J'ai 35 ans et je vis à Washington. Dans la vie, je suis agent de la CIA et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien .
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La conversation reprenait de la légèreté, petit à petit ils se cherchaient comme avant. Faire monter la tension autrement quand se criant dessus, ils en étaient capable. Rien à foutre des lasagnes. Ce n’était pas ce qui intéressait Eli, là tout de suite. Elle était venue s’asseoir sur les genoux d’Ian et l’avait embrassé avec envie. Elle voulait retrouver l’osmose de leurs deux corps en train de s’envoyer sauvagement en l’air. Ça faisait trop longtemps. Elle en avait besoin. Elle voulait être certaine qu’il la désirait encore. La réponse arriva bien vite avec une demande étonnante, mais qu’elle adora. Elle faisait partie de ces femmes que le plaisir buccal ne dégoutait pas. Au contraire. Elle s’installa à genoux devant lui, appréciant la vue de ce membre tenue rien que pour elle. Bien entendu, elle joua encore un peu. Juste pour le plaisir. Elle sourit en l’entendant lui demander clairement cette fois-ci. Suce-moi… Elle fit lentement glisser ses lèvres autour de l’imposante colonne de chaire, se délectant du plaisir qu’elle était en train de lui donner. Elle aimait sa main dans ses cheveux, juste pour l’accompagner, sans rien forcer. Elle aima le sentir durcir de plus en plus, même si elle n’avait pas envie d’aller jusqu’au bout. Le sentir ainsi dans sa bouche, cela l’électrisait. Elle voulait le sentir en elle… si dur…
Elle joua une dernière fois avec sa langue, avant de se redresser avec lenteur, histoire de ne pas brusquer sa jambe. Elle lui rendit son baiser avec la même envie, cette même urgence. Rapidement elle fut nue elle aussi, souriant aux directives qu’il lui donnait. Une frisson la parcouru en entendant ces mots qui sonnait comme une délicieuse promesse. A genoux sur le canapé, dos à lui, cuisses écartées, elle n’attendait que lui. Et elle laissa passer un soupire d’intense plaisir en le sentant enfin entrer en elle. La douleur de ces dernières semaines lui avait fait oublier cette délicieuse sensation. Elle savoura ses caresses, son souffle, puis cambra un peu plus les reins. Premier coup de rein, premier oh oui… Elle s’agrippa au dossier, fermant les yeux pour se laisser submerger par ses sensations. C’était bon… « -oui va s’y… » c’était si bon. Elle aimait quand il lui faisait l’amour de cette manière. Elle sourit en l’écoutant. A elle aussi ça lui avait terriblement manqué. « -je te sens tellement bien… continue… » elle ne voulait pas qu’il s’arrête. Pas avant de l’avoir fait crier et jouir.
Il avait accentué la cadence de ses coups de riens, tous plus puissant les uns que les autres. Elle ne pouvait plus s’empêcher de crier. Mais elle le sentit ralentir et poser cette question. « -je m’en fou… baise moi Ian… j’en veux encore… » pour le moment, elle était concentrée sur son plaisir, sur ce membre imposant et dur qui allait et venait en elle avec puissance. Rien à foutre de sa jambe. Rien à foutre si elle avait mal ensuite. C’était de plaisir qu’elle voulait crier là tout de suite. Elle retira une main du canapé et vint la poser sur les fesses d’Ian, il était hors de question qu’il s’arrête maintenant. « -j’ai encore de la voix… alors continue… fais-moi crier… » ce genre de paroles, elle ne les avait jamais dites voir même penser avec son mari. Elle était jeune à l’époque. Avec Ian, ils s’étaient connus dans des circonstances particulières. Et cette sexualité franche, crue et presque violente découlait certainement de ça. Mais elle adorait ça. Elle n’avait pas envie que ça s’arrête. Elle aimait le voir la désirer, jouer avec lui, l’entendre lui dire qu’elle était bonne, qu’elle suçait comme une déesse et qu’il en voulait encore.
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Sam 27 Avr - 21:51
Ian Edwards
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Au moment où Eli prit la décision de mettre fin au dîner en prenant place sur ses genoux pour l’embrasser, Ian eut la sensation de revenir quelques semaines auparavant. Cette attirance si particulière entre eux ne s’était pas éteinte. Soudainement, les derniers évènements, le retour de Toby, leur dispute sans jamais en devenir … Tout cela n’avait plus aucune existence dans l’esprit de Ian qui s’était levé et qui lui avait demandé de le prendre en bouche. C’était la première fois qu’il osait formuler une telle demande. Parce que c’était Eli, tout simplement. Il n’existait pas d’interdit, de retenue entre eux deux dans l’intimité. Ils se donnaient l’un à l’autre sans crainte, sans compromis, modestie. Jusqu’à ces derniers temps, leurs étreintes avaient toujours été fougueuse, sauvage, presque bestiale. Ils s’autorisaient des mots, des gestes que jamais Ian n’avait osé entreprendre avec aucune autre femme avant elle. Néanmoins, son amante aimait jouer. Elle était aussi sensuelle que provocatrice. Elle se délectait autant de le voir à sa merci, que lui de l’être. Il aimait lui demander de le sucer dans une supplique, parce qu’il n’aspirait plus qu’à ça, sentir ses lèvres et sa langue habile caresser son membre tendu. Il avait glissé sa main dans ses cheveux, accompagnant son geste sans la contraindre à quoi que ce soit. Elle était parfaite, tout simplement. Eli savait ce qu’il aimait et comment il l’aimait. Il savourait, gémissant à son contact. Mais il voulait aussi la prendre, la faire sienne et la faire crier aussi fort qu’il lui était possible. Il voulait retrouver leur complicité d’antan. Il lui demanda de ne pas poursuivre jusqu’à la jouissance… à sa manière. Avec le peu de mot dont il disposait en cet instant. Elle joua une dernière fois avec lui et se redressa avec lenteur, avant qu’il ne prenne possession de sa bouche avec passion.
