouchée de hot-dog au fil de leurs pas, il lui confia vouloir réitérer ce genre de sortie et sourit en entendant Victoria confirmer qu’il en était de même pour elle. A la différence que Victoria souhaitait diversifier également leurs sorties en tête-à-tête et ce n’était pas lui qui allait s’y opposer « J’aimerais beaucoup aller au cinéma avec toi » avait-il répondu avec douceur, encore sur son nuage de bien-être. En arrivant à leur appartement, il la laissa se saisir de la peluche et lui trouver une place pendant qu’il retirait chaussure et veste dans le salon. À son retour, il lui avait adressé un sourire de courte durée en la voyant baisser son regard au moment de l’interroger sur cette envie de l’embrasser, et à laquelle il avait finalement répondu ce soir à sa demande. Tout en lui répondant, il s’afféra à préparer deux tasses de thé et sourit avec douceur. La jolie brune avait éprouvé les mêmes craintes qu’il nourrissait depuis plusieurs semaines maintenant « Pourtant ce n’est pas faute d’avoir semé des indices sur ce que j’éprouvais pour toi bonito corazòn. Encore ce matin ». Le soir d’Halloween également, le chirurgien avait été dès plus honnête en lui confiant qu’il ne l’aurait pas repoussé si ça avait été elle qui avait déposé ses lèvres sur les siennes au lieu de l’amie de sa jeune sœur. Mais elle ne voulait pas le perdre. Il avait accepté, sans parvenir pour autant à faire taire ses sentiments pour elle. Il prit une gorgée de thé avant de garder son geste en suspens quand il baissa sa tasse. Le Guatemala. « Nous n’étions pas guéris autant l’un que l’autre à cette époque… Donc depuis tout ce temps… Pourquoi avoir tant attendu pour me le dire ? » finit-il par demander avec douceur, la couvant du regard avec tendresse. « Mon regard sur toi à commencer à changer là-bas ». C’était la première fois qu’il s’était rendu compte à quel point elle était belle, qu’il était resté interdit devant sa silhouette affriolante au bord du lagon.
Mais pour Jacob, une question subsistait dans son esprit. Elle lui avait demandé de l’embrasser ce soir, mais est-ce que c’était seulement une fois, pour savoir la sensation que ça prodiguait ou est-ce qu’ils allaient recommencer ? Parce qu’il ne voulait pas que ça cesse. Il était tombé amoureux d’elle et il espérait avoir plus de ce bonheur qu’elle lui offrait au quotidien. Sa question à peine formulée eut pour effet de la faire rire, et il pencha la tête sur le côté en souriant avec douceur, espérant que ce rire était une jolie promesse. Et alors que la jolie brune s’apprêtait à lui apporter la réponse qu’il attendait, on frappa à la porte de leur appartement. Un regard pour l’heure. Il fronça les sourcils « Non… Va dans la chambre et ferme à clef. N'ouvre sous aucun prétexte sauf si c'est moi qui vient te chercher» et ajouta « Je t’en prie Vic’ ». Quant à lui, il se dirigea jusqu’au meuble de l’entrée et récupéra l’arme qu’il gardait toujours avec lui, vérifia le chargeur et jeta un coup d’œil au judas avant de baisser la tête, de ranger son arme dans le tiroir et d’ouvrir la porte « Billy… » « Salut Jacob… Ma femme vient de me foutre dehors ». Un léger soupir et s’écarta pour le laisser entrer « Tu m’accordes une seconde » « Oui, oui, fait ce que tu as à faire ». Jacob se dirigea jusqu’à la chambre, frappa contre la porte « C’est moi » et posa sa tête contre l’encadrement de la porte « Un vieil ami à moi… Il vient de se faire quitter par sa femme et il n’a pas envie d’être seul. Je suis sincèrement désolé, j’aurais aimé que la soirée soit différente » murmura-t-il « Viens que je te le présente », et rejoignit son vieil ami « Billy, je te présente Victoria. Victoria, voici Billy » « Je pensais que tu étais seul » et vit Billy se lever, gêné de déranger « Non, non. C’est bon. Reste Bill. On vit ensemble depuis quelques temps, on aura d’autres soirées » et leva son regard sur la jeune femme en disant ces quelques mots. Comme elle l’avait dit dans la grande roue, ils vivaient ensemble.
