Le Temps d'un RP
le seul rpg où tu joues qui tu veux, quand tu veux
Retrouve les animations du forum pour t'amuser,
découvrir de nouvelles plumes et vivre de folles aventures !
» Better Omens ? [Douxteux & Aconit]
(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 EmptyHier à 22:38 par Aconit

» Evomind: la fureur d'écrire (rien que ça ... ;) )
(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 EmptyHier à 18:47 par Evomind

» DouxTeux
(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 EmptyHier à 18:40 par DouxTeux

» Natsu is here
(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 EmptyHier à 18:33 par Telanie

» Saveur Vanilla
(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 EmptyHier à 18:33 par Telanie

» Des petites musiques dans ma tête...(en cours d'écriture)
(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 EmptyHier à 18:30 par Evomind

» Encore une autre danse, dans cette valse sans fin. (+18)
(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 EmptyHier à 14:46 par Telanie

» C'est dans la boîte - [Ft. Telanie]
(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 EmptyHier à 10:34 par Telanie

» Le dernier espoir [ft. Telanie]
(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 EmptyHier à 9:42 par Telanie

Le Deal du moment : -30%
LEGO Icons 10318 – Le Concorde à ...
Voir le deal
139.99 €
anipassion.com

LE TEMPS D'UN RP

(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori.

Anonymous
Invité
Mer 6 Mar - 20:02

Sally River-Johns
J'ai 22 ans ans et je vis à Chicago, Amérique. Dans la vie, je suis réceptionniste à temps plein dans l'hôtel du groupe Warren et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma dévotion totale pour ma famille, je suis célibataire depuis toujours et je le vis plutôt normalement, je pense.

(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 Frases-9-6
Pense-bête (famille de Sally) David, son père (43 ans), ainsi que sa fratrie (dont elle a la charge) : Soren (20 ans); les jumelles Kelly et Kylie (17 ans) ; Adrian (15 ans) ; Loïs (14 ans) ; les faux-jumeaux Delillah et Donovan (11 ans) ; et le petit Louis, le cadet (8 ans).  


Elizabeth Lail ©️ titekaori
Nous sommes à nouveau d’accord. C’est parfait. Il n’a plus qu’à accepter d’être agréable envers moi, lorsque je serai à son service officiellement, et je pourrais signer son contrat immédiatement. C’est du moins ce que j’attends, confiante, quand Monsieur Warren m’explique qu’il n’aime pas sourire et qu’il préfère autre chose. Je suis curieuse de découvrir ce quelque-chose, je dois dire. Particulièrement à la façon dont il se rapproche de moi. Et autant dire que je ne suis pas déçu de sa suggestion. Il se propose à mettre en pratique ce qu’il m’avait répondu au restaurant, quant à son enseignement de certaines choses de la vie entre un homme et une femme, où même que je l’embrasse. C’est affreusement gênant. Je croyais qu’il souhaitait des rapports strictement professionnels entre nous et… et je découvre qu’il ne serait pas contre à beaucoup plus. C’est… déstabilisant, excitant. Je me débats comme une malheureuse souris prise dans les griffes d’un gros chat, mais la vérité est que je crève d’envie qu’il me croque toute entière. Il le remarque, d’ailleurs. Il me signale que je pourrais l’embrasser dès à présent, puisqu’il a conscience que je le désire. C’est un fait, oui. Je me laisserai volontiers tenter par cette volonté d’unir à nouveau mes lèvres aux siennes, ma langue à la sienne, mais je doute que cela soit un comportement tout indiqué dans les rapports qu’il a souhaité pour nous. Que dirais son personnel s’il savait qu’il s’envoi en l’air avec sa nouvelle jeune réceptionniste ? Il n’est pas nécessaire qu’il le sache. Que penserai-je de moi si je cède à la tentation, surtout ? Je ne sais pas. Je ne sais plus. Je verrai sans doute dans mon reflet l’image de ma mère qui s’est enfuit avec un homme, pouvant être largement son fils. Mais paradoxalement, je ne ferai rien de mal n’est-ce-pas ? Je ne ferai que prendre un peu de bon temps avec cet homme au charisme fou et… Oh mon dieu j’en ai tellement envie que son argument me semble plus que recevable. Nous ne sommes pas encore patron/employée, tout les deux. Nous sommes juste encore un homme et une femme, terminant la soirée dans une suite luxueuse. Nous ne pouvons donc pas nous reprocher de ne pas être professionnel, même si incontestablement nous ne le sommes pas ? Je suis confuse. Je suis prise entre deux feux, la raison et le désir, et je n’ai aucune idée sur le comment je me dois de réagir. Je demande donc à ce que nous reprenions la conversation là où elle était, avant que les propos ne dérapent. C’est le mieux, je crois. Ainsi je fais preuve de responsabilité et… Il accepte. Je m’en mords immédiatement l’intérieure de la joue. J’ai gâché mon unique chance d’être plus proche de cet homme, et je m’en veux terriblement. Je me saisie d’ailleurs du stylo qu’il me tend pour signer le contrat, d’un profond soupir. J’espérais qu’il mettrait plus de conviction à me convaincre de m’offrir à lui et… Preuve évidente que je me suis trompé. Il a comprit qu’il ne ferait que me rendre un service, et il accepte que je le quitte incessamment sous peu. C’est une bonne motivation pour faire éterniser cette fameuse signature, cela dit, mais je n’ai pas le cœur à ce jeu. J’ai envie de rentrer chez moi pour pleurer dans mon lit, en position fœtale. Je signe donc le contrat sur la table, avant de lui tendre avec son stylo. Il s’en saisie pour le poser aussitôt sur cette dernière, sans grand intérêt. C’est parfait, à ces dires. Oui. Il ne me reste plus qu’à m’éclipser à présent. Je songe en détournant les yeux de lui, tandis que sa main vient caresser ma joue. Il me désire, à ce qu’il me confie dans la foulée. Vraiment ? Je relève mes prunelles dans les siennes à ces mots, le cœur palpitant. J’ai besoin de lire dans celles-ci qu’il me dit la vérité et, si je pouvais en douter, l’émoi que trahit son corps contre le mien vient m’en dissuader. Sa virilité semble déjà impatiente de faire corps avec mon intimité. Je rougis furieusement d’en avoir pleinement conscience. Il m’avoue qu’il sait que j’ai tout autant de désir pour lui, et que nous ne sommes pas obligé de le faire. Je sourie doucement. J’apprécie qu’il ne cherche pas à m’obliger à quoique se soit. Il me démontre ainsi qu’il n’est pas un salaud, cherchant impérativement à me déflorer. Il me suggère cependant de me montrer certains de ses talents, mordillant ma lèvre d’envie. Comment suis-je sensée résister à ça ? Non. La vraie question est : est-ce que je désire réellement résister à une telle proposition ? Non. J’ai envie qu’il me montre ces fameux talents dont il me parle. J’accepte donc son offre d’un baiser que je lui offre, rempli de toute la fougue qui m’habite, avant de m’approprier à nouveau sa langue que j’enroule fiévreusement à la sienne. Possessive, j’enroule même mes bras autour de son cou, pour le garder jalousement contre moi.

