"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Ven 19 Juil - 20:16
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward avait fait le choix d’entreprendre une carrière politique pour donner un sens à son existence. Il avait brutalement perdu son meilleur ami dans un accident de voiture et il avait miraculeusement survécu alors qu’il se tenait sur le siège passager. Il lui avait paru essentiel de donner un sens à son existence, pour que sa survie ne soit pas vaine. Son premier choix s’était évidemment porté sur le métier des armes. Intégrer la police était une manière de rendre service à la population, et peut-être qui sait, d’éviter à un jeune homme fêtant son diplôme de fin d’étude de mettre fin à ses jours en prenant le volant ivre mort. Toutefois, son père avait considéré que cette profession n’était pas digne d’un fils Wyler. La politique s’était donc imposée à lui. Il était l’héritier d’un politicien britannique. Cela lui avait paru suffisamment prestigieux pour soumettre l’idée à ses parents qui n’avaient eu de cesse de l’encourager au cours de ces deux dernières décennies. Ils le voyaient d’ores et déjà en futur Secrétaire d’État ou Vice-Président des États-Unis pendant que lui n’aspirait plus qu’à une vie différente depuis sa rencontre avec Angelica. Il voulait renouer avec son rêve d’antan. Une passion viscérale qui ne l’avait jamais quitté après toutes ces années et avec laquelle il désirait renouer à ce jour. Une décision qu’il n’aurait sans nul doute pris dans d’autres circonstances. Cependant, la jeune femme lui ouvrait la porte du champ des possibles. Il désirait construire une vie différente à ses côtés. Pour la première fois, Edward avait la sensation qu’il était maître de sa destinée. Il aspirait à acquérir une maison de banlieue, inviter leurs amis et leurs familles à des barbecues certains dimanches d’été, tandis que le reste du temps, il l’octroierait à celle qu’il considérait comme l’amour de sa vie. Parce que c’était bel et bien ce qu’elle était pour lui. Son premier et unique amour. Un aveu qui ne la surprit pas davantage et cela intrigua gentiment le photographe à en devenir. Il fut particulièrement touché en apprenant que la réciproque était vraie. Il bafouilla un « Tu… Tu… » et se tut un instant, avant de reprendre avec plus d’assurance « Tu me considères réellement comme l’amour de ta vie ? ». Elle avait déjà aimé par le passé, et il la percevait comme une femme capable d’aimer à nouveau si leur histoire venait à s’interrompre brutalement. Mais peut-être faisait-il fausse route à penser ainsi.
« Tu sembles si sûre de toi » rétorqua-t-il par la suite en esquissant un petit sourire. Pourtant, lui aussi en était certain. Il le sentait jusque dans ses viscères. Il prenait la plus grande décision de sa vie, et n’avait pas peur. Il se sentait en paix. « Tu m’es si précieuse Angie. N’en doute jamais ». Elle était sa partenaire de vie, son plus grand amour, mais aussi un soutien inconditionné. Quant à Ava, elle resterait son assistante. Il ne pouvait envisager une carrière sans cette dernière à ses côtés pour superviser et soigner son image au quotidien. Il émit un petit rire « Oh mon amour, si tu savais à quel point tu peux avoir tort en affirmant cela. Elle voudra sûrement badigeonner mon corps de miel et lâcher une armée de fourmis rouge pour me voir périr lentement sous ses yeux » et acquiesça à cette idée « Mais à la longue, elle appréciera sûrement cette nouvelle opportunité professionnelle ». Ava allait détester ! Mais il en comptait pas revenir sur sa décision. Il le faisait pour lui avant tout, pour son propre épanouissement, mais aussi pour Angie et pour eux deux. Il voulait construire une vie avec l’influenceuse à ses côtés, parce qu’il l’aimait, tout simplement. Il sourit de nouveau à ses mots, ne parvenant jamais à s’en lasser.
