Fire on fire would normally kill us but this much desire, together, we're winners [ft. Maddy'n & Patate douce]
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Elsy Lullaby
Mar 20 Oct - 0:07
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
Iga Wysocka
Alors que la demoiselle assure à Jay qu’ils l’attendront, Loyd semble désireux de la faire mentir, la contredisant dans ses sms avant de se lever pour rejoindre la demoiselle, poser ses bras de part et d’autre de sa tête pour «l’enfermer» dans le canapé, lui volant un baiser avant d’affirmer que les absents ont toujours tord. S’il commence comme ça, effectivement, la demoiselle aura du mal à tenir. Sur le fauteuil, le regard rivé sur les lèvres de Loyd, elle reste suspendue à ses mots, comme une main du médecin vient se poser sous son menton en le relevant doucement. Ses lèvres qui se perdent sur sa mâchoire puis dans son cou lui arrachent un frisson et la pensée de Jay s’impose à son esprit. L’attendre. c’est ce qu’elle avait dit qu’elle ferait. Maintenant… c’est plus difficile de tenir.
Une seconde, comme l’homme parle de ses amis, affirmant qu’ils pouvaient croire ce qu’ils voulaient, la demoiselle se pense tirée d’affaire. À tord. Le regard de Loyd posé sur elle lui donne l’impression d’être comme un plat de viande devant un mort de faim, ou une boite de bonbon devant un enfant. Au choix. Le regard brillant de convoitise qu’il posait sur elle n’aurait put lui donner d’autres idées. Sa main remontant sur sa cuisse, possessive, tentatrice, non plus. Mais ce sont les mots de l’homme et sa voix suave qui l’achèvent totalement. Très envie d’elle. Alexandra se mord la lèvre inférieure de nouveau et presse ses cuisses l’une contre l’autre. Mauvais calcul. La main de Loyd, déjà posée sur son intimité, est coincée sans être stoppée dans son méfait et Lexie frissonne comme le médecin demande à pouvoir continuer. Comment dire non, quand on vous regarde avec cet air là ? Comment dire non quand la seule idée de la nuit à venir vous rend déjà impatiente ? Loyd était sexy en diable. Et il en jouait. Il avait parfaitement conscience de l’effet qu’il avait sur elle, de l’effet qu’ils lui faisaient tous les deux. Et il n’hésitait pas à s’en servir.
«- On… On a dit qu’on l’attendait...» souffle la suédoise.
Faux. Elle avait dit. Loyd, lui, avait promit tout l’inverse. Mais ce serait mieux que Jay soit là. Elle imagine, tout du moins, n’ayant jamais fait cavalier seul intimement avec aucun des deux. Tout ce que la jeune femme sait, c’est qu’il y a un truc avec eux, qu’elle ne retrouve pas avec les autres. Un truc qu’elle met sur le fait qu’ils soient deux justement. Sans Jay, ce ne serait pas pareil. Et d’un autre côté… peut-être qu’elle avait envie que le sportif la trouve dans une situation parfaitement indécente avec Loyd. Peut-être parce qu’elle adorait ce moment où l’un des deux la regardait avec l’autre avant de les rejoindre, où elle sentait leurs regards sur elle.
«- Juste tes mains.» souffle-t-elle, les lèvres contre celles de Loyd avant de lui voler un baiser. Ne restait plus qu’à espérer que Jade ne serait pas trop longue dans sa promenade.
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Patate Douce
Jeu 22 Oct - 20:55
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
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Je crois que notre dulcinée ne sait pas dans quel plat, elle fout ses petons. Parce qu’être entre Jay et moi, ce n’était en rien une partie tranquille.
Alliés, on pouvait devenir insupportables et invincibles. Ennemis, les orages faisaient trembler les murs. On ne s’embrouille pas souvent mais, il pouvait se passer des jours jusqu’à une bonne semaine avant que le premier fasse un pas, l’air de rien.
On avait souvent nos opinions propres à chacun autant que les mêmes pensées, surtout pour faire des conneries. Mais il pouvait arriver que le ton monte. On a dû se battre deux trois fois en treize ans d’amitié.
