Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mer 17 Juil - 22:12

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Un jour ou l’autre, la vérité concernant les prémices de leur relation paraîtrait dans la presse politique. C’était inéluctable. Edward ne peinait pas à imaginer les différents titres minutieusement choisi par la ligne éditoriale des différents médias. L’influenceuse serait considérée comme une escorte-girl, une femme trophée avide de la fortune de la famille Wyler. Et bien qu’il condamnait aujourd’hui Angelica de prononcer ces mots tout haut, il avait également conscience que ça se produirait dans un avenir plus ou moins proche. C’était la raison pour laquelle il maintenait une certaine distance vis-à-vis des réseaux sociaux de cette dernière, ou qu’ils n’arpentaient pas les rues de Manhattan main dans la main, à l’instar de tous les couples de cette ville. Le préjudice enduré par Angelica serait trop grand et risquait de nuire à l’entreprise qu’elle avait mit du temps et du cœur à construire seule. C’était lorsque son esprit bifurquait sur de telles pensées que parfois il envisager de mettre un terme à leur idylle… Pour la protéger elle, et seulement elle… Il exhorterait Ava de veiller à ce que la presse reste muette les concernant. Dans le cas contraire, une décision serait à prendre, et il l’appréhendait d’ores et déjà… Parce qu’il l’aimait. D’un amour si sincère et unique, qu’il était prêt à tous les sacrifices pour elle. Notamment, à la quitter si cela était nécessaire… Pourtant, Dieu sait que ça lui déchirait le cœur de prendre une telle décision, et qu’elle ne lui pardonnerait probablement jamais. Le moment n’était pas encore venu, le glas de leur union n’avait pas sonné. Ils étaient encore libres de s’aimer en toute quiétude. « Dois-je comprendre que je suis tout autorisé à te faire l’amour à la belle étoile ? » proposa-t-il.

Edward se plaça dans le dos de sa moitié, ses jambes repliées de chaque côté de sa fine silhouette et sa main toujours jointe à la sienne, faisant face au feu crépitant qu’Angie était parvenue à allumer seule. Pour le politicien, c’était le moment opportun pour lui avouer que sa fortune était évaluée en millions. Une information méconnue par Angelica, et qui pourtant, sera probablement perçue dans les termes qu’elle avait employé et qu’il lui interdisait de prononcer de nouveau. La remarque de cette dernière lui serra le cœur et reprit « Angie… » et laissa s’échapper un soupir « Je suis prêt à tout pour te protéger, même à disparaître de ta vie si c’est nécessaire ». Il préférait la prévenir, plutôt qu’elle tombe un jour sur le fait accompli. Cependant, ce n’était pas un avenir qu’il envisageait pour eux deux. Il désirait une jolie maison disposant d’une piscine et d’un jardin à l’arrière. Un lieu à leur image. Il posa son regard sur elle « Oui. Parce que ce n’est plus d’actualité. Tu veux du temps et je t’en donne mon amour » déclara-t-il en lui adressant un doux sourire. Mais contre toute attente, Angelica reprit parole et fronça légèrement les sourcils sans se départir pour autant de son sourire « Tu ne penses pas que m’en parler directement nous aurait évité des désagréments Mademoiselle Gordon ? » et passa ses bras autour des épaules de cette dernière, la blottissant davantage contre lui « J’ai conscience de qui je suis tombé amoureux la mia luce. Je savais qu’en te proposant de venir vivre avec moi, tu voudrais participer » dont il n’avais jamais envisagé qu’il en soit autrement. Elle tenait à son indépendance, quelle qu’elle soit. Ce n’était pas lui qui allait modifier ce trait de caractère qu’il chérissait tant en elle.

Il se pencha pour entrevoir le visage de sa moitié, une lueur de ravissement dansant dans ses prunelles azurées « Tu… Vraiment ? » bafouilla-t-il et la laissa poursuivre. Il lui serait difficile d’être plus heureux qu’aujourd’hui. Angelica était prête à s’engager à son tour, à se projeter dans une jolie maison de quartier dans le New Jersey et qui leur appartiendrait à tous les deux. Sans attendre, il la basculer entièrement sur l’herbe fraiche, prenant place au-dessus de la jeune femme, arborant un large sourire « Tu sais que tu fais de moi l’homme le plus heureux du monde ? ». Il émit un petit rire tout en venant déposer ses lèvres sur les siennes, et rétorqua « On prendra le temps ensemble. Rien ne presse. Ton « oui » me suffit à patienter » et l’embrassa de nouveau avec plus de tendresse et de lenteur, savourant le goût de ses lèvres, la caresse de sa langue contre la sienne. Peu à peu, il ondula le bassin contre le sien et finit par souffler « Je veux prendre mon temps… » la rassura-t-il, ne parlant pas uniquement de la manière dont il désirait lui faire l’amour et ajouta « Tu en as envie ? ». Après tout, elle désirait peut-être seulement dîner et rejoindre les bras de Morphée.

