Univers fétiche : Médiéval Fantastique (mais pas que)
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Edward
Mer 31 Jan - 18:23
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
Je hoche de nouveau la tête, entendant la sincérité dans sa voix lorsqu’elle dit être désolée pour ce que j’ai vécu. Elle ne dit rien d’autre, mais elle a déjà dit plus que ce à quoi je m’attendais. Ainsi, le chapitre “histoire de Franck” est bouclé et j’espère que cela lui permettra de mieux appréhender l’homme que je suis réellement. Tout danger est écarté du sol et, maintenant, j’ai envie d’un brin de légèreté.
J’avoue donc la trouver attirante, précisant que sa tenue actuelle ne fait que renforcer ce charme qu’elle dégage. Elle proteste faussement, en constatant que j'avais honteusement profité de sa tenue pour l'observer. Elle en vient à demander si ce n’est pas plutôt la tenue qui me pousse à dire cela. Alors, décidant d’en rajouter une couche j’apporte une précision.
Ben j’attendais que tu la retires pour être certain, mais vu qu’elle est toujours là, j’ai dû revoir mes plans ! Pouffais-je alors qu’elle se couvrait le visage d’un oreiller. En vrai, je n’étais même pas tout à fait honnête. Elle me plaisait, ce n’était pas qu’une simple attirance physique, c’était elle toute entière qui me plaisait. Alors, je ne bouge pas pendant qu’elle m’observe avant de me dire que je n’étais pas affreux. Sur le coup, j’éclatais de rire.
“Pas affreux” ? C’est déjà pas mal ! Hahaha ! Raillais-je avant de lui piquer son oreiller pour le lui lancer dessus en guise de féroce protestation.
Le calme revient rapidement et bientôt, je récupère une couverture que je déroule au sol. C’est alors que j’entends un soupir suivi d’un constat. En effet, le lit est assez grand pour deux, c’est généralement le concept d’un lit deux places. Si je commence à voir où elle en venir, ce n’est que lorsqu’elle fait sa précision que j’ai la certitude qu’elle m’invite dans son lit.
Je vois bien à son regard et à son intonation que cette invitation est strictement soumise au respect que j’aurais de la consigne.
Je ne bougerai pas de mon coin ! Affirmais-je en roulant la couverture que je fourrais dans le placard. Je retirais ma chemise pour ne pas avoir trop chaud et je la rejoignais donc en caleçon sous les draps. Je lui tournais le dos, observant la fenêtre dont le rideau était tiré.
Bonne nuit Sandra ! Soufflais-je doucement. Pour l’heure, j’étais perdu dans ma contemplation, le sommeil semblant me déserter.
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Mer 31 Jan - 19:00
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Chanson thème Sandra
Lorsque Franck m’indique à la blague avoir attendu que je retire ma culotte pour s’en assurer, je sens à la chaleur qui monte en moi que la rougeur doit s’être emparée de mon visage. Je pince les lèvres, laissant transparaître un sourire gêné, mais préfère garder le silence. Je me contente de rigoler doucement lorsqu’il s’offusque faussement à mon commentaire sur son physique. Je découvre une autre facette de ce Franck qui me plait bien. Mais n’oublie pas qu’il te retient contre ton gré, Sandra, me fait une petite voix intérieure. Non, je ne l’oublie pas…
Prêt pour la nuit, Franck s’allonge au sol et je prends un long moment à la réflexion avant de l’inviter timidement dans le lit. Je ne le lâche pas du regard tandis qu’il me rejoint et doit retenir mon souffle lorsqu’il retire sa chemise. C’est que… je ne l’avais pas vue sous cet angle. Lorsqu'il se couche à mes côtés, tournant le dos, je reste immobile, presque tétanisée. J’essaie d’appréhender ce qu’il se passe, car j’ai du mal à relâcher la garde. Enfin, j'éteins la lampe à ma gauche et m'allonge à mon tour. Mon regard demeure fixé sur lui, dans l'obscurité, une crainte profondément enracinée en moi survenant. Redoutant surtout qu’il ne cherche pas à en profiter dès que j’aurai les deux yeux fermés. Finalement, je ne réalise pas que je m’endort lorsque ma conscience cède au poids du sommeil.