Il s’éclipsa un instant de son étreinte pour veiller à la bonne cuisson du dîner, puis vint serrer à nouveau Angelica qui se blottit tout contre lui. Ses prunelles azurées posées sur elle, ses lèvres s’étirèrent dans un léger sourire « On pourrait aussi se rendre en Italie ». L’idée lui était séduisante. « Je te propose qu’on passe une semaine auprès de Nonna, puis qu’on s’autorise quelques semaines rien que tous les deux. Dans une jolie résidence en bord de mer, sur la côté italienne ». Oui, il désirait l’avoir également pour lui seul dans ce décor paradisiaque qu’offrait l’Italie. « Je vais servir alors ». Il s’affaira à découper la viande, puis servit deux assiettes, et s’installèrent à proximité du feu qui continuait de crépiter « Oui. Bien sûr » et avala son morceau de viande, avant de se lancer « Il y a bien longtemps, dans un village reculé niché au cœur d’une forêt dense, vivant une jeune fille dénommée Elise. Elle était connue pour sa beauté et son intelligence. Un soir de pleine lune, elle décida de s’aventurer dans la forêt, ignorant les mises en garde des villageois. Selon la légende, elle était habitée par des esprits malveillants, et une vieille sorcière, la Mère Grise, qui détestait les intrus. Intrépide, Elise s’y rendit, suivant le sentier à peine visible. Elle arrive finalement devant une cabane en ruine, à moitié enfouie sous la végétation. La porte grinça en s’ouvrant, révélant une pièce sombre et poussiéreuse… » Edward se tut un instant, tendant volontairement l’oreille et reprit comme si de rien n’était « Elle s’avança jusqu’une lumière n’éclaire la pièce. Mère Grise se tenait devant elle. Avant qu’Elise ne puisse réagir, la sorcière tendit la main et murmura une incantation, figeant le corps de la jeune fille « Tu as osé pénétrer dans mon domaine » cracha la vielle femme « Pour cela, tu seras ma prisonnière à jamais ». Les jours défilèrent, devenant peu à peu des mois. Elise ne fut jamais retrouvée. Toutefois, certaines nuit, lorsque la lune était pleine, ils pouvaient entendre des pleurs et des cris provenant de la forêt. Après plusieurs années, la légende s’estompa et un groupe de jeunes gens se rendirent dans la forêt pour y camper. Autour du feu, ils racontèrent des histoires de fantômes… Comme nous ce soir… » précisa-t-il sciemment « Riant et plaisantant, jusqu’à ce qu’une voix douce, mais désespérée se fasse entendre « Pourquoi êtes venus jusqu’ici ? ». La silhouette de la jeune femme apparut, flottant au-dessus du sol, ses yeux vides de toute vie » et Edward déclara subitement, en posant soudainement une main sur le bras d’Angie « Tu dois partir, avant qu’il ne soit trop tard ! » » et émit un petit rire tout en poursuivant « La Mère Grise surgit de l’ombre, et se saisit un par un de ces jeunes gens, les enfermant à leur tour pour l’éternité. Depuis, plus aucun villageois n’a osé s’aventurer dans la forêt ». Il sourit et ajouta « À ton tour ».
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Ven 19 Juil - 21:41
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -qui ‘est ce qui flippe maintenant ?! » s’amusa Angie en le pointant du doigt. Puis elle reprit avec beaucoup de douceur. « -oui…. Je ne me suis jamais sentit aussi bien avec un homme. Je me sens moi, je me sens épanouie, je suis heureuse… tu m’écoutes, me comprends et lorsque ce n’est pas le cas, tu souhaites le faire. Tu me pousses en avant, crois en moi… Tu aimes mon corps, mon esprit pour ainsi dire mon âme également… » elle pencha légèrement la tête : « -je ne cherchais pas rencontrer quelqu’un, encore moins à tomber amoureuse. Alors… si ça nous ait tombé dessous, malgré nos débout compliqués, je me dis que c’est forcement pour une belle raison. Je n’ai pas envie de me poser de question de savoir ce que ça va donner ou non. On avance ensemble… on s’aime… et c’est tout ce qui importe finalement… » bien entendu, ce n’était pas si simple parfois. Mais ça ne remettait pas en doute ce qu’elle venait de dire. Il était l’amour de sa vie. Elle le souhaitait de tout son être.
« -et tu ne devrais pas douter de ton talent Edward. Personne ne devrait douter de ce qui se cache à l’intérieur. » c’était ce qu’elle tentait de faire comprendre à ses followers. Avoir confiance en soit, tenter, réessayer… envoyer chier les autres et leur avis contrôlant et étriqués. « -si tu pouvais également ne jamais en douter, ça serait bien… » parce qu’il avait dans la tête cette idée débile qu’il pouvait lui nuire. Elle détestait cette idée… Et elle souhaitait qu’il arrête de penser ainsi. Une grimace en l’écoutant parle de miel et fourmis. « -ça sonnait un peu érotique au départ, mais les fourmis… je laisserais pas faire… » elle sourit un peu plus, de manière presque enfantine : « -j’aime trop ton corps pour qu’elle l’abime… » et ajouta : « -et puis ça sera peut-être moi qui finirait au bûcher ! » parce qu’il ne faudrait pas longtemps à Ava pour comprendre que c’était Angie qui avait bousculer les plans de carrière d’Edward. Angie sourit : « -je suis certaine qu’elle appréciera te voir heureux… et ça ne pourra que lui faire du bien également. » Ava était aussi un bourreau de travail.