Charly
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Charly
Jeu 18 Juil - 10:44

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angie devait bien reconnaitre qu’Edward avait eut raison. Ils devaient parlé de ça. Cacher ce sujet sous le tapis et s’obstiner à vouloir l’éviter durant le weekend, ne faisait que créer des tensions. Elle n’était pas aveugle. Elle avait constaté qu’il avait perdu son sourire lumineux. Il y pensait, il doutait. Alors comme à chaque fois pratiquement, elle prit la parole pour faire taire les voix dans la tête d’Edward. Pour le rassurer. « -vous pouvez… » souffla Angie en lui souriant, amusée par sa demande. Mais avant de faire l’amour, ils devaient terminer de parler de ce sujet. Elle lui avait expliqué ce qui la bloquait. L’argent, le fait qu’elle ne voulait pas être mise dans une case, avec une étiquette sur le front. Une étiquette honteuse. Qui n’était pas vrai, mais qui le serait pour bien des imbéciles. « -je déteste ce que tu viens de dire… » souffla Angie. Savoir qu’il était prêt à sacrifier leur amour pour son image… « -je me suis déjà reconstruire, si ce genre de discours arrivent un jour, je me réinventerais. » elle était pleine de ressource. « -je n’ai pas envie de laisser les autres décider pour nous… » sous entendant par là qu’elle voulait qu’il oublie cette idée.

Edward était résigné. Angie décida de faire ce pas en avant et de lui expliquer pourquoi. Elle s’était imaginée qu’il voudrait lui offrir une vie de princesse. Et c’était hors de question pour elle. Million en compte en banque ou pas. « -mademoiselle Gordon n’est pas aussi parfaite que vous semblez le croire… » ironisa Angie qui savait parfaitement que c’était de sa faute. Elle devrait probablement revoir ses accords toltèques… Ne jamais faire de supposition. Oui, elle aurait mieux fait d’en parler tout de suite. Donc la réponse était oui. Oui, elle voulait qu’ils vivent ensemble, dans cette maison avec un jardin et une piscine. « -oui. » ajouta Angie en s’amusant de le voir sur surpris. Elle se mit à rire lorsqu’il la fit basculer dans l’heure, avant de lui répondre avec douceur, le caressant du regard : « -ton sourire parle pour toi… » elle aimait le voir aussi heureux. Mais elle avait une condition. Ils prendraient le temps de chercher ensemble. Pas de précipitation.

Son cœur s’emballa peu à peu, à mesure qu’ils échangeaient ce long baiser. A nouveau ce feu dans les reins… Elle n’aurait jamais assez de lui. Elle sourit une première fois lorsqu’il précisa la manière dont il voulait procéder. Puis elle remonta ses jambes autour des hanches d’Edward et répondit : « -énormément… » oui, elle avait envie de faire de nouveau l’amour avec lui, Oui, elle voulait qu’il la fasse sienne au milieu de la nature. Elle l’embrassa de nouveau, passant ses bras autour de son cou pour mieux l’attirer à elle. Puis elle chuchota à son oreille telle une confidence: "-je ne sais pas ce que tu m'as fait, mais j'ai tout le temps envie de toi... de tes caresses, de tes doigts, de ta bouche..." elle marqua un léger temps d'attente et ajouta: "-de ta queue..." elle l'allumait, elle le savait. "-mais j'ai envie de faire l'amour sous les étoiles... et je meurs de faim..." il fallait qu'elle mange quelque chose, comme pour reprendre des forces. Elle glissa une main jusqu'au sexe d'Edward et ajouta: "-est ce que tu peux attendre un peu?" ces mots soufflé avec douceur, la dévorant du regard, parce que l'envie était là. Vraiment, présente au creux de ses reins. Seulement, physiquement... elle avait besoin de reprendre encore un peu d'énergie.


Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Jeu 18 Juil - 14:17

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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L’aimer lui n’était pas sans conséquence, et malheureusement, il était fort probable qu’Angelica en prenne pleinement conscience au cours des mois à venir. Elle serait désignée en des termes défavorables, préjudiciables pour sa carrière d’influenceuse. Une réalité qui inquiétait quelque peu Edward qui ne désirait pas être celui qui nuirait, malgré lui, à tout ce qu’elle était parvenue à construire au cours de ces dernières années. Par conséquent, il était prêt à disparaître de sa vie si cela s’avérait nécessaire. Un crève-cœur pour celui qui était tombé éperdument amoureux de cette femme actuellement blottie dans ses bras, et qui avait su donner un sens nouveau à son existence. Mais parce qu’elle était plus précieuse que quiconque dans sa vie, il était prêt à tout pour la protéger d’une manière ou d’une autre. Un aveu qui déplaisait grandement à la jeune femme autour de laquelle il resserra son étreinte « Tu n’imagines pas à quel point je déteste aussi ces mots… » murmura-t-il à son oreille. « Mais tu aimes ce que tu fais Angie… ». Cela signifiait tirer un trait définitif sur les réseaux sociaux. Un métier dans lequel elle avait su s’épanouir pleinement en prônant des valeurs saines. Il savait Angelica pleine de ressources, mais cette entreprise restait un bien inestimable à ses yeux, et lui demander de l’abandonner sur le rebord de la route lui était déplaisant. Mais ce n’était en rien comparable que d’envisager sa vie sans elle.

C’était la raison pour laquelle Edward s’était plu un imaginer une maison pour eux deux, dans laquelle ils pourraient écrire leur histoire à deux. Jusqu’alors, Angie s’y était constamment opposée sans évoquer de raisons concrètes pour justifier son choix, engendrant une multitudes d’inquiétudes auprès du politicien. Il lui avait ouvert une porte de secours dans l’hypothèse où elle regrettait de lui avoir confirmé son désir de venir vivre avec lui avec un peu trop d’entrain. Il n’en était rien. L’influenceuse désirait seulement être libre de payer la moitié des charges qu’incomberaient une maison en banlieue. Edward n’avait pas envisagé une autre possibilité. Une femme aussi indépendante et libérée qu’Angelica n’attendait pas après un homme pour subvenir à ses besoins. Finalement, exprimer ses appréhensions clairement aurait pu démêler ce nid de nœud avant qu’il ne fasse germer des inquiétudes plus profondes chez le candidat au Sénat. Il rit sous cape et souffla « Tu restes parfaite à mes yeux ». Angelica était parfaite par ses qualités et ses imperfections. Le plus important pour ce dernier, c’était d’entendre qu’elle désirait partager une maison avec lui dans le New Jersey. Dans un geste, il la renversa dos au sol, prenant position sur elle et sourit de plus belle, puis se pencha jusqu’à ses lèvres. Elle rendait si heureux, que parfois il craignait de se réveiller en sursaut et de constater que ce n’était qu’un rêve.

Le baiser qu’il lui donna était plus tendre et plus lent que ceux qu’ils avaient pu échanger sous le jet d’eau chaude quelques heures auparavant. Il se délectait de sentir sa langue caresser la sienne avec sensualité, son bassin remuant indolemment contre celui de son amante. Lorsqu’il mit un terme au baiser, c’était seulement pour lui confier qu’il désirait lui faire l’amour ici-même ce soir, tant soit peu qu’elle soit prête à l’accueillir en elle une fois de plus. Sa réponse et la pression de ses jambes autour de ses hanches le fit frissonner. Continuant de remuer docilement le bassin, frottant sa queue dure contre elle, il prêta une oreille attentive à son amante dont les paroles l’électrisa plus encore, l’excitant que davantage. Ses prunelles, que l’on devinait azurée derrière ses pupilles dilatées par le plaisir, croisèrent le regard de la jeune femme « Tu sais ce que je vis au quotidien » souffla-t-il d’une voix plus rauque qu’à son habitude. Il émit un petit rire tout en venant nicher son visage dans son cou « Tu dois remplir ton estomac avant ta chatte. J’ai compris » déclara-t-il avec amusement et gronda de frustration alors qu’Angelica fit le choix de jouer malgré tout avec lui, caressant sa virilité tendue dans son jean « Pas si tu continues à me branler à travers mon jean, mon amour » la menaça-t-il « Tu veux m’aider à cuisiner ? » lui proposa-t-il en se redressant, tendant les mains à Angie pour l’aider à se redresser sur ses jambes « On peut seulement manger, se raconter des histoires qui font peur et dormir, tu sais ».