Le dernier acte est sanglant
quelque belle que soit la comédie en tout le reste: on jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais. - B.P.
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Edward
Mer 31 Jan - 19:28
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
Debout Belle endormie ! On part dans trente minutes ! Soufflais-je à l’oreille de la blonde qui avait fini par dormir, étalée dans le lit. Toutes nos affaires étaient déjà dans la voiture à part ses habits et deux ou trois bricoles à manger. Je m’étais levé et douché puis habillé avant de tout ranger sans que cela perturbe son sommeil. Maintenant, j’essayais de la tirer doucement du pays des songes.
Une fois qu’elle fut prête, nous avions quitté le motel sans encombre pour rejoindre l’autoroute. La journée était grise, mais sèche, un temps impeccable pour rouler. Les premières centaines de kilomètres se firent sans problème, la voiture roulait parfaitement, la musique était bonne. Nous avions fait une pause repas et, malheureusement, ce fut là notre erreur. Ou plutôt, mon erreur. Un type m’avait reconnu, nous obligeant à dégager en vitesse. Hélas, de l’autre côté du bâtiment des toilettes, une voiture de police était en pause, pause qu’elle interrompit évidemment pour nous prendre en chasse.
Alors, comme la veille, je poussais l’auto à bloc, reprenant mes slaloms. Cette fois, cependant, je quittais rapidement la voie rapide pour m’esquiver dans les petites routes de campagne. Si cela secouait nettement plus, cela offrait également bon nombre de possibilités pour semer les poursuivants. J’empruntais un chemin de terre pour changer de route, changeant même d’état au passage. Cela dura une bonne heure de jeu du chat et de la souris lorsque, enfin, je me garais dans une grange au milieu d’une scierie désaffectée. La voiture face à la porte, prête à partir, j’avais fermé le hangar avant de me vautrer derrière le volant en soupirant bruyamment. J’allumais une cigarette pour m’aider à faire descendre l’adrénaline, envisageant l’endroit pour passer la nuit.
Pfouuu ! C’était des costauds les flics, aujourd’hui ! Soupirais-je en recrachant de la fumée. Au moins, cette fois, Sandra n’avait pas été malade, c’était plutôt positif.
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Mer 31 Jan - 20:12
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Girl, You'll Be a Women Soon:
Inutile de préciser que je ne suis pas du matin. Et c’est l’une des raisons pour lesquelles j’enchaîne souvent les petits boulots avant qu’on ne me mette à la porte et que ma réputation ne soit à refaire. Ce matin-là, ne fait pas exception. Je m’agrippe à mon sommeil la première fois que Franck tente de me tirer de mes songes. La deuxième tentative est la bonne. Je soulève mon corps tout endormi me rappelant où je suis et l’urgence de me bouger. Je vais m’enfermer dans les toilettes pour m’y rafraîchir et m’habiller. Après un moment d’hésitation - il faut dire que Franck a des goûts de chiotte en matière de fringue… à l’exception de ces bottes-ci - j’opte pour la jupe, les bottines que j’aime bien et la chemise que je porte déjà, enfilant un soutien-gorge sous celle-ci.
La matinée s’est déroulée sans encombre. Nous roulons sur plusieurs kilomètres durant lesquels je raconte à Franck les films incroyables dans lesquels ma mère a joué lorsque je reconnais passer à la radio l’une des chansons du film La Dame de Shanghai, dont elle était le protagoniste. Je lui apprends de ce fait qu’elle m’a laissée à mon père à un jeune âge pour se consacrer à sa carrière à Hollywood. Je n’ai jamais cessé de l’admirer et de regarder tous ses films étant enfant, espérant en grandissant parvenir à mon tour à apparaître sur le grand écran. — Mon père me disait qu’avec le sourire que j’ai, je pouvais oublier ! » Je me suis tournée vers lui, lui ai souri avec exagération pour renforcer l’effet, avant de m’esclaffer comme une folle sur mon siège.
