Fire on fire would normally kill us but this much desire, together, we're winners [ft. Maddy'n & Patate douce]
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Patate Douce
Lun 10 Aoû - 9:12
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
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J'avais envie de lui répliquer, que sur le papier et surtout en pratique, elle n'était pas ma poulette et plus que libre. Mais je suppose que maintenant que je venais de marquer mon territoire, cela devenait plus officiel. Et clairement, cela m'énervé d'office. A trois. Souvenir qui remonte. Se voir hors du lit. C'est chose faite.
« Calme toi... »
Sa main sur mon bras me ramène sur terre ferme. Et j’embrasse sa tempe. Bah oui Loyd, enfonce-toi ! Mais quiconque n’avait pas encore compris le message, l’était dorénavant.
Mon calme reprend sa place initiale et je guide la demoiselle à ma table. Comme pour une punition. J'avais presque envie de lui dire, t'avais qu'à être moche mais bon, les gouts et les couleurs, on connaissait la chanson.
« Les gars, Alexandra. Alexandra, les gars. »
Je me sentais pris au piège. Présenter une femme, ce n'était pas dans mes habitudes. Tout semblait précipité et cela me mettait mal à l'aise. J'aurais très bien pu la laisser repartir avec son groupe de copines mais, je savais que le prochain qui posait son regard sur sa personne, je le défonçais ; Valait mieux attendre que le troisième mousquetaire vienne détendre l'atmosphère. C'est sa faute tout cela. Dormir là-bas, aller la réconforter. Je ne me serais jamais comporté, comme un chevalier, si on ne s'était pas rapproché de la sorte. J'aurais dû l'écraser tiens. Et je m'en voulais d'avoir été aussi attentif à son bien-être de la petite. C'est quoi le but de mettre des vents ou de répondre succinctement à notre conversation à trois, si j'aboyais quand on s'en approchait trop près d’elle ? Nuance, elle était en danger me rappelle ma conscience. Et j'avoue avoir été bien éduqué pour ne pas pouvoir fermer les yeux.
« Alors Alexandra, comment as-tu fait pour mettre le grappin sur notre Don Juan ? » Questionne un ami.
Sourcil qui s’arque, regard noir. C'est exactement que je ne voulais pas entendre de la bouche d'autrui. Présentation équivaut à une officialisation. J'étais piégé.
« J'espère que tu as de la patience, il n'est pas facile notre petit gars, bonne chance pour le tenir. » Renchérit un autre.
Je préfère boire ma bière, que je serre rageusement. Se taire, parce que je risquais d'envoyer Leksie chez ses copines, avant même qu'elle ait pu dire ouf.
Je regarde partout sauf dans sa direction. Puis le brun débarque enfin. « T'étais où tête de bite ? » dis-je rageusement. Souffre-douleur enfin là. Je vais faire un homicide.
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Maddy'n
Mar 18 Aoû - 19:26
Elijah "Jay" Anders
J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. + Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. + Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.
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« J'en veux paaaas. C'est pas bon. » Gamin qui chouine en repoussant son assiette. Je soupire et la repose devant lui. C'était pas un merdeux de six ans qui allait faire sa loi avec moi. « T'as pas le droit de dire que c'est pas bon si tu ne goûte pas. » Il me regarde avec ses grands yeux d'enfant triste, comme si je venais de lui briser le coeur. Ca va on parlait juste de quelques légumes à manger, c'était pas la mort non plus. Heureusement que le grand était plus raisonnable. Un petit combat de regard commence alors entre le cadet et moi qui pense pouvoir me faire céder avec des larmes de crocodile. Je me lève et m'installe à côté de lui. Je prends sa fourchette mélangeant quelques pâtes à la ratatouille alors qu'il me regarde comme si je venais de commettre un meurtre. Pour les saintes pâtes, peut-être. Mais je me dis que le mélange des deux passera peut-être être plus facilement. Je lui tends la fourchette mais il détourne la tête, boudeur. « Tu sais que Jade elle aime pas les enfants qui mangent pas leurs légumes ? Elle jouera plus avec toi si tu manges pas. » Mensonge ridicule, mais efficace à son âge, il me regarde, hésitant avant d'ouvrir la bouche. Pas trop tôt ! « C'est froid ! » Je fronce le regard un peu méchamment. Ca faisait vingt minutes qu'on était à table, bien sur que c'est froid. Je prends son assiette et pars la faire réchauffer quelques minutes dans la cuisine. Ce gosse me fatigue. Je lui ramène son assiette, chaude cette fois, et il se met enfin à manger seul et sans caprice. Enfin ! Je le laisse manger tranquillement, surveillant quand même qu'il n'aille pas vider le contenu de son assiette dans un pot de fleur ou le jardin. Parce que je l'avais déjà fait. Et quand bien même aucun de ces deux monstres n'avait été là pour le voir, on ne savait jamais avec les gênes.