Enfin bon, j’avais acquis une précieuse information ce soir. Et savoir que BabyFace pouvait être facilement corruptible – pour l’aspect sexuel – ne présageait jamais rien de bon avec moi.
Je réfléchis quand même quelques secondes avant de céder à mon tour. Le retardataire, se joindra à nous de toute manière. Mes mains se font plus insistantes et ma bouche vient mordiller les cuisses de la demoiselle, allant lui retirer son sous vêtement devenu superflu mais laissant sa robe conserver le mystère. Je me fais aussi doux plus que possible pour faire grimper son plaisir, non sans un sourire victorieux.
J’étais plutôt fier de moi et je comptais bien rappeler autant de fois que nécessaire mais pour le moment, je préférais entendre notre douce amie jouer de sa voix grâce à mes touchers.
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Maddy'n
Sam 24 Oct - 21:45
Elijah "Jay" Anders
J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. + Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. + Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.
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Je reste sceptique face aux réponses de mes deux amants. Si je voulais bien croire à une plaisanterie de la part de la suédoise, j'en doutais un peu plus de la part du norvégien. Lui serait capable de prendre les devants et de ne pas m'attendre pour se venger de… De tout et n'importe quoi. Quoique ce soit, il trouverait une excuse pour justifier son geste. Je le connaissais trop bien pour me laisser naïvement croire qu'il resterait sage presque une bonne demi-heure en compagnie de la jeune femme. Surtout dans un endroit intime. Surtout dans mon propre appartement. Je suis certain qu'il prendrait un plaisir particulier à commencer les hostilités chez moi, sans moi. Pour autant, irait-il bien plus loin que titiller seulement la jeune femme ? Ca, je n'en étais pas convaincu. C'était un équilibre particulier entre nous. On était trois, et jamais il n'y avait eu de coucherie à deux seulement. C'était nous trois ou rien, depuis le départ. Et c'est comme ça que l'on fonctionnait. En exclure un, même une fois, ne marquerait-il pas la fin de notre relation ? Que l'on fasse croire, aux yeux de tous, que Alexandra et Loyd soient en couple, pour éviter les questions indiscrètes, ne me faisait ni chaud ni froid, mais que lui ou moi se fasse exclure de nos coucheries avec la jeune femme, est-ce que ça changerait tout ? Au pincement que je ressens à cette idée, je dirais bien que oui. Et je n'avais clairement pas envie de le découvrir aujourd'hui.
Malgré tout, je m'oblige à rester une bonne demi-heure au parc, laissant Jade se défouler, accélérant parfois le rythme pour la faire courir un peu, m'arrêtant parfois pour jouer. Avec le temps nécessaire pour rentrer, c'est presque quarante minutes que j'aurais passé dehors avec ma chienne. Quarante minutes que j'aurais laissé à Loyd pour jouer les serpents bibliques et faire céder la volonté de la demoiselle. Bien plus de temps que nécessaire… C'est donc sans trop de surprise, mais tout de même indigné que je remarque, en rentrant chez moi, qu'ils ont commencé les hostilités. Sans moi. « Bravo ! On ne peut pas vous faire confiance. » Je libère Jade de sa laisse, avant de poser mon manteau, et les regarder durement tous les deux, un peu à l’écart. « Je suis déçu. Bon Loyd, je m’y attendais, je sais que tu es un salaud, mais toi Lexie… Franchement, je m’attendais à plus de volonté de ta part. » Je croise les bras sur le torse, faussement boudeur en espérant convaincre la jeune femme délaisser le médecin pour venir me consoler un peu. J’apprécierais aussi qu’il le fasse, mais je préférais ne pas me faire trop d’espoirs non plus.