Nous nous sommes arrêtés à un diner sur la route pour le plus grand plaisir de ma panse, même si ce petit détour nous a coûté une course-poursuite du tonnerre qui a manqué de me liquéfier de nouveau sur mon siège.
Enfin à l’arrêt et à l’abri des regards dans une vieille grange abandonnée, je demeure crispée sur mon siège tandis que Franck s’assure des environs. Mon cœur court toujours au rythme des sirènes dans ma poitrine et Franck ne pense qu’à s’allumer une cigarette en cet instant étrange. J’évite de le regarder. Quelque chose ne va pas, quelque chose ne tourne pas rond… dans mon esprit.
Encore à bout de souffle, je ne parle pas, essayant de me contenir. Contenir ce que je sens monter en moi… Mais toute cette tension me descend dans la culotte et, l’adrénaline encore dans tout le corps, je saute sur Franck à califourchon côté conducteur sans y repenser à deux fois. Je saisis l’instant pour l’embrasser avec fougue tandis que mes doigts empressés s’affairent à desserrer sa ceinture plus bas. J’ai une faim de lui qui me démange, que je ne m’explique pas et que je ne cherche pas à comprendre. Tout ce que je veux à l’instant, c’est évacuer cette putain de tension électrisante que j’ai dans tout le corps. Des coups de klaxons retentissent à plusieurs reprises par les va et-viens de mon corps tandis que je remonte ma jupe sur mes cuisses et sépare mes lèvres des siennes pour retirer ma chemise. Mais cela ne parvient pas à me ramener à la réalité pour autant.
Le dernier acte est sanglant
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Mer 31 Jan - 20:55
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
La journée avait si bien commencée, mais voilà, un connard d’automobiliste avait tout fait foirer et nous étions de nouveau planqués. Au moins, là, le risque d’être découvert était presque nul, le secteur était à l’abandon depuis au moins quinze ans et les traces les plus récentes étaient les nôtres. Sandra n’était pas sortie de la bagnole pendant tout le temps où j’avais fait le tour avant de refermer les portes, nous plongeant dans une ambiance tamisée de grange. Ceci fait, je m’étais posé dans la caisse, allumant une cigarette pour évacuer le trop plein d’adrénaline. J’ai le bras appuyé au rebord de la portière, fenêtre ouvert, essayant de fumer tranquillement.
Soudain, sans crier gare, la jeune femme se rue sur moi, venant se placer au-dessus de mes jambes, son souffle rapide et brûlant s’écrasant sur ma figure. Je n’ai même pas le temps de dire quelque chose qu’elle vient s’emparer de mes lèvres avec férocité. Je la sens même déjà s’agiter sur ma ceinture tandis qu’elle appuie sur le klaxonne à plusieurs reprises. Mon pantalon à moitié ouvert, elle s’attaque maintenant à remonter sa jupe avant de libérer mes lèvres pour retirer sa chemise, dévoilant l’un des trois soutien-gorge que je lui avais acheté.
Tu es sûre de toi là ? Demandais-je, profitant d’avoir retrouvé l’usage de la parole. Pour toute réponse, un nouveau coup de klaxonne retenti avant qu’elle ne reprenne mes lèvres sur les siennes. Je prends cela pour une confirmation. D’une main, je cherche la tirette permettant de baisser le dossier de la banquette avant de l’actionner, couchant le dossier dans la continuité de l’assise arrière.