Charly
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Jeu 18 Juil - 15:08

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -oui j’aime ce que je fais, mais ça reste du virtuel, et également quelque chose qui peut s’arrêter du jour au lendemain. » elle sourit et ajouta : « -ça pourrait très bien arrivé sans que notre relation ou ton nom n’aient aucun rapport. J’ai d’autres idées en tête pour la suite. Mais s’il te plait, efface celle-ci de la tienne. Parce qu’elle n’est pas bonne. Ni pour toi, ni pour moi. » elle voulait vraiment qu’il ne pense plus à cela. Le futur était imprévisible, alors ils improviseraient au moment voulu. Angie aimait vivre sans se prendre la tête, au jour le jour, sans vraiment se soucier du lendemain. Là tout de suite, elle était seulement heureuse qu’ils aient prit le temps de parler, même si la tension était née par sa faute. Mais voilà qu’ils étaient de nouveau sur la même longueur d’onde. Edward la connaissait assez pour savoir qu’elle voudrait payer sa part du logement et des charges. Alors c’était le feu vert qu’elle attendait. Ok pour la maison dans le New Jersey ! Ce qui sembla ravir au plus haut point Edward.

Allongée dans l’herbe, cette envie folle de lui se réveilla soudainement. Malgré ce qu’il lui avait fait dans la douche pendant plus d’une heure, malgré les multiples orgasmes qu’il lui avait donné, Angie avait de nouveau envie de lui, de son corps, de sa queue. Elle joua délibérément avec lui et sourit lorsqu’il comprit que ça ne serait pas pour tout de suite. « -exactement… » elle se mordit la lèvre inférieure, comme pour souligner que ce n’était que partie remise. Elle leva les deux mains et s’exclama : « -ok pardon ! » et lorsqu’elle se redressa, elle ajouta : « -avec plaisir. » puis elle glissa son bras dans le dos d’Edward, direction le chalet et ajouta pour lui répondre : « -on va commencer par ça oui… mais comme j’aurai peur, je vais venir me blottir dans tes bras… » elle tourna la tête pour le regarder : « -et clairement, j’ai vraiment, vraiment, vraiment encore envie de toi… » elle sourit : « -seulement ça sera bien moins glamour si je tourne de l’œil parce que je suis trop épuisée pour tenir sous l’orgasme que tu vas me donner. » elle sourit et l’embrassa dans le cou, avant de rentrer dans la cuisine. Elle prit soin de se laver les mains et déclara : « -quels sont vos ordres ? »



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Jeu 18 Juil - 15:46

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Angelica était prête à mettre un terme à sa carrière d’influenceuse si elle y était contrainte. Elle avait toujours conçut son métier comme éphémère, pouvant s’interrompre à tout moment. Seulement, Edward peinait à croire que son succès cesserait du jour au lendemain, sans qu’il n’en soit la raison. Ce n’était qu’une tentative de plus pour tranquilliser celui qu’elle aimait, mais il n’était aussi crédule. Il ne préféra pas la contredire, au risque qu’une simple conversation ne prenne des allures d’altercation, et se contenta d’un simple « Oui ». Une réponse monosyllabique, comme il en était coutumier. Il ne formulerait pas de promesse parce que l’avenir était si incertain, qu’il n’était pas assuré de la respecter. Toutefois, il se garda bien de lui préciser qu’il ne parviendrait pas à oublier cette possibilité. Il en était tout bonnement incapable. Cependant, il pouvait la maintenir à distance dans l’attente d’apercevoir ce que l’avenir leur réservait à tous les deux. Il préférait de loin s’imaginer dans une jolie maison de banlieue aux côtés d’Angelica, se querellant au sujet de la couleur de la peinture dans le salon ou encore de la profondeur de la piscine qu’ils s’apprêtaient à faire construire d’ici peu. Parce que la jeune femme lui avait bel et bien donné son accord pour partir en quête de la maison idéale pour leur avenir. Peu à peu, elle parvenait à son tour à se projeter à ses côtés, pour son plus grand bonheur.