Des gênes que nous ne partagions en réalité que de moitié, puisque nous avions des mères différentes. Eux étaient nés du second mariage de mon père, après la disparition de ma mère. Certes, je n'avais pas été très enthousiaste à cet événement, et très peu prévenant à l'égard d'Astrid, sa nouvelle compagne, mais j'avais toujours éprouvé un certain plaisir à passer du temps avec mes petits frères, Luka et Nikola, qu'il m'arrivait régulièrement de garder afin de dépanner leurs parents. Et comme ça, ça me permettait de les voir continuer de grandir régulièrement, autrement que pour les grandes occasions. Le repas fini, je les fais donc débarrasser leurs assiettes avant de m'occuper du reste pendant que je les envoie à la douche. Je termine de nettoyer la vaisselle et la cuisine avant de vérifier qu’aucun n’a tenté de noyer l’autre dans la baignoire. Ca semblait aller. Les deux monstres enfilent leurs pyjama, se brosse les dents et je les laisse jouer une bonne demi heure avant de les mettre au lit, en leur racontant une histoire. Ouais, j’étais quand même au petit soin avec eux.
Leurs petits yeux enfin fermés, je me m’installe dans le salon, devant la télé en attendant que leurs parents rentrent. La soirée est déjà bien avancée quand ils rentrent, me remerciant chaleureusement de les avoir dépannés. Je suis bien plus distant, ma relation avec mon père s’étant un peu dégradée avec les années, quand à celle avec Astrid, elle était cordiale, ni plus ni moins. C’est pour cette raison que je ne m’attarde pas plus à leur retour. Un léger briefing de la soirée et je rentre chez moi. Sur le chemin, je reçois néanmoins un appel surprenant. Quelques potes de Loyd - que je connaissais malgré tout - qui me demandent de venir les rejoindre, parce que Loyd est en train de péter un cable par rapport à une gonzesse. Surprenant ça… Je ne cherche pourtant pas à en savoir plus et leurs demande d’éviter qu’il fasse une quelconque connerie d’ici à ce que j’arrive. C’est sans perdre une minute que je traverse donc la ville pour rejoindre le bar dont l’adresse m’a été envoyé par sms.
Arrivé devant le bar, je ne croise personne dehors. Je suppose donc que Loyd ne s’est pas encore fait mettre dehors. Je rentre dans l’établissement, mon regard scrutant la foule pour finir par trouver Loyd, attabler avec ses amis et … Alexandra ! Je comprends mieux maintenant cette histoire de gonzesse. Ce n’était pas n’importe quelle gonzesse mais celle qu’on fréquentait bien trop souvent depuis quelques semaines. Et il semblerait que malgré tout ce que Loyd avait pu dire, la demoiselle le laissait bien moins indifférent sentimentalement avec le temps. Je m’approche du petit groupe en souriant, saluant les gens un à un d’une poignée de main à l’exception de notre sirène à qui j’offre un baiser sur sa joue. Mais pas le temps d’être réellement poli que Loyd m’agresse pour savoir où j’étais. Alors quoi, on se rendait des comptes maintenant ? « J’étais en train de jouer les nounous chez mon père. » Je détaille mes amants, essayant de comprendre ce qu’il s’était passé. Je n’avais aucune raison de penser que leur présence ici, à tous les deux était prémédité. Ca ressemblait plus à un heureux hasard. « Décidément, l’univers ne cesse de nous mettre sur le même chemin. Alors, que s’est-il passé ? »
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Elsy Lullaby
Mar 18 Aoû - 20:58
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
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Alors que Loyd donne l'impression d'être prêt à bondir sur l'autre type, Alexandra fait ce qu'elle peut pour essayer de le calmer en craignant que ça ne dégénère. En posant sa main sur son bras, en l'appelant à se calmer, elle espère ainsi obtenir gain de cause et voir le médecin ranger les crocs. L'autre type a déjà bien compris que c'est chasse gardée ou qu'en tout cas il vaut mieux qu'il décampe. Inutile d'aller plus loin. Il trouvera probablement une autre nana à aller enquiquiner ce soir. Une autre femme à prendre pour cible. Mais ce n'est plus le problème de Loyd. Si tant est que cela ait pu l'être à un moment. Mais ça avait semblé l'être.