Alors, je me recule sur le cuir, jouant des pieds pour me débarrasser de mes chaussures. Je viens poser mes mains sur ses hanches, commençant à les caresser, même si j’ai l’impression qu’elle n’a pas la tête aux préliminaires. Qu’a cela ne tienne, je fais disparaitre pantalon et caleçon, dévoilant mon membre qui se réveil, avant de glisser une main entre ses cuisses. Rien qu’en frôlant sa culotte, je m’aperçois que c’est un véritable brasier qui l’habite. Alors, je commence à caresser cet entrejambe humide et brûlant, laissant mes doigts sur son sous-vêtement. De toute façon, je crois bien que là, c’est elle qui va donner le rythme.
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Mer 31 Jan - 22:24
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Chanson thème Sandra
Franck ne s’attendait certainement pas à ce que je me jette sur lui comme je l’ai fait. Néanmoins, il n’a pas l’air de s’en plaindre. Au contraire, un mouvement de sa part nous fait tous les deux tomber par en arrière. Il tente quelques caresses, glissant une main entre mes jambes. Je ne quitte pas mes positions en me tenant bien au-dessus de lui, une main s’appuyant sur son torse tandis que de l’autre, j’entreprends hâtivement de retirer ma culotte. Aucune pensée ne me traverse l’esprit à l’instant, si ce n’est que je suis mon instinct et le sien. Si regrets il y a, ils seront pour plus tard. De ce fait, je ne répond pas à sa question, de crainte justement que je ne revienne trop tôt à la raison. Lorsque je le sens enfin en moi, je porte ses mains sur mes hanches qui balancent d’un rythme effréné au-dessus de lui.
C’est cru, c’est bref, c’est violent et sans amour, mais c’était bon.
En me redressant sur lui, je tire sur ma jupe pour la replacer et m’allume une cigarette que je pince entre mes lèvres, galérant à faire apparaître une flamme avec le briquet. Lorsque j’y parviens enfin, je m’assoie en tailleur sur le siège passager à côté de lui, fumant pensivement à la grosse connerie que je viens de faire. Je laisse tomber ma tête dans la paume de ma main un instant, avant de me redresser un peu la colonne pour souffler et cherchant mes mots, un sourire malingre aux lèvres. — Je suis… désolé. Je ne voulais pas te sauter dessus… comme ça… Je ferme les yeux et me frappe doucement la tête de la paume à ces mots, consciente que je ne pourrais pas mettre ça sur le coup de l’adrénaline.
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Mer 31 Jan - 23:11
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
Je ne m’étais clairement pas attendu à cela. Alors, certes, depuis la veille, quelques images aguichantes étaient passées dans mon esprit, le fait de m’être levé le premier m’avait d’ailleurs évité une situation embarrassante. Donc, oui, elle m’attirait, elle me plaisait et j’entretenais le secret espoir que…
En aucun cas, je ne m’étais attendu à ce qu’elle me saute dessus de la sorte ! Elle avait retiré sa chemise après avoir commencé à ouvrir mon pantalon puis avait remonté sa jupe… Alors, je nous avais donné plus d’espace, retirant pantalon et caleçon avant d’aller découvrir l’endroit qui, entre ses cuisses, réclamait une intervention rapide. Sauf que, entamant à peine quelques caresses, elle avait retiré sa culotte pour, sans attendre, me glisser en elle. Elle posait mes mains sur ses hanches et la suite fut… Sauvage et rapide.
Cela dura quelques minutes à peine avant qu’il n’y ait un effet de vases communicants qui me laissa sur le carreau.
Haletant, je l’observe remettre sa jupe et allumer difficilement une cigarette avant de s’asseoir à côté de moi. Elle semble soudain pensive puis abattue, se cachant le visage. Moi, je suis toujours étalé, à moitié nu, ce qui ne semble pas l’incommoder malgré tout. Alors, redressant la tête, elle affiche un sourire fragile, s’excusant de son geste, regrettant d’avoir agi de la sorte.