Tous les deux entièrement nus, Ian se glissa dans son dos, caressant sa peau et lui demanda de prendre position sur le canapé, la laissant écarter les jambes pour l’accueillir en elle. Il lui promit à demi-mot de la faire jouir si fort qu’elle n’aurait plus de voix. Il la pénétra avec lenteur, laissant échapper un soupir en écho au sien. Il caressa son dos, goûta sa peau, puis se saisit de ses hanches, avant de lui donner un premier coup de rein fougueux et violent. Il aima la voir s’agripper ainsi au canapé. Puis ces mots … Ian ne se fit pas prier et continua les vas-et-viens abruptes, fougueux et lui rappela à quel point il la trouvait bonne et que ces étreintes-là lui avait manqué. Qu’est-ce qu’il se délectait de l’entendre lui parler ainsi. Ian accentua alors la cadence, se montrant toujours plus puissant, plus bestial, mais se mit soudainement à ralentir. Il savait aussi qu’elle était blessée. Un sourire satisfait étira finalement ses lèvres « Tes désirs sont des ordres » et sentit la main d’Eli se poser sur sa fesse, confirmant ses dires. Elle voulait qu’il continue dans son élan. « Je vais te baiser comme jamais alors ». Tout en imprimant un geste langoureux, il ne manqua pas pour autant d’être puissant dans ses vas-et-viens, martelant son bassin contre elle sauvagement, laissant échapper des cris de plaisir et des « Eli… Encore… » tout en accélérant la cadence et la force de ses coups de reins jusqu’à atteindre l’orgasme qui le foudroya presque par sa puissance. Il sentit ses jambes flageoler et son cœur battre si fort. Il posa sa tête contre le corps humide de son amante, et réprima un petit rire nerveux, avant de se laisser tomber sur le canapé, entièrement nue et en sueur « Tu es le meilleur coup de ma vie… » et émit un petit rire « Tu vas me tuer » et tourna la tête vers elle « Mais quelle mort. En te baisant ». Il se pencha pour l’embrasser, et rétorqua « Je vais prendre quelque chose pour mon épaule, et si tu n’as pas trop mal, je veux bien te pilonner comme ça toute la nuit ». Un nouveau baiser et se leva, toujours nu, pour se rendre dans la cuisine et prendre un antidouleurs, et en apporta un à la belle brune « Comment va ta jambe ?» en enfilant seulement son boxer, et lui tendit la chemise « Je veux te savoir nue dessous » et s’approcha pour goûter son cou, puis souffla « On ira plus doucement si tu veux. J’en suis capable » et sourit. Qu’est-ce que ça lui faisait du bien ! Ce n’était pas seulement le sexe. Ça signifiait surtout que tout n’était pas mort entre eux ces dernières semaines. Il se rendit à table, observa les lasagnes « Elles doivent être froides maintenant. Plus aucun risque pour nos langues», ce qui le fit sourire.
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Charly
Sam 27 Avr - 22:26
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Elle avait fermé les yeux pour se concentrer exclusivement sur le plaisir qu’Ian lui donnait à la faire sienne de cette manière. C’était rare lorsqu’ils prenaient le temps ou qu’ils fassent ça en missionnaire classique. Elle aimait cette fougue, cette brutalité qui lui donnait la sensation d’être pleinement vivante. Quant à chaque parole qu’ils échangeaient, elle ne faisait qu’accroitre son désir. Il aurait pu lui claquer les fesses qu’elle ne s’en serait pas offusqué. Le sentir aller et venir en elle… c’était si bon. Alors, quant Ian ralentit ses assauts par pur précaution, parce qu’il venait sans doute de se souvenir qu’elle avait toujours cette blessure à la jambe et cette douleur omniprésente, la réponse d’Eli fut sans appel. Elle n’en avait rien à foutre d’avoir mal. Ce qu’elle voulait, c’était qu’il continue. Elle voulait crié à chaque coup de rien, qu’il la baise comme jamais. Ils en avaient besoin. Pour se retrouver, pour savoir que tout allait toujours bien entre eux, malgré les non-dits et les tensions autres que sexuelle.
« -redit-le… » lui demanda-t-elle. Elle voulait l’entendre à nouveau lui dire qu’il allait la baiser comme jamais. Elle aimait tellement savoir qu’il la désirait avec tant de force. Ian reprit ses vas et vient et Eli ne pu retenir des cris de plaisir intense. Des oui, des vas s’y, des encore et des plus fort. Elle lâcha même un « -j’adore quand tu me baises comme ça… » Lorsque l’orgasme pointa le bout de son nez, elle lui demanda d’accélérer, de ne surtout pas s’arrêter. « -je vais jouir… t’arrêtes pas… » elle cria son plaisir sans retenu et s’agrippa de toutes ses forces au canapé. Ses jambes ainsi que tout le reste de son être, tremblaient. Elle sourit en l’entendant rire, avant d’ouvrir les yeux. Elle déplia ses jambes avec lenteur et se laissa tomber sur le canapé. « -ça fait du bien… » c’était la stricte vérité. Elle venait de prendre un shoote de plaisir intense. Elle rit avec lui. « -si on dois choisir comment mourir, je vote pour ça. » Avec douceur elle posa sa main sur sa cuisse fragilisé et massa la zone douloureuse. Un sourire amusé et elle répondit : « -je vais prendre une double dose d’anti-douleur. Rien à foutre si je peux plus marché demain. » expression à double sens qui la fit sourire.
Elle s’allongea sur le canapé, entièrement nue, et attendit qu’il revienne. « -merci… » elle se redressa et goba ce qu’il lui tendait avec un verre d’eau. « -pour le moment, c’est encore à chaud alors ça va. » elle n’allait pas mentir, ce n’était pas la perfection. Mais c’était largement supportable. « -je crois que tant que c’est toi qui fournit le plus d’efforts, ça ira. » elle ne se voyait pas le chevaucher ce soir. Mais elle leur faisait confiance pour trouver des postions tout aussi intense et qui pouvait ménager sa jambe. Après tout, il lui avait confié avoir étudier le sujet. Eli le laissa rejoindre la table, le regardant du coin de l’eau tout en enfilant sa chemise. Elle huma l’odeur, et sourit pour elle-même. « -parfait parce que tu n’as pas encore utilisée la tienne. " Elle l’embrassa et ajouta toujours cette même provocation : « -et j’aime ça quand tu l’utilises entre mes cuisses. » un nouveau baiser avant de s’asseoir dans un soupire. Elle avala l’eau de son verre avec lenteur, et soupira de bien-être à nouveau. « -ça m’avait manqué… cette alchimie… » il l’avait dit pendant, elle voulait lui faire savoir qu’elle était d’accord. Qu’à elle aussi ça avait manqué.