_ Je veux que tu me montres tes talents, Julian. Je lui souffle entre deux corps-a-corps linguaux, pressants. _ Montre moi tout.

Ici, maintenant. Je veux qu’il m’apprenne ce qu’est la sexualité à deux, intégralement. Je veux qu’il me prenne cette virginité que je lui offre, avidement. Je n’ai plus aucun doute à ce sujet,, je veux qu’il soit mon premier, et je lui fais savoir en lui ôtant sa veste fiévreusement, la bouche collée à la sienne. Apprend-moi tout, Julian.


@PRINCESS
Anonymous
Invité
Jeu 7 Mar - 19:07

Julian
Warren

J'ai 40 ans et je vis à Chicago, Etats Unis. Dans la vie, je suis gérant d'un hôtel et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien..

Informations supplémentaires ici.


avatar ©️ lux aeterna

Bon d’accord, toi qui avais parlé d’une relation professionnelle, pour le coup cela ne risquait pas d’en être une. Cependant, tu n’en avais pas envie pour le coup. Tu avais envie d’elle, tu la désirais et tu savais qu’elle aussi. Elle te l’avait dit et elle ne pouvait pas le nier. De toute façon, tu le savais, tu pouvais le voir et le sentir. Elle manquait peut-être d’expérience avec les hommes mais toi tu en avais avec les femmes. Tu avais déjà eu des relations avec des femmes. Tu avais couché avec plusieurs également alors on ne pouvait pas dire que tu ne t’y connaissais pas.

Sally semblait résister pour le moment à toi alors, tu lui donnais son contrat afin qu’elle le signe. C’était une bonne chose de régler et tu savais désormais qu’elle reviendrait travailler pour toi. Tu n’avais pas eu la certitude tant qu’elle n’aurait pas signé. Bon bien sûr, elle pouvait toujours démissionner ou quoique ce soit mais c’était compliqué. Une fois que cela fut fait, tu déposais le contrat sur la table. Tu n’en avais pas besoin pour le moment. Non, tu désirais te rapprocher de la jeune femme pour la titiller, la charmer. Tu désirais la troubler également puis tu la désirais. Tu savais que la jeune femme était vierge et qu’elle n’avait pas vraiment eu de relations avec les hommes dans sa vie. Elle te l’avait elle-même dit et tu respectais cela. Tu trouvais même cela très bien. Tu avais envie de lui apprendre les choses. Cela ne t’avait pas repoussé puis, il fallait bien une première fois à tout.

La jeune femme souhaitait s’offrir à toi et pas une autre personne. Tu prenais cela comme un cadeau, si on pouvait dire. Du moins, tout le monde ne le faisait pas. Tu t’étais approché de la jeune femme pour poser ta main sur sa joue que tu caressais. Tu embrassais une nouvelle fois ses lèvres, voulant la faire céder. Elle glissait ta langue entre ta bouche alors qu’elle t’embrassait passionnément. Tiens donc.. il semblait que tu avais réveillé la bête et tu en étais très fier. Tu souriais en entendant ses mots et en la voyant retirer ta veste. « Avec plaisir.. » Tu lui soufflais alors. Tu te débarrassais de la veste. Tu décidais de la prendre dans tes bras pour venir la déposer sur le lit. Tu l’embrassais une nouvelle fois. « Dis moi qu’est ce que tu veux faire.. jusqu’à où tu veux aller. » Oui car tu ne voulais pas faire des choses qu’elle ne voudrait pas. Tu te doutais qu’elle voudrait y aller doucement.

Sur le lit, tu glissais ses mains dans son dos pour faire glisser la fermeture de sa robe. Tu retirais celle-ci par le dessus alors qu’elle se trouvait en sous vêtements. Tu venais à embrasser son cou puis tu commençais à la caresser doucement, son cou, ses bras, son ventre également. Tu venais à caresser sa poitrine par-dessus le tissus pour le moment. Ta main descendait ensuite plus bas afin de caresser son bas ventre également par-dessus le tissus. Tu voulais d’abords la provoquer, qu’elle ressente du désir pour toi. Tu voulais aussi entendre et savoir ce qu’elle désirait. « Ca va ? » Tu lui demandais donc, soucieux.


Anonymous
Invité
Jeu 7 Mar - 22:54

Sally River-Johns
J'ai 22 ans ans et je vis à Chicago, Amérique. Dans la vie, je suis réceptionniste à temps plein dans l'hôtel du groupe Warren et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma dévotion totale pour ma famille, je suis célibataire depuis toujours et je le vis plutôt normalement, je pense.

(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 Frases-9-6
Pense-bête (famille de Sally) David, son père (43 ans), ainsi que sa fratrie (dont elle a la charge) : Soren (20 ans); les jumelles Kelly et Kylie (17 ans) ; Adrian (15 ans) ; Loïs (14 ans) ; les faux-jumeaux Delillah et Donovan (11 ans) ; et le petit Louis, le cadet (8 ans).  


Elizabeth Lail ©️ titekaori
Il accepte de me montrer tous ces talents. Je sourie contre ses lèvres, enchantée de l’entendre. Je sais que je suis à des années lumières de ce que je désirais précédemment, mais je n’ai plus la volonté de me passer de ce qu’il se dévoue à me faire découvrir. Je pourrais vouloir attendre le garçon idéal dont je serais follement amoureuse, cela dit. Toutefois, je crois qu’il ne viendra jamais. Je ne prends pas le temps de vivre ma propre existence, de faire de nouvel rencontre ; c’est donc tout aussi bien que j’offre ma virginité à un homme plein d’expérience. Et si je me fie à la possessivité de cette Louisa à son égard, je pense que j’ai affaire à un excellent amant. Une information qui ne manque pas de m’assurer que je fais le meilleur choix, pour moi. J’admets que c’est un peu égoïste de ma part de penser ainsi, pour le coup, mais je sais qu’il ne m’en tiendrait pas rigueur. C’est lui qui s’est dévoué, après tout. Alors, fiévreuse de sa peau, de son corps, je le débarrasse de sa veste, pour lui faire entendre mes intentions. Je veux qu’il me possède, totalement. Je suis donc pleinement satisfaite qu’il me soulève dans ses bras pour me conduire sans plus attendre jusqu’à son lit, où il me dépose avec délicatesse. C’est étrange : je regrette déjà la proximité de nos corps, brûlants, bien que j’apprécie immédiatement sa volonté de s’assurer des limites à ne potentiellement pas franchir avec moi. Il prend soin que je sois à l’aise avec mes désirs, la situation, et je le trouve particulièrement adorable de le faire.