Je l’observe, son ventre, ses épaules, son cou avant de venir accrocher son visage. D’un geste doux, je lui caresse la joue.
J’ai été surpris… Mais je ne t’en veux pas. Dis-je en laissant un doigt glisser le long de son cou puis sur son épaule. Je me redresse un peu, approchant mes lèvres de son oreille.
Et si je te montrais ma façon de faire ? Soufflais-je d’une voix rendue rauque par un désir persistant alors que je laissais s'égarer mes doigts sur son ventre en de légères caresses.
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Jeu 1 Fév - 0:27
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
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Je replie mes jambes sur moi-même pour lui faire de l’espace lorsqu’il se redresse à son tour à bout de souffle. Une vraie dévergondée… Je me sens sale d’avoir agi de la sorte. J’ai une pensée pour mon ex-fiancé. Je le chasse de ma tête en allant écraser ma clope sur le cockpit, lançant un regard hagard vers Franck. Après tout, ce n’est pas comme s’il allait garder la bagnole. Si ? — J’ai été aussi surprise que toi, figure-toi... » que je parviens à articuler. Franck s’approche doucement de moi, saisissant mon visage au passage. Les yeux clos, je me laisse un instant aller à ses caresses avec frissons, avant de me ressaisir en secouant tranquillement la tête. Non, Sandra, non. Est-ce que coucher avec lui ferait de moi sa complice ? Trop tard, pour le coup. Secrètement et égoïstement, je crains surtout les répercussions de ce plaisir coupable. Mais je dois me l’avouer, la situation m’excite. Franck, aussi.
Ma tête penche par en arrière et ma respiration s’accélère à mesure que ses doigts vagabondent insidieusement sur ma peau, se frayant un chemin jusqu’à mon bas ventre. Finalement, au creux de l’oreille, Franck me propose de s’y remettre. Cette fois-ci, à sa manière. J’ai toujours le diable au corps, mais ce n’est pas l’adrénaline ce coup-ci. Alors, je le regarde. Avec une paillette de malice dans l’œil, je réponds par une question aussi indécente que sa demande. — Pourquoi m’as-tu acheté ces sous-vêtements si ce n’est pas pour me les arracher ?
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Jeu 1 Fév - 14:19
Franck McCall
J'ai 32 ans et j’aiun vieil appartement à Scarborough, Maine, USA. Dans la vie, je suis ce que l’on qualifie de criminel et je m'en sors moyennement. Sinon, grâce à ma malchance et un peu à la prison, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Je n’ai pas connu ma mère et mon père était un des gros bras d’un mafieux local. Inutile de dire que la violence, le crime, et autres joyeusetés du genre, ben j’ai grandis en plein dedans. C’est con, parce que je suis plutôt quelqu’un de malin. J’aurais probablement pu faire de grandes choses, avoir un super job, mais quand tu piques ta première caisse à onze ans, le ton est donné. Puis après, avec l’âge, le premier flingue qui tombe entre tes pattes. Pourtant, je ne m’en suis servi qu’une seule fois. Le problème étant que c’était la mauvaise personne. Non pas que je me sois trompé de cible, j’ai bien dégommé le type que je voulais, celui qui était en train de violer ma voisine. Là où ce mec n’était pas le bon, vient plus du constat accablant qu’il s’agissait du fils du procureur. Tout de suite, les années de prisons se multiplient. Alors, histoire de bien faire les choses, autant me transférer au Texas, dans une prison réservée aux plus grands connards que la terre ait portée. Heureusement, j’ai un plan pour me tirer, après dix ans, ça me suffit. Le seul souci, c’est qu’on est deux dans la cellule, je suis donc obligé de me coltiner ce porc de Jack.
Elle se repositionne pour me faire de la place avant d’écraser sa cigarette sur le tableau de bord. Cela ne m'interpelle même pas, ne comptant pas conserver la voiture. Elle avoue que son geste l’a aussi surprise que je l’ai été, laissant sur moi un regard à moitié gêné et à moitié ailleurs.