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Dim 28 Avr - 10:12
Ian Edwards
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La douleur dans sa jambe n’était plus une préoccupation pour son amante. Sa main sur sa fesse, elle l’encourageait à reprendre l’assaut de ses vas-et-viens en elle. Eli voulait crier son plaisir aussi fort qu’il le lui avait promis, qu’il l’a baise comme si c’était leur dernier jour sur Terre. Ian ne se fit pas prier davantage et le lui promis implicitement. Un sourire satisfait se glissa sur ses lèvres « Je vais te baiser comme jamais Eli » tout en reprenant un rythme plus soutenu. À sa demande, Ian se montra plus vigoureux, voire même violent dans ses coups de reins, se délectant de l’entendre ainsi. Elle adorait ça et rien que ces mots lui donna envie de se sentir plus profondément en elle, il donna donc un coup de rein plus sec « Comme ça ? C’est ça que tu aimes ?! » et continua dans son élan, accélérant même ses vas-et-viens avec cette même posture animale, jusqu’à ce que l’orgasme ne les assaille de plein fouet. Qu’est-ce qu’il aimait l’entendre crier ainsi, se contracter autour de son membre. C’était délectable au possible. Ian se laissa tomber sur le canapé, à bout de souffle, le corps en émoi, la peau en sueur. Il ne put retenir un rire. Eli était son meilleur coup et se dire que ça serait ça son quotidien… Ça le faisait frissonner. « Oh mon dieu que oui ». Ils en avaient eu tous les deux besoins après les deux semaines de retenues qu’ils s’imposaient pour ne pas se faire du mal. Cette fois-ci, ils avaient été en parfaite osmose. « Je vois déjà inscrit sur notre épitaphe « Ils sont morts en jouissant de la vie » et rit de nouveau sous l’effervescence du moment. Ian s’inquiéta toutefois pour sa jambe et aima la réponse qu’elle lui apporta « Oh mais mon ange, je peux d’ores et déjà t’assurer que tu ne pourras plus marcher demain » répliqua-t-il en se redressant, l’embrassant à pleine bouche, comme la promesse d’une nuit d’orgasmes successifs. Ils avaient tout le temps pour dormir ensuite.
Entièrement nu et sans la moindre envie de se revêtir, Ian se dirigea dans la cuisine, ramenant des antidouleurs à Eli, ainsi qu’un grand verre d’eau. Il marque toutefois un arrêt à proximité du canapé, poussant un soupir de frustration et d’envie en la voyant ainsi, nue et à sa merci sur le canapé « Tu es une torture à toi seule, tu le sais ? » et lui tendit les comprimés. Ils allaient en avoir besoin pour apaiser la douleur de leurs blessures, parce qu’ils avaient besoin de se retrouver l’un et l’autre cette nuit. « On va faire en sorte que ça reste chaud » tout en souriant avec douceur et acquiesça « Je vais m’occuper de toi, et tu n’auras qu’à savourer » tout en enfilant uniquement son boxer. Ils rejoignirent la table et jeta un regard à Eli qui avait encore faim de lui. Parfait. Lui aussi. « Si tu continues à me dire des choses pareilles, on ne va pas manger » avant de lui rendre son baiser. Ils finirent par prendre place à table et tout en continuant d’arborer son sourire, releva ses yeux sur elle « Moi aussi… J’espérais qu’elle soit toujours là » et prit une bouchée de lasagne tout en la dévorant du regard « J’avais prévu un dessert… mais je viens de changer le menu ». C’était elle qui le serait. Ian ne prononça pas le moindre mot durant le repas, la dévorant du regard. Ce n’était pas de lasagne qu’il désirait. « J’ai envie de te baiser, alors finis vite » finit-il par lâcher en s’essuyant la bouche.
Dans ses souvenirs, Ian n’avait jamais mangé son assiette aussi rapidement, mais il avait d’autres projets en tête. A peine arrivé dans la chambre, qu’il retira son boxer et la chemise d’Eli, puis l’encouragea à prendre place sur le lit « Je crois que tu veux ma langue entre tes cuisses. C’est ce que tu m’as dit ? » et finit glisser sa dite langue à l’intérieur de sa cuisse gauche, puis la droite « Comme ça ? » et déposa ses lèvres sur sa peau, effleurant sa féminité pour venir embrasser son ventre, puis redescendit avec lenteur jusqu’à sa féminité qu’il lécha, caressa de sa langue avec habilité sans la quitter des yeux. Se délectant de la vue qu’elle lui offrait. Ian aimait lui donner du plaisir ainsi, la goûter de la sorte jusqu’à ce qu’elle jouisse. Il remonta jusqu’à sa bouche qu’il embrassa, puis lui souffla « Allonge-toi sur le ventre ». Il voulait prendre soin de sa jambe, alors il s’occuperait d’elle de manière à qu’elle n’ait pas mal et qu’elle savoure seulement. De tout son corps, il prit place sur elle, son corps entièrement moulé au sien, et fit glisser son membre en elle avec lenteur, puis ondula lascivement du bassin, langoureusement, à la limite de la sensualité, une main sur la fesse d’Eli. Ses lèvres se posèrent dans son cou, et murmura « J’aime te prendre de toutes les manières possibles ». Peu à peu, il se montra un peu plus fougueux tout en gardant une certaine souplesse dans ses mouvements « J’ai envie de te baiser plus fort Eli… Si fort… ». Il se retira finalement d’en elle, et la fit se retourner pour qu’elle lui fasse face alors qu’il prit place à genoux devant elle. Ian se saisit de ses jambes qu’il posa sur ses épaules, les enserrant dans ses bras et la pénétra de nouveau avec plus de violence. C’était ce qu’ils aimaient après tout. Le premier coup de rein fut abrupte, sec, violent, à l’image de ceux qui suivirent. « Oh Eli … » cria-t-il tout en continuant de marteler sa virilité en elle avec intensité, allant de plus en plus fort et de plus en plus rapidement, jusqu’à atteindre la jouissance qu’il cria avant de laisser retomber les jambes de son amante sur le lit et de prendre place, la tête entre ses seins « Laisse-moi… » il déglutit avec difficulté, à bout de souffle « Quelques minutes… Et je m’enfonce de nouveau en toi » il émit un petit rire « Tu ne vas plus pouvoir voir ma queue demain matin » et déposa ses lèvres sur sa peau. Ils firent l’amour toute la nuit, entrecoupée de discussion légère et simple, et ils avaient finis par s’endormir au lever du jour, jusqu’en début d’après-midi. Ian ouvrit les yeux en premier et déposa ses lèvres sur son épaule nue, avant de se lever pour préparer le petit-déjeuner. Il retourna ensuite dans la chambre, caressant la blessure d’Eli en espérant qu’elle n’aurait pas mal et déposa ses lèvres sur sa peau « Eli, réveille-toi mon amour » et lui sourit « Comment tu te sens ? ».