La dominant de tout son être, alors qu’elle était allongée sous lui dans l’herbe fraîche, Edward ambitionnait dorénavant à sceller cette nouvelle étape de leur vie en lui faisant tendrement l’amour. Il la désirait une fois de plus. Un quotidien qui allait devenir le leur pour les prochains mois, voire les prochaines années à venir. Ils étaient tout aussi insatiable l’un que l’autre. Les orgasmes successifs qu’il avait été capable de lui donner un peu plus tôt n’avait pas suffi à la rassasier pleinement, et le désirait toujours autant. Pour autant, elle voulait dîner avant de déguster son dessert. Un grondement de frustration se fit entendre quand il lui demanda de ne plus le branler au travers de son jean « Tu pourras jouer avec ma queue après » lui promit-il avant de se redresser, toujours aussi dur. Ils prirent la direction du chalet, tout en lui proposant une alternative à cette soirée. Ils pouvaient également seulement dormir ce soir. Si elle le désirait. Un petit rire sous cape lui échappa et il acquiesça « Je te ferais l’amour dans ce cas » renchérit-il avec amusement. Ses doigts caressèrent sa hanche, tout en continuant de s’avancer jusqu’au chalet et acquiesça « Tu prévois déjà que je te fasse jouir ? » et émit un nouveau rire « On va manger, et si tu en as toujours envie, alors je te donnerais un nouvel orgasme ou peut-être deux si tu es sage » proposa-t-il non sans rougir de prononcer ces mots à voix haute. En arrivant dans la cuisine, Edward se lava assidument les mains, récupéra la viande, les pommes de terres et les condiments, puis disposa le tour sur le comptoir « Tu peux saler et poivrer les pommes de terre avant de les enfermer dans du papier aluminium » et s’occupa de la viande, imitant la jeune femme, avant de la badigeonner de sauce barbecue, puis déposa le tout dans un plat, et retournèrent à l’extérieur, disposant l’ensemble sur une grille qu’il disposa préalablement sur le feu. Il se glissa ensuite dans le dos d’Angelica, ses bras noués autour de sa taille, son menton contre sa tempe chaude « Je vais quitter la politique ».



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Jeu 18 Juil - 18:38

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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S’il y avait des hauts des bas entre eux, la seule chose qui était au beau fixe de façon nette et régulière, c’était leur envie de s’envoyer en l’air. Il ne suffisait que d’un baiser un peu appuyé pour que le feu s’embrase. Angie en avait envie… seulement elle savait écouter les limites de son corps et là tout de suite, s’ils passaient à l’action, elle ne finirait pas la soirée dans de belle condition. Leur partie de plaisir dans la salle de bain l’avait complètement vidée de son énergie, la petite balade au village n’avait pas aidé… alors elle lui demanda d’attendre un peu. Elle devait manger un peu avant… « -merci beaucoup… » souffla Angie rieuse, avant de rejoindre le chalet bras dessus bras dessous. Non, il était hors de question de seulement regarder les étoiles. Il venait de mettre le feu aux poudres, il allait devoir assumer. « -je ne prévois pas, j’espère… » peut-être que malgré l’envie, son corps serait incapable de jouir de nouveau… aller savoir. « -hey ! je suis toujours sage ! » râla la jeune femme avant de pénétrer dans le chalet et de se laver les mains.

« -bon ça va, c’est dans mes cordes. » s’amusa-t-elle avait de s’exécuter et quelques minutes plus tard, ils étaient de nouveau devant le feu, coller l’un à l’autre. Le soleil embrassait le ciel et le spectacle était magnifique. Comme elle avait l’habitude de le faire, elle savoura ce moment précieux. Rien qu’eux, ici perdu dans la nature… que demander de mieux… Comme si le ciel avait entendu sa pensée, la réponse arriva par la bouche d’Edward. Angie se figea, fronça les sourcils, croyant d’abord à une possible blague de mauvais gout. Puis elle osa un : « -je ne suis pas certaine d’avoir bien saisit ce que tu viens de dire… » non, peut-être que c’était une illusion de son esprit fatigué après tout. « -tu… tu penses arrêter la politique ? » il lui balançait l’info comme ça, sans prévenir. « -c’est un coup de tête parce qu’on a parlé du New Jerey et qu’on est super bien là, tous les deux au coin du feu ? Ou c’est une idée murement réfléchit ? » elle n’allait pas sauter de joie, bien qu’elle en mourrait d’envie. Si Edward avait prit cette décision, elle n’allait pas l’en dissuader. Mais elle voulait savoir pourquoi. « -c’est à cause de moi ? » il avait évoqué le fait que son image allait nuire à la carrière d’Angie…

