J'ai 22 ans ans et je vis à Chicago, Amérique. Dans la vie, je suis réceptionniste à temps plein dans l'hôtel du groupe Warren et je m'en sors moyennement bien. Sinon, grâce à ma dévotion totale pour ma famille, je suis célibataire depuis toujours et je le vis plutôt normalement, je pense. Pense-bête (famille de Sally) David, son père (43 ans), ainsi que sa fratrie (dont elle a la charge) : Soren (20 ans); les jumelles Kelly et Kylie (17 ans) ; Adrian (15 ans) ; Loïs (14 ans) ; les faux-jumeaux Delillah et Donovan (11 ans) ; et le petit Louis, le cadet (8 ans).
Est-ce que je suis certaine de vouloir le garder en mon sein ? Oui, sans aucun doute. La douleur se dissipe déjà de plus en plus, et mon envie de lui est autant tenace que grondante. J’ai besoin plus que je ne désire qu’il me fasse l’amour, dès à présent. Je l’invite donc à se mouvoir entre mes cuisses, de sorte de jouir avec lui, pour lui. Je me suis fait tout un film sur le sujet, d’ailleurs : imaginant cet instant merveilleux. J’espère ne pas m’être trompée lorsque mon amant accède à ma volonté. Il désire néanmoins que je l’informe si quelque chose ne va pas, ou s’il doit s’arrêter. J’accepte d’un hochement de tête, d’un regard complice. Je te le dirais, promis. Cet accord scellé d’un nouveau baiser, Julian entame un va et vient langoureux dans mon intimité. Immédiatement, je sens mes chairs endolories se détendre complètement. C’est tellement plus agréable que la pénétration précédente, que je soupire de bien être, pendant qu’il s’assure à nouveau de la situation.
_ Non. Je lui murmure, les yeux clos pour savourer pleinement ce moment. _ C’est tellement bon, Julian.
Divin. Addictif. Je me sens toujours plus fiévreuse de son corps, se mouvant contre le mien, que c’est à peine si j’arrive encore à avoir une pensée sensée à mon esprit. Le rythme s’intensifie naturellement, amplifiant cet état de fait. Mes soupirs deviennent des gémissements profonds, sonores. Il sait parfaitement comment attiser mon orgasme, et je le sens déjà impatient de me submerger à nouveau. Surtout lorsque j’entends ces gémissements, se mêlant aux miens. C’est tellement envoûtant comme mélodie, que je me mordille la lèvre sensuellement, avant de l’encourager entre deux plaintes de plaisir.
Je veux qu’il se sente gonflé de confiance en lui, en ses performances. Je veux que, conquérant comme je l’imagine sur bien des domaines, il parte à l’assaut de notre jouissance, de sorte de pousser les portes du Nirvana que j’entrevois sous mes paupières closes. J’ai déjà pris du plaisir en jouant de mes doigts sur mon intimité, mais jamais je n’avais ressentie quelque chose d’aussi puissant. Julian m’informe ensuite qu’il va bientôt jouir. J’acquiesce en soupirant, longuement. C’est tellement excitant de savoir que je vais lui offrir le plaisir ultime également, que mon orgasme se fait soudainement plus pressant. Une chose qui semble être en harmonie avec ces désirs, puisqu’il attend de moi que je jouisse en même temps que lui.
_ Tes désirs sont des ordres.
Je gémis en hoquetant sous ses coups de butoirs plus secs, plus volontaires, sans pouvoir m’empêcher d’en rire moi-même. C’est tellement amusant cette idée qu’il puisse m’emmener au septième ciel de sa seule volonté, que je suis étonnée qu’il y parvienne tout d’un coup, alors que je pousse un crie plus significatif. Le corps prit de spasmes nerveux, je sens mon intimité se contracter autour de sa verge, avant qu’il ne ralentie lui même la cadence de notre ébat dans un soupir de jouissance. Simultanément. Que demander de mieux pour une première fois ? Savourant son baiser langoureux, qui m’aide à redescendre doucement du paradis dans lequel il m’a projeté, je sens son sexe me quitter, me laissant un sentiment de vide désagréable. J’aurais aimé le garder encore un peu, tout étroitement contre moi, je dois avouer. Mais je me console en me disant que j’ai déjà de la chance qu’il soit là, soucieux de mon bien être à chaque instant.
_ Comblée.
Je lui confie doucement, ouvrant les yeux à nouveau pour admirer son beau visage, perlant de transpiration. C’est vrai qu’il fait très chaud, je m’en rends compte tout d’un coup. J’imagine que nos corps ont fait de cette chambre un sauna.
_ Je ne pouvais pas rêvée mieux pour une première fois. Je lui avoue ensuite, tendrement. _ Merci pour ce moment magique.