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Dim 28 Avr - 14:25
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L’un comme l’autre, ils étaient à bout de souffle, en sueur et comblés. Eli eut besoin de s’allonger un instant, histoire retrouver ses esprits, mais également de détendre sa jambe. Un léger rire : « -j’aime bien ! » au sujet de ce qui pouvait être inscrit sur leurs tombent. Ce soir, elle choisissait les anti douleur à forte dose, pour pouvoir profiter de lui et du plaisir qu’ils pouvaient se donner mutuellement. Ce n’était sans doute pas conseillé par son chirurgien, mais elle s’en foutait complètement. Une nuit entière à s’envoyer en l’air de la sorte, c’était un programme parfait à ses yeux. Elle lui rendit son baiser avec la même envie, avant de rire. « -on fera cinéma ici alors ! » c’était bon de l’entendre rire, de l’entendre de nouveau s’adresser à elle de cette façon. Eli avait la sensation de revenir en arrière. Et elle appréciait vraiment cela…
Elle tourna légèrement la tête avant de sourire en entendant son commentaire. Ça faisait bien longtemps qu’elle ne s’était pas installée ainsi, alanguit, nue, presque sereine. Elle n’avait pas envie de penser à la douleur, à la possibilité que le lendemain elle aurait mal… ce soir, elle profitait de lui, de cette vie à deux dont ils avaient rêvé. Un léger rire et ce regard plein de malice. « -ça me va… » Elle n’allait pas s’en vouloir. La plus part du temps, c’était Ian qui prenait les commandes. Pas de changement ce soir, juste pour éviter de trop douiller. Par sécurité… Par plaisir aussi… parce qu’elle ne disait pas non à une nouvelle partie de jambe en l’air comme celle qu’ils venaient de vivre. « -si. Si juste un peu… Histoire d’avoir des forces… et puis tu as cuisiné, et j’aime quand tu cuisines… » elle savait qu’il prenait plaisir à le faire, pour elle. Alors ils allaient manger ces lasagnes et reprendre ensuite leur activité. Un sourire tendre : « -je crois… je crois qu’on a besoin de trouver nos marques… on le savait l’un comme l’autre. » oui, ils savaient que ça ne serait pas forcement facile. « -oh… c’était quoi ? » demanda Eli curieuse et gourmande. « -j’en mangerais après… » elle sourit. « -nue… allongée dans le lit… » elle se mordit la lèvres inférieure tout en souriant. En entendant sa demande à la fin du repas, elle avala rapidement les deux dernières bouchées et leva les deux mains : « -finis ! J’ai finis ! » comme si c’était un top départ.
Rapidement ils furent de nouveau nus, rapidement il la fit de nouveau frissonner avec ses mots. « -oui mange-moi… » souffla Eli alors qu’il commençait à jouer avec elle. A son tour elle glissa sa main dans ses cheveux, alors que de l’autre main elle malaxait l’un de ses seins. « -ajoutes tes doigts… » lui avait elle demandé dans une supplique qui laissait entendre tout le plaisir qu’elle prenait. Malgré l’orgasme qu’il venait de lui donner, elle avait encore envie de lui. Elle l’embrassa avec passion, moulant son corps au sien. Elle s’allongea à sa demande, et souffla de plaisir en le sentant entrer en elle. Elle aima le poids de son corps sur les siens, la lenteur de ses mouvements de bassin, ses lèvres dans son cou, ses quelques mots à son oreille. « -continue… c’est bon… » La bouche ouverte, chaque mouvement lui arrachait un gémissement. « -oui plus fort… » avait elle soufflé comme pour lui répondre qu’il pouvait y aller.
Il la retourna comme une crêpe, l’attira à lui, déposant ses jambes sur ses épaules. Elle se redressa légèrement sur les coudes, mais se laissa rapidement retomber quand il reprit ses vas et vient avec bien plus de puissance. Elle plongea son regard dans le sien et ne le perdit pas un seul instant. Elle adora le regarder, jouer aussi, en lui lançant un regard de braise. Elle jouit avant lui, et eut le temps de le regarder jouir à son tour. Elle sourit en voyant son visage afficher son plaisir. Avec lenteur, elle écarta les jambes, et glissa ses doigts dans les cheveux d’Ian. « -je crois… je crois que j’ai besoin de quelques minutes aussi… » elle lui sourit en caressant ses cheveux. Puis elle rit : « -je l’aime ta queue et je l’aimerais toujours tant qu’elle bandera pour moi. » ils passèrent une nuit délicieuse. Elle avait mangé son fondant au chocolat, allongée dans les draps, comme promis. Elle lui avait donné une cuillère sur deux, riant et discutant de sujets légers. Puis elle avait embrasser son torse, son ventre, jusqu’à sa queue, qu’elle avait reprit en bouche avec une envie certaine. Un regard aguicheur, et elle l’avait même laisser imprimer un certain rythme, sa main dans ses cheveux. Ils avaient baiser le reste de la nuit, s’amusant, se découvrant encore un peu plus. Sans la moindre retenu dans leurs gestes ou leurs mots.
Au matin, elle dormait à poings fermés, nue dans les draps. Un frisson la parcouru lorsque les lèvres d’Ian se déposèrent sur sa peau. Elle ouvrit les yeux avec difficulté, prenant le temps de s’étirer, féline. Elle ne répondit rien à part un : « -chut… » et le guida un peu plus à gauche, ses doigts dans ses cheveux. Elle n’avait pas envie de revenir à la réalité tout de suite, de bouger sa jambe et de se rendre compte que la douleur était revenue. Non, elle voulait encore qu’il joue avec sa langue habille entre ses cuisses. Elle jouit rapidement et l’invita à remonter vers elle. « -bonjour… » un sourire. « -tu sais… je me disais qu’on pouvait faire ça à chaque fois que tu es tenté par un verre… bon peut-être pas toute la nuit hein… mais ça devrait remplacé le besoin non ? » elle disait cela sans vraiment le penser. Elle voulait seulement qu’il ait plus envie d’elle que de boire et de s’auto-détruire. Elle l’avait choisi lui, c’était à son tour de la choisir plutôt que sa maitresse la bouteille. Elle glissa ses doigts autour du membre tendu d’Ian, et demanda : « -qu’est ce que tu en penses… » d’une voix pleine de désir et un sourire sur les lèvres, sa main imprimant un mouvement de va et viens.