Comme Loyd vient déposer un baiser sur sa tempe la demoiselle reste surprise par ce geste affectueux, qu'il a osé faire aux yeux de tous par ailleurs, alors même qu'il a semé le trouble dans l'esprit et le coeur de la jeune femme depuis quelques jours. Elle qui pensait qu'elle devait oublier son idée. Peut-être pas, finalement. Peut-être qu'elle devait justement persévérer. Ce soir lui en donne l'idée comme au lieu de la laisser et retourner à sa propre soirée, Loyd l'entraîne plutôt avec lui, la présentant à ses potes rapidement. Se fendant d'un sourire un rien gêné par la situation comme elle est présentée sans même savoir ce qu'elle est supposée être, la demoiselle salut tout le monde, poliment, s'installant avec eux. Elle est tout juste arrivée que déjà les types autour d'elle l'assaillent de questions, curieux de découvrir comment elle avait séduit Loyd alors qu'elle même ne sait pas qu'elle réponse donner, si bien qu'elle choisit l'honnêteté.
«- En toute franchise… je n'en sais rien.» avoue-t-elle.
Un autre prend la parole, évoquant la patience dont elle aurait besoin pour tenir le trentenaire. Lui jetant un regard, Alexandra imagine sans mal que ce type dont elle ignore le nom a raison. Et tous y vont de leur petit commentaire en l'empêchant de répondre elle-même. C'est ce moment que Jay choisi pour faire son apparition, saluant tout le monde par des poignées de mains avant de poser des lèvres sur la joue de la demoiselle pour la saluer. Lexsie n'a pas le temps de dire quoi que ce soit de gentil que Loyd lui coupe la parole, saluant son meilleur pote d'un ton bourru.
«- Nounou ?» s'enquit-elle comme Jay avoue avoir fait la nounou ce soir avant de demander quelques explications.
Ce qu'il s'était passé. Lexie jette un regard en coin à Loyd. Que répondre à ça ? Que dire ? Que s'était-il passé en fin de compte ? Elle opte pour une version des faits très courte, se concentrant sur l'essentiel. Ce dont elle était sûre, tout simplement.
«- C'est rien, juste un mec qui me saoulait, qui voulait absolument que je le suive et Loyd est intervenu.» explique la demoiselle avant de se tourner vers le concerné.
Et d'ailleurs en y pensant, elle songe qu'elle est curieuse d'entendre ce que cela donnerait dans les trois langues, comme elle se souvient qu'il l'avait présenté comme étant sa femme et être en mesure de le dire en plusieurs langues.
«- Comment tu sais qu'il s'est passé un truc ?» réalise-t-elle soudainement.
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Patate Douce
Sam 29 Aoû - 21:24
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
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Me mettre le grappin dessus est un pari que je ne souhaite à personne. Je suis un homme infidèle. J'essaye régulièrement. Mais je ne peux pas, j'aime bien trop de femmes pour me contenter d'une seule âme. Je ne veux pas être à quelqu'un. Être dépendant d'une personne. M'investir dans un avenir incertain. Être en couple, est un défi trop risqué pour que je le reproduise. Il n'y a rien de plus terrible que de se sentir en sécurité émotionnellement parlant et se lever un jour pour constater que sa moitié de penderie est vide. Juste un désole. Rien d'autres. Même pas le sempiternel ce n'est pas toi, mais moi. Non, on se remet en question, parce qu’on se considère comme le maillot faible. Être dépendant physiquement, mentalement, me donne des suées... Non, une fois, pas deux. Je ne veux plus être un fantôme. Me demander ce que je fais sur cette terre. J'ai un passé amoureux chaotique. Et pourtant, il en reste une dont je ne peux tourner le dos. Relation Née dans l'illégalité et assainit à ma majorité. Mais il subsiste entre nous, cette distance de sécurité entre nous. Hormis elle, je ne me prive jamais d'aller gouter les affres du plaisir féminin. A partir du moment, où la demoiselle est consentante et ne me dis pas non, pourquoi me refreiner ? Non vraiment la notion de monogamie m'effraie.
C'est Jay qui me sort de mes songes. Garde de frangins. Je hoche la tête. BabyFace répond plus vite que moi. J'apprécié cette explication moins détaillée. Mais blondie se questionne. Il se place de l'autre côté de Leksie. En voilà un joli tableau.
« Je l'ai appelé, il a davantage l’étoffe du prince charmant pour être crédible en guise de couple. Je fais bien trop tâche à tes côtés. »
J'ironise la situation, sous le regard curieux de nos amis. Mais je n'en dis pas plus. Je hèle le serveur.
