Tanaka (田中) Shuito (surnom). Age : 30 ans physiquement, réellement 108 ans. Vit à Tokyo, au Japon, où il est le bras-droit du roi du plus grand essaim de vampires du pays. Célibataire, il est volage et ne cherche pas à se mettre en couple.- Son vrai prénom est Shuto. Bien avant qu’il ne devienne vampire, son petit frère l’appelait Shuito, déformant son prénom sans le faire exprès. Après la mort de ce dernier, peu après la transformation de Shuto, il a décidé de se faire appeler Shuito, en souvenir de son frère. - Son petit frère a été tué par le vampire qui l’a transformé. Il cherche à se venger depuis. - Ayant été abandonné par son Sire, c’est Kuro qui l’a recueilli alors qu’il était en train de faire des ravages en plein cœur de Tokyo. S’il n’est pas son infant, il le considère malgré tout comme son roi, mais surtout comme un ami. - Charmeur, il aime le sexe et le sang. Il n’hésite pas à user de ses charmes de vampire pour se trouver des proies. - Depuis qu’il a rejoint Kuro, il est beaucoup plus dans la retenue et évite de tuer si cela n’est pas nécessaire. - Il fera tout pour son roi, y compris réprimer ses pulsions
Chanson thème de Shuito
Sakura rit, ou plutôt ricane, avant d’ajouter qu’elle est fascinante. Passionnante même. Shuito soutiens son regard. Appétissante... voilà ce qu’elle est. Dans tous les sens termes.
Il ne répond rien lorsqu’elle lui indique de ne pas oublier ce qu’elle est. La main de l’humaine revient pour caresser sa peau, presque machinalement. Il se laisse faire et doit faire appel à tout sa volonté pour ne pas lui mordre les doigts. Il va finir par perdre le contrôle si ça continue... merci les menottes en argent...
La jeune femme confirme que le menu à partager lui fait plaisir car cela lui permettra de gouter de plus de chose. Le vampire, lui, ne veut en gouter qu’une seule, désormais...
Au moment de passer la commande, la demoiselle demande un chocolat chaud en plus. Shuito grimace malgré lui mais ne dit rien. Un chocolat chaud avec le repas ? Mais quelle idée... elle aurait pu prendre un cocktail sans alcool ou même un soft si elle ne veut pas d’alcool... Mais bon, chacun ses goûts, n’est-ce pas ?
”On en reparlera quand vous aurez goûté le vin. Et sinon, ça en fera plus pour moi.”
De nouveau, il ne relève pas le fait qu’elle le considère comme son prisonnier. Techniquement, c’est bien le cas, mais elle ne se doute pas d’à quel point ça va se retourner contre elle. Et le pire, c’est qu’elle va adorer ça...
Lorsque le vampire demande à Sakura ses tarifs, cette dernière semble surprise une seconde avant de réfléchir. La position qu’elle prend alors termine de conforter Shuito dans sa décision. Tant pis pour son roi, il paiera les pots cassés plus tard, mais là il ne peut plus résister. Il respire l’odeur de l’humaine alors qu’elle se frotte à lui en lui indiquant ses prix. Un petit rire s’échappe de ses lèvres et il murmure à son oreille alors qu’elle s’aventure dans son cou.
”Ce n’est pas bien de gonfler ainsi ses prix. Mais très bien, je vous offre 500 000 yen et vous me laisser faire tout ce que je veux.”
La somme est exorbitante. Mais il ne doute pas qu’elle le vaut largement. Il vient poser sa main libre sur le bas du dos de la blonde pour la coller un peu plus à lui.
”Il n’y a aucun désirs que je n’ose réaliser, mais je fais le pari que vous passerez un moment inoubliable.”
Malheureusement, il faut qu'elle brise le charme au moment où il prononce ces mots. Le sourire de Shuito disparait lorsqu’elle se redresse et se demande pourquoi il n’arrive pas à se réchauffer. Il chasse sa main de son visage, exaspéré. Un toussotement se fait alors entendre, lui coupant la parole avant même qu’il ne la prenne.
- Vos boissons, messieurs dames. Voici également un amuse-bouche pour vous faire patienter. Si je peux faire quoi que ce soit d’autre pour vous, n’hésitez pas à m’appeler.
Le serveur dépose le verre aux tons rougeâtre, la tasse de chocolat chaud et deux petites assiettes sur lesquelles se trouvent un mini potage, un toast sophistiqué et un feuilleté. L’homme présente chaque petite bouchée avant de prendre congé sans faire de commentaire sur la position plutôt inconvenante du couple. Sans attendre, Shuito attrape son verre.
"Et bien santé, ma chère.”
Il boit une longue gorgée et pousse un soupire de contentement. La boisson est parfaite, et elle lui fait un bien fou, même si ça ne suffira pas à lui redonner l’énergie perdue jusqu’à maintenant. Il passe sa langue sur ses lèvres pour profiter pleinement du goût puis repose un regard soudain flamboyant sur la jeune femme.
”Mais dites-moi, actuellement s’est vous qui joué avec moi et m’utilisé comme un esclave alors que c’est moi qui paie...”
Esclave, prisonnier... du pareil au même. Shuito n’a pas l’habitude d’être le soumis dans l’histoire, et si elle veut profiter de lui autant qu’il compte profiter d’elle, il faudra qu’elle paie, elle aussi.
”Cela devrait me donner certains avantages, non ? Ou bien les règles du jeu sont-elles déloyales ?”
Qu’elle fixe les règles si elle le désire, mais il arrivera toujours à les faire aller dans son sens. Il approche son visage du sien, posant sa main un peu plus bas, cette fois, presque sur ses fesses. Il fixe ses lèvres un instant avant de relever les yeux et de les plonger dans les siens, libérant à nouveau son aura. Même plus faible, vu leur proximité, elle ne peut y échapper...