Il aurait très bien pu se préoccuper de son seul plaisir. Je lui suis donc sincèrement reconnaissante d’avoir été à mon écoute tout le temps. Il me demande désormais si je veux rester, ou si je désire rentrer tout de suite. Je ne sais pas. J’aimerais bien finir la nuit entre ces bras, personnellement, mais peut-être ne fait-il jamais ça avec ces partenaires ? Je préfère lui laisser le choix.
_ A ta convenance, Julian. Je lui réponds doucement, craignant qu’il ne m’invite à le quitter tel que je le suggère aussitôt. _ Si tu préfères que je parte maintenant, je partirais. Sinon… Je marque une pause. _ Je serais ravie de dormir tout tendrement blottie contre toi.
J’ai envie qu’il accepte. J’ai envie qu’il me laisse profiter de la douceur de sa peau contre la mienne, et ce jusqu’au petit matin. C’est notre parenthèse, Julian. Laisse-moi la refermer plus tard, s’il te plaît.
J'ai 40 ans et je vis à Chicago, Etats Unis. Dans la vie, je suis gérant d'un hôtel et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien.. Informations supplémentaires ici.
Tu voulais que la jeune femme se sente bien, tu voulais qu’elle prenne du plaisir et qu’elle n’ait plus mal. C’était pour cela que tu t’inquiétais et que tu préférais lui demander une nouvelle fois. Tu voulais t’assurer qu’elle allait bien, avant tout. Tu l’entendais gémir et ses gémissements te donnaient envie de continuer. Tu continuais alors tes vas et viens, plus rapidement en elle cette fois maintenant qu’elle n’avait plus mal et qu’elle prenait entièrement du plaisir avec toi. Tu sentais ton plaisir monter petit à petit, tu sentais que tu n’étais plus très loin de l’orgasme d’ailleurs. Tu sentais que tu allais venir et tu préférais en avertir la jeune femme. Seulement, tu voulais qu’elle vienne avec toi, qu’elle ait son orgasme en même temps que toi. Tu continuais alors quelques coups de rein en elle avant de venir à ton orgasme et de la laisser venir à son tour. Tu souriais alors quand elle explosait dans ses gémissements, quand elle gémissait ton nom.
Après cela, tu te retirais d’elle, te débarrassant de ton préservatif dont tu n’avais plus besoin. Cela t’était désagréable de toute façon d’en avoir un mais tu n’avais pas le choix. Tu n’allais pas lui faire peur non plus en lui proposant de coucher ensemble sans protection. D’ailleurs, tu ne savais pas si elle prenait la pilule mais ce n’était pas pour le moment pour poser ce genre de questions. Loin de là. Tu verrais cela plus tard avec elle car, tu avais envie de recommencer et il semblerait qu’elle aussi. Tu te rapprochais de Sally et lui demandait comment elle se sentait. « J’en suis ravi alors mais.. tu n’as encore rien vu tu sais. » Tu lui disais avec un clin d’œil. « Et tu n’as pas vraiment à me remercier. » Tu lui lançais avec un sourire. Tu ne voyais pas trop pourquoi elle te remerciait d’ailleurs. En effet, tu n’avais fait que lui faire l’amour et provoquer son plaisir. C’était elle qui t’avait offert sa virginité alors qu’elle ne te connaissait même pas et qu’elle aurait pu l’offrir à quelqu’un d’autre. Ceci dit, tu n’allais pas t’en plaindre. Bien au contraire.
Elle se trouvait contre toi et désormais, tu te demandais si elle souhaitait rester ici ou bien si elle devait rentrer. Elle vivait avec son père et ses frères et sœurs après tout et elle avait peut être des obligations de ce fait. De ton côté, tu souhaitais qu’elle reste avec toi. Vous n’auriez peut être pas le courage de faire plus que cela ce soir niveau sexe mais elle pouvait dormir là. Tu trouvais cela bizarre mais tu voulais qu’elle reste, et tu espérais quelque part que ce serait son cas. « Alors dans ce cas.. nous pouvons nous endormir. » Tu déposais un baiser sur ses lèvres, caressant son dos et ses fesses avant de finir par t’endormir.
(…)
Le lendemain matin, tu te réveillais avant Sally. Tu décidais de la laisser se reposer un peu et d’aller prendre une douche de ton côté. Tu allais devoir travailler ensuite. En sortant de ta douche, tu vis qu’elle était réveillée. « Bien dormi ? » Tu lui demandais en t’approchant d’elle. « Tu veux déjeuner ici ? J’ai commandé, on va nous livrer. » Oui, c’était tout de même pratique d’avoir un service à la chambre. Tu avais commandé de quoi manger un peu ainsi que du café et du thé si jamais elle en souhaitait. Vous finissiez par déjeuner tous les deux alors que tu avais l’impression que Sally était dans ses pensées, moins bavarde peut être. Tu te rassurais en te disant que c’était qu’elle était encore fatiguée de vos ébats la veille. Finalement, tu la laissais quitter ta chambre pour revenir le soir tandis que tu allais bosser de ton côté.