« Allez les gars, c'est ma tournée. Maintenant que notre nounou nous offre enfin sa présence. »
Je n’avais pas fini de l'emmerder celui. Je n'avais même pas commencé. La soirée se poursuit, les rires se mêlent, on se charrie, on se projette. Alexandra semble être dans son élément. Et je me surprends à me dire que c'est un bon point. J'observe mes deux camarades de plumard. Un plan à trois qui semble être autre chose si j'en crois les propos de la demoiselle. Se voir en dehors du lit. Je vide un énième verre, laissant l'idée se faire son chemin dans mon esprit.
Techniquement, j'aurais deux corps pour moi. Et rien que pour moi. A ma guise, sans avoir d'efforts pour draguer. Ce n'est peut-être pas si mal. Et deux esclaves pour moi. Sexuelle en prime. L'idée me plait de plus en plus. Je sors mon téléphone pour répondre à notre conversation de groupe.
Message de Loyd aux deux boulets:
Je suis ok pour se voir hors du plumard mais pas trop.
J’observe leur réaction. L’alcool me faisant juste oublier un léger détail : je n’avais jamais été intime directement avec un homme. Avec Jay, c’était des prémisses mais rien de franc, Leksie pour me rassurer sur ma masculinité. Alors, je ne mettais jamais poser de question mais, à présent. Si on doit être plus que des amants, ça allait coincer, je suppose.
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Maddy'n
Dim 6 Sep - 14:30
Elijah "Jay" Anders
J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. + Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. + Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.
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Ca m'avait paru invraisemblable sur le moment, et pourtant, tout était vrai. Loyd était devenu beaucoup moins insensible à la jeune femme. En tout cas, suffisamment pour intervenir lorsqu'un autre tentait de lui faire du charme. Qui l'aurait cru ? Surtout après les remarques que j'avais pris lors de la soirée de réconfort chez la jeune femme. Monsieur ne voulait pas qu'on se voit tous les trois hors des galipettes, mais Monsieur ne voulait pas non plus partager son amante. C'était surprenant, mais pas complètement désagréable de le voir changer un petit peu dans ce domaine. Il avait de nets problèmes d'engagement dont je connaissais l'existence même si j'en ignorais les origines. Le voir déjà agir avec une certaine jalousie, c'était déjà donc une grande étape. Et je n'étais pas le seul autour de cette table à le noter d'après les commentaires de ses amis. Des amis que je connaissais pour la plupart. Même si j'étais bien moins intime avec eux qu'avec le médecin - surtout depuis nos parties de jambes en l'air à trois - ça nous arrivait de nous fréquenter. En réalité, nos cercles d'amis à tous les deux étaient assez entremêlés. Faut dire qu'on fréquentait les mêmes personnes au lycée, et que même après, on s'était présenté beaucoup de nos potes pendant les soirées. Les gens présents ne devaient donc pas être très étonnés de me voir connaître l'existence d'Alexandra, étant donné notre amitié à Loyd et moi, par contre, ils devaient surement être loin de se douter de la nouvelle direction qu'avait prit notre relation. Celle d'amants via la participation d'une tierce personne. Un joyeux bordel à expliquer si on nous posait trop de questions.
Mais pour l'instant, c'était plutôt Alexandra qui les posait. J'avais fait le choix d'occulter la première, n'ayant pas envie de m'étendre sur ma vie privée, mais je ne pouvais pas esquiver la deuxième, encore moins quand Loyd y répond avant moi. « Très exactement, c'est eux qui m'ont appelé. A la demande de Loyd. Mais bon, je suis prince charmant, pas magicien. Je ne me téléporte pas encore. » Je fais une grimace au médecin, ayant presque l'impression qu'il me reprochait le temps que j'avais mis pour arriver. Mais bon, responsabilités fraternelles, je ne pouvais pas laisser deux gamins de six et huit ans chez eux sans surveillance. « T'as qu'à prévenir plus tôt la prochaine fois. » Ou t'arranger pour ne pas te retrouver dans le même bar que notre sirène. Encore une fois. Drôle de coïncidence. Désormais présent et Loyd offrant la prochaine tournée, je reste avec le petit groupe boire une bière. Même plus d'une au rythme de la soirée.