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Elsy Lullaby
Dim 25 Oct - 0:14
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
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Elle était faible, trop faible, face aux sollicitations de Loyd, alors même qu’elle demandait à attendre Jay, un instant plus tôt. C’est que le médecin savait parfaitement s’y prendre pour charmer son monde et obtenir ce qu’il désirait, ce n’est pas elle qui dirait le contraire. Loyd y avait mit les formes et tout son cœur pour la faire céder, pour l’entraîner avec lui dans ses bêtises et la faire chavirer. Elle était faible, trop faible, mais c’était de sa faute à lui. Tel le serpent s’adressant à Eve, Loyd avait tenu un discours ensorcelant, jouant de son regard azuré pour la faire craquer. Mais elle admettait avoir trop aisément craqué, lui avoir considérablement facilité la tâche. Dans un même temps, l’idée d’être surprise par Jay était loin d’être désagréable. Et elle ne comptait pas laisser Loyd allait trop loin. Il n’était pas question de laisser le prince Danois sur le carreau, loin de là. Elle n’entendait pas s’encanailler sans lui. Pour autant, elle pouvait sûrement se laisser tenter par les mains du médecin. C’était si peu de chose, dans le fond. Mais c’était assez pour qu’elle puisse supposer du regard de Jay sur elle en revenant, de ses pensées…
Loyd aventurant ses lèvres sur la demoiselle, celle-ci se tortille en protestant, rappelant qu’elle ne l’a autorisé à utiliser que ses mains, sans qu’il n’ait le temps de cesser ou qu’elle ait besoin de protester d’avantage comme la voix de Jay les surprend tout deux, mécontent. Et elle y croit, à cet air agacé, à ce regard dur posé sur elle, comme l’homme la fustige personnellement, l’étrillant sur son manque de volonté. S’il n’était pas surpris par le comportement de son ami, elle avait en revanche pour sa part l’impression de l’avoir déçu. Elle en était mortifiée. Ça ne ressemblait en rien à ce qu’elle avait put s’imaginer. Ni de près, ni de loin.
Le rouge aux joues, la jeune femme se redresse dans le canapé, ramenant ses cuisses l’une contre l’autre en posant le regard sur Jay. Elle avait l’impression d’avoir merdé. Et elle détestait ça. Elle détestait ce regard qu’il posait sur elle là, tout de suite. Elle détestait cette manière qu’il avait de croiser les bras sur sa poitrine et la faire se sentir coupable. Touché. Coulé. Elle avait joué. Et perdu. Restait à se racheter maintenant. Elle ne le connaissait pas encore suffisamment pour s’apercevoir qu’il la manipulait, la prenait par les sentiments.
Se levant du canapé, rejoignant le sportif pour poser ses mains sur lui, elle cherche encore le moyen de le détendre. Elle ne comptait pas accuser Loyd, évoquer la – maigre – résistance qu’elle avait tenté d’avoir. Elle ne comptait pas non plus mettre la faute sur les beaux yeux de leur partenaire – elle en aurait pourtant eut des choses à dire, sur le pouvoir de ce regard, ou sur son incapacité à résister à l’un comme à l’autre – mais bel et bien assumer. Elle avait été faible. Elle l’aurait été aussi si leurs rôles avaient été inversés. Devait-elle le lui dire, ou le lui faire comprendre ? Lui faire comprendre comme ils avaient la capacité folle de lui faire perdre la raison, de l’embraser ? Peut-être. Peut-être pas.
«- Je suis désolé…» souffle-t-elle. «Il y a sûrement quelque chose que je peux faire pour me racheter, mh ?»
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Patate Douce
Dim 25 Oct - 0:59
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
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BabyFace sauvé par le gong. Je peste entre mes dents. Je me recule, levant mes mains incriminées en l'air. Je pars me laver les mains et me pose sur le canapé. Pantalon étroit qui ne demande qu’à être libéré mais pour l’heure, on allait devoir régler la comédie de mon meilleur ami. Je le regarde faire, incrédule. Et fustigeant ma victime. Quel faible ! Je secoue la tête. Vraiment ridicule. Et je sens bien que Lexie ne remarque pas qu’il est faux son jeu.