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Dim 28 Avr - 15:01
Ian Edwards
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Ian n’était pas certain que leurs chirurgiens respectifs autorisent le sexe dans leurs états, mais ça n’avait aucune importance à leurs yeux. La douleur physique était plus supportable que l’éloignement qui s’était insinué entre eux ces derniers jours. Il avait aimé sentir ses lèvres autour de son membre, et avait savouré de la prendre sauvagement contre le canapé. Pour la première depuis ces trois dernières semaines, il avait eu la sensation que leur relation était redevenue celle qu’ils avaient créé en infiltration. Sans filtre. À se donner l’un à l’autre avec cette puissance, ils finiraient sûrement par mourir sous l’orgasme, mais c’était une mort qui ne leur faisait pas peur, bien au contraire. Ça les amusait de penser ainsi. Rire… Cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas entendu rire ainsi, comme ça faisait une éternité qu’il ne s’était pas plu à éprouver un peu de joie dans son quotidien. Ian ne voulait pas que cela cesse maintenant et lui promis une nuit de débats torrides. Après tout, ils avaient le temps nécessaire pour se reposer ensuite. Ils devaient bien trouver un avantage à la convalescence. « On va tourner un porno à cette allure » répliqua-t-il avec amusement, puis se leva pour prendre un comprimé et en apporta un à Eli qu’il déshabilla du regard, et ce, alors qu’elle ne portait pas le moindre vêtement. Un sourire à sa réponse, avant de s’approcher de la table, faiblement vêtu. Un regard pour le dîner. Il avait surtout faim de son amante qui jouait avec lui et émit un petit rire qui se dissipa en un sourire « J’aime cuisiner pour toi ». Il aimait lui concocter des petits plats. C’était une manière de lui dire qu’il l’aimait. « Mais on a fini par y parvenir ». Retrouver ce désir, cette alchimie, rassurait grandement l’agent qui craignait qu’avec le temps, tout cela se volatilise et qu’il ne la perde. Plus il l’observait, et plus il avait envie d’elle. Finalement, il n’était pas certain de résister jusqu’au dessert « Un fondant au chocolat », mais il avait une autre idée en tête, que devina sans mal la belle brune « Oui, et ça sera exquis ». Il termina son assiette et la contraint d’en faire de même. Il se sentait à l’étroit dans son boxer et avait envie de lui faire l’amour de nouveau.
De nouveau nus dans la chambre à coucher cette fois-ci, Ian savait ce qu’elle désirait tant et sourit à sa réponse « Je vais te savourer » et glissa sa langue entre ses cuisses, prenant plaisir à la goûter de la sorte. Ses doigts dans ses cheveux signifiaient qu’elle approuvait ce qu’il lui faisait, et sourit tout contre sa féminité en entendant sa demande. Ian glissa alors ses doigts en elle pendant qu’il continuait de la caresser avec sa langue jusqu’à ce qu’elle jouisse à son contact. Il remonta jusqu’à elle, rendant son baiser avec tout autant de passion qu’elle, puis lui demanda de prendre place sur le ventre et se positionna sur elle. Ses mouvements furent moins abruptes, plus sensuel et sourit en entendant la belle brune savourer. Mais Ian avait envie de plus, de la prendre violemment. Elle lui donnait son accord en trois mots. Ian se retira donc d’elle, positionna ses chevilles sur ses épaules et la prit d’un coup sec et abrupte. Son regard dans le sien, il continuait de la faire sienne avec violence et se mordit la lèvre en la voyant jouir devant lui. C’était un spectacle dont il ne se lassait pas, et la rejoignit peu de temps après. A bout de souffle, il se laissa tomber contre elle et sourit. Encore quelques minutes et la ferait de nouveau sienne. Eli allait finir par détester sa queue. Un sourire étira ses lèvres en l’entendant rire et souffla comme un secret « Ça sera toujours le cas. Elle est à toi et seulement à toi ». La nuit fut aussi exquise qu’il le lui avait promis, partageant finalement le dessert ensemble dans le lit à discuter de sujets légers, s’enfermant dans cette petite bulle rien qu’à eux. Puis son amante avait délaissé le gâteau au chocolat pour sa personne, s’aventurant jusqu’à son membre qui s’était rapidement tendu à son contact et qu’elle avait pris en bouche. Ses doigts s’étaient resserrés autour des draps, pendant que son autre main se perdait dans ses cheveux lisses, gémissant sous l’habilité de sa partenaire. Il n’avait jamais assez d’elle, de son corps et passèrent la nuit à se donner l’un à l’autre sans retenue.
Le lendemain matin, le beau brun avait ouvert les yeux un peu avant Eli et avait préparé le petit-déjeuner. Seulement vêtu d’un boxer, il était revenu auprès de sa petite-amie pour l’extirper des bras de Morphée. Un petit rire quand elle lui demanda de se taire, et sentit son regard changer quand elle le guida jusqu’à sa féminité. Ian laissa alors sa langue se glisser jusqu’à sa féminité et la fit rapidement jour, puis remonta jusqu’à son visage, tout sourire « Bonjour toi » et embrassa son cou tout en écoutant son idée « Troquer le bourbon contre du sexe » et retira son boxer pour prendre place sur elle. Ian laissa échapper un gémissement en sentant ses doigts entourer sa virilité « Tu as des arguments probants…Oh Eli… continue… Je dis oui… ». Son visage niché dans son cou, il soupirait de plaisir et finit par lui saisir le poignet pour qu’elle cesse. A genoux devant elle, il lui saisit délicatement les jambes qu’il posa à hauteur de son bassin. Ses mains se posèrent ensuite sur ses hanches et l’attira à lui pour la pénétrer d’un coup de rein. Son regard dans le sien, il l’assena de coups de reins puissants, violents « Je veux te voir jouir » et se montra plus rugueux, la martelant de gestes sec et profond, jusqu’à l’orgasme qu’il exprima à voix haute. Il laissa reposer les jambes d’Eli délicatement sur les draps et l’embrassa avec plus de douceur « J’étais venu te dire que le petit-déjeuner était prêt ». Ian se leva du lit, enfila seulement son jean et lui tendit une chemise, avant de chercher sur le sol « La culotte est restée dans le salon. On est dissipé », et en sortie une du tiroir, avant de lui tendre la main pour l’aider à se lever « Ta jambe, comment ça va ? ». Ses doigts entrelacés aux siens, ils se rendirent dans la cuisine « Pancakes et jus d’orange » répliqua-t-il. Il prit une gorgée de café et répliqua « Tu étais sérieuse ? Tu acceptes que je troque l’alcool par le sexe ? Parce que je suis d’accord. Seulement déjà que je te désire à longueur de journées… Est-ce que tu vas réussir à supporter les assauts de ma queue, de ma langue, et de mes doigts aussi ? » en esquissant un sourire espiègle, ce qui lui fit penser « En parlant de ça… Euh… On n’a jamais abordé la question mais… On ne se protège pas… Et… Je ne parle pas de maladies… Mais de bébé ».