« -va pour l’Italie alors ! Pour rencontrer Nonna et pour passer d’agréables vacances rien que tous les deux. » le programme la faisait déjà rêver. C’était un peu comme si toutes les planètes étaient en train de s’aligner. Là tout de suite, à par manger quelque chose, Angélica ne pouvait rien désirer de mieux. Plus de politique, un chez eux à venir, un voyage…. Une fois son assiette sur les genoux, elle lança le sujet histoire qui faisaient peur. Elle écouta le récit d’Edward avec attention, tout en mangeant. Le repas était délicieux, l’histoire assez flippante. Un sursaut lorsqu’il lui toucha la bras. « -hé pas mal du tout cette histoire ! » s’amusa Angie. « -ok à moi… » elle se racla la gorge et commença : « - Pour l'aider à payer ses études universitaires, une jeune fille se retrouva quelques fois dans le rôle de gardienne et se vit confier la garde de la maison d'un voisin, un médecin respectable et digne de confiance, qui bien sûr la rémunérait convenablement pour service rendu. Ce soir-là, le médecin avait demandé à ce que la gardienne se présente à la maison pour 19h. Peu de temps après son arrivée dans la maison de son voisin, la jeune étudiante reçut un appel téléphonique: un homme à la voix rauque lui dit que si elle ne quittait pas la maison immédiatement, il mettrait fin à sa vie. Terrifiée, l'étudiante raccrocha le téléphone, puis fixa l'afficheur avec appréhension. Évidemment: numéro masqué! 30 minutes plus tard, le téléphone sonna à nouveau. «Si tu ne sors pas bientôt de la maison, je te tuerai.», déclara le même homme au bout du fil. Prise de terreur, la jeune fille raccrocha précipitamment et appela la téléphoniste à la recherche d'une solution. Cette dernière lui recommanda de garder l'homme en ligne pendant environ une minute afin d'être capable de tracer d'où provenait l'appel, si cela se reproduisait. » Angie fit un légère pause pour le suspense et reprit : Plus tard, le téléphone sonna à nouveau, le même homme se tenait au bout du fil. Malgré sa terreur, la gardienne réussit à le garder en ligne pendant tout près d'une minute. Il lui répétait ses menaces en boucle, lui demandant de quitter la maison sur le champ, sinon, il la tuerait. Dans l'urgence, la téléphoniste rappela sans délai pour ordonner à l'étudiante de sortir de la maison le plus rapidement possible, et pour cause: l'appel provenait de la deuxième ligne de la maison qui était située au deuxième étage. L’assassin se trouvait donc dans la maison... » elle fixa Edward du regard et ajouta en riant : « -me demande pas la suite, j’ai jamais été capable de l’écouter en camp de vacances ! » elle rit joyeusement: "-on va arrêter là pour les histoires d'horreurs... et parler d'autres choses! Sinon je vais jamais être capable de dormir à la belle étoile et ça serait vraiment dommage."
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Sam 20 Juil - 9:20
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ses doigts se glissèrent maladroitement dans sa nuque, tandis qu’un petit rire nerveux s’extirpa de sa gorge au moment où Angelica le désigna de son index accusateur. Le politicien n’avait jamais songé qu’un jour il pourrait devenir l’amour de sa vie. Enfin, il y a encore de ça quelques mois, il n’aurait jamais envisagé qu’ils tombent éperdument amoureux l’un de l’autre. La vie pouvait parfois se montrer surprenante. En écoutant Angie énumérer toutes les raisons qui faisaient qu’aujourd’hui, elle le considérait ainsi, il prit pleinement conscience de la manière dont elle le percevait lui au quotidien. De l’homme qu’il était pour elle. Son cœur se gonfla un peu plus d’amour pour elle et la couva tendrement du regard, la laissant poursuivre sans l’interrompre. « C’est l’homme que je veux être pour toi Angie. Je veux être celui que tu mérites » avoua-t-il dans un murmure. Il reposa sa main sur sa hanche et dans un signe de tête tout juste perceptible, acquiesça « C’est le plus important » confirma-t-il par la suite. Bien qu’il parvenait difficilement à s’interroger au quotidien sur leur relation. Son métier l’y contraignait, tout autant que le préjudice que cela faisait peser sur la carrière d’Angie. C’était également l’une des raisons qui l’incitait à quitter la vie politique. Il aspirait à une vie plus simple aux côtés de la jeune femme, tout en menant une carrière dans laquelle il saurait s’épanouir au quotidien, sans avoir la sensation que le monde entier reposait sur ses épaules à l’issue de chaque journée.