_ Tout. Je lui souffle en caressant sa joue affectueusement, les yeux ancrés dans les siens. _ Je veux que tu me fasses l’amour intégralement. Je veux que tu me fasses ressentir toutes ces choses que tu as l’habitude de faire ressentir à tes autres partenaires. Je dépose mes lèvres sur les siennes, tendrement. _ Fais de moi une femme.

C’est l’ultime étape qu’il manque à mon accomplissement personnel. Je veux qu’il me la fasse franchir avec certitude, sans jamais ressentir une once d’hésitation dans ses gestes. Cette nuit, je suis à lui, pleinement. Il faut qu’il en profite car je doute que cette parenthèse s’offre à nouveau à nous, prochainement. Je frissonne d’ailleurs tellement de sentir ses doigts se saisir de ma fermeture éclaire pour la faire descendre, dans mon dos, que je lui laisse me l’ôter en levant mes bras au ciel. Tu vois. Aucun doute. J’ai envie que ce soit toi le premier. C’est la première fois que je suis en sous-vêtement devant un homme. Je sens mes joues rougirent d’une certaine timidité. Mais cela ne m’encourage toujours pas à rebrousser chemin pour autant. Au contraire, je me fie à cette moiteur nouvelle dans le creux de mes cuisses, qu’il provoque toujours plus en abondance, pour savoir que j’ai fais le meilleur choix. Je me languis déjà de découvrir ces plaisirs que l’on ne partage qu’à deux, d’ailleurs, bien que je ne boude pas la douce sensation de ces lèvres sur ma peau frémissante. C’est tellement bon, que ces caresses viennent rendre cet instant encore plus envoûtant de plaisir. Dommage qu’il ne s’aventure pas dans mon soutien-gorge où ma poitrine se tend d’envie pour lui, cependant. Je suis certaine qu’il m’aurait arraché mes premiers gémissements en agaçant mes tétons érigés de désir. Son exploration tactile se poursuit sur mon abdomen, qui tressaute légèrement, avant de s’arrêter sur mon entre cuisse inondée. J’écarte naturellement celles-ci, de sorte de mieux sentir ses doigts me titiller au dessus du tissu de ma culotte trempée.

_ Très bien. Je réponds entre deux soupirs, en appuie sur mes mains posées à même le matelas. _ Mais j’irais encore mieux si tu me l’ôtais. Je lui précise, envieuse qu’il me touche réellement, sans plus aucun obstacle. _ Enlève là, Julian. Je lui demande, presque suppliante. _ Déshabille moi entièrement. Approprie toi chaque parcelle de mon corps. J’ai tellement envie de sentir tes mains partout sur moi.

Je ne pensais pas pouvoir exprimer aussi ouvertement mes désirs, sans être rongé par la gêne, ou par la timidité. Mais preuve est faite j’y suis parvenue, et que je ne ressens encore que ce désir toujours plus grand de sa personne me tordant le bas ventre. Je m’autorise d’ailleurs à desserrer sa cravate, avant de venir ouvrir chaque bouton de sa chemise. Je n’ai pas envie d’être passive. Je veux pouvoir aussi apprendre à le faire frissonner sous mes lèvres, sous mes caresses, et je m’y exécute dès que son torse musclé est dénudé devant mes yeux gourmands. Je dépose mes lèvres sur celui-ci, pour lui offrir de nombreux baisers papillons sur sa peau, de nombreux coup de langue sensuels.

_ Tu sens tellement bon. Je lui murmure, toujours plus excitée du passage de ses doigts sur mes lèvres intimes. _ Je ne sais pas si je saurais me contenter d’une fois, Julian.

Ce n’est que les prémices de notre rapport et je suis déjà accro à lui, je crois. Bon sang, est-ce que je viens de me damner à lui ? J’en ai bien peur.


@PRINCESS
Anonymous
Invité
Ven 8 Mar - 18:11

Julian
Warren

J'ai 40 ans et je vis à Chicago, Etats Unis. Dans la vie, je suis gérant d'un hôtel et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien..

Informations supplémentaires ici.


avatar ©️ lux aeterna

Tu avais demandé à la jeune femme ce qu’elle souhaitait faire et jusqu’à où elle voulait aller. Elle était vierge et tu ne la connaissais pas encore sur le plan sexuel. Tu avais déjà fait des choses et connu des femmes. Tu avais souvent certaines envies, certaines choses que tu appréciais et d’autres moins, comme à chacun. Seulement, la jeune femme ne le savait sûrement pas encore de son côté. Tu ne voulais donc pas faire quelque chose qui lui déplairait. Tu souriais finalement en entendant ses mots, après lui avoir demandé ce qu’elle voulait. Elle voulait donc que tu lui fasses l’amour ? Très bien. C’était une chose que tu allais lui apprendre avec plaisir. « Très bien alors.. » Tu lui soufflais après l’avoir déposé sur le lit.

Tu avais donc commencé à la déshabiller en lui retirant sa robe. Tu pouvais ainsi la voir en sous vêtements. Tu la caressais de façon à réveiller son corps. Tu caressais sa poitrine et son intimité par-dessus le tissu. Tu voulais la voir mouiller sous tes doigts, tu voulais la sentir mais tu voulais y aller doucement. Tu ne voulais pas non plus lui faire l’amour pour lui faire. Tu ne voulais pas non plus lui faire mal, ce n’était pas ton but. Tu voulais que la jeune femme prenne du plaisir avec toi, tu voulais qu’elle apprécie et puis bien sûr, que vous puissiez recommencer un autre jour.