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Lun 27 Nov - 10:42
Victoria Ruiz
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Une fois rentrée, Vic décida de parler un peu de tout ça. En soit, malgré ce qu’ils pourraient se dire, ça ne changerait rien au fait qu’ils s’étaient embrassés. Et qu’ils en avaient eu envie l’un comme l’autre. Un léger sourire en coin. « -c’était donc des indices… et non des hallucinations venant de mon esprit… » elle était en train de réaliser que ça faisait déjà un bon moment qu’il tenait à elle plus qu’à une simple amie. Ils semblaient s’être convaincu l’un comme l’autre que c’était impossible ou juste imaginaire. « -non, on l’était pas… » la preuve, ils étaient rentrés fâchés. « -et bien parce que tu as déclaré haut et fort que tu ne voulais plus tomber amoureux. Dans tes yeux c’était une idée tellement douloureuse que... » elle remonta les épaules, sa tasse entre les mains pour les réchauffer. « -que je me suis dis que si je déboulais en te disant : Jacob, mes sentiments ont changé, je suis désolée, je sais pas vraiment comment c’est arrivé… mais j’ai envie de toi et de plus qu’une merveilleuse amitié. » elle lui sourit et ajouta : « -dans ma tête y’avait que deux scénarios possibles. Soit tu partait en courant, soit tu me foutais à la porte. Tu avais été bien claire sur tout ça alors… » un nouveau haussement d’épaule : « -je voulais pas te perdre. Perdre notre amitié, notre complicité… » c’était bien trop important pour elle.
Bon, c’était un début de conversation. Et elle allait lui répondre que oui, elle voulait que ça se reproduise et qu’elle trouvait ça adorable qu’il en doute, quant on frappa à la porte. Victoria sentit un élan de panique monter en elle. « -quoi ?! Non ! » avait elle répondu en baissant d’un ton, se rapprocha de Jacob d’un pas. Puis elle avait rouler les yeux et abdiqué. Elle s’était rendue dans sa chambre, avait fermé comme il l’avait demandé, et avait coller son oreille contre le bois. Lorsque Jacob vint frapper, elle eut la sensation que ça faisait une éternité qu’elle attendait là, cacher comme une peureuse. Elle ouvrit et se regard se posa directement sur le salon, par-dessus l’épaule de Jacob. Puis elle le regarda lui. « -non… c’est rien. Elle a été parfaite cette soirée… » avait elle répondu avec un sourire doux. Elle comprenait parfaitement. Aucun souci. « -bonsoir… » souffla la jeune femme avec un petit signe de la main. « -oh non… » mais elle laissa Jacob terminer la phrase. Un sourire pour l’ami de Jacob et elle demanda : « -vous voulez boire quelque chose ? » tel que c’était parti, il allait dormir ici… enfin, si ça avait été son ami, elle ne l’aurait pas laissé repartir. Alors connaissant Jacob, il allait surement lui proposer de rester. « -vous avez mangé ? » demanda la jeune femme en s’approchant de la cuisine pour reprendre sa tasse de thé.