Un nouveau sourire étira les lèvres d’Edward « Je comprends mieux pourquoi tu as tant de succès sur Instagram », sous-entendant qu’elle était douée dans son entreprise. Elle lui était vraiment précieuse, et il en prenait pleinement conscience à chaque jour qui s’écoulait passé à ses côtés. « Je ne doute pas que tu me sois précieuse mon amour » en feignant ne pas avoir compris qu’elle lui retournait son compliment, et l’exigence qui en découlait. La fixant avec une certaine intensité, et finit par répliquer « Je vais essayer ». Mais pas tant qu’il n’aurait pas mis un terme à cette carrière qui pouvait lui nuire à tout moment et qui n’avait eu de cesse de les éloigner jusqu’alors. Quant à Ava, il n’était pas certain qu’elle accueille la nouvelle avec un enthousiasme débordant, l’imaginant d’ores et déjà se venger de l’affront qu’il lui ferait en envisageant une telle reconversion à quelques semaines des élections sénatoriales. Il fronça les sourcils, son haut du visage contrastant avec le sourire espiègle qu’il affichait « Attends ! Attends ! » répliqua-t-il en pleine incompréhension « Tu l’aurais laissé me recouvrir de miel pour me faire l’amour ?! ». L’idée lui était pour le moins déplaisante. Pas que son assistante ne soit pas une belle femme, mais elle n’était pas Angelica. « Il n’y a que toi qui peut l’abîmer » répliqua-t-il d’une voix empreint de sous-entendu, avant d’émettre un petit rire « C’est elle qui est venue te chercher. Elle assume ». Après tout, telles étaient les paroles de son assistante. « Je ne doute pas qu’elle appréciera sa nouvelle carrière ». Il n’en était aucunement convaincue. Mais il ne voulait pas évoquer davantage de temps le travail. Ils étaient ici pour se déconnecter. « Est-ce que c’est mal de dire que j’ai déjà hâte que cette page soit tournée et qu’on parte en Europe ? ». Après tout, il allait tourner une page de vingt années pour écrire un nouveau chapitre, et il était habité par un certain empressement à cette idée.
Assis sur le rebord en pierre qui bordait le feu crépitant qu’avait antérieurement allumé Angie, ils dégustèrent leur repas cuit au feu de bois tout en se contant des histoires qui font peur. Lorsque ce fut au tour de la jeune femme, il fut pendu à ses lèvres, réellement immergé dans son histoire. Il y avait cette petite peur qui germait peu à peu dans le creux de son estomac, comme lorsqu’il visionnait des films d’horreur adolescent. Finalement, il n’y eut aucune fin, et la raison fit rire de bon cœur Edward « Tu me laisses sur ma faim » et acquiesça tout en terminant son assiette de sa dernière bougée, se délestant de l’assiette à ses pieds « Tu parlais que tu avais d’autres projets en tête tout à l’heure. Lesquels ? ».
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Sam 20 Juil - 12:50
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie lui avait adressé un sourire tendre. Oui, elle avait du succès sur Instagram. Même si elle n’était pas la seule au monde à prôner ce genre de chose. La course au pouvoir, à l’argent… la plus part des gens qui évoluaient dans ce monde, n’étaient pas heureux. Ils finissaient corrompus, toujours plus avides, encore, et surtout seul… Edward ne méritait pas ça. Il l’avait déjà trop subit. Il était temps pour lui de renouer avec sa vraie nature et de pouvoir enfin être heureux. Elle était heureuse qu’il ait fait son choix seul. Même si le monde entier allait dire que c’était la faute de la jolie rousse, elle, elle savait que c’était faux. Edward avait réfléchit pendant des semaines avant de prendre cette décision. Ce n’était pas une envie subite. C’était quelque chose de poser. De méditer. « -alors continue, parce que tu y arrives très bien. » oui il y avait des hauts et des bas, mais c’était comme n’importe quelle relation. Malgré la distance, le froid, elle ne doutait pas de la solidité de ce qu’ils construisaient ensemble. « -Edward… » souffla ensuite la jeune femme avant de lui sourire.
Lorsqu’il évoqua cet image étrange de torture qui pourrait sortir de l’esprit d’Ava, Angie s’en amusa. « -quoi ? Que elle, elle te fasse l’amour ?! » demanda Angie avant de faire mine de réfléchir à l’idée. « -je suis pas certaine qu’elle dirait non… mais non, je ne parlais pas d’elle. Juste du fait de mettre quelque chose de comestible sur ton corps… » Le corps d’Edward lui appartenait à elle et uniquement à elle. Hors de question qu’une autre femme n’en profite sans sa validation. « -un peu de calme et de repos ne pourra que lui faire du bien… » de base, Ava était en couple… Angie se demandait comment elle parvenait à gérer sur tout les fronts.