Je me tâte à intervenir. Mais je me dis que finalement, j’avais eu une mise en bouche des plus délicieuse, autant la laisser se demerder. On était deux dans le crime. Mais pas de corps, pas de preuves. Et quand bien même, il nous avait surpris, j’aurais pu très bien chercher le graal sous sa jupe. On ne sait pas de quoi il s’agit véritablement, finalement. Mais bon, ce n’était pas à moi qu’il s’adresser. Et je n’avais pas à me défendre, j’avais prévenu. On va voir comment elle va sauver la mise. Sa tête, pour le coup.
Alors, je me lève tranquillement, pour aller me servir un verre de whisky dans le mini-bar à disposition puis, comme je suis serviable, j’en remplis deux autres. Cristaux glacés dans la liqueur, je donne les deux verres à mes partenaires. Et je prends le mien ensuite. Je me rassois et me délecte du spectacle. Ce que j’entends me fait lever le ciel à la micro seconde. La douce et naïve qui bredouille, cherche à se faire pardonner. Elle n’est vraiment pas sortie de l’auberge avec de tels manipulateurs comme nous. Je finis par intervenir parce que c’est d’un ridicule sans fin.
Sinon, tu ne veux pas qu’on s’occupe de ton corps. Tu prends l’habituelle place d’Alexandra et on en parle plus. Parce que ta comédie me donne envie de te jeter des tomates, tellement c’est nul.
Même bien avant qu’il puisse répondre, le livreur sonne, enfin je suppose. Ce n’est visiblement pas ce soir que j’allais lui rendre visite. Je décale les deux faiblards pour aller réceptionner notre bouffe. Pourboires et je claque la porte.
Bon, avant de se manger, on va remplir notre panse ! Comme ça, on va ecouter Lexie, nous écouter sa solution pour régler ce faux conflit.
J'étais clairement pas son allié, ce soir. Mais je comptais bien me faire pardonner, sans l'exprimer. Je n'étais pas du genre à annoncer les choses. Soit, je me tais, soit, j'agis.
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Maddy'n
Dim 25 Oct - 17:41
Elijah "Jay" Anders
J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. + Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. + Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.
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Contrairement à ce que je pensais, ma petite comédie semble fonctionner. Enfin à moitié. Car si Alexandra semble prendre mes accusations très au sérieux, son sourire ayant disparu, je vois bien au regard que me lance Loyd, que lui n’y croit pas une seule seconde. Sans surprise, bien sûr, tant on se connaissait si bien, mais s’il pouvait continuer de se taire et ne rien laisser paraître, ça m’arrangerait. Lui avait visiblement testé certaines limites de la jeune femme, moi, je comptais bien en tester d’autres. Chacun son plaisir comme ça. C’est donc gênée qu’Alexandra se relève et s’approche de moi, dans une démarche timide, franchissant les quelques mètres de distance qui nous sépare l’un de l’autre. Ses mains sur mes bras, elle propose de se faire pardonner. Je retiens mon sourire pour rester impassible bien décidé à pousser les choses un peu plus loin. Surtout sous le regard dépité du médecin. « Il y aurait peut-être bien un moyen pour que tu te fasses pardonner. » Je souris légèrement à notre sirène, jetant un regard à Loyd qui en a profité pour nous servir un verre chacun. J’attrape le mien avec un léger sourire satisfait. Finalement, son impatience allait peut-être pouvoir se retourner contre lui.