Je viens alors doucement parcourir son cou et son épaule, approchant mes lèvres de son oreille alors que, les yeux clos, elle secoue doucement la tête. Alors, tout en effleurant son ventre de mes doigts pareils à des plumes, je lui propose de lui montrer comment moi, je procède pour ce genre d’activité. Je me recule tranquillement, attendant sa réponse. Nos regards se croisent et je vois clairement une lueur étincelante dans ses yeux. Il semble que son désir ne soit pas plus entamé que le mien. Alors, elle me répond d’une question enflammée, s’interrogeant sur la raison de mon choix de ces sous-vêtements si ce n’était pour les lui retirer.
Il serait dommage de les abimer tout de même ! Cela dit, je reconnais avoir espéré pouvoir te les enlever…
Alors, je me penchais vers elle, venant chercher l’attache de sous soutien-gorge que je fais disparaître quelque part dans l’habitacle. Je me débarrasse de ma chemise et de mon t-shirt d’un geste impatient avant de faire glisser sa jupe le long de ses jambes.
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Lobscure
Jeu 1 Fév - 17:55
Sandra Palmer
J'ai 26 ans et je vis au Texas, USA. Dans la vie, je suis serveuse au diner du coin et je m'en sors avec des hauts et des bas. Sinon, je suis mythomane et je le vis avec quelques contrariétés. Pas les miennes, celles des autres. Si on demandait à tous ceux qui ont croisé son chemin, ils vous diraient que c’est le pire en l'humain qu'elle fait ressortir par ses bravades incessantes. Sa perspicacité devient piqûre. Ses rires, des ricanements sardoniques. Sa douceur, de la malice déguisée. Ses sourires, tyranniques. Et le pire est ; parce qu’elle est perspicace, elle sait piquer exactement là où il faut. Attaquer une faiblesse, une erreur, un trait de caractère. Sandra a aussi cette habileté de rendre sa perversion en actes candides et de son art de l’alchimie des mensonges et des vérités, de convaincre la laideur d’être beauté. Le chasseur est persuadé de son innocence jusqu'à ce que le fusil ne se retourne contre lui. Encore, faudrait-il que tout ce beau monde ait réellement existé pour en témoigner…
Avatar : Samara Weaving
Chanson thème Sandra
Franck m’avoue maladroitement avoir secrètement pensé à pouvoir me dévêtir de toute cette dentelle. Si j’avais su ça plus tôt, je me serais sûrement emmitouflé sous des tonnes de vêtements. Heureusement pour lui, à l’instant je fais fit de ma morale et des mœurs, m’abandonnant allègrement aux besoins de mon corps. Je n’ai pas été touché depuis belle lurette. La sécheresse, donc, et les circonstances, m’embrasent sans que je ne puisse y avoir aucun contrôle. Je prierais un « je vous salut Marie... nanana » plus tard.
Plutôt que de m’enflammer davantage, Franck approche doucement ses doigts de ma poitrine qu’il libère de toute cette dentelle. Il retire ensuite abruptement sa chemise et je le contemple ainsi faire sans rien dire, admirant les kilomètres de peau qui s’offre à moi. Je le laisse faire lorsqu’il me retire la jupe, me laissant nue sur la banquette. Je le laisse faire lorsqu’il m’allonge sous lui et lorsqu’il presse tout d’abord ses lèvres contre les miennes, souriant malignement à ce geste. Je le laisse faire lorsque ses doigts fourmillent sur ma peau, lorsque ses lèvres baisent mon corps, lorsque sa langue dessine mes formes et que ses dents marquent ma chair.
Bravo idiote… Il ne te laissera plus repartir aussi facilement comme ça… que me gronde une petite voix dans ma tête. Je la chasse.
Le dernier acte est sanglant
quelque belle que soit la comédie en tout le reste: on jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais. - B.P.