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Charly
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J'ai 35 ans et je vis à Washington. Dans la vie, je suis agent de la CIA et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien .
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La nuit avait été intense et délicieuse. C’était un peu comme s’ils avaient rattraper le temps perdu. Les heures s’étaient écoulées au rythme des gémissements et des cris de plaisir. Entrecoupé de rire et de conversation sans importances. Eli s’était endormie complètement épuisée. Et pourtant, lorsqu’elle avait ouvert les yeux, avec difficulté, elle l’avait directement guidé vers son entre jambe, comme si elle n’en avait pas eu assez durant la nuit. Mais c’était la faute d’Ian aussi ! C’était lui qui était venu embrasser sa cuisse. Il était déjà trop proche de la zone… à lui d’assumer. Chose qu’il fit de façon experte. Une fois satisfaite, Eli évoqua à voix haute une idée un peu étrange ou folle… ce n’était pas vraiment réfléchit. Mais elle préférait de loin qu’il la baise ainsi à longueur de temps, plutôt qu’il ne plonge le nez dans l’alcool, un peu plus encore. Elle n’avait rien dit la veille, mais elle avait sentit son haleine. Elle ne voulait pas de ça entre eux. « -elle m’emmerde ta maitresse… » avait elle répliqué ses doigts autour du membre imposant d’Ian. « -d’accord… alors prends moi… » avait elle murmuré à son oreille, un peu comme pour sceller un pacte. Elle appréciait de plus en plus cette position, qui lui donnait tout le loisir de le regarder. Elle pouvait lire son désir dans ses prunelles.
« -ah c’était pas ça le petit déj’ ? » avait elle demandé d’un ton faussement innocent. « -je vais nulle part, j’en ai pas besoin… » puis elle s’était redressée avec lenteur, cherchant à éviter la douleur. Eli enfila la chemise, qu’elle boutonna avant de se lever enfin. Elle enfila la culotte qu’il venait de lui tendre, et esquissa une légère grimace. « -je vais déjeuner au anti douleur… » avait elle répondu. Sans doute une douche bien chaude après… Mais elle glissa ses doigts dans les siens pour le suivre jusqu’à la cuisine. Ça sentait bon. Eli s’installa et avala rapidement un pancake. Elle avait faim. « -j’en sais rien… j’ai dis ça comme ça… tout ce que je veux… » elle le regarda et saisit sa tasse de café comme si la conversation était des plus banales. « -c’est que tu aies plus envie de moi que d’elle. » en parlant de la bouteille. « -je sais que c’est dur pour toi. Et je ne veux pas que ça devienne un problème entre nous. Tu as besoin de temps pour faire ton choix, je le respecte. » un haussement d’épaule en se léchant les lèvres à cause de la pâte à tartiné. « -j’aimerais que tu m’en parles si c’est… trop tentant tu vois. Mais si tu veux pas en parler, ba je te laisse l’option baise torride parce que je suis trop bonne… » ce matin, elle tentait de prendre le problème avec souplesse. Peut-être qu’en en parlant ainsi, ça aiderait… « -et oui, je pense clairement pouvoir le supporter. Je me fais confiance là-dessus. » elle mordit de nouveau dans un pancake, elle qui d’ordinaire n’avait jamais faim. Elle ralentit son geste en entendant la question : « -tu demandes parce que je manges ce matin ? Tu sais, je peux pas savoir en une heure si je suis enceinte hein… » elle se foutait de sa gueule. « -je suis pas enceinte Ian. Et ça risque pas d’arriver. J’ai un implant. » elle avala une gorgée de café. « -en tant qu’agent femme, c’est assez encadrée tout ça… » maladie, grossesse… elle ne pouvait pas faire ce qu’elle voulait. « -crois moi, si y’avait eut le moindre risque que je puisse être enceinte, on aurait pas baiser comme ça… ni cette nuit, ni celles d’avant. » elle sourit: "-pourquoi tu veux des enfants?" Eli avait un peu la sensation d'avoir tout remit en forme dans leur couple. Et elle se sentait bien plus légère.
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Manhattan Redlish
Dim 28 Avr - 17:21
Ian Edwards
J'ai 41 ans et je vis à Washington. Dans la vie, je suis agent du FBI et je m'en sors pas trop mal. Sinon, grâce à ma chance, je suis divorcé et je le vis, tout simplement.
A venir ...
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Après ces dernières semaines, la tension palpable qui régnait entre eux, pas un instant Ian n’aurait songé qu’ils puissent renouer de la sorte. La dispute aurait pu éclater à tout moment, et pourtant, ils avaient passé une nuit ardente, se donnant l’un à l’autre sans retenue. Ils avaient vacillé entre éclats de rire, la dégustation du gâteau, et des étreintes charnelles si puissantes qu’ils en avaient criés tout leur plaisir sans se soucier du voisinage. Ils s’étaient endormis dans les bras l’un de l’autre éreinté par cette nuit pour le moins orgasmique. Toutes les tensions des dernières semaines n’avaient plus d’existence, comme s’ils venaient de tourner une page dans leur relation. Ils avaient renoué avec ce lien qui s’était construit entre eux peu à peu au fil de l’infiltration. Et alors que Ian aurait pensé qu’il était parvenu à rassasier son amante au cours de cette nuit pour le moins intense, la belle brune le guida jusqu’à son entre-jambe. Il avait souri, appréciant que son amante le désir toujours autant alors qu’elle était encore empreint de sommeil. Il avait savouré sa féminité jusqu’à la jouir au contact de sa langue, avant de prendre possession de ses lèvres. Eli décida de le caresser à son tour, tout en lui proposant de troquer la bouteille de bourbon contre du sexe. La proposition était plus que séduisante. Il sourit au nom qu’elle attribua à sa bouteille d’alcool « Ce n’est pas maitresse » souffla-t-il la voix rauque de plaisir « Ma queue et mon coeur n’ont qu’un maître, et c’est toi » et décida d’interrompre les caresses que lui prodiguaient la jeune femme pour la faire sienne. Il laissa un « Hum » lui échapper quand elle lui demanda de la prendre, ce qu’il fit sans la moindre retenu, son regard dans le sien jusqu’à la jouissance.