Trois semaines… encore trois semaines et ils feraient leurs valises pour firent en Italie ! « -est ce que c’est mal de dire que j’ai toujours envie de toi ? » elle le regarda et ajouta : « -non, alors c’est pareil. Ce n’est jamais mal de dire la vérité. Surtout au sujet de quelque chose qui nous apporte du bien… » Elle enchaina sur le repas parce que son estomac criait famine, et qu’elle avait toujours dans l’idée qu’ils fassent l’amour sous cette merveilleuse pleine lune qui illuminait le ciel. Mais d’abord, c’était les histoires qui faisaient peur. Edward parvint à la faire légèrement flipper. Les histoires d’horreurs allaient avec les feux de camps, mais Angie n’avait jamais été une grande adepte confiant à Edward qu’elle ne pouvait lui raconter la suite de son histoire, parce qu’elle n’avait jamais été capable de l’écouter jusqu’au bout. Elle proposa de changer de sujet.
Tout en terminant son assiette elle répondit avec un naturel déconcertant : « -oui… le projet le plus immédiat, c’est d’aller chercher banane chocolat, papier alu… et guimauve ! » elle se redressa sur ses jambes et se ravisa après un pas et en montrant toutes ses dents elle demanda : « -tu viens avec moi ? » quelle idée débile de raconter des histoires flippantes.
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Sam 20 Juil - 19:53
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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En faisant la connaissance d’Angelica quelques mois auparavant, sur le rooftop de l’Elyisum, il avait envisagé toutes les conjectures, mais aucunement celle de tomber éperdument amoureux d’elle. Aujourd’hui, il pouvait sans crainte déclarer que cette femme avait bouleversé sa vie de la plus belle des manières. Il n’était plus le même homme que celui dont elle avait serré la main dans un accueil glaçant. Il était devenu un homme soucieux de son bien-être, un partenaire de vie, qui savait l’écouter et se montrer doux à son égard. Angelica avait su faire émerger une part de lui dont il ignorait tout et qui n’était accessible qu’à elle seule. C’était pour cela qu’il clamait haut et fois, ce soir encore, qu’elle lui était précieuse. Il ne lui restait plus qu’à comprendre, qu’il l’était aussi pour elle. Mais seul le temps saura faire son œuvre sur la confiance qu’il avait envers lui-même. Dans l’attente de ce moment, Edward se contenta seulement de sourire, puis de déposer ses lèvres sur le bout de son nez quand elle prononça son prénom. Il était heureux de constater que sa décision de quitter la vie politique l’avait rendu euphorique. C’était un nouveau chapitre de leur histoire qui s’écrivait à compter de ce soir. Pour autant, il n’était pas certain que cette nouvelle engendre le même enthousiasme sur son assistante, imaginant sans mal les tortures qu’elle serait capable de lui infliger. Les sourcils au milieu du front, et le sourire au coin des lèvres, il la laissa envisager qu’il puisse avoir une aventure avec Ava. « Tu es réellement en train d’y songer ?! » finit-il par clamer, et déclara ensuite, l’interrompant brièvement « Mais moi si ». La seule et unique femme toute disposée à toucher à son corps, c’était celle qui était actuellement blottie dans ses bras. Toutefois, la dernière information qu’elle lui communiqua ne lui échappa pas et rebondit aussitôt « Tu aimerais recouvrir mon corps de chantilly ou bien de chocolat ? ». Pourquoi cette idée l’excitait soudainement ?! Parce que tu aimerais qu’elle laisse glisser sa langue sur ta peau, jusqu’à ta queue, et qu’elle la prenne en bouche comme un dessert sucré… Lui répondit sa petite voix intérieure. « Ava n’aime pas le calme et le repos. Ava … Ava fatiguerait un expresso ».
Dans trois semaines, Edward serait libéré de toutes obligations professionnelles et de toute pression politique. Il deviendrait alors un homme libre de choisir sa nouvelle destinée. Mais dans l’attente que l’effervescence de la presse ne s’estompe, ils décidèrent que quitter le pays serait le choix le plus pertinent. L’Italie serait alors une destination toute choisie. Une semaine auprès de Nonna et les prochaines seulement tous les deux. Il en venait presque à culpabiliser d’éprouver cet empressement. Mais Angelica coupa court à ce ressentiment et le fit même sourire « Jamais ! » clama-t-il avec aplomb et finit par émettre un petit rire « Tu as raison. Je nous imagine déjà flâner dans les rues de Rome, puis de Venise ». Oui, il avait hâte que cette nouvelle page ne se tourne pour enfin profiter pleinement de ce que la vie à offrir aux côtés d’Angie. Comme ce soir, alors qu’ils prenaient tous deux plaisirs à se conter des histoires effrayantes, dont le politicien ne put connaître l’issue. Un joli éclat de rire avait retentit à l’aveu de cette dernière, et décida donc de répondre à sa requête et de changer de sujets. « J’avais oublié le premier dessert » sous-entendant qu’il était le suivant. Ramassant les deux assiettes qu’il amoncela l’une sur l’autre, il releva ses prunelles azurées sur Angie, une lueur amusée venant voiler son regard « Aurais-tu peur du sombre assassin qui trône dans notre maison ? ». Il glissa sa main dans la sienne, et s’avança jusqu’à la maison. Il se délesta de son fardeau dans le fond de l’évier, puis se saisit des guimauves, tout en laissant Angie s’occuper du chocolat et des bananes. Il profita de son inattention pour s’exclamer dans un « Bouh ! » joueur, ses mains se posant ses épaules « Que vas-tu faire avec tout ce papier d’aluminium ? ».