Tu lui demandais si elle allait bien même si tu pouvais le voir et l’entendre à ses gémissements. Tu souriais en entendant ses mots. Lui enlever ? Parfait. Elle te semblait bien envieuse et bien pressée pour quelqu’un qui n’avait jamais rien fait. Non pas que cela te déplaisait, au contraire. « Nous avons toute la nuit pour ça tu sais.. » Tu lui soufflais alors. Vous n’aviez pas besoin d’aller vite non plus, vous aviez tout le temps pour cela. Tu la laissais ouvrir ta chemise avant de t’en débarrasser à ton tour, tout comme ta cravate. Tu te mordillais la lèvre à son aveu. Ne pas se contenter d’une fois ? Ce n’est pas toi qui allait dire non, loin de là. Tu restais un homme tout de même. « Hum.. c’est une jolie promesse. » Tu lui disais en l’embrassant.

Tu remontais tes mains vers sa poitrine alors que tu te débarrassais finalement de son soutient gorge, découvrant sa poitrine déjà tendue d’envie pour toi. Tu les prenais dans tes mains pour les caresser, les titiller. Tu jouais ave le téton de façon à les exciter encore plus. Tu les embrassais ensuite, ta langue glissant sur les tétons pour la rendre folle. Tu mordillais ceux-ci alors que tu sentais son corps se tortiller sous toi. « Tu es délicieuse.. » Tu lui soufflais donc. Tu descendais finalement, retirant sa petite culotte. Elle se trouvait nue et tu prenais le temps de l’admirer ainsi. « Tu es magnifique. » Ta main venait à caresser son intimité déjà bien mouillée et humide. Tu la caressais, cherchant son point le plus sensible alors que tu commençais à te sentir à l’étroit dans ton boxer. Ton plaisir pouvait encore attendre. Ses gémissements t’incitaient à aller plus loin et tu venais à l’embrasser à cet endroit, ta langue décidant de s’amuser sur son intimité. Tu voulais qu’elle gémisse, qu’elle te supplie de lui faire l’amour. Tu voulais l’entendre et tu n’arrêterais pas avant.

Anonymous
Invité
Ven 8 Mar - 19:59

Sally River-Johns
J'ai 22 ans ans et je vis à Chicago, Amérique. Dans la vie, je suis réceptionniste à temps plein dans l'hôtel du groupe Warren et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma dévotion totale pour ma famille, je suis célibataire depuis toujours et je le vis plutôt normalement, je pense.

(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 Frases-9-6
Pense-bête (famille de Sally) David, son père (43 ans), ainsi que sa fratrie (dont elle a la charge) : Soren (20 ans); les jumelles Kelly et Kylie (17 ans) ; Adrian (15 ans) ; Loïs (14 ans) ; les faux-jumeaux Delillah et Donovan (11 ans) ; et le petit Louis, le cadet (8 ans).  


Elizabeth Lail ©️ titekaori
Je sourie à ces mots, amusée. Il a raison, c’est vrai : nous avons effectivement toute la nuit devant nous. Sauf que je ne contrôle pas ce besoin ardent de le sentir contre moi, en moi. C’est comme si… Oui, c’est comme si tout d’un coup, au cours des dernières minutes, il m’était devenu vital au point que je ne désire pas me sevrer de lui. C’est terrible d’ailleurs car j’ai conscience que cette parenthèse est certainement unique entre nous mais… Mais je ne fais rien pour y échapper, pour la refermer. Il n’est pas trop tard, du reste : je peux encore lui formuler le souhait que l’on s’arrête là, tout les deux, avant de me rhabiller pour rentrer chez moi toujours pucelle. Or, la volonté me manque cruellement. Là, les lèvres contre la peau si parfumée de son torse, que j’ai dénudée pour apprendre à lui donner du plaisir également, je ne ressens pas le courage de me soustraire à cette nouvelle addiction de lui. Peut-être est-elle éphémère, provoquée par ces attouchements si envoûtants ? Je l’espère. Cette éventualité semble être mon seul salut, tandis que je lui confis cet état de fait, lèvres contre sa peau. Je m’attends à ce qu’il me rassure sur la question, d’ailleurs. Je m’attends à ce qu’il m’indique que c’est un sentiment naturel, qui s’effacera une fois qu’il aura soulagé mon appétit sexuel à son encontre ; mais il me parle au contraire d’une jolie promesse, me capturant les lèvres dans un baiser langoureux. Dois-je comprendre qu’il éprouve la même chose que moi ? Qu’il désire pouvoir recommencer encore, encore, et encore ? Cette idée seule décuple davantage mon désir, mon plaisir. Être son amante dès que l’envie nous prend, pouvoir l’appeler Julian dans l’intimité d’une chambre quand il sera Monsieur Warren devant le reste du monde, sont des pensées que je trouve particulièrement excitantes. Je me sens tellement humide d’imaginer des scènes où nous basculons d’une relation à l’autre, et de l’autre à la précédente à la suite, que je me surprends à gémir d’envie contre sa bouche, pendant que ses mains m’ôtent mon soutien-gorge. Ma poitrine est tendue pour lui, par lui. Je soupire de sentir ces mains ce les accaparer pleinement, de sorte de les titiller délicieusement. Il ne m’a pas menti. Il a bien des talents pour donner du plaisir à une femme, et je suis surprise qu’il y parvienne déjà en agaçant mes tétons de ses pouces.

_ Hmmmm… Julian. Je gémis en m’appuyant sur mes mains, pour lui offrir plus encore mes seins. _ C’est tellement bon.