Les consommations se succèdent alors, au fil des heures et des discussions entre notre petit groupe, plaisantant amicalement sur des choses et d'autres. Téléphone dans ma poche qui vibre, je regarde la notification et vois un message de Loyd dans notre conversation de groupe. Je fronce le regard vers lui, dubitatif, avant d'ouvrir le dit message. Sourire qui se dessine sur mon visage à la lecture de celui-ci. Alexandra était vraiment une sirène, et elle avait réussi à entraîner Loyd dans ses filets. Je relève la tête du téléphone et accorde un clin d'oeil et un sourire joueur à mon meilleur ami. Cette aventure n'allait pas s'arrêter de si tôt, et j'en étais également ravi. Je ne savais pas vraiment ce que ça signifierait pour Loyd et moi, ni comment on présenterait la situation à ceux qui viendraient poser des questions, ni même si cela pourrait signifier qu'on pouvait tout les deux embrasser la jeune dans un moment comme celui-ci, mais j'étais plutôt heureux à l'idée de tenter l'expérience. Avec eux deux. Dans ce dynamisme si particulier entre nous. Je pianote rapidement une réponse sur mon téléphone avant de le remettre dans ma poche et que les autres remarques nos petits échanges discrets.
Est ce qu'on peut quand même faire un arrêt dans la case plumard pour ce soir ? - Jay
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Elsy Lullaby
Lun 7 Sep - 17:02
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
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Alors que la demoiselle s‘étonne d’entendre Jay parler de nounou, aucun des garçons ne répond à sa question, quand elle répète le mot, étonnée et les dévisageant tout deux. Seul le silence accueillant sa réponse, la suédoise lève un sourcil, commençant à imaginer plusieurs hypothèses possibles. Mais elle se plante peut-être. Probablement même. Ils gagneraient du temps à être plus clairs avec elle, à lui dire de quoi il retourne exactement. Mais c’est comme s’ils ne l’avaient pas entendu. La demoiselle en reste perplexe. Si de la part de Loyd ce n’est pas des plus étonnants, elle a en soit beaucoup moins l’habitude que Jay fasse des cachotteries. Ils avaient déjà bien discutés ensemble, tous les deux, quand Loyd ne s’investissait pas beaucoup dans leur discussion de groupe.
Ce n’est pas la seule question qu’elle a en tête Alexandra, évidemment. Elle s’étonne de voir que Jay savait qu’il s’était passé quelque chose. Comment pouvait-il être au courant, en les ayant rejoint après coup ? C’est une question à laquelle Loyd répond, cette fois, s’attirant un regard noir de la part de la créatrice. Tâche ? Sérieusement ? Comment pouvait-il dire une connerie comme celle-ci ? S’il est vrai que Jay avait tout de suite rebondit sur ses origines Danoises le jour de leur rencontre, comme le prince Eric qu’elle avait cité, et s’il avait toujours été plutôt prévenant avec elle depuis lors, cela ne voulait pas dire pour autant que Loyd «faisait tâche». Comment pouvait-il dire cela ?
"- Dis plus jamais ça." murmure la demoiselle, suffisamment bas pour qu’il soit le seul, avec Jay peut-être, à pouvoir entendre ses mots.
Et elle se tourne vers Jay comme ce dernier confirme les dires de Loyd, tout en précisant être prince charmant et non médecin, ce qui explique qu’il ait mit un certain temps à les rejoindre. En effet, ça tombait sous le sens. D’autant plus qu’il était occupé au moment où il avait reçu ce message, de toute évidence. Chez son père. Alexandra analyse ces mots. Jouer les nounous chez son père. Jay avait au moins trente ans. Comment pouvait-il jouer les nounous chez son père ? Cette question est vite repoussée de son esprit comme elle entrevoit une piste possible, quand Loyd annonce payer sa tournée, déclenchant les effusions de plaisir de sa bande de potes.
C’est elle, qui aurait dût faire tâche ce soir, au milieu de toutes ces personnes que les garçons connaissent et qui sont pour elle d’illustres inconnus encore, qu’elle sait tout juste nommer. Si dans une première partie de la soirée, elle s’emploie à essayer de retenir les noms et les associer aux bons visages, l’alcool aidant fait qu’elle éprouve de plus en plus de difficultés dans cet exercice au fur et à mesure que la soirée passe, sans que cela ne l’empêche de bien s’entendre avec les types en question. Au contraire même et les discussions, comme les rires, vont bons trains tandis que les verres s’enchaînent et s’alignent sur la table les uns après les autres. En prime, les questions sur sa relation avec Loyd, qui auraient put devenir gênantes en les obligeant à expliquer la présence de Jay dans l’équation, s’étaient taris, leur laissant le temps de s’en occuper plus tard, quand eux-mêmes auraient put comprendre la situation.