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Dim 21 Juil - 11:11
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -bien sur que non je te fais marcher ! » avait elle renchérit en riant. Même en était très ouverte d’esprit, Angie n’était pas encore prête à explorer ce genre de chose avec Edward. Parce qu’ils n’avaient pas encore tout explorer ensemble, juste eux deux. Elle avait l’intime conviction que ce qui s’était déroulé dans la salle de bain tout à l’heure, n’était que le début… Par deux fois déjà Edward lui avait murmuré à l’oreille qu’il avait envie de lui faire tant de choses… Angie était curieuse de découvrir quoi… Même si elle savait qu’elle allait devoir ouvrir le sujet, le questionner, et le mettre en confiance afin qu’il se livre. Elle avait déjà plus ou moins ouvert le sujet en lui confiant comment elle avait obtenu le meilleur orgasme de sa vie… Edward avait ainsi pu comprendre et constater, qu’il n’avait pas à rougir de ses propres fantasmes. « -le chocolat je sais pas… ça doit coller… Mais la chantilly… pourquoi pas… j’aime bien ça les glaces avec beaucoup de chantilly… » elle le dévora des yeux en disant cela. Il avait cherché… « -mais si ça lui fera du bien ! ça lui donnera du temps pour son couple, pour sa vie perso… » ce qui ne pourrait sans doute pas lui faire de mal.
Après seulement deux histoires qui faisaient peur, Angie déclara forfait ! Elle n’avait jamais vraiment aimé ça. Et elle avait réalisé qu’elle n’avait pas la moindre envie de passer la soirée coller à Edward en mourant de peur au moindre bruit de la foret. Elle avait d’autres idées en tête. Et lui aussi visiblement. « -arrêtes ! » lança Angie avant de marmonner : « -maintenant t’es obligé de venir avec moi. » sa main dans la sienne elle avoua : « -j’aimais bien ce genre d’histoire quand j’étais ado. Le frisson que ça donne… mais oui après j’ai tendance à devenir parano ! » Elle s’affaira dans la cuisine et poussa un cri de surprise lorsqu’Edward trouva ça drôle de lui faire peur. « -je vais passer le reste de la soirée collée à toi je te préviens. » menaça la jeune femme avec une banane dans la main, pointée vers Edward. « -t’as jamais fait de banane au feu de bois ? » elle s’appliqua à couper les bananes, à mettre plusieurs carreau de chocolat dans la coupure, puis à entourer le tout de papier d’alu. « -ça va cuire dans les braises et ça va t’emmener au septième ciel… » ajouta Angie qui avait terminé. « -bon d’accord pas autant que mon corps… mais ça va être délicieux tout de même… » s’amusa Angie avec un sourire en coin, un poil provocante. Une fois prêt du feu, elle installa tout cela dans les braises et reprit place à côté d’Edward. « -tu sais, ce que j’ai dit tout à l’heure, au sujet de la chantilly… on est pas obligé de le faire hein… c’était juste une idée… » elle s’affaira à mettre des marshmallow sur deux pics à brochette tout en ajoutant sans la regarder : « -et pour ce que je t’ai avoué dans la salle de bain tout à l’heure… c’était une belle expérience. Que je n’ai jamais reproduit par la suite. » elle lui tendit une brochette et reprit : « -ça c’est passé lors de ma… » elle mima des guillemets : « -retraite spirituel en Inde… parce que c’est pas juste prier et faire du yoga… » elle sourit. « -il y avait tout une philosophie sur la découverte des sens, du corps, du plaisir. De plaisir par l’alimentation, par le sport, par le sexe… » un léger haussement d’épaules comme si c’était totalement classique. « -c’était une sorte de soirée d’expérimentation. On pouvait participer ou seulement regarder. J’ai commencé par regarder… et puis j’ai participer… c’était un mélange de corps, de souffles, de caresses… qui peu à peu se sont transformés en gémissement, en cris… c’était enivrant de voir tout ce plaisir… »