Mais ça l’est beaucoup moins que le contact brûlant de sa bouche contre celle-ci. Il l’embrasse. Il la lèche. Il la mordille. C’est divin. Mon corps est secoué de petites décharges électriques dont je ne me lasse pas. Il me trouve délicieuse, à ces mots. Je me sens rougir de l’apprendre. Je ne pensais pas que cela été possible, mais je ne discute pas cette opinion de moi. Et enfin. Enfin. Il vient me soulager de ma petite culotte que je l’aide à retirer, en levant mon bassin du matelas. Je me mordille la lèvre au regard qu’il pose sur moi, entièrement dénudé. Je crains qu’il ne me trouve pas assez belle en comparaison à ces nombreuses précédentes partenaires. Je sens néanmoins mon cœur se battre à un rythme fou quand il me soulage en m’exprimant le contraire : je suis magnifique. Je lui sourie en guise de remerciement, sincère. Je n’avais pas besoin de plus de mot pour m’assurer que mon corps l’excite toujours maintenant qu’il est dans son plus simple apparat. Cet aparté mit de côté, j’accueille à nouveau ses doigts chauds sur mon intimité, les cuisses bien écartées, appréciant de les sentir véritablement cette fois-ci. C’est tellement bon, mon Dieu. Je ne retiens aucun soupir qu’il m’arrache en me caressant de la sorte, me rendant encore plus envieuse de lui. Quand tout d’un coup, sa main me délaisse au détriment de sa bouche. J’hoquette de plaisir autant que de surprise, le fard me montant aux joues. Je me sens affreusement gêné qu’il me découvre de la sorte, je l’avoue, mais ce n’est rien quant au plaisir qu’il me procure en parallèle. Je m’allonge lentement sur le matelas en me détendant complètement sous ses coups de langues expertes sur mon bouton de rose, mes lèvres intimes. Et bientôt, mes soupirs timides deviennent des gémissements impudiques. L’orgasme monte toujours plus vite, toujours plus fort. Je le sens dans mon bas ventre, habitué à quelques plaisirs solitaires. Je me tortille alors contre sa bouche de l’appréhension qu’il vienne trop vite. Peut-être est-ce qu’il souhaite ? Oui, mais lui ? Il est encore à moitié vêtu, délaissé. Je songe à lui faire part de cette pensée, mais la jouissance est tellement proche de moi, que je n’arrive plus à exprimer autre chose que ce besoin qu’il me prenne totalement.

_ Julian. Julian. Julian. J’hoquette dans des gémissements plaintifs. _ Je vais jouir… je…

Mon corps se cambre à cette confidence, presque aussitôt. L’orgasme me submerge bien plus fort que lors de mes caresses passées, solitaires, et je pousse un dernier râle dans cet abandon divin. C’est la première fois que mon corps est pris de spasmes nerveux, que les battements de mon cœur résonnent jusque dans mes tempes. Il me faut bien quelques minutes pour quitter cet état de béatitude, d’ailleurs, mais quand c’est le cas, je sais déjà exactement ce que je veux apprendre avec lui.

_ Embrasse-moi. Je lui souffle pour qu’il remonte à moi, contre moi. _ Embrasse-moi Julian.

Je veux sentir le goût de ses lèvres contre les miennes, sa langue contre la mienne. Mais plus que tout, je veux profiter de cet instant de grâce entre nous pour m’aventurer à faire preuve d’initiative, d’audace. Je n’ai vu ça que dans quelques films pour adulte, mais je sais que si je fais quelque chose de mal, il rectifiera mon erreur.

_ N’hésite pas à me corriger si je m’y prends mal.

Je lui murmure contre ces lèvres, l’allongeant dos au matelas, avant de me redresser pour me saisir de sa ceinture que je déboucle. Ensuite, je m’attaque au bouton de son pantalon, à la fermeture éclair juste en dessous, que j’ouvre pour lui ôter totalement. Ainsi que ses chaussures, ses chaussettes, et finalement son boxer. C’est la première fois que je vois un pénis en vrai. Je suis impressionnée par sa taille, sa dureté. Je me demande même si mon intimité saura l’accueillir un peu plus tard. Mais je ne rebrousse pas chemin pour autant. Je la prends en main pour jauger son envergure de quelques caresses malhabiles, avant de venir lécher son gland qui tressaute de plaisir. C’est encourageant. D’un regard échangé, je la prend en bouche où je la cajole de ma langue s’enroulant contre elle, avant d’instaurer un mouvement de va et vient, comme j’ai pu le voir par le passé. Je ne sais pas si je m’y prends bien, si je ne lui fais pas mal, mais j’apprends à me repérer à ces soupirs de plaisirs. A lui maintenant de m’indiquer s’il désir que j’aille jusqu’au bout ainsi, ce dont je me sens prête, où s’il préfère venir en moi, avec moi, après m’avoir officiellement déflorée.


@PRINCESS
Anonymous
Invité
Sam 9 Mar - 16:16

Julian
Warren

J'ai 40 ans et je vis à Chicago, Etats Unis. Dans la vie, je suis gérant d'un hôtel et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien..

Informations supplémentaires ici.


avatar ©️ lux aeterna

Tu voulais que la jeune femme prenne du plaisir avec toi, c’était ton but. C’était aussi sa première fois et de ce fait, tu voulais quand même que cela soit mémorable. Tu voulais qu’elle s’en souvienne et qu’elle veuille recommencer, avec toi serait le mieux bien évidemment. Tu lui avais retiré sa robe ainsi que son soutien-gorge afin de découvrir sa poitrine déjà bien envieuse. Elle te désirait et tu pouvais le voir, son corps la trahissait et tu aimais cela. Tu commençais donc à caresser son corps, sa poitrine avant d’embrasser ses seins et la titiller. Tu l’entendis gémir et tu appréciais ses petits gémissements, ses petits soupirs qui te montraient son envie. Tu souriais en entendant ses mots alors que tu continuais.

Tu avais glissé sur son corps, jusqu’à son bas ventre après l’avoir regardé nue. Tu avais retiré sa petite culotte. Tu embrassais son intimité, léchant également celle-ci. Elle était toujours aussi délicieuse et tu continuais, insistait à cet endroit alors que son corps se cambre et se rapproche de tes lèvres. Elle en voulait encore plus et tu entendis ton prénom plusieurs fois de sa bouche. Oh que tu aimais entendre ce prénom de sa bouche. Elle allait venir et tu le sentais, c’était également ton but. Tu voulais qu’elle jouisse une première fois comme cela, qu’elle découvre ainsi l’orgasme. Tu espérais bien lui en provoquer un autre une fois en elle mais, une chose en son temps. « Viens donc.. » Tu lui soufflais alors que tu la laissais venir. Tu la laissais jouir, appréciant ses bruitages.

Tu revenais vers elle à sa demande avant de l’embrasser comme elle te le demandait. Tu fronçais les sourcils, te demandant ce qu’elle voulait faire. « Ne te poses pas trop de questions. » Tu lui soufflais alors. C’était le mieux à faire d’ailleurs, ne pas se poser de questions. Cela ne servait à rien, si ce n’est se prendre la tête. Cela ne devait être que détente et rien de plus. Elle venait à déboutonner ton pantalon et tu l’aidais à retirer celui-ci. Tu te débarrassais de tes chaussures et tu finissais ensuite par te trouver nu également. Tu la vis rougir et tu appréciais cela, ses rougeurs. Tu aimais les voir sur son visage. « Ne sois pas gênée. » Tu lui disais avec un sourire tandis que tu la vis prendre ton sexe entre ses doigts pour le caresser. Tu gémissais alors avant de la voir prendre ton membre dans sa bouche. « Putain.. » Tu jurais alors que tu ne t’attendais pas à ce qu’elle fasse cela. Du moins, c’était assez particulier et il fallait aimer, chose que toutes les femmes n’aimaient pas. Tu gémissais davantage au fur et à mesure qu’elle continuait et tu sentis ton envie monter.