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Jeu 18 Juil - 19:44

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Après les trois orgasmes qu’il avait accordé à Angelica un peu plus tôt dans la journée, Edward avait envisagé une soirée au coin du feu et une nuit à la belle étoile. Sans sexe. Mais il avait suffit que leurs lèvres ne se rencontrent dans un long baiser au cours duquel leurs langues s’étaient caressées avec autant de sensualité que leurs bas-ventre, pour raviver l’envie de l’autre entre eux. Le désir restait toujours tapi dans l’ombre pour surgir au moindre geste. Cependant, la jolie rousse n’était pas encore totalement prête à l’accueillir une nouvelle fois entre ses cuisses fuselées, et lui demanda une trêve. Un répit le temps d’un dîner afin de recouvrer l’ensemble de ses forces. Bien que dur comme la pierre, Edward accéda à sa requête, et se redressa sur ses jambes en lui promettant implicitement qu’elle aurait tout le loisir de jouer avec sa queue à l’issue du repas. Une offre qu’elle apprécia grandement, et à laquelle il renchérit d’un « Mais je t’en prie » espiègle. Cependant, il lui offrit la possibilité de battre en retraite si jamais elle aspirait à une nuit d’accalmie au creux de ses bras. Il n’en était rien. Le désir lui brûlait tout autant les reins qu’à lui, et il pouvait pratiquement le discerner dans l’air. « Si je dois œuvrer toute la nuit pour t’entendre crier, je le ferais princesse » répliqua-t-il, fantasmant sur l’idée de la faire sienne toute une journée et une nuit durant, n’acceptant que quelques interludes pour s’abreuvoir et se nourrir. « Tu pourras le supporter ? » demanda-t-il, quelque peu perplexe que le corps d’Angelica accepte de nouveau plusieurs orgasmes successifs.

Avant d’envisager ce qui allait se dérouler entre eux à l’issue du dîner, ils devaient s’affairer à préparer le dîner. Il formula quelques consignes à l’attention de sa commis qui se chargea de préparer les pommes de terre, pendant qu’il prenait en charge l’imposant côte de bœuf. Ils placèrent ensuite le tout sur une grille au milieu des flammes, et vint se poster dans son dos, ses bras autour de sa taille et sa mâchoire contre sa tempe, se délectant du spectacle qu’offrait le feu de bois crépitant devant eux, au milieu de la nature sauvage. Aucun bruit de circulation, de brouhaha incessant à proximité. Il n’y avait qu’eux et la vie sauvage. Le politicien ne désirait être nulle part ailleurs qu’ici même. Il aimait cette vie qui se dessinait peu à peu aux côtés de la jeune femme à laquelle il annonça brusquement son retrait de la vie politique. « Je quitte la vie politique » répéta-t-il avec douceur et émit un petit rire sous cape, avant de confirmer par un simple « Oui » qu’il trouvait suffisant pour répondre à son interrogation. « Tu penses que je suis le genre d’homme capable de prendre une telle décision pour une maison et un feu de bois ? » et se détacha d’Angelica, l’enjoignant ensuite à lui faire face, et positionna ses mains sur ses hanches, son regard ancré dans le sien « Tu te souviens de notre première nuit ensemble… » et ajouta « Pas celle-ci », faisant référence à celle qu’ils avaient passé ensemble, tandis que sa jeune sœur dormait dans la chambre voisine. « Je ne cesse d’y songer depuis ce jour-là ». C’était une décision murement réfléchit, prenant soin de peser les pour et les contre, tout en envisageant chacune des conséquences qu’engendreraient un tel retrait au milieu des élections sénatoriales. Le parti disposait suffisamment de temps pour proposer un nouveau candidat.

« Grâce à toi » confirma-t-il par la suite avec douceur « Lorsque tu es arrivée dans ma vie, tu l’as bousculé d’une manière que je n’aurais jamais pu imaginer, même dans mes rêves les plus fous. Tu as tout remis en perspective, en m’ouvrant la porte sur un champ des possibles et j’aspire dorénavant à une vie différente. Je veux vivre de ma passion, je te veux toi et d’un nous aussi longtemps qu’il nous ait possible… Ma carrière nuit à notre relation. Je devais faire un choix et c’est toi que je choisis ». Il la couva tendrement du regard et déclara « Tu vas probablement flipper, mais tu es l’amour de ma vie Angie ». Elle serait son seul amour, même si leur relation venait à échouer. Il voulait seulement qu'elle le sache.

Charly
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Charly
Jeu 18 Juil - 20:43

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -ne dis pas n’importe quoi, tu vas finir pas t’épuiser toi aussi. » renchérit la jeune femme, toujours aussi heureuse de constater qu’il prenait plaisir à ce qu’elle prenne du plaisir. « -c’est… c’est une question pertinente… » qu’elle ne s’était jamais posée. Est-ce que trop de sexe et d’orgasme pouvait être dangereux pour la santé ? « -on verra bien… » si jamais elle ne se sentait pas bien, elle le lui dirait. Elle savait qu’il était à son écoute. Tout comme elle l’était lorsqu’il balança tel une grenade dégoupillée qu’il allait quitter le monde politique. Est-ce que c’était l’ambiance, le coucher de soleil, le feu de camp… Angie eut d’abord la sensation d’avoir mal comprit. Mais lorsqu’il répéta sa phrase, elle se pinça les lèvres en fixant le soleil. « -non, mais peut-être le genre d’homme qui en marre, qui vient de passer une semaine à ne faire que travailler et qui à un ras le bol… » aller savoir. Elle voulait être certaine qu’il avait méditer la question.