Son téléphone vibrant dans sa poche, la jeune femme sort celui-ci, remarquant rapidement que le message vient de Loyd, rapidement rejoint par un second, envoyé par Jay cette fois-ci. Déverrouillant son écran elle découvre, non sans surprise, le message laissé par le médecin. Ça, elle doit bien l’avouer, elle ne s’y attendait pas. Mais un grand sourire prend place sur son visage, très peu discret. Et elle rit légèrement, face à la demande de Jay. Si personne ne s’en étonne, c’est qu’une blague vient de tomber, comme un heureux hasard, autour de la table.
Rejoignez moi dans cinq minutes. - Lexie
La jeune femme tape rapidement son message, avant de finir son verre et reposer celui-ci sur la table. Se redressant, la suédoise salut tout ce petit monde attablé, prenant congés d’un sourire accompagné d’un signe de la main, en ajustant son sac à main sur son épaule.
"- Je vais y aller. Merci pour la soirée, à une prochaine fois !" lance-t-elle avant de se détourner, tâchant d’avoir la démarche aussi stable que possible en avançant vers la sortie.
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Ven 9 Oct - 17:25
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
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Qui aurait cru que ce soit mes deux partenaires qui allaient réclamer une douceur avant moi. Et c'était moi, qui n'était pas assez sentiment entre nous trois. Je m'efforce de ne rien laisser transparaitre. Bien que l'idée de remettre le couvert avec mes deux partenaires me rendaient déjà bien fébrile. Sept minutes douloureusement passées et je salue le reste de la bande à mon tour.
Tête de bite, amène-toi, je te ramène, tu vas encore chouiner de marcher par ce temps.
En vérité, j'en aurais eu rien à secouer de comment il allait rentrer mais si lui aussi partait, on allait éveiller des soupçons, et je n'avais pas envie de parler de notre trio. Déjà que je venais de me faire étiqueter quasiment en couple avec Lexie. Officialisation que j'allais presque démentir. Enfin, je crois, je ne sais plus trop, maintenant que j'avais accepté de copiner avec elle.
On quitte le bar et la jolie blonde nous retrouve. Même par ce froid, elle n'en demeurait pas moins ravissante. Mais ce n'est que sous nos hanches qu'elle était sublime. Cinq minutes de tergiversations dont je n'en avais rien à faire, on décide d'aller chez Jay. Parce que la chienne et sa vessie, allaient probablement exploser. Il nous faut une dizaine de minutes à pied pour retrouver la chaleur d’un foyer.
On arrive à son appartement et la chienne nous saute dessus, je m'accroupis pour prendre le temps de lui dire bonjour. Puis, je me déleste de mon trench que je mets au porte-manteau. L'homme et sa manie à avoir un appartement carré. Tout était à sa place. Et je me dis que je devrais peut-être l'embaucher lui plutôt que ma femme de ménage.
Je propose de commander, le temps que Jay sorte la chienne. Trente minutes avant les hostilités culinaire et crapuleuses. Des sushis et des burgers. Je toise durement Jay, qui je sentais aller me chier une pendule avec ses calories à la con. Et je lui promets qu'il aura droit de me faire une séance de sport moins plaisante que celle qui nous attend. Je me pose dans le canapé et fixe Alexandra.
Alors, que penses-tu de la bande sauvage ?
En soi, je ne sais même pas pourquoi, je la questionne. Qu'elle les aime ou non, m'importait très peu pour le coup mais je ne savais pas quoi faire, si ce n'est la tenir à distance le temps que Jade prenne l'air. Parce qu'une fois, entre des murs et bien loin des regards indiscrets, il m'était difficile de résister à l'envie de la dénuder. Il valait mieux parler de la pluie et du beau temps.
Le boulot, ça se passe ?
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Maddy'n
Dim 18 Oct - 21:36
Elijah "Jay" Anders
J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. + Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. + Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.
Jamie Dornan :copyright:️ Shiya
Des rires sont échangés autour de la table, des regards aussi, de quoi permettre à notre trio de passer inaperçu dans le groupe. Ca avait sûrement déjà demandé beaucoup d’effort à Loyd de se faire passer pour le petit ami de la demoiselle, pas dit qu’on annoncerait tout de suite qu’on s’était lancé dans une aventure à trois depuis plusieurs semaines. Et puis pour le moment, je préférais éviter les questions indiscrètes sur notre sexualité. J’étais moi même confus sur le sujet, à savoir jusqu’où allait les limites de notre relation, de même que les limites de mon potentiel désir pour Loyd. Étais-je réellement bi ? Plus je me donnais à ce petit jeu avec la styliste et le médecin, plus je doutais de la réponse. Mais bien sûr, il était hors de question d'aborder le sujet ici, entre deux bières, entourés de nos potes. Il était même difficilement envisageable pour le moment d’en parler avec le médecin seul. C’est donc avec soulagement que je constate que nos légers échanges sont passés inaperçus dans la discussion générale et que je laisse porter par le reste des rires, ainsi que des verres.