Je décroise les bras et laisse mes mains glisser sur la jeune femme, dessinant lentement ses courbes. « Il est possible que je veuille la même chose que lui, mais sous ses yeux. » Je murmure doucement ces mots à son oreille, mes yeux observant toujours le médecin. Ca pouvait être excitant, de le laisser nous regarder quelques instants avant de l’inviter à nous rejoindre. J’allais continuer à jouer de ma déception pour convaincre la jeune femme quand mon ami décide de mettre fin à toute cette comédie. Je n’ai malheureusement pas le temps de répliquer que la sonnette résonne dans l’appartement, coupant court à cette conversation alors que nous récupérons notre commande. Installé sur la table basse du salon, je ramène quelques ustensiles supplémentaires pour que nous puissions manger dans de bonnes conditions. Notamment des couverts pour les non initiés aux baguettes. Alors que nous prenons place autour de la table, chacun de part et d’autre de la jeune femme, j’invective Loyd, déçu de ne pas avoir pu aller au bout de mon plan. « Tu fais chier quand même Loyd. Elle y croyait. Un peu plus, et tu te retrouvais sur la béquille à nous regarder. » Je lui tire la langue, taquin et enfantin. Plus j’y pensais, et plus je me disais que ça aurait pu être excitant ouais. De même que sa proposition avant que le livreur n’arrive, mais ça, je n’étais pas certain de pouvoir l’avouer. Pas maintenant. « Du coup, Alexandra, que proposes-tu pour régler ce différend ? Parce que je reste quand même déçu de ne pas pouvoir vous faire confiance plus de trente minutes. »
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Elsy Lullaby
Dim 25 Oct - 21:47
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
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Il y avait quelque chose qu’elle pouvait faire pour se faire pardonner, sûrement. Il suffisait qu’elle sache quoi. Qu’elle sache ce qui pourrait faire plaisir à Jay. Elle avait bien quelques idées, mais peut-être que ce n’était pas ce qu’il attendait. Là tout de suite, la jeune femme a l’impression de marcher sur des oeufs. L’impression de devoir faire attention au moindre de ses mots. Si elle l’avait réellement déçu, mieux valait pour elle ne pas risquer de faire le moindre faux pas avec quelques propos malheureux. S’approchant de lui, alors, la jeune femme décide de le questionner directement, de ne pas y aller par quatre chemins. C’était le plus sûr moyen de savoir ce qu’il voulait précisément et le lui donner.
L’homme se penche finalement à son oreille, y glissant quelques mots après avoir confirmé qu’il y avait bien un moyen pour elle de se racheter en effet. Et il lui révèle celui-ci, murmurant ses quelques mots suffisamment bas pour que Loyd ne puisse pas l’entendre. Une idée plutôt simple, au demeurant, qu’elle n’aurait pas de peine à lui accorder. Etait-ce réellement un moyen de se racheter ? Elle n’était pas certaine que cette demande puisse entrer dans la case des punitions. Finalement, dans l’histoire, la jeune créatrice était plutôt gagnante. Mais Loyd, comme s’il savait que la demande de Jay allait se retourner contre lui, les interrompt, prenant la parole pour réduire à néant la culpabilité de la demoiselle et la déception simulée par Jay.
«- Mais…»
Elle avait été eut. Vraiment. Comme une bleue. Elle avait cru à la déception de Jay. Elle avait vraiment cru qu’elle avait fait quelque chose de mal. C’était la preuve que la demoiselle ne les connaissait pas encore assez. Mais un jour, ils ne pourraient plus la faire marcher, tout les deux. Lexie se le promet, alors que son regard va de l’un à l’autre avant que Loyd ne s’éclipse pour aller chercher leur commande, le livreur se manifestant à la porte.
Se réinstallant dans le canapé, entre eux, Lexie les regarde l’un et l’autre, les plats tout juste posés sur la table alors que Jay reprend la parole, désireux de régler ses comptes avec Loyd, lui reprochant son intervention en se plaignant de n’avoir pas put le laisser sur la béquille. Comme il tire la langue, la demoiselle rit face à ce réflexe enfantin, se tournant vers Loyd pour observer la réaction de ce dernier avant de reporter son attention sur Jay comme il reprend la parole, s’adressant à elle.
«- J’pense que ton idée n’était pas mauvaise…» souffle-t-elle. «J’la garde dans un coin de ma tête pour après le repas…»
Puisqu’il avait décidé de la prendre par les sentiments et de s’amuser à ses dépends, c’était à son tour de jouer. A son tour de les laisser languir. La suite n’en serait que plus appréciable.