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Clionestra
Hier à 23:39
Sakura Herano
J'ai 32 ans et je vis à Tokyo, Japon. Dans la vie, je suis prostituée et je m'en sors bien, même si je déteste mon boulot. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire même si cela n'a pas toujours été le cas. ► Elle a été marié pendant trois ans (de l'âge de 18 ans à 21 ans ) avec son premier amour... qu'elle croyait sincère. ► Son mari, qui avait dix ans de plus qu'elle et à commencer à sortir avec elle quand elle avait 15 ans n'a fait que la manipuler et lui mentir pour s'amuser de sa jeunesse. ► Elle a eu une fille, celle qui a obligé l'homme de se marier avec elle... sauf qu'elle est morte d'une maladie à l'âge de trois ans. ► Depuis, elle vit dans la rue. Sa famille ne veut plus lui parler et elle n'avait plus aucune raison de vivre, avant de rencontrer Shira ► Elle adore dessiner et peindre, même si elle ne l'a plus fait depuis onze ans de galère dans la rue
Sakura se demande pourquoi l’homme semble choqué qu’elle demande un chocolat chaud. Elle a froid, elle aussi… et en plus elle est en présence d’un glaçon qui n’arrive pas à se réchauffer alors. Elle le regarde avec une incroyable candeur. Assise à califourchon sur lui, elle observe ce visage se mouvant. Elle a encore envie de le toucher, de le caresser et de vérifier son pouls. A-t-elle vérifié son pouls ? Peut-être faisait-il une hypothermie vue la température de son corps, non ? Elle lui sourit, de la manière la plus innocente possible.
- 500 000 yens…, mhhhh, réfléchit-elle doucement en se mordant ses lèvres pulpeuses, je veux un mot de sécurité alors.
Elle n’est pas folle. Même si 500 000 yens c’est énorme pour elle, elle ne peut pas accepter de tout lui laisser faire. Il faut qu’elle puisse se protéger. Et dans tous les jeux de BDSM, il y a un mot de sécurité qui permet à la personne soumise de dire que c’est trop pour elle. Elle trouve que ce n’est pas trop demandé. Elle ne demande même pas a apprécier leur relation sexuelle, elle demande simplement à ne pas mourir en se faisant étrangler, ou à saigner (//si elle savait). Sakura rigole un peu.
- Il y a toujours quelque chose que l’on n’ose demander sans trouver la bonne personne. La plupart du temps, les hommes cherchent une pute pour faire cette fantaisie… dans ton cas, tu cherches quelqu’un qui reste, hypothése-t-elle doucement.
Ouais. Elle pari même que c’est ça qui couac dans ses relations. Shuito ne doit pas avoir des relations qui durent. Il doit s’amuser, mais rien qui ne reste. C’est ça, qu’il n’ose pas réaliser. Quelqu’un qui ne pourrait pas partir. Elle le croit en tout cas, en plongeant son regard dans ses prunelles. Elle saute de joie avec son chocolat et elle prend une gorgée. Elle gémit de bonheur alors que sa langue chauffe sous le liquide sucré. Elle rigole face à lui.
- Les hommes paient les femmes comme moi, c’est bien connu. Et je sais que la souffrance arrivera assez vite pour que je puisse profiter de chaque petit moment que l’on m’offre.
Elle réfléchit en le regardant droit dans les yeux. Elle se sent à nouveau étrange. Son cœur bat plus vite. Elle a envie de se donner à lui… mais elle sait ce que ça fait de voir un homme qui hypnotise et de s’en mordre les doigts. Elle l’a connu. Elle a tellement été manipulé que maintenant, elle le ressent dans ses gênes. Elle le ressent dans son cœur. Elle n’a pas envie de repartir dans les travers démoniaques qui lui ont fait perdre l’amour de sa vie : sa fille. Elle sait qu’elle ne doit pas… pourtant les yeux de Shuito ne sont pas exactement comme ceux d’Eiji. Son ex avait le désir de lui faire du mal dans le fond de ses prunelles. Pas Shuito, c’était une promesse.
- Je dicte les règles, et elles seront déloyales tant que je n’aurais pas Shira, souffle-t-elle en se rapprochant doucement de ses lèvres.
Elle regarde sa bouche qui l’appelle, puis ses yeux, et à nouveau ses lèvres. Elle se penche. Un baiser. Elle peut lui offrir un baiser, sans avoir à payer. Un simple baiser. Elle profite aussi de cette main qui la soutient autant qu’elle la caresse. Et elle apporte son aide à ce délicat contact. Elle ouvre les lèvres. Il a un goût étrange. Un goût de fer et de… sang ? Elle caresse la lèvre de cet homme dont elle ne connaissait même pas l’existence un peu plus tôt dans la journée. C’est doux, presque romantique, alors qu’elle accepte cet élan de bonté. Parce qu’un tel baiser est un baume sur le cœur. Elle finit par être à nouveau sur lui, si proche, l’embrassant avec plus d’envie que ce qu’elle ne désire manger, et ça la dérange. Elle pose son front sur celui de l’homme.
- Fais gaffe, tu risques de devoir payer plus cher. J’oublie parfois que j’embrasse très bien, se vante-t-elle simplement en caressant sa peau à nouveau.
Elle fronce les sourcils, encore. Et elle finit par lui bécoter la joue pour essayer de la réchauffer. Il faut faire quelque chose. Elle se tourne pour prendre l’amuse-gueule qui semble le plus chaud et lui offrir.
- Ouvre la bouche, tu dois manger. Sinon tu vas vraiment me claquer entre les doigts, et je ne peux pas dire non à 500 000 yens.