Plusieurs sont vidés avant que notre sirène nous donne le signal. Elle est la première à quitter le groupe, seule, après avoir salué tout le monde. Y compris Loyd et moi. D’un coup d'œil rapide, je regarde l’heure. Dans cinq minutes, on trouverait une excuse, Loyd et moi, pour nous éclipser également et poursuivre notre soirée dans une toute autre ambiance. En attendant, on se contente de poursuivre notre discussion avec le reste du groupe. Puis le signal est donné par Loyd, proposant de me ramener chez moi. Une excuse parfaite qui jamais ne pourrait paraître suspecte. Tout le monde savait que je n’avais pas le permis de conduire, et que Loyd me servait de taxi, presque chaque fois que l’on sortait tous les deux. Donc même si certains suspectaient qu’il puisse aller rejoindre Alexandra, aucun ne s’étonnerait qu’il m’ait ramené chez moi avant. Quelque part, j’étais celui qui s’en sortait le mieux dans cette pseudo officialisation. Personne ne se douterait de rien à mon égard, et j’éviterai ainsi les questions délicates.
Les salutations au reste du groupe faites, on quitte le bar, retrouvant à l’extérieur notre jolie sirène avec qui on décide de regagner mon appartement, pour des raisons pratiques. Déjà car, nous n’en étions pas si loin, et ensuite parce qu’une certaine peluche risquait de créer un certain k.o si elle restait enfermée encore longtemps. Une dizaine de minutes de marche pour nous réchauffer et nous arrivons à destination. J’ai à peine le temps d’ouvrir la porte que Jade nous saute dessus pour nous saluer. Je m’accroupis et caresse ma chienne joyeusement, ébouriffant sa fourrure.
Je laisse mes compagnons de soirée prendre leurs aises et commander à manger, sous le regard insistant de Loyd, qui semble pas très ouvert à la discussion sur le sujet, et sur lequel j’abdique donc rapidement, les laissant commander ce qu’ils veulent pendant que je sors Jade pour une petit balade. J’attrape une laisse et suis ma peluche dans le couloir, ne l’attachant que dans le hall, avant de gagner un petit parc à proximité dans lequel elle pourra se défouler, pendant que je maintiens le contact avec mes deux amants de ce soir.
Pas de bêtises avant que je revienne ! - Jay
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Elsy Lullaby
Lun 19 Oct - 18:19
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
Iga Wysocka
Les garçons ne tardent pas à la rejoindre dehors. Le contraire l’aurait étonné alors que la proposition de se voir après cette petite rencontre fortuite est de leur fait, tout du moins de celui de Jay en réponse à l’acceptation de Loyd pour se voir plus régulièrement tous les trois, sans forcément finir dans le même lit. Curieuse façon de sceller leur accord que la proposition de Jay, en soit. Mais Alexandra n’a rien trouvé à y redire. C’était probablement la manière la plus agréable de le faire, après tout. Et puis la perspective de passer la nuit avec eux est loin de lui déplaire.
«- On va où ?»
Cinq minutes. C’est le temps qui leur est nécessaire pour prendre une direction et finalement se mettre en route pour rejoindre la demeure de Jay où ils décident de finir la nuit pour qu’il puisse au préalable sortir Jade. Même s’il faut marcher un peu – avec des escarpins et dans la fraîcheur de la nuit Norvégienne – Alexandra accepte la proposition sans broncher, essayant d’aller suffisamment vite pour ne pas leur rendre la route trop pénible. Au bout d’une demi-dizaine de minutes cependant, elle s’arrête, saisissant le bras de Loyd le temps pour elle de retirer ses chaussures. Les escarpins tenus du bout des doigts, les pieds nus sur le trottoir, là, elle irait beaucoup plus vite. Et de fait, elle presse effectivement l’allure, cessant de ralentir les garçons.
Quand ils arrivent, la jeune femme remet ses escarpins, essuyant ses pieds sur le tapis avant de se permettre d’entrer, Jade leur faisant des fêtes, visiblement ravie de les voir. Sautant de l’un à l’autre, l’animal jappe joyeusement, remuant sa queue en allant de l’un à l’autre, mordillant joyeusement les mains qui viennent lui prodiguer quelques caresses.