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Maddy'n
Sam 7 Nov - 19:36
Elijah "Jay" Anders
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Repas servi, tout est étalé sur la table, de façon à ce que tout le monde puisse piocher ce qu’il veut. Rapidement, une boule de poil se rapproche aussi, espérant sûrement un morceau de boustifaille, qu’importe ce que ça puisse être, et qui pourrait lui donner. Elle se rapproche de moi, me regarde, et après un premier non, commence à faire des tours autour de la table espérant que quelqu’un céderait. Mais ça ne sera pas moi, malgré ses nombreuses tentatives. Mais ça n’allait pas le faire de la voir venir essayer de poser sa tête sur mes cuisses toutes les cinq minutes. « Jade, panier. » J’ordonne d’une voix sèche, mais pas pour autant agressive, indiquant le dit panier du doigt. « Panier. » Je répète, voyant qu’elle ne bouge pas, et cette fois, elle s’exécute. Pas de véritable souci d'obéissance avec elle, elle était plutôt bien éduquée, ce que j'avais veillé à faire. Elle ne montait pas sur le canapé, ni sur le lit. C'est même à peine si elle rentrait dans la chambre. Mais elle restait forcément sensible à l'appel du ventre, et avec nos invités, elle espérait sûrement un peu plus de souplesse. Surtout avec Loyd. Elle le connaissait bien maintenant.
De retour dans une conversation avec des mots, je regarde mes pairs, un peu amusé par la proposition d'Alexandra. L'idée d'obliger un peu Loyd à prendre son mal en patience pendant que je m'occupe de la demoiselle était plaisant. Mais contrairement à la jeune femme, je n'étais pas d'humeur à attendre la fin du repas. Je lui retire son plateau et ce qu'elle tient dans les mains pour me mettre face à elle et l'embrasser. « S'il n'a pas eu à attendre, je ne vois pas moi, je devrais. Après tout, je suis la victime dans cette histoire. » Mes mains glissent entre les cuisses de la jeune femme, tandis que mes lèvres dévient dans son cou. J'étais joueur et puéril ce soir, mais je n'avais rien à perdre. Au pire elle me stoppait, et on reportait ça à plus tard, au mieux, j'arrivais à les faire céder, et on avançait l'heure de notre méfait, de quoi nous rassasier autrement pour quelques temps. Dans un cas comme dans l'autre, j'obtiendrai ce que je voulais, mais la patience n'étant pas mon fort, je préférerais que ce soit maintenant. Mes mains remontent doucement sous sa robe, cherchant à obtenir une manifestation de son plaisir alors que Loyd ne semble pas se préoccuper de nous. Mes lèvres de rapprochent de l’oreille de la jeune femme, me permettant de murmurer de façon à ce que elle seule puisse m’entendre. « Il joue les indifférents, mais crois moi, il ne perd rien du spectacle. »
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Elsy Lullaby
Dim 8 Nov - 15:43
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
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Puisque Jay avait voulu jouer au plus malin, Alexandra allait jouer elle aussi. Elle n'allait pas lui donner tout de suite ce qu'il voulait et laisserait d'abord le repas passer. Le jeune sportif devrait donc prendre son mal en patience avant d'obtenir satisfaction et voir la demoiselle lui céder. Dans l'esprit de la jeune femme le plan était parfait. D'autant plus que même dans le cas où Jay ne tenait pas à la demande qui lui était faite, c'était elle qui en profitait. Elle était gagnante dans tous les cas. Dans son esprit c'est ainsi qu'elle voyait les choses. ce qu'elle pouvait faire pour se faire pardonner, entre guillemets, ses agissements, n'avait rien d'une punition.