Un sourire étira ses lèvres quand il précisa qu’à l’origine, il était seulement venu lui annoncer que le petit-déjeuner était prêt. Il émit un petit rire « Non, c’était l’avant petit-déjeuner. Le repas le plus important de la journée » avant de chercher la petite culotte de sa petite-amie, et se rendit compte qu’elle était sur le sol du salon. Il releva son regard sur Eli à qui il adressa un regard taquin « Et je crois que j’ai déjà vu ton cul, donc on peut oublier la culotte » en délaissant celle qu’il venait de récupérer dans le tiroir et l’interrogea sur la douleur de sa jambe « Je suis désolé » répliqua-t-il avec une légère moue, et glissa sa main dans la sienne pour la conduire jusqu’à la cuisine, lui présentant le menu du jour. Il en profita pour revenir sur l’idée qu’elle avait eu. Troquer l’alcool contre du sexe. Une addiction contre une autre. Ian resta silencieux, songeur tout en buvant son café. Il fut surpris de la voir manger avec autant d’appétit, elle qui ne mangeait rien à son habitude. « Pourtant je pensais t’avoir convaincu cette nuit que je te préférais à la bouteille » tout en esquissant un sourire espiègle qu’il perdit bien rapidement lorsqu’Eli poursuivit. « Oui, c’est dur. Sans jeu de mot. C’est comme si c’était aussi nécessaire que l’air que je respire. Ça m’apaise et … ça me… nous détruit aussi ». Ian en avait conscience. Il n’était pas dans le déni. Pourtant, il ne parvenait pas à lutter contre. Son sourire réapparut, ses yeux posés sur les lèvres qu’elle venait de lécher « Tu es plus que bonne » et reprit avec davantage de sérieux « Je te promets rien. Mais je veux bien qu’on essaie. Je finirais peut-être par oublier de boire ». Et puis qui pouvait refuser de troquer l’alcool contre du sexe torride avec une femme telle qu’Eli ?! Pas lui, tout du moins. Il savait à quel point elle était délicieuse. Toutefois, est-ce qu’elle serait capable de supporter les assauts de sa queue ? La réponse se fit sans appel. Oui. Ce qui le fit rire légèrement « Alors si tu es capable d’assumer, je ne dis pas non ». Il désigna l’assiette d’un signe du menton « Tu as faim dis-moi ».
Cette conversation avait bien évidemment fait émerger quelques inquiétudes concernant leur vie sexuelle. Il ne l’avait jamais vu prendre la pilule et Ian ne s’était jamais protégé avec elle. Ce qui n’était pas une habitude chez lui, mais tout s’était passé si rapidement avec la belle brune… Toutefois, aujourd’hui, il voulait savoir comment ils devaient gérer ça. « Euh… Non… Parce que tu penses que tu … non… Si ? » et voilà qu’il bafouillait et inclina légèrement la tête « Tu te fous de ma gueule en fait là ? c’est ça ? Je vois » et sourit, en rien offusqué. Ian n’aurait jamais pensé ce retour à la normale possible et il en savourait chaque seconde. Tout semblait si léger. Il laissa échapper un soupir de soulagement « Un implant. Ok » et fronça les sourcils « Ils ont peur que tu te tapes le sexy terroriste en mission ? ». Oui, il faisait de l’humour. Il prit un morceau de pancake et acquiesça « On remercie l’implant alors, parce que soyons clairs, j’aime quand on baise comme ça ». Une gorgée de jus d’orange et il laissa son geste en suspens, reposant lentement le verre sur la table « Je…Comment dire… » et émit un petit rire nerveux « Avec mon travail, mon divorce… On va dire que l’idée a été abolie depuis. Pourquoi, tu en veux ? ». Un sujet qu’ils n’avaient jamais abordé réellement, à part juste l’évoquer une fois, au cours de leur infiltration. Ça avait été bref. Et autant il bafouillait, autant ça signifiait aussi qu’ils se rapprochaient en tant que couple.
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Dim 28 Avr - 17:58
Elionor Griffins
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Malgré la partie de jambe en l’air du matin, la façon d’aborder le sujet, il était sérieux ce putain de sujet. Eli ne voulait pas le braquer. Il était assez intelligent pour savoir ce qu’elle en pensait. Ça allait lui couter son poste… il le savait aussi. « -elle est tentante… je le sais parfaitement. » Eli assimilait l’envie d’Ian à celle qu’elle pouvait avoir pour la clope. C’était une sorte de d’urgence, un besoin. Un truc qui faisait fonctionner convenablement son corps et son esprit. Elle sourit parce qu’elle avait forcement pensé à sa queue alors que ce n’était pas un sous-entendu. « - j’ai pas envie qu’on laisse l’alcool nous détruire Ian. » c’était dit avec conviction. Mais il était le seul à pouvoir prendre une vraie décision, à décider de se soigner. Elle n’allait pas le trainer par la main. Il n’était plus un gamin. Visiblement il était conscient de tout ça. Mais elle comprenait également qu’aller fouiller dans le passé, remuer la merde… ça faisait peur. « -ok… alors on essaie… » un hochement de tête et un petit sourire en coin.
« -ba la faute à qui ?! J’ai pas eu le temps de manger hier soir, parce que tu faisais des propositions trop alléchantes alors oui, forcement j’ai faim. En plus c’est super bon. » elle ne voyait pas le souci, jusqu’à ce qu’il pose la question. Elle éclata de rire. « -oui, je me fou de ta gueule. Je suis pas enceinte. » il pouvait être rassuré là-dessus. « -ba ils avaient pas pensé à ça. Je vais pas te faire un dessin, c’est une histoire de praticité. » pas vraiment sympa de se taper la mer rouge en mission. Bref… elle était protégée. « -c’est vrai ça ? j’avais pas remarqué… » s’amusa la jeune femme avant d’ajouter un : « -moi aussi… » Elle le couva du regard alors qu’il bafouillait presque. « -stress pas c’est qu’une question. » elle était sans doute shooter aux hormones du plaisir… mais elle était plus que détendue ce matin. « -je comprends. » oui c’était logique. « -oh non. C’est pas du tout au programme. Mais alors vraiment pas. » un mioche ça ne collait pas du tout avec son poste d’agent.