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Lun 27 Nov - 11:52
Jacob Reyes
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Jacob lui adressa un regard amusé alors qu’un petit sourire en coin venait se dessiner sur ses lèvres au moment où il observa la jolie brune prendre conscience qu’il n’avait fait que disséminer des indices depuis plusieurs semaines maintenant. « Et moi qui pensait que j’étais plutôt explicite dans mes propos » rétorqua-t-il aussitôt, faussement vexé, son petit sourire espiègle le trahissant. En fait, aucun d’eux n’osait voir la vérité en face, au risque de se méprendre et risquer leur amitié si précieuse. Au début, c’était parce qu’ils n’étaient pas prêt à aimer. Tel était le cas au Guatemala. Victoria le lui confirma. Par la suite, c’était parce qu’il ne voulait plus aimer… « Je ne le voulais plus. Puis mes sentiments pour toi ont changé et j’ai aimé ça » lui confia-t-il avec douceur, portant lentement sa tasse à ses lèvres, prenant le temps de souffler sur le liquide chaud pour en boire ensuite une légère gorgée. Son cœur se mit à battre un peu plus fort en entendant les paroles de la jolie brune. Envie de lui, et plus que leur amitié. Qu’est-ce qu’il aimait entendre ces quelques mots ! Il émit un petit rire devant l’ironie de la situation. Ils voulaient tous les deux la même chose, mais tous les deux se voilaient la face sur les attentions de l’un et l’autre « Alors qu’en réalité, je n’attendais qu’un geste de ta part pour t’avouer que je voulais plus aussi… J’avais peur que tu me repousses si je faisais le premier pas, parce que tu n’étais pas encore prête à plus… Et il y avait aussi ces paroles dans la chambre, le soir d’Halloween. Tu m’as dis ne pas vouloir perdre notre amitié quand je t’ai avoué que j’aurais aimé que tu m’embrasses ce soir-là… ». Tout cela avait des indices qui contredisaient finalement ce qu’éprouvait réellement la jeune femme face à lui « On a été si aveugle » répliqua-t-il avec amusement, parce qu’il ne souhaitait pas se dire qu’en restant ainsi, si aveugle, ils auraient pu finalement construire leur vie chacun de leur côté, en ignorant mutuellement leurs sentiments.
Enfin, à moins que la jeune femme ne voulait qu’un seul baiser… Est-ce que ça allait se reproduire ?! Elle n’eut le temps de répondre à sa question que l’on frappa à la porte. L’expérience faisait que Jacob n’était pas particulièrement serein face à cette visite inopinée au beau milieu de la soirée. Il exigea donc de la part de Victoria qu’elle se réfugie dans la chambre « S’il te plaît ! ». Il ne voulait qu’aucun mal ne lui soit fait. Tout cela pour finalement constater que ce n’était que Billy de l’autre côté de la porte, sa valise en main. Sa femme venait de le mettre dehors… Il le laissa entrer chez lui et rassura la jolie brune sur leur invité, tout en s’excusant de la tournure que prenait la soirée. Un sourire étira les lèvres de Jacob en entendant les quelques mots rassurants de Victoria « Merci… » et se recula, faisant les présentations. Un regard pour la jeune femme qui prenait soin de son ami, à boire, à manger. Il la couva tendrement du regard en cet instant, et la rejoignit en cuisine, glissant sa main dans le dos « Merci » et ajouta « Je vais lui laisser ma chambre. Est-ce que je… je …. Peux dormir avec toi… À moins que tu préfères que je prenne le canapé… Je veux dire, je comprendrais... » bafouilla-t-il. Il était encore bien timide et incertain après ce baiser échangé à la fête foraine. Il ramena un thé à Billy « Je t’écoute ». Un soupir de la part de son ami qui s’enfonça dans le canapé « Elle a rencontré quelqu’un d’autre. Il n’y a rien de plus que quelques discussions… Elle m’a dit être fatiguée de porter notre vie de couple et de famille à bout de bras. Comme Sharon, elle en a eu marre de vivre avec un fantôme ». Jacob baissa les yeux tout en acquiesçant « Sharon m’a quitté parce que je l’ai trompé Billy… ». Il vit le regard de ce dernier se poser sur Victoria « Elle est au courant » « Oh ! Ok ! Mais le souci venait tout de même de tes absences ». Jacob fit un signe de main pour lui donner raison « Elle va annoncer notre divorce aux enfants demain soir, avant le week-end. Il faut que je trouve un appartement, de quoi faire dormir Ryan et Annabelle » « Tu dors ici ce soir, et on avisera ensuite » répliqua Jacob tout en se levant pour se rapprocher de Victoria « Tu as besoin d’aide ? ».