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Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Pendant une seconde, Edward avait réellement cru que la jeune femme étudiait sérieusement la question de le laisser vaquer auprès d’une autre femme. D’une nature particulièrement possessive et jalouse, le politicien n’envisageait pas de partager avec quiconque. Il lui appartenait tout entier, et la réciproque était toute aussi vraie. Quant à s’autoriser de découvrir le corps de son assistante aussi intimement, il l’avait déjà envisagé par le passé. Elle s’était enivrée avec une bouteille de Glen Grant à plus de 5 000 dollars la bouteille qu’il gardait toujours précieusement à l’arrière de son bar, et avait vu en lui une probable aventure d’un soir. Il se souvint encore parfaitement de sa main remontant dans une lente caresse jusqu’à son entre-jambe, ne laissant nul doute quant à ses attentions, puis avait embrassé son cou. Il aurait pu aisément profiter de l’opportunité qu’elle lui offrait, mais n’en fit rien. Il avait alors mis un terme à cette mascarade et l’avait conduit jusqu’à l’une des chambres composant son penthouse. Ils n’avaient jamais évoqué ce jour depuis. Si le politicien n’avait pas succombé à l’époque, alors qu’elle était tout disposée à écarter les cuisses pour l’accueillir, il ne le ferait pas aujourd’hui maintenant qu’il était engagé corps et âme avec Angelica. C’était elle qui l’électrisait d’un regard, d’un mot. Qui le contraignait à se mordre la lèvre inférieur pour ne pas se ruer sur elle, tandis qu’elle évoquait son goût pour les glaces recouvertes de chantilly « Ne joue pas trop si tu n’es pas prête à assumer princesse » déclara-t-il d’une voix profonde. C’était l’influenceuse qui avait souhaité s’alimenter avant de jouer avec lui. Mais il n’était pas certain de résister si elle continuait de jouer avec sa personne. « Il faudra trouver d’autres arguments pour la convaincre ». Depuis son ex-mari qui l’avait violenté, et malgré la compréhension de Dough au quotidien, il avait toujours eu la sensation qu’elle évitait au mieux sa vie de couple et de famille pour ne pas être accablée par la déception, une fois encore si ça venait de nouveau à échouer.
Mais ce soir, Edward ne désirait pas évoquer son assistante davantage et après s’être conté mutuellement des histoires effrayantes, Angelica n’était plus certaine de vouloir rejoindre le chalet seule. Ce qui amusait grandement le politicien qui décida de la taquiner quelque peu, pour finalement abdiquer et l’accompagner jusqu’à la cuisine, main dans la main « C’est ce que je constate » déclara-t-il en arborant toujours ce petit sourire espiègle au coin des lèvres. Tel un grand enfant, il décida de profiter d’une minute d’inattention de sa moitié pour la faire crier de peur, bien qu’il préférait que ce son ne jaillisse de sa gorge dans d’autres circonstances « Est-ce que j’ai l’air de m’en plaindre ? », avant de s’intéresser à la recette d’Angie. Il répondit d’un simple « Non », et l’observa s’affairer à préparer le dessert. « Continue comme ça mon amour, et je ne suis pas certain de vouloir te faire l’amour avec tendresse ce soir » la provoqua-t-il sciemment en retour. Devant le feu, il la laissa installer sa préparation au milieu des braises sans mot dire. Debout face au feu crépitant, il tourna la tête en direction d’Angelica qui semblait fuir son regard en cet instant « Peut-être que j’en ai envie aussi » souffla-t-il avec douceur en ce qui concernait la chantilly étalée sur leurs corps nus.
Sans un mot, Edward se saisit de la brochette de shamallow qu’il tendit au-dessus du feu, et la laissa se confier sur cette expérience sexuelle qu’elle avait entrepris en Inde, au cours de sa retraite spirituelle. Elle s’était donnée à deux hommes en même temps et avait eu le plus bel orgasme qui lui était donné de ressentir. Pendu à ses lèvres, il pouvait sentir peu à peu ses pupilles se dilater au fil des détails qu’énuméra sa petite-amie, et sa queue se tendre dans son pantalon en imaginant la jeune femme au milieu des corps nus, criant au plaisir au milieu des autres couples qui s’adonnaient à l’acte charnel. Il déglutit avec lenteur « Tu as été prise par plus que deux hommes au cours … au cours de cette retraite spirituelle ? » et constata qu’il ne se souciait plus du dessert dorénavant. Il était peu à peu excité par les détails que lui confia Angie, sans en connaître la raison. Pourquoi savoir qu’elle était aussi libérée dans sa sexualité, l’exaltait autant ?! « Tu aimerais de nouveau être partagée avec deux hommes ... ou plus ? ». Parce qu’il n’était pas certain d’être prêt à la partager, et une part de lui avait envie de réaliser ses fantasmes les plus profonds.