Quelques jours plus tard, elle retrouva son bureau à l’agence. Elle avait longtemps hésité, pas certaine que ça soit sage de laisser Ian. Mais elle voulait pourtant lui faire confiance. Elle voulait garder cette vie qu’ils venaient de se créer en quelques jours de temps. Le ciné, le resto… les rires et la complicités retrouvée. Le laisser seul, c’était laisser la possibilité à ses démons de surgirent. Pourtant, elle avait accepté, elle devait y aller. Pas le choix. Elle l’avait embrassé à plusieurs reprise, lui confiant qu’elle avait déjà hâte de le retrouver. Elle avait encore et toujours l’espoir qu’il prenne enfin sa décision. Il le fallait. Si ce n’était pas pour eux, au moins pour son job qu’il aimait tant.
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Dim 28 Avr - 20:11
Ian Edwards
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Ian n’était pas surprit que la jeune femme aborde le sujet de sa dépendance à l’alcool. En réalité, il aurait pensé qu’elle reviendrait sur son alcoolisme plus tôt. Le FBI lui avait mis un ultimatum, et les jours se succédaient sans qu’il ne parvienne à prendre la moindre décision. Pourtant, il avait conscience que ça nuirait à sa relation avec Eli, que ça entacherait son dossier, voire que ça le mènerait à sa perte. Mais c’était un drogué, et envisager une vie sans le moindre verre après avoir passé vingt ans à boire régulièrement, ça lui était difficile. Une réalité que la belle brune tentait de comprendre en lui proposant de se concentrer sur eux lorsque le manque se ferait ressentir. Troquer une addiction contre une autre. Il n’était pas certain que sa proposition obtienne l’accord du moins thérapeute de ce pays, mais elle parvenait au moins à obtenir le sien. L’idée était séduisante. Il sourit. Bien évidemment que c’était attrayant. Toutefois, est-ce que ça serait suffisant ?! C’était nécessaire, comme l’était l’air ou encore la nourriture. Mais ça risquait de détruire leur couple. Ce que confirma Eli. Il baissa les yeux un instant « On peut essayer » répondit-il donc en relevant son regard sur elle après un bref instant de réflexion. Il était prêt à tenter cette alternative. Ian n’était pas prêt à affronter son passé, les causes qui l’avait poussé à sombrer dans l’alcool et le travail. Il n’avait pas envie que le psychologue réveille des souvenirs volontairement enfouis par son subconscient pour le ménager. C’était sa plus grande crainte. Le déni était donc devenu sa solution depuis vingt ans. Un sourire et un hochement de tête « Tu sais, si tu voulais qu’on baise plus, tu pouvais demander aussi » en la taquinant.
Au moins cette nuit avait ouvert l’appétit à la belle brune et elle semblait apprécier ses talents culinaires « Je t’ai laissé manger les lasagnes ! », mais ça laissait germer aussi des craintes dans son esprit. Depuis le début de leur relation, ils n’avaient jamais utilisé de protection. Est-ce que l’absence de bébé au milieu de ce capharnaüm relevait du miracle ou … « Dieu soit loué ! » laissa-t-il échapper avant qu’elle ne lui précise qu’elle portait un implant. « Non, je connais un peu l’anatomie féminine, merci ». Il savait qu’une femme avait ses règles une fois par mois, et qu’il était plus prudent de rester à l’écart dans ces périodes-là. Il échangea un regard taquin avec la belle brune « Tu veux que je te montre ? » tout en prenant un morceau de pancake et il se fit surprendre par la question. Ian bafouilla, ne connaissant pas la bonne réponse. Eli lui rappela que ce n’était qu’une question, ce qui le fit sourire de manière ironique, et reprit pour finalement lui confier qu’il avait oublié l’idée avec le temps. Entre sa carrière, son divorce soudain, l’alcool… Jusqu’à Eli, il n’avait jamais aimé de nouveau. Donc envisager de devenir père un jour n’avait jamais fait partie de ses projets de vie. Un certain soulagement l’accable par la suite. Il en était ainsi également pour la belle brune « On est sur la même longueur d’ondes. Tu peux manger sans m’inquiéter maintenant ».
Les jours qui suivirent continuèrent d’être léger. Peu à peu, une certaine normalité s’était dessinée et Ian devait bien avouer qu’il y prenait goût. Le restaurant, le cinéma, se promener main dans la main avec Eli dans les rues de la Capitale en toute quiétude. Pourtant, pour Ian, c’était presque un écran de fumée ce bonheur qu’il partageait avec la jeune femme. Il aimait son quotidien, mais il était toujours hanté par ses Démons. Il prenait toujours un verre avant qu’elle ne se réveille, et dissimulait son haleine chargée par une longue tasse de café. Et plus les jours se succédaient, plus la crainte de se retrouver seul l’assaillait. Mais il ne pouvait pas la retenir à lui indéfiniment. Il lui avait alors rendu chacun de ses baisers et avait rétorqué avec un sourire « Travaille bien. Sois sage avec tes camarades et je prépare le dîner pour ce soir ». A contrecœur, il l’avait laissé partir reprendre le cours de sa vie. Son travail. Celui dont il avait été privé… En se retrouvant seul dans l’appartement, il décida de ranger et de faire le ménage. Puis l’appartement propre, il opta pour un peu de lecture, mais au bout d’un chapitre, abandonna l’idée. Il avait ouvert son ordinateur, avait envoyé un mail à Bennie pour lui demander s’il était disponible en début d’après-midi, et était partie en ville pour ne pas se laisser tenter. Vers midi, il avait fait le choix de s’arrêter à un petit traiteur qui faisait d’incroyable sandwich italien, et décida de rouler jusqu’à Langley où il fut stoppé dans son élan dès l’entrée… « Je suis agent du FBI » « Ici, c’est la CIA Monsieur » « Je suis le petit-ami de l’agent Griffins. Vous pouvez l’appeler » « Monsieur, je vous demande de partir maintenant ou je fais intervenir les forces de l’ordre ». Ian tourna les talons et aperçut Brennan au loin « Agent Brennan. Bonjour » « Agent Edwards, que faites-vous là ? On vous manque déjà ? » demanda l’agent tout en montrant son badge à l’agent de sécurité « Je voulais seulement voir Elionor. J’ai apporté le déjeuner. S’il vous plaît. Je rentre ensuite ». Il lu l’hésitation dans le regard d’Ezékiel qui avait un soupir, abdiqua. Voilà comment Ian se retrouva à frapper à la porte du bureau de la belle brune, puis passa la tête et montra le sachet kraft « J’ai apporté le déjeuner ».