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« -je… je crois que ça l’était… mais je… je sais pas… c’était peut-être plus rassurant de me dire que je m’imaginais des choses parce que de mon côté il y avait des sentiments plus fort. » c’était pour cela qu’elle avait répondu assez régulièrement par de l’humour. « -j’ai arrêté de dormir dans tes bras parce que c’était trop… trop dur de résister à cette envie de t’embrasser au réveil… » elle sourit : « -je crois que le plus difficile a été le lendemain de… enfin quand on a dormi à l’hôtel. Ce matin-là… c’était… je me suis fait violence… » oui, elle avait vraiment résisté. « -j’avais peur que tu crois que c’était le contre coup… » comme un besoin qu’il la rassure ou quelque chose comme ça. Elle se souvenait encore de cette envie de l’embrasser alors qu’il ouvrait à peine de les yeux. De cette envie que ses mains caresses sa peau, encore et encore. Et puis elle évoqua cette supplique qu’il lui avait faite. Qu’il ne voulait plus subir cet amour. Jamais. Elle ne put que lui sourire en l’écoutant. Ses sentiments avaient changé… « -tu avais donc peur que je te repousse… et de mon côté c’était la même chose… » qu’est ce qu’ils avaient été débiles… « -un geste ? Je t’ai embrassé en partant bosser, c’était pas assez comme déclencheur ? » elle avait dit cela en riant presque. Qu’est-ce qu’il avait imaginé comme geste ? Une banderole haut dessus de sa tête en gros néon clignotant ? « -parce que ce soir-là c’était vrai. » oui, lorsqu’ils avaient parlé ce soir-là, elle lui avait dit la vérité. Parce qu’elle était encore trop instable mentalement, parce qu’elle ne voulait pas le perdre et lui faire du mal. « -je t’ai déjà dit que ça rendait con… » sous-entendu : l’amour. Parce que c’était de ça dont ils étaient en train de parler. D’amour. De sentiments qui dépassent l’amitié.
Mais alors qu’elle s’apprêtait à lui dire que oui, elle voulait que ce baiser se reproduise, et qu’elle pensait qu’il aurait comprit cela tout seul, on frappa à la porte. L’ambiance changea. La tension était palpable. La jeune femme se résigna à faire ce que lui demandait Jacob et elle ressentit un immense soulagement lorsqu’il revint à sa chambre lui expliquer que c’était un ami dans le besoin et non un dingue qui avait frappé. Pas besoin d’excuses. Elle comprenait qu’il doive aider son ami. Elle sourit alors qu’elle préparait un sandwich pour Billy. « -tu en as d’autres des questions débiles ? » elle regarda Jacob et ajouta : « -tu comprendrais quoi ? Que je te demande de m’embrasser pour ensuite faire machine arrière ? » elle avait envie de l’embrasser à nouveau. Mais cela allait devoir attendre. « -donc la réponse est oui. Au cas où tu n’avais pas compris. » un sourire : « -et puis ça ne sera pas la première fois. » au contraire, elle avait vraiment envie qu’il dorme avec elle. Sa présence lui manquait, la chaleur de ses bras, son souffle régulier.
Elle apporta ensuite à manger à leur invité d’un soir, en écoutant la conversation : « -heu… pas avec moi… » précisa la jeune femme alors que Billy apprenait le faux pas de Jacob. Elle retourna dans la cuisine, ils n’avaient pas mangé grand-chose non plus… Et puis elle se sentait un peu comme une voyeuse au milieu de cette conversation. « -non, c’est bon. Pour faire des sandwich, je m’en sors. » pas besoin de grandes compétences en cuisine. Un regard pour Billy. « -il veut la récupérer ? » elle parlait de sa femme bien sûr.