Elle se tourna pour lui faire face, « -heu… oui ! » comme si elle avait pu oublier. « -oh… oui. » bien entendu qu’elle se souvenait de ce qu’ils s’étaient dit dans cette chambre. C’était sans doute la première fois qu’Edward se confiait ainsi. Ce soir-là, ils avaient parlé photographie, passion, et elle avait émis l’idée qu’il oublie les ambitions politiques de sa famille, pour vivre tel qu’il le voulait, en exerçant le job qu’il voulait. Son meilleur ami aurait sans doute préféré cela… Alors elle osa demandé si c’était à cause d’elle. Il employa un autre mot bien plus flatteur. Grâce à elle… elle sourit avec douceur, avant d’écouter la suite. Sa venue dans sa vie l’avait fait réfléchir. Vraiment réfléchir. Et aujourd’hui, pour elle, pour eux, mais aussi pour lui visiblement, il décidait de laisser tomber la politique. « -non je vais pas flipper, je le sais déjà… » railla Angie avant de caresser la joue d’Edward. « -je suis très heureuse de ta décision. Pas pour la protection de ma carrière, mais pour le changement et la renaissance de la tienne. » elle sourit : « -je suis heureuse de te voir en paix avec cette décision et… fière de te voir franchir le pas. » là-dessus aussi ils allaient prendre leur temps. Ça ne devait pas pouvoir se faire en quelques jours seulement. « -Ava va jamais s’en remettre… » grimaça Angie avant de rire. Rire qui termina en mordillage de lèvre et en aveux : « -tu vas être un merveilleux photographe… »


Manhattan Redlish
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Jeu 18 Juil - 21:16

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Edward laissa échapper un petit rire silencieux tout en la fixant de ses prunelles azurées brillant d’une lueur taquine « Je suis familier des nuits blanches ». Il en avait d’innombrables à son actif depuis qu’il avait commencé sa carrière en politique. Ces dernières semaines, il avait probablement excéder son propre record personnel. Le travail étant devenu son seul refuge pour ne pas penser au vide qu’avait laissé l’absence d’Angelica. Il ne se souciait donc pas de quelques heures de sommeil en moins si ça lui permettait de faire l’amour à cette dernière, encore et encore, jusqu’à atteindre l’orgasme. Seulement, il s’interrogeait sur les limites que son corps était capable de supporter. Elle l’ignorait. « On arrêtera tout si tu ne te sens pas bien ». Il ne souhaitait pas courir le moindre danger pour sa santé. Si la jolie rousse considérait que son corps ne pouvait en supporter davantage, il mettrait un terme à leur étreinte aussitôt. Il sourit tout en acquiesçant, et quelques minutes plus tard, leur nuit d’amour était déjà loin, alors qu’il l’accabla d’une nouvelle surprenante. Edward se sentait prêt à mettre un terme à sa carrière politique. Angelica eut besoin d’entendre de nouveau ces mots s’extirper de sa bouche. Il répéta donc. Il quittait la vie politique. « J’ai passé plus de vingt ans à ne faire que travailler tous les jours ». Ce n’était pas la lassitude qui l’avait contraint à réfléchir à sa vie, mais cette nuit au cours de laquelle il s’était confié à cœur ouvert à elle. Ça avait été le point de départ d’une longue réflexion de plusieurs semaines.