Alors que tu sentais que tu n’allais plus pouvoir tenir très longtemps, tu préférais l’en avertir. « Sally attends.. » Tu ne lui disais pas pour qu’elle s’arrête ni parce qu’elle faisait quelque chose de mal, au contraire d’ailleurs. « Je vais jouir et.. ce n’est pas forcément agréable.. si tu veux pas que je le fasse dans ta bouche. » Tu lui disais alors, lui laissant le choix de décider si elle voulait que tu jouisses dans sa bouche ou bien si elle désirait te laisser faire sur le lit.

Anonymous
Invité
Sam 9 Mar - 18:29

Sally River-Johns
J'ai 22 ans ans et je vis à Chicago, Amérique. Dans la vie, je suis réceptionniste à temps plein dans l'hôtel du groupe Warren et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma dévotion totale pour ma famille, je suis célibataire depuis toujours et je le vis plutôt normalement, je pense.

(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 Frases-9-6
Pense-bête (famille de Sally) David, son père (43 ans), ainsi que sa fratrie (dont elle a la charge) : Soren (20 ans); les jumelles Kelly et Kylie (17 ans) ; Adrian (15 ans) ; Loïs (14 ans) ; les faux-jumeaux Delillah et Donovan (11 ans) ; et le petit Louis, le cadet (8 ans).  


Elizabeth Lail ©️ titekaori
Ne pas trop se poser de question. C’est un conseil qui ne devrait pas être trop compliqué à suivre, je crois. J’ai suffisamment d’audace en moi pour me risquer à tenter ma première fellation de toute ma vie, je pense donc être parfaitement en mesure de la transformer en confiance. Il me le dira, de toute façon, si quelque chose se passe mal. Je le dévêts de ce fait de ces dernières pièces de vêtements, aussitôt, pour accéder à son appendice qui me fait tant envie. Je rougis devant sa proéminence, sa taille. Elle me paraît tellement grande que je m’interroge brièvement sur ma capacité à l’accueillir dans mon intimité, ultérieurement. Et si mon passage s’avère trop petit, est-ce que cela compromettra notre relation intime totalement ? Je le crains, oui. Mais je ne m’en formalise pas plus pour autant. Julian a raison : je n’ai n’y à me sentir gênée face à sa nudité, que je trouve magnifique au delà de ma soudaine timidité passagère, ni à me poser trop de question. Il est le seul qui s’y connaisse dans le domaine de la sexualité, et je suis là pour apprendre au delà des apparences. Je m’autorise donc enfin à toucher son sexe en érection, appréciant de la découvrir réactif à ma paume curieuse, avant de la prendre en bouche avec envie. Elle est impressionnante, mais j’aime la sentir contre ma langue. Et le juron de Julian, il m’encourage à mettre à exécution mes théories sur la question. Je la lape en intimant un mouvement de va et viens, quelque peu hésitant. Je ne sais pas encore quel est le bon rythme, la bonne pression a exercé sur elle, je me fis donc aux expressions auditives de mon amant pour peaufiner ma première pratique. C’est agréable, d’ailleurs. Je craignais de ne pas aimer véritablement cette caresse buccale, de l’avoir peut-être mal jugée, et je me rends compte que c’est tout le contraire. Je tire un plaisir fou à l’avoir entre mes lèvres, toujours plus actives autour de sa verge frémissante. J’en tire tellement de plaisir que je me sens prête à accueillir le fruit de sa jouissance. Je ne m’arrête donc pas à ses ultimes mises en garde quant à sa prochaine éjaculation. Je continue de m’affairer sur son sexe, jusqu’à ce qu’il cède enfin à l’orgasme que je lui offre avec dévotion. C’est très spécial comme instant, je dois dire. Je n’imaginais pas les choses sous cet angle. Mais je suis satisfaite de la texture de son plaisir, ainsi que sa saveur personnelle. Je me surprends à faire preuve d’une gourmandise étonnante pour une pucelle, alors que mes joues se teintent de rose de le remarquer. Ensuite, je viens m’allonger contre son corps brûlant, toute souriante, où je glisse mes lèvres contre le lobe de son oreille pour le mordiller sensuellement.

_ Je ne pensais pas que j’étais capable d’aller jusqu’au bout avant de te rencontrer. Je lui souffle à celle-ci, légèrement amusée par ma confidence. _ Merci de m’avoir accordé ta confiance.

Je sais que l’appendice masculin est très fragile, très sensible. Il aurait très vite put souffrir d’une mauvaise manipulation de ma part. Je suis donc très satisfaite qu’il m’ait laissé le loisir de m’essayer à cet exercice, et de m’en être aussi bien sortie pour ma toute première fois avec lui.

_ Et maintenant ? Je lui murmure en baladant mes lèvres de son oreille à sa joue, de sa joue à ses lèvres. _ Que va-t-il se passer ? Je m’enquiers en caressant son torse, se soulevant au rythme effréné de sa respiration. _ Est-ce que tu vas pouvoir me faire l’amour tel que je le désire ? Tel que je l’attends impatiemment, même ? Où tu as encore besoin d’un peu de temps pour te remettre de tes émotions ?

Je sens que je suis plus que prête à l’accueillir en moi, personnellement. Mais lui, est-il physiquement en état de le faire ? Je l’ignore. Je me laisse donc tenter par l’idée de m’en assurer de ma petite main curieuse, pendant que je l’embrasse langoureusement.


@PRINCESS
Anonymous
Invité
Dim 10 Mar - 16:32

Julian
Warren

J'ai 40 ans et je vis à Chicago, Etats Unis. Dans la vie, je suis gérant d'un hôtel et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien..