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Lun 27 Nov - 13:03
Jacob Reyes
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Ils avaient été aveugles tous les deux, tentant de se convaincre que ce n’était qu’une mauvaise interprétation, percevant chaque parole et geste par le prisme de leurs propres sentiments. Il n’en était rien, et maintenant qu’ils prenaient le temps de l’évoquer à voix haute, ils constataient qu’ils s’étaient bel et bien fourvoyés en pensant un instant que tout cela n’était qu’illusion « J’ai longtemps agis ainsi, et j’aurais continué si tu ne m’avais pas demandé de t’embrasser tout à l’heure » et précisa « Maintenant tu sais pourquoi je t’ai dis ce matin être prêt à aimer de nouveau. C’est de toi dont je parlais, c’était pour toi que j’étais prêt ». Et maintenant qu’il y réfléchissait, il aurait pu lui dire de manière plus explicite pour qu’elle comprenne le changement abrupte de décision concernant sa vie sentimentale. Maintenant qu’ils avaient franchi une étape, Jacob comprenait le choix de la jolie brune de ne plus passer ses nuits avec lui. La tentation était trop grande. Il émit un petit rire tout en confiant « Tu n’as pas idée à quel point j’ai eu envie de toi ce matin-là ! ». La douche froide n’avait pas suffit à inhiber son désir pour elle. « Tu avais peur du contre-coup, et moi j’avais peur que tu me repousses parce que ça avait fait remonter à la surface les souvenirs de Roberto ». Ils avaient leur raison, et pourtant, ils avaient souhaités la même chose ce matin-là. Il se souvenait encore de son envie de goûter ses lèvres, de ce frisson qui l’avait parcouru à la caresse de ses doigts sur son torse. Une véritable torture. Finalement, ils avaient été habités par la même peur d’être repoussé, alors que pourtant, les sentiments de Jacob avaient bel et bien changé avec le temps. « Des craintes inutiles finalement » constata-t-il avec amusement maintenant. Il haussa ensuite les sourcils avant d’ouvrir la bouche, prêt à répondre, et s’abstenu, réfléchit et rouvrit la bouche de nouveau « J’ai pensé que ce n’était qu’une habitude que tu avais avec Roberto. Et si mes souvenirs sont bons joli cœur » et la désigna du doigt « Je t’ai dis que j’aurais aimé avoir le temps d’approfondir le baiser, et tu as pris mes paroles à la dérision ! Oui, oui ! ». Ce n’était pas la première fois qu’il formulait un tel aveu. Le soir d’Halloween également « Ok » souffla-t-il avec douceur. Jacob lui adressa un sourire timide aux mots qu’elle ajouta. Elle l’aimait. En tout cas, c’était ce que ça voulait dire. « Tu avais raison, mais ça vaut le coup d’être con ». En tout cas, avec elle, il était prêt à être stupide.
La petite frayeur qui suivit fut de courte durée. Ce n’était que Billy. Un vieil ami avec qui il avait fait son internat à l’hôpital de Miami. Ce dernier venait d’être jeté dehors par sa femme le soir même et avait trouvé refuge chez lui. Jacob allait donc lui prêter sa chambre ce soir pour qu’il ne passe pas la nuit dans sa voiture. Seulement, pour une question de logistique, ce dernier demanda à Victoria si elle acceptait qu’il dorme à ses côtés cette nuit. Il ouvrit la bouche, la referma et pencha la tête sur le côté en souriant avec douceur « Tu n’es pas prête ! » parce que oui, il risquait d’en avoir quelques-unes. « Que tu veuilles qu’on prenne notre temps et que c’était trop précipité de dormir ensemble ». Bon, finalement, maintenant qu’il l’avait dit à voix haute, ça lui semblait stupide de penser ainsi « J’avais compris » répliqua-t-il en riant doucement et ajouta « En effet ». Seulement, ça serait différent cette nuit parce qu’ils avaient franchi une étape dans leur relation, et pas des moindres. Intérieurement, il était ravi de son acceptation. Ces nuits avec la jolie brune blottie dans ses bras lui avait tant manqué. Il revint ensuite auprès de Billy qui évoqua sa situation personnelle, pas si éloignée de la sienne. Enfin à première vue. Jacob rétablit la vérité concernant son divorce, et tourna la tête en direction de Victoria « Non, Vic’ n’était pas ma maitresse. C’était ma coéquipière » et reporta son attention sur son ami « Celle qui est décédée en service ? ». Il acquiesça simplement de la tête et l’invita à poursuivre. Il y avait peu de chances que les choses s’arrangent entre eux. Il se leva pour s’assurer que Victoria n’avait besoin de rien « Pas de risques de tout faire brûler » souffla-t-il et posa son dos contre le comptoir en observant Billy « Je ne sais pas… ». Il se saisit de quelques verres et les apporta sur la table basse « Tu veux reconquérir ta femme ? » « Je ne suis pas aveugle, je crois qu’elle attend avec impatience la signature des papiers du divorce ». Il s’éloigna pour remplir la carafe d’eau, et revint auprès de ce dernier « Si tu veux, je connais une femme fraichement divorcée… » « Oh non ! Hors de question que tu me refourgues ton ex-femme ! », ce qui fit rire les deux hommes « J’aurais essayé ». Jacob remercia la jolie brune pour les sandwichs qu’il porta à ses lèvres. Après le repas, le trentenaire changea ses propres draps pour en mettre de nouveau, et continua de discuter jusqu’au beau milieu de la nuit. Il avait continué au thé pendant que Billy avait opté pour quelque chose de plus fort. Jacob l’avait aidé à rejoindre le lit, fermé la porte et avait rejoint la chambre de la jolie brune, retirant son jean et vint se glisser sous les draps, se blottissant contre cette dernière, ses bras autour de son corps et souffla un « Tu dors ? ».