Une décision qu’il ne prenait pas à cause d’elle, mais grâce à elle. Angelica était entrée dans sa vie par contrainte, au détour d’une idée saugrenue de son assistante. Celle qui aurait dû être une simple collaboratrice, et dont la présence aurait dû être assimilée à un caillou dans la chaussure, était finalement devenu l’amour de sa vie. Des mots qu’il avait pensé à plusieurs reprises, sans jamais parvenir à le lui dire avant ce soir. Il sourit. Elle n’avait pas peur de l’entendre l’envisager ainsi. « Je peux savoir ce qui as pu te mettre la puce à l’oreille ? » et inclina légèrement la tête, blottissant davantage sa joue mal rasée dans la main de la femme qui se tenait devant lui. « Sans toi, je n’y serais jamais parvenu…. » et souffla un « Merci » lourd de sens. Il émit un petit rire tout en acquiesçant « Elle restera mon assistante ». Il ne doutait pas qu’elle saurait s’épanouir en tant qu’agent. Cette femme était pleine de ressources. Il l’observa avec intensité et fut touché en plein cœur par les mots qu’elle prononça ensuite. Elle croyait en lui d’une manière unique, et lui donnait la sensation d’être capable de tout entreprendre sans crainte. Il vint blottir son front contre le sien « Merci d’être toi ma lumière » et l’embrassa du bout des lèvres « Je t’aime tellement ». Ses lèvres se posèrent ensuite sur son front, et se détacha d’elle afin de retourner la viande et les pommes de terre, puis revint auprès d’elle, la serrant simplement dans ses bras « J’annoncerais mon retrait de la campagne électorale à la fin du mois », soit dans trois semaines. Il avait besoin d’organiser son départ pour que ce dernier se déroule sans embûche « Ensuite, je t’inviterais dans un joli petit restaurant et on ira flâner dans les rues de New York main dans la main ».

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Charly
Ven 19 Juil - 19:02

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angie avait imaginé une soirée à parler de sujet simple, à rire aussi… Ils avaient déjà mit un sujet bien sérieux sur la table, qui avait entrainer le sujet argent… Oui, Angie s’était imaginée que c’était peut-être bon pour le reste du weekend. Mais Edward n’en avait pas terminé avec ses bombes. Il venait d’en lâcher une nouvelle, sans prévenir. Il avait décidé d’arrêter sa carrière politique. D’abord surprise, petit à petit, c’était de la joie à l’état pure qui grimpait en elle. Comment ne pas se réjouir de cette décision. Elle le lui avait dit, elle souhaitait le voir heureux et de son point de vu, il ne pourrait pas l’être en restant esclave d’une job qui ne le passionnait pas. Qu’il avait endossé simplement pour sa famille. Angie était heureuse d’avoir eu assez d’impacte pour qu’il décide de lui-même de renoncer à sa vie actuelle pour en embrasser une nouvelle. Une vraie vie ! Faites de plaisir et non de prise de tête. « -je sais pas trop… sans doute parce que je ressens la même chose au fond de moi… » avait elle répondu d’un ton léger.

« -tu ne regretteras jamais d’avoir fait ce choix. » elle était certaine de ce qu’elle était en train d’avancer. A quoi bon avoir du fric à gogo si on ne prenait pas le temps de profiter de la vie ! La vie c’était vivre ! C’était voyager, expérimenter, rire, s’émerveiller ! « -et je serais là pour t’aider à t’adapter à cette nouvelle vie. Ma main sera toujours là si tu te sens perdu, si tu doutes… » parce qu’il y aurait forcement des doutes face au jugement des autres… toujours et encore… Un hochement de tête au sujet d’Ava. « -je suis certaine qu’elle comprendra… » même si elle allait avoir du mal à s’en remettre… « -moi aussi… » elle le couva du regard lorsqu’il se leva pour s’occuper du diner qu’elle avait totalement oublié, trop sur un petit nuage après cette nouvelle. Elle se blottit contre lui lorsqu’il revint : « -d’accord… » elle sourit : « -oh non, ensuite on prendra un avion et on ira fêter cela avec ta Nonna ! » la veille femme serait plus que ravi de revoir son petit fils et d’apprendre cette belle nouvelle. Angie avait d’éloigner Edward de tout cela assez rapidement après l’annonce. Parce que les médias allaient vouloir savoir le pourquoi du comment. Alors partir en Europe lui semblait être une merveilleuse idée. « -quoi de plus beau que l’Italie pour reprendre la photo. Ça serait super de faire une séance avec ta grand-mère ! » Angie laissait les idées venir toutes seule. « -oh mon dieu la viande commence vraiment à sentir trop bon… » elle mourrait de faim. Elle se redressa sur ses jambes et regarda de plus prêt. Elle sourit à Edward de l’autre côté des flammes. Elle était heureuse. Là tout de suite. Ici, avec lui, dans ces bois, prêt de ce feu… Pas besoin d’hôtel 5 étoiles, de jet privé, de bijou ou de robe hors de prix. Elle salivait d'avance alors qu'Edward découpait la viande, et lorsque leur assiettes furent garnit, elle s'installa prêt du feu et lui souhaita un bon appétit avant d'ajouter: "-alors, tu t'y connais en histoire qui fond peur?"
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