S'installant à table la jeune femme dévore déjà les sushis du regard. Et elle n'est pas la seule comme Jade vient tourner autour d'eux et de la table en semblant attendre sa part, venant poser maintes fois la tête sur les cuisses de son maître en réclamant du regard. Lui jetant un coup d'oeil, Lexie sent son coeur fondre devant l'adorable regard implorant de l'animal, qui ne parvient pourtant pas à émouvoir son maître. Jay désigne le panier d'un air ferme en demandant au chien de s'y coucher, sans succès la première fois avant que la bête ne se décide à s'exécuter. Lexie l'observe faire, la mort dans l'âme face à ce spectacle, portant un sashimi à sa bouche avant de s'en régaler. Le saumon détourne ainsi son attention qu'elle reporte sur les plats dispersés sur la table à la recherche de sa prochaine bouchée. Ses baguettes de referment alors sur un salmon roll au fromage qu'elle trempe dans la sauce avant de le porter à ses lèvres. Mais sitôt le sushi disparu entre celles-ci, ses baguettes quittent ses mains et Jay repousse le plateau devant elle, cherchant l'attention de la demoiselle. Alex manque de s'étouffer en riant.
"- Parce qu'il ne m'a pas menti lui !" proteste la demoiselle en faisant référence aux tentatives de Jay pour la faire culpabiliser.
Elle oublie bien vite ses protestations cependant comme les mains du sportif viennent se perdre entre ses cuisses et ses lèvres dans son cou. Doucement, il remonte ses mains sous la robe de la demoiselle, la faisant frissonner au passage et ses lèvres viennent à son oreille, murmurant quelques mots qui lui font jeter un coup d'oeil discret en direction de Loyd, lequel continu de manger en faisant mine de les ignorer. Lexie s'arrache à sa contemplation, son regard se perdant dans celui de Jay cette fois et ses mains viennent à son tour se perdre sur lui, glisser sous son haut avant de l'en défaire, poursuivant clairement les hostilités.
Repoussant son partenaire, la jeune femme se redresse en le faisant asseoir, venant s'installer sur ses jambes et perdre ses lèvres dans le cou de Jay. Remontant sur sa mâchoire, elle vient mordiller le lobe de son oreille avant de s'en désintéresser au moins provisoirement, venant embrasser son buste en entamant une lente descente vers son pantalon, espérant qu'ils n'en perdaient, ni l'un ni l'autre, pas une miette.
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Préférence de jeu : Homme
Patate Douce
Lun 9 Nov - 20:53
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
Heny Cavill by Angie on Bazzart
Fausse discorde entre les deux. Et clairement, je ne préfère même pas m'en mêler. Jay poursuit son cinéma. Mais la douce semble avoir repris ses esprits. Et je l’avoue, qu’elle ait cédée à moi mais pas à lui, flatte mon égo. Je les écoute mais je n’ai d’yeux que pour la bouffe. J’avais tellement faim, que me parler de sexe, devenait une hérésie.
J’avais tellement envie de venir au secours de la belle Jade mais c’était signer mon arrêt de mort. Mais bon, je décide de quand même me lever, les deux autres, commençant à se tourner autour, j’ouvre un placard et donne une friandise à la chienne, comprenant ce que j’allais faire. Je caresse le de sa tête, tout en fixant mes partenaires.
Visiblement, la chaleur allait grimper de quelques degrés. Je sais qu’ils veulent me rendre fous mais je dois demeurer serein. Montrer que je savais me tenir. Bon d’accord, dans cette position, j’avais surtout envie de leur sauter dessus mais non, j’ai le mental.
Alors, l’air de rien, je retourne à ma place et continue de manger. Qu’ils se dégustent pendant que je me remplis la panse. Je pioche dans leur assiette, tout en jetant des coups d’oeil sur eux. Je crois que mon boxer rétrécit. Je vais devoir changer de lessive. Je m’étouffe avec un putain de sushi.
Et c’est bien les soucis qui me font face.
Mais je tiens bon – je crois – je sifflote, et finis par même allumer la télé. Je comptais bien me faire désirer. Je ne sais pas de quel méfait, ils comptaient me punir, mais ça n’allait clairement pas fonctionner avec moi.
Et je suis à deux doigts de commettre l’interdit : demander à Jade de monter sur le canapé. Ça va en calmer un sur le champ. Je garde mon idée, pour le moment fatidique. Que je me marre un coup. Je prépare quand même mon plan parce que les poils, ce n’est pas top non plus.
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