Informations supplémentaires ici.


avatar ©️ lux aeterna

Tu ne t’attendais pas à cela de la jeune femme. Loin de là. Tu ne t’attendais déjà pas à ce que la jeune femme couche avec toi. Elle était vierge et tu ne pensais pas qu’elle l’aurait fait mais comme quoi, la vie était faite de surprise il faut croire. Elle t’avait fait une fellation, chose dont tu ne pensais pas qu’elle voudrait pour un début mais elle t’avait surprise et tu ne disais pas non. En revanche, ce qui t’avait davantage surpris fut le fait qu’elle te laisse jouir dans sa bouche. Tu n’avais jamais goûté ton plaisir et tu ne le voulais pas d’ailleurs. Tu ne savais donc pas quel goût cela pouvait avoir, ni même si c’était agréable pour elle. Elle ne semblait pas s’en plaindre. Loin de là. Elle revenait vers toi et tu remarquais ses joues encore rouge. Tu lui souriais donc. « Hum.. j’espère que tu as aimé dans ce cas. » Elle n’avait pas l’air dégoûté ni même d’avoir envie d’arrêter. « Merci à toi. » Tu lui fis un clin d’œil. Tu ne voyais pas pourquoi elle te remerciait d’ailleurs puisque, c’était quand même toi qui lui prenait sa virginité et pas l’inverse. Bon d’accord, pour le moment tu ne lui avais rien pris.

Tu te mis finalement à rire à ses mots, non pas pour te moquer d’elle. Loin de là. Elle pensait que tu étais déjà épuisé ? Non, c’était mal te connaître. Tu ne l’étais pas et tu avais même encore beaucoup d’énergie devant toi. « J’ai plus d’endurance que ça tu sais..  » Tu lui soufflais avant de l’embrasser. « J’ai beaucoup de choses à t’apprendre mais ça sera pour une autre fois. » Tu lui disais avec un clin d’œil. En effet, il y avait beaucoup de choses que tu avais envie de faire, que tu souhaitais expérimenter mais voilà. C’était sa première fois et tu allais déjà lui prendre sa virginité. Tu la plaquais de nouveau contre le matelas avant de l’embrasser. Tu te redressais pour chercher dans ton pantalon un préservatif. Tu déchirais le sachet avant d’enfiler le préservatif sur ton sexe en érection. Tu te plaçais ensuite entre ses cuisses tandis que tu frottais ton bas ventre contre le sien. Elle était encore humide et envieuse de toi et de ton corps. Tu frottais ton érection à l’entrée de son sexe tout en embrassant la jeune femme. « Je vais venir, arrête moi si tu as mal. » Tu savais qu’elle aurait mal , et tu préférais le lui dire pour qu’elle t’arrête au cas où. Tu embrassais encore ses lèvres puis tu commençais doucement à la pénétrer, doucement afin d’éviter qu’elle n’ait trop mal. Tu étais un homme, tu avais envie mais tu n’étais pas une brute non plus. « ça va ? » Tu demandais à Sally alors que tu la laissais s’habituer un peu à toi, à ton corps. Tu la laissais s’habituer à ton membre en elle et au fait de ne faire plus qu’un. Tu n’entamais pas de vas et viens pour le moment, attendant que ce soit le bon moment.

Anonymous
Invité
Dim 10 Mar - 22:05

Sally River-Johns
J'ai 22 ans ans et je vis à Chicago, Amérique. Dans la vie, je suis réceptionniste à temps plein dans l'hôtel du groupe Warren et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma dévotion totale pour ma famille, je suis célibataire depuis toujours et je le vis plutôt normalement, je pense.

(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori. - Page 4 Frases-9-6
Pense-bête (famille de Sally) David, son père (43 ans), ainsi que sa fratrie (dont elle a la charge) : Soren (20 ans); les jumelles Kelly et Kylie (17 ans) ; Adrian (15 ans) ; Loïs (14 ans) ; les faux-jumeaux Delillah et Donovan (11 ans) ; et le petit Louis, le cadet (8 ans).  


Elizabeth Lail ©️ titekaori
Est-ce que j’ai aimé cette première fellation ? Oui, indubitablement. Mais je ne le lui dirais pas à haute voix, toutefois. C’est encore beaucoup trop gênant pour moi de parler ouvertement de sexualité en sa compagnie. Je préfère plutôt le remercier de m’avoir laissé l’opportunité de m’y essayer, malgré mes connaissances théoriques sur le sujet. C’est vrai, après tout : il aurait pu craindre d’être malmené par mon manque d’expérience indiscutable. Ce qu’il n’a pas ressenti un seul instant, du reste : m’accordant ainsi sa confiance jusqu’à amplifier la mienne par la même occasion, je crois. J’ai donc toutes les raisons de lui être pleine de gratitude. Ce qui n’est pas son cas pour autant, d’ailleurs. Je ne comprends pas pourquoi il me remercie à son tour. Il n’a pas à le faire, du reste. J’avais envie d’essayer la fellation avec lui, et je m’y suis laissée tenter, tout simplement. Non, sincèrement, je le confirme, il n’a pas à m’exprimer une forme de gratitude à ce sujet. Où alors si il y tient vraiment, je préfère qu’il le démontre en me faisant l’amour comme il s’est engagé à le faire auparavant. Chose à laquelle je m’enquiers, lorsque je lui demande ces prédispositions physiques à exaucer ce souhait. Il se met à rire aussitôt, ne manquant pas de m’étonner brièvement. Aurais-je dis une bêtise ? Cela ne se fait-il pas de poser de telles questions dans un rapport sexuel ? Je l’ignore. Je l’ignore tout autant qu’il ne fait aucune remarque sur la question. Il se contente uniquement de m’indiquer qu’il possède plus d’endurance que je ne peux l’imaginer. Je veux bien le croire : sa virilité est toujours aussi tendue qu’au moment où ma bouche s’affairait autour d’elle. Je le sens sur ma main curieuse, tandis que nos bouches s’embrassent langoureusement. Cela me donne tellement envie de lui, bon sang. Il ajoute ensuite qu’il a beaucoup de choses à m’apprendre, mais que cela sera pour une autre fois. Je lui sourie tandis que mon intimité réagit violemment à cette invitation. J’ai envie d’être déjà à cette prochaine fois, c’est curieux n’est-ce pas ? Mais je me contente déjà de l’ébat que nous partageons tout les deux, merveilleux. Il va me pénétrer, et je me languis de le sentir à l’intérieur de mon bas-ventre dans les instants qui suivent. J’ai envie de le presser mais j’ai peur de faire preuve de trop d’impatience. Je me laisse donc plaquer contre le matelas, tandis que nos lèvres s’unissent à nouveau l’une à l’autre. Je gémis contre celles-ci. Il embrasse divinement, mon Dieu. Comment puis-je espérer me passer à nouveau de lui ? C’est impossible. Et quelque chose me dit qu’il partage mon état d’esprit, particulièrement quand je me rappelle ces dernières paroles. Une autre fois. Oui, mais quand ? Je me mord la lèvre inférieure au désir soudain de lui formuler cette question à haute voix. Je n’ai pas envie de l’interrompre dans sa recherche de préservatif, qu’il enfile ensuite autour de son pénis gorgé de sang. J’ai envie qu’il me possède, intégralement, et je soupire d’impatience lorsqu’il prend place entre mes cuisses écartées, accueillantes. Il me rend totalement dingue en ce caressant de la sorte à mon intimité. C’est à peine si je ne grogne pas son prénom pour l’encourager à approfondir son exploration intime.  Lorsqu’il se résout à le faire, finalement, je me sens mitigée entre deux sensations totalement contradictoires : le soulagement de le sentir en moi, et la douleur de son intrusion. Mon hymen vient de céder sous le passage pourtant délicat de sa verge dans mon vagin, et je grimace à la souffrance qu’a provoquée sa déchirure. Julian désire immédiatement savoir si je vais bien.. J’hoche négativement de la tête, une larme coulant sur ma joue. Je savais que cela arriverait. Je me suis suffisamment renseignée sur le sujet pour savoir que, chez certaines jeunes femmes, c’est particulièrement insupportable.