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Charly
Dim 21 Juil - 13:38
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie jouait avec le feu. Elle aimait attiser les braises du désir chez Edward. Elle adorait le voir la regarder comme s’il mourrait d’envie de la dévorer. « -alors on se laissera porter le moment venu… » répondit Angelica avec un sourire au coin des lèvres. Douceur, passion ou bien force et bestialité, elle adorait lorsqu’il lui faisait l’amour, peut importait comment. Tant qu’ils étaient en osmose et qu’ils se donnaient du plaisir. Le septième ciel allait attendre un peu. Il restait le dessert… quoi que là tout de suite, Angie n’en avait pratiquement plus envie… Cependant, ils retournèrent sagement au prêt du feu et elle mit dans les braises, ce qu’elle avait niché dans le papier d’alu. Elle décida de poursuivre sur le sujet sexe et revint en arrière, avec cette idée de chantilly. S’il n’était pas partant, alors c’était ok. Mais cela ne semblait pas être le cas. « -d’accord… alors je note l’idée dans un coin de ma tête… » elle savait parfaitement qu’il y avait de la chantilly dans le frigo du chalet… peut-être qu’ils pourraient profiter de ces deux jours isolés pour expérimenter ce genre de gourmandise.
Angie évoqua ensuite plus en détails ce qu’elle lui avait confié dans la douche. Il lui avait demandé de lui raconter. Et c’était sans gêne qu’elle le faisait, assise prêt de lui au coin du feu. Ces souvenirs remontaient en mémoires. Au départ, elle avait hésité. Et puis elle avait finit par se lâcher, se disant que ce genre d’expérience n’arriverait probablement qu’une fois dans sa vie. Tout avait été fait dans les respects et dans le consentement. Aucun homme ne l’avait touché contre sa volonté, aucun n’avait abusé d’elle. Elle imaginait sans mal l’excitation qui naissait chez Edward. « -durant cette soirée, je ne saurais pas vraiment te dire combien d’homme j’ai touché ou sucé… » au bout d’un moment, l’ivresse prenait le dessus. Comptait seulement le plaisir… « -entre mes cuisses… je dirais… cinq… » elle baissa les yeux : « -seulement une fois avec deux en même temps… » elle se livrait à Edward sans filtre, totalement en confiance. Elle savait qu’il ne la jugerait pas. Et pourtant elle ajouta: "-peut-être que je te choque en te racontant tout ça..."Puis il posa sa question « -non. » répondit Angie en quittant le feu du regard pour le porter sur Edward. « -je suis à toi… uniquement à toi. » elle ajouta avec une sorte de sensualité dans la voix : « -mon corps t’appartient… » puis elle marqua un léger silence avant d’ajouter : « -mais je suis entièrement disposer à explorer bien des choses avec toi. » elle osa enfin poser la question : « -tu me l’as déjà dit deux fois, que tu avais envie de me faire tant de choses… je suis incapable de lire dans tes pensées… mais j’aimerais beaucoup que tu m’en dises plus. »
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Dim 21 Juil - 14:13
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ce qui aurait dû une soirée d’accalmie pour Angelica, lui permettant de récupérer des orgasmes successifs qu’il avait été autorisé à lui concéder un peu plus tôt dans la journée, prenait une toute autre tournure. Il n’était plus certain de vouloir lui faire l’amour en toute tendresse, à la lueur de la pleine lune. En toute honnêteté, il n’était pas non plus certain d’être disposé à déguster le dessert préparé consciencieusement par Angelica au préalable. Il n’avait plus qu’une seule envie, et c’était elle. L’influenceuse en avait pleinement conscience et en jouait malicieusement, en sous-entendant qu’elle était prête à l’accueillir de la manière qu’il désirait. Pour seule réponse, un grondement qui résonna dans sa cage thoracique, trahissant la frustration qu’il ressentait à se censurer ainsi. Il se réprimait de ne pas la toucher, et d’attendre patiemment qu’elle lui accorde son corps. Edward avait crédulement pensé qu’en sortant des murs du chalet, ils aborderaient des sujets qui lui permettrait de se contenir, mais il n’en fut rien. Elle revint sur la chantilly et semblait rebrousser chemin vis-à-vis de cette idée qu’elle avait évoqué à voix haute un peu plus tôt. Comme si elle craignait qu’il ne soit pas consentent à cette idée de rendre leurs ébats plus gourmands. Il n’en était rien. Edward était même séduit par cette suggestion, et le lui confirma par un « Oui » assuré. Une expérience qu’ils étaient tout disposé à expérimenter au cours des deux prochains jours. La bouteille de chantilly les attendant patiemment dans la porte du réfrigérateur. Contre toute attente, il ne s’était pas attendu à ce que la jeune femme se laisse porter par la conversation, jusqu’à évoquer ses expériences sexuelles antérieures, au cours d’une retraite spirituelle en Inde.
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Charly
Dim 21 Juil - 15:05
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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