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Charly
Lun 27 Nov - 14:05
Victoria Ruiz
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Vic avait ouvert la bouche, puis l’avait refermé. « -sérieusement ? Et tu allais continuer encore longtemps comme ça ? » et si elle n’avait pas eu ce genre de sentiments ? « -avant de… passer à l’action. » elle savait parfaitement qu’il était nul en drague, timide et mal à l’aise également avec les femmes qui pouvaient lui plaire. Chose qui n’avait jamais été le cas entre eux sauf… Elle capta. Sauf depuis quelques temps. Elle baissa les yeux sur sa tasse : « -quand je t’ai entendu dire cela, je me suis dit que… » un sourire pour son thé : « -je me suis dit que ça allait être douloureux de te voir avec une autre… mais qu’en tant que meilleure amie, je devais respecter ce choix. » elle releva son regard sur Jacob, puis elle avoua pour la chambre d’hôtel, son envie de lui ce matin-là, sa lutte aussi pour ne pas franchir cette limite. Elle lui sourit et répliqua : « -ne dis pas des choses comme ça… » ce n’était pas une supplique, plus une mise en garde. S’il se lançait sur ce terrain, elle n’était pas certaine de résister encore bien longtemps. Et ils finiraient par faire l’amour dans la cuisine. « -au contraire, je crois que cet épisode m’a poussé à aller de l’avant… » elle avait prit conscience de bien des choses ce jour-là, au sujet de Roberto et de la relation qu’elle avait avec lui. « -bien sur que j’ai pris ça à la dérision ! » clama Vic, parce que je voyais bien que ça t’avais mis mal à l’aise et… » elle remonta à nouveau les épaules devant l’évidence. « -et ok j’ai pas su ou voulu voir les signaux… » autant avoué qu’elle n’avait pas été à la hauteur. Mais finalement, elle ne regrettait pas d’avoir osé ce soir. Même si pour le moment, ils ne faisaient qu’en parler, et qu’ils gardaient une certaine distance entre eux. Comme pour mettre les choses au claire avant. Elle hocha la tête : « -je suis d’accord avec toi. » ouais, ça valait le coup, avec lui.
La conversation changea alors qu’un ami de longue date de Jacob avait trouvé judicieux de venir trouver refuge chez eux. Jacob lui demanda la permission de dormir avec elle, proposant également le canapé si jamais… si jamais quoi ? Vic trouva son attitude adorable. Elle pencha la tête sur le côté lorsqu’il réalisa tout seul ce qu’il venait de dire. Elle resta une petite heure avec les deux hommes, et puis elle décida de les laisser afin d’aller se coucher. Elle passa à la salle de bain, puis se glissa dans les draps. Elle commençait lentement à somnoler lorsque Jacob passa la porte de la chambre. Elle sourit en sentant son corps contre son dos et elle répondit d’une voix quelque peu ensommeiller : « -presque… » Vic se frotta les yeux, et elle se retourna pour faire face à Jacob. Dans la faible lumière que laissait passer les rideaux, elle l’observa quelques secondes avant de souffler à voix basse : « -tu lui a conseillé ton avocat ? »