Commander. Alexandra acquiesce face à la proposition de Loyd. Comment dire non à des sushis après tout ? C’est la prendre par les sentiments. Ne se faisant donc pas prier, elle sort son téléphone pour lancer une application de livraison de repas, cherchant une bonne enseigne sur celle-ci pour laisser les garçons faire leur choix avant que Jay ne sorte, la chienne au bout de la laisse.
Prenant place dans un fauteuil, restant seule avec Loyd, Alexandra sent son téléphone vibrer dans sa poche et attrape ce dernier pour découvrir le message de Jay. Décidant de taquiner ce dernier, elle s’empresse de tapoter sur le clavier, tandis que Loyd l’interroge, de son côté, sur la soirée et sur ses amis, plus précisément, qu’elle avait rencontré ce soir.
Oups… fallait prévenir avant :o
«- Oh ça va. Ils sont sympas !» assure la demoiselle. Du moins les avait-elle trouvé ainsi.
Je plaisante. On t’attend ;)
L’homme la questionnant sur le boulot, Alexandra ne peut s’empêcher de penser que tant d’éloquence est presque inquiétant, de la part de Loyd. D’ordinaire il écoute. C’est Jay qui pose les questions, surtout. A croire que cette soirée est celle de toutes les surprises. Et que la questionner est aussi un moyen de ne pas revenir sur l’affirmation selon laquelle elle était sa compagne, ou sur le fait qu’il acceptait finalement de les voir en d’autres circonstances qu’à l’horizontale entre les draps.
«- Très bien. Et toi ?» s’enquit-elle.
Écoutant sa réponse, la demoiselle hoche la tête, hésitant à orienter la conversation sur les évènements survenus plus tôt. Devait-elle parler de ce qui avait été dit ce soir ou de son changement d’avis ? Des deux, peut-être, mais elle doutait fort d’en avoir le temps. Et ils auraient bien mieux à faire quand Jay serait là. Mais finalement, elle se lance.
«- En parlant de tes amis ce… ce n’est pas gênant pour toi, qu’ils croient ce qu’ils croient ?»
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Patate Douce
Lun 19 Oct - 20:41
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
Heny Cavill by Angie on Bazzart
Loyd à la conversation à trois:
Tu sais que j'ai du mal avec les ordres. Moi, je ne plaisante pas. Pars en footing, on t'attend pour les viennoiseries à la rigueur.
Je réponds à notre cher absent, écoutant distraitement notre amie commune. En vérité, je ne savais pas quoi faire pour meubler l'attente. Mais j'avais décidé d'agacer Jay - une véritable passion - et profiter d'avoir la demoiselle pour moi. Ce qui n'était jamais arrivé auparavant. Je refuse de la jouer solo alors que nous l'avions connu à deux. Mais après tout, c'était ma petite amie. Alors, je me lève, prompt à échauder la demoiselle. Je pose mes mains de part et d'autre de son fauteuil pour lui voler un baiser.
- Les absents ont toujours torts.
Ma main droite quitte le fauteuil pour attraper le menton de la douce, embrassant l'arête de sa mâchoire pour terminer ma course dans son cou.
- Mes amis peuvent croire ce qu'ils veulent croire. Ça me passe au-dessus.
Non, là, pour tout de suite maintenant, c'est elle que je voulais. Quand mes potes me verront aux bras d'une autre, ils cesseront bien vite leur connerie. Mais ça, je m'abstiens de le dire, j'étais concentré sur l'objet de mes désirs. Je ne comptais pas aller trop loin mais Jay allait probablement tomber sur les prémisses des préliminaires si Lexie me suivait. Ma main gauche remonte le long de sa cuisse, observant sa réaction. Au moindre non, je comptais bien m'arrêter. Mais j'avoue que j'avais espoir de la corrompre, juste le temps de l'entendre jouer de sa petite voix.
- Il est possible que j'aie très envie de toi mais pas comme d'habitude ... Juste pour l'embêter légèrement et puis, je dois être un parfait amant, je me dois d'être attentif à ton plaisir.
Ma main remonte lentement, jusqu'à son entrejambe, pour lui expliquer - gestuellement parlant - où je voulais en venir.
- Puis-je poursuivre mes devoirs ?
Je penche légèrement la tête, faisant une moue faussement innocente.
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Fire on fire would normally kill us but this much desire, together, we're winners [ft. Maddy'n & Patate douce]