_ Mais ça va aller. Je me rassure en lui souriant, une main posée sur sa joue. _ Ça va même déjà mieux.

Je lui souffle avant de mordiller sa lèvre, sensuellement, laissant mes mains glisser dans son dos et jusqu’à ses fesses joliment galbés. Ce qui est vrai, d’ailleurs. Je commence à ressentir uniquement le plaisir de mes chairs épousant la dureté de son appendice masculin. Je ne désire plus qu’une chose, à présent : c’est qu’il s’active en moi pour me faire hurler de plaisir sous ses coups de butoirs.

_ Fais-moi l’amour, Julian. Je lui murmure en serrant ses fesses dans mes paumes. _ Fais-moi encore gémir ton prénom, et encore, et encore. J’ai tellement envie de toi.

Je veux jouir avec lui, pour lui. Je veux qu’il me rende accro à son corps au point de me donner envie de lui faire l’amour toute cette nuit, et toute celles qui suivront peut-être. Rend moi ivre de toi, Julian.


@PRINCESS
Anonymous
Invité
Lun 11 Mar - 11:12

Julian
Warren

J'ai 40 ans et je vis à Chicago, Etats Unis. Dans la vie, je suis gérant d'un hôtel et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien..

Informations supplémentaires ici.


avatar ©️ lux aeterna

Tu voulais y aller doucement avec la jeune femme. Tu ne voulais pas qu’elle se sente mal ni quoique ce soit. Tu savais que cela lui ferait probablement mal et c’était normal, c’était sa première fois avec toi. La première fois avec un homme tout court d’ailleurs. Elle venait déjà d’avoir son orgasme avec toi, après que tu l’ais caressée et que tu l’aies embrassé, sur ses zones les plus sensibles. Tu l’avais titillé, de façon à lui faire découvrir le plaisir qu’elle pouvait ressentir. Sally voulait que tu la prennes désormais, que tu lui fasses l’amour. Tu avais donc enfilé un préservatif sur ton érection avant de revenir près d’elle. Tu te glissais entre ses cuisses et puis finalement, tu la pénétrais lentement de façon à ne pas lui faire mal. Tu lui demandais si ça allait, chose à laquelle elle te répondait par la négative. Tu allais donc pour te retirer avant qu’elle ne t’en empêche. Elle te disait que ça allait aller et tu fronçais les sourcils. « Tu es sûre ? » Tu préférais lui demander au risque que la jeune femme ne fasse quelque chose qu’elle ne voulait pas ou bien qu’elle continue d’avoir mal.

Elle mordillait ta lèvre et t’incitait à continuer, à aller plus loin. Elle t’incitait à lui faire l’amour et à commencer tes vas et viens. « Très bien.. mais n’hésites pas à me dire ou m’arrêter si ça ne vas pas. » Tu lui soufflais avant de venir l’embrasser une nouvelle fois sur ses lèvres. Tu commençais finalement à te mouvoir en elle, commençant de lents vas et viens. Tu ne voulais pas la brusquer encore une fois et tu ne savais pas si elle avait mal ou quoique ce soit. « Tu as toujours mal ? » Tu lui demandais en attendant son approbation puis, tu continuais alors. Une de tes mains se trouvait lié à la sienne et tu continuais alors, gémissant. Ton plaisir montait au fur et à mesure et tu accélérais un peu la cadence de tes coups de rein, espérant bien l’emmener au septième ciel. Tu voulais l’entendre encore, qu’elle crie ton nom. Tu sentais que ta jouissance était proche d’ailleurs. « Je vais bientôt jouir Sally.. » Tu lui soufflais, mordillant sa lèvre.

Heureusement pour tous les deux que tu avais un préservatif ou tu aurais dû te retirer d’elle. Tu n’appréciais pas vraiment ce truc mais, tu n’avais pas envie de la mettre enceinte non plus. Tu n’avais pas envie d’avoir d’enfants pour le moment et ce malgré ton âge déjà avancé. Comparé à elle, tu n’étais plus très jeune de ton côté, ni très vieux non plus ceci dit. « Viens.. jouis avec moi. » Tu lui soufflais d’une voix chaude avant de continuer quelques coups de reins plus rapide et plus sec. Tu sentis finalement ton corps se tendre et tu jouissais, te vidant de ton orgasme. « Ah Sally.. » Tu soufflais avant de venir l’embrasser et la laisser avoir son moment d’orgasme et de plaisir également. Tu caressais en même temps son corps alors que tu avais chaud et que tu étais transpirant. Tu te retirais finalement d’elle, jetant au passage ton préservatif, tu t’en débarrasserais mieux plus tard d’ailleurs. Tu revenais finalement auprès d’elle. « Comment tu te sens ? » Tu lui demandais avec un sourire. « Est-ce que tu veux rester ici ou rentrer ? » Oui car bon, tu n’étais pas sûr que son père approuve de ne pas la voir.

[/b][/b]
Contenu sponsorisé
(+18) I'm sorry for the other day. // titekaori.
Page 4 sur 5
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5  Suivant
Sujets similaires
-
» (+18) (titekaori) i think i need you tonight.
» Absence de titekaori. :)
» Nice to meet you.. or not. // titekaori.
» It's too late. [titekaori&Captain Rogers.]
» Two strangers, that a mishap movement bring them closer in secrecy. // (titekaori)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
LE TEMPS D'UN RP :: Archives :: Archives :: Univers réel